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mariesrbouipochodian · 10 months ago
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uncountry · 4 months ago
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ARCHIVE DE LIBÉ
MUSIQUE 16/03/2009 À 06H51 
Les années «Gaby»
La rengaine magique par où tout commença…
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Gentil daltonien BORIS BERGMAN
Marie-France Scott, qui venait trois fois par semaine mettre de l’ordre dans mes papiers, était la compagne d’Andy Scott, ingénieur du son britannique. 1974. Sir Andy préparait un disque pour un chanteur qui n’avait pas encore perdu son «c». Alain Baschung, qui avait envie de prouver qu’on peut faire du rock en français, cherchait un auteur ; Marie-France fut notre marieuse.
Une semaine après, entre deux calumets, sous le regard de notre chaperon, nous avons écouté JJ Cale, relu La Dimension des miracles de Robert Sheckley, réécouté J J Cale. J’ai griffonné un bout de texte sous influence, Alain a enregistré une suite d’accords sur une boîte à biscuits qui se prenait pour un minicassette. La chanson s’appelle Le Viking, mais ce numéro zéro de notre collaboration ne vit jamais le jour («Après deux guerres/ Entre deux sticks/ L’Viking se paye un p’tit pillage sur la terre celtique/ Mais c’était compter/ Sans Brian l’Irlandais…» (après, j’sais plus).
«J’ai faim». 1976. Entre quelques «Vas-y pépère, lâche-toi», Alain disparaît derrière le paravent japonais. J’essaie de prendre de l’avance en notant trois lignes pour un refrain éventuel. La tête d’Alain dépasse du paravent : «J’ai faim», dit la tête, avec le sourire d’enfant qu’il ne cessera jamais d’être. Bien reçu. Je finirai le texte de l’Après-midi d’un Max Amphibiesur la nappe de papier de la table du fond du restaurant Haynes. Si les traces de ketchup et les taches de spareribs ne recouvrent pas le refrain, Alain pourra faire la maquette. Et qui sait, l’enregistrer dans ce petit studio d’Angers ou nous devons nous rendre la semaine prochaine. 1977 n’est plus très loin.
Angers, un studio dans une bâtisse ou Roger Corman a dû faire ses repérages pour The House of Usher. Pendant qu’Alain se met en bouche le texte de Max Amphibie en se plaignant de l’otite réglementaire qu’il contractera à la veille de chaque enregistrement, je termine le texte de Bijou, bijou. Il fait froid, je ne sais pas ce qu’on a mis dans nos cigarettes, Alain et moi nous endormons en sursaut, mais c’est quand même lui qui ronfle le plus fort.
Il ne fait plus froid, c’est le printemps, un studio a Paris. Alain choisit l’ordre des chansons, me refuse tous les titres que je propose pour l’alboume, de Bijou, bijou et de Max Amphibie,l’une doit disparaître. «Au niveau du play-back, elles sont trop semblables, pépère», me chuchotera Alain en restituant à la nature quelques flots de houblon. Le 33 tours s’appelleraRoulette russe et il met le projo sur notre «aventure». Thierry Haupais écrit le premier article élogieux sur notre collaboration. Mais l’ex-chanteur des Chats sauvages, qui a signé Alain sur le label Mercury, fait la moue. Le disque est un échec commercial. Dernière chance - quelques jours au pays de Galles dans le studio de Dave Edmunds pour enregistrer un «simple» à budget réduit (les musiciens n’ont pas droit au petit dej). 1979. Au bout du couloir qu’habite le Bashung, rue Croix-des-Petits-Champs, la silhouette du chanteur agite un bout de papier dans un état lamentable (le papier) : «Tu te souviens de Max Amphibie ; j’ai refait une musique, mais il faut trouver un autre refrain mon pépère.» J’anticipe le calvaire, sans savoir qu’une fois le «refrain» trouvé, Bashung me fera réécrire à l’infini la phrase qui est devenue «J’dis bonjour, faut bien que j’me mouille».
L’après-midi d’un Max Amphibie est né de notre envie de nous moquer de notre éditeur. Max est un rien conservateur et macho. «L’amphibie» collé(e) au «Max» lui suppose une bisexualité inventée de toutes pièces, mais, ça aussi, c’est fait pour l’énerver. D’«amphibie» à «gaboune», homo cuir noir et charentaises aux armes de notre bonne reine Elisabeth, il n’y a pas loin ; mais «Gaboune» ne sonne pas bien, «Gaby» est adopté. Le chanteur est d’accord, ouf. (J’en profite pour m’excuser auprès de ma tante Gabrielle qui croyait jusqu’à ce jour que la chanson lui était dédiée.)
Placard. Pour moi Gaby oh Gaby est une suite vraisemblable d’Elsass blues ; c’est un texte sur les minorités, ceux que «la différence» fait tomber dans les puits de solitude ; ceux qui ne peuvent pas dormir et qui «ne font que des conneries». Le petit Ashkénaze que je suis, le Kabylo-Alsacien qu’est Alain, s’en doutent depuis leur première rencontre avec l’autre : Gaby est aussi un hymne caché à la solitude de l’homo qui ne connaît pas encore l’existence du pacs. Le texte aura une suite : J’sors avec ma frangine. «Le» héros de Gaby est sorti du placard avec les robes de sa grande sœur. Il peut enfin s’imaginer que la rue des Blancs-Manteaux ressemblera à Christopher Street. Gaby oh Gaby passera dans les émissions de soir et de nuit (merci Bernard Lenoir, merci Jean-Bernard Hebey, merci François Jouffa), puis à Europe 1, le matin (eh oui, merci Claude Brunet). On aura droit à la une de Libé (merci Blue Bayon). Vous connaissez la suite avec vue sur la route du succès. A bientôt Alain.
PS : Hey, grand architecte de l’univers, quand il va s’asseoir à ta table, s’il te plaît, remets-lui Johnny Kidd.
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Dawn Mellor — Hannah Schygulla (oil & marker pen on canvas, 2010)
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soulthom · 1 year ago
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Les grands « décoinceurs » d’hier jouent les Grands Interdicteurs aujourd’hui : https://www.liberation.fr/checknews/2020/01/02/matzneff-les-signataires-d-une-petition-pro-pedophilie-de-1977-ont-ils-emis-des-regrets_1771174/ … au nom des mêmes mots : révolte, féminisme, gauche… tu choises ! Bref ils manipulent leur monde à longueur de temps avec leurs aller-retours indéfinis permissif / punitif et ça les amuse beaucoup !
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thegaysciences · 1 year ago
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Ben Whishaw à Cannes, le 19 mai.
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kurtcobainindresses · 1 year ago
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nununiverse · 2 years ago
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RIP
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afrotalknews · 2 months ago
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🙏🇨🇮 Dieu Annonce la Délivrance de la Côte d’Ivoire! ✨
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dooareyastudy · 1 year ago
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J'ai supprimé sans faire exprès l'anon qui me posait une question sur Libération : ma réponse, c'est que ce n'est pas un média que je lis ou que je connais bien donc je n'ai pas d'avis pertinent dessus.
Par contre, j'étais en train de lire la réponse de Lordon à l'article que Libération a fait paraître suite au décès d'Eric Hazan (fondateur des éditions La Fabrique) donc voici ce que lui en pense : "Du troublé et des troubleurs, nul n’a jamais douté du côté où se tenait Libération, journal qui, en matière de « libération » ne vise rien d’autre que celle de l’ordre mais à visage humain."
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librospdfgratismundoepub · 1 year ago
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Lola, Leo y el tiempo - Libé Lula (2024)
Lola, Leo y el tiempo El tiempo es quien marca siempre la relación entre Lola y Leo. Dos desconocidos que se encuentran por casualidad cuando menos lo esperan. Esos minutos que para algunos se hacen eternos, pero para ellos pasan en un suspiro. Lola, Leo y el tiempo es una historia de amor llena de minutos robados a la vida de cada uno. Una relación a contrarreloj cargada de erotismo. Una…
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northwest-by-a-train · 2 months ago
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Pas croyable n'empêche en trois jours me prendre quarante articles anti-méluche à chaque détour. Dans la presse locale, dans les Google news, sur Instagram, sur Facebook, même en pub sur Tumblr!
Qui a besoin de Le Pen et Stérin quand Le Monde et Libé font déjà leur taf franchement
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francaistoutsimplement · 2 months ago
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COMMENT TRUMP A CHASSÉ MACRON DANS ST-PIERRE DE ROME
La lectrice labiale Hickling a décrypté pour The Sun ce que Trump a dit froidement à Macron «Ici,vous n'êtes pas dans votre droit. J'ai besoin que vous me rendiez service, vous ne devriez pas être ici»
Le journal The Sun précise qu'en entendant ces quelques mots de Trump ; - Zelensky a acquiescé à la demande de faire partir Macron - le vicaire, devant la caméra, a tourné la tête sur le côté, l'air inquiet de cet échange qu'il venait d'entendre.
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Bon! the Sun est un canard anglais aussi sérieux de Libé en macronie, mais si le macreux s'est effectivement fait lourder par Trump, je jubile...! L'empressement mis par l'Elysée pour arranger un truc à sa sauce laisse penser que le macreux a effectivement dû se faire foutre dehors comme un malpropre.. (ce qu'il est par ailleurs).
Macron sera écarté de la résolution du conflit en Ukraine et cela le dérange profondément parce que le monde entier va comprendre qu'il ne compte pour rien au plan géopolitique. Quant à son projet de président des États-Unis d'Europe c'est mal parti.
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a-room-of-my-own · 5 months ago
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Évidemment Libé est coincé en 2015 ce qui ne surprendra personne
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scythepringles61 · 1 year ago
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Je viens de voir la une de libé ptdr
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alain-keler · 6 months ago
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Mariage, vous avez dit mariage !
Mardi 7 novembre 2025
 Je n'ai malheureusement pas beaucoup travaillé pour le journal Libération, Libé pour les intimes. Ce journal a été tout au long de son existence un véritable tremplin pour les photographes. Un jour pourtant Libé m'a envoyé au Kosovo pour illustrer un supplément de douze pages que j'ai précieusement gardé, un peu comme un trophée.
 Le Kosovo en 2000 a été divisé en cinq secteurs, un sous la responsabilité de l'Italie, un autre allemand, un sous l'égide des États-Unis, un britannique et celui le plus au nord sous la responsabilité des français. Le supplément de Libé était intitulé : Kosovo, un an après les frappes, guerre gagnée, paix perdue.
  Samedi 18 mars 2000.
"Les albanais savent qu'ils n'ont rien à faire ici".
Les habitants du territoire sous contrôle serbe, au nord du Kosovo, continuent de vivre au rythme de Belgrade et réclament des "cantons " ethniques.
Un mariage rompt la tristesse de la ville de Leposavic. Les mariés, accompagnés de joueurs d'accordéon et de bouteilles de sljivovica, se rendent à la mairie. Le photographe que je suis est bien toléré, même s'il est français (les français font partie de la KFOR, la force armée multinationale mise en œuvre par l'OTAN sur mandat du conseil de sécurité des Nations unies). 
Il neigeotte, la mariée est belle, je photographie. What else!
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ekman · 2 years ago
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Tu les emmerdes, mon Gégé, et tu as raison. Tu leur pisses à la raie, à tous ces hypocrites, ces faux-derches, ces peine-à-jouir. Toi, tu es le Gégé et personne n’a le droit de te le reprocher. Tu traverses la vie à 5 grammes parce que la vie te fait chialer depuis toujours. C’est comme ça. Du temps où tu plaisais encore à tous ces empaffés, à l’époque où ta consommation de coke très parisienne ne les dérangeait pas, ils disaient que tu étais un comédien “hyper-sensible”, “à fleur de peau”, “entier”. Ah ça oui, pour être entier, tu es entier. Avec un chibre estimé à deux kilos en temps de guerre, on ne doute pas que tu le sois. “Hyper-sensible” donc... Mais c’est pour cette raison que tu as fait comédien plutôt que déménageur, garde du corps ou cuistot. Pas besoin de tortiller du cul aux Inrocks ou de tâter de la bite chez Libé pour comprendre ça. Tu ne t’en caches pas. Zéro fausse pudeur, aucune gêne feinte, pas de virilisme à la con : l’existence te fait chialer. Ton enfance, ta mère, ta vie de merde en Touraine, les paings reçus et donnés, la cabane, ta réussite, ta faillite, tes succès, tes ratages, au ciné, dans la vie, tout en fait. Parce que tu es un diamant délicat, brillant, enchassé dans le corps d’un guerrier Gaulois de 128 kilos. Forcément tu fais du bruit, tu déplaces de l’air, tu gueules, tu les engueules, tu les agaces avec la Belgique, avec ton pote Poutine et ta Corée sinistre. Gégé, tu bouffes plus, tu dévores. Tu bois comme un trou noir, tu bandes à tout bout de champ, tu baises avant de t’écrouler, tu ronfles, tu loufes et maintenant, avec l’âge qui vient, tu te réveilles dans ton vomi ou tes déjections. Mais moi je t’aime, mon gros Gégé. Malgré le bruit et les odeurs. Oublie les ratés, les envieux, les violées amnésiques, les réseaux anti-sociaux, les médias pourris. Continue à nous parler de chatte échaudée, de petit cul, de clitoris tumescent et de foutre en cascade. D'aubes merveilleuses, de déchirements atroces, d'amours sublimes et de crépuscules tragiques. De toute façon, ils ne savent même pas de quoi tu parles. Toi et moi, mon Gégé, nous sommes de la même génération. Les quilles à la vanille, les gars au chocolat. Notre trajectoire, tantôt glorieuse, tantôt foireuse, on la revendique, on l’assume. Notre quéquette, pour ce qu’elle vaut, tout bien pesé, on la porte encore fièrement en bandouillère. On est comme ça. On cite Homère mais on pète entre potes. Et surtout – surtout ! On les emmerde ! J.-M. M.
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claudehenrion · 4 months ago
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Un miracle à l'ancienne en 2025 - 5 : le règne des cocottes-en-papier (dites : normatives !).
Mises à part deux brèves périodes survenues au tout début de ''notre temps'', (De Gaulle puis Pompidou), cela fait 75 ans que l'Europe dérive, et le monde, avec lui. Sans direction, sans but, sans cap... autres que de faire tomber le peu d'humanité qui reste en nous en un magma amoral, pernicieux, vicelard et voué à la mort... c'est à participer à l'élaboration d'un monde porno, de pédophiles pour pédophiles, selon ''Matzneff pour Matzneff'', que nous sommes conviés par le SYSTEME !
Sans foi ni loi, mais riche de toutes les monstruosités sexuelles et dérives morales et autres concevables, ce machin --dit ''LE SYSTEME'' mais il se fait souvent appeler ''L'EUROPE''-- voudrait faire croire qu'il serait le seul capable, seul complet, seul omnipotent.. Les dés sont jetés, et le monde entier, un peu honteux tout de même d'avoir eu fort tort si longtemps sur tant de sujets, se secoue en tout sens, pour (se) faire croire qu'il existe... tout en laissant la laisse sur le cou à quelques groupuscules d'obsédés --jaloux, refermés, bornés et lecteurs de Libé, du Monde et de l'Obs... (ce sont les mêmes !)-- qui continuent à échanger des cochonneries soi-disant éternelles --en vérité : revisitées ou émises au siècle précédent-- où elle ne correspondaient déjà à rien de bon pour l'humanité...
Reprenons notre récit : ...Mais un jour, un type un peu étrange, un immense escogriffe mal dégrossi, à la mèche à la fois péroxydée et trop fournie, est arrivé de nulle part et a dit, tout simplement : ''Moi, je coupe le courant ! Plus le moindre ''jus'' ! On verra bien ce qui se pesse...''. (NB - au premier regard, ça peut ressembler à une parabole biblique. En réalité, on n'entend que ça sur tous vos petits écrans, mais en volapük du XXI ème siècle : ''Je coupe les fonds, budgets et subventions à tout ce qui ne me plaît pas, et je sur-surtaxe les récalcitrants''. Dans les deux cas, c'est efficace !).
Le 17octobre 2010, j'écrivais déjà, dans ce Blog : ''Une administration triomphante fait que nous ne vivons plus dans un pays ”dirigé” ou ''géré'', mais dans un pays qui n’est qu’ ”administré” . Et l'Histoire prouve que ''une domination a vite fait de se transformer en dictature fut-elle soft. C'est affreux à dire, mais nous sommes comme anesthésiés devant un ogre qui nous dévore''.  Parallèlement à cette vérité première, tout le monde saitqu'existent, volontairement camouflées dans notre méga-bordel administratif, des centaines d'officines secrètes (''plus de 1000'', dit-on, en France seule), qui servent de ''mouroir'', d'EHPAD ou d'ultime refuge à des petits copains politiques qui ont connu des déboires et n'ont plus que leur nullité persistante pour survivre encore les ''Comités Théodule'' : on peste et on les maudit, mais on les supporte et on leur obéit.
Cette soumission privative de sens critique se retrouve, par exemple, dans les arguments infantilisants et culpabilisants dont nous sommes abreuvés comme d’une potion-pas-magique destinée à nous rendre soumis et craintifs. Exemple ? ''L’Etat, dans sa grande bonté, n’aurait qu’un seul souci : ''notre sécurité''... (d'où qu'on pourchasse tout brave citoyen comme un ''Go fast'' chargé de drogues au nom d'un ni-sacro/ni saint Droit à la sécurité --si mal traitée par ailleurs). Le bobard ''avoir moins d’accidents sur les routes” --ce que quelques gogos croient encore--, ne peut, ne doit se lire que : ''L’Etat ne s’intéresse qu’a l’argent qu’il n’a pas encore pu ”piquer” au fond de nos poches ! Tout le reste, il s’en fout... à ceci près que les milliards € provenant des vols dits ''contraventions automatiques'' lui permettent de s’offrir des folies et des bêtises qui lui seraient difficiles à justifier, autrement.''
Dans la France de 2025, la victoire de l’autorité administrative est complète et totale (autant que l'est la déroute des libertés individuelles) : dans leur ensemble, les français sont devenus dociles (même sans toujours s’en rendre compte) devant toute injonction même idiote tombant de n’importe quel technocrate, au chaud dans un bâtiment affichant Marianne sur sa cheminée en marbre (fondamental, pour mieux travailler !). Et le fait que son contenu soit ''made in Brussels'', ce repaire de brigands et de nuls, si profondément ”mal-pensants” et si vicieusement attachés à notre perte définitive de toute joie de vivre, joue peu : il râle mais il obéit. L'Administration a pris sous sa coupe ce qui fut La France et confisque tout à son profit : travail, récompenses, avantages, prébendes, droit de dire ce qui est bien ou ce qui est mal ? Ou bien... les citoyens se seraient-ils habitués à cet état de choses, au point de réciter sagement tout le catéchisme technocratique, sans rien trouver à y redire ? (à suivre)
H-Cl.
*PS - Compte-rendu du résultat du ''Séminaire'' de Londres annoncé dans le texte : le ''Système'',en dehors de la maîtrise parfaite des cocottes en papier, a également acquis, en passant du harnais aux ors de nos Palais nationaux, celle du verbe. Vous attendiez une ou des réponses ? Vous les avez toutes eues ''l'heure est grave'' (NB : Ah ! bon ?), ''Il faut s'unir'', ''des mesures graves seront prises''... etc.... Tous, vous dis-je. Seule nouvelle qui ouvre la porte à du concret : ''Dès que possible, je réunis tous les partenaires sociaux'' (Ouf ! Ça, c'est du lourd : on avait peur qu'ils soient tous en vacances, en RTT, en grève ou en télé-travail).. Mais, en passant, ''comme ça''... avec quoi allez, vous payer ces folles promesses, Monsieur-le-président --avec tout le respect que je vous dois ? Ce soir, Poutine doit trembler de terreur dans ses sabots, tout seul au bout de sa grande table... Seul, avec ses copains ! Vodka !
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