#vraoum
Explore tagged Tumblr posts
Photo



La version Russe ! C’est édité chez KOMILFO Russian Version by KOMILFO!
6 notes
·
View notes
Photo







Some photos from #FIBD2017 - Book launch.
And a link to my interview on itele: http://www.itele.fr/culture/video/44eme-festival-de-la-bd-a-angouleme-une-edition-plus-feminine-172575
The book comes out officially on the 15th of February! :)
3 notes
·
View notes
Photo

Lou est une jeune fille bien sous tout rapport. Jeune, jolie, elle conçoit des jeux vidéos, a un amoureux, des amis, une famille aimante… Bref, tout pour ne pas sombrer dans la déprime la plus noire. Sauf que voilà, de temps en temps, entre des périodes d’intense activité, sans raison, elle tombe dans le pot au noir, et un animal insatiable la dévore… un petit renard ! Soit son tempérament cyclothymique, sous la forme d’un petit renard capricieux. Car Lou est cyclothymique et, avec elle, le lecteur va découvrir le monde haut en contraste des maladies bipolaires.
Si le dessin est simple, le sujet ne l'est pas, et pourtant, Lou Lubie explique les troubles de l'humeur avec une clarté appréciée, affichant une honnêteté touchante. Comme l'auteure le dit si bien : les personnes cyclothymiques ne sont pas des possédés, ni des héros, et ces quelques pages nous racontent le quotidien de ces êtres humains et de leur trouble imaginée en animal. Les métaphores sont par ailleurs justes et familières, tantôt comiques, tantôt effrayantes, rendant le livre accessible et surtout puissant. Une BD qui rendra service à tous, bipolaires ou non, et qui, je l'espère, fera reculer les clichés les plus aberrants sur ce trouble "en vogue".
• une question sur cette lecture ? • Acheter sur Sauramps Médical • anecdote - La seconde édition, disponible depuis octobre 2019, est enrichie d'un dossier où Lou Lubie répond à quelques questions de lecteurs. • suggestion de lecture - "J'aime les fous" • Les troubles bipolaires - Que sais-je ?
0 notes
Photo

Audi R8 V10 #vraoum #audi #r8 (à Sn Diffusion)
0 notes
Text
JOUR 250 - Quoi de plus normal qu’infliger la vie ?, Oriane Lassus, éditions Arbitraire // Chronique de Claire Porcher

Une bande-dessinée qui parlera à toutes les femmes qui, comme moi, approchent de la trentaine et subissent depuis quelques années déjà une pression constante et croissante pour faire des enfants. Si vous voulez envoyer un message à votre entourage (que le message soit « laisse-moi tranquille, plutôt mourir que de me reproduire » ou « laisse-moi tranquille, je prends mon temps »), offrez ce livre d’Oriane Lassus. Parce que le jour où nous vivrons dans un monde où nous pourrons réellement faire ce qu’on veut de nos corps n’est pas encore arrivé.

Oriane Lassus choisit de traiter ce sujet avec plusieurs saynettes, dont beaucoup que tout le monde a déjà vécues : la visite chez le gynéco (qui refuse de poser un stérilet parce qu’on n’a pas d’enfant), la discussion avec sa famille, la discussion avec son copain, la rencontre avec le premier bébé de la famille, l’attente angoissée des règles… A propos des règles d’ailleurs, une citation à conserver :
« C’est comme si on m’avait offert une grosse télé. J’en voulais pas, je la regarde jamais… Mais tous les mois je dois payer la redevance. »


La deuxième partie de l’ouvrage démontre que faire un enfant ne nous délivrera pas de la pression sociale et familiale. Au contraire, c’est plutôt là que les ennuis commencent. Le livre s’achève sur l’arrivée des premières règles de la nièce de la protagoniste : il s’agit d’un cycle, un cercle dont l’objectif est la maîtrise du corps des femmes, la confiscation de leur liberté.

Oriane Lassus a un dessin crado et jouissif. J’adore les milliards de détails qu’elle met dans chaque page. Les personnages ont des expressions caricaturales mais conservent une personnalité propre. Le ton est grinçant, on referme le livre avec une colère neuve au creux du ventre, et plein de choses à expliquer à la prochaine personne qui nous demandera « tu t’y mets quand ? ».

Claire Porcher
Quoi de plus normal qu’infliger la vie ?, Oriane Lassus. Éditions Arbitraire 2016
Oriane Lassus, autrice et illustratrice, est née en 1987. Son blog Spongiculture (http://www.spongiculture.net/) obtient le Prix Révélation Blog au FIDB d’Angoulême en 2011. Elle a publié Ça va derrière ?, éd. Vraoum, Immobilerie Pointure, éd. Super Structure, Quoi de plus normal qu'infliger la vie ?, éd. Arbitraire, et Le Meilleurissime Repaire de la Terre, éd. Biscoto. Elle participe également à de nombreux projets collectifs.
#bd#bande-dessinée#oriane lassus#féminisme#féministe#vie de femme#maternité#bébé#choix#my body my choice#enfants#maman#enceinte#pilule#gynéco#corps#chronique#blog#livres de femmes#conseils de lecture#dessin#graphisme#365 day project#claire porcher
5 notes
·
View notes
Photo
Rôles de composition, livre (Mécanique générale et Vraoum!, 2016)
Photos de Mélodie Vachon Boucher
6 notes
·
View notes
Text
Goupil ou Face - Lubie, Lou
France, éditions Vraoum
Tempo: n/a
Locus: n/a
Notedehrn: il s’agit d’une bd mais ya des fois c’est pareil...
0 notes
Text
Faut-il aller au Motor Expo 2017 ? C’est la question que je me posais en regardant mon garage de manière dubitative, faisant sauter la clé du XJR dans les airs en la rattrapant d’une main ferme (et oui, je suis un peu jongleur à mes heures). Fatigué d’y avoir autrefois tenu un stand situé bien à l’abri du client, n’étant pas invité cette année et n’aimant pas particulièrement flâner sur les stands des concessions au doux son des micros d’animateur nappés par l’odeur des frites, je n’étais pas trop tenté. Mais après tout, si j’y allais en simple client qui paye sa place, je ne devrais rien à quiconque et pourrais m’exprimer librement.
Je m’y suis donc rendu le vendredi, avec Raph, un jeune assistant Claymotorcycles (certains le connaissent pour lui avoir acheté des tee shirts ou des stickers), afin de donner à l’aventure un aspect initiatique et aussi pour avoir un second avis issu de la jeunesse innocente (mouhais…). Je n’allais pas être déçu, la jeunesse en question balançant son hand-spinner de l’autre côté de la barrière, côté stunt…
Alors Tonton Clay, faut-il y aller à ce salon de la moto réunionnais bisannuel ?
Moi je dirais…OUI :
-si tu veux bien considérer que l’affiche pompe une des bécanes cultes de Claymotorcycles : le Yam BT 1100 Bulldog (alias mon Strom cruiser à moi). Les hasards des banques d’images sûrement. Une fille tatouée serre un écrou imaginaire sur le cadre. Et, pour avoir pas mal démonté et viré du plastoc dans ce coin là, je peux vous garantir qu’il n’y a pas grand chose à visser dans ce secteur.
Version stock de 2006 (année de fin de production.
Mon bricolage est plus cool !
Mon affiche est plus cool !
-si tu n’as pas trop de sous. 6 euros l’entrée et 3 pour les petits, ça va. Pour ce prix-là, tu vois la Championne du Monde de stunt en action, et quand le kid sors son tel pour filmer le show, tu te dis que la mission est accomplie. Tu peux même amortir ton billet d’entrée en te payant une HD ou une Bavaroise à plusieurs patates. Elle est pas belle la vie au Port ? Par contre, le vestiaire payant, ça rappelle la bonne époque des discothèques, mais 1 euro pour le casque, et un autre pour le cuir, pour deux personnes, c’est un peu mesquin et ça t’inciterait presque à venir en tee shirt et bob Paul Ricard. Nous, on s’en foutait : on devait garder le matos sur le dos pour faire de l’autopromotion au Blog.
La légende de Jimmy ! (private joke intelligible par les clients du brodeur qui a assorti la texture de mon As de Pique aux jointures de mon vieux cuir allemand).
I am too sexy for my cat !
-si tu es vraiment un crevard, tu viens juste te poser sur le parking surveillé gratuitement (pour les 2 roues uniquement, bien fait !). Là, pour pas un dard, tu pourras contempler à loisir des machines bien plus jolies que la majorité du stock neuf inside. Tu verras aussi des arrivées et des départs de motards vachement sympas, mais aussi une galerie collector de poseurs comme pas possible.
de la Jap !
de la ritale !
de la rosbif !
de la ricaine !
Encore de la ricaine !
du néo-rétro !
Mais sur le parking, la plus belle, nécessairement, c’est…la tienne !
-si tu veux comprendre l’évolution sociologique de la moto. En gros, autrefois, c’était un moyen de locomotion cheap et dangereux pour les vrais durs, les pauvres et les passionnés. Maintenant, tu constateras qu’au salon, ça commence par la crèche où on surveille ton môme, et que plus tu progresses vers les stands des concessions haut de gamme, plus tu découvres un public de retraités fortunés venus « vivre leur rêve d’enfant » en se trémoussant sur des motos bardées de plastoc, toutes pareilles, gavées d’électronique chinoise emballée dans des caches qui ne trompent que les ignorants. J’ai vu une 1600 aussi laide qu’un gros scooter qui affichait le prix que j’ai âprement déboursé il y a 8 ans pour me payer mon pick up. Je comprends mieux pourquoi ces gens me méprisent au feu rouge, tout fier sur une moto qui ‘m’aura coûté entre 2000 et 3000 boules et sur laquelle j’ai progressivement tout refait seul ou avec des potes. Leur machin neuf qui ne sort que par beau temps coûte plus de 10 fois le prix de ma meule ! Nous ne sommes plus dans la lutte entre mods et rockers, lesquels étaient tous issus des classes laborieuses. Non. Désormais, c’est juste la lutte des classes. Attention : le rêve d’enfant, je comprends. C’est juste le mépris qui ne passe pas. Surtout qu’il émane souvent de néophytes.
-si tu veux voir des machines bien plus accessibles et sympathiques, notamment chez des artisans comme Vincent, le préparateur de XR-Custom, ou comme Calvin le graveur de Black Barts. Ces deux-là, je vais bientôt leur consacrer un nouveau post. En attendant, allez donc vous asseoir dans un des super fauteuils en bidons réalisés par XR.
-si, après avoir pris ton bain de stock, bien déprimé, tu viens te réfugier dans l’autre hangar, celui des vieilles bécanes des copains du Bourbon Moto Classic et des vieilles caisses qui leur servent de vénérables voisines. A chaque fois, je crois avoir déjà fait le tour à l’avance. A chaque fois, Max me ravit en me faisant découvrir, avec la générosité et la passion bienveillante qui l’animent, de nouvelles anciennes. Même au sein de leur club, certains membres chevronnés mais cachottiers et modestes, leur sortent soudain de leur garage, l’air de rien, presque gênés, des Katanas mythiques et autres Bianchi rescapées d’une grange transalpine. Quel plaisir, grâce à ce beau et grand stand, de se replonger dans la délicieuse nostalgie, toujours roulante et valeureuse, d’une époque où même les voitures étaient belles. Où l’on pouvait encore faire de la mécanique avec un vieux guide technique étalé dans les flaques d’huile. L’époque où ma maman fendait la route en torturant le petit moteur nerveux de sa 500 décapotable. Ce n’était pas du néo-rétro. Non. C’était juste la route.
-si tu veux tester ta nouvelle meuf ou ton nouveau mec. Si, après avoir fait « vraoum vraoum » dans le vide en tordant en vain la poignée gauche d’un guidon américain, ta nouvelle conquête demande quand on va enfin faire les courses, ou s’inquiète de l’horaire de fermeture de la Cité des Arts, il est encore temps. Tu peux encore sauver le sens de ta vie et laisser là cette personne, t’acheter vite un des nombreux casques Shark Raw pour mieux te fondre dans la foule, et foncer vers la sortie, vers ta bécane, vers la liberté !
Mon patch préféré du moment.
-si tu veux retrouver sur place tes potes, boire un verre ou te gaver de kébab arrosé au Sunday chocolat et échanger des histoires de mécanique avant de reprendre la route ensemble sur fond de soleil couchant, comme nous avec Jean de Run Iron Works sur sa BM et notre Francky de nos Sons of Arnaquie sur sa Big One Rouge.
Moi aussi j’ai un casque de pompier !
-si tu veux voir la Championne du Monde de stunt, Sarah Lezito. J’aime bien le stunt. Tout d’abord, les motos de stunt sont toujours assez destroy. J’aime ça. Et puis le stunt résumes assez bien la moto et sa passion. Un peu de frime. Une prise de risques calculée. Le goût de la puissance. L’hédonisme individuel conjugué avec le sens du partage. Une sauvagerie totale concentrée sur la maîtrise d’une haute technicité. C’est tout cela Sarah, mais avec du fun, de la grâce et ce je-ne-sais-quoi de jamais vu chez un stunter mec. Le lendemain, des potes de potes me la décrivaient encore comme la petite amie idéale ! Je ne regardes plus le foot depuis le Mondial 98. Mais l’autre soir, j’ai regardé la finale de foot féminin PSG/Lyon. J’y ai découvert de la classe, du fair play et de l’engagement. Peu d’arrêts de jeux. C’était bien plus stylé que chez les gars. Idem avec la petite princesse Sarah. Ce qui est certain, c’est que cette sportive cool et modeste déchire grave total. Hélas, à cause de problèmes de durites pétées ou de système de refroidissement foireux (la bécane avait déjà été réparée la veille, et là elle est sortie discrètement avec de la fumée blanche qui sortait des carters). Du coup, je n’ai pas pu montrer à Raph ce que c’est qu’un pneu qui fond littéralement sur place dans un enfer de fumée et de bruit. Pas grave : ce sera l’occasion d’y retourner demain 😉
On s’y retrouve?
Clay
Faut-il aller au Motor Expo 2017 ? Faut-il aller au Motor Expo 2017 ? C’est la question que je me posais en regardant mon garage de manière dubitative, faisant sauter la clé du XJR dans les airs en la rattrapant d’une main ferme (et oui, je suis un peu jongleur à mes heures).
0 notes
Video
youtube
Interview Pour Regarde Les Filles au Salon Livre Paris
#salon du livre de paris#regarde les filles#look at the girls#look#vraoum#librairie#mollat#librairie mollat#roman graphique#romantic#gégé#comic book#bande dessinée#angoulême
0 notes
Link
Good preview!!!
0 notes