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Par la couverture N°1

LE POURQUOI

Début d’année je me suis fait l’intégralité de Pop Team Epic. L’animé, je précise. Dieu sait pourtant que je ne regarde plus grand chose en long format, série, film ou animé depuis un bail, mais l’ambiance complètement barrée du truc m’a séduit à essayer de comprendre le concept du truc et de voir jusqu’où ils allaient aller avec (à savoir très loin, ce qui fut réjouissant). Ce qui m’a traîné sur Crunchyroll, qui est quand même une solution très, très bien foutue pour ça. Ensuite, y’a eu Aggretsuko, probablement la meilleure série sur le monde de travail que j’ai vu a date mais qui s’est révélé être animée. Puis ensuite, plus rien. Jusqu’à date, mes animés préférés étaient Fruit Basket et Ouran High School Host Club. Des vrais trucs de mec, ouais, je sais. Mais j’ai jamais creusé plus loin, par flemme, manque de temps et préjugés, principalement.

Ce qui nous amène a la semaine dernière où, après avoir vu 40 gifs et extraits marrants d’une série zarb avec un libraire squelette, je suis aller chercher le truc, j’ai vu qu’il était sur Crunchy et je l’ai dévoré. Ce qui m’a poussé à demander conseil pour trouver d’autres séries du “même genre”. Pour l’exercice, je vais donc regarder le premier épisode de chacune des (nombreuses) séries qu’on m’a conseillé, donner mon avis ici et dire si j’ai trouvé ça “nope”, “bof” ou “yeah” et si je compte regarder le reste. J’indiquerais aussi ceux récipiendaires du “bonus larmiche” pour ceux qui m’ont fait mouiller la rétine. Et pour mieux faire comprendre le concept, on va commencer par les deux que j’ai déjà dévoré aussi entièrement que possible dans la semaine.

SKULL-FACE BOOKSELLER HONDA-SAN

Conseillé par : tout Internet en général Ça parle de : La vie d’un libraire. Le truc c’est que : Pour protéger l’anonymat des perso, ils sont tous représentés “bizarrement” (le perso principal est un squelette, ses collègues ont divers masques, sacs en papiers, casques etc) vu que l’histoire est semi autobiographique. Mais c’est juste pour “notre” vision.

Ouais, faut croire que je suis pas contre les animés sur le monde du travail. Une fois passé outre le côté conceptuel intriguant des persos “principaux” au look bizarre et malgré un côté un peu appuyé sur les clichés, c’est un animé très drôle avec pas mal de choses qui sentent clairement le vécu et permettent vraiment d’avoir une meilleur idée de ce que c’est d’être libraire au japon avec les contraintes de devoir gérer les stocks et les nouvelles sorties, les éditeurs et les clients et devoir faire tout ça en gardant le sourire corporate. C’est de loin pas le plus bel animé que j’ai vu, mais c’est assez foutraque et surtout bien écrit pour rattraper le truc. Je me suis bien, bien marré et j’ai hâte de voir la suite.

Scène clé : Le héro obligé d’essayer de faire comprendre à un touriste américain qu’ils ne vendent pas de Dōjinshi pornos. Encore une fois, ça a tellement du lui arriver.

Et donc ? : C’est un grand bleu, il va a Baltard.

Et pendant que les conseils s’accumulaient, a suivi...

YURU CAMP / LAID BACK CAMP - AU GRAND AIR

Conseillé par : Cette vidéo géniale de deux testeurs de Giant Bomb qui ont récemment découvert et adoré Dragon Ball Z Kai et que Cruchyroll a invité à Anime Expo pour les soumettre à un mur de clips de 30 secondes de plein d’animés divers soumis par Internet https://www.youtube.com/watch?v=jDVvX49kVh8 et LoosGuccreen (mais c’était déjà vu a ce moment là). Ça parle de : Ados qui aiment camper. Le truc c’est que : y’en a... Pas ? Pas vraiment en tout cas.

Bordel ce que Laid Back Camp est beau. Oui, les persos sont parfois super clichés, oui c’est niais, oui c’est mielleux jusqu’à hyperglycémie mais BORDEL ce que c’est beau et ça m’a fait du bien. Ça raconte juste l’histoire d’ados qui aiment camper. Une adore faire ça seule, deux font ça en club, et une découvre à peine et elle s’y met. A chaque épisode, elle préparent leur voyage et elle campent, souvent prêt du mont Fuji. Parfois seules, parfois à deux ou trois jusqu’au grand climax où (spoiler) elles vont camper ensemble. C’est l’occasion de montrer plein de trucs sur le camping, plein de paysages sublimes et plein de recettes de bouffe succulentes. J’ai passé toute la série à être terrifié que quelque chose viennent casser la bulle d’air extraordinaire qu’est cette série mais non. C’est juste une pastille très sucrée et toute douce qui fond dans la gorge et réchauffe.

Scène clé : La rencontre des deux persos “principaux” de la série, au caractère on ne peut plus opposés mais qui s’apprivoisent, en fin de premier épisode.

Et donc : Oui plus de ça s’il vous plaît merci. Récipiendaire du bonus larmiche (à, genre, douze reprises).

Ok. Ca c’est pour ce que je savais AVANT de commencer cet exercice. Maintenant, on va voir ce que vous m’avez conseillé. Pas de pression mais ça a intérêt à déchirer. Premier épisode seulement donc, et ce sera sans doute saupoudré au fur et à mesure d’autres animés croisés sur Crunchy qui m’intriguent. Au boulot !

OSOMATSU-SAN

Conseillé par : DrChicken Ça parle de : Sextuplés. Le truc c’est que : Le quatrième mur est mort et ses restes se font désacraliser en bande.

What the fuck did I just watch. Déjà, précision, le premier épisode n’étant pas sur Crunchyroll, je suis allé le chercher en streaming pour respecter l’esprit de l’exercice. Je pense avoir bien fait. C’est visiblement la reprise d’une série célèbre des années soixante sur des sextuplés, chacun au caractère différent. Mais comme dit, en tout cas pour ce premier épisode, c’est pas juste le quatrième mur qui a volé mais toute la maçonnerie. Les sextuplés vont donc décider que leur nouvel animé sera un animé d’idols / boys love dans une école avec changement de direction artistique avant que tout parte violemment en cacahuète. C’était très divertissant et ultra barré, et j’en demande pas forcément plus pour me séduire. La fin de la série montre la “vraie” DA du truc et indique qu’on va suivre les garçon 10 ans après, où ils ont grandis en taille mais pas du tout dans la tête. C’est assez pour me laisser donner une chance sur quelques épisodes de plus au moins.

Scène clé : L’attaque du titan avec Goku, Sailor Moon et les bikers en contre.

Et donc : Passe le contrôle technique avec contre visite.

JINGAI-SAN NO YOME

Conseillé par : Crunchyroll Ça parle de : Un étudiant est appelé par la directrice pour qu’on lui annonce qu’on l’a demandé en mariage. Le truc c’est que : C’est tout. L’épisode fait 3 minutes, dont 2 d’opening.

Ouais, je sens que ça va être un problème. Attendez que je vérifie... L’épisode 2 fait 3 minutes aussi ? Bon, exceptionnellement vu le format on va en regarder un second. Ok, on recommence.

Conseillé par : Crunchyroll Ça parle de : Un étudiant est appelé par la directrice pour qu’on lui annonce qu’il est marié de force... Le truc c’est que : ...a un gigantesque nounours blanc vivant mâle bavant muet qui mange des parpaings.

A ben voilà, beaucoup mieux !... Attendez, quoi ? Bon. Regardons le troisième épisode. ...Vu. Non mais bordel, le Japon. Ok, en 3 minutes l’épisode avec six épisodes dispo, ce sera vite mangé ce truc, donc je vais le regarder intégralement. ...Ok, ça c’est fait. Bon, on corrige une dernière fois

Conseillé par : Crunchyroll Ça parle de : Étudiants (mâle) qui sont choisis ou volontaires pour devenir épouses (j’ai bien dit épouses) de monstres divers et variés. Le truc c’est que : Je pense que ça fait déjà assez de trucs.

Est-ce que c’est une parodie ? Est-ce que c’est au premier degré ? Je sais rien et je m’en fout. La DA est on ne peut plus commune mais je VEUX savoir où il vont avec ce concept et, vu la vibe furry relativement creepy qui s’en échappe, je VEUX savoir jusqu’où ils vont aller. Regardez ce truc si ça vous intrigue vu que l’intégrale est bouffée en moins de vingt minutes.

Scène clé : Le bain.

Et donc : Non vraiment, Japon, WTF.

HINAMATSURI

Conseillé par : Edith, Shyzuto, Tom la Pom et Sephiroth59132. Rien que ça. Ça parle de : Un Yakuza qui se prend une gamine sur la figure Le truc c’est... Attends, quand tu dis sur la figure, tu veux dire au sens figuré ? : Non. Littéralement. Dans un œuf en métal. OK. Je vois. Déjà fucked up. Et donc le truc c’est que : La gamine à des pouvoirs ultra puissants de télékinésie.

Bien. Bien bien bien. Je vois pourquoi celui-ci m’a été aussi chaudement et pressement recommandé. On dirait vraiment un animé de Yakuza dans lequel la gamine viens fiche la merde. Ce qui est intéressant, c’est que la gamine à clairement sa part d’ombres aussi, ce qui fait qu’on est pas sur le cliché habituels de “deux personnages que tout oppose”, mais plus sur “deux personnages qui on chacun leur merde et qui finissent par trouver leurs intérêts communs” ce qui rends le truc BEAUCOUP plus intriguant. Le personnage de Hina surtout, de par son caractère, son absence de scrupules et sa méconnaissance de nos modes de fonctionnement, est immédiatement ultra attachant et certaines scènes de ce premier épisode sont juste purement jouissive. La DA elle aussi est globalement très bien foutu et j’ai quitté ce premier épisode en ayant hâte de déguster la suite. Ce qui est plutôt très bon signe.

Scène clé : La scierie et l’attaque de l’autre clan de yakuza

Et donc : Directement en première place de la fille d’attente. Récipiendaire du bonus larmiche.

ACE ATTORNEY

Conseillé par : Arzam_AG Ça parle de : Un avocat. Le truc c’est que : C’est Phoenix Wright. Phoenix Motherfucking Wright, gal.

Déjà : Mia Fey est mon objectif de vie. Être avec elle ou être elle, à ce point qu’importe. The Fey is bae. Sinon, c’est une adaptation relativement littérale du jeu, en tout cas pour ce premier épisode. On est sur la même affaire qui se déroule de la même façon. Le jeu se prête assez bien a cet exercice, étant de base ultra narratif et linéaire, et retrouver les code du jeu, aussi bien ceux graphiques que les indications sonores, et assez amusant. Par contre le mélange image de synthèse et animation donne parfois un look très bizarre et un peu fade à l’ensemble. Une adaptation visiblement compétente, mais pas forcément de quoi tout arrêter en urgence pour foncer voir ça.

Scène clé : La fin du procès.

Et donc : On le sort pas de la pile mais pour l’instant on le laisse au chaud dedans pour les soirées pluvieuses. Tiens, tant qu’on en est a parler d’adaptations de jeux vidéos...

PERSONA 4 THE GOLDEN ANIMATION

Conseillé par : ZigZigRPG. En fait, non, elle avait conseillé P5 The Animation mais c’est pas sur Crunchy Ça parle de : Ce qu’il avait dans Persona 4 The Golden Le truc c’est que : C’est uniquement ce qu’il y a dans The Golden...

...Ce qui part pas d’une mauvaise intention, j’entends bien. Y’a déjà un Persona 4 tout court The Animation, pas sur Crunchy non plus, mais du coup je vois moyennement l’intérêt de faire un truc qui se fixe sur les ajouts de The Golden (Marie, le jardin, les lieux supplémentaires) en faisant l’impasse sur tout le reste de l’intrigue ou presque. Un add-on pour une série, je sais pas si c’est la meilleure idée du monde. Surtout quand la série à add-onner est pas sur la plateforme. Mais hey, ça reste P4. Les musiques sont géniales. C’est toujours ça.

Scène clé : La scène de premier combat contre les shadow transformée en une bataille contre des millions de shadow complètement WTF.

Et donc : Jouer à P4 The Golden sur Vita/Vita TV, regarder P4 The Animation, écouter l’ost de Persona 4, que des alternatives viables et de meilleures idées.

BARAKAMON

Conseillé par : Martylepiaf Ça parle de : Un maître de la calligraphie pète violemment un plomb et part dans une ville de campagne sur une petit île pour se calmer. Le truc c’est que : Une gamine s’en mêle.

Oui, ben, voilà quoi, c’est exactement ce genre de truc que je cherchais. Pour le coup on est dans une histoire 100% “du réelle”, de la violence du pétage de plombs à la démonstration des défauts et qualités de la vie campagnarde, surtout dans le prisme d’un artiste de la capitale. La gamine est attachiante à la perfection et le protagoniste assez cabossé et déglingué pour laisser percevoir un arc narratif qui, je suppose, va être intéressant s’il n’est pas trop précipité. Ça sent très, très bon en tout cas, et le style graphique avec cette toute petit dose de déformation comique sur de très belles images est parfait. Miom.

Scène clé : Les cinq dernières minutes, entre la présentation des habitants et la calligraphie.

Et donc : Dat da good shit. Récipiendaire du bonus larmiche.

OSHIETE! GALKO-CHAN (PLEASE TELL ME! GALKO-CHAN)

Conseillé par : Patacreype Ça parle de : Une bimbo en cours qui est pote avec une nerd. Le truc c’est que : Ça parle de cul, au propre comme au figuré et propre n’est pas le mot.

Le truc s’ouvre par “Est-ce que c’est vrai que les gros seins ont de grosses auréoles”. C’est une marnière efficace de capter l’attention de l’auditoire je présume. (Accessoirement : non.) Plus tard, “La densité des poils pubiens se voit-elle a celle des sourcils ?”. Ah oui, quand même. Et ensuite d’hémorroïdes. L’animation est assez basique, les dialogues parfois marrant mais, vous l’aurez compris, c’est très très cul et ça ne se cache pas tant que ça. Je ne dis pas que c’est une mauvaise chose, soyons clairs, juste que je ne m’attendais pas franchement à ce que ça pose les ovaires sur la table si franchement. On est plus devant un animé d’éducation sexuelle légèrement humoristique. C’est pas Peepoodoo, mais c’est pas mal non plus.

Scène clé : “C’est fragile, un anus, tu devrais faire plus attention.”

Et donc : On le garde dans la liste, mais je ne regarderais que pour les dialogues.

MISS KOBAYASHI’S DRAGON MAID

Conseillé par : T0M_la_P0m Ca parle de : Une programmeuse invite quelqu’un chez elle un soir où elle est complètement bourrée en forêt. Le truc c’est que : C’est un dragon.

Une fois n’est pas coutume, je vais commencer par le point qui m’a chiffonné : un peu trop de fan service avec la maid dragon à gros seins rebondissants. Juste un peu trop. Sinon, le concept est tellement prodigieusement con avec ce dragon qui arrive à peine à retenir ses pulsions destructives et homicidaires qui deviens la bonne de cette femme alors qu’elle ne connaît rien du tout à la base des bonnes manières et qui en plus en tombe amoureuse que ça ne pouvait que me plaire. Je me suis franchement marré par moment, ce qui est assez rare pour être signalé. Le potentiel de départ en couille est à 999. Et la tout fin de ce dernier épisode laisse présager beaucoup plus de profondeur que prévu, donc je suis intrigué.

Scène clé : La tentative de cambriolage.

Et donc : Je sais pas si j’assumerais de regarder ça dans le train, sinon c’est un grand oui.

Allez, ça suffira pour ce soir. Si vous avez des propositions, n’oubliez pas les règles : sur Crunchyroll en France, léger et drôle, pas de gore. Je m’occupe de 5 à 10 autres propositions que vous m’avez faites le prochain coup. En attendant, bisous et faites attention à votre anus et celui des autres.

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Auf achse

Bonjour et bienvenue sur le blog le moins régulier, le plus rare et le plus nonsensique de tout les temps. Ne pouvant écrire que loin de toute distraction, je suis actuellement en direct (ou en léger différé selon le moment où vous lirez ces lignes, mais faites un effort que diable) de la médiathèque André Malraux à Strasbourg. J'ai... Une grosse heure à tuer à la sortie de Star Wars et avant le concert/showcase de potes à l'autre bout de la ville. Je vais donc travers Strasbourg un 23 décembre. La ville du marché de Noël, tout ça. Je ne vois pas ce qui pourrait mal se passer.

Oui, ma vie est passionnante, mais hé, c'est vous qui avez choisi d'ajouter le mec bizzare de twitter / type qui fait des Stream quart de lolesque à votre fil tumblr. Je ne vous accuse pas, soyons clairs, mais assumez votre part de responsabilité.

Star Wars. Je viens de résumer le truc à la (belle et adorable) Zigzig et... Je ne pourrais dire mieux que "visuellement magnifique mais scénaristiquement bordelique à souhait". Rien n'a le moindre début de cohérence dans ce film et plus tu y réfléchi, plus le truc tombe en miette. N'étant pas fan de la saga (j'apprécie, mais pas fan), même moi je trouve que le nombre de doigts tendus et de crachats du film à sa fanbase est très, très élevé. On est pas dans la déconstruction mais dans la destruction. Et encore une fois, c'est joli, ça bouge bien, quelques perso sont cool, mais entant que film, c'est long, trop, trop long, et ça court sur la tête. Niveau de conseil : attendez un rip 1080p sur Terrarium.

Golf Story. On fait le jeu en longplay sur Twitch en ce moment et je commence à avoir un tout petit peu peur que le concept tienne moyennement sur la longeur. J'espère me tromper. L'idée d'un RPG golfique est bien maitrisée, même si les mécaniques sont à la limite du simpliste ce qui est un petit peu dommage. Le scénario par contre part dans le bon niveau de délire total pour rendre l'expérience agréable à suivre plus de dix minutes. Mais on en est à 8h ici, et on a à peine fini un tournoi majeur. "Jusqu'ici, tout vas bien", mais j'ai un peu peur de sentir la lassitude poindre assez rapidement. Ce qui ne change pas le fait que les 8 premières heures valent le jeu à elles toutes seules. Niveau de conseil : oui si tu aimes le golf et/ou les RPG Old School et si tu as un bon niveau d'anglais, sinon mmmh. Need For Speed Payback. Ca fait un mois que je me demande pourquoi je joue à ce jeu, alors que je pourrais passer mon temps à jouer à d'autres trucs. Genre Xenoblade, tiens. Que j'ai pas relancé depuis une semaine après sa sortie. Mais non, je vais jouer à Fast & Furious. La map est cool, la conduite vraiment agréable, il est loin d'être laid... Mais ça n'est pas une raison. Clairement. Le scénario est à chier, la difficulté réglée n'importe comment, le système de progression même maintenant en te couvrant littéralement de pièce et de pognon reste incroyablement con... Alors pourquoi je ne peux pas m'empêcher d'y jouer ? Pourquoi ça va fort probablement être un des rares jeux de l'année que je vais finir ? Curiosité morbide ? Amour non assumé ? Je pense que j'ai une solution pour trouver la réponse : finir le jeu. Après tout, j'ai fini Most Wanted (les deux), les deux campagnes de Rival, bon par le dernier Need for Speed tout court, faut pas déconner, mais je reste le freeuse de NFS. Donc bon. Niveau de conseil : c'est une merde, je l'adore.

Final Fantasy XV. J'en suis à deux heures. Pour l'instant, il est superbe, l'univers est confus comme pas permis, ça parle beaucoup trop pour ne rien dire, et les mécaniques oscillent entre "ah, intéressant" et "mais qui à pensé que c'était une priorité, ça, sérieux". Niveau de conseil : trop tôt pour dire.

Puyo Puyo Tetris. Ca me surprends tellement que des gens aiment me regarder jouer à ça. Je ne sais pas pourquoi dans ma tête, c'est pas choquant que des gens aiment regarder du Euro Truck mais du Tetris, nope, aucune chance. Si je suis ne serait-ce qu'un petit peu sincère avec moi, c'est mon GOTY. Pourtant ça n'est "que" Tetris, mais dans une version tellement polissée, sur une plateforme absolument parfaite pour lui, et c'est le premier, le tout premier jeu où je me sens parfois au moins compétant en online et où j'essaie d'apprendre des trucs et des techniques. La sortie sur les autres consoles étant effroyablement bordelique (sur 3DS et PS4, le jeu n'était dispo qu'en disque pour cause de licence appartenant à Ubi en démat), ce jeu vaut il d'acheter une Switch pour lui tout seul ? Non, je pose la question pour moi. Parce qu'objectivement, c'est ce que j'ai fait. Niveau de conseil : à votre avis.

Bon, aller, ça suffira pour aujourd'hui. Oh, et je suis toujours ravi que la liberté surveillée marche aussi bien. Maintenant, enchainons deux semaines de fêtes puis l'AGDQ pour bien faire exploser ça en vol. Youpi. Allez, pipi et en route. Et je sais, y'a plein de faute. Je suis sur un otrdi de bibliothèque et j'ai pas envie de me relire, give me a brake.Je vous love. A dans six mois.

A.