#p: thelonious monk
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cloudshades · 1 year ago
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thelonious monk & nina simone by nica de koenigswarter via mubifrance
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carbone14 · 1 year ago
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Thelonious Monk, Howard McGhee, Roy Eldridge et Teddy Hill à la sortie du club Minton's Playhouse - New York - Septembre 1947
Photo de William P. Gottlieb
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koshigurajumy · 4 months ago
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youtube
Thelonious Monk Quartet - Round Midnight (1966) Thelonious Monk(p) Charlie Rouse(ts) Larry Gales(b) Ben Riley(ds)
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jazzplusplus · 7 months ago
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1961 - Thelonious Monk Quartet - Kurzaal in Scheveningen (La Haye / Den Haag)
Thelonious Monk (p), Charlie Rouse (ts), John Orr (b), Frankie Dunlop (dr)
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newjazzthings · 1 year ago
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THELONIOUS MONK / THELONIOUS HIMSELF
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jpbjazz · 1 year ago
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LÉGENDES DU JAZZ
BUD POWELL, LA DESCENTE AUX ENFERS D’UN GÉNIE DU JAZZ ‘’I think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If you’re thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.”
- Sonny Rollins
Né le 27 septembre 1924 à Harlem, Earl Rudolph ‘’Bud’’ Powell était le fils de William Powell Sr., un pianiste de stride, trompettiste et joueur de trombone, et de Pearl Young, une violoniste. Powell avait deux frères, William (né le 15 mars 1923) et Richard Bertram (né le 5 septembre 1931).
Powell était issu d’une famille musicale. e frère aîné de Powell, William, jouait de la trompette et du violon. Le plus jeune frère de Powell, Richie, était aussi un pianiste de bop réputé.
Powell, qui avait seulement cinq ans au moment de la mort de son père, avait été élevé par sa mère avec ses frères.
À l’âge de cinq ans, Bud avait commencé à apprendre le piano d’un professeur indien appelé Rawlins. Deux ans plus tard, il avait été initié à la musique classique en jouant à l’église et dans les chorales de son école.
Bud avait fait sa première apparition publique dans un party où il avait imité le pianiste Fats Waller. La première pièce de jazz que Powell avait interprétée était ‘’Carolina Stout’’ de James P. Johnson.
Au printemps 1940, à l’âge de quinze ans, Powell s’était joint au groupe de son frère, les Skeets Powell and Hill Jolly Swingers. C’est probablement à cette époque que Powell s’était lié d’amitié avec un autre pianiste, Allen Tinney. Entre 1940 et 1942, avec Tinney et un autre pianiste, Gerald Wiggins, Powell avait commencé à fréquenter les clubs de Harlem, où il avait lancé des défis à d’autres pianistes.
D’abord influencé par la musique classique, Powell avait commencé à étudier le jazz à l’âge de douze ans. Ses premières influences en jazz avaient été les pianistes Fats Waller, Earl Hines, Jelly Roll Morton, Thelonious Monk et Art Tatum.
Après avoir entendu Art Tatum à la radio, Powell avait tenté d’imiter sa technique.
Après avoir étudié à la Wendell Phillips Academy, où il avait pris des leçons avec le docteur John DeMarco, Powell avait fréquenté le Conservatoire de Musique de Chicago. En 1935, alors qu’il avait treize ans, la mère de Bud lui avait offert un piano. À l’époque, Bud étudiait la musique classique au New York Conservatory of Music.
En 1938, à l’âge de seulement quinze ans, Powell était entré à la Juilliard School of Music, où il avait étudié la composition, l’harmonie, le contrepoint et l’orchestration sous la direction de Lennie Tristano.
Après avoir décroché son diplôme, Powell avait continué d’étudier avec Tristano durant sept ans. CARRIÈRE PROFESSIONNELLE Dans sa jeunesse, Powell avait assisté à des concerts à l’Uptown House, un club situé près de chez de lui, où il allait souvent voir jouer Charlie Parker et Thelonious Monk.
Powell avait amorcé sa carrière professionnelle comme membre de l’orchestre d’Artie Shaw en 1940. C’est là qu’il avait rencontré Charlie Parker qui était rapidement devenu son mentor et l’avait invité à venir jouer avec son groupe. Powell était demeuré trois ans avec Parker avant de se joindre aux Jazz Messengers d’Art Blakey en 1941. Lorsque Monk avait rencontré Powell pour la première fois à l’automne 1942, il avait été tellement impressionné par le jeune pianiste qu’il avait décidé de le présenter à ses musiciens du Minton’s Playhouse. Monk, qui avait vite pris Powell sous son aile, avait d’ailleurs composé une pièce en son honneur intitulée ‘’In Walked Bud.’’ Mais si Monk avait tendance à se servir du piano comme instrument de percussion, Powell se servait plutôt du piano comme un instrument à vent et tentait d’imiter les saxophonistes et les trompettistes qu’il admirait. Son style était une combinaison de musique classique et d’improvisation.
Au printemps 1943, le contrebassiste Jimmy Butts avait proposé la candidature de Powell pour jouer dans le Sunset Royals Orchestra, un groupe de danse dirigé par Doc Wheeler. Powell s’était rapidement lié d’amitié avec un des trompettistes de l’orchestre, George Treadwell.
Entre l’été et l’automne de 1943, Treadwell, qui était conscient que le talent de Powell était sous-exploité, avait décidé de quitter les Sunset Royals pour former son propre groupe avec Powell. Le trompettiste Cootie Williams, qui dirigeait son propre orchestre de danse, avait vu le groupe de Treadwell à l’oeuvre, et avait décidé par la suite d’engager plusieurs de ses musiciens, dont Powell.
À la fin de l’année 1943, on avait proposé à Powell de jouer avec le quintet d’Oscar Pettiford et de Dizzy Gillespie, mais, comme le groupe se produisait dans un club de nuit, la mère de Bud avait décidé qu’il était préférable que son fils continue d’occuper un emploi plus stable dans l’orchestre de Williams.
La décision de la mère de Powell était tout à fait pertinente car l’année suivante, Powell avait participé à quelques sessions d’enregistrement avec Williams. L’une d’entre elles comprenait le premier enregistrement de l’histoire de la pièce ‘’Round Midnight’’ de Monk. Le contrat de Powell avec Williams avait pris fin à Philadelphie en janvier 1945. Après le concert, Powell se trouvait près de Broad Street Station lorsqu’il avait été arrêté dans un état d’intoxication avancé par la police du chemin de fer. Un des policiers l’avait d’ailleurs frappé durement à la tête après qu’il ait résisté à son arrestation. Remis aux constables de la ville, Powell avait été brièvement incarcéré.
Dix jours après sa libération, comme ses maux de tête ne démontraient aucun signe de ralentissement, Powell avait été admis à l’Hôpital Bellevue, avant d’être envoyé à l’hôpital psychiatrique de Pilgrim State situé à une soixantaine de milles plus loin, où il était demeuré durant deux mois et demi. Il est très probable que les coups que Powell avaient reçus à la tête avaient provoqué une commotion cérébrale et avaient été la cause de ses fréquents maux de tête et de ses problèmes de comportement au cours des années suivantes.
Après sa libération en avril 1945, Powell était aller jouer à Manhattan avec le batteur Sid Catlett et le saxophoniste ténor Don Byas. C’est alors qu’il avait été recruté par le contrebassiste John Kirby afin de prendre la place du pianiste Billy Kyle avec son groupe.
En 1945-46, Powell avait enregistré avec Frank Sololow, Sarah Vaughan, Dexter Gordon, J.J. Johnson, Sonny Stitt, Fats Navarro et Kenny Clarke. Le 6 mars 1947, Powell avait dirigé ce qui avait sans doute été son premier concert sous son nom à Harlem.
Powell étant reconnu pour son habileté à lire la musique et à exécuter des pièces au tempo rapide, Charlie Parker l’avait choisi comme pianiste en vue d’une session d’enregistrement qui devait avoir lieu le 8 mai 1947 avec un quintet composé de Miles Davis, Tommy Potter et Max Roach. C’était la seule fois de l’histoire où Powell et Parker participaient à la même session d’enregistrement.
La seule autre session d’enregistrement à laquelle Powell avait participé en 1947 avait eu lieu le 10 janvier dans le cadre d’un enregistrement avec son trio formé de Curly Russell et Max Roach. UNE SANTÉ MENTALE PRÉCAIRE Le 14 novembre 1947, Powell avait eu une altercation avec un client dans un bar de Harlem. Au cours de la bagarre, Powell avait été frappé par une bouteille au-dessus de l’oeil. Lorsque les employés de l’hôpital de Harlem avaient examiné Powell, ils l’avaient trouvé incohérent et turbulent. Ils l’avaient donc fait admettre à l’Hôpital Bellevue, où il avait déjà été soigné précédemment. À leur tour, les employés de l’Hôpital Bellevue n’avaient pas su quoi faire de Powell et l’avaient envoyé au Creedmoor State Hospital, où il avait été gardé durant onze mois.
Powell s’était assez bien adapté à son séjour à l’hôpital, même si lors d’examens psychiatriques il s’était plaint d’avoir été persécuté en raison de sa couleur. De février à avril 1948, Powell avait été soumis à une thérapie par électro-chocs après avoir appris que sa petite amie Mary Frances Barnes était enceinte. La thérapie n’ayant pas produit les résultats souhaités, les médecins de Powell lui avaient administré une seconde série de traitements en mai. Powell avait finalement été libéré en mai 1948. Le 1er juin, l’amie de coeur de Powell, Mary Frances, avait donné naissance à son seul enfant, une fille qui avait été baptisée sous le nom de Cecelia June Powell.
Après avoir été brièvement hospitalisé au début de l’année 1949 après avoir enfreint les conditions de sa libération, Powell avait fait quelques enregistrements durant les deux ou trois années suivantes (notamment avec Sonny Rollins et Fats Navarro), principalement sous étiquette Blue Note, Mercury, Norgran et Clef. Powell avait également enregistré pendant l’été pour le compte de deux producteurs indépendants avec son trio habituel composé de Max Roach et Curly Russell. Les huit ‘’masters’’ qui avaient résulté de ces enregistrements n’avaient été publiés qu’en 1950, après que les disques Roost aient racheté les ‘’masters’’ et les aient publiés sous forme de 78-tours. Le musicologue Guthrie Ramsey avait écrit qu’avec cette session "Powell proves himself the equal of any of the other beboppers in technique, versatility, and feeling."
Le 17 septembre 1949, Powell avait signé le premier contrat de sa carrière avec le producteur Norman Granz. Powell avait fait ses débuts à Carnegie Hall le soir de Noël de 1949 avec son trio. Participaient également au concert le saxophoniste ténor Stan Getz, la chanteuse Sarah Vaughan, le pianiste Lennie Tristano et Charlie Parker.
Parmi les musiciens qui avaient participé à la session d’août 1949 pour Blue Note, on remarquait Fats Navarro, Sonny Rollins, Tommy Potter et Roy Haynes. Au nombre des pièces interprétées par le groupe, on remarquait ‘’Bouncing with Bud’’ et ‘’Dance of the Infidels.’’ La session de 1951 mettait en vedette le trio de Powell avec ses acolytes Curley Russell et Max Roach. Parmi les pièces enregistrées, on relevait ‘’Parisian Thoroughtfare’’ et ’’Un Poco Loco’’ Cette dernière pièce avait été sélectionnée plus tard par le critique littéraire Harold Bloom dans sa liste des plus grandes oeuvres américaines du 20e siècle. Les musiciens Ray Brown, George Duvivier, Percy Heath, Max Roach, Curly Russell, Lloyd Trotman, Art Blakey, Kenny Clarke, Osie Johnson, Buddy Rich et Art Taylor avaient participé aux sessions organisées par Norman Granz.
La rivalité de Powell avec Charlie Parker avait éventuellement semé la zizanie parmi les musiciens. La détérioration de la santé mentale et physique de Powell n’avait d’ailleurs guère contribué à alléger l’atmosphère.
Au cours des années 1950, Powell avait fait d’autres enregistrements pour Blue Note et Norman Granz, mais ceux-ci avaient dû être interrompus par un nouveau séjour en hôpital psychiatrique entre la fin de 1951 et le début de l’année 1953, après que le pianiste ait été arrêté pour possession d’héroïne en compagnie de Monk et de deux autres musiciens. Les quatre compères avaient été enfermés aux Tombs, un célèbre centre de détention. Powell avait d’ailleurs été de nouveau battu dans le cadre de son incarcération. Après avoir plaidé non coupable, Monk avait été condamné à soixante jours de prison. Quant à Powell, il avait été renvoyé à l’hôpital Bellevue, puis à Pilgrim, où il avait été déclaré mentalement inapte. Après une détention d’un mois, le directeur de Pilgrim avait recommandé que Powell soit gardé indéfiniment. Durant onze jours, Powell avait été soumis à une nouvelle thérapie par électro-chocs avant d’être finalement transféré à Creedmoor en août 1952.
Jugé incapable de gérer ses propres finances, Powell avait été placé sous la garde d’Oscar Goodstein, le propriétaire du Birdland, avec qui il avait signé un contrat de vingt semaines. Lorsque Powell ne jouait pas au Birdland, il avait des engagements à Philadelphie, à Washington ou à St. Louis. Jamais Powell n’avait été aussi occupé.
Le 9 mars 1953, Powell avait épousé Audrey Hill, une Californienne. Le mariage avait été arrangé par Goodstein, qui croyait sans doute que le fait d’être marié permettrait de rendre Powell plus stable et prévisible. Le couple ne s’était pas revu depuis que Powell avait été obtenu son congé de l’hôpital. Le mariage avait finalement été annulé en juillet.
En 1953, Powell avait enregistré pour Blue Note dans le cadre d’un trio avec George Duvivier et Art Taylor. La session comprenait l’enregistrement d’une composition de Powell intitulée ‘’Glass Enclosure’’, dont le titre était possiblement inspiré de son quasi-emprisonnement dans l’appartement de Goodstein. Le 15 mai de la même année, Powell avait participé au concert historique de Massey Hall à Toronto avec un quintet formé de Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Charles Mingus et Max Roach. Le concert avait été enregistré par Mingus qui l’avats mis en marché grâce à sa propre maison d’enregistrement, Debut Records, sous le titre de ‘’Jazz at Massey Hall.’’
De nouveau été arrêté le 14 juin 1954, Powell avait été accusé de possession d’héroïne. Le procès avait finalement eu lieu au début de 1955.
Bien que Powell ait obtenu son congé de l’hôpital, la qualité de son jeu avait été affectée par l’ingestion de Largactil, un médicament qu’il prenait pour soigner sa schizophrénie. Le 26 juin 1956, la vie de Powell avait été encore plus assombrie lorsque son frère Richie et le trompettiste Clifford Brown avaient été tués dans un accident automobile. Après avoir passé plusieurs mois à l’hôpital, Powell s’était installé à Paris en 1959 avec sa nouvelle compagne Altevia ‘’Buttercup’’ Edwards et son fils John. Powell avait rencontré Edwards, une femme mariée, après son emprisonnement en 1954. Le couple s’était installé avec l’enfant à l’Hôtel La Louisiane. C’est Altevia qui gérait les finances de Powell et s’assurait qu’il prenne ses médicaments. C’est donc en grande partie grâce à elle que Powell avait pu continuer de jouer et d’enregistrer.
En juin 1960, Powell avait été l’invité de Charles Mingus au Festival de jazz de Juan-les-Pins. En avril 1961, Powell avait participé à une brève tournée en Europe avec Thelonious Monk, notamment à Marseille, Milan, Bologne et Rome. Powell, qui n’avait pas encore enregistré pour une compagnie de disques européenne, avait collaboré avec le saxophoniste Cannonball Adderley pour une série de deux albums en décembre 1961. En février 1962, Powell avait décroché un contrat au Café Montmartre de Paris, qui venait de réouvrir ses portes. Prévu initialement pour deux semaines, le contrat de Powell avait été prolongé de cinq semaines supplémentaires à la demande du pianiste.  
En avril 1962, Powell, qui était de retour à Copenhague, avait reçu une offre d’une compagnie danoise qui lui avait fait enregistrer des classiques qu’il avait rarement joué en studio, notamment ‘’Straight No Chaser’’de Monk et ‘’Hot House’’, une pièce traditionnellement associée à Charlie Parker.
En décembre 1962, Powell, qui avait trop bu, avait été retrouvé complètement saoul dans les rues de Paris et avait été admis dans un hôpital local. Powell avait finalement été transféré dans l’aile psychiatrique de l’hôpital, avant d’être libéré grâce à l’intervention de son ami Francis Paudras.
En quatre mois, de février à juin 1963, Powell avait participé à plus de sessions d’enregistrements qu’il n’en avait fait en quatre ans. Powell avait fait des apparitions comme artiste invité dans deux de ces sessions. La première était dirigée par Dexter Gordon et la seconde par Dizzy Gillespie. DERNIÈRES ANNÉES En 1963, après avoir contracté la tuberculose, Powell avait été admis à l’hôpital de Paris. Powell ayant obtenu un contrat pour jouer au Birdland, il était de retour à New York le 16 août 1964. Neuf jours plus tard, il avait partagé la scène avec Horace Silver, John Coltrane, Charles Mingus et Thelonious Monk.
À l’époque, la qualité du jeu de Powell avait nettement décliné en raison de son alcoolisme. Lorsque Powell avait négligé de ses présenter le 11 octobre à un de ses concerts au Birdland, Goodstein avait décidé de le congédier.
Après des mois de découragement et de comportement erratique, Bud Powell avait été hospitalisé à New York à la suite de complications pulmonaires. Powell avait présenté son dernier concert le 1er mai 1965. Il avait été admis dans un hôpital psychiatrique à l’automne suivant.
Bud Powell est décédé le 31 mars 1966. Sa mort avait été attribuée aux effets conjugués de la tuberculose, de la malnutrition et de l’alcoolisme.
Plusieurs musiciens de jazz avaient rendu hommage à Powell. Dans son autobiographie, le trompettiste Miles Davis, qui avait un jour dit de Powell qu’il ne l’engagerait jamais dans son groupe parce qu’il était encore plus cinglé que lui, avait déclaré: "[He] was one of the few musicians I knew who could play, write, and read all kinds of music. Bud was a genius piano player – the best there was of all the bebop piano players." Le pianiste Bill Evans, qui avait toujours considéré Powell comme sa principale influence, lui avait rendu hommage en 1979 en déclarant: "If I had to choose one single musician for his artistic integrity, for the incomparable originality of his creation and the grandeur of his work, it would be Bud Powell. He was in a class by himself". De son côté, Herbie Hancock avait affirmé dans une entrevue au magazine DownBeat en 1966: "He was the foundation out of which stemmed the whole edifice of modern jazz piano". Le saxophoniste ténor Sonny Rollins avait également eu de bons mots pour Powell et avait commenté: ‘’I think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If you’re thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.” Quant au pianiste Bill Cunliffe, il considérait Powell comme "the first pianist to take Charlie Parker's language and adapt it successfully to the piano."
En 1986, l’artiste Francis Paudras avait écrit un livre à propos de son amitié avec Powell. L’ouvrage a été traduit en 1997 sous le titre de ‘’Dance of the Infidels: A Portrait of Bud Powell.’’ Les souvenirs de Paudras avaient servi de base au film de Bertrand Tavernier, ‘’Round Midnight’’, qui était inspiré de la carrière de Powell et de Lester Young, et dans lequel le saxophoniste Dexter Gordon jouait le rôle d’un musicien en exil à Paris.
Bud Powell a influencé plusieurs jeunes pianistes au cours de sa carrière, plus particulièrement Horace Silver, Wynton Kelly, Andre Previn, McCoy Tyner, Cedar Walton et Chick Corea. Ce dernier avait d’ailleurs enregistré en 1997 un album entier consacré à Powell intitulé ‘’Remembering Bud Powell.’’ Grand innovateur, Powell avait été le premier pianiste à jouer des parties qui étaient initialement conçues pour des cuivres. Powell avait été mis en nomination à sept reprises pour un prix Grammy dans la catégorie de la meilleure performance instrumentale en solo. c-2023-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique.
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kaizenpeppermill · 2 months ago
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Thelonious Monk, Minton's Playhouse, New York, N.Y., ca. Sept. 1947 (William P. Gottlieb)
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sheetmusiclibrarypdf · 2 months ago
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Remembering Fats Waller, born on this day in 1904
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Remembering Fats Waller, born on this day in 1904 (1904-1943).Best Sheet Music download from our Library.Fats Waller: The Jovial Genius of JazzPlease, subscribe to our Library.Browse in the Library:Thomas Fats Waller Ain't Misbehavin Stride piano sheet music, Noten, partitura, partitionFats Waller - Bach Up To Me Jazz Piano Transcription (sheet music, Noten, partition, partitura)Ain't Misbehavin' FATS WALLER as played by JOE PASS guitar solo sheet music transcription, partition
Remembering Fats Waller, born on this day in 1904 (1904-1943).
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Fats Waller: The Jovial Genius of Jazz
Thomas Wright "Fats" Waller (1904–1943) was one of the most influential and beloved figures in jazz history. A virtuoso pianist, charismatic singer, and prolific composer, Waller left an indelible mark on the development of stride piano, early jazz, and swing. His infectious humor, technical brilliance, and innovative harmonic approach made him a standout performer and recording artist during the Harlem Renaissance and the Swing Era. This article explores Waller��s life, musical style, harmonic innovations, licks, influences, legacy, major works, filmography, discography, and links to documentaries and performances of his most famous compositions.
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Biography Early Life (1904–1922) Fats Waller was born on May 21, 1904, in New York City. His father, Edward Waller, was a Baptist preacher, and his mother, Adeline Lockett Waller, played piano and organ in church. Young Thomas began playing piano at six and was soon accompanying his mother at church services. By his teens, Waller had dropped out of school to pursue music full-time. He studied under legendary stride pianists James P. Johnson and Willie "The Lion" Smith, who recognized his prodigious talent. Rise to Fame (1922–1934) Waller began recording in the early 1920s, cutting piano rolls and making his first records in 1922. His early compositions, such as "Squeeze Me" (1925) and "Handful of Keys" (1929), showcased his stride piano mastery. In 1927, Waller made his first major recordings for Victor Records, where he would remain a star artist for the rest of his career. His partnership with lyricist Andy Razaf produced some of his most enduring songs, including "Ain’t Misbehavin’" (1929) and "Honeysuckle Rose" (1929). Peak Years and Radio Stardom (1934–1943) By the mid-1930s, Waller was a household name, thanks to his radio broadcasts and recordings with his band, Fats Waller and His Rhythm. His humorous asides and exuberant performances made him a favorite among audiences. Tragically, Waller’s life was cut short by pneumonia on December 15, 1943, while traveling back from a Hollywood engagement. He was only 39 years old.
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Musical Style and Harmony Stride Piano Technique Waller was a master of stride piano, a demanding style that alternates between a bass note (or octave) on beats 1 and 3 and a chord on beats 2 and 4. His left-hand technique was incredibly agile, allowing him to play fast, syncopated rhythms while maintaining a strong swing feel. Harmonic Innovations Waller’s harmonic language was advanced for his time. He frequently used: - Chromatic passing chords (e.g., in "Handful of Keys") - Tritone substitutions (e.g., in "Honeysuckle Rose") - Extended chords (9ths, 11ths, 13ths) - Blues-inflected harmonies Signature Licks and Phrases Some of Waller’s trademark licks include: - Octave leaps in the left hand (a stride piano staple) - Right-hand runs with chromatic embellishments - Syncopated chord stabs - Walking basslines with tenth intervals His improvisations were both technically dazzling and melodically inventive, influencing later pianists like Art Tatum, Count Basie, and Thelonious Monk. Influences Waller drew inspiration from: - James P. Johnson (his primary mentor) - Willie "The Lion" Smith - Jelly Roll Morton - Eubie Blake - Classical composers (Liszt, Chopin, and Bach, whose contrapuntal techniques he admired) In turn, Waller influenced: - Art Tatum - Count Basie - Oscar Peterson - Thelonious Monk - Dave Brubeck Legacy Waller’s impact on jazz is immeasurable: - He helped bridge ragtime and swing. - His compositions became jazz standards. - His humorous, engaging stage presence set a precedent for entertainers like Louis Armstrong and Cab Calloway. - His recordings remain essential listening for jazz pianists. Posthumously, Waller’s music enjoyed revivals, most notably in the 1978 Broadway musical Ain’t Misbehavin’, which celebrated his work. Major Works (Compositions) Some of Waller’s most famous compositions include: - "Ain’t Misbehavin’" (1929) – A jazz standard famously performed at the Cotton Club. - "Honeysuckle Rose" (1929) – A swing classic later covered by countless artists. - "Handful of Keys" (1929) – A dazzling stride piano showcase. - "Black and Blue" (1929) – A poignant song about racial discrimination. - "The Joint is Jumpin’" (1938) – A lively party anthem. - "Jitterbug Waltz" (1942) – A unique 3/4 time jazz piece. Filmography Waller appeared in several films, including: - "King of Burlesque" (1936) – Performed "I’ve Got My Fingers Crossed." - "Hooray for Love" (1935) – Played "Living in a Great Big Way." - "Stormy Weather" (1943) – His final film appearance, performing "Ain’t Misbehavin’." Discography (Selected Albums) Waller recorded extensively for Victor Records. Key albums and compilations include: - "Fats Waller Piano Solos" (1929–1941) - "The Complete Fats Waller Vol. 1–5" (1922–1943) - "Fats Waller & His Rhythm: The Middle Years" (1936–1938) - "The Last Years" (1940–1943) Documentaries and Videos Documentaries - "Ain’t Misbehavin’: The Story of Fats Waller" (BBC, 1986) – A detailed look at his life and music. - "Fats Waller: The King of Stride Piano" (Jazz Icons series) – Features rare performances. Performance Videos - Fats Waller - "Ain’t Misbehavin’" (1929) - Fats Waller - "Honeysuckle Rose" (1935) - Fats Waller - "Handful of Keys" (1929) - Fats Waller - "The Joint is Jumpin’" (1943) Fats Waller was a musical giant whose contributions to jazz piano, songwriting, and entertainment remain unmatched. His joyful spirit, technical mastery, and harmonic sophistication continue to inspire musicians today. Whether through his timeless compositions or his electrifying performances, Waller’s legacy lives on as a cornerstone of jazz history. For anyone exploring early jazz, Waller’s recordings are essential listening—his music is not just historically significant but endlessly entertaining. As he once quipped, "One never knows, do one?"—but one thing is certain: Fats Waller was a genius whose music will never go out of style.
Thomas Fats Waller Ain't Misbehavin Stride piano sheet music, Noten, partitura, partition
https://youtu.be/3-9Gs2MIfmw?si=a4lgI42VwL09Rgz-
Fats Waller - Bach Up To Me Jazz Piano Transcription (sheet music, Noten, partition, partitura)
https://youtu.be/xRjiVUlhJw0
Ain't Misbehavin' FATS WALLER as played by JOE PASS guitar solo sheet music transcription, partition
https://youtu.be/s4F6i1x0dnI Read the full article
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cdbrainrecords · 7 months ago
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Thelonious Monk Septet - Monk's Music (LP, Album, RE)
Vinyl(VG+) Picture Cover(VG+) Insert(VG+) Obi(VG+) / with Obi 帯つき / / Vinyl has no scuffs, more than VG+ condition, in good shape / Sleeve has minor foxing stain. / コンディション 盤 : Very Good Plus (VG+) コンディション ジャケット : Very Good Plus (VG+) コンディションの表記について   [ M > M- > VG+ > VG > G+ > G > F > P ] レーベル : Riverside Records – VIJ-106 フォーマット : Vinyl, LP, Album, Reissue 生産国 : Japan 発売年 : 1984 A Bill Grauer…
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openingnightposts · 11 months ago
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cloudshades · 1 year ago
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thelonious monk & nina simone by nica de koenigswarter via mubifrance
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zenblonde · 1 year ago
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Award Season is among us. Our reviewer Actor, Producer and Journalist Alex von Roon can't wait to check out the contenders starting off with HBO' s "Succession". How do you like Alexander as "Ken" in the Hit Movie "Barbie"? Von Roon did work with the director before and enjoyed her performance in "Greenberg"
For "Bild am Sonntag" Alex also met SAG Award nominee Tony Shalhoub on set in his trailer. Some comments were very interesting. We wonder how Mr. Monk would deal with a pandemic such as Corona.
Below please find the complete list of nominations courtesy of SAGAFTRA. Which are your favorites? Comment below.
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SAG AWARDS NOMINATIONS 2024
The Motion Picture Nominees are: 
Outstanding Performance by a Male Actor in a Leading Role  BRADLEY COOPER / Leonard Bernstein - "MAESTRO"  COLMAN DOMINGO / Bayard Rustin - "RUSTIN"  PAUL GIAMATTI / Paul Hunham - "THE HOLDOVERS"  CILLIAN MURPHY / J. Robert Oppenheimer - "OPPENHEIMER"  JEFFREY WRIGHT / Thelonious "Monk" Ellison - "AMERICAN FICTION"
Outstanding Performance by a Female Actor in a Leading Role  ANNETTE BENING / Diana Nyad - "NYAD"  LILY GLADSTONE / Mollie Burkhart - "KILLERS OF THE FLOWER MOON"  CAREY MULLIGAN / Felicia Montealegre - "MAESTRO"  MARGOT ROBBIE / Barbie - "BARBIE"  EMMA STONE / Bella Baxter - "POOR THINGS"
Outstanding Performance by a Male Actor in a Supporting Role  STERLING K. BROWN / Clifford Ellison - "AMERICAN FICTION"  WILLEM DAFOE / Godwin Baxter - "POOR THINGS"  ROBERT DE NIRO / William Hale - "KILLERS OF THE FLOWER MOON"  ROBERT DOWNEY JR. / Lewis Strauss - "OPPENHEIMER"  RYAN GOSLING / Ken - "BARBIE"
Outstanding Performance by a Female Actor in a Supporting Role  EMILY BLUNT / Kitty Oppenheimer - "OPPENHEIMER"  DANIELLE BROOKS / Sofia - "THE COLOR PURPLE"  PENÉLOPE CRUZ / Laura Ferrari - "FERRARI"  JODIE FOSTER / Bonnie Stoll - "NYAD"  DA’VINE JOY RANDOLPH / Mary Lamb - "THE HOLDOVERS"
Outstanding Performance by a Cast in a Motion Picture  AMERICAN FICTION  ERIKA ALEXANDER / Coraline ADAM BRODY / Wiley Valdespino STERLING K. BROWN / Clifford Ellison KEITH DAVID / Willy the Wonker JOHN ORTIZ / Arthur ISSA RAE / Sintara Golden TRACEE ELLIS ROSS / Lisa Ellison LESLIE UGGAMS / Agnes Ellison JEFFREY WRIGHT / Thelonious "Monk" Ellison
BARBIE  MICHAEL CERA / Allan WILL FERRELL / Mattel CEO AMERICA FERRERA / Gloria RYAN GOSLING / Ken ARIANA GREENBLATT / Sasha KATE MCKINNON / Barbie HELEN MIRREN / Narrator RHEA PERLMAN / Ruth ISSA RAE / Barbie MARGOT ROBBIE / Barbie
THE COLOR PURPLE  HALLE BAILEY / Young Nettie FANTASIA BARRINO / Celie JON BATISTE / Grady DANIELLE BROOKS / Sofia CIARA / Nettie COLMAN DOMINGO / Mister AUNJANUE ELLIS-TAYLOR / Mama LOUIS GOSSETT, JR. / Ol' Mister COREY HAWKINS / Harpo TARAJI P. HENSON / Shug Avery PHYLICIA PEARL MPASI / Young Celie GABRIELLA WILSON "H.E.R." / Squeak
KILLERS OF THE FLOWER MOON  TANTOO CARDINAL / Lizzie Q ROBERT DE NIRO / William Hale LEONARDO DICAPRIO / Ernest Burkhart BRENDAN FRASER / W.S. Hamilton LILY GLADSTONE / Mollie Burkhart JOHN LITHGOW / Prosecutor Peter Leaward JESSE PLEMONS / Tom White
OPPENHEIMER  CASEY AFFLECK / Boris Pash EMILY BLUNT / Kitty Oppenheimer KENNETH BRANAGH / Niels Bohr MATT DAMON / Leslie Groves ROBERT DOWNEY JR. / Lewis Strauss JOSH HARTNETT / Ernest Lawrence RAMI MALEK / David Hill CILLIAN MURPHY / J. Robert Oppenheimer FLORENCE PUGH / Jean Tatlock
The Television Program Nominees are: 
Outstanding Performance by a Male Actor in a Television Movie or Limited Series  MATT BOMER / Hawkins "Hawk" Fuller - "FELLOW TRAVELERS"  JON HAMM / Roy Tillman - "FARGO"  DAVID OYELOWO / Bass Reeves - "LAWMEN: BASS REEVES"  TONY SHALHOUB / Adrian Monk - "MR. MONK'S LAST CASE: A MONK MOVIE"  STEVEN YEUN / Danny Cho - "BEEF"
Outstanding Performance by a Female Actor in a Television Movie or Limited Series  UZO ADUBA / Edie Flowers - "PAINKILLER"  KATHRYN HAHN / Clare Pierce - "TINY BEAUTIFUL THINGS"  BRIE LARSON / Elizabeth Zott - "LESSONS IN CHEMISTRY"  BEL POWLEY / Miep Gies - "A SMALL LIGHT"  ALI WONG / Amy Lau - "BEEF"
Outstanding Performance by a Male Actor in a Drama Series  BRIAN COX / Logan Roy - "SUCCESSION"  BILLY CRUDUP / Cory Ellison - "THE MORNING SHOW"  KIERAN CULKIN / Roman Roy - "SUCCESSION"  MATTHEW MACFADYEN / Tom Wambsgans - "SUCCESSION"  PEDRO PASCAL / Joel - "THE LAST OF US"
Outstanding Performance by a Female Actor in a Drama Series  JENNIFER ANISTON / Alex Levy - "THE MORNING SHOW"  ELIZABETH DEBICKI / Princess Diana - "THE CROWN"  BELLA RAMSEY / Ellie - "THE LAST OF US"  KERI RUSSELL / Kate Wyler - "THE DIPLOMAT"  SARAH SNOOK / Shiv Roy - "SUCCESSION"
Outstanding Performance by a Male Actor in a Comedy Series  BRETT GOLDSTEIN / Roy Kent - "TED LASSO"  BILL HADER / Barry - "BARRY"  EBON MOSS-BACHRACH / Richard "Richie" Jerimovich - "THE BEAR"  JASON SUDEIKIS / Ted Lasso - "TED LASSO"  JEREMY ALLEN WHITE / Carmen "Carmy" Berzatto - "THE BEAR"
Outstanding Performance by a Female Actor in a Comedy Series  ALEX BORSTEIN / Susie Myerson - "THE MARVELOUS MRS. MAISEL"  RACHEL BROSNAHAN / Miriam "Midge" Maisel - "THE MARVELOUS MRS. MAISEL"  QUINTA BRUNSON / Janine Teagues - "ABBOTT ELEMENTARY"  AYO EDEBIRI / Sydney Adamu - "THE BEAR"  HANNAH WADDINGHAM / Rebecca Welton - "TED LASSO"
Outstanding Performance by an Ensemble in a Drama Series 
THE CROWN  KHALID ABDALLA / Dodi Fayed SEBASTIAN BLUNT / Prince Edward BERTIE CARVEL / Tony Blair SALIM DAW / Mohamed Al Fayed ELIZABETH DEBICKI / Princess Diana LUTHER FORD / Prince Harry CLAUDIA HARRISON / Princess Anne LESLEY MANVILLE / Princess Margaret ED MCVEY / Prince William JAMES MURRAY / Prince Andrew JONATHAN PRYCE / Prince Philip, Duke of Edinburgh IMELDA STAUNTON / Queen Elizabeth II MARCIA WARREN / Queen Elizabeth the Queen Mother DOMINIC WEST / Prince Charles OLIVIA WILLIAMS / Camilla Parker Bowles
THE GILDED AGE  BEN AHLERS / Jack ASHLIE ATKINSON / Mamie Fish CHRISTINE BARANSKI / Agnes van Rhijn DENÉE BENTON / Peggy Scott NICOLE BRYDON BLOOM / Maud Beaton MICHAEL CERVERIS / Watson CARRIE COON / Bertha Russell KELLEY CURRAN / Mrs. Winterton TAISSA FARMIGA / Gladys Russell DAVID FURR / Dashiell Montgomery JACK GILPIN / Church WARD HORTON / Charles Fane LOUISA JACOBSON / Marian Brook SIMON JONES / Bannister SULLIVAN JONES / T. Thomas Fortune CELIA KEENAN-BOLGER / Mrs. Bruce NATHAN LANE / Ward McAllister MATILDA LAWLER / Frances Montgomery ROBERT SEAN LEONARD / Luke Forte AUDRA MCDONALD / Dorothy Scott DEBRA MONK / Armstrong DONNA MURPHY / Mrs. Astor KRISTINE NIELSEN / Mrs. Bauer CYNTHIA NIXON / Ada Brook KELLI O'HARA / Aurora Fane PATRICK PAGE / Richard Clay HARRY RICHARDSON / Larry Russell TAYLOR RICHARDSON / Bridget BLAKE RITSON / Oscar van Rhijn JEREMY SHAMOS / Mr. Gilbert DOUGLAS SILLS / Borden MORGAN SPECTOR / George Russell JOHN DOUGLAS THOMPSON / Arthur Scott ERIN WILHELMI / Adelheid
THE LAST OF US  PEDRO PASCAL / Joel BELLA RAMSEY / Ellie
THE MORNING SHOW  JENNIFER ANISTON / Alex Levy NICOLE BEHARIE / Christina Hunter SHARI BELAFONTE / Julia NESTOR CARBONELL / Yanko Flores BILLY CRUDUP / Cory Ellison  MARK DUPLASS / Chip Black  JON HAMM / Paul Marks  THEO IYER / Kyle HANNAH LEDER / Isabella  GRETA LEE / Stella Bak  JULIANNA MARGULIES / Laura Peterson TIG NOTARO / Amanda Robinson KAREN PITTMAN / Mia Jordan REESE WITHERSPOON / Bradley Jackson
SUCCESSION  NICHOLAS BRAUN / Greg Hirsch JULIANA CANFIELD / Jess Jordan BRIAN COX / Logan Roy KIERAN CULKIN / Roman Roy DAGMARA DOMINCZYK / Karolina Novotney PETER FRIEDMAN / Frank Vernon JUSTINE LUPE / Willa MATTHEW MACFADYEN / Tom Wambsgans ARIAN MOAYED / Stewy Hosseini SCOTT NICHOLSON / Colin Stiles DAVID RASCHE / Karl Muller ALAN RUCK / Connor Roy ALEXANDER SKARSGÅRD / Lukas Matsson J. SMITH-CAMERON / Gerri Kellman SARAH SNOOK / Shiv Roy FISHER STEVENS / Hugo Baker JEREMY STRONG / Kendall Roy ZOË WINTERS / Kerry Castellabate
Outstanding Performance by an Ensemble in a Comedy Series  ABBOTT ELEMENTARY  QUINTA BRUNSON / Janine Teagues WILLIAM STANFORD DAVIS / Mr. Johnson JANELLE JAMES / Ava Coleman CHRIS PERFETTI / Jacob Hill SHERYL LEE RALPH / Barbara Howard LISA ANN WALTER / Melissa Schemmenti TYLER JAMES WILLIAMS / Gregory Eddie
BARRY  ANTHONY CARRIGAN / NoHo Hank SARAH GOLDBERG / Sally Reed ZACHARY GOLINGER / John BILL HADER / Barry ANDRE HYLAND / Jason ANDREW LEEDS /  Leo Cousineau FRED MELAMED / Tom Posorro CHARLES PARNELL / DA Buckner STEPHEN ROOT / Monroe Fuches TOBIE WINDHAM / Damian HENRY WINKLER / Gene Cousineau ROBERT WISDOM / Jim Moss
THE BEAR  LIONEL BOYCE / Marcus JOSE CERVANTES JR. / Angel LIZA COLÓN-ZAYAS / Tina AYO EDEBIRI / Sydney Adamu ABBY ELLIOTT / Natalie “Sugar” Berzatto RICHARD ESTERAS / Manny EDWIN LEE GIBSON / Ebraheim MOLLY GORDON / Claire COREY HENDRIX / Sweeps MATTY MATHESON / Neil Fak EBON MOSS-BACHRACH / Richard "Richie" Jerimovich OLIVER PLATT / Jimmy "Cicero" Kalinowski JEREMY ALLEN WHITE / Carmen "Carmy" Berzatto
ONLY MURDERS IN THE BUILDING  GERALD CAESAR / Ty MICHAEL CYRIL CREIGHTON / Howard Morris LINDA EMOND / Donna SELENA GOMEZ / Mabel Mora ALLISON GUINN / K.T. STEVE MARTIN / Charles-Haden Savage ASHLEY PARK / Kimber DON DARRYL RIVERA / Bobo PAUL RUDD / Ben Glenroy JEREMY SHAMOS / Dickie Glenroy MARTIN SHORT / Oliver Putnam MERYL STREEP / Loretta Durkin WESLEY TAYLOR / Cliff JASON VEASEY / Jonathan JESSE WILLIAMS / Tobert
TED LASSO  ANNETTE BADLAND / Mae Green KOLA BOKINNI / Isaac McAdoo EDYTA BUDNIK / Jade ADAM COLBORNE / Baz Primrose PHIL DUNSTER / Jamie Tartt CRISTO FERNÁNDEZ / Dani Rojas KEVIN "KG" GARRY / Paul La Fleur BRETT GOLDSTEIN / Roy Kent BILLY HARRIS / Colin Hughes ANTHONY HEAD / Rupert Mannion BRENDAN HUNT / Coach Beard TOHEEB JIMOH / Sam Obisanya JAMES LANCE / Trent Crimm NICK MOHAMMED / Nathan Shelley JASON SUDEIKIS / Ted Lasso JEREMY SWIFT / Leslie Higgins JUNO TEMPLE / Keeley Jones HANNAH WADDINGHAM / Rebecca Welton BRONSON WEBB / Jeremy Blumenthal KATY WIX / Barbara
The Stunt Ensemble Honors Nominees are:  Outstanding Action Performance by a Stunt Ensemble in a Motion Picture BARBIE GUARDIANS OF THE GALAXY VOL. 3 INDIANA JONES AND THE DIAL OF DESTINY JOHN WICK: CHAPTER 4 MISSION: IMPOSSIBLE - DEAD RECKONING PART ONE
Outstanding Action Performance by a Stunt Ensemble in a Television Series  AHSOKA BARRY BEEF THE LAST OF US THE MANDALORIAN
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bamboomusiclist · 2 years ago
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10/25 おはようございます。Debbie Trusty / Searchin' For Some Lovin' - Instrumental WES22146 等更新しました。
Trudy Richards / Crazy In Love t-838 Inge Brandenburg / It’s Alright With Me S62644 Chris Connor / Chris Connor 1228 Ella Fitzgerald / Sings The Rodgers and Hart Song Book vol.2 Mgv4023 Diahann Carroll / Fun Life sd8048 Benny Bailey / for Heaven's Sake hh1006 Art Blakey & The Jazz Messengers / Live In Stockholm 1960 DRLP137 Thelonious Monk / Monk's Dream cl1965 Claude Williamson / Claude Williamson bcp54 Art Farmer / Sing Me Softly of the Blues 1442 Al Cohn / Sax Section Ln3278 Paul Smith / Cool And Sparkling t757 Charlie Mariano / Mirror Sd1608 Gadgets / Love Curiosity Freckles & Doubt plaslp014 Stephen Mallinder / Pow Wow fm2010 Mikel Rouse / Jage Tiger twi220 Hudsons / Show Me You Care - Instrumental STRA2711 P Funk All Stars / Hydraulic Pump h-111 Debbie Trusty / Searchin' For Some Lovin' - Instrumental WES22146 Liquid Liquid / Successive Refexes 99-09ep
~bamboo music~
530-0028 大阪市北区万歳町3-41 シロノビル104号
06-6363-2700
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jazzplusplus · 8 months ago
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1963 - Thelonious Monk Quartet - Sankei Hall - Tokyo
Thelonious Monk (p), Charlie Rouse (ts), Butch Warren (b), Frankie Dunlop (dr)
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project1939 · 2 years ago
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Day 13: “How could I ever play a frivolous woman?” 
50s slang of the day: “Gee, you don’t need to make a federal case out of it!” (Come on! You don’t need to make such a big deal out of it!) 
Best/worst quote of the day: “You know where she might be?” “Try the gay-er places!” (Yes, the use of the term “gay-er” here doesn't mean what it does today, but I just loved how it sounded anyway!) 
Song of the day: “An Oscar for Treadwell,” by Dizzy Gillespie, Charlie Parker, Thelonious Monk, Curly Russell, and Buddy Rich. Ok, I must have been under the mistaken impression that I didn’t really like bebop, because this fu—kin' slaps! I listened to it once and immediately hit repeat. And then I hit repeat again an hour or so later! 
Highlights: 
Melvyn Douglas and Betty Furness on the same show? Did I forget to set my Westinghouse clock radio alarm and I’m dreaming?  
It took three days before I had to recharge my ipad! It’s crazy how much less I use it- basically only for music and radio shows now. 
I've been coming across so many ads in magazines and radio shows that are promoting movies I have just seen or am about to see. It totally contributes to the feeling of immersion I was aiming for. 
Ok, now I ordered a Betty Furness kitchen thermometer from the 1950s! My fangirling might be getting a bit much, but I just adore her! She’s got this je ne sais quoi, along with the world’s most perfect line delivery. Unlike a lot of pitchmen/women, her voice is also kind of soothing.
Lowlights: 
More use of the word “J-p” and derogatory remarks about the Japanese- in a sitcom this time! I’ve been somewhat shocked that so far, the most overtly spoken racism in media is toward East Asians. It’s given me a new and awful perspective . 
Women shaming and blaming other women for being "too attractive" and leading men astray  
Chesterfield AGAIN actually saying in their ad that people should not be worried about the safety of their cigarettes. They are “pure, harmless, and safe for use in the mouth.” I can’t even. 
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jpbjazz · 1 year ago
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LÉGENDES DU JAZZ
BILLY HIGGINS, ‘’SMILING BILLY’’
“Billy Higgins’s talent will never be duplicated – not that any style can be – but his mark on jazz history is indelible. Billy Higgins represents four decades of total dedication to his chosen form of American music: jazz.”
- Cedar Walton
Né le 11 octobre 1936 à Los Angeles, en Californie, Billy Higgins était issu d’une famille de musiciens. Élevé dans le ghetto afro-américain de Watts, Higgins avait commencé à jouer de la batterie à l’âge de cinq ans sous l’influence d’un de ses amis batteurs. À l’âge de douze ans, Higgins avait travaillé avec des groupes de rhythm & blues, notamment avec des musiciens comme Amos Milburn et Bo Diddley. Au début de sa carrière, Higgins avait également collaboré avec les chanteurs et chanteuses Brook Benton, Jimmy Witherspoon et Sister Rosetta Tharpe.
Surtout influencé par Kenny Clarke, Higgins avait aussi été marqué par Art Tatum et Charlie Parker. En octobre 2001, le chef d’orchestre John Riley du Vanguard Jazz Orchestra avait résumé ainsi les influences d’Higgins: “Billy dug the melodiousness of Max Roach and Philly Joe Jones, Art Blakey’s groove, Elvin Jones’s comping, Ed Blackwell’s groove orchestration, and Roy Haynes’ individualist approach.” Higgins avait hérité de son surnom de ‘’Smiling Billy’’ en raison du plaisir communicatif qu’il avait de jouer de la batterie.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Higgins, qui s’était rapidement intéressé au jazz, avait commencé sa carrière en se produisant avec différents musiciens locaux comme Dexter Gordon, Carl Perkins, Leroy Vinnegar, Slim Gaillard, Teddy Edwards, Joe Castro et Walter Benton. À l’âge de quatorze ans, Higgins avait rencontré le trompettiste Don Cherry. En 1953, le duo était parti en tournée sur la Côte ouest avec les saxophonistes George Newman et James Clay dans le cadre du groupe  The Jazz Messiahs.
En 1957, Higgins s’était joint au quartet de Red Mitchell qui comprenait également la pianiste Lorraine Geller et le saxophoniste ténor James Clay. Higgins avait d’ailleurs fait ses débuts sur disque avec le groupe de Mitchell dans le cadre d’une collaboration avec les disques Contemporary de Lester Koenig. Higgins avait quitté le groupe de Mitchell peu après pour se joindre à la nouvelle formation d’Ornette Coleman, aux côtés de Don Cherry à la trompette, de Walter Norris au piano, et de Don Payne et de Charlie Haden à la contrebasse. Higgins, qui avait commencé à pratiquer avec Coleman en 1955, avait fait partie du groupe du saxophoniste sur une base permanente de 1958 à 1959, participant notamment à l’enregistrement des albums ‘’Something Else’’ (février-mars 1958), ‘’The Shape of Jazz to Come’’ et ‘’Change of the’’ Century’’, tous deux enregistrés en 1959. Higgins avait également participé aux concerts controversés du groupe au club Five Spot de New York en novembre 1959. Commentant la prestation du groupe, le critique Jon Thurber du Los Angeles Times avait qualifié le concert d’un des événements les plus légendaires de l’époque. Thurber avait ajouté: ‘’The event crowded the room with every available jazz musician and aficionado.”
Higgins s’étant vu interdire l’accès des clubs de New York à la suite d’une altercation avec la police,  Higgins s’était joint au quintet de Thelonious Monk. Il était par la suite allé jouer avec le groupe John Coltrane en 1960.
Le 21 décembre 1960, Higgins avait de nouveau retrouvé Coleman dans le cadre de l’enregistrement de l’album controversé ‘’Free Jazz: A Collective Improvisation’’ mettant en vedette le double quartet de Coleman, composé de Coleman au saxophone alto, de Don Cherry à la trompette et au cornet, de Freddie Hubbard à la trompette, d’Eric Dolphy à la flûte, à la clarinette basse et au saxophone soprano, de Scott LaFaro et Charlie Haden à la contrebasse et de Higgins et Ed Blackwell à la batterie.
Devenu un des batteurs les plus en demande du monde du jazz, Higgins avait participé à plusieurs sessions pour les disques Blue Note dans les années 1960, principalement dans des contextes de hard bop. En 1962-63, Higgins s’était joint au groupe de Sonny Rollins avec qui il avait participé à une tournée en France. À la même époque, Higgins s’était également produit avec Donald Byrd, Dexter Gordon, Hank Mobley, Art Farmer, Jimmy Heath, Steve Lacy, Jackie McLean, Herbie Hancock et Lee Morgan.
Le jeu de Higgins à la batterie avait été particulièrement mis en évidence sur des enregistrements comme “Point of Departure’’ d’Andrew Hill, “Takin' Off’’ d’Herbie Hancock (qui comprenait le classique ‘’Watermelon Man’’), “Freedom Jazz Dance” d’Eddie Harris, ‘’Go !’’ de Dexter Gordon et “The Sidewinder’’ de Lee Morgan.
À partir de 1966, Higgins s’était produit régulièrement avec le pianiste Cedar Walton, avec il a enregistré plusieurs albums pour des compagnies de disques européennes jusqu'au milieu des années 1980.
DERNIÈRES ANNÉES
Après s’être fait désintoxiquer en 1971, Higgins avait formé le groupe Brass Company avec le  saxophoniste ténor Claude Bartee et le trompettiste Bill Hardman. Après s’être installé à Los Angeles en 1978, Higgins avait formé avec Walton et le le saxophoniste George Coleman le groupe Eastern Rebellion. À la fin des années 1970, Higgins avait également enregistré comme leader, faisant paraître des albums comme ‘’Soweto’’ (1979), ’’The Soldier’’ (1979) et ‘’Once More’’ (1980).
Dans les années 1980, Higgins avait également collaboré avec Pat Metheny et Slide Hampton. Tout en participant à des tournées internationales avec les Timeless All Stars et à des réunions avec Ornette Coleman et Don Cherry, Higgins avait eu un petit rôle dans le film de Bertrand Tavernier ‘’Round Midnight’’ aux côtés de Dexter Gordon en 1986. Il avait aussi fait partie du trio de Hank Jones. Toujours en 1986, Higgins avait fait partie du Quartet West de Charlie Haden, aux côtés d’Ernie Wax au saxophone et d’Alan Broadbent au piano. Après avoir connu certains problèmes de santé, Higgins avait été éventuellement remplacé par Larance Marable.
Très impliqué socialement, Higgins avait co-fondé en 1989 avec le poète Kamau Daáood le World Stage, un centre communautaire et culturel qui avait pour but de favoriser le développement de la musique, de la littérature et de l’art afro-américain. Le groupe, qui soutenait également la carrière de jeunes musiciens de jazz, organisait régulièrement des ateliers, des enregisrements et des concerts dans le quartier de Leimert Park à Los Angeles. Tous les lundis soirs, Higgins donnait des cours de batterie aux membres de la communauté. Higgins, qui s’intéressait particulièrement aux enfants, avait déclaré au cours d’une entrevue accordée au magazine LA Weekly en 1999:
"They should bus children in here so they can see all this, so they could be a part of it. Because the stuff that they feed kids now, they'll have a bunch of idiots in the next millennium as far as art and culture is concerned. I play at schools all the time, and I ask, 'Do you know who Art Tatum was?' 'Well, I guess not.' Some of them don't know who John Coltrane was, or Charlie Parker. It's our fault. Those who know never told them. They know who Elvis Presley was, and Tupac, or Scooby-Dooby Scoop Dogg--whatever. Anybody can emulate them, because it's easy, it has nothing to do with individualism. There's so much beautiful music in the world, and kids are getting robbed.’’
Également professeur, Higgins avait enseigné à la faculté de jazz de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA). Il avait aussi été très impliqué dans plusieurs activités en faveur de la conservation et de la promotion du jazz.
Toujours très en demande dans les sessions d’enregistrement, Higgins s’était produit sur une base régulière avec le saxophoniste Charles Lloyd de 1999 à 2001. Il dirigeait aussi ses propres groupes.
Atteint d’une maladie des reins, Higgins avait dû mettre sa carrière sur pause dans les années 1990, mais il avait repris sa carrière après avoir subi avec succès une greffe du foie en mars 1996, se produisant notamment avec Ornette Coleman, Charles Lloyd et Harold Land.
Billy Higgins est mort le 4 mai 2001 au Daniel Freeman Hospital d’Inglewoood, en Californie, des suites d’un cancer du foie. Il était âgé de soixante-quatre ans. Ont survécu à Higgins ses fils Ronald, William Jr., David et Benjamin, ses filles Ricky et Heidi, son frère Ronald, son gendre Joseph (Jody) Walker, son neveu Billy Thetford et sa fiancée Glo Harris. À l’époque, Higgins avait divorcé de sa première épouse Mauricina Altier Higgins.
Peu avant sa mort, Higgins avait joué le rôle d’un batteur de jazz dans le film ‘’Southlander’’ de Steve Hanft et Ross Harris.
Au moment de son décès, Higgins venait d’être hospitalisé pour une pneumonie et attendait une seconde greffe du foie. Dans son dernier numéro publié avant la mort de Higgins, la revue française Jazz Magazine avait lancé une campagne de souscription en faveur de Higgins, le batteur n’ayant pas des revenus suffisants pour couvrir ses frais médicaux. Deux ans avant sa mort, le saxophoniste Charles Lloyd avait témoigné de la santé fragile de Higgins en déclarant: ’’Billy Higgins a une santé précaire, et cette fragilité physique confère à son jeu une délicatesse unique. Jouer avec lui, c'est un peu comme jouer à la maison. Il y a une telle conjonction entre nous. Un seul regard suffit et le disque est enregistré.’’ Comparant Higgins à un maître zen, Lloyd avait ajouté: “everybody who plays with him gets that ecstatic high.” Rendant hommage à Higgins après sa mort, son collaborateur de longue date, le pianiste Cedar Walton, avait ajouté: “Billy Higgins’s talent will never be duplicated – not that any style can be – but his mark on jazz history is indelible. Billy Higgins represents four decades of total dedication to his chosen form of American music: jazz.”
Higgins avait livré sa dernière performance le 22 janvier 2001 dans le cadre d’un concert présenté au club Bones and Blues de Los Angeles. Le concert, qui mettait également en vedette les saxophonistes Charles Lloyd et Harold Land, avait pour but de soutenir la lutte d’Higgins contre le cancer du foie.
Reconnu pour son swing léger mais actif, son jeu subtil et raffiné et sa façon mélodique de jouer de la batterie, Billy Higgins avait collaboré avec les plus grands noms du jazz au cours de sa carrière, de Ornette Coleman à Don Cherry, en passant par Sonny Rollins, Cedar Walton, Herbie Hancock, Abudullah Ibrahim, Bheki Mseleku, Roy Hargrove, Pat Metheny, Charles Lloyd, Donald Byrd, Freddie Hubbard, Eric Dolphy, John Scofield, Thelonious Monk, Scott LaFaro, Cecil Taylor, Charlie Haden, Hank Jones, Dexter Gordon, Hank Mobley, Grant Green, Joe Henderson, Art Farmer, Sam Jones, Dave Williams, Bob Berg, Monty Waters, Clifford Jordan, Ira Sullivan, Sun Ra, Milt Jackson, Jimmy Heath, Joshua Redman, John Coltrane, Eddie Harris, Steve Lacy, David Murray, Art Pepper, Mal Waldron, Jackie McLean et Lee Morgan. Higgins avait également collaboré avec le compositeur La Monte Young.
Higgins a participé à plus de 700 enregistrements au cours de sa carrière, ce qui en faisait un des batteurs les plus enregistrés de l’histoire du jazz. Qualifiant le jeu de Higgins, le critique Ted Panken du magazine Down Beat avait commenté: "To witness him--smiling broadly, eyes aglimmer, dancing with the drum set, navigating the flow with perfect touch, finding the apropos tone for every beat--was a majestic, seductive experience." De son côté, le chef d’orchestre Larry Riley avait précisé: “Billy was a facilitator, not a dominator. He would enhance the direction the music ‘wanted’ to go in rather than impose his own will on the composition. You can hear that Billy was a master at creating a good feeling in the rhythm section. Dynamically, he used the entire spectrum— but with great restraint. His comping and overall flow were very precise but very legato.”
Higgins, qui avait surtout appris son métier en utilisant une approche d’essais-erreurs, avait résumé ainsi sa méthode d’apprentissage:
“That’s where you learn. You learn to be in context with the music and interpret. You make your mistakes and you learn. Most of the drummers that are working are people who know how to make the other instruments get their sound. Kenny Clarke was a master at that. It sounds like he was doing very little, and he was, but what he implied made all the instruments get their sound. Philly Joe, Elvin—as strong as they played, they still bring out the essence of what the other musicians are playing. Roy Haynes, Max, Art Blakey—none of them played the same. You try to add your part, but the idea is to be part of the music and make it one. That’s the whole concept for me.” 
Décrivant la contribution d’Higgins à l’histoire du jazz, le contrebassiste Ron Carter avait ajouté: “Billy Higgins was the drummer of the 20th century who put the music back into the drums. He was fabulous. He always played the form, and he was aware not only of the soloists, but also of his rhythm section mates.” Saluant le professionnalisme et la grande préparation d’Higgins, Carter avait précisé: “He was always on time, with his equipment ready, and he contributed to the general outlook of the group no matter where [we were] or how many people were involved. He made the music feel good.” De son côté, le pianiste Cedar Walton avait commenté: “His style is well-documented, but to see Billy in person at his drums was the ultimate jazz experience.”
Billy Higgins avait été élu ‘’Jazz Master’’ par la National Endowment for the Arts en 1997. En 1988, Higgins avait également remporté un prix Grammy conjointement avec Ron Carter, Herbie Hancock et Wayne Shorter pour la composition “Call Sheet Blues” tirée de la bande sonore du film ‘’Round Midnight.’’ Par la suite, Higgins avait fait partie du Round Midnight Band avec le saxophoniste Dexter Gordon.
Le saxophoniste Charles Lloyd avait rendu un des meilleurs hommages qu’on pouvait rendre à Higgins lorsqu’il avait déclaré: "Jazz is the music of wonder and, and he's the personification of it.’’ Higgins s’était toujours considéré comme un peu privilégié d’avoir pu faire une carrière musicale. Comme il l’avait mentionné peu de temps avant sa mort: "I feel blessed to play music, and it's also an honor to play music. You've got a lot of people's feeling in your hands."
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