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24hinmymind · 1 year ago
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Budapest
Day one
Apprendre de ses erreurs est une démarche fondamentale pour quiconque cherche à évoluer personnellement et professionnellement. Cela commence par la reconnaissance humble et honnête de ses erreurs. Admettre qu'on a fait une erreur n'est pas un signe de faiblesse, mais une preuve de courage et de maturité.
Une fois l'erreur identifiée, il est crucial de l'analyser en profondeur. Cette étape consiste à comprendre les causes sous-jacentes : quelles décisions ont conduit à cette erreur ? Quels facteurs externes ont pu influencer le résultat ? Une analyse minutieuse permet de mettre en lumière les éléments à améliorer.
Accepter ses erreurs est également une étape essentielle. Cela ne signifie pas s'auto-flageller, mais plutôt prendre la responsabilité de ses actes. Cette responsabilisation est la clé pour éviter la répétition des mêmes erreurs et pour développer une attitude proactive face aux défis.
Tirer des leçons de ses erreurs est le cœur de ce processus. Chaque erreur contient une leçon précieuse, qu'il s'agisse de compétences à développer, d'habitudes à changer ou de stratégies à adopter. Identifier ces leçons et les intégrer dans son quotidien est fondamental pour progresser.
La mise en pratique des enseignements tirés est la dernière étape. Il ne suffit pas de comprendre ses erreurs, il faut également ajuster ses actions futures en conséquence. Cela peut impliquer la mise en place de nouvelles pratiques, l'adaptation de son comportement ou la modification de ses méthodes de prise de décision.
La persistance et la résilience sont des qualités indispensables pour apprendre de ses erreurs. Il est facile de se décourager après un échec, mais chaque erreur doit être vue comme une opportunité d'apprentissage. Il est important de continuer à avancer et de transformer chaque obstacle en une leçon de vie.
En conclusion, apprendre de ses erreurs est un voyage constant de réflexion, d'acceptation et d'action. C'est une démarche qui conduit à une meilleure compréhension de soi et à une amélioration continue, tant sur le plan personnel que professionnel.
Enfin, solliciter des retours extérieurs peut grandement aider dans ce processus. Les perspectives des autres peuvent offrir des insights précieux et aider à voir des aspects que l'on n'aurait pas remarqués soi-même. Le feedback est une source inestimable d'amélioration continue.
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24hinmymind · 1 year ago
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"Arte di vivere italiana"
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24hinmymind · 1 year ago
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" Donnez à un enfant un papier, des crayons et dites lui de dessiner une voiture. Il l'a fera certainement rouge."
- Enzo Ferrari
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24hinmymind · 1 year ago
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" I love you so much"
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
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24hinmymind · 1 year ago
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Ilyan Hayes
Faut croire en ses rêves
Pour les réaliser.
Pascale Tolotta, véritable Monégasque de souche, fit la rencontre de Lorenzo de' Medici, un jeune homme de la célèbre famille Médicis, lors d'une somptueuse soirée à Monaco alors qu'elle était au début de la vingtaine. Lorenzo, un Italien influent, passait l'été à savourer la chaleur et le charme de la Côte d'Azur. Leur amour fut immédiat et intense, une passion qui poussa Pascale à prendre une décision audacieuse : déménager à Florence après les vacances pour être avec lui.
Cependant, l'accueil de la famille Médicis ne fut pas des plus chaleureux. Issue d'une famille modeste, Pascale devait faire face aux regards critiques et aux préjugés de cette noble lignée, qui voyait leur union d'un très mauvais œil. Malgré ces difficultés, leur amour ne faiblit pas. Peu de temps après son arrivée en Italie, la jeune femme découvrit avec émerveillement qu'elle attendait un enfant. Après seulement trois mois de relation, Pascale apprit qu'elle était enceinte de Lorenzo, une nouvelle qui changea à jamais leur destin et les rapprocha encore plus.
Mais la grossesse se révéla plus difficile que prévu, tant physiquement qu'émotionnellement. La famille Médicis avait des opinions très strictes sur la future éducation de l'enfant, ce qui provoqua des désaccords au sein du couple. Pascale, se sentant de plus en plus isolée et incomprise, sombra lentement dans la dépression. Le couple, autrefois uni par une passion intense, n'était plus que l'ombre de lui-même, une mascarade aux yeux de tous.
La situation atteignit son paroxysme lorsque Gabriel eut deux ans. Pascale, épuisée par les tensions et le manque de soutien, prit la décision déchirante de fuir Florence avec son fils. Elle retourna dans sa petite ville natale de Monaco, cherchant refuge et paix auprès de sa famille et dans les souvenirs de sa jeunesse.
Ce retour aux sources permit à Pascale de retrouver une part de sérénité et de se reconstruire. Malgré les épreuves, le combat de Pascale ne s'arrêtait pas là. Lorenzo, avec toute son influence, réussit à récupérer la garde de Gabriel, ne permettant à Pascale de voir son fils que pendant les vacances. Gabriel grandit donc à Florence, sous l'influence stricte des Médicis.
Avec le temps, Pascale reconstruisit sa vie. Elle épousa Hervé Hayes, un homme aimant et compréhensif, et ils eurent un second fils, Ilyan Hayes, qui pointa le bout de son nez le 7 février 1997 à l'hôpital de Monaco, dans la joie et l'allégresse. Ilyan grandit dans un foyer chaleureux et aimant, passant deux mois par an avec son frère Gabriel. À l'âge de 14 ans, Gabriel, fatigué de l'austérité de son père, décida de s'enfuir pour rejoindre sa mère à Monaco. La loi lui permettait alors de choisir avec quel parent vivre, et il opta pour la douceur et l'affection de sa mère et de sa nouvelle famille.
Ilyan naquit d'une mère monégasque et d'un père américain. Ainsi, l'enfant grandit dans un foyer bilingue. Deux ans après la naissance d'Ilyan, un troisième frère arriva : Arthur. La famille était comblée. Ilyan, dès son plus jeune âge, se montra un enfant aimant, prenant soin des siens. Très tôt, il manifesta un intérêt prononcé pour les voitures. Son père, Hervé, mécanicien passionné, l'emmenait souvent au garage où Ilyan passait des heures à observer, apprendre et aider. Cette fascination pour la mécanique et la vitesse prit une nouvelle dimension lorsqu'Ilyan découvrit le karting à l'âge de 4 ans. Ce fut une révélation qui allait déterminer son futur.
Lors de sa première expérience en karting, Hervé remarqua immédiatement que son fils avait un don naturel pour piloter. Sa maîtrise et sa vitesse sur la piste, malgré son jeune âge, impressionnèrent tous ceux qui l'observaient. Reconnaissant le talent exceptionnel d'Ilyan, Hervé décida de l'inscrire à des compétitions de karting. Très vite, les courses devinrent une part intégrante de la vie d'Ilyan.
Dès qu'il le pouvait, Ilyan passait tout son temps libre sur la piste, perfectionnant ses compétences et repoussant ses limites. Il n'hésitait pas à manquer des cours pour participer à des compétitions, bien que son père restât tolérant à condition qu'Ilyan continue d'exceller à l'école. Et exceller, il le faisait. Ilyan parvenait à jongler entre ses études et ses courses avec brio, démontrant une discipline et une détermination hors du commun.
Les week-ends étaient souvent réservés aux compétitions, où la famille Hayes se rassemblait pour soutenir Ilyan. Pascale, bien qu'un peu inquiète des risques, partageait l'enthousiasme de son fils et l'encourageait à suivre sa passion. Gabriel et Arthur, fiers de leur frère, étaient ses plus grands supporters, présents à chaque course pour l'encourager.
Au fil des années, Ilyan se fit un nom dans le monde du karting, remportant de nombreux trophées et attirant l'attention des scouts et sponsors. Sa progression rapide et son talent indéniable laissèrent présager un avenir prometteur dans le sport automobile. Mais pour Ilyan, chaque victoire était avant tout une occasion de rendre fiers ses parents et de remercier son père pour le soutien indéfectible qu'il lui apportait.
Cependant, la situation financière de la famille devint de plus en plus difficile. Hervé enchaînait les heures supplémentaires pour payer les frais liés aux compétitions d'Ilyan, mais avec trois garçons ayant chacun des passions coûteuses, il devint de plus en plus difficile de tout financer. Gabriel était un artiste passionné, tandis qu'Arthur partageait l'amour d'Ilyan pour la vitesse.
À l'âge de 12 ans, Ilyan pensa devoir abandonner sa carrière naissante, n'ayant plus les moyens de payer sa place dans le championnat. Cependant, un investisseur qui observait Ilyan depuis un moment et qui avait développé une amitié avec la famille Hayes décida d'intervenir. Adorant la famille et croyant au potentiel d'Ilyan, il s'engagea à financer sa carrière, permettant au jeune prodige de continuer à courir.
Plus que jamais motivé, Ilyan devint l'un des talents les plus prometteurs à surveiller. Doucement, l'idée de devenir pilote de F1 s'incrusta dans son esprit. Il rêvait de piloter pour la Scuderia Ferrari, fasciné par leurs voitures et les valeurs italiennes qui lui rappelaient ses propres racines.
Cependant, un tragique accident marqua son adolescence. À l'aube de ses 16 ans, Hervé fut victime d'un accident de voiture causé par un chauffeur ivre. Hervé succomba à ses blessures, laissant Ilyan anéanti. Son père aimant et son plus grand supporteur n'était plus. Hervé lui avait tout appris : la mécanique, les stratégies de course, et même des valeurs à travers des cours de piano.
Pendant plusieurs mois, Ilyan sombra dans la négligence, submergé par la douleur. Ce fut son vieux sponsor qui réussit à le remotiver, lui rappelant que son père aurait voulu qu'il réalise son plus grand rêve.
À l'âge de 18 ans, grâce aux contacts de son mentor avec l'emblématique écurie Ferrari, Ilyan obtint une place chez eux. Il devint rapidement le "prince de Ferrari", admiré pour ses valeurs, sa modestie et son immense talent. Ilyan intégra l'école de pilotes de Ferrari et devint le plus jeune pilote à courir pour la marque. Dès ses débuts, il attira l'attention de la presse et commença à remporter des courses, se battant avec fierté en l'honneur de son père.
Les années passèrent, et Ilyan resta le favori de Ferrari. Depuis sept ans, il était leur pilote phare, affrontant épreuves et moments difficiles avec une loyauté inébranlable envers son écurie. De son côté, Ferrari lui resta fidèle, reconnaissant en lui un talent exceptionnel et un esprit de compétition rare. Leur partenariat, forgé dans les défis et les triomphes, devint un exemple de réussite et de dévouement dans le monde de la F1.
Ainsi, Ilyan continua à gravir les échelons, rêvant de devenir un pilote de course professionnel. Son avenir s'annonçait brillant, et chaque course le rapprochait un peu plus de son rêve. Mais peu importe jusqu'où il irait, il savait qu'il pouvait toujours compter sur l'amour et le soutien inébranlables de sa famille.
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