#pasdevagues
Explore tagged Tumblr posts
lantidotecollectif · 4 years ago
Photo
Tumblr media
En 2018, peu de temps avant la première manifestation des gilets jaunes, la majorité LREM votait l'abandon d'un projet de loi visant à améliorer l'inclusion des enfants handicapés à l'école. Seront-ils frappés d'infamie ceux qui, par leur vote, ont préféré ne pas examiner une loi qui aurait permis un statut unique pour tous les accompagnants d'enfants en situation de handicap (AESH, AVS...)? Seront-ils rejetés aux latrines de l'histoire ceux qui ont refusé d'augmenter et de former, ceux qui tous les jours s'occupent des plus fragiles? #payetonhandicap #avs #aesh #educationnationale #larepubliqueenmarde #larepubliqueenmarchearriere #handicap #enfants #ecolesfermees #premiersdecorvée #pasdevagues #jesuisenseignant #lrem #ruissellement #dessin #illustration #illustrationoftheday #drawingoftheday #blackworkillustrations (à Mdph) https://www.instagram.com/p/CON9q8QhiZ5/?igshid=17wy29q1bnfut
0 notes
mirrorontheworld · 7 years ago
Link
Sarah est prof d'allemand dans une petite ville. Une année, elle a perdu le contrôle sur une classe et n'a obtenu aucun soutien de sa direction.
3 notes · View notes
scratchesblog-blog · 6 years ago
Text
“Etre prof, c’est quoi en fait?”
J’aimerais partager une publication de @monsieurleprof issue de sa page Facebook qui résume selon moi très bien ce qu’est être prof aujourd’hui! Un tableau ambivalent et réaliste!
Publication Facebook Monsieur le Prof  08/07/19
“Être prof, c'est quoi en fait ?
Avec cette fin d'année chaotique, je n'ai même pas pris le temps de féliciter les nouvelles recrues, celles et ceux qui viennent d'obtenir leur CAPES / CAPLP / AGREG / CRPE etc durement acquis ! Félicitations et bravo à vous tous, welcome to ze mif', franchement on est un peu chelous, mais a priori si vous avez choisi cette voie, vous l'êtes aussi, donc ça devrait aller. Pour celles et ceux qui ne l'ont pas obtenu, ne lâchez pas l'affaire, ce n'est pas un concours qu'on obtient forcément la première fois, donc ça sera pour l'année prochaine, ok ?
J'ai reçu pas mal de messages de nouveaux certifiés (c'est comme ça qu'on appelle les détenteurs du capes, ça pète hein?) qui me disent qu'avec le gros bordel de ce fiasco du #Baccalauréat2019, le passage en force des réformes Blanquer et l'animosité de l'opinion publique à notre égard, bah ils se demandent s'ils ont fait le bon choix de se lancer dans cette voie. Certains m'écrivent pour me dire qu'ils ont carrément lâché l'affaire, que voir l’Éducation Nationale dans un tel état leur fait peur et ne leur donne pas du tout envie de se lancer là-dedans. Je les comprends.
Parce que ouais, j'avoue, en ce moment, c'est tendu. C'est pour ça que cette page est moins rigolote. Mais faut bien garder un truc en tête : le cœur de notre métier, c'est pas ça.
Ce qui fait la beauté et l'intérêt de notre métier, je pense que mes collègues seront d'accord, bah c'est le temps que l'on passe face à nos élèves. C'est les voir débouler en début d'année, ces inconnus, qui ne veulent pas forcément être là, c'est apprendre à les connaître petit à petit, à les apprivoiser, à leur faire comprendre qu'on n'est pas leur ennemi, qu'on a des trucs cools à leur enseigner. C'est très vite repérer cet élève qui aime bien attirer l'attention en faisant le pitre, ou cet élève très sérieux mais angoissé qu'il faudra savoir rassurer, ou bien cet élève totalement désintéressé pour qui il faudra faire preuve d'astuce histoire de le raccrocher, et vous aurez des dizaines de profils différents à découvrir au fil de l'année.
Être prof, c'est aller à la pêche aux documents sur Internet, c'est regarder un film ou une série et se dire « ah mais ça je pourrais trop l'utiliser en classe ! », c'est trouver de nouveaux thèmes à étudier histoire de dépoussiérer un peu l'image que les élèves peuvent avoir de la matière, c'est aller sur des groupes de profs ou discuter avec des collègues d'activités à mettre en place, c'est se remettre en question souvent, et se réinventer constamment. C'est mettre en place des stratégies pour susciter leur intérêt, pour éveiller leur curiosité. C'est leur faire comprendre que notre matière n'est pas juste une matière scolaire, mais bien un ensemble d'outils qui leur permet de développer leur réflexion.
Être prof c'est avoir des élèves qui ouvrent très grand les yeux quand ils comprennent enfin quelque chose, c'est avoir un élève qui à la fin d'un cours vient vous dire qu'il a maté le film que vous avez mentionné et qu'il a adoré, c'est entendre un « déjà !? » en fin d'heure qui vous faite comprendre que vous les avez happés au point qu'ils ont oublié leur montre. C'est rare et précieux !
Être prof, c'est être face à une forêt de mains levée (bon au collège hein, au lycée c'est moins le cas...), à des élèves qui VEULENT savoir, qui VEULENT comprendre, qui ont tout à découvrir... et parfois, pour certains d'entre eux, ben vous êtes leur seule fenêtre sur le savoir, parce qu'à la maison, ils n'ont hélas pas les clefs pour découvrir le monde.
Être prof c'est accompagner des élèves, des ados, dans la construction de leur rapport au monde, c'est faire partie des adultes qui essaieront au mieux de les guider alors qu'ils sont encore en train de grandir. C'est tenter de les faire atteindre un niveau qu'ils n'auraient jamais imaginé, les sculpter à la hauteur de ce qu'ils ignorent encore être.
Mais tout n'est pas rose non plus hé, on est pas dans un épisode de L 'Instit' non plus, et ma référence commence à être un peu datée là...
Être prof, c'est aussi faire face à des ados qui cherchent leur place dans le monde, et pour qui la façon la plus simple d'exister, c'est la confrontation. Parfois la violence. C'est devoir gérer la colère d'élèves par soi-même, et savoir pardonner quand il le faut, et sévir si nécessaire. C'est parfois se retrouver seul quand on est agressé, parce que notre hiérarchie ne nous défend pas. Dictature du #PasDeVague. C'est ne pas oser en parler à des collègues parce qu'on a peur d'être nul, d'être le seul à qui ça arrive.
C'est être confronté au désintérêt des élèves pour notre matière, parce que l'ascenseur social, ils n'y croient pas, ils disent que « ça sert à rien », que de toutes façons ils n'auront pas de travail, parce que personne ne veut d'eux. C'est être confronté au désintérêt de certains parents pour le travail de leurs enfants.
C'est faire cours à des classes surchargées, avec des élèves aux besoins très divers, qu'ils soient hyperactifs, surdoués, autistes, handicapés moteurs, sourds, aveugles, en proie aux crises d'angoisses, dépressifs, vous aurez à gérer tout ça, et bien trop souvent sans aide, il faudra apprendre par vous-même, et on peut se sentir dépassé face à tout ça. C'est faire de son mieux tout en sachant qu'on ne peut pas aider tout le monde dans ces conditions.
C'est être en compétition avec les téléphones des élèves, avec des réseaux sociaux où tout se dit en 280 caractères ou en snaps de 10 secondes, qui font que les capacité de concentration des élèves fondent comme neige au soleil, alors vous, les garder concentrés 1h ou plus dans une salle, c'est un défi de plus en plus difficile à surmonter.
C'est avoir un matos qui date d'un autre temps, peut-être du temps où vous étiez vous même élève. C'est devoir attendre patiemment parfois jusqu'à 10 minutes pour qu'un ordi s'allume, c'est ne pas pouvoir faire cours correctement si l'ampoule d'un vidéoproj' pète, parce que pendant plusieurs semaines elle ne sera pas remplacée.
C'est devoir faire semblant de rire quand pour la énième fois, un de vos proches vous fera une vanne sur les profs feignasses qui n'en branlent pas une, alors que vous êtes complètement lessivé, et que vous vous dites « j'vais quand même pas me plaindre, j'ai des vacances après tout... ». C'est voir passer chaque mois une nouvelle affaire sur un collègue agressé, ou un collègue isolé qui finit par se suicider, c'est voir des collègues s'arrêter pour burn-out.
C'est être baladé un peu partout, c'est être TZR (remplaçant) de trop longues années, déraciné de votre région d'origine, souvent balancé en région parisienne, où les loyers ne sont pas vraiment compatibles avec votre salaire. C'est corriger des copies, une activité très chronophage et répétitive, qui finira par empiéter sur votre vie personnelle.
Et puis surtout, c'est voir arriver un nouveau ministre qui va vouloir jouer les cowboys avec SA solution. SA solution pour régler tout ça, c'est pas celle que demandent les collègues. Très vite, comme tout le monde, ce que vous demanderez, c'est des classes à effectif réduits, c'est un matos et des bâtiments fonctionnels, c'est des moyens pour accompagner aux mieux les élèves, quoi !
Mais ce que le ministre vous demandera, c'est des ECONOMIES, c'est du boulot en plus, des papiers en plus à remplir, des heures en moins (mais avec un programme plus lourd), des effectifs en plus, des heures en plus, des responsabilités en plus, des pertes de moyens, de matières, une école moins égalitaire, qui promeut le privé, et si vous vous plaignez, attention, vous serez un sale « privilégié » qui « prend les élèves et les parents en otage », alors ouais, faudra bien serrer les dents pour continuer de croire en votre métier. Parce que si personne d'autre n'y croit, pourquoi vous ? Ouais, être prof, c'est parfois avoir l'impression qu'on est les derniers à croire en ce qu'on fait.
Parce que quand vous êtes face à vos élèves, c'est évident, et c'est comme ça.
Maintenant, vous savez quel genre de défis vous attendent. Vous êtes ainsi bien mieux préparés que beaucoup de futurs profs qui ont une vision un peu idyllique du métier, et tombent de haut quand ils sont lâchés en tant que néotit. Beaucoup abandonnent, le taux de démission de prof a doublé ces dernières années.
Alors bienvenue dans l'métier. C'est beau, c'est prenant, c'est dur, c'est fatigant, c'est fascinant, c'est déprimant, c'est motivant, c'est lassant, c'est marrant, c'est étonnant, c'est stimulant, c'est recommencer, inlassablement, année après année, et c'est tout ça qui vous attend. Have fun !”
Source: https://www.facebook.com/bongeourre/?__tn__=kC-R&eid=ARC1IKpl5SFRv19j_WNlDm-HZzaGfkCTYH-YIz0DXTKi6qhpZAkKtRWfzDV4Lc5FfHpRgLK7VaqMPQHK&hc_ref=ARQrP54-ekv8NiwnYrBOJpyOCLPy0-rq1xQNRQR6gmRIvogoqMchz0Ptch2uEcgVvS4&fref=nf&__xts__[0]=68.ARCoQhBhfeqlsrOf5vzVTn-wZmBAdd1WKQ07wuVIfLaERSNALqzeLT7X1H2KiqIAWQMWtfa3eBOsZgXU5jsD9t4o7KW9QJbIpEp38nfcH4jZVYSLgm6lmL3HUh7SVcZT9sS4LSeN7ZIYbDMKW_SoQspSdM9PoI2xEZosELgCl99YOAJ9SF3PXoXboY1prBEQCzCEL3Em5tZtAjindhNE0pUJFzqjVR5NoxKXoBAFn-R6WFUKGEUBx08L-rPa1B5B0-SiTmiUtK1-96dmis-9WHBogKpZzJS0xQDBR5q2tFygAPHnjFxAsErpeiGNUwQVvkkByZIM-_-9v7JJPPtSu0xL5-Jy1-6lueasd7qGKm754MggKYdJ
1 note · View note
tomub · 7 years ago
Photo
Tumblr media
#PasDeVague :
La colère des profs s’exprime
Par Deligne.
6 notes · View notes
neovitae · 6 years ago
Text
Incivilités, menaces, impolitesse… Où est donc passé le respect au travail?
INTERVIEW – Gilets jaunes, ligue du Lol, mouvement #PasDeVague... Le respect de l'autorité (forces de l'ordre, professeur, DRH...) et plus largement ... from Google Alert - DRH http://bit.ly/2IoKuMH
0 notes
giancarlonicoli · 6 years ago
Link
27 MAR 2019 09:58
SI SUICIDA PERCHÉ VITTIMA DEL BULLISMO A SCUOLA. MA È UN MAESTRO, E I BULLI SONO I GENITORI - UN MINUTO DI SILENZIO IN TUTTE LE SCUOLE DI FRANCIA PER RICORDARE JEAN WILOT, 57 ANNI, CHE SI È TOLTO LA VITA DOPO LA DENUNCIA DI UNA MADRE PER AVER SPOSTATO DI FORZA UN ALLIEVO CHE STAVA INFASTIDENDO ALTRI BAMBINI E RISPONDENDO MALE ALL'INSEGNANTE. DOPO LA DENUNCIA RICEVE CHIAMATE INTIMIDATORIE E INSULTANTI DAI GENITORI, E LUI LA MATTINA DOPO…
-
Stefano Montefiori per il ''Corriere della Sera''
Un minuto di silenzio ieri mattina alle 10, nelle scuole di Francia, alla memoria di un maestro che ha provato a farsi rispettare. Jean Willot, 57 anni, insegnava alle elementari Flammarion di Eaubonne, un comune a un’ora di treno a nord-ovest di Parigi. Secondo i colleghi era un insegnante esperto, calmo, più portato alla dolcezza che alla severità.
Martedì 12 marzo alla fine della ricreazione il maestro chiede a uno dei suoi allievi, 6 anni, di spostarsi perché è seduto sui gradini e i compagni non riescono a passare. L’alunno non si muove, risponde male al maestro e infastidisce gli altri bambini. Dopo molti tentativi, Willot lo prende per un braccio e lo sposta, il bambino struscia con la schiena sulle scale, si fa un graffio.
L’indomani, la madre dell’allievo va in commissariato e presenta denuncia per «violenze aggravate su minore». Giovedì 13 marzo la direzione della scuola informa il maestro della denuncia, e gli trasmette la convocazione per il giorno successivo al rettorato, dove dovrà spiegarsi. La sera stessa, alcuni genitori lo chiamano sul telefonino e lo insultano.
La mattina di venerdì 14 marzo il maestro Jean Willot accompagna la moglie in stazione e poi le dice che ha bisogno di prendere aria, «vado a correre nel bosco». Intorno alle 16, dopo ore di ricerche di polizia, gendarmi e cani, lo ritrovano impiccato a un albero della foresta di Montmorency. Lascia una lettera nella quale spiega di non avere fatto niente di male e non sopporta di doversi difendere da accuse assurde.
La mattina del lunedì per la prima volta dopo tanti anni Jean Willot non è a scuola, in compenso si presentano i funzionari del ministero dell’Istruzione e dirigenti scolastici che pregano gli altri insegnanti sotto choc di mantenere la calma, «garantire il servizio pubblico», e ignorare la madre e il bambino che è stato accompagnato normalmente in classe. La consegna è fare più o meno come se non fosse successo niente, e individuare solo tre insegnanti che possano partecipare, a nome di tutti gli altri, ai funerali del maestro, tre giorni dopo. Le lezioni devono continuare.
«È la solita logica del #Pas DeVagues», denunciano i colleghi. Da mesi gli insegnanti francesi protestano perché non si sentono protetti dalle istituzioni, che raccomandano loro di «non fare onde (vagues)», ovvero non alimentare i problemi parlandone troppo.
Il movimento #PasDeVague è cominciato dopo che lo scorso ottobre un 16enne di un liceo di Créteil, alla periferia di Parigi, è stato filmato mentre minacciava la professoressa con una pistola (finta, si è saputo poi) alla tempia e prima di uscire ordinava: «Mettimi presente sul registro». Da allora, come per il movimento #MeToo sulle violenze alle donne, i social media si sono riempiti di denunce di episodi simili e di proteste contro la complicità delle gerarchie scolastiche, che tendono a minimizzare gli incidenti per non alimentare le tensioni.
Da un lato ci sono l’autorità e la dedizione degli insegnanti, dall’altro la violenza di alcuni allievi coperti dai genitori, e le istituzioni danno talvolta l’impressione di stare dalla parte sbagliata, per paura e debolezza. La «scuola repubblicana», strumento di ascesa sociale e pari opportunità, è stata a lungo l’orgoglio della Francia, ma oggi è accusata di tradire i valori fondamentali che sarebbe chiamata a trasmettere.
Jean Willot non era depresso, ripetono parenti e colleghi, ma esasperato e solo. Il ministro dell’Istruzione, Jean-Michel Blanquer, ha impiegato oltre 10 giorni per reagire, e lo ha fatto ieri con un tweet di circostanza. Domenica prossima, alle 14, marcia silenziosa di colleghi e concittadini in omaggio al maestro abbandonato.
0 notes
lantidotecollectif · 4 years ago
Photo
Tumblr media
🎶 Jean Michel c'est de la racaille... 🎶 Bonne rentrée des classes à tous les premiers de corvées de l'éducation populaire, de l'éducation nationale et des services territoriaux... #educationnationale #jeanmichelblanquer #blanquer #garderie #rentreescolaire #deconfinement #premiersdecorvée #pasdevagues #jesuisenseignant #ecolesfermees #ecolealamaison #enfantsterribles #teletravail #dessin #illustrationjeunesse #dessindujour #islamogauchisme #mercipatron #illustrationoftheday #illustration_daily (à Education Nationale) https://www.instagram.com/p/COIvj2lhVWL/?igshid=ttlhlu6750cw
0 notes
whileiamdying · 7 years ago
Video
youtube
Les violences scolaires suite au braquage d'une enseignante par un élève armé à Créteil, dans le Val de Marne. C'était il y a une semaine. Depuis des centaines de milliers de témoignages ont déferlé depuis sur Twitter notamment, avec un hashtag #PasDeVague, mettant en lumière le mal-être, le ras-le-bol des enseignants. Reportage de Maïwenn Bordron. https://ift.tt/2At5a0S Abonnez-vous pour retrouver toutes nos vidéos : https://www.youtube.com/channel/UCd5DKToXYTKAQ6khzewww2g Et retrouvez-nous sur... Facebook : https://ift.tt/2Nk0CC9... Twitter : https://twitter.com/franceculture Instagram : https://ift.tt/2CBjA2k
0 notes
bannupak · 7 years ago
Text
#PasDeVague: French teachers break silence on 'abuse' by students
A teen pointing a fake gun at his teacher angers others into revealing their own stories of bullying. from BBC News - World https://ift.tt/2CztXBU from Blogger https://ift.tt/2SaFwEW
0 notes
spicynbachili2 · 7 years ago
Text
#PasDeVague: French teachers break silence on ‘abuse’ by students
Picture copyright AFP
Picture caption Schooling Minister Jean-Michel Blanquer addresses the media over the pretend gun incident
French lecturers have revealed tales of bullying by college students after a video confirmed a teen pointing a pretend gun at his trainer in a Paris suburb.
A whole lot on Twitter satirically used #PasDeVague (“Do not Make Waves”) to focus on their alleged abuse.
Most mentioned that they had obtained no help after reporting threats, insults, harassment and violence.
The 15-year-old mentioned to be concerned within the pretend gun incident has been charged with aggravated violence.
The transfer got here after his trainer complained concerning the incident at the highschool in Créteil.
The boy mentioned it was “a joke” and that he didn’t know he was being filmed by one in every of his classmates, who shared the video on Snapchat.
‘Actuality on the bottom’
Described in French media because the #MeToo motion of the nation’s public training sector, lecturers have unleashed a wave of hundreds of tweets.
“I used to be spat on and threatened to be ‘overwhelmed up’ after college,” tweeted a Latin trainer of 10 years. When she pushed for sanctions, the principal agreed to droop the scholar for 3 days however allegedly accused the trainer of being repressive.
One other trainer spoke of a colleague who obtained demise threats signed by a whole class of scholars. “The help? Nought.”
“I’d have appreciated to been supported when a student hit me in a hallway of my school some years ago,” tweeted one other (in French). The woman was not expelled, and “I used to be instructed I should not really feel so strongly about it. That is the fact on the bottom.”
One trainer recalled having a lot of enthusiasm and concepts for her first educating job as a 23 12 months outdated. “Through the first recess, you are crying within the bathrooms since you’re not prepared for… the blows and insults that rain between them and in the direction of me.”
One particular person on Twitter made clear that #PasDeVague doesn’t spotlight a hatred of scholars however quite “anger, generally despair” in school administration for its incapacity to take care of social issues.
“We dwell with common verbal abuse, however we’re pressured to proceed educating,” Jenny Lartaud, a French trainer at an Alsace faculty, instructed information company AFP.
‘Brushed below the carpet’
French President Emmanuel Macron additionally took to Twitter over the weekend to say “threatening a trainer is unacceptable”. He mentioned he had requested his authorities to “take all measures” to make sure individuals doing this had been punished and banned from faculties.
“We’ll restore order,” Minister of Schooling Jean-Michel Blanquer instructed Le Parisien on Sunday.
He expressed his shock on the pretend gun incident, and mentioned he had urged principals take disciplinary motion at any time when needed.
“For too lengthy, it was thought of that [the number of disciplinary actions] mirrored the standard of the establishment, with the danger of brushing occasions below the carpet.”
One trainer nevertheless accused the training minister of mendacity “shamefully”, telling the Huffington Put up the politician “did nothing” to cease violence in a Créteil college he was accountable for in 2008.
Jeremy Destenave shared letters allegedly despatched to Mr Blanquer on the time, to reveal the verbal and bodily abuse suffered by lecturers each day and ask for defense.
“For some, these years leave traces and scars,” Mr Destenave tweeted. “Others have even stopped being a part of the career. It’s for them that I’ve spoken and I’m nonetheless offended.”
from SpicyNBAChili.com https://www.spicynbachili.com/pasdevague-french-teachers-break-silence-on-abuse-by-students/
0 notes
massimilianodeconca · 6 years ago
Text
Stare a bene a scuola fa star bene
Stare a bene a scuola fa star bene - non chiamiamoli 2 mesi di ferie: è convalescenza! #stress #scuola
Comincio dal 14 marzo 2019, dal suicidio di Jean Willot, 57 anni, da oltre 30 maestro elementare in una scuola della banlieue parigina (Eaubonne), accusato di aver maltrattato un alunno. Mi hanno colpito di quel gesto estremo due aspetti: la facilità con la quale l’opinione pubblica l’ha subito dichiarato colpevole senza nessun processo e la naturalezza con cui l’amministrazione ha tentato di…
View On WordPress
0 notes
reseau-actu · 7 years ago
Link
Si elle veut que les petits caïds cessent d'imposer leur loi dans les salles de classe (pour “rigoler”), l'École devra, comme notre société, redécouvrir les bienfaits de la sanction.
Il a fallu qu'une vidéo fasse le tour des réseaux sociaux pour provoquer une réaction. Une professeur, menacée par un élève, qui pointe une arme sur sa tête - on apprit plus tard que le pistolet était factice. Emmanuel Macron juge l’acte « inacceptable », invoque la République, dépêche immédiatement les ministres de l’Intérieur et de l’Éducation nationale afin de « prendre toutes les mesures pour que ces faits soient punis et définitivement proscrits de nos écoles ». Les deux concernés ne tardent pas à réagir : Castaner lance un « comité stratégique » ; Blanquer promet de « rétablir l’ordre ». En attendant, les condamnations récurrentes peinent à masquer les décennies d’inaction.
Personne ne peut dire que l'on n'avait pas été prévenu. En 1992, déjà - c’est l’Ina qui révèle l’archive-, des professeurs se plaignaient d’être traités « comme des chiens » par leurs élèves. L'un déplorait –précurseur – que « l’effort, les valeurs, le dévouement et l’enjeu collectif » ne soient plus dans l’air du temps. Le proviseur, quant à lui, regrettait que « l’on ait du mal à assumer le terme même d’autorité » et confiait finalement la préférer à ce « laisser-aller ». L’héritage de mai 68 était déjà bien lourd à porter : personne, pourtant, ne pensait alors à le renier.
Les élèves se marrent, habitués qu’ils sont à l’impunité. La frontière entre le bien et le mal a disparu.
Les années ont passé, et tandis que se répandaient déjà sur les réseaux sociaux des vidéos de lynchages de policiers, de viols collectifs ou d’agressions « gratuites », les pédagogistes se demandaient s’il ne fallait pas remplacer les notes par des gommettes pour éviter les traumatismes. Dans les écoles, on faisait taire les professeurs inquiets (le hashtag « pas de vague » confirme ce dernier point).
Pas de vague, donc, jusqu'à ce que cette pauvre femme apparaisse sur nos écrans. Assumant passivement son rôle de victime, assise de côté, comme si s'installer face à ses élèves représentait déjà une réalité trop dure à affronter. La scène, surréaliste, ne semble pas l'étonner. Peut-être était-elle en état de sidération, sans doute y est-elle habituée – sinon, comment expliquer sa sérénité -, même si le directeur de l’établissement s’est déclaré « surpris » que cela arrive dans son établissement où s’enchaînent les « séances de sensibilisation au respect ». Efficaces, si l’on en juge par le récit des élèves présents dans la classe, qui confient tous que l’ambiance était à la « rigolade ». Le braqueur lui-même a d’ailleurs expliqué que c’était simplement pour « rigoler ».
Certaines écoles en sont là : on braque un professeur pour « rigoler ». Les élèves se marrent, habitués qu’ils sont à l’impunité. La frontière entre le bien et le mal a disparu. Sauf que cet élève n’a pas uniquement menacé son professeur pour rigoler. On l'entend, dans l'enregistrement, hurler à l'adulte de le noter « présent ». Monsieur a des principes. Pourquoi cette insistance ? Par « peur » de la réaction de son père si ce dernier venait à apprendre qu'il était arrivé en retard à ce cours. C'est d'ailleurs avec son père qu'il s’est rendu, plus tard, au commissariat.
En filigrane, la figure paternelle
Ce que révèle cette confession est fondamental : l’adolescent, en réalité, sait parfaitement différencier le bien du mal, mais uniquement quand il est chez lui. Sans doute parce qu'ici, l’échelle des peines et des sanctions n’a pas été remplacée, comme à l'école, par des gommettes ou des ateliers de bienveillance. Sans doute, aussi, parce que les sanctions paternelles encourues ont préservé une conscience aiguë de ce qui sépare le bien du mal. Par la force des choses, cette conscience s'évanouit quand il pénètre dans son école. En fin de compte, l’adolescent estime que menacer sa professeur avec une arme dans une salle de classe est moins risqué que d'encourir une réaction paternelle pour une absence lors de son retour au domicile. Vertigineux.
Intellectuels et conseillers politiques doivent continuer à se pencher sur les causes de cet ensauvagement scolaire qui suit naturellement celui de la société tout entière : désastre de la gestion migratoire, refus de la hiérarchisation des savoirs, manque de moyens humains, destruction de l’autorité, affaiblissement du rôle du professeur… Mais en attendant, les pouvoirs publics, eux, doivent immédiatement passer à l’action. Et mettre un terme au sentiment d’impunité qui pousse des jeunes à se filmer en train de commettre des horreurs sans craindre la moindre réponse. Suggérons leur d'étudier la figure paternelle que l'on devine dans cette affaire, et que Mai 68 avait sciemment décidé d'enterrer.
Les vertus de la sanction
Dans ce dossier, Emmanuel Macron n'aurait pas dû se contenter de convoquer les ministres de l'Intérieur et de l'Education. Celui de la Justice était également directement concerné. Car si la France veut à nouveau mériter le respect qu'elle a perdu, le juge devra redécouvrir les bienfaits de la sanction. A l'échelle de son établissement, le directeur peut s'en charger, mais la justice doit impérativement le suivre à l'extérieur si ses efforts veulent être récompensés.
Les sanctions ont de multiples vertus. Connues, elles dissuadent. Énoncées, elles éduquent une population entière à définir et reconnaître une moralité commune (c'est ce qui fonde une civilisation et engendre la civilité qui nous fait tant défaut). Appliquées, elles réparent l’injustice inhérente à la faute et tentent de provoquer l’amélioration du coupable. La moindre des choses envers la victime… et envers le coupable, si l'on recherche vraiment son bien. Pour éviter d’en arriver au braquage filmé, au viol diffusé ou au lynchage commenté, ces sanctions doivent être proportionnées et échelonnées. Il est inutile d’attendre tel débordement pour condamner fermement. C’est même en retrouvant l’exigence des petites fidélités à la règle que les écoles retrouveront la paix.
Tumblr media
0 notes
annequeyraslouail · 7 years ago
Photo
Tumblr media
Zap Zap Actus du 18 au 23 octobre et petite migration en altitude #bensalman #pasdevague #oiseaux #puysaintvincent etc. https://www.instagram.com/p/BpUX8MzhWe7/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=v5kbkia1c70r
0 notes
william-b-2b · 7 years ago
Photo
Tumblr media
| Vous avez dit #PasDeVague ? Ça mérite un RÀZ DE MARÉE de réactions fermes, claires, nettes et précises ! BORDEL DE SOUS-CHIASSE!!! L'affaire #Créteil (qui, comme dit sur les présents replay, ne représentant qu'un tiers de ce qui se passe réellement) est l'exact fruit de la STARISATION des mômes et du laxisme des personnels étant sensé donner la juste et vraie définition du mot autorité ! Pourquoi STARISATION des gosses ? C'est simple, la "chose", armée, a 16 ans, c'est-à-dire que si on se projette 10 ans en arrière, donc aux débuts de l'ère smartphones et donc du globe à bouts de doigts, le gars avait SIX ANS, ce qui me conforte, personnellement, à l'avis selon lequel nous vivons un véritable scandale à tous les étages ! Dès 2 ans (et je suis généreux), le môme a : - iPhone XS MAX (près de 2 000 EUR la plaquette !!!) - Le tout dernier forfait (tout illimité vers saturne etc) - Les codes VOD et adulte des décodeurs de la maison - L'avis 10 étoiles obligatoire, tant au niveau scolaire qu'en dehors Oui, je place le "20/20 rien" à l'école dans la "liste du scandale" car je trouve absolument honteux, qu'aujourd'hui, les rôles, à titre d'une prétendue précocité (qui n'est en fait rien d'autre que le fruit d'une connerie de laquelle de laquelle le plus grand nombre se GARGARISE) s'inversent. Pire, n'allons surtout pas avoir le malheur de "porter nos couilles" en dénonçant cela, c'est la plainte assurée, on rallume les fours et ressort les guillotines et les bûchers... (à Bastia) https://www.instagram.com/p/BpRQBZVgZer/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1iy3eeuxne8dg
0 notes
nabyyle · 6 years ago
Link
via
0 notes
stpauldevarces2026 · 7 years ago
Photo
Tumblr media
#Insécurité : 4 pages terrifiantes dans l’hebdomadaire Valeurs Actuelles de cette semaine avec des faits précis donnés par des policiers locaux qui rompent le #PasDeVague : les faits sont rattachés à des noms. Aucun anonymat ! Ces faits souvent lus nulle part jusqu’à ce jour (!) sont le marqueur de l’ampleur de la faillite des élus sortants dans l’agglomération grenobloise. Certes, la faillite de la majorité dont l’inaction a permis cette évolution gravissime. Mais aussi la faillite de l’opposition qui n’a jamais émis des propositions précises, qui n’a jamais bagarré pour que ce dossier soit sérieusement traité. On retrouve aujourd’hui des
politiciens professionnels qui tentent de s’accrocher à leur métier et à leurs indemnités en essayant de bâtir des accords de circonstances pour contourner ce constat de faillite. Pourquoi parviendraient-ils à réussir demain ce qu’ils n’ont pas eu la volonté d’engager aujourd’hui ?  Il faut également que chacun sache que le PLUi, c’est la propagation de la faillite de Grenoble et de sa 1ère couronne (Echirolles, St Martin d’Hères ...) en matière de qualité de vie. Les citoyens qui n’appartiennent à aucune fan zone politicienne doivent se mobiliser, se rassembler pour éviter la généralisation du naufrage auquel on assiste déjà pour des territoires perdus par la République et par l’état de droit. 4 pages à lire avec attention car elles montrent l’ampleur de la crise actuelle dans l’agglomération grenobloise : des faits avec des auteurs professionnels de la police.
31 octobre 2018
0 notes