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afbordeaux-blog · 9 years
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Nouvel autocollant ! Bientôt sur le campus !
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afbordeaux-blog · 9 years
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afbordeaux-blog · 9 years
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Au-delà des résultats politiciens, qui symbolisent un pays dépecé et livré aux partis (“le PS perd le Nord”, “la droite gagne Belfort”, etc.), les élections départementales 2015 sont surtout l’échec des institutions. Un Français sur deux n’est pas allé voter, malgré le paritarisme soudain et...
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afbordeaux-blog · 9 years
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afbordeaux-blog · 9 years
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C’était ce jeudi à Bordeaux !
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afbordeaux-blog · 9 years
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Jeudi dernier c’était la conférence sur “L’eurasisme face au libéralisme” présentée par Charles Horace !
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afbordeaux-blog · 9 years
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afbordeaux-blog · 9 years
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Dans un communiqué de presse, l’association Amitiés françaises, organisatrice de la venue d’Eric Zemmour à Bordeaux, annonce le report de la venue de
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afbordeaux-blog · 9 years
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Contre les idéologies mortifères et lobotomisantes !
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afbordeaux-blog · 9 years
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afbordeaux-blog · 9 years
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afbordeaux-blog · 9 years
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Collage hebdomadaire !
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afbordeaux-blog · 9 years
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Ce matin, dimanche 8 mars, vente du journal devant l'église Saint Seurin. Nos militants ont pu rencontrer des sympathisants, ainsi que de nouvelles personnes très intéressées par notre mouvement.
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afbordeaux-blog · 9 years
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Jean Petaux, politologue à Sciences-Po Bordeaux, livre à 20 Minutes son analyse sur les enjeux des élections départementales, qui auront lieu les 22 et 29 mars...
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afbordeaux-blog · 9 years
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L’impasse de l’écologie de marché (article paru dans L’Action Française 2000, 05 mars 2015)
Diffusé sur Arte, le reportage Nature, le nouvel Eldorado de la finance est une illustration supplémentaire de la capacité du système capitaliste à recycler tous les discours pour mieux les revendre, au risque d’un inévitable désastre.
Dans la continuité de la série Capitalisme, sur Arte, l’auteur de l’enquête sur la disparition du sable (en raison de l’urbanisation) jette la lumière sur le marché de la protection environnementale qui, depuis quelques années, se développe en affichant les plus arrogantes promesses de rentabilité. Et pour cause : en dépit de la responsabilité évidente de la société de consommation et de la mondialisation dans la crise écologique, les partisans du “tout économique” prétendent protéger la nature là où le politique a échoué. Selon eux, l’échec des efforts consentis pour la préservation des équilibres naturels au cours des dernières décennies a une raison simple : nous nous en étions remis à notre seule bonté et au sens de l’intérêt général. Forts de l’idée que sur une planète morte personne ne fera plus de profits, les sectateurs de l’économie verte rappellent avec le libéral Bernard Mandeville, auteur de La Fable des abeilles, que « les vices privés font le bien public », bien plus efficacement que les vertus : la planète ne sera sauvée que parce qu’en retour sont espérés des bénéfices substantiels. S’interroger sur le coût de la pollinisation accomplie par les abeilles, non pris en compte dans les frais de production, devient indispensable. La Bank of America nous épargne le calcul et annonce que le labeur de ces infatigables ouvrières équivaut à 78 milliards de dollars. Quant à la pluie dans la forêt amazonienne, elle vaut 240 milliards de dollars, et un kilomètre de récif corallien, 600 000 dollars – le billet vert étant la monnaie éthique et écologique par excellence.
Tout est marchandise
Pour les hérauts de la financiarisation du monde, l’invisibilité économique de la nature est un handicap qu’un paradigme fondé sur la gratuité entretient inutilement ; on s’en débarrassera en attribuant une valeur, un prix aux choses naturelles. Si le capitalisme s’est développé à une époque où ni l’air pur ni l’eau saine ne manquaient, le capital naturel, ce qui est créé par la nature, a depuis été découvert. La nature, cette entreprise avec son propre capital, propose gratuitement ! ses biens et services aux consommateurs. Nos esprits désintéressés ont entrepris de les comptabiliser, selon le principe que tout ce qui n’est pas compté ne compte pas. Les pertes écologiques, estimées entre 2 000 et 4 000 milliards de dollars chaque année, ne sauraient être prises au sérieux sans un calcul préalable de ce capital. Les tenants de la marchandisation des « services écosystémiques » considèrent que c’est lui rendre justice que de rendre visible cette valeur oubliée. Bien que certains estiment encore que la nature n’a pas de valeur intrinsèque, en créer le marché aura pour résultat de la révéler, en vertu de la loi de l’offre et de la demande. Les multinationales se sont rapidement ralliées à cette vision de la protection environnementale qui n’oppose pas de contraintes à l’activité économique et s’accorde avec la fiction du développement durable – une croissance matérielle infinie dans un espace fini est une illusion nocive, malgré ce que prétend le World Business Council for Sustainable Development, groupement d’entreprises (parmi lesquelles des compagnies pétrolières et chimiques) qui se sentent légitimement concernées par les problèmes de pollution. Remettre en question nos modes de production et de consommation serait déraisonnable, car coûteux. Mais convertir la nature en actifs financiers est une formidable opportunité pour les acteurs privés. Le principe est connu : plus un bien sera disponible en grande quantité, et moins il sera cher ; plus il sera rare, et plus son prix sera élevé.
Le prix d’une bonne conscience
Désormais, banques et fonds d’investissements – dont les pratiques sont responsables de la crise financière, depuis oubliée – acquièrent des territoires riches en espèces animales et végétales menacées, qu’ils transforment en produits boursiers. Ainsi, Wildlands, la plus importante biobanque de l’Ouest américain, vend des actions-mouches, des actions-marécages, des actions-cactus et autres actions-chiens de prairie. Les entreprises polluantes investissent dans ces titres, obtenant en retour des certificats de bonne conduite, qui les dispensent de suspendre leurs activités les plus nuisibles et leur permettent de dévaster la nature à condition de compenser les dommages par l’achat de ces titres. Ces certificats n’ont donc d’autre raison que de donner bonne conscience à ceux qui les achètent, et deviennent rapidement des permis de détruire la nature, des droits à polluer ; la logique est ainsi perverse que ceux qui disposent de moyens financiers considérables peuvent s’offrir les justifications de leurs dégradations. Le paroxysme de l’absurdité est atteint lorsque des espèces en voie d’extinction, toute une nature souillée, deviennent des biens de luxe pour le système qui les a saccagées, qui ne leur accordait naguère aucune importance en raison de leur abondance.
De même que certaines banques ont spéculé sur le non-remboursement des crédits subprimes par leurs débiteurs, on peut imaginer qu’elles parieront sur la date d’extinction de telle ou telle espèce. La loi de l’offre et de la demande appliquée aux espèces menacées a ceci de formidable que les établissements financiers décident quelles espèces valent la peine d’être sauvées ou de disparaître sur l’autel de la rentabilité. Et inversement, une sous-évaluation du prix de la nature est à craindre, laissant aux entreprises la possibilité de la détruire à moindres frais. La préservation des espaces naturels et de la biodiversité, prétexte au maintien des niveaux de croissance, passe au second plan, et le mécanisme financier fonctionne pour lui-même : la compensation carbone, bien qu’inefficace, s’avère ainsi une incroyable source de revenus, comme en témoigne cette fraude de 5 milliards d’euros dévoilée en 2010, les pertes s’élevant à 1,6 milliard pour le Trésor public français. La nature devenue capital, et ce qui était jusqu’à présent impossible d’appropriation transformé en marchandise, il est judicieux de se demander quand deviendra payant l’oxygène, afin d’en rationaliser la consommation. Peter Brabeck-Letmathe, ancien P-DG de Nestlé, n’estimait-il pas que l’eau avait vocation à devenir une denrée comme les autres, pour ainsi éviter son gaspillage ? La réalité de l’économie verte ne peut être que l’intégration des choses communes dans le champ du droit privé, leur privatisation au profit de quelques-uns.
Y a-t-il une alternative ?
Après avoir proclamé qu’il est interdit d’interdire et aboli toutes les frontières, aussi bien géographiques que morales, les libéraux opposent à ceux qui remettent en cause leur hégémonie le slogan post-moderne « there is no alternative ». Aucune alternative n’est en effet possible au sein du modèle économique actuel, et il est vain de vouloir régler le problème en traitant ses effets plutôt que ses causes. Aussi, le vœu de Christiane Taubira de faire de la nature un « justiciable ordinaire », pour qu’enfin elle se voie reconnaître le droit à être pillée dans la dignité, est une mesure cosmétique. La racine du mal est à chercher dans les notions mêmes d’écologie et d’économie : à l’origine confondues, elles se retrouvent opposées dès lors que l’économie, qui désignait d’abord l’administration prudente de son bien (dont sa transmission), est devenue synonyme de pillage et de risque inconsidéré.
De L’Âge des limites de Serge Latouche à Nos Limites des Veilleurs, de nouvelles lignes de convergence se dessinent avec la certitude que les hommes sont des êtres déterminés, par nature limités, et dont l’humilité exige qu’ils reconnaissent leur finitude. C’est sur ce fondement seulement que sera envisageable une véritable écologie, qui n’hypothèque pas l’avenir des hommes et de leur environnement, veut préserver l’un et l’autre, et s’oppose à la manipulation et à la marchandisation du vivant, au cauchemar transhumaniste comme aux mirages de la bio-économie. Cette écologie intégrale suppose la recherche de l’enracinement et la rupture avec le consumérisme et le culte de la croissance. Comme le disait La Tour du Pin, « le travail n’a pas pour but la production des richesses, mais la sustentation de l’homme » : un appel pour chacun à ordonner et hiérarchiser ses priorités et ses besoins, et pour tous à réévaluer le véritable bien commun. René Duchesne
Nature, le nouvel Eldorado de la finance, émission diffusée le 3 février 2015 ; le programme est disponible en vidéo à la demande (6,99 euros) et en DVD à la carte (12,99 euros) ; http://boutique.arte.tv
Action Française 2000
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afbordeaux-blog · 9 years
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5 mars 2015 :  En fin d'après-midi, une partie de nos militants ont assisté à Sciences-po, au "Grand débat étudiant interpartis", proposé par Civi Futura. Consensualités, gaudrioles et ricanements au programme, sujets survolés, tous les artifices de la grande comédie républicaine et démocratique étaient réunis. Attitudes suffisantes et détachées, mépris éhonté envers le Front national, premier parti républicain, ont bien évidemment confirmé toutes nos attentes. La mascarade est criante, le réel est ignoré et nié, les chiffres sortis de façon mécanique doivent donner de la crédibilité et de la consistance à un agrégat de coquilles vides. On manie les concepts sans les définir, et dans les yeux de ces jeunes gens, de ces jeunes comédiens, on perçoit aisément cette autosatisfaction. On sent aussi cette odeur de fin de régime, bien obligé de se justifier devant un public à l'avance conquis, . Un public goguenard, inculte et bouffon, devant des propos surréalistes, hypocrites, inconsistants. De quoi être franchement réconcilié avec les valeurs de la République. Cette gentille mascarade sera analysée dans un compte-rendu plus détaillé et fourni. #BordeauxRoyaliste #UniversitéBordeauxPatriote
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afbordeaux-blog · 9 years
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