#me détester etc...
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girafeduvexin · 2 years ago
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Pour être très claire, sans être sarcastique, aimer analyser des médias, ça ne veut pas dire détester des choses simples, qui ne se veulent pas plus profondes que ça. La qualité d'un média ne se juge pas à sa profondeur mais (selon moi) à son efficacité à transmettre quelque chose.
Je n'aime pas Proust parce que c'est super profond, j'aime Proust parce que c'est aussi émouvant que drôle. Le message de Proust, il est ultra simple : l'art seul nous survivra. C'est tout. Ce qui est intéressant à analyser, c'est le style, la façon dont il dépeint ses personnages, la narration etc mais le message en lui-même, il se résume en une phrase.
Il m'arrive de détester des œuvres qui sont plus "intellectuelles" (ou qui prétendent l'être) et qui ne me parlent pas, parce que le message est mal transmis, il est trop lourd, trop "intello" justement. C'est un reproche que je fais parfois à Nolan : je ne déteste pas ses films mais je trouve que parfois, il les complexifie pour rien, pour "faire intelligent" alors qu'en soi, le propos en lui-même est intéressant mais se perd un peu dans la mise en scène, typiquement Tenet (et même parfois Oppenheimer). À l'inverse, j'aime beaucoup Lynch, parce que même si ses films ont l'air absurde, l'émotion est vivante, presque violente, t'as soudain une scène où tu es ému sans avoir besoin de tout comprendre (la scène du Silencio dans Mulholland Drive...) La narration est étrange, complexe mais l'émotion est brute.
J'adore Prévert, qui préfère la simplicité, parce que ses poèmes sont efficaces dans ce qu'ils veulent dire, et ça ne les empêche pas d'avoir du sens, d'être forts, d'être mémorables. "Barbara", ça dit que la guerre, c'est mal, point. Ce qui est intéressant, c'est les rimes, les sonorités, et l'impression d'avoir un texte ultra simple qui est en réalité très intelligemment construit.
Analyse profonde =/= simplicité de l'œuvre, et c'est pour ça que dire qu'un film populaire "qui ne se prend pas la tête" n'a pas besoin d'être analysé est une absurdité. Les meilleures comédies sont ultra malines, dans l'écriture, le rythme, le propos, il faut vraiment comprendre ce qu'est l'humour pour écrire quelque chose de drôle. Kaamelott, c'est très intelligent, les Inconnus, c'est très intelligent, Key and Peele sont des génies.
Pareil pour les films d'action : les meilleurs sont chorégraphiés, réfléchis, des gens dont c'est le métier se prennent vraiment la tête pour que ce soit bien rythmé, alors, non, non, on va analyser les Avengers comme on analyse À la recherche du temps perdu, avec la même rigueur et la même exigence, merci bien.
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rayondelun3 · 2 years ago
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Ma chambre est parfaitement rangée finalement. J'ai pris mes cachets un peu tôt... Quoique, il est 23:00. Il faut absolument que je fasse la carte de M pour lui donner demain. J'avais oublié que j'avais déjà créé celle de T.
S ne viendra pas, elle est fatiguée et toujours malade, avec de la fièvre. Il faut que je passe la voir dans la semaine. Elle a peut-être besoin qu'on fasse du ménage et qu'on s'occupe d'elle. La savoir malade, toute seule, ne me plait pas. Après tout c'est ma sisi*. Je lui apporterai du chocolat chaud et je l'obligerai à me laisser faire du ménage pendant qu'elle se repose. Et puis je passerai du temps avec elle. J'espère qu'elle ne trouvera pas bizarre que je garde mon masque. Si je suis en forme, je lui ferai un tirage, je suis sûre que ça lui fera plaisir. D'ailleurs, elle m'a proposé qu'on passe le Nouvel An toutes les deux. C'est vraiment mimi.
T a prévu qu'on aille à la fête foraine demain et qu'on se saoule après. Pour ma part je vais éviter de trop boire pour la raccompagner et puis je crois que ce n'est pas bon pour tous mes soucis cardiaques etc. Ça fait longtemps que je ne l'ai pas vu et je ne sais rien lui refuser. C'est ma sisi elle aussi.
Demain je ne prendrai que mon sac à main pour ne pas être encombrée à la fête foraine. J'aurais bien aimé ramener l'appareil photo mais ce qui m'a servi de mère le garde précieusement sans l'utiliser bien sûr car c'est une vraie garce. Je vais finir par la détester. Foutue mère. Idiote de mère.
Heureusement que j'ai déjà fait une ébauche de carte et que j'ai déjà le format, le texte de prêts pour la carte de M.
Je suis tellement fatiguée. Pourtant j'ai dormi presque toute la journée aujourd'hui.
Je devrais voir El et Ed, ainsi que J. Je suis fatiguée il faut que je me lève mais je suis si fatiguée...
Aller courage.
*sisi est un surnom affectueux que j'ai inventé pour mes sœurs de cœur. C'est " sister " mais en plus court et plus doux.
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capitainerowen · 3 months ago
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LECTURES DE 2025 : Le seigneur des anneaux, tome 1 "La communauté de l'anneaux" - J.R.R. Tolkien
Lecture commencée le 2 avril 2025 et terminée le 12 avril 2025 (26/50)
Nombre de pages : 546 pages
Genre : Fantasy
Langue de lecture : Français
Note : 11/20
Et, en prenant la main de Frodon dans la sienne, il quitta la colline de Cerin Amroth, où il ne devait jamais revenir vivant.
Bonjour !
Aujourd'hui, je vous présente une nouvelle lecture que j'ai mis trop de temps à enfin lire : le premier tome du Seigneur des Anneaux, par J.R.R. Tolkien. J'ai la trilogie entière dans ma bibliothèque depuis près de 15 ans, parce que ma grand-mère m'a offert les tomes de mon oncle quand j'étais gosse, mais si j'étais content d'avoir de jolis livres, je n'étais pas plus intéressé que ça par l'histoire à l'époque, j'en avais jamais entendu parler. PUIS, tout le monde s'est mis à parler du Seigneur des Anneaux autour de moi, et je n'avais plus envie de lire l'histoire parce que j'en entendais trop parler.
Alors j'ai enfin décidé de sauter le pas il y a quelques temps et de l'ajouter à ma PAL, et j'ai donc lu le premier tome !
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Résumé : Un anneau d'une puissance inégalable est réclamée par Sauron, le maître des ténèbres, qui veut conquérir le monde. Ainsi, pour protéger tout ce qui est bon et honnête, une petite troupe de bonnes âmes avec Frodon en tant que gardien de l'anneau, part sur les routes.
CW/TW : meurtre?, abandon animal, manipulation psychologique, agression, etc...
Bon.
Je dois vous avouer que je n'ai pas aimé le Seigneur des Anneaux... J'AI ESSAYÉ ! J'ai lu tout le livre ! Mais, malgré tout, ça ne l'a pas fait :/
Je crois que c'est parce que j'ai une vieille édition (elle date des années 80) et que la traduction est parfois molle, mais je me suis juste ennuyé...
Je n'ai pas ressenti le moindre intérêt pour les personnages. Très vite, je me suis rendu compte qu'ils étaient très similaires. Tous très bons, tous très honnêtes, tous pleins de bonnes volontés, avec une bonne ouïe et sans le moindre défaut... Et même si on ne prend que les personnages qui sont des Hobbits, bah ils sont tous les quatre franchement pas très doués, ils font très "demoiselles en détresse", et ils me rendent DINGUE à chanter en permanence !!
Puis, la narration est pas intéressante, pas très fun. Il y a ÉNORMÉMENT de descriptions pour des détails de peu d'intérêts (pardon mais je ne comprends toujours pas l'intérêt de ces pages ENTIÈRES de description de la ville de Brie à part pour me faire détester la ville de Brie), et les choses qui pourraient être intéressantes sont totalement occultées. J'ai été DÉPITÉ d'apprendre que Gimli et Legolas étaient devenus amis sans que j'en sois au courant, hors champ ?? Pourquoi je dois me farcir les descriptions géographiques de chaque bout de terre de cet univers, mais je ne peux pas développer de l'attachement pour les PROTAGONISTES de l'histoire ?? Pourquoi je peux pas m'attacher à eux ? Pourquoi je peux pas découvrir comment ils dépassent leurs conflits initiaux pour devenir proches et se respecter mutuellement ?
Et le truc, c'est que c'est sûrement arrivé, dans le livre, écrit, mais comme j'étais saoulé par toutes les descriptions, il y a eu TELLEMENT DE MOMENTS où j'ai juste cessé d'être concentré et j'ai plus fait gaffe à ce que je lisais que ça m'a sûrement échappé !! Il y a eu un moment où j'ai réussi à être concentré mais ça n'a pas duré un chapitre entier :/
Et... Et voilà quoi, j'ai pas accroché. Je reconnais qu'il y a de bonnes choses à ce livre, y'a des idées intéressantes, c'est pour ça que j'ai mis 11, mais c'est clairement pas pour moi :/ Alors j'ai pas passé un chouette moment.
Ceci étant dit, je lirai la suite. Pas par plaisir, parce que je l'ai déjà :') Alors voilà ! Ce sera pas de suite, mais bon !
En tout cas, je ne vais pas vous recommander ou non ce roman. C'est un classique ! Faites-vous-en votre propre idée ! Mais ce n'est pas un classique pour moi, c'est tout
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cogitontos · 8 months ago
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Suite à la récente élection de Donald Trump aux États-Unis j'ai pu encore voir quelques personnes dans mes followers être hostile envers sa personne Je suis ouvert au débat avec ces individus et curieux de connaître les raisons pour lesquelles vous détester ou n'aimer pas le personnage.En sachant qu'il sera aisé d'argumenter avec les personnes qui ont pour sources d'informations les médias français qui comme vous allez peut-être le savoir sont tenus par les adversaires de ce que représente Trump. Vous comprendrez donc qu'il ne s'agit pas de propager la bonne parole à son encontre. Il est très facile de faire passer quiconque pour la pire des ordures au travers des médias. Le pouvoir des medias du pouvoir en place, aujourd'hui ne se démontre plus. Il n'est jamais trop tard pour aller vérifier les faits à partir de sources plus fiables que des diffusions d'informations médiatiques qui sont inclinées par des groupes d'intérêts biaisés.Alors si vous souhaitez répéter ce que un France 2 ou BFM TV peut rapporter c'est votre choix. Si vous ne souhaitez pas faire l'effort d'aller vérifier l'information aux travers de passions antagonistes stimulées et façonnées par ces médias du pouvoir alors qu'il en soit ainsi. ( Exemple : Je n'irais pas écouter ou essayer de changer d'avis sur Trump car : "il est raciste" / très facile de fact checker en quoi Trump n'est nullement raciste. Un exemple parmis d'autre est sa défense de Mike Tyson contre tous durant son procès pour accusations de maltraitance et vi%7 qui furent fausses par la suite. "Il veut la guerre et le chaos" / l'une des plus grandes qualités qui fut démontré par Trump durant ses années de politiques furent sa capacité à vouloir cesser l'impérialisme américain dans la politique étrangère des États-Unis. Ce qui n'a pas plus à ces enemies qui ont voulu le voir mort bien sûr. D'ailleurs à peine arrivé à l'office qu'il demande déjà à Zelenski d'arrêter les frais. Zelenski étant un pantin du complexe militaro industriel américain et de la CIA mais c'est un autre sujet. "Trump est d'extrême droite" oui tellement d'extrême droite que son administration est la plus concentré en Gauche depuis on ne sait combien d'années etc...) Et pour ce qui est de l'excuse de dire "oh mais je n'ai pas le temps pour tout ça" eh bien au lieu de scroller pendant des heures le soir ou regarder une série vous prenez le temps de vous informer, de réfléchir par vous même et vous faire votre propre opinion.Ainsi votre point de vue commencera à avoir une plus grande légitimité que ceux des troupeaux de perroquets assujettis par le pouvoir des world globalists milliardaires en place et leurs médias qui façonnent les opinions de toutes pièces. Ces mêmes médias qui ne travailleront jamais pour le bien des peuples et des cultures.Maintenant si cela donne globalement une perspective d'espoir vis à vis des peuples qui refusent de se soumettre à l'agenda mondialiste pour ce qui est de la France cela ne changera rien au fait que nous allons payer les factures de la guerre d'Ukraine. Le déclin de l'Empire américain se fera plus en douceur avec Trump au pouvoir. Aussi j'espère voir Robert Kennedy réussir son combat noble contre les industries qui détruisent la santé du peuple américain sur la planche à billets. Espérons que rien de mal de lui arrive en attendant. Les enfants inconscients qui dirigent l'Union Européenne assume le va-t-en guerre et se foutent bien des conséquences pour les peuples d'Europe. La France en particulier en payera les frais si ce n'est déjà le cas.
––––––––––
Il faut savoir qu'après la publication de ces mots sur le réseau social Instagram. Les publications furent shadowbanned et avaient disparu du réseau, même des archives ce qui fut une première pour moi ayant publié nombre de fois sur Instagram en story précédemment. Ainsi cet entreprise de censure a su faire retentir plus profondément les propos que javais exprimé, propos et réflections pourtant rationnels et raisonnables.
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extrabeurre · 1 year ago
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THE PEOPLE'S JOKER de Vera Dew: Laissez passer les clowns
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Je ne me souviens pas d’être passé d’un extrême à l’autre dans mon appréciation d’un film de façon aussi fulgurante dans l’espace d’un seul visionnement. Au début, je ne connectais pas du tout avec le style visuel et le sens de l’humour du projet. Mais à la fin de cette création incroyablement originale — bien qu’elle emprunte outrageusement à de vastes pans de la culture populaire — j’avais envie de crier au génie. Il est probable que la majorité des fans du Joker vont détester la proposition, pourtant, c’est exactement le genre de film qui aurait pu être réalisé PAR le Joker : irrévérencieux, provocateur, subversif. Le simple fait que The People’s Joker commence à être diffusé plus largement est miraculeux, considérant que la coscénariste, réalisatrice et monteuse Vera Drew n’avait pas l’autorisation des titulaires des droits de propriété intellectuelle pour utiliser, que dis-je, pervertir les personnages de DC Comics. La cinéaste invoque le droit à la parodie et le « fair use », et c’est une excellente chose qu’elle semble avoir obtenu gain de cause, car son œuvre est essentielle. Dédicacé au réalisateur des mal-aimés Batman Forever et Batman & Robin, Joel Schumacher, The People’s Joker embrasse l’aspect homoérotique de ce diptyque et pousse la note infiniment plus loin, s’imposant comme le film de superhéros le plus queer de tous les temps. C’est campy et psychotronique, mais également sincère et authentique. Dans ce récit autobiographique complètement éclaté, Vera Drew incarne une femme trans rêvant de faire du stand-up, comme le Joker de Todd Phillips. Devenir membre de la distribution de l’émission UCB Live de Lorne Michaels (!) s’avère plus ardu que prévu, alors elle ouvre un club d’anti-comédie avec le Pingouin (Nathan Faustyn). Parallèlement, elle entame une relation toxique avec un homme trans, Mr. J (Kane Distler), qui ressemble drôlement au Joker joué par Jared Leto dans Suicide Squad, tatouages inclus.
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Comme dans The Lego Batman Movie, il y a une foule de clins d’œil aux différentes itérations des aventures de Batman et du Joker, incluant la série télé de 1966, le roman graphique The Dark Knight Returns de Frank Miller, le film de 1989 et sa trame sonore par Prince, etc. En même temps, on a l’impression de regarder un croisement entre Hedwig and the Angry Inch et South Park: Bigger, Longer & Uncut filtré à travers les expérimentations formelles des créateurs marginaux sévissant sur Internet. Les actrices et acteurs évoluent toujours devant des écrans verts qui ont été remplacés par des décors virtuels et le film inclut une multitude de types d’animation lo-fi, ce qui peut rebuter au départ, jusqu’à ce qu’on s’abandonne à cet hallucinant assaut sensoriel. Mais ce qui rend The People’s Joker aussi extraordinaire, c’est comment Vera Drew puise dans l’iconographie des comic books pour raconter une histoire intensément personnelle sur la dysphorie de genre et le processus de transition, un peu comme l’excellent roman Valide de Chris Bergeron le faisait avec la science-fiction.
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The People's Joker sera projeté au Cinéma du Parc le dimanche 28 avril à 21 h.
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christophe76460 · 1 year ago
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🚨Témoignage 🚨
...Moi, Eux et Lui ...
Je me souviens étant jeune , on chantait un chant qui disait :
..........♥️..........
🎶Oh! Combien je L'aime(3x)
Car Il m'aima le premier!
Pour moi, Christ est si merveilleux ! 🎶 (3x)
Car Il m'aima le premier !
............♥️............
Je me suis mise à réfléchir et je me disais :
- C'est un mensonge !
Comment peut-Il m aimer en premier puisqu' il y a une éternité qu' Il aime les gens qui ont été avant moi ??
Cela alla me tracasser longtemps , jusqu 'au jour où j"ai compris que cela signifiait " entre Lui et moi seulement " je compris alors qu' Il parlait de nous deux !
Moi qui aie toujours passer les autres avant moi ...
Moi qui, jusqu à ce qu' il n y a pas si longtemps , l'opinion des autres étaient très importante et je ne comprenais pas qu' on puisse me détester , me flusher juste parcequ on ne pensait pas pareil etc
Merci Seigneur de continuer de me changer là-dessus ! 🙏
Et bien , lorsque j ai réalisé qu' il s'agissait de notre relation personnelle ..qu' entre nous deux !
Mes yeux se sont remplis de larmes ..
J'ai réalisé que par Amour juste pour moi...
Il serait allé a la croix ! Que de nous deux ,
Il m avait toujours tendue la main attendant que je la prenne pour faire un magnifique voyage avec Lui....
Le film de ma vie 🎬. n aurait aucun sens sans l Acteur principal :
Ce Dieu Créateur, rempli d Amour, de Pardon et de Compassion qui se manifeste à travers le sacrifice de Son Fils Jésus-Christ à la croix et du St-Esprit !
De nous deux ,🤔
Il m a aimé Le premier ..👍
De vous deux ..🤔
Il t a aimé Le premier 👍 et Son Amour et Sa Paix te sont toujours offerts gratuitement ...
Ce Salut gratuit a coûté le prix d une vie !
T'y es-tu déjà arrêté ?
Par Amour pour toi!
Qu'attends-tu pour Lui donner ton ♥️??
Dieu t aime ! 🫂
Joyeuse Résurrection à toi et les tiens !
Marie-Claude xx🦋
Servante de l Eternel
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insidemyhead2869 · 1 year ago
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11 mars 2024
Il est 21h32, je suis exténuée parce que j'ai dormi 3 heures la nuit dernière. Levée à 6h45. Les insomnies font partie de ma vie, elles n'arrivent plus aussi souvent bien sûr mais de temps en temps elles me frappent de plein fouet. J'ai écrit un billet il y a juste quelques minutes, je suis ensuite partie dans une relecture de mes anciens textes. J'ai passé ces dernières années avec la peur de les relire, je l'ai fait à quelques moments je crois mais je garde cette appréhension de me relire, de ressentir de nouveau cette solitude, tristesse et dépression qui a caractérisé plusieurs années de ma vie. De fait c'est pas aussi terrible que je pensais. C'est quand même pas très agréable, on ressent ma détresse mais ma vie s'étant considérablement améliorée ces derniers temps j'arrive à prendre de la distance.
Bref je voulais juste, pour le futur moi, faire état de cette relecture. Pas si terrible. Pas si terrible. Je crois que je peux encore y croire, j'ai possiblement rencontré l'homme de ma vie. Un des hommes de ma vie pour sûr. Je l'aime, je ne crois pas pouvoir jamais le détester et l'oublier. Je sais tout de même que la vie est faite de déception, de prise de distance etc. On verra bien. Là faut que j'aille prendre ma douche et manger. Je redoute le coucher bien sûr, toujours après une nuit d'insomnie, d'autant plus que mes voisins font du bruit. Nous verrons bien.
Bye !!!!
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swedesinstockholm · 2 years ago
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11 mars
on revient d’un concert-performance de deux types qui racontaient des histoires en plusieurs langues, ils chantaient, ils rappaient, un des deux jouait du piano, ils écoutaient des disques assis par terre en se racontant des anecdotes et en faisant des petits commentaires, y avait des jeux de lumière, des projections mais discrètes en arrière-plan, et je me disais que c’était exactement ça que je voulais faire. je souriais comme une folle quand le type s’est mis à jouer du piano par dessus la musique électronique, tout voûté comme moi, le pianiste voûté s’est mis à jouer et je me suis dit oh oui oh oui j’adore la vie. il était plus voûté quand il s’est mis debout, mais c’était pas grave. je pensais au musicien de l’opéra participatif du talent lab de 2019 qui m’avait dit you don’t need to be anything to be on stage. c’est la phrase la plus précieuse qu’on m’ait dite, visiblement, parce qu’elle arrête pas de refaire surface dans ma tête. en rentrant de l’école on parlait de prague et elles me racontaient qu’elles s’étaient tout de suite dit qu’elles voulaient que je fasse partie de leur projet parce qu’elles trouvaient que j’avais une présence et une voix magnétiques et une façon de bouger particulière et aussi que j’étais hilarante et ce soir dans la salle de concert du grütli j’avais envie de leur voler toutes leurs idées, de me mettre dans la lumière sous les projecteurs et de raconter mes histoires à moi avec de la science et de la philo, des chansons douces et des poèmes et du piano, de la musique électronique des conversations et des blagues et m’allonger par terre dans un cercle de craie comme pendant une des impros de cet après-midi, en position foetale, ça revient toujours. j’ai tellement de matériel que mon show pourrait durer 24 heures. je pourrais faire un show marathon.
pendant que je les regardais sur scène, le visage très impliqué dans la musique du pianiste voûté au dessus de son piano et celui qui racontait son histoire dans le micro avec des petits grains de poussière qui volaient autour de lui sous la lumière de deux projecteurs qui se croisaient, j’ai décidé de déménager à bruxelles asap, sans attendre de gagner de l’argent avec cette connerie de cours at home qui me donnent jamais de cours de toute façon, je vais mentir sur mon cv en rajoutant des trucs parce qu’en les regardant, pour une raison qui m’échappe, j’avais pas peur. et puis en pensant à tout ça, je me disais que c’était une responsabilité, le fait de commencer à moins détester sa vie, de vouloir en faire quelque chose, de voir des trucs qui se passent, de mettre les choses en mouvement, etc. c’est une plus grosse responsabilité que d’être dépressive et au bord du gouffre et terrée sur le canapé.
mercredi dans le van de w. qui parlait en hollandais avec f., juste avant qu’on prenne l’autoroute sous la neige, coincée contre le frigo sur la banquette arrière, je pensais à ce type d’un festival en belgique qui m’a obsédée pendant deux bonne années sans lui avoir jamais adressé la parole et j’ai commencé à imaginer une réalité alternative où je serais sortie avec tous les crush que j’ai eus dans ma vie et peut être que j’aurais appris à parler le flamand. peut être que dans une réalité alternative on est mariés. dans l’histoire de r., elle atterrit dans un univers parallèle vers la fin mais elle a tout oublié de l’univers dont elle vient et elle répète toujours la même chose et elle en revient toujours au même point. on a eu beaucoup de mal à comprendre ce qu’elle racontait dans son texte avec s. et elle a passé des heures à nous expliquer la physique quantique et la métaphysique et la physique tout court et comment elle reliait tout ça au taoïsme et j’étais très soulagée de pas être seule dans mon ignorance. je suis toujours pas tout à fait sûre d’avoir compris, mais j’ai décidé de faire comme avec la philo, just make up your own meaning.
12 mars
je me suis réveillée avec une video de laura a. sur scène à san jose au costa rica dans sa longue robe rouge sous les acclamations d’une standing ovation fracassante à faire des gestes d’amour rigolos au public et j’ai un peu rigolé d’amour dans mon lit. mercredi en écrivant le mot aurais sur whatsapp j’ai pensé à son nom de famille et ça m’a fait comme la fois où je descendais la rue de theux à bruxelles et que j’ai croisé quelqu’un qui sentait le même parfum qu’une des femmes du groupe de let’s move et c’était comme une effluve de cybille, même si c’était pas son parfum, je l’associais à elle. là j’ai vu le verbe avoir conjugué au conditionnel et j’ai senti une effluve de laura.
hier après-midi quand on a commencé les impros, ou le devising comme on dit chez les gens de théâtre, j’avais un peu l’impression d’être encore dans un autre workshop, parce que c’est s. qui dirigeait les opérations, vu sa formation et son expérience, et sa personnalité aussi, mais c’était pas un workshop, je payais pas pour être là, on travaillait pour nous, de notre propre chef, de notre propre initiative, de notre plein gré, et j’étais théoriquement libre de faire n’importe quoi, mais j’osais pas, j’avais peur de mal faire, comme dans les workshops, je m’autorisais pas toute l’étendue de mes possibilités.
dans sa conversation avec bruno le brésilien, laura a. parle des doutes qu’elle a commencé à avoir quand elle a commencé à prendre de l’âge, quand elle a quitté la compagnie et qu’elle a changé sa façon d’enseigner. elle dit que ça lui a fait perdre un certain public parce que ses cours étaient moins axés sur la prouesse physique et plus sur la sensibilité, la remise en question, les détails, que c’étaient des trucs qui prenaient du temps et de la patience, qu’elle voulait mess with their heads, que la prouesse physique l’ennuyait, I’M BORED, et que le plus important c’était toujours de se demander pourquoi on danse. pourquoi on bouge, quelle est l’idée derrière tout ça, qu’est-ce qu’on veut dire. elle disait qu’elle voyait la danse au service des idées. mais ça voudrait dire que l’esprit est hiérarchiquement au dessus du corps. ou alors c’est moi qui vois mal les choses, parce que le corps et l’esprit ne sont pas deux choses distinctes. le corps peut avoir des idées.
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madeyesaes · 4 years ago
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FANCASTCHALLENGE by @sweetiesplum :: day 1, manga.
𝐃𝐀𝐌𝐈𝐀𝐍𝐎 𝐃𝐀𝐕𝐈𝐃 𝐀𝐒 𝐂𝐀𝐍𝐂𝐄𝐑 𝐃𝐄𝐀𝐓𝐇𝐌𝐀𝐒𝐊. 𝑺𝑨𝑰𝑵𝑻 𝑺𝑬𝑰𝒀𝑨 // 𝑳𝑬𝑺 𝑪𝑯𝑬𝑽𝑨𝑳𝑰𝑬𝑹𝑺 𝑫𝑼 𝒁𝑶𝑫𝑰𝑨𝑸𝑼𝑬.
Definition of good and evil change with time, you see, though the Pope’s actions seem evil now, history will vindicate them.
Le Chevalier d’Or du Cancer se distingue de ses semblables plus par sa cruauté que par sa force. Il va jusqu’à ouvertement se moquer des victimes collatérales que ses batailles engendrent et en garde les âmes dans son temple, leurs visages déformant les murs antiques. Dans la confidence de la traitrise du Grand Pope, il se fiche bien de l’affront fait à sa Déesse, Athéna. Il vit pour servir un idéal de Justice qui fait de la force brute la valeur et la norme à suivre. A ses yeux, les définitions que l’on attribue à de tels principes ne sont que trop changeants et seuls les victorieux sont capables de les dicter et de dominer. Le reste peut bien s’incliner. Ce chevalier, haï à juste titre et surement l’un des personnages les plus détestables de la série, retrouvera néanmoins une part de rédemption dans l’arc narratif d’Hadès et dans l’anime Soul of Gold où les Chevaliers d’Or sont les protagonistes.
Deathmask est décrit comme un homme sarcastique, suave et brutal. Les croyances autour de sa constellation dans diverses croyances, notamment chinoises, expliquent ses pouvoirs (lui permettant d’ouvrir la Porte des Enfers) et lui donnent un rôle négatif dans le manga. La nuance n’est pas réellement présente, bien que des tentatives ont été faites pour dénoircir le tableau dans le reste des adaptations. Ce sont les fans qui, pour beaucoup, ont développé les parts laissés dans l’ombre du personnage. Ils l’ont ainsi nuancé, fait grandir hors d’un moule, sans pour autant en oublier ses crimes. Sa nature sarcastique, grandiloquente et certaines de ses manières sont passés à la trappe dans l’adaptation animé.
D’origine italienne et sicilienne, son véritable nom demeure inconnu (à ma connaissance) et les fans l’ont souvent baptisé Angelo au fils des fanworks -en contraste évident avec ses actions.
♋︎ TLDR ; he is a (real) bad guy, he knows it, deal with it. ♋︎
J’ai choisi ce perso parce qu’il est un peu la caricature du sbire qui se retrouve toujours du mauvais côté, est une vraie épine dans le pied des héros et qui, même si tu sais qu’il va se faire défoncer, capture toujours l’attention du public et crève l’écran. Il est maléfique, il pue parfois la lose, mais il a ce charisme et cet edge qui en fait celui qu’on aime détester. En plus j’aime la dynamique qu’il a avec Mu du Bélier, Aries Mu, qui est le meilleur perso (ou du moins il est dans mon top 3). Il faut savoir aussi que je me suis retrouvé à l’aimer un peu trop à cause des comics de @kochei0, que j’aime plus que tout et que je relis avec bonheur.
Le choix de Damiano David, même s’il n’est pas acteur, se fait parce qu’il a ce charisme, ce magnétisme et cet edge. Il est aussi jeune et c’est quelque chose que l’on oublie dans les Chevaliers du Zodiaque : ce sont des gosses que l’on a jeté dans une guerre contre les dieux. Tu m’étonnes qu’ils soient pas stables. Le côté rockstar colle assez bien au personnage et je trouve qu’il pourrait le jouer sans tomber dans une caricature (oui c’est toi que je regarde film en 3D bien que esthétiquement agréable très nul sur le fond). D’ailleurs, il a peut-être l’air encore trop ‘lisse’ pour le rôle, mais c’est un visage qui s’est imposé à moi et on part du principe qu’il y aurait un travail de makeup, etc. Aussi, on va pas se mentir, les Chevaliers du Zodiaques (une de mes séries préférées, ça bouge pas) est un manga qui attire beaucoup les personnes queer et qui leur parle (il suffit de penser à des personnages comme Aphrodite, Shun, Hyoga ou même Mu qui détruisent beaucoup les stéréotypes de genre, d’un pdv occidental et contemporain du moins, je parle de mes yeux de gamin préado quand j’ai découvert la série). Avoir un visage qui joue avec les codes, s’affirme est important. D’ailleurs, j’avais hésité avec Lady Oscar pour faire le fancast. Et pour les CDZ, j’ai voulu faire tous les chevaliers d’or de base (Mu meilleur perso et chevalier, ça bouge pas) mais... Ouais non. En plus j’ai fait planté toshop juste avec cet enfoiré de Deathmask, donc...
Bref, je commence à beaucoup trop écrire et ça va être un vrai charabia que personne va lire. Dûr de me retenir quand CDZ a vraiment une place particulière dans mon coeur.
Encore merci à @sweetiesplum pour ce challenge et je vais essayer de faire les jours suivants aussi ! ♡
(DISCLAIMER : première fois que je fais un fancast et je savais pas trop commencer réaliser ça graphiquement so... yeah. C’est une tentative mdrr)
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claudehenrion · 4 years ago
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Gueule de bois, etc…
  Avant les élections de dimanche dernier, je m'étais dit que, compte tenu du degré d'abstention, je ne gâcherais pas deux ou trois heures de mon temps, même assez peu précieux, à parler d'un truc encore plus ‘’sans intérêt’’ (les plus audacieux des sondeurs osaient risquer le chiffre complètement incroyable de… quelque 60 % d'absentéisme ! On se balade à 8 points au dessus !), Mais comme toujours, les hommes proposent et… l'odieux dispose : devant une telle déculottée, il est difficile de ne pas y aller de son petit commentaire : on serait le seul à ne pas l'avoir fait !
Va, donc, pour enfoncer des portes ouvertes sur un sujet sur lequel, à force que tout le monde en parle, rien n'a été dit : ceux qui commentent cette vraie Bérézina électorale sont, comme dit la Bible “ceux par qui le scandale est arrivé”, et leurs discours couvrent  donc absolument tous les chapitres du sujet… sauf la totalité de ce qui est important. Or le constat est double : notre démocratie –je veux dire : ce qu'il en reste : vraiment pas grand chose– est à bout de souffle. Les citoyens ont tourné le dos à leur rôle d'électeurs, les institutions sont bloquées, les gouvernants parlent dans le vide, les ministres sont des militants de base, bornés comme des départementales. Plus rien ne fonctionne –sauf la chère planche à billets, “quoi qu'il en coûte”… (mais nous n'allons pas tarder à découvrir combien ces folies vont nous coûter !)– et plus personne n'espère quoi que ce soit de qui que ce soit. Même le vieux mythe de “l'homme providentiel” ne paie plus : l'actuel a vraiment trop déçu, et le mythe de la jeunesse en a pris plein les gencives
Et en second lieu, tout le personnel politique et la meute journalistique qui vit (de grasses subventions) à ses crochets fauchés ont perdu toute forme de crédibilité : de gadgets présentés comme géniaux en promesses-à-ne-pas-tenir, de mauvaises analyses en hypothèses débiles et de solutions qui n'en sont pas en digressions vers des ‘’remèdes’’ pires que le mal dont ils cherchaient à détourner l'attention, la France est arrivée à un état de ras-le-bol qui se met à ressembler à un raz-de-marée. Et les seules réponses que trouvent nos nuls, c'est… davantage encore de digressions, de fausse écologie punitive, de prélèvements fiscaux baptisés “pas de hausse des d'impôts”, du triomphe d'idées inutiles de gadgets de “comm” pires les uns que les autres, de resserrement des contraintes normatives, d'augmentation de la puissance de l'Administration qui en devient néfaste… sans compter la bride sur le cou aux déconstructeurs et aux fossoyeurs de l'Histoire, la porte ouverte à des subventions à tout ce qui ne doit surtout pas être subventionné… et à une baisse nette et constante des prestations offertes aux nationaux (pour payer ces trous…).
La véritable raison de ce “billet”? Hier, en pensant aux élections de la veille, il m'est soudain revenu en mémoire une phrase d'Emmanuel Macron –à l'époque où il disait déjà tout ce qu'il n'aurait pas dû dire (Un Président ne devrait pas dire ça, l'avait pourtant prévenu Hollande son ex-gourou –on a les gourous qu'on mérite !). A Strasbourg, devant 1500 personnes. Il avait dit qu’il voulait ’‘réenchanter la politique”, dans un ample mouvement prétentieux dont la méthodologie suivait le modèle ‘’ENA’’ : “D’abord la phase de diagnostic, puis les propositions et enfin l’incarnation”, expliquait-il sérieusement. Il avait très longuement –c'est dans ses gènes– disserté sur “la France qui subit” (depuis, on est servi !) et sur “la majorité silencieuse qui ne se sent plus représentée” (il est servi, lui aussi !).  Expliquez moi par quel miracle laïc personne ne ressort des cartons ces perles qui disent l'immensité de l'échec présidentiel ? Sa note au “grand oral ”: 0 / 20 !
En annonçant vouloir “partager quelques convictions sur la vie engagée”, mais toujours plus intéressé par la méthodologie que par sa mise en œuvre, Emmanuel Macron avait souligné :“Si on veut établir des traitements, il faut remonter aux causes (sic !). Ce qui ne marche pas en France, c’est la politique, mais la politique est paradoxalement la source d’espoir la plus grande (…) et si nos concitoyens adorent la politique, ils doutent des partis et des syndicats”. Quatre ans plus tard, je préfère sincèrement être à ma place plutôt qu'à la sienne, même s’il faut reconnaître à sa décharge qu'il a reconnu son échec, deux ans et demi plus tard, en avouant sur TF1 (le 9 novembre 2018, dans la Somme) qu'il n'avait “pas réussi à réconcilier le peuple français avec ses dirigeants” (Il est myope, mais pas aveugle).
Vous et moi aurions compris la leçon. Mais un politicien professionnel, c'est quelque chose à part : quels que soient le sujet, la question posée, le problème à résoudre, le défi lancé… il sort “un truc” de son chapeau, comme un magicien en sort des lapins. N'importe quoi. Dans le cas présent, il a aussitôt fait suivre cette analyse –qui n'était pas plus bête qu'une autre– de la proposition d'un tas de vieux “trucs” qui traînent dans tous les discours depuis des décennies (on croirait que personne ne les met en œuvre… pour toujours pouvoir les invoquer !) “davantage de décentralisation, de proportionnelle, de non-cumul des mandats ou d'Europe, et la diminution du nombre de parlementaires ou la réorganisation du système des partis” . Il n'a pas osé citer l'augmentation des impôts, mais elle est de définition, et tout le monde a eu l'impression de l'entendre. Le problème est : comment faire comprendre à la classe politique qu'il n'y a pas de commun entre des “idées”, des “solutions”, des “réponses”, et… des “trucs” ? Car, cerise sur le gâteau, il en a remis une couche aux ‘’Entretiens Enseignants-Entreprises’’, mais à propos de l'Europe cette fois : sous prétexte de la rendre plus dynamique, il a dit qu'il voulait  “réenchanter l'Europe” ! A ce niveau d'audace inconsciente, ça devient inquiétant !
Quant à redonner aux français une envie de retourner aux urnes… il y a bien une idée qui traîne chez les complotistes : “se demander quand et comment la caste des dirigeants a perdu contact avec la réalité, les besoins des citoyens, leurs rêves, leur culture, leurs attentes, leurs espoirs… et l'impression que pouvait exister, pour eux et leurs enfants, un futur dans lequel ils aient envie de se projeter”. Tous ces énormes “manques” dans l'échec programmé qu'est devenue notre société tiennent  en peu de mots : fierté, orgueil, identité nationale, garantie que l'Etat va d'abord s'occuper de moi et des miens (mes enfants comme mes grands-parents) avant de gaspiller l'argent qu'il me prend indûment (certains disent “qu'il me vole”) dans des causes que non seulement je réprouve, mais qui, l'une après l'autre, se retournent contre moi et me font détester par tous les gens pour lesquels mes parents et moi–même nous sommes saignés parfois à blanc… et qui nous “saignent” désormais, rythmés par nos marches blanches et les larmes de crocodile de nos dirigeants…
Sans y mettre la plus petite personnalisation, un proverbe réputé chinois affirme que le poisson pourrit par la tête. Ce serait donc de tout en haut que doit partir la reconquête des urnes, de là que doit venir le retour à… ce qui a été ravagé sous et par le magistère “moral” –en réalité totalement amoral, mais pervers et mortifère, ça, oui– de la Gauche.  Ce n'est pas des nouveaux gadgets et de nouvelles ponctions fiscales déguisées dont nous avons besoin, c'est de retrouver ce qu'on nous a volé, peu à peu, subrepticement, à coup de lois scélérates et “bonheur-icides”. Cela peut se résumer en trois mots : la France –qui a disparu, bouffée par une Europe sans âme, sans foi et sans Loi morale… mais avec trop (infiniment trop) de lois normatives et létales… les français –qui se sentent –et sont– ravalés, méprisés, maltraités, humiliés, cassés, abandonnés… Et notre culture –dont sont totalement privés nos enfants, au point que des jeunes gens sans aucune expérience de la vie (et pas beaucoup plus de jugeote) vont racontant que la culture française n'existerait pas –sous le seul motif qu'ils n'en savent rien. Et tant qu'on y est, il ne faudra pas oublier l'Histoire de France, cette Histoire dont nous sommes si fiers –à juste titre, malgré ou grâce à quelques revers et quelques mésaventures qui la rendent digne d'être aimée, puisque imparfaite… donc vraie.
O sinistres intégraux, rattraper le corps électoral (qui n'est plus ni l'un, ni l'autre !) par la pointe des cheveux… est énorme, mais faisable. ’'Au boulot, les gars’’… Je suggère que vous commenciez, pour gagner du temps, par changer votre vocabulaire et votre système de référence, et par annuler 90% de ce qui a été voté sous Hollande : vous vous sentirez plus légers, pour continuer. Nous, on attend, l'arme-au-pied. A vous de donner le top-départ !
H-Cl.
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girafeduvexin · 4 years ago
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Je vais répondre à mon propre ask meme parce que j’ai dix minutes à tuer pendant que mon téléphone charge avant d’aller dans un bar lesbien berlinois (j’ai aimé écrire cette phrase - btw Air France m’a ENFIN renvoyé ma valise)
1) Ton/tes persos préférés ?
PERCEVAL, bien évidemment. Ce qui est très fort, c’est qu’il est à la fois hilarant, touchant et narrativement fascinant. Il dépasse de loin le comic relief et en même temps ses épisodes sont les plus hilarants. Je le trouve extraordinairement bien écrit et je ne vois personne que Franck Pitiot pour le jouer (Franck, si tu passes par là, keur keur). C’est le personnage qui illustre le mieux l’ironie dramatique inhérente à Kaamelott : ce sont des personnages de légende, donc nous savons ce qui va leur arriver. Dès le début, nous savons que Lancelot aime Guenièvre, comme nous savons que Perceval va trouver le Graal. Il faudrait que je fasse une compilation de toutes les fois où la série blague là-dessus. C’est certainement le personnage sur lequel j’ai le plus d’attentes pour la suite.
Sinon, j’aime beaucoup Arthur, même si les premières saisons m’ont bien rappelé qu’il pouvait être un vrai connard et Léodagan est très haut dans mon coeur car je le trouve tout simplement hilarant. Mention spéciale aux Orcaniens, Gauvain parce que c’est un sucre et qu’il est très drôle, Loth parce que Rollin est excellent et je connais la moitié de ses répliques par coeur. 
2) Ton/tes perso que tu détestes ?
Hm, détester est un peu fort (oui c’est mon ask meme but still). Je trouve que les love interest d’Arthur sont mal écrits, en particulier Mevanwi et Aconia.
Mevanwi passe de “femme frustée dans son couple et amoureuse du roi” à “sorcière diabolique prête à commettre un crime” un peu trop rapidement pour moi et je n’ai jamais pu m’attacher à Aconia : ça m’embête beaucoup qu’elle soit seulement mentionnée au Livre VI et qu’on en entende jamais parler avant. Du coup, j’arrive pas à croire à leur histoire. En règle générale, les femmes 'amoureuses’ d’Arthur, à l’exception de Guenièvre, sont pas hyper bien écrites selon moi, les maîtresses sont un peu des clichés de femmes ambitieuses, prêtes à tout pour avoir le pouvoir.
Sinon, je supporte de moins en moins Karadoc, comme tout le monde.
4) Ton otp ?
ArthurxPerceval, j’assume à 1000%, j’ai jamais changé. LéoxBohort, très haut dans mon kokoro aussi, comme Yvain et Gauvain. J’ai une certaine affection pour LancelotxArthur parce que : le drama.
5) Brotp ?
Arthur et Léodagan, un peu Lancelot et Arthur aussi, Arthur et Bohort, en fait Arthur et ses amis, ça fait toujours plaisir. Aussi, j’aime beaucoup voir Guenièvre et Yvain interagir. Séli et Léodagan, mais je les kiffe aussi en OTP. 
6) Notp ?
Pas vraiment, à part Galessin/Gauvain à cause de la différence d’âge.
7) T'as aimé le film ? Pourquoi ?
En vrai oui, même si je conserve des réserves. Je trouve que y a des gags qui sont pas si drôles, que les flashbacks sont franchement ennuyeux et je m’attendais à plus d’émotion pour certaines retrouvailles. Mais ça fait quand même plaisir d’avoir un film Kaamelott au cinéma et j’ai quand même bien apprécié : j’ai hâte de l’avoir en DVD pour le décortiquer.
8) entre nous, les fans de Kaamelott, y sont relous ou pas ?
OUI, surtout sur Twitter, mais tous les fans hardcore sont relous, c’est le principe. Ici, ça va, en tout cas, on m’embête pas trop donc ça va.
9) un Headcanon que tu adores
Perceval a pratiquement éduqué les enfants de Karadoc en l’absence de Mevanwi. 
Aussi, Perceval et Lancelot sont gays tous les deux. 
J’aime aussi beaucoup l’idée que Galessin a élevé ou participé à l’éducation de Gauvain.
Perceval est TDAH.
10) un Headcanon adopté par le fandom que tu n'aimes pas
Pas vraiment un headcanon, plutôt une perception générale. Perceval est trop infantilisé et est beaucoup moins innocent qu’il le prétend. Je crois que ça me touche parce qu’étant TDAH moi-même, on m’infantilise aussi pas mal et ça m’énerve. Je me reconnais beaucoup dans Perceval, je le trouve chou et je le trouve aussi intelligent, maladroit, rigolo, like yeah hes cute mais c’est aussi un adulte, et il a aussi des défauts, dans lesquels je me reconnais aussi : il est trop impulsif et il ne considère pas toujours les autres, pas volontairement, mais tout de même. Il a du mal à se mettre au boulot (cough cough TDAH cough cough), il est un peu trop influençable etc. C’est pas un être de lumière pur et bienveillant, c’est un super personnage complexe et fouillé.
11) musique préférée ?
Les ravins de la mort, la musique des pupi, et la musique du générique livres V et VI.
12) ta blague préférée de Kaamelott ?
“Vous avez failli avoir le mors au dent !”
“Faut une dose de cheval” 
*tarte d’Arthur*
13) épisode.s préféré.s ?
“La vie est belle”, “Le tourment II”, “La délégation maure”, “la sonde”, les deux épisodes sur les tartes, “la baliste”.
14) Unpopular opinion
Hm, j’en ai pas en tête.
15) Tu espères quoi pour la suite ?
PERCEVAL ET LE GRAAL, PERCEVAL ET LE GRAAL, PERCEVAL ET LE GRAAL
16) une chanson qui te fait penser à Kaamelott ?
“Les gens qui doutent” d’Anne Sylvestre :
J'aime ceux qui paniquent, ceux qui sont pas logiques, enfin, pas "comme il faut"
Ceux qui, avec leurs chaînes pour pas que ça nous gêne font un bruit de grelot
Ceux qui n'auront pas honte de n'être au bout du compte que des ratés du cœur
Pour n'avoir pas su dire "délivrez-nous du pire et gardez le meilleur"
J'aime leur petite chanson
Même s'ils passent pour des cons
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borisdetrachniminia · 4 years ago
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Critique : Le Révisoir
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Dans Le Révizor, Gogol brosse encore une fois le portrait peu flatteur de la bureaucratie Russe du XIXème siècle. Mais peut-on vraiment limiter sa critique à un temps ou une époque ? Je ne suis pas Russe et j’ai grandi dans le XXIe siècle, pourtant, les comportements décrits dans la pièce me sont pour le moins familiers, aussi il me semble que le regard acéré de l’auteur ne se limite pas à son temps et son milieu mais nous donne un éclairage universel sur la petitesse de l’homme dans son rapport au pouvoir.
Il n’est nullement question ici de détailler l’importance de Gogol dans la littérature Russe. Pas  question non plus de relater les divers réceptions de la pièce aux différentes époques de sa programmation. Malgré tout, il reste intéressant de souligner qu’elle eut droit à des accueils divers selon les interprétations et les époques qui l’ont vu jouer : Vaudeville cartoonesque, allégorie du diable en chacun de nous ou plus simplement satyre sans pitié de la société Russe, la pièce divise et est désigné tantôt pro-Tzariste, tantôt pro-soviétique. Elle justifie ainsi sa place au panthéon de la littérature, puisqu’en représentant un peu la profonde complexité de l’homme, elle transcende la vision de son auteur pour gagner au fil des lecteurs et des époques, une vie et un message universel en constante actualisation.
Tout d’abord, je confesse n’avoir pas vu la pièce, ma connaissance se limite donc à la lecture de cette dernière. Cela n’empêche pas l’humour de faire mouche à l’écrit tant les dialogues sont évocateurs et les situations cocasses.
Dans une petite bourgade de Province, les haut-fonctionnaires se retrouvent pour une réunion de crise. Un Révizor, c’est à dire un agent haut placé du pouvoir central de Saint Pétersbourg, s’apprête à visiter la ville. Or, entre alcoolisme, corruption et abus de pouvoir, ces gens ont des choses à se reprocher et craignent qu’un contrôle ne menace leur position. Par ailleurs, ils ont tout intérêt à être bien vus de ce visiteur qui en une lettre pourrait garantir leur avancement. Dès le début, c’est leur petitesse qui marque le lecteur. Les soucis de ces notables sont tout à fait déconnectés de leurs responsabilités et on est frappé par leur obsession du paraître : les élèves du maître d’école ont l’air trop stupides, l’hôpital à l’air trop rempli etc. Ils n’ont que faire d’arranger les problèmes qu’ils évoquent et se rejettent sans vergogne la faute les uns sur les autres. Leur seule qualité semble résider dans une certaine solidarité les poussant à collaborer pour créer une mascarade susceptible de satisfaire le Révizor, favorisant ainsi leurs avancements mutuels. On constate cependant rapidement la fragilité de cette collaboration, tant les intéressés sont prêts à se tirer dans les pattes à la première occasion. Tous occupés qu’ils sont à créer un beau mensonge pour la venue du prestigieux envoyé, ils se laissent entraîner de surinterprétation en surinterprétation jusqu’à se trouver convaincus qu’un vaut-rien de passage – Khlestakov - est en fait le Révizor. Les signes de l’irresponsabilité et de l’inconséquence du jeune homme sont alors interprétés comme des marques d’importance. D’abord surpris, ce dernier finit par utiliser ce malentendu à son avantage et profite grossièrement de la crédulité de ses hôtes.
Si l’humour de la pièce repose sur un quiproquo et donne l’occasion de rire des défauts de la société représentée, Gogol, contrairement à Molière, ne montre aucune bienveillance envers ses personnages qui sont avides, stupides et mesquins. Entre autres, la femme et la fille du gouverneur sont interchangeables et en compétition constante, l’inspecteur des collèges est paralysé devant une image d’autorité qu’il adule au point d’en perdre toute capacité d’expression, le juge est médisant, et le gouverneur qui se montre soumis et cajoleur envers ses maîtres est aussi cruel et vantard envers ses subordonnés. Khlestakov lui-même est un sot irresponsable qui doit plus ses méfaits à la chance qu’à la ruse et n’est sauvé au dernier moment que par l’intelligence de son valet. À aucun moment, les personnages ne s’encombrent de morale. Sans aucune lourdeur, Gogol nous montre les différents rôles sociaux assumés par les petits bourgeois de la pièce en fonction de leurs interlocuteurs. Tantôt mielleux et bêtement généreux, tantôt cruels et despotiques, tout n’est qu’avancement, intérêt et soumission face à un pouvoir et une reconnaissance sociale acceptés et désirés de tous.
Cela dit, on pourrait penser que la pièce date du XIXème siècle et qu’on n’a plus rien à en apprendre. Pourtant, l’œuvre semble toujours d’actualité. À la lecture du livre et en pensant à ces notables de province affublant celui qu’ils pensent être le Révizor de qualités exceptionnelles, comment ne pas penser aux relations des salariés face à la haute hiérarchie. Je me rappelle d’une conversation aux côtés d’un ami, au cours de laquelle ce dernier me racontait comment ses collègues encensaient l’intelligence incroyable d’un jeune manager qu’ils avaient croisé deux ou trois fois tout au plus. Comment aurait-il pu en être autrement ? Après tout, s’il est jeune et occupe un poste important, c’est sans doute qu’il est brillant. Ce raisonnement n’est pas stupide après tout, dès lors qu’on accepte l’idée que la hiérarchie est juste, c’est-à-dire qu’il faut accepter de se soumettre un peu devant l’autorité. Cela est d’autant plus visible quand on voit les fonctionnaires de la pièce parler entre eux pour encenser la supériorité de Révizor, relevant ses mots de manière sélective et leur prêtant un sens supérieur, légitime. Finalement, le public se rit d’eux tandis qu’ils sont roulés dans la farine par un sot, lui-même sorti d’affaire par son valet que personne n’estime.
On a beau se moquer des notables de la pièce, leur admiration envers les élites relève pourtant d’une tactique psychologique cohérente, car en effet, apprécier les représentants du pouvoir facilite notre envie de leur ressembler. Le monde de l’entreprise a cela de commun avec l’administration provinciale de Gogol qu’il présente un terreau fertile à une vénération du pouvoir par ceux qui en sont légèrement dotés : tout le monde croit pouvoir monter, on veut être à la place de nos chefs et donc, quelque part, leur ressembler. Je ne parle pas ici d’un N+1, mais d’un supérieur hiérarchique occupant une position qui nous paraît inaccessible et donc prestigieuse. Un seul de ses mots et vous pouvez tripler votre salaire, fréquenter des ministres et des maires …
Mais avant, il faut qu’on vous ouvre la porte, et pour cela il faut qu’on vous apprécie. Alors il faut cajoler ses supérieurs, faire de la politique. Car ce sont bien nos chefs, petits ou grands, qui décident de notre avancement. Le souci des apparences qui anime les notables de la pièce se justifie dans tout fonctionnement hiérarchique. En effet, nos supérieurs ne peuvent nous juger que sur ce qui est montré, en opposition à ce qui est fait. Nos motivations pour cela peuvent varier … Qu’on ait peur, qu’on cherche la gloire, l’argent ou simplement une place au soleil pour se bourrer la gueule, la pérennité des ambitieux passe par une certaine soumission aux élites : ces êtres choisis qui peuvent faire don de leur amitié, un cadeau inestimable pour servir l’orgueil de quelques petits chefs.
Prenons l’exemple d’une personne réelle que j’ai connu et ne nommerai pas. Fière de sa position, cette manager n’hésitait pas à se ruer comme un toutou devant les directeurs régionaux pour effectuer des tâches dignes d’un stagiaire bac-4. Elle le faisait probablement dans l’espoir d’un retour d’ascenseur, un peu comme les fonctionnaires de Gogol donnent sans réfléchir leur argent au faux Révizor. Tout pour la hiérarchie ! En se battant pour ses chefs, elle défendait sa propre position, sa soumission était le prix de son accès à une certaine forme de domination. Accepter la supériorité des maîtres lui permettait d’assoir son pouvoir sur ceux qu’elle estime naturellement sous ses ordres. Tout cela semble fort proche de la pièce de Gogol qui montre admirablement des petits bourgeois qui se battent au cœur d’un système qu’ils estiment légitimes pour défendre leur position et en grimper les échelons, garantissant ainsi la légitimité et le prestige de ceux qui les dirigent.
En fin de compte, je recommande ce livre à tous les petits chefs qui en jouant sans s’en rendre compte le jeu d’un pouvoir qui les exploite, sont les dindons d’une farce bien réelle. Or cette farce n’est drôle que quand on en ridiculise les acteurs, car si l’on peut rire de leur hypocrisie, de leur servilité ou de leur orgueil, la pièce n’oublie pas de montrer les conséquences de leur égoïsme. Le peuple souffre, il demande le changement, mais il est rendu impuissant. Les plus faibles sont forcés de demander le soutien de celui qu’ils croient être le Révizor : la petite bourgeoisie contribue donc à donner une image positive des grands maîtres, ces hommes à la culture et aux valeurs supérieures qui sont capables de rendre la justice. On peut constater des processus similaires dans le monde de l’entreprise, où les N+2 paraissent souvent sympathiques, au même titre que tous les grands dirigeants.
« Vous voyez, on voit qu’il a su rester simple et garder les pieds sur terre, d’ailleurs il m’a dit bonjour dans l’ascenseur …  rien à voir avec tous ces petits chefs ! » (Phrase type qu’on entend à la machine café.)
Jamais un blâme, toujours des encouragements et des belles paroles. Le blâme c’est le rôle du N+1, et ce sont les petits chefs qu’on peut détester, peut-être simplement car ils sont à notre portée. Ainsi, on se dit que si l’on conversait directement avec nos patrons, on aurait une oreille plus juste, plus noble et plus à même de nous comprendre, car après tout, s’ils ne disent rien, c’est sûrement qu’ils ignorent tout. Douce ignorance et beau statu quo qui légitime et stabilise la position des chefs d’entreprise : la hiérarchie se couvre sans se forcer. D’ailleurs, si Khlestakov se montre bienveillant aux supplications du peuple, il n’a aucune intention d’intervenir en leur faveur ne serait-ce qu’une seconde.
On pourrait regretter de trouver la classe dominante absente, voire épargnée dans la pièce de Gogol. Pourtant, le fait de ne pas la représenter directement renforce son pouvoir. Les maîtres sont loin, invisibles et inaccessibles. Malgré tout, on peut supposer qu’elle n’est pas épargnée par la pièce dont le sous-texte attaque violemment la légitimité du pouvoir. À commencer par Khlestakov, ce faux Révizor, ce dirigeant factice auquel on attribue tant de qualités. Car après tout, d’où vient la crédibilité d’un roi, d’un héritier ou d’un intendant à diriger, si ce n’est de la confiance qu’a le peuple dans les institutions ? Que Khlestakov soit une représentation directe de la classe dirigeante ou non n’a d’ailleurs que peu d’importance, ce qui compte c’est que doté du pouvoir pendant un instant, il ne sert que son propre plaisir. De la même manière, on comprend mal pourquoi il devrait en être autrement de la part de cette classe dirigeante invisible. Sûrement le vrai Révizor, dont on ne voit jamais l’apparition, est-il semblable aux notables de campagne caricaturés dans la pièce … difficile d’imaginer quelles motivations le pousseraient à modifier l’ordre des choses. Peut-être se montrera-t-il lui aussi corruptible et égoïste ? Il convient tout de même de nuancer cette interprétation car la pièce n’apporte aucun élément concret dans ce sens. Elle s’achève même sur l’apparition du Révizor légitime, laissant suggérer qu’il représente en effet la justice qui s’apprête à rendre son verdict, d’où peut-être certaines critiques accusant Gogol de soutenir le pouvoir en place.
Et pourtant, lisant Le Révizor avec un regard moderne, la pièce marque de manière amusante, froide et réaliste, les mécaniques du pouvoir soutenues par la servilité des petits bourgeois envers un système qui les rend assez puissants pour prétendre à des privilèges tout en étant soucieux de les perdre.
 Merci à Laura Chouzi pour l’aide à la relecture
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capitainerowen · 1 year ago
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LECTURES DE 2024 : Hunger Games : La ballade du serpent et de l'oiseau chanteur - Suzanne Collins
Lecture terminée le 14 mai 2024 (57/60)
Donc en fait, ce n'est pas la 57ème mais j'avais complètement oublié de la partager, alors on va faire semblant!
Nombre de pages : 560
Ravalant son aigreur, il accepta les félicitations qui pleuvaient sur lui de tous côtés. Elles l'aidèrent à se rappeler que c'était lui la vedette de la soirée. Quoi qu'en pense Lucy Gray, aux yeux du Capitole, elle lui appartenait. À quoi bon attribuer un quelconque mérite à une fille des districts ?
Ma "57"ème lecture de l'année a été le préquel de Hunger Games, "La ballade du serpent et de l'oiseau chanteur", roman écrit par Suzanne Collins !
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(Parce que j'avais oublié que je n'avais pas partagé ma lecture ici, j'ai aussi oublié de prendre mon livre en photo, oups, mais ça fera l'affaire)
Résumé : C'est la dixième édition des Hunger Games, et la dernière chance pour Coriolanus de redorer l'image de sa famille, et de ne pas avoir à avouer que les Snow n'ont plus la moindre fortune, en devenant mentor pour l'un des tribus des jeux. Seulement, on lui attribue la fille du douzième, Lucy Gray Bird. Il le sait, elle n'aura aucune chance de gagner en jouant à la loyale, alors il devra tricher pour leur succès à tous les deux.
CW/TW : meurtres, morts par maladie, pendaisons, violences physiques, violences par arme blanche, violences par arme à feu, tortures, déshumanisation, classicisme, mépris de classe, guerre, canibalisme (mentions), etc...
Alors, j'étais sûr d'avoir parlé de ma lecture de ce tome de Hunger Games y'a 15 jours, mais j'ai dû oublier! Enfin, ne vous en faites pas, la voici!
C'était très intéressant de lire ce tome! Je ne dis pas que j'apprécie Coriolanus, bien évidemment que non, c'est un connard qu'on ne peut qu'apprécier détester. Il est horrible, ignoble, plein de certitudes et ne se remet jamais en question, ce qui est très intéressant mine de rien, parce qu'à le voir, on dirait carrément que le Coriolanus jeune est une plus grosse ordure que le Coriolanus vieux, mais ça fait que la façon dont il est perçu par les fans me perturbe. Vraiment, quand je vois autant de gens dire "Corionalus babyboy", moi ça me dérange :/ Après, il y a toujours eu et il y aura toujours des gens qui sont fans d'ordures/connards dans la fiction, mais ce qui me crispe le plus, c'est quand l'intégralité de son personnage est remodelée pour mettre en valeur quelque chose qui n'est pas lui.
Enfin bref, c'était pas mal du tout, j'ai passé un plutôt bon moment dessus, et lire Hunger Games dans le contexte actuel est doucement ironique, surtout ce tome-ci.
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emmaescat · 5 years ago
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Manifeste du Tiers Paysage – Gilles Clément
Je pensais que le texte de 25 pages serait forcément celui que j'allais détester, mais bien au contraire.
Ce texte m'a faite penser, m'a insupportée, m'a instruite, m'a énervée, m'a fait me poser des questions. Certes, je ne l'ai pas compris dans son entièreté , et c'est souvent pour cette raison que je ne me sent jamais légitime de parler d'un texte. Mais j'en ai compris bien assez pour en être inspirée.
Je me suis questionnée sur la place de l'Homme sur cette planète, son importance et surtout les conséquences de ses décisions. Plusieurs réflexions m'ont traversée comme : pourquoi chaque mètre carré de cette planète est-il sensé passer sous le jugement de l'Homme pour savoir à qui il appartient, qui peut ou non s'y trouver, etc... ?
Ce texte montre clairement l'impact de l'Homme sur les écosystèmes et la biodiversité et démontre que nous sommes la seule espèce qui va à contre-courant (de sa nature, de l'environnement...).
L'espèce humaine est partout. Elle s'approprie tout. Il reste encore quelques vastes espaces compliqués à apprivoiser où l'humain n'est pas dans son élément, et est donc limité (pour une fois); à savoir l'espace et l'océan.
Une question m'a alors obsédée ; à quoi ressemblerait la Terre si l'humain n'avait jamais existé ?
Ces espaces sont finalement assez fascinants... ils m'inspirent la liberté.
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spicylia · 5 years ago
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🖤 Screen Queen Unexpected Season, Épisode 2 :
Cendrillon & la Naissance de Spicylia.
/!\ Avant d’entrer dans le vif du sujet je tiens juste à préciser que cet Épisode est bel et bien la Suite du 1er, autrement dit aucun message n’a été oublié, tout est à la suite, et tout sera à la suite car comme j’aime le dire : Je n’ai rien à cacher, j’estime donc que Synder non plus, et personne d’autre ! (je dis ça au cas où vous voudriez parler dans mon dos et que ça remonte jusqu’à moi. En soit ça ne me dérange pas tant que ça me casse pas les bonbons comme Synder et Loplo l’ont si bien fait, derrière mon dos, et celui des autres. Bref.)
Reprenons :
…C’est quelques temps après avoir savourer le Premier Épisode d’Halloween d’Eldarya, introduisant Cornélia et son background très prometteur ainsi que davantage de fonds magnifiques et de tenues correctes - que peu de gens ont relevé parce que c’est mieux de pointer SURTOUT ce qui ne va pas (les illustrations “trop chères” sachant que de base c’est pas sensé être gratuit, un Event, oui car c’est du Contenu Facultatif ! Comme chaque contenu facultatif d’un Jeu Vidéo ! C’est jamais gratuit généralement !) - que, Sugariel, devant tant d’ingratitude s’est décidé à faire ce qu’elle ne pensait pas refaire dans la même année : Poster sur le Livre d’Or !
Il faut savoir que Sugariel est Balance, ou plutôt, son Créateur (moi, coucou lol ! You like my hair ? Gee thanks, just bought it ! 🎵💥), et, ça fait rire certains qui vont se foutre de ma gueule parce qu’ils sont tellement intelligent “apparemment” mais une des caractéristiques des personnes nées sous le Signe des Balances c’est de Balancer la JUSTICE ! Autrement dit, si toi là… oui toi là ! ‘vec ta tête-là : Si la Madame Balance elle voit que tu aimes bien parler, mais que ton bla bla bla comporte plus de négatif que de positif ET que ça en devient une généralité, faisant que le peu de Positif se noie dans le Négatif Dominant… la Madame Balance elle fait quoi ? Tu crois qu’elle va croiser les ailes ? Tu crois qu’elle va faire genre qu’elle a rien vu, passer son chemin ? Faire “Yeaaah wouh wouh wouh heeey !” Bien sûr ! …parce que la Madame Balance, elle est inscrite depuis le 17 Décembre 2014 sur Eldarya ! ET, avant le 6 Novembre 2019, elle n’avait pas encore balancer ce qu’elle devait balancer ! Autrement dit : Si toi là, oui toi là, encore, décidément, ‘vec ta tête-là t’sais… si tu fais l’étonné “apparemment” parce que la Madame Balance, après toutes ces années de bienveillance, elle craque enfin et décide de dire ce qu’elle pense… bah en fait : Phoque. The phoquing Phoque ! Phoque you. Phoque yall. Phoque everything ! Tu comprends ou tu comprends pas ? …Non tu comprends pas, donc continuons :
Le Post que Synder a supprimé d’une part s’appelait “Team Maananas VS Team Bank Band”, un post qui a été imaginé quelques jours après la fin de l’Event d’Halloween dans lequel, vu que les rageuses ont ragé, eh bien Sugariel aussi a ragé contre les rageuses, rien de tellement étonnant…à mon sens* (je commence à croire que c’est parce que je suis Marseillais que ça ne me choque pas. Ya pas ça dans le Nord ? En Bretagne ? A Nantes ? Non ? Alala, petites natures. Et c’est moi le Bisounours. HUM. Bref.) …MAIS, quand j’ai reçu le message de Synder, devenue Modératrice depuis 2016 (bien sûr que j’ai retenu, à quoi servent les screens selon vous ?!), qui était toujours mon amie à mes yeux : Je n’ai pas pété un câble ! Mon post a été supprimé. CENDRILLON, n’a pas eu la gentillesse de me le copier/coller pour que je l’édite, comme pourtant, Adzriel, that Queen, me l’avait fait gentiment la première fois que j’ai posté sur le Livre d’Or (retenez bien parce que c’est un détail hyper important !) …MAIS : J’ai compris et accepté, vous avez les screens devant les yeux donc ya pas de “ouais nan peut être”.. Mon post a été supprimé. MAIS, têtue comme je suis, car oui hein, je sais pas si vous avez remarqué… je tenais quand même à Balancer ce que je voulais balancer ! Autrement dit parler de l’ingratitude de certaines joueuses, bien évidemment… ou plutôt pas de façon aussi évidente !
…C’est ainsi~ que Sugariel~ après avoir médité pendant 2 jours (vous avez les dates sous les yeux donc ya pas de “oui non peut être” !) a décidé de fouiller dans la Bibliothèque, à l’époque où son Doppelgänder dénommé Ykhar était encore en vie *tousse* plus ou moins… et de trouver un Grimoire Magique lui permettant de faire ce qu’elle appellera clairement : Extérioriser son Coté Obscure ! …mais rien. Nada. Niet ! …Heureusement~ vu qu’elle avait bestfriendé avec Cornélia, sa $ista, sa Bee’tch, #ReadheadPower, celle-ci lui a donc rendu ce $ervice qui causera par la $uite la mort de Bee’tch’moov (Yes Bee’tch !) : Créer Spicylia ! …je ne sais plus comment Cornélia a fait, il me semble qu’il faut : Du Sucre, des épices, et un tas de bonnes choses…et un agent bizarre… je crois que ça s’appelait “Agent Chimique ikcquss” bref : Spicylia est née.
Deux jours après comme dit, Sugariel revient donc, avec une petite Pièce de Théâtre introduisant son Clone, sa Soeur, Jumelle Maléfique dénommée Spicylia ! Le but de Spicylia était simple : Dire tout le contraire de Sugariel ! Rien d’autre ! …bon et aussi s’habiller, mais là encore de façon Opposée pour accentuer le Concept, le but de sa Création en tant que phoquing OC, non existant.
Fière de sa pièce de théâtre qu’elle jugeait originale, Sugariel s’en va donc avec sa Soeur Spicylia, histoire de lui faire visiter le QG, les boutiques, Alajéa, toussa toussa, et ensuite revenir pour voir si la pièce de théâtre a plu - avec Spycilia - toujours présente, puisque une fois créée elle est créée. Ya pas moyen que Spicylia s’en aille.
Eh ben non. Encore une fois Cendrillon, le Démon qui a mangé la Synder originelle, a tout cassé parce que… parce que QUOI ?! 
*sort son mégaphone rose bonbon à paillettes*
“une attaque contre le joueuses qui ne partagent pas le même avis que toi”
Une attaque contre les joueuses ?! Attends-ttends-ttends Princesse… parce que j’ai screené mon Post entier, hein…. tu l’as vu, tu l’as supprimé, je l’ai reposté là bas, à gauche, à droite, au centre, au milieu, en bas, en haut, etc etc etc, et à AUCUN MOMENT Sugariel, donc MON personnage, “existant”, ME représentant, n’a attaqué les joueuses. ET… oui j’avoue que Spicylia l’a fait par contre. Mais Spicylia est un OC. Donc qu’est-ce que j’ai fais moi ? J’ai demandé à Synder si je pouvais éditer mon Post pour PRÉCISER justement les détails à prendre en compte concernant Spicylia et, Synder m’a mis un gros vent. Sachant que là encore pas de possibilité d’éditer mon Post. Alors que c’était possible d’éditer ses posts supprimés avec Adzriel. Mais comme je ne suis pas aussi débile qu’on le pense, à tel point qu’au final j’arrive à faire pleurer toutes personnes qui l’ont cru : Bah j’avais enregistré mon post.
Donc vu que j’ai pas de réponses de la “Modératrice-là” dénommée Synder, je reposte donc ma “pièce de théâtre” MAIS avec les précisions en orange cette fois, de façon bien cordiale et rigolote, car à cette époque ma Bonne Humeur était toujours en acier. Et c’est supprimé encore ! Et là elle me sort quoi la Cendrillon ? 
*ressort son mégaphone rose bonbon à paillettes*
“Ce n’est pas un avis général sur le jeu mais un prétexte pour écrire une parodie irrespectueuse des joueuses qui ne partagent pas ton avis, ce qui installe un climat de conflict”
…Bien sûr que c’était une Parodie ! Mais que je sache, le principe d’une Parodie c’est pas de “faire la Barbie Princesse Magique et sa copine Barbie Princesse magique 2″ ? Une Parodie a pour but de se moquer de certaines choses, là en l’occurrence, le Jeu Eldarya, de façon GLOGALE. Sauf que dans la Globalité du jeu, bah ya pas que du Positif ! Donc au bout d’un moment : On ne peut pas parler du Négatif mais juste du Positif. Moi j’appelle ça de la Dictature. Surtout que comme je le dis et le répète : 
📣 Spicylia est un OC ! 
Un Original Character ! MON Personnage Original ! A MOI. Donc personne d’autre que MOI ne peut savoir mieux que MOI ce qu’est mon OC et ce qu’il n’est pas. Tu peux pas venir en face de moi et me dire que “oui mais non ton OC est comme ça !” si moi je t’explique que non “il est comme ça et pas autrement”. Bref. Quoi que non, pas bref, car généralement, dans toute Oeuvre, lorsque des théories sont faites sur des Personnages, quand le Créateur dément certaines théories : Il n’y a plus rien à dire ! …tu peux pas continuer à théoriser sur ce qui est devenu un Fait. Ou comme j’aime le dire : Me casses pas les bonbons alors que je t’ai expliqué mon Concept. Je te l’ai expliqué en mp. Je l’ai expliqué en orange. Je pensais pas devoir écrire un Livre là dessus pour que TU comprennes que : La Présence de Spicylia n’était pas réellement à prendre en compte !
Pourquoi je dis ça ? Je dis ça parce que Spicylia est un OC. Sugariel est un OC. Mais Spicylia n’est PAS une Joueuse. Tandis que Sugariel oui. C’est moi. Autrement dit, si tu veux détester Spicylia, tu peux vu qu’elle sert à ça ! …mais concernant Sugariel, c’était bien Sugariel qui détenait MON véritable Avis !
Dans la vie pour se mettre en valeur, il faut forcément qu’il y ait quelque chose de négatif à coté pour se mettre encore plus en valeur. Spicylia servait complètement à ça en disant tout le contraire de Sugariel : Tout le contraire de ce que JE pense ! 
Spicylia était donc un Accessoire INDISPENSABLE. Parce que mon Avis sans Spicylia ben, c’est bien mon Avis Véritable (ou plutôt Sojariel, car j'assume pas en tant que Sugariel), mais vu qu’on adore me faire passer pour un “Bonbon rose” ou un “Bisounours” parce que “apparemment” être bienveillant c’est être débile… bah j’avais besoin de Spicylia pour qu’on se rende compte que je ne suis peut être pas si pire que ça vu que j’ai créé le Pire et je l’ai nommé Spicylia !
Parce que dans la Globalité du Jeu, dans mon Avis du Livre d’Or, certes quand on a un cerveau discount comme Synder on comprend qu’il y a une critique de certains joueurs. MAIS : Quand on a un cerveau beaucoup plus développé on se rend compte qu’il y a ça, oui, parce que ça fait partie de la Globalité du jeu, mais il y a aussi moi la dedans qui essaye de faire comprendre AUSSI que j’en ai mare de passer pour quelqu’un de débile alors que si vous lisez que la partie “Sugariel” ben vous devriez remarquer que je sais faire un commentaire littéraire argumenté en plusieurs parties. Et non seulement je sais faire ça, mais en plus dans cette même partie “Sugariel” il y a autant de positif que de négatif. Tout comme dans la partie “Spicylia” il y a également du négatif et du positif ! …parce que j’ai utilisé des tas de techniques littéraires dans mon Avis Global sur le Jeu Eldarya. La création de Spicylia était beaucoup plus complexe que ça. Si j’avais été vraiment débile et que Synder avait été vraiment intelligente dans le sens OBJECTIF du terme, je n’aurai pas à argumenter encore là dessus. Et devoir exposer sa Connerie. Et celle de Bee’tch’moov. Et celles de ceux qui me prennent encore pour une débile. BREF :
“Spicylia reviendra faire son show ¨w¨ …mais pas sur le Livre d'Or xD (ou alors je vais encore faire la suicidaire mais de façon light x’D)“
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(en gros je t’ai fais un Lac des Cygnes version $irènes mais si t’as rien compris, tu peux t’en prendre qu’à toi. Et ce n’est que le deuxième épisode le pire. Les preuves sont les preuves donc ta gueule.)
…Dans le prochain épisode, Sugariel & Togame organiseront une petite Tea Party assez spéciale dans le Château de Cendrillon.
Bien sûr, deux Balances dans une même pièce ça ne peut qu’être… Diver-tea-ssant ! …mais que va penser Cendrillon ? 
Et pourquoi organiser une telle Tea Party ? …Togame aura-t’elle des choses à dire là dessus ?! Sugariel oui en tout cas.
La suite au Prochain Épisode. 🖤💥
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rainbowtheque · 5 years ago
Text
5000 km entre nous
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Titre : 5000 km entre nous
Autrices : Allison Raskin ; Gaby Dunn
Roman
Genre : Contemporain / Récit de vie
Maison d’édition : Flammarion Jeunesse
Disponible en version numérique et papier - Nombre de pages : 368 
Age conseillé : Ado
Résumé :
Ava et Jenny sont pour la première fois séparées. 5000 km l'une de l'autre...
Roman « épistolaire » sous forme de SMS et d’e-mails.
Extrait :
Ava Helmer à Jenny : Chère Meilleure Amie, C’est le cœur lourd que je t’écris le premier de ce qui sera, j’imagine, une longue série d’e-mails détaillant chaque seconde de nos vies d’étudiantes. Grandis ! Épanouis-toi ! Expérimente des choses pour que je n’aie pas à le faire. Tu vas me manquer chaque seconde de chaque jour. Je sais déjà que je vais détester tout le monde sauf toi. Ava Helmer (cette petite brune qui ne te lâche jamais).
Jenny Goldman à Ava : On est encore dans la même pièce, espèce de cinglée. Arrête de pleurer. J. (la blonde hyper embarrassée par les grandes scènes d’émotion).
Identités représentées :
1 héroïne altersexuelle ; 1 personnage secondaire lesbienne ; 1 personnage secondaire trans
Thématiques LGBT+ présentes :
Coming-out ; Questionnement sur l'orientation sexuelle ; Transphobie (pas forcément le sujet principal) ; Romance lesbienne (secondaire, ce n'est pas vraiment une romance mais plutôt une histoire de sexe)
Autres thématiques :
TOC ; Famille dysfonctionnelle ; Premières fois ; Université
Avis de Lalectricelunatique :
« 5000km entre nous est un très bon roman, original par sa forme car on a ici un roman entièrement composé de sms et de mails échangées entre les deux meilleures amies Ava et Jenny. J'ai énormément aimé le personnage d'Ava qui est un personnage hyper attachant et très touchant de part sa phobie sociale et ses angoisses qui la rende très humaine, très juste. J'ai eu un peu plus de mal avec Jenny car elle est l'exacte opposée d'Ava et ses réactions m'ont parfois perdues. Mais elle reste un personnage intéressant pour ce qu’elle défend, l’altersexualité .
Les autrices parlent de beaucoup de sujets assez importants comme l’orientation sexuelle, les maladies mentales, les familles dysfonctionnelles, les premières fois, la communauté LGBT plus largement également parmi d’autres et j’ai trouvé que ça apportait une autre dimension au roman, plus profonde. Alors les sujets ne sont pas forcément traités en profondeur parce que encore une fois on a que des dialogues entre les amies donc on connait pas forcément le passé des héroïnes etc mais je trouve que c’est malgré tout intéressant d’avoir intégré ces sujets-là.
Pour ce qui est de l’histoire, c’est assez classique, on nous raconte juste les déboires et aventures de ces deux étudiantes lors de leurs premières années de fac donc fête, sexe & alcool (et un peu les cours quand même) donc si vous cherchez de l’action à gogo, ce n’est peut être pas le livre qu’il vous faut. Mais l’amitié est au centre de tout, toujours et c’est tellement beau la relation entre Ava et Jenny. Elles sont bienveillantes l’une envers l’autre, se soutiennent et c’est le genre de relation que j’aime lire dans un roman. »
Avis de Gaëlle :
« C'est un très chouette livre. Les deux héroïnes principales sont très attachantes et l'écriture est super agréable à lire. »
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