#intellos
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Taken, Pierre Morel, 2008
Bryan dit à sa fille Kim de ne pas aller à Paris parce que le monde c''est un endroit et ben il est trop dangereux de partout. L'ex-femme de Bryan l'accuse d'être trop protecteur et donc il cède. Mais à peine débarquées, Kim et sa copine sont enlevées par des mafieux Albanais afin d'être vendues. Bryan ne fait pas le malin mais on sait ce qu'il pense : "je vous l'avais bien dit zaviez qu'à m'écouter".
Un bon petit film d'action qui a le bon goût de durer 1h30 générique compris. Il y a quelques trucs drôles : le monologue (je te retrouverai et je te tuerai, un classique devenu un meme) et Liam Neeson qui prononce "Jean-Claude" à la française. Quelques répliques sympatoches "j'anéantirai la Tour Eiffel s'il le faut". Et puis cette barbecue party entre beaufs qui se remémorent les bons souvenirs d'opérations antiterroristes à l'étranger.
Il y a une subtile gradation dans la violence. Ca commence par des bourre-pifs et ensuite c'est de pire en pire.
Le scénar est de Luc Besson et les personnages féminins sont assez soignés :
la mère, une cruche qui envoie sa fille au casse-pipe
la fille, une cruche qui a 17 ans mais qui se comporte comme si elle en avait 10.
Isabelle, la femme du policier français, une cruche qui se fait gueuler dessus par son mari alors qu'elle a rien fait
des prostituées et des prostituées
★★✰✰✰
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En Temps et en Étoiles - À la belle étoile
A fun little challenge I gave myself! Translating an In Stars and Time scene (Stargazing with Isabeau) in French! I don't know if something similar already exists..? But hey! It was a funny frenchifying exercise, so I hope you guys will enjoy =v= And to @insertdisc5 J'espère que j'aurai fait honneur à ton superbe jeu et à cette fantastique scène :3
Oh! And if it's enjoyable to anyone else, please send me other scenes you'd like to read in my French way!
---
(Tu lèves les yeux vers les étoiles.)
(Tu n'en reconnais aucune.)
Siffrin: "Non, je n'en connais pas."
Isabeau: "Oh."
"... Tu dis que je n'ai pas mis les pieds dans le plat, mais…"
"Sif…"
Siffrin: (Change le sujet.) "Non, non, c'est bon, hahaha !"
"Raconte-moi quelque chose ?"
Isabeau: "Quelque chose ?"
Siffrin: "Quelque chose sur toi."
Isabeau: "Oh, ok! Hm…"
"..."
"Bon, ok, tu sais que je suis de Jouvente, pas vrai ?"
"J'y ai vécu toooooute ma vie !"
"C'est une chouette, grande ville. Avec plus qu'une seule Maison, aussi. Bieeeeen plus grande que Dormont."
"Assez grande pour ne pas connaître la vie entière de chaque personne que tu croises, haha."
"... Bref, tu vas peut-être trouver ça surprenant, j'sais pas…
"Mais quand j'avais l'âge de Bonnie, j'étais genre, le PLUS INTELLIGENT des surdoués du coin."
"Pas légèrement intelligent, ou quoi…
"Mais genre, le gamin le PLUS INTELLO que tu puisses imaginer."
(Oh.)
(Tu as du mal à imaginer Isabeau autrement que comme l'homme exubérant qu'il est.)
Isabeau: "Hah, vraiment imagine ça !"
"Grosses lunettes. Tresses super soignées. Connaissant toujours la réponse aux questions du professeur. Toujours de bonnes notes."
"Toujours trop timide et concentré sur les notes pour savoir comment se faire un ami dans la cour de récréation."
"Ca c'était moi !"
"Et, euh, je ne m'aimais pas vraiment."
"Parce que, et bien j'étais intelligent, mais… Je détestais vraiment être timide. Etre seul. Même pas capable de demander un crayon à un camarade, parce que j'étais trop paralysé par la peur."
"Et j'étais prêt à passer le reste de ma vie comme ça."
"Mais un jour, après des années à vivre comme ça, je me suis regardé, comment j'étais, la façon dont j'existais dans ce monde…"
"J'ai regardé à ce gamin dans le miroir, et je me suis dit…"
"Est-ce que c'est ça ?"
"Est-ce que c'est vraiment qui je veux être ?"
"Est-ce que je ne pourrais pas être quelqu'un d'autre ? Quelqu'un qui peut se faire des amis, quelqu'un que les autres pourraient aimer ? Quelqu'un'un que je pourrais aimer ?
"Quelqu'un que je n'aurais pas honte d'être ?"
"Ne pourrais-je pas juste… Changer ?"
"Et, c'est une des raisons pour lesquelles les gens vont dans les Maisons, tu sais ? Pour apprendre des choses, s'entraîner, pour faire du Façonnement Corporel sur soi…"
"Pour Changer !"
"Et tu peux y rester pendant un moment, et revenir Changé, et personne ne dirait quoi que ce soit. Ils accepteraient simplement la nouvelle personne que tu es devenu."
"Alors je suis allé à une des Maisons de Jouvente et je me suis jeté à l'eau ! Pour essayer d'être la personne la plus cool, forte et fiable qui soit !"
"Soulever des poids ! Entraîner ma voix à être plus grave, plus puissante ! Façonner mon propre corps pour qu'il soit plus cool, plus fort !"
"Me regarder dans le miroir tous les matins et hurler "Je suis le plus cool !!!" !"
"... Le Changement est destruction, tu sais ?"
"Pour initier le Changement, tu dois savoir que tu risques de blesser des gens. Te blesser toi-même, peut-être."
"Donc tu dois toujours être prudent, et te demander si la destruction que tu apportes en vaut le coût."
"J'ai décidé que c'était le cas."
"Alors la personne que j'étais avant…"
"Je l'ai faite disparaître."
"Tuée de mes propres mains."
"Fait en sorte qu'elle ne revienne plus jamais."
"Pour que je puisse vivre."
"..."
"Ah, ça sonne si terrible, quand je le dis comme ça !!!"
"L'enfant que j'étais avant est toujours là ! J'ai juste, euh, grandi autour de lui ? Pour le protéger ?"
"Construire une armure, jusqu'à ce qu'elle devienne réalité ?"
"Pour que je puisse devenir quelqu'un de fort, quelqu'un d'extraverti… Quelqu'un de réconfortant à côtoyer."
"Quelqu'un que j'aurais aimé connaître, avant."
"..."
"Bah. C'est pas si important."
"Je suis là, c'est ce que je veux dire ! Et je m'aime tellement plus qu'avant !"
"Mais même la personne que je suis maintenant est un projet en cours. Je veux toujours Changer."
"Je suis devenu un mec grand, fort, fiable et optimiste, parce que c'est ce que j'avais besoin d'être."
"Mais récemment, je me suis senti comme si j'avais besoin… De laisser tomber un peu la façade d'écervelé ? D'agir moins bêtement, ce genre de truc."
"C'est pas très agréable, quand les gens pensent que je suis stupide, juste parce que j'agis d'une certaine manière."
"Alors, je pourrais peut-être Changer encore bientôt ! Et devenir quelqu'un de légèrement nouveau !"
"Ca sonne cool, hein ?"
(Oh…)
(Tu l'ignorais.)
(Isabeau voulait changer, devenir quelqu'un d'autre, et il l'a fait.)
(Il a dû travailler pendant si longtemps, pour faire de son souhait une réalité…)
Isabeau : "Ha… Je pourrais changer pour être un mélange entre un sportif et un intello."
"Equilibrer les deux, tu vois ?"
Siffrin : (Ha.) "Alors tu vas te changer en intellortif ?"
Isabeau : "Plutôt en sportello ! Ca sonne mieux, non ? Meilleure sensation en bouche."
Siffrin : "Les deux sonnent mal, Isa."
Isabeau : "Nooooon, dis pas ça ! Hahaha !"
Siffrin : "Tu peux être un sportif intelligent."
Isabeau : "Un sportif intelligent… Plutôt avant-gardiste, pas vrai ?"
Isabeau : "E-en tout cas, une fois qu'on aura battu le Roi demain, et qu'on partira chacun de notre côté, je vais juste changer en quelqu'un d'autre !"
"Quelqu'un qui peut être à la fois fort ET intelligent !"
"Les deux à la fois ! Quel concept ! Est-ce que ça ne donne pas l'impression de quelqu'un de cool ?"
"Est-ce que cela ne ressemble pas à quelqu'un que tu n'aurais pas honte de connaître ?"
(Est-ce que c'est ce qu'il pense..?)
Siffrin : "Isa…"
Isabeau : "... Ouais, Sif ?"
Siffrin : "Je n'ai jamais eu honte de te connaître."
"Même pas un petit peu."
Isabeau : "..."
"Ha, tu vas me faire rougir, Sif..!"
"Et… Ben, tu sais que je pense pareil, pas vrai ? Tu es genre, peut-être la personne la plus cool que je connaisse… Tu le sais, non ?"
"Et j'aime vraiment passer du temps avec toi ! Quand on traîne ensemble, je découvre toujours de nouvelles choses, comme des trucs cools sur le théâtre, ou même juste quelque chose de nouveau sur toi,"
"Et j'aime le fait que tu aies toujours un jeu de mots prêt pour n'importe quelle situation,"
"Comment tu respires d'une manière particulière parfois, et j'aimerais pouvoir respirer avec toi pour que tu te sentes mieux,"
"Et j'aime comment ton visage change quand tu manges tes plats préférés,"
"Et je veux te connaître plus,"
"Parler plus avec toi,"
"Rire plus avec toi,"
"Et… Et je…"
"..."
(Tu ne peux pas détourner ton regard de lui.)
Isabeau : "Je…"
"..."
"W-wouah, est ce que c'est une étoile filante ?! Hé, regarde là-haut ! C'est pas génial ?"
(Tu détournes le regard, et tu lèves les yeux vers le ciel étoilé.)
(Il n'y a pas d'étoile filante.)
(Mais ça ne te dérange pas.)
#in stars and time#isat#writing#translation#isat spoilers#french in stars and time#en temps et en étoiles#khanart#isat siffrin#isat isabeau#isat isafrin#the fuck do I tag this
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Punch Out x Ben 10: Glass Joe Omnitrix Playlist
Walkatrout (Truite au Glisser)
The Worst (Le Miserable)
Nanomech (Tout Petit)
Ball Weevil (Scara-bille)
Ditto (Le Dupliquer)
Greymatter (Petit Intello)
Spitter (Le Cracher)
Goop (Gelee de Nez)
Four Arms (Quad-Vieux)
Astrodactyl (Planersaure)
His Omnitrix Color would be Light Red like his Boxing Gloves
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Il ne faut pas souffrir de se sentir différent des autres, souvent c'est un privilège. C'est un privilège d'aimer lire et de chercher la poésie partout et en tout, de reconnaître le beau, d'aimer les musées, les émotions, la musique, le gratuit, le désintéressé, le panache, de militer pour le savoir, pour la connaissance, pour l'étude surtout, le pur plaisir de l'étude sans aucun souci d'accumulation ou de validation des connaissances. La richesse intérieure, on n'a jamais fait mieux et on ne fera jamais mieux. Et je ne parle pas d'être intello ou savant, je parle de ne pas s'ennuyer quand on est seul.
Anna Gavalda
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Tra senso di riconoscimento e senso di superiorità: gli intellettuali di sinistra, frustrati dal dissenso, alimentano l'ostilità verso le idee divergenti, per distaccarsi moralmente ed elevarsi sopra gli altri. Un po’ come ovunque, anche in Italia una parte considerevole dei cosiddetti intellettuali di sinistra (giornalisti, professori, ingegneri tristi, sedicenti artisti ecc…) appare pervasa dal desiderio incontenibile di riconoscimento, tipico di molti che vivano di prodotti immateriali e di tutti gli insicuri profondi, e condito da un vezzo che un tempo era diffuso soltanto nella aristocrazia provincial arcadica più chiusa e decrepita: il fastidio estetico nei confronti della realtà che li circonda e il conseguente senso di superiorità estetica e morale.
elaborazione da bell'incipt di un art. di S.Belardinelli su https://www.ilfoglio.it/societa/2024/05/04/news/il-fastidio-estetico-dell-intello-di-sinistra-verso-il-mondo-che-lo-circonda-6507502/
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Pour être très claire, sans être sarcastique, aimer analyser des médias, ça ne veut pas dire détester des choses simples, qui ne se veulent pas plus profondes que ça. La qualité d'un média ne se juge pas à sa profondeur mais (selon moi) à son efficacité à transmettre quelque chose.
Je n'aime pas Proust parce que c'est super profond, j'aime Proust parce que c'est aussi émouvant que drôle. Le message de Proust, il est ultra simple : l'art seul nous survivra. C'est tout. Ce qui est intéressant à analyser, c'est le style, la façon dont il dépeint ses personnages, la narration etc mais le message en lui-même, il se résume en une phrase.
Il m'arrive de détester des œuvres qui sont plus "intellectuelles" (ou qui prétendent l'être) et qui ne me parlent pas, parce que le message est mal transmis, il est trop lourd, trop "intello" justement. C'est un reproche que je fais parfois à Nolan : je ne déteste pas ses films mais je trouve que parfois, il les complexifie pour rien, pour "faire intelligent" alors qu'en soi, le propos en lui-même est intéressant mais se perd un peu dans la mise en scène, typiquement Tenet (et même parfois Oppenheimer). À l'inverse, j'aime beaucoup Lynch, parce que même si ses films ont l'air absurde, l'émotion est vivante, presque violente, t'as soudain une scène où tu es ému sans avoir besoin de tout comprendre (la scène du Silencio dans Mulholland Drive...) La narration est étrange, complexe mais l'émotion est brute.
J'adore Prévert, qui préfère la simplicité, parce que ses poèmes sont efficaces dans ce qu'ils veulent dire, et ça ne les empêche pas d'avoir du sens, d'être forts, d'être mémorables. "Barbara", ça dit que la guerre, c'est mal, point. Ce qui est intéressant, c'est les rimes, les sonorités, et l'impression d'avoir un texte ultra simple qui est en réalité très intelligemment construit.
Analyse profonde =/= simplicité de l'œuvre, et c'est pour ça que dire qu'un film populaire "qui ne se prend pas la tête" n'a pas besoin d'être analysé est une absurdité. Les meilleures comédies sont ultra malines, dans l'écriture, le rythme, le propos, il faut vraiment comprendre ce qu'est l'humour pour écrire quelque chose de drôle. Kaamelott, c'est très intelligent, les Inconnus, c'est très intelligent, Key and Peele sont des génies.
Pareil pour les films d'action : les meilleurs sont chorégraphiés, réfléchis, des gens dont c'est le métier se prennent vraiment la tête pour que ce soit bien rythmé, alors, non, non, on va analyser les Avengers comme on analyse À la recherche du temps perdu, avec la même rigueur et la même exigence, merci bien.
#la simplicité efficace est très difficile à atteindre d'ailleurs#racine et prévert y arrivent très bien#littérature#livre#whatthefrance
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what the hell- HEY, BECAUSE YOU TOLD ME TOO! i thought you were gonna kill me or something! you're scary, and quite rude.
and no, i wont learn such a poisonous language, so talk to...*gag* french people!!!! 😣😣
why are you climbing!? how do you do that!?
-> ``...I know I am scary, that's my job.`` It explains, looking down to her once. ``...You English Pigs really are all the same. Imbecile Intello.`` It says with a poisonous voice. ``...Ever heard of this thing called claws?.``
It then returns to its climb, getting higher and higher up the building, reaching for the roof.
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Festival de Cannes 2025. "Nouvelle Vague" : l'extraordinaire hommage de Richard Linklater à l'esprit révolutionnaire de Jean-Luc Godard
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Pas de honte à montrer mes biceps, intello musclé quartier Chartrons

Fini l'intello chétif. Je me suis mis à la gym et j'ai enfin de gros bras. Je reste toujours aussi intello. Le meilleur de deux mondes selon moi. Difficile de ne pas sonner superficiel en ce moment. Surtout que j'aime le luxe et la haute cuisine. Oops. Cherche un copain habitant également Bordeaux qui partage mes intérêts, dont le fitness.
Discuter avec Luc
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Rien de complexe, que du sérieux pour une transegenre de Marignane

Je croyais naïvement qu'il serait facile de trouver un homme pour une relation amoureuse. Pfft, je tombe que sur des rigolos qui prétendent vouloir s'engager alors que c'est faux. Ils ne pensent qu'au plaisir de passer du bon temps avec une jolie trans de 26 ans. Du coup, je suis célibataire et je cherche toujours par ici dans les Bouches-du-Rhône sur Marignane. J'ai mon petit côté intello, manique de films et livres.
Discuter avec Janne
#trans#rencontre#transgender#celibataires#trans woman#transisbeautiful#france#amour#crossdresser#travestie#bouches du rhône
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« Le ventre de Paris était tout près, le pouvoir gaulliste avait décidé en 1960 de transférer les Halles à La Villette et Rungis, mais le déménagement ne devait se faire qu’en 1969. On disait adieu au vieux Paris. Tout un peuple de vivandiers venus des banlieues et des provinces approvisionnait la capitale depuis le XIIe siècle dans un décor que le dix-neuvième avait rationalisé sans le changer en profondeur. Ce peuple qui avait fait naguère un triomphe à Poujade allait se trouver remplacé par un mélange de petits-bourgeois consuméristes le jour et de zonards la nuit. Les mots disent tout : un Forum remplacerait les Halles, des bobos multicolores à prétention intello en prendraient possession. »
Jean-Marie Le Pen
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Pour aller où ?
C'est simple, disent à voix basse les ''ceux-qui-savent'' (Tu parles ! Ils ne savent rien et n'ont rien compris... Mais ils plastronnent !) : il suffit de quitter la France, qui est foutue, où tout va mal, où tout est ''à jeter'' et où les leaders (que les français se sont librement choisis, ce qui est un comble !) ne servent qu'à aggraver le mal et nos maux... et se donnent un mal fou pour rendre tout in-gouvernable, in-gérable, in-manageable... A croire qu'ils le font exprès !
Depuis le temps que les ''bien pensants'' (sic !) passent le leur (de temps, bien sûr) à nous rouler dans la farine sans que nous puissions savoir pourquoi –ce qui est dans notre rôle de contribuables rackettés en permanence par les bandits de Bercy, en costume 3 pièces... ou rapiécés et douteux, depuis que les mélenchoniens et LFI ont fait de nos palais nationaux des cloaques de la pensée et des temples de vulgarité--, mais aussi sans que eux-mêmes ne puissent justifier de manière intelligente une seule des décisions qui font notre malheur... on devrait savoir qu'il ne faut plus jamais croire un seul mot venant de sources officielles. On a tout de même de la peine à réaliser que tout se passe comme si nous adorions être pris pour des... pommes, et que nous en redemandons même, parfois (comme lors du covid ou du second tour des dernières Législatives où le corps électoral a complètement dérapé, sur ordre, et fait tout ce qu'il ne fallait pas !).
Dans leur franche détestation de ce qu'a été la France (ce qui entraînela haine de ce qu'elle est aujourd'hui), nos soi-disant ''guides'' ont établi un système parallèle de lois amorales --que tout le monde connaît mais tolère, on ne sait pas pourquoi : fraîchement attifés d'une nationalité française sans le moindre contenu réel, artistes, sportifs bi-nationaux, intellos (de gauche évidemment) etc... pillent la France sans vergogne, utilisent à mort (la sienne, bien sûr ! Pas la leur !) tous les systèmes généreux que dans notre naïveté sans limites, vous et moi nous sommes laissé imposer par des leaders sans foi ni loi (mais élus par nous, contre toute intelligence, répétons-le !)... puis ''se tirent vite fait'' à l'étranger, d'où ils se sentent encore plus libres de donner des avis idiots sur tous les sujets dont ils ne savent rien et de critiquer ce qu'ils refusent de considérer comme leur ''mère-patrie'', dont ils n'ont, pour parler crûment, ''rien à foutre'', n'est-ce pas, M'bappé –et tous les autres qui nous gavent d'idioties sans queue ni tête ?
Il y a, en cet instant précis, 59 guerres officiellement recensées, déclarées ou non, mais de vraies guerres. (Le chiffre provient de la Conférence Sant'Egidio). A chaque instant qui passe, qu'il pleuve, vente, neige ou brûle, de pauvres civils perdent le peu qu'ils ont, des enfants sont martyrisés sans comprendre pourquoi (et pour cause), des femmes sont violées pour leur faire porter dans leur ventre des bébés qui seront ''à elles'' mais qui ressembleront à l'individu qu'elles haïssent le plus au monde... Et voilà que le Liban, cette ex- ''terre de lait et de miel'', douce au monde et hospitalière aux hommes, redevient un espace de haine, de folie, et de mort...
L'historien italien Andréa Riccardi, conférencier invité aux ''Rencontres pour la Paix'' organisées, justement, par la Conférence Sant'Egidio, remarquait que ''Pendant des décennies, la culture de la paix a été une référence puissante. Or... elle s'est volatilisée''. La Paix n'est plus qu'un vain mot lancé à la cantonade pour s’auto-dédouaner, parfois sans mauvaise intention, mais sans aucune envie du moindre effort pour avancer dans cette voie. Entre les habitants de ce XXI ème siècle qui risque de se révéler comme aussi violent que le XX ème mais différemment, il n'existe plus de dialogue, remplacé par des soliloques où chacun, ''au nom de la paix'' bien entendu, tente de se convaincre que l'autre, ayant tort puisqu'il ne pense pas comme MOI, doit surtout ne pas être écouté !
Au nom d'un pseudo réalisme sans horizon, chacun raconte sa version des tragédies en cours, sans se croire obligé de rechercher la plus petite avancée vers des solutions... Et ce mal terrifiant ne se manifeste pas qu'au niveau des relations internationales : il est dans chaque recoin de chaque sujet, intime, privé, public, individuel ou collectif. Bientôt --je l'ai souvent annoncé, ici-- les relations inter-humaines pourraient ressembler peu ou prou au cauchemar qu'annonçait la tétralogie de science-fiction australo-américaine ''Mad Max'', créée entre 1979 et 2015 par George Miller et Byron Kennedy, et superbement interprétée par Mel Gibson, récit de la vie ''post crise finale'' sur une planète qui fut ''la Terre'' et où la haine est le dernier sentiment éprouvé : c'est la seule chance de survie...
Je parlais, au début de cet éditorial, d'une fausse nécessité de fuir la France que brandissent les nuls. Mais pour se réfugier où ? Dites-moi un seul endroit qui, passé le premier choc d'évitement des augmentations honteuses et contre-productives de nos impôts, ne sera pas directement concerné par les différents ''cours'' envisageables ? J'ai joué à étudier la Suisse, l'île Maurice, le grand sud marocain, etc... Vous ne serez ''sauf'' nulle part. Sauf les Galapagos peut-être, ou l'île de Pâques, où on peut mourir d'ennui, tranquilles.
Mais le ''nuage radio-actif de Tchernobyl'', qui contournait soigneusement, sans nous contaminer, les limites de ''l'hexagone'' (c'est le nom que les cuistres utilisent pour parler de la France, comme ils disent ''territoires'' pour ''province'') est bien mort, dans les convulsions du ridicule, avec le covid, cette non-pandémie d'une fausse maladie inventée par des vrais complotistes rêvant de détruire l'ordre des choses pour le remplacer par leur dystopie mortelle (puis mis sur le dos de faux-complotistes, ceux qui disaient la vérité). Tout est inter-connecté... surtout pour le pire du pire. Et nous... tous, à commencer par les pauvres agriculteurs, condamnés, à terme plus ou moins lointain ! Dormez tranquilles, braves gens : Big Brother et les progressistes veillent sur votre effondrement...
H-Cl.
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Let me show you... Youtube - chapter 8
Omg finally something amusing in this fic... I hope the end of this chapter will please you !
Again I created the tag "#twst lmsyy " to gather all the stuff that goes with the fic. Do not hesitate to use it !
Warning : no proof reading and english is not my first language.
─── ・ 。゚☆: .☽ . :☆゚. ───
Victoria thought hard all afternoon of her plan of action to be there for the Child. It was at this age that we needed love and support the most. Victoria would be… A mom. The question was : which professor would accept the role of the dad ? It was important that Yuu had both parental figure to have a healthy environment to grow up.
She just hoped it would not be Vargas. He should be the himbo uncle.
Victoria went back home a little bit late, with a gray waistcoat for Yuu in her hand. She had a rough time deciding on which one would be better paired with the uniform. When she entered the dorm, Yuu and Grim were waiting for her in the main hall.
Victoria was blessed by the vision of her little babies already changed and doing their homework on the coffee table.
Victoria sang “Hello my babies, I am hoooome ! I have a gift for both of you !”
Yu and Grim looked at each other because of the nicknames. It was unexpected.
Grim spoke first, excited “A gift ?? Where’s mine ?”
Victoria hummed and grabbed Grim’s gift first. “It is a premium tuna can !”
Grim gasped. “Best gift EVER !”
[Well, at least he is simple minded..]
Victoria added while grabbing the article of clothing“And for Yuu… I bought you a waistcoat !”
Yuu’s eyes lighten up. “Really really ? For me ?”
Victoria had a little laugh “Of course ! Try it on, it should be a little too big for you so you can keep it longer, after puberty.”
A teenager needed room to grow in their everyday clothes, after all.
Yuu tried the piece of clothing, delighted. “Do I look good ?”
Victoria clapped a little bit “The cutest on Earth ! Tomorrow I will take a photo of you in complete uniform, you will look handsome !”
Yuu looked themself in the big broken mirror next to the cheminee, giggling. “Thank you Victoria ! I love it.”
The woman smiled. “Perfect. How about we eat some rice salad with tuna in it ?”
After the meal, Victoria verified if the children did their homework (at least she checked there was some writing on the paper) before separating their way.
Once in her bed, Victoria racked her brain, searching for a plausible excuse to ask for a library card. She was a grown up, maybe he would say that she can buy her own books… If she wanted to help Yuu and Grim in their homework, she needed to cram all the information she could into her big brain.
She sighed. Being able to read shouldn’t be this difficult. She could still ‘borrow’ them ? It wouldn’t be the first time she did that…
She facepalmed. [Damn from the look of it I am an intello thug.]
The morning after was quite normal. They ate, Victoria took a photo of a proud Yuu with their complete uniform, they went to school, Victoria went to the headmaster office to threaten, erm speak with, Crowley.
Victoria began by a simple. “Hello, how are you ? Can I have a library card ?”
Crowley blinked. “Hello, I am fine and you ? And… Why ?”
Victoria had an innocent expression on her face. “To… Borrow books ? Else They will mysteriously disappear for a few days before reappearing ?”
Crowley blinked again. “Well… I don’t want to chase those mysteriously disappeared books…” He wrote a note “Give this to the secretary, he will make you one.”
Victoria had a huge grin. “Thank you Sir ! What’s my work for the day ?”
With her note, the victorious woman went to the administration.
After a short persuasion, the secretary made her a library card with in the ‘class’ section there were written ‘janitor’. They liked to remind her that she was at the bottom of the educational ladder. Jokes on them : she was at the top of it. She was proud of her achievement and if she had the chance, she would carefully slide it in a conversation so she could maybe become a teacher assistant of some sort ? Yeah good idea.
She went with her day and at noon, she found Lucius in front of her door. [Is this a message from heaven that I am becoming a crazy cat lady ? Mmmh… I mean, I talk to a cat everyday after all.]
She crouched. “Hello fur baby, how are you ?”
Lucius deadpan answered her a happy meow and began to explain the situation -at least she thought so since it was a very long monologue of meow-.
Victoria nodded and then delicately grabbed Lucius. “Yes yes, my Lord. Let’s go find professor Trein.”
She went on her way, with the black cat purring under the scratches. “You’re a good boyyy, Imma right Lucius ?”
“Meow” Was the only answer from the liquified cat.
They arrived in front of the teacher’s lounge. She knocked like she could, without letting the cat go away.
The door opened and Crewel appeared “Yes ? Oh ! Finally his majesty Lucius is back.”
Victoria laughed. “Yeah, I found him in front of my desk… Can you help me get him to professor Trein ?”
Crewel nodded, sighing at the memory of the ruckus Trein made because Lucius disappeared. “Yeah I will call him… You can sit over there.” He said, pointing to a chair near his desk.
Victoria and her furry luggage sat quietly, while Crewel was calling Trein.
While waiting for Trein to arrive, they had a staring contest.
Victoria broke the silence. “Do you have any good books on alchemy to recommend to me ?”
The man was surprised. “You want to study alchemy ?”
Victoria shrugged like she could. “I am truly curious about it. I studied physics initially. Moreover, everything related to science is interesting. It seems fun.”
Crewel smiled. “If you like science, you will definitely love alchemy. It is very complex but the result is worth the effort.”
The woman nodded and asked wholeheartedly. “How does it feel to play God ?”
Crewel spat out the coffee he was drinking. “*koff* wh-what ? *kof*”
She tilted her head innocently “Well… Alchemy is kinda like playing God, no ? You transform matters and stuff like that ?”
Crewel blinked and said in a desperate voice “You truly need some reading…”
Trein arrived a few minutes after Crewel finished his long list of books for Victoria to read. The cat jumped from her arms to snuggle against his master.
Trein grabbed the runaway cat. “Thank you Mrs Devi, I owe you for finding this little rascal.”
The said rascal complained. He wasn’t a rascal, he was a Cupid. -His word, truly.-
Trein and Crewel choked. Thanks to the Great Seven Victoria didn’t know animal language.
The question was : a Cupid for who ?
Tag : @boba-tea-fish
#disney twisted wonderland#twisted wonderland#twst#disney twst#twst lmsyy#twst yuu#mozus trein#twst crewel#twst fanfic#twst grim#Lucius is a cupid#cupid for who ?#Runaway kitty#twst lucius
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"Il ne faut pas souffrir de se sentir différent des autres, souvent c’est un privilège.
C’est un privilège d’aimer lire et de chercher la poésie partout et en tout, de reconnaître le beau, d’aimer les musées, les émotions, la musique, le gratuit, le désintéressé, le panache, de militer pour le savoir, pour la connaissance, pour l’étude surtout, le pur plaisir de l’étude sans aucun souci d’accumulation ou de validation des connaissances.
La richesse intérieure, on n’a jamais fait mieux et on ne fera jamais mieux. Et je ne parle pas d’être intello ou savant, je parle de ne pas s’ennuyer quand on est seul."
A. Gavalda
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"Mattarella parla della sua Italia, ma al governo c’è quella opposta": titola Domani, sic con la virgola prima del "ma".
Senza volerlo quelli del ridotto debenedettiano fuor di Svizzera ci azzeccano: c'è fortunatamente una Italia lontana dalla ipocrisia banale e scontata, dalla memoria selettiva, indipendente dai media ignoranti, che non finge per convenienza di credere a slogan vani.
L'Italico in capo in cui si riconoscono loro invece fa sovvenire l'Adso de Melk finale (nel libro): vecchio nel freddo scriptorium, anelante a dissolversi nel Nulla, dice che scrive non sa più per chi e non ricorda de che stà a parlà.
Difatti, guarda caso, Il Nome della Rosa è romanzo sulle PAURE INDOTTE "A NOBILI SCOPI" DAGLI INTELLO'. Confessano sempre tutto sa soli, i sinistri.
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J'ai terminé "Un sale livre", de Frank Andriat. J'étais dans un autre livre mais mon ado l'a lu pour l'école et il était tellement remué en me disant de le lire que j'ai déposé l'autre un petit peu. Ça m'a pris 2h, il y a 140 pages, je l'ai lu d'une traite.
C'est une histoire dans une histoire. On est dans une classe d'ados, qui reçoivent un livre à lire par leur prof de français qui est vraiment le genre de prof qu'on a envie d'avoir, gentille, ouverte et passionnée. Le livre qu'ils doivent lire raconte l'histoire de Nadir, immigré de Syrie, arrivé en France avec son père et sa sœur après que leur maman ait été tuée lors d'une raffle. On lit ce livre là en même temps que les étudiants. Chaque chapitre est le reflet du livre dans la vision d'une personne. La lectrice qui n'aime pas lire mais se plonge dedans tellement il est réel et utilise du vocabulaire normal, le père de la lectrice qui a feuilleté un peu et veut porter plainte contre l'école pcq le langage du livre est trop cru, la prof et sa passion, la documentaliste de l'école qui organise un débat tellement ce livre a remué les élèves, Faruk qui est lui aussi immigré de Syrie et dans l'école depuis quelques mois...
Les thématiques abordées sont nombreuses. Côté Nadir: le racisme, la condition des femmes, les conditions de vie sous daesh, ce que l'on ressent quand on doit fuir son pays et le laisser aux mains de barbares, changer de vie pour un avenir très incertain, se retrouver dans l'illégalité et arriver dans un pays qu'on croyait accueillant et qui finalement ne l'est pas tant que ça. Côté classe, ces thématiques sont abordées aussi et lorsque l'un des intellos de la classe sort que pour lui c'est "Un sale livre", on lit également l'avis des élèves sur ce que doit être un bon livre. Vaut-il mieux un vocabulaire cru mais vrai, qui montre vraiment la réalité ? Vaut-il mieux des belles phrases qui subliment la réalité au point de la camoufler ? Pourquoi la littérature jeunesse est-elle à ce point au ban pour certains érudits ?
La fin m'a mis les larmes aux yeux je comprends que mon ado me l'ait conseillé.
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