Arcange est une agence haut-normande créative qui vous accompagne dans l’accomplissement de votre image de marque et dans la conquête de nouveaux horizons.
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ON A RENCONTRÉ UNE MAMIE HYPER-CONNECTÉE, DANY.
“Ma cible est plutôt senior. Vous êtes sûrs que communiquer sur le web est pertinent pour l’atteindre ?���
Voici une remarque classique de nos clients pour qui le cliché seniors = déconnectés reste tenace. Alors quand Pierre, notre ancien stagiaire DEV chouchou, nous parle de sa grand-mère hyper à l’aise avec le web, on a eu envie de la rencontrer.
Du haut de ses 70 ans, Danielle, ou Dany pour les intimes, maîtrise son ordi, son smartphone et sa tablette sur le bout des doigts. Elle passe des heures sur le web, à la recherche de bons plans voyages ou sur les sites de généalogie. Il paraît même qu’elle a eu quelques soucis avec Hadopi… Ci-dessous, notre rencontre avec Dany dans les locaux d’Arcange, autour d’un petit café !
Bonjour Dany, pouvez-vous vous présenter rapidement ? Je m’appelle Dany, j’ai 70 ans et j’habite à Sotteville-Lès-Rouen. Je suis aujourd’hui retraitée mais j’ai fait toute ma carrière dans une société de Batiment-Travaux Publics où j’ai commencé en tant que comptable Rapidement, on m’a donné la responsabilité du service personnel. C’est là que j’ai commencé à être en contact avec l’informatique. Et comme ça m’a plu, je m’y suis intéressée et j’ai progressé petit à petit.
Pourquoi et comment avez-vous été amenée à vous mettre sur le web ? Grâce à mon travail… Mais aussi grâce à mon investissement dans le milieu associatif. Je suis accompagnatrice dans une association 3ème âge. Il y a beaucoup de sorties, des voyages en été et il est bien agréable d’aller sur le web pour les visites virtuelles (croisière sur la Volga/la Chine/l’Ouest Américain)...
Quelle vision avez-vous d’Internet ? Est-ce que cela vous facilite la vie ? Bien sûr ! Je gagne beaucoup de temps et ça me permet de faire des choses que je ne pourrais pas faire sans. Internet m’ouvre aussi à d’autres horizons.
À quelle fréquence utilisez-vous le web et quel usage en faites-vous ? Je suis sur Internet et sur l’ordinateur tous les jours, au grand désespoir de mon mari ! Je fais mes comptes sur le site de ma banque en ligne, je fais des montages photos, je consulte mes e-mails… Je fais aussi des recherches en généalogie. Ça c’est super pratique ! Je télécharge des vidéos, je regarde des tutos (cuisine et travaux manuels), un peu de musique aussi. Et bien évidemment les recherches pour m’informer et trouver des réponses.
Que possédez-vous comme devices ? J’ai un ordinateur fixe, une tablette et un smartphone.
Avez-vous parfois des difficultés à utiliser vos devices, web ? Si oui, comment surmontez-vous tout cela ? Ça m’arrive, évidemment. Quand l’ordinateur rame ou que je ne parviens pas à utiliser une fonctionnalité de mon téléphone, je demande à Pierre, mon petit-fils, de me donner un coup de main. Il me montre et ensuite je reprends la main. Il est né avec ça alors évidemment, c’est facile pour lui. Sans compter que c’est aussi son métier !
Il paraît que vous avez eu des soucis avec Hadopi. Vous téléchargez des contenus ? Oui, je téléchargeais quelques films de temps en temps et un jour, j’ai reçu un courrier d’Hadopi ! Moi, je pense que c’est la faute de mon petit-fils qui m’a installé tout ça, alors je lui ai envoyé un texto pour qu’il règle le problème. Ensuite, j’ai tout arrêté et je n’ai pas eu plus de nouvelles...
Est-ce que vos amis ou connaissances de votre âge utilisent autant que vous le web et les outils numériques ? Vous sentez-vous parfois en décalage avec eux ? Parfois oui, surtout avec mon mari qui est totalement réfractaire à tout ça ! Il ne comprend pas du tout l’intérêt, il est complètement déconnecté. J’ai aussi quelques membres de ma famille qui sont un peu loin de tout ça. Mais je crois que c’est lié à la personnalité. Je suis très active, j’aime tester de nouvelles choses, monter des projets et faire de nouvelles expériences. Les personnes éloignées du web sont un peu moins proactives que moi.
Utilisez-vous les réseaux sociaux ? Si oui, lesquels ? Qu’en pensez-vous ? Non, je ne suis pas très à l’aise avec les réseaux sociaux. J’ai une page Facebook mais je n’y vais presque jamais. Je n’aime pas cet étalage que font les gens de leur vie privée.
Est-ce que vous jouez sur ordinateur, tablette ou smartphone ? Si oui, quels sont vos jeux préférés ? Oui, je joue un peu. À Candy Crush, AlphaBetty sur mon smartphone… Et sur ma tablette, au Solitaire, aux jeux classiques de carte, Sudoku, Rummikub…
Il semblerait que vous faites des achats en ligne. Qu’achetez-vous sur le web ? Avez-vous des réticences ou des craintes à l’idée d’acheter en ligne ? Si oui, comment levez-vous ces craintes ? Oui, pour les achats en ligne je préfère me protéger. Je n’aime pas l’idée de mettre mes codes de carte bleue sur le web. Ma banque m’a proposé un service pour palier à cela. J’utilise des cartes bancaires prépayées, virtuelles, qui ne servent donc qu’une fois. Je les charge avec le montant exact de mon achat et hop, aucun risque de me faire pirater ! Comme quoi, à chaque problème sa solution. Mais en règle générale, j’achète très peu en ligne. Je règle mes vacances, mes abonnements et c’est tout.
Quels sont vos sites web préférés ? Pour mes recherches généalogiques, je suis chez Geneanet. Ce site m’a permis de retrouver des ascendants.
Quelles sont vos applications mobile ou tablette préférées ? J’utilise beaucoup l’appli mobile de ma banque et Google Maps. Lorsque je voyage à l’étranger, j’utilise Whatsapp pour communiquer avec mes proches.
Merci Dany ! :)
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TOP 7 DES OUTILS DE GESTION DE PROJET Le 5ème va vous étonner !
Les bons outils font les bons chefs de projets et c’est pourquoi nous allons aujourd’hui ouvrir notre coffre-fort numéro 713 et vous dévoiler le secret de notre méthodologie de travail au sein d’Arcange !
1. Trello
Véritable Rapeltout de l’équipe, cet outil permet de voir d’un seul coup d’oeil toutes les tâches en cours à réaliser. Similaire à un pense-bête organisé, il se présente sous la forme de différentes cartes modifiables à tout moment et réunissant des tâches sous une même bannière. Ces cartes peuvent en effet être renommées et agencées selon les thématiques, les noms des projets, le stade d’avancement des tâches, la date...etc. L’outil est personnalisable et peut servir de base de travail pour plusieurs collaborateurs.
2. Slack
Slack est une plate-forme de collaboration qui fait office de messagerie instantanée, permettant à l’équipe de communiquer facilement et rapidement sans devoir faire des kilomètres ou prendre un Poudlard Express pour échanger avec ses collègues. Slack permet aussi d’envoyer des fichiers (images, vidéos, documents) et de partager des liens. En plus des messages privés qui permettent de s’adresser à un collaborateur directement, des channels peuvent également être créés afin d’aborder des thématiques particulières ou regrouper les personnes concernées par un même projet. C’est aussi un très bon canal de discussions pour les sujets plus légers comme proposer à l’équipe de déjeuner au restaurant ou d’aller boire un verre après le travail. On peut ainsi, par exemple, différencier le business, le happiness et la veille.
3. Wrike
Que serait une bonne gestion de projet sans un planning bien ficelé ? Wrike permet aux collaborateurs de gérer et suivre les dossiers, les délais, les horaires...etc. Il offre une vue globale des projets, facilite les échanges et centralise l’information. Mais Wrike, c’est surtout un moyen d’organiser et découper des tâches, de les affecter et de les planifier pour générer ensuite des outils de pilotage de projet comme un planning Gantt ou la charge de travail de l’équipe. Les clients peuvent également avoir accès au suivi du projet et disposent d’un service de messagerie instantanée qui rend plus fluide les échanges (finis les mails compliqués à rédiger ou à déchiffrer, finies les formules de politesses à n’en plus finir pour une simple demande de renseignement).
4. Bill Jobs
Il ne s’agit pas du frère de Steve Jobs, mais c’est tout comme ! Bill Jobs, c’est le grand manitou de la gestion budgétaire. En proposant une solution dédiée aux agences de communication, il permet à ces dernières de gérer leur comptabilité, les coûts de production mais aussi l’élaboration des devis client. Bill Jobs facilite l’attribution des travaux, le calcul des taux d’occupation (temps passés) et des coûts internes. Il permet également de générer des plannings avec la répartition des temps de travail mais aussi de gérer les prestataires, notamment grâce au carnet d’adresse. L’outil va également permettre de gérer la facturation une fois le travail terminé, d’assurer le suivi des livraisons et de générer des statistiques.
5. Google Drive
SURPRISE ! Et oui Google Drive reste un incontournable pour gérer ses dossiers et ses projets. Chaque personne peut ainsi stocker et partager tout type de fichiers sur le cloud (avec l’équipe mais aussi avec nos clients), pour ensuite les modifier de façon collaborative, les télécharger ou les envoyer. Il propose aussi une suite bureautique composée de documents de traitement de textes, de feuilles de calcul, de présentations en slides, de dessins, de formulaires...etc.
6. Toggl
À l’agence, cela fait très peu de temps que nous utilisons Toggl mais nous l’avons déjà adopté ! Alors qu’est-ce que c’est ? Toggl n’est pas exactement un Retourneur de temps, mais un time tracker qui va permettre de mesurer la durée passée sur chaque projet. Une tâche (affectée à un projet) peut être lancée et arrêtée, pour être reprise plus tard. Ainsi, il est possible de commencer un travail le matin, arrêter le chronomètre le midi pour la pause dèj’ et continuer l’après-midi. De plus, il s’intègre dans tous nos autres outils, y compris dans gmail. Toggl va simplifier le décompte des heures de travail pour un même client et faciliter ensuite le calcul de la rentabilité par rapport au temps passé.
7. HubSpot
HubSpot est un outil de gestion de la CRM dont l’objectif principal est d’optimiser la qualité de la relation client et qui facilite la gestion de l’avant-vente. Tout comme la Pensine de Dumbledore permet d'entreposer ses souvenirs pour les consulter ultérieurement, HubSpot propose un suivi collaboratif de tous les échanges réalisés avec le client (appels, mails, rendez-vous). Tout est retranscrit dans la CRM avec un système de notes, c’est un véritable post-it géant pour assurer le suivi du client. L’ensemble des collaborateurs détiennent alors le même niveau d’information et sont à même d’agir au mieux lors des différentes étapes de la vente.
Et voilà, maintenant vous avez tous les outils pour devenir un bon sorcier… heu… chef de projet. À la prochaine !
Un article rédigé par Marion Duval Twitter: @mobduval
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LES CONCERTS DE LA RÉGION 2016
Pour l’élaboration de ce plan de communication et celui du plan médias, la gestion de projet a eu une importance capitale dans la bonne mise en oeuvre des Concerts de la Région. Il s’agit là d’un projet de longue haleine : 6 mois de gestion, plusieurs prestataires à gérer, des supports variés et un timing à respecter à la lettre.
Pour cette nouvelle édition, nous avons pris en charge la conception des déclinaisons du visuel élaboré par nos copains havrais du Collectif INTRO, et l’élaboration de bien d’autres supports. La diffusion de ces derniers a été assurée par nos autres copains de chez Granit Communication. Vous comprendrez que ce type de projet nécessite un dialogue permanent avec notre client, l’équipe graphique et nos prestataires.
Les visuels ont ainsi été repris et retravaillés pour servir à la fois pour la campagne digitale (bannière web, encarts réseaux sociaux, habillage du site) mais aussi pour la campagne de proximité (programme, affichage en centre-ville sur panneaux 4x3, affichage pour abribus, covering bus, kakémonos...) et pour l’interne (badge d’accès, textiles, invitations, habillage de scène).
De même, nous pouvions retrouver le teaser vidéo diffusé dans les transports en commun de Rouen et de son agglomération, mais aussi pendant l’attente des spectateurs avant le début des concerts sur écrans géants.
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Mention spéciale : le spot radio ! (À écouter ICI)
Cette année, Arcange a également conçu et enregistré le spot radio chez le studio “Voix Là”. Celui-ci a été diffusé sur Virgin Radio, France Bleu, Cristal et Resonance entre le jeudi 23 juin et le samedi 2 juillet. Le scénario choisi était “Overbookée” dont la piste sonore jouait sur le comique de répétition et la quantité de concerts proposés durant cette courte période (4 concerts en 4 jours, comme lors des éditions précédentes). Le ton est léger, drôle et souligne le fait que ces jours sont à marquer d’une pierre blanche dans son agenda.
Un chef de projet au taquet !
Toutes ces actions ont requis une bonne gestion du temps durant les six mois de travail dès la prise de brief auprès du client. Charge alors au chef de projet, pilote et coordinateur, d’assurer le suivi, de la conception à l’exécution du projet jusqu’à la livraison finale.
Responsable de la cohérence globale de l’ensemble des moyens mis en place, il garantit les interactions entre le client, l’équipe (graphistes, rédacteurs, développeurs,...), les prestataires (imprimeurs, studios,...) et les partenaires (agence médias par exemple). En apportant toute son expertise, il est chargé de rassurer le client, de faciliter les échanges, en d’autres termes : mettre de l’huile dans la mécanique afin que tout se déroule sans encombre.
Pour lui, rien n’est laissé au hasard : chaque étape de création est présentée à chacun des collaborateurs, puis corrigée, représentée, recorrigée, etc, pour aboutir sur une validation finale (le fameux et libérateur “BAT”, parfois attendu comme un messie).
Souvent assimilé à un “couteau suisse de la com”, il connaît son dossier sur le bout des doigts : du planning à l’avancement budgétaire, tout en passant par la rédaction, la conception, la création graphique,...
On ne va pas se mentir, ce rôle peut être parfois un vrai casse-tête, mais l’aboutissement d’un projet est toujours gratifiant, procurant une grande fierté à tout chef de projet qui se respecte.
Un article proposé par Marion Duval Stagiaire gestion de projet chez nous. Twitter : @mobduval
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(Va chercher) BONHEUR AU TRAVAIL
On vous donne une bonne raison de vous lever du bon pied le lundi matin.
Baloo, grand philosophe du XXe siècle, disait qu’il en fallait peu pour être heureux et que le bonheur consistait à se satisfaire du nécessaire : un peu d’eau fraîche et de verdure que nous prodigue la nature, quelques rayons de miel et de soleil (si vous fredonnez, vous êtes quelqu’un de bien). Or, être heureux au travail semble être une autre paire de manche. Comment se sentir bien dans cette sphère professionnelle ? Existe-t-il une recette miracle au bonheur au travail ?
Depuis quelques années, les entreprises ont compris que se préoccuper de la qualité de vie et du bien-être de leurs salariés pouvait leur être bénéfique. Il existe en effet une corrélation entre l’humeur de ces derniers et leur productivité au travail. Plus un employé est satisfait du poste qu’il occupe, plus son implication et sa fidélité sont fortes. Façonner une culture émotionnelle positive peut permettre à une entreprise de voir s’améliorer le travail de ses équipes mais aussi la performance et la satisfaction de ses collaborateurs. L’employé est désormais en quête de sens, il aspire à un véritable épanouissement au sein de son environnement professionnel. Par ailleurs, de nombreux classements, tels que Great Place to Work ou Top Employers, répertorient les entreprises où il fait bon de travailler, en se basant sur le ressenti des salariés concernant leur bien-être au travail.
Les risques de burn-out et de bore-out sont bien présents dans les entreprises, en particulier ces dernières années, avec la transition vers le numérique et l’apparition de nombreux nouveaux outils qui agitent les employés. Entre l’environnement en mutation, la complexité des relations, le stress technologique, le rythme intense et la charge de travail, ces derniers ne savent plus où donner de la tête. Bien souvent c’est métro-boulot-dodo et les salariés se contentent d’exister en attendant le week-end. On observe de ce fait une dégradation du moral au travail.
Face à ce constat, les entreprises se tournent de plus en plus vers un représentant du bonheur, un employé motivé qui puisse développer une approche positive du travail auprès de ses collègues. Des initiatives sont donc mises en place, afin de rendre ces derniers plus heureux et développer les interactions sociales, comme des apéritifs, des formations, des événements ou des activités collectives. Le personnel est ainsi plus productif, épanoui et plus à même de donner un sens à ce qu’il fait à travers les actions entreprises par leur collègue. Ce héros de la joie et de la bonne humeur est le Chief Happiness Officer.
À l’agence, nous avons nommé un Chief Happiness Officer car son objectif correspond aux valeurs que nous souhaitons partager.
Bonjour Gabrielle ! Alors, peux-tu décrire le rôle d’un Chief Happiness Officer ? Bonjour :) Le Chief Happiness Officer (ou “Directeur du bonheur”) a un rôle essentiel dans la cohésion d’équipe selon moi. Se rapprochant des RH, le CHO veille au bienêtre général de ses collaborateurs. Pour ma part, j’ai la double casquette d’être chef de projet et CHO à la fois, ce qui fait que, d’une part, je suis totalement immergée dans l’équipe en tant que collaborateur, et d’autre part, j’ai ce rôle de “rendre mes collègues heureux”. En premier lieu, je m’applique donc à faciliter la communication en interne, pour favoriser la transparence et effacer un peu la hiérarchie à travers un management dit “horizontal”. Le but est de fonctionner comme une startup : faire confiance à tous les collaborateurs et leur donner assez de liberté pour qu’ils puissent être porteurs d’initiatives. Et enfin, le deuxième volet de ce poste de CHO, et c’est bien là le plus fun : donner le sourire à mes collègues. Les rendre heureux et leur donner envie d’aller travailler tous les matins en sachant qu’ils vont passer une bonne journée, entourés de personnes qui ont le même objectif et la même vision. Pour ça, j’essaye d’organiser des moments de détente tous ensemble qui nous permettent de parler boulot ou autre chose : sorties, apéros, repas,... Je n’ai pas encore de budget défini pour planifier mes actions, mais les choses sérieuses commencent dès septembre !
On parle de tendance et d’effet de mode, ce rôle peut être jugé inutile, voir sans véritable légitimité. Qu’en penses-tu ? Est-ce que tes actions apportent vraiment quelque chose ? Qu’est-ce que ça a changé pour Arcange ? Si le métier de Chief Hapiness Officer est très développé aux USA et tend à se démocratiser en France, ce n’est pas pour rien ! C’est un poste qui possède une réelle légitimité : un salarié heureux est un salarié dévoué, de même qu’une équipe heureuse va connaître plus d’émulation créativement parlant et produire un travail de plus grande qualité. Le bonheur au travail permet d’accroître la productivité. Chez nous, on remarque que les discussions sont plus ouvertes qu’avant : plus personne n’a peur de faire ses remarques et de proposer ses idées. Ce n’est pas que grâce à moi, puisqu’il y a eu aussi un travail de management de la part de la Direction qui est plus à l’écoute et qui nous fait confiance à tous. On n’hésite plus à débattre et à se challenger. Comment est-ce que tu t’organises pour mener à bien ta mission ? Pour l’instant, comme je le disais, on manque un peu d’organisation. J’ai des réunions avec Virginie, la directrice de l’agence, plutôt régulièrement pour essayer d’anticiper et planifier les actions, mais nous sommes encore aujourd’hui dans une phase expérimentale. En revanche, en septembre, on va mettre en place un calendrier et un budget afin que je puisse planifier sur le long terme et proposer des actions davantage liées aux RH pour faciliter le travail mais aussi favoriser la liberté dans le cadre professionnel ! Tout le monde ne s’improvise pas Directeur du Bonheur. Quelles sont, selon toi, les 10 compétences requises pour être un bon Chief Happiness Officer? Pour moi, le plus important dans ce rôle est d’avoir un grand sens de l’empathie : être à l’écoute de ses collaborateurs, savoir vraiment comment ils se sentent au sein de l’entreprise. Ensuite, je pense qu’il est important de savoir rester soi-même : j’essaye de prôner la transparence dans la prise de parole, et pour montrer l’exemple, je fais tout mon possible pour rester entière dans mon travail (défauts compris...). Enfin, il faut bien sûr être créatif, fun et dynamique pour mettre en place des actions qui le sont tout autant ! Qu’est-ce qui était au programme pour le mois de Juin ? Pour le moment, nous avons organisé une soirée où nous avons invité nos collaborateurs de Seine Innopolis : une chouette occasion de faire la fête ensemble et de renforcer nos liens avec nos clients et nos prestataires. Une sortie dans un Escape Game a été aussi programmée récemment, un bon moyen de faire du team building tout en s’amusant ! J’incite de plus en plus mes collègues à proposer des choses individuellement : apéros, soirées, repas du midi tous ensemble... De bons moments pour se réunir et partager afin de mieux se connaître. Ma prochaine action va être d’acheter des plantes pour nos locaux, afin de donner un espace de vie plus harmonieux avec pleins de bonnes ondes ! Une mini-playlist des chansons qui te rendent heureuse ? La voici > http://bit.ly/PlaylistArcange + Chanter du Céline Dion avec mes collègues (certaines, les autres rêvent juste de nous tuer). Des tips pour garder le sourire ? S’entourer de gens qui nous veulent du bien uniquement, s’assumer et être sûr de ses choix, et boire un bon mojito de temps en temps ! Merci à toi Gabrielle !
Chez Arcange, nous pensons que le CHO a un rôle qui va bien au-delà de l’interne car il participe également à l’ouverture et au rayonnement de l’agence auprès de nos clients et de nos partenaires. Cependant, le bonheur au travail relève avant tout d’une attitude individuelle visant à évoluer en une volonté collective. Même si le bonheur est communicatif et que le Chief Happiness Officer est un tremplin essentiel (voire même vital) au développement d’un climat agréable, l’ambiance générale dépend de l’investissement de chacun. Le coup de pouce du CHO n’est efficace que si chaque individu se montre volontaire. Au sein de l’entreprise, chacun doit mettre la main à la pâte et pratiquer la bienveillance, qu’il s’agisse du big boss ou des employés.
Qui sème la gentillesse, récolte le bonheur ! (C’est un brin cul-cul mais je ne pouvais pas mieux résumer mon propos !) Article de @mobduval Témoignage de notre CHO @gabdesforges
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RENCONTRES R’BUSINESS DE RICARD
Quoi de mieux que les rencontres R’Business pour briser la glace avec Ricard ?
Avec un avant goût d’été, Ricard a organisé cette soirée dans les locaux de Seine Innopolis, en partenariat avec la Normandy French Tech, à l’approche du mois de juin. Les participants étaient invités à discuter, échanger, soulever des problématiques, parler de leurs projets et trouver des partenariats possibles. Pour certains, c’était aussi l’occasion de faire la rencontre de plus petites structures et de découvrir ce qui existe comme solutions sur divers domaines techniques.
Pour cette occasion spéciale, Ricard a décidé de nous faire confiance pour créer un visuel exclusif à l’événement.
Arcange a souhaité faire un clin d’oeil à l’accroche d’une campagne de Ricard qui a marqué les esprits à l’occasion des 80 ans du long drink à la française : “Jaune avec un grand R” . Le concept rafraîchissant, élaboré par l’agence BETC, soulignait la marque d’une signature humoristique (il n’y a pas de “R” dans “Jaune”, mais dans Ricard, oui ! Oh, c’est toujours nul d’expliquer les blagues...). Ici, en revanche, il y a bien un “R” dans “Rencontres” (y en a même deux !). On illustre donc “le grand R” (et non pas le grand air, pas de hors sujet) avec l’échelle de cette majuscule, qui est utile aux deux lignes. Simple. Efficace.
Le design graphique retranscrit l’identité visuelle de la marque tout en apportant son lot de fraîcheur. La recette est la suivante : les codes graphiques de la marque ont été repris notamment par l’utilisation du jeu de typographie et des couleurs emblématiques de Ricard (le contraste bleu / jaune), la lettre “R” figure au centre du visuel et s’articulent autour d’elle les différents blocs contenant les informations pratiques de la soirée.
En bref, un visuel qui ne manque pas d’R ! (allez hop, c’est cadeau)
Un article proposé par Marion Duval Stagiaire gestion de projet chez nous. Twitter : @mobduval
#Ricard#design graphic#jaune#drink#R’Business#agence arcange#seine innopolis#normandy french tech#boulot
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NWX SUMMER FESTIVAL 2016 #NWXSF16 : CE QUE NOUS AVIONS PROPOSÉ
La deuxième édition du NWX Summer Festival avait lieu la semaine dernière. Forts du succès rencontré avec le business cat de l’édition 2015, il y a quelques mois, nous avions été consultés pour créer l’identité visuelle de la com’ de l’événement.
Le brief était le suivant : remettre le couvert cette année avec une identité graphique décalée, et assurer une certaine filiation avec les partis-pris de l’année dernière (utilisation de mèmes, collage, encres flashy, etc).
Pour rappel, l’année dernière, nous avions mis le business cat à l’honneur. C’était une manière assez fun d’illustrer à la fois le monde du travail, et la culture internet.
On prend les mèmes et on recommence ?
Cette année, nous avions choisi de rester dans l’univers des mèmes, mais de changer de personnage principal. Cette année, nous voulions utiliser Success Kid :
Success Kid, parfois connu comme “I Hate Sandcastles” est un des nombreux mèmes qui peuplent la toile. Au NWX Summer Festival, on parle de culture numérique, on parle de retours d'expériences, de bonnes pratiques, d'innovation, de success stories... Il nous paraissait donc légitime que "Success Kid" prenne la relève cette année. À lui seul, il véhicule la promesse suivante : "réussir dans le web" (et plus largement, dans la filière numérique).
La créa’ !
Ci-dessous, la maquette de poster que nous avions proposé :

Le choix des mots, l'encre or et la bouille du Success Kid allaient sans aucun doute placer cette édition sous le signe de la réussite ! À l’instar du style graphique de l’année dernière, on joue le collage ainsi que la confrontation entre l’image noir&blanc granuleuse et le fond en aplat “spécial” (or / fluo / texture couleur...)
What’s Golden ?
Difficile de rendre fidèlement le rendu du Pantone875 (or) sans avoir recours à un imprimeur...Pour les affichages sur écran et autres impressions sur des bécanes jet d'encre, nous aurions prévu des versions adaptées à ces cas particuliers.
Bichro mon amour
Cette année encore, nous avions proposé de décliner le modèle d'affiche en plusieurs couleurs. Pour compléter la version "bling bling", rien de tel qu'un bleu roi très punchy ;)

Nous avions également exploré d’autres combinaisons de couleurs :

BONUS STAGE !
Parce qu’on est des foufous chez arcange, et parce que l’encre or ne serait pas “passée” sur la communication “écran”, nous avions - pour finir - envisagé des déclinaisons un peu fofolles. Regardez plutôt :

Nous étions très excités à l’idée de travailler sur cet axe créatif, mais c’est malheureusement (pour nous) la proposition du studio “Unik” qui est arrivé en tête des suffrages chez NWX. C’est l’jeu ! La bouille de Success Kid partout dans Rouen, ce sera pour une autre fois !
Un article proposé par Julien Nicolas Graphiste / DA chez nous. Son Behance ici : http://on.be.net/1L9j03r Twitter : @lejuuules
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AGENCES DE COMM’ : QUAND L’ÉVANGÉLISATION PASSE AVANT LA COMMERCIALISATION.
Chez Arcange, nous aimons nous définir comme étant une « vieille start-up ». Loin d’être une jeune pousse sur le marché, il s’agit pourtant de chercher sans cesse à innover pour répondre aux demandes de nos clients. Virginie Cousin, directrice générale de l’agence Arcange, nous parle de la nouvelle approche métier que doivent opérer les agences face à l’évolution des moyens de communication. Print, display, site Internet, application mobile…, ces noms vous évoquent sans doute des produits, voir des services. Pour Arcange, ce sont avant tout des outils dont il faut apprendre à se servir de manière pertinente.
« Agence de communication, pour moi cela n’a plus aucun sens »
Dans l’imaginaire, une agence de communication se résume en une armée de « producteurs ». Entre les graphistes, les webdesigners, les copywriters, et les informaticiens, les médias planneur, on pense qu’une agence de communication n’est qu’une main d’œuvre pour « matérialiser » une campagne de communication dictée par la marque. Mais aujourd’hui le métier s’est diversifié et complexifié.
« Les problématiques de nos clients ont changé, même si parfois eux-mêmes ne s’en rendent pas compte et nous avons forcément notre approche et notre discours. »
La manière de communiquer, mais surtout la réception des messages par les consommateurs, les utilisateurs finaux, n’est plus aussi simple.
L’évangélisation auprès de nos clients est la première étape, et certainement essentielle pour une stratégie réussie. Il s’agit de leur expliquer notre métier et ce qu’on peut leur apporter, mais surtout de circonscrire le périmètre des problématiques et la manière dont nous allons les résoudre. Que la communication passe par un logo, du display sur des sites ciblés, un événement dans un centre commercial, ou une application, l’essentiel est d’insérer ces mécaniques dans une logique globale afin d’atteindre les objectifs fixés.
L’accompagnement vers une nouvelle manière de penser la communication
Il nous faut innover sans cesse autour de deux piliers essentiels de notre métier : la création et la technologie. Élaborer la bonne stratégie de communication, les bons contenus, le bon brand content, la bonne identité visuelle, c’est de la création. Choisir et réaliser les bons outils, les bons développements informatiques, les bons process, c’est de la technique.
« Lorsqu’on élabore une stratégie, il faut définir quels résultats nous souhaitons atteindre avant de savoir comment les atteindre. Le concept global sera le seul guide pour le directeur artistique, le concepteur-rédacteur, le community manageur, le développeur… Ensuite nous choisissons les outils adéquats tels que les opérations marketing, l’évènementiel, les sites Internet. »
Aujourd’hui, nous, agences, nous devons construire des produits innovants et scalables. « Par exemple, pour un assureur qui souhaitait promouvoir des produits particuliers, nous avons créé des mini-sites basés sur des développements spécifiques incluant la signature électronique qui assurent la souscription en trois clics et donc une meilleure conversion». L’implémentation dans le système informatique de la signature électronique est un élément que nous avons proposé. Au lieu d’uniquement nous exécuter en tant que « fabricants » de sites web, nous recherchons l’innovation en continu. Force est de constater que l’enjeu dépasse bien le simple fait de communiquer. Les assureurs veulent passer au digital, entre autres, pour désengorger les centres d’appels et gagner en pertinence auprès des futurs souscripteurs. Au lieu de s’acharner dans des processus anciens, il faut d’abord penser à la manière de consommer du client final. C’est notamment celui qui a un usage quotidien des technologies numériques, et qui a l’habitude de procéder à ses achats par ce canal. La signature électronique était de notre part une proposition concrète et innovante pour, non seulement, répondre à la demande du passage au digital, mais surtout pour faciliter les souscriptions. Bientôt, nous proposerons la signature vocale.
« Qu’ils soient boulangers, industriels, assureurs, nos clients doivent penser expérience utilisateurs, et pour cela, il faut qu’ils les connaissent. Hélas, nous leur faisons la démonstration assez facilement qu’ils ne les connaissent peu ou pas du tout. »
Une utilisation intelligente de la data
« J’ai vu l’évolution sur trois ans. Il y a trois ans, les annonceurs se targuaient de mettre des millions d’euros sur l’achat d’Adwords. L’année dernière, de récolter des milliers de données, mais ils ne savaient pas quoi en faire. Cette année, ils ont compris l’importance de la qualité et non la quantité des données. Et avant tout se poser la question en amont : pourquoi, quelles données, et comment les exploiter. »
Surtout sur le Web, il est possible de collecter un grand nombre de données sur les clients d’une marque. Leur stockage est coûteux, et les utiliser de manière intelligente peut faire la différence. À l’issue de notre opération évènementielle cross-canal Saint-Valentin pour Groupon, nous avons catégorisé les personnes réceptives à l’opération. Cette démarche nous a permis de constater, et de montrer au client que les profils participants aimaient également d’autres marques auxquelles Groupon ne s’attendait pas. Notre client s’est aperçu qu’il ne communiquait pas bien avec ces personnes, car il ne savait pas qui elles étaient. C’est la raison pour laquelle nous travaillons de plus en plus avec notre partenaire SPREAD. Nous utilisons cet outil pour mettre en place des opérations marketing permettant la récupération de données, d’opérer ensuite des segmentations pour ensuite réaliser des campagnes marketing elles-mêmes segmentées.
« Les marques s’adressent ainsi à la bonne personne, au bon moment, avec le bon message et sur le bon canal. »
Cette démarche est déjà courante dans le milieu du B2B, et arrive dans le B2C.
Se protéger de la déviance d’une technologie prédictive
Le client final est intelligent et ne veut pas se faire « arnaquer », ni subir une pression marketing trop forte. Il est éclairé en ce qui concerne les mécaniques de communication et les techniques marketing qui veulent le faire acheter. Dans ce contexte, la prédiction grâce aux données n’est pas toujours une bonne chose, ni pour la marque ni pour le client.
« La donnée prédictive est la déviance qui me dérange dans l’utilisation de la data. »
Lorsqu’on base toute sa communication sur de la prédiction, le postulat n’est plus de faire plaisir au consommateur, mais de prévendre. Plutôt que de répondre à un besoin ou une envie en lui apportant un produit satisfaisant, on le fait entrer dans un stéréotype. Forcer la main au client lui fera passer à terme toute envie d’acheter.
« Que la recherche soit facilitée, qu’on lui fasse plaisir, oui, mais qu’on impose 1 produit, 1 service, donc que l’on force l’achat grâce à cette technologie, je ne pense pas que ce soit une bonne chose. Je reste défenseur de la liberté des consommateurs dans leurs achats. Restons les humains que nous sommes et gardons des valeurs. Les marques doivent cultiver une relation équilibrée et honnête avec leurs clients. »
Souhaiter un bon anniversaire au client est une manière simple d’utiliser intelligemment la donnée dans un objectif de communication. Connaître sa date de naissance et fêter l’anniversaire de cette personne sur le support multimédia qu’il va ouvrir dans la journée lui fera plaisir. C’est miser sur la reconnaissance humaine.
En tant qu’agence, à qui devons-nous faire plaisir ? Répondre aux demandes par des stratégies qui veulent forcer l’achat n’est pas viable. Nous ferions certainement plaisir à notre client en tant que prestataire en communication et marketing. Mais cela sera au risque de lasser le client de la marque. Il va s’en détacher peu à peu et cesser d’acheter. Pour esquiver cette menace, notre rôle sera d’éduquer nos clients sur la réponse que sont capables d’apporter les outils de communication à leurs besoins. Orienter les stratégies dans le sens de l’utilisateur, le client final, est la clef d’une démarche intelligente et efficace. D’autant plus que celui-ci sera sans nul doute « Le » grand décideur de demain.
#agence de communication#startup#data#création#technique#technologie#point de vue#arcange#virginie cousin#métiers
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“BIENVENUE LISA !”
Déluge de recrues en ce moment ! Lisa a rejoint les rangs de notre directeur artistique, Msieur Julien Nicolas, pour effectuer un super stage de design graphique. Sinon, on ne change pas les bonnes habitudes, nous lui avons posé quelques questions pour mieux la connaître. :) Ci-dessous, son portrait !
On te laisse te présenter. Je m’appelle Lisa et j’ai 19 ans. Je suis une personne positive, curieuse, qui aime apprendre de nouvelles choses peu importe le domaine. J’aime aussi improviser des repas improbables quand j’en ai le temps et c’est plus souvent réussi que raté ! Si je le pouvais, je partirais en vacances sur un coup de tête dès que l’envie me vient. J’aime aussi l’organisation et les tâches méticuleuses qui demandent de la patience. Ah oui ! J’allais oublier... Je suis fascinée par les poulpes ! Voilà tout.
C’est quoi ton parcours ? J’ai fait un Bac professionnel photographie et j’entre en septembre en deuxième année de BTS Design graphique option médias numériques au lycée Jeanne d’Arc à Rouen.
Ce que tu aimes par dessus tout dans ton futur métier ? Ce que j’aime dans le graphisme c’est bosser pendant des jours sur un projet jusqu’à obtenir quelque chose de satisfaisant et d’innovant et savourer ce moment où tu as terminé et que tu es content de ce que tu as fait. J’aime aussi pouvoir observer les enseignes et les logos en me baladant en ville ou sur le web et avoir la possibilité d’argumenter sur ce qui fonctionne ou pas.
Si tu devais te présenter avec un Gif ?
Ton site préféré ? Pinterest et youtube.
L'application que tu utilises le plus ? Facebook, Snapchat et Pinterest.
Ta best vidéo préférée sur les internets ?
youtube
Une ou plusieurs source(s) d’information(s) que tu recommandes ? J’utilise principalement Pinterest comme source d’inspiration.
Des hobbies ? Prendre des photos, écouter de la musique, faire des listes, aller au cinéma ou à des concerts, dire « moult » , sortir avec des amis, découvrir de nouveaux lieux ou de nouvelles activités, lire de petits articles de philo ou encore me renseigner sur les poulpes..
Ce que tu détestes le plus ? La violence, la haine, la vulgarité et « la Reine des neiges ».
La chose dont tu ne peux absolument pas te passer ? Billy, mon poulpe de compagnie et mon thermos de café (mon portable aussi).
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TOUS LES PSD POUR ÉDITER LES IMAGES POUR VOS RÉSEAUX SOCIAUX ! #OMG
Plusieurs raisons sont valables pour s’appliquer lorsqu’on édite et publie une image sur les réseaux sociaux. La première est que cela fait vraiment plaisir à tout le monde. La seconde est qu’optimiser ses publications de manière adaptée à chaque plateforme n’est pas qu’une affaire d’esthétisme.
Voici donc une liste d’avantages réels, qui finiront par vous convaincre :
Pas de déformation de vos images lorsqu’il y a un passage d’un device à un autre.
Des messages qui ne sont ni déformés ni tronqués
Maximiser les chances d’atteindre votre audience.
Pour faciliter cela, nous vous avons trouvé un site qui fera votre bonheur : adsvise.com/psd-packs.
Il fournit les fichiers PSD, soit les fichiers d’édition pour Photoshop, aux formats exacts dont vous avez besoin pour :
Facebook,
Instagram,
Twitter,
LinkedIn,
Youtube,
Adwords,
Google+,
Tumblr,
Pinterest.
Encore plus fort, un rappel des conditions d’utilisation des réseaux sociaux notamment pour les publicités est fait. Par exemple, sur Instagram les images proposées dans les publicités doivent concerner moins de 20 % du visuel.
Plus d’excuse !
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“BIENVENUE PERRYNE !”
Hey ! On a une nouvelle recrue à l'agence en tant que assistante chef de projet. On ne change pas les bonnes habitudes, nous lui avons posé quelques questions pour mieux la connaître. :) Ci-dessous, son portrait !
On te laisse te présenter ? Alors je m’appelle Perryne, je suis étudiante au lycée Jeanne d’Arc de Rouen, j’habite à Rouen pour les études et je vais bientôt avoir 19 ans. Je suis de nature calme, j’aime beaucoup rigoler. J’adore les imprévus, voir les personnes heureuses et partir à l’aventure. En clair, je prends la vie telle qu’elle vient, sans vraiment me poser de questions quoi !
C’est quoi ton parcours ? Pour l’instant, j’ai fait un bac sciences technologiques du management et de la gestion option marketing. Maintenant, je suis en 1ère année de communication. Par la suite, j’aimerais poursuivre mes études à l’étranger.
Ce que tu aimes par dessus tout dans ton futur métier ? Ce que j’aime au sens large dans la comm’, c’est avant tout le partage, le partage des idées, le partage des compétences entre les uns et les autres. Le partage contribue à la bonne ambiance, offre du dynamisme et enrichit la créativité et le « fun ». Chaque réalisation est différente. Il faut sans cesse se renouveler et faire preuve de créativité, de curiosité, d’imagination… C’est ça que je trouve cool !
Si tu devais te présenter avec un Gif ?
Ton site préféré ? Youtube. Au début, on se dit « je vais écouter une ou deux musiques »… Mais 2h après, on y est toujours. ^^ J’aime aussi passer mon temps sur Vine pour regarder les dernières pépites en date.
Les applications que tu utilises le plus ? Sans hésiter, Instagram et snapchat
Ta vidéo préférée sur les internets ?
youtube
Une ou plusieurs source(s) d’information(s) que tu recommandes ? Le Monde, Stratégie, Il Était Une Pub.
Des hobbies ? La cuisine, le sport, le chant (surtout dans ma salle de bains, héhé ^^)
Ce que tu détestes le plus ? La pluie, tous les insectes peu ragoûtants, l’attente, l’odeur des poubelles, le pessimisme, les personnes méchantes, les hashtags inutiles, être en retard, avoir faim, rater un anniversaire, me rendormir et me réveiller en retard.
La chose dont tu ne peux absolument pas te passer ? Les sorties entre amis, les technos, siroter une limonade bien fraîche en terrasse au soleil, partir en vacances, chanter pour un oui ou pour un non au regret de mes proches… Et pour finir, un bon p’tit goûter en rentrant chez moi… Voilà voilà !
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UNE ÉQUIPE TECHNIQUE INTERNALISÉE ET PAS SEULEMENT POUR METTRE À JOUR UNE IMPRIMANTE.
Il est d’usage de séparer les équipes de communication des équipes techniques (développement, administration système…). Ce modèle est pour l’agence Arcange totalement dépassé. Nous avons intégré le pôle technique, et voici les raisons pour lesquelles vous devriez en faire de même.
Réaliser une application, un site, ce n’est pas du bricolage.
Les agences de communication ont la mauvaise réputation d’être des techniciens du dimanche. Les sites sont forcément bancals, les optimisations douteuses, et les technologies dépassées. Cela peut effectivement être le cas, lorsque la seule ressource dont dispose l’agence est un intégrateur à tout faire, à qui on demande également de réaliser du développement ou des migrations de sites.
Notre agence a fait le choix de ne pas être exclusivement une agence de communication traditionnelle, mais pas non plus une SSII ou un studio de développement. Pour être à la croisée des chemins, nous avons créé une équipe de développement technique avec des personnes compétentes. Elles sont diplômées et certifiées, en travaillant avec des méthodologies qui n’ont rien à envier à une start-up ou une SSII établie. Intégrer un vrai pôle de techniciens dans une équipe de créatifs et de concepteurs d’idées est un pari qui nous réussit pour plusieurs raisons.
Permettre les échanges mixtes entre les métiers.
Faire rencontrer des techniciens et des créatifs a des avantages. Même si un pôle ne comprend pas forcément les blagues de l’autre, les échanges sont enrichissants. Côtoyer des communicants pour des techniciens, et fréquenter des techniciens pour des communicants permet de croiser les points de vue sur un même projet. Les discussions sont encouragées et nous pouvons en déduire les avantages possibles à la faveur du client. Il s’agit de dégager des problématiques et des solutions autour d’un même projet, ce qui ne serait pas possible si l’équipe technique était externalisée.
Notre point de vue est que la technique reste de la création. Écrire un programme et développer un site sont des actes de création, car il s’agit de trouver les solutions à une question. En ce sens, le métier de créatif dans une agence de communication a besoin de la technique. Ce sont des ingénieurs, des chefs de projets Web qui sont capables de répondre aux questions fondamentales qui se posent dans la conception d’une réponse à la problématique d’un client. Existe-t-il une application capable de faire cette action, peut-on développer une fonctionnalité en ce sens ? Le fonctionnement en vase clos où la technique et la communication sont séparées n’est plus possible.
S’enrichir mutuellement au bénéfice du client.
La mise en place de groupes de réflexion mixtes permet les échanges entre les visions marketing et techniques. Créer un débat collectif autour d’un projet dans lequel tout le monde a la parole encourage une vision globale sur le besoin du client. C’est une prise de recul qui serait sans cela difficile. Il n’est pas rare que lors d’une discussion sur le site d’un client qui a par exemple besoin de capter ses clients sur cette plateforme, que quelqu’un intervienne avec une idée comme « j’ai expérimenté quelque chose » ou « je connais une appli qui fait ça ». Les phases de tests et de recettes se font en commun.
Le partage des méthodologies pour être plus efficaces.
Le développement d’applications est un métier mûr sur les processus de gestion de projets et d’outils de travail collaboratifs. Ces modèles d’organisation permettent de rationaliser les échanges pour les rendre plus efficients. Des outils habituellement dédiés aux projets techniques sont à présent utilisés par l’ensemble des équipes. La mise en place d’un wiki interne et de plateformes d’échanges d’idées fait partie des astuces apportées par le pôle technique. Leur mise en place permet un gain de temps pour chacun.
La présence de techniciens permet également de mieux spécifier les projets en amont de leurs conceptions. Tandis que le client et la communication vont se concentrer sur l’objectif du projet et les mécaniques mises en œuvre, un spécialiste en développement apporte la brique qui complète l’édifice en faisant la jointure entre les métiers. Quel que soit l’objet développé, site Internet ou application, des spécifications techniques détaillées sont nécessaires. Plus l’équipe technique intervient tôt et par échanges avec la communication, plus le projet peut rapidement évoluer dans le bon sens.
Tout comme la communication est un métier technique, la technique est un métier de création. Chez Arcange, nous n’avons pas seulement réconcilié les deux mondes, nous les faisons collaborer. Les conséquences en sont positives tant pour les équipes internes qui peuvent échanger et monter en compétence grâce aux débats communs, que pour le client. Nous sommes aptes à lui délivrer une solution mûre sur tous les plans pour répondre à sa problématique.
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“BIENVENUE MARION !”
Hey ! On a une nouvelle recrue à l'agence depuis quelques semaines dans le pôle gestion de projet. Comme à notre habitude, nous lui avons posé quelques questions sympas pour mieux la connaître. :) Ci-dessous, son portrait rédigé avec soin.
C’est quoi ton parcours ? Alors ce matin je suis partie, non sans grande émotion, de l’arrêt de métro Honoré de Balzac, je suis descendue deux arrêts plus loin à St Sever pour reprendre un autre métro en direction de Georges Braque. Une chanson plus tard (et je ne parle pas d’Echoes de Pink Floyd, fort heureusement) me voilà arrivée à Jean Jaurès... J’ai donc marché sur 50m, j’ai ouvert deux portes, monté quatre étages, ouvert une autre porte pour finalement faire une entrée transcendante dans les bureaux. Chaque matin, c’est une foule en délire qui applaudit mon arrivée.
Après avoir obtenu ma licence en Langues Etrangères, je me suis orientée vers le Master en Stratégies de Communication Internationale (MASCI) de Dijon. Cette formation allie théorie et pratique puisque notre Junior Agence Masci nous offre la possibilité de développer nos compétences professionnelles en travaillant sur des projets très variés avec de réelles problématiques. Les services de la JAM vont de la recommandation stratégique, à la création de supports de communication en passant par l’organisation d’événements et la gestion des relations publiques.
Ce que tu aimes par dessus tout dans ton futur métier ? Ce qui me plaît dans la communication c’est le côté « touche-à-tout » du métier, la stratégie s’allie aux actions et à la création. C’est aussi et surtout un monde qui évolue constamment et une source incroyable d’inspiration. Tout reste à découvrir et à connaître !
Un coup marketing qui t’a marqué ? L’aventure #AllezHowardunCafe signée Michel et Augustin ! Tout est parti d’une demande émanant du siège de Starbucks à Seattle. Michel et Augustin devait envoyer des échantillons pour gagner l’opportunité d’être référencée chez le géant américain. Un rêve pour la petite marque française ! Une idée apparaît alors : pourquoi ne pas rencontrer en personne Howard Schultz, le big boss de Starbucks, pour lui faire goûter les produits autour d’un café ? Gros challenge pour Charlotte (ancienne du MASCI ! :) ) et Hassan, qui prennent l’avion le soir-même pour convaincre Howard d’accepter de les rencontrer. Munis d’une caméra, les trublions du goût retranscrivent leur épopée en temps réel sur les réseaux sociaux avec le hashtag #AllezHowardunCafe. La suite ici ! >
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Si tu devais te présenter avec un Gif ?
L'application que tu utilises le plus ? YouTube, ma deuxième maison.
Ta best vidéo préférée sur les internets ?
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Une ou plusieurs source(s) d’information(s) que tu recommandes ? Le Monde, Influencia, l’ADN, Il était une Pub, Twitter et… ma mère.
Des hobbies utiles ? Sortir avec mes amis, aller au cinéma, profiter du soleil, rire et faire des montages sur Photoshop.
Ce que tu détestes le plus ? Cette frustration quand une porte se ferme devant mon nez, l’odeur de l’orange, les crop tops, les gens qui coupent leurs spaghettis et les naïfs qui croient chaque année que les Daft Punk vont participer aux concerts de la région.
La chose dont tu ne peux absolument pas te passer ? Une bonne tarte au citron meringuée pour mon anniversaire ! Et trainer 10 minutes (minimum) le matin avant de sortir du lit.
Ton Twitter ? @mobduval
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“BIENVENUE FLORIAN !”
Hey ! On a un nouveau chez les DEV depuis quelques semaines. Comme à notre habitude, nous avons posé quelques questions pour mieux connaître notre nouvelle recrue qui officie en tant que freelance chez nous. Ci-dessous, son portrait !
C’est quoi ton parcours ? Diplômé de l’école d’ingénieur eXia.cesi de Rouen, spécialisé dans les technos Web, j’officie en tant que freelance depuis quelques années.
Ce que tu aimes par dessus tout dans ton métier ? J’aime le fait que le Web offre un très large panel de technologies, ce qui permet de pouvoir créer des applications diverses et variées, et de participer à plein de projets différents.
Si tu devais te présenter avec un Gif ? http://giphy.com/gifs/spike-lee-do-the-right-thing-air-jordans-zeucmer22vIDS
Ton site préféré ? Tumblr. J’aime sa grande diversité de contenu.
L'application que tu utilises le plus ? Soundcloud, spotify, napster … tout ça tout ça.
Ta best vidéo préférée sur les internets ?
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Une ou plusieurs source(s) d’information(s) que tu recommandes ? Konbini, Vice, Motherboard.vice , Korben, Highsnobiety, Fast and food…
Des hobbies utiles ? Les jeux videos, les bornes d’arcade, la musique et accessoirement le sport. ;)
Ce que tu détestes le plus ? Avoir faim.
La chose dont tu ne peux absolument pas te passer ? Mes potes.
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EST-CE QU’ON MET EN PROD’ AUJOURD’HUI ? ...
« Mettre en prod » désigne le fait de mettre en ligne une nouvelle version d’un site ou d’une application en ligne. C’est l’abréviation de mettre en production.
Dans un schéma classique de projet informatique, il y a à la toute fin “la recette” permettant de tester et de corriger les défauts. Quand tout le monde est d’accord sur la version en recette, elle est mise en production. Cette étape est cruciale, car il s’agit souvent de remplacer un système existant par un autre, que ce soit un site entier ou tout simplement une nouvelle fonctionnalité.
Mais parfois, c’est le drame...
Au mieux cela casse un peu votre site, au pire, cela fait tout tomber. Moment de panique, vous vous demandez si une sauvegarde a bien été faite (un « dump » pour ceux qui veulent frimer) et s’il est possible de tout réparer rapidement. Le téléphone sonne, mince, le boss a déjà vu que c’était cassé. Un mail arrive, c’est les ressources humaines, ah ouf, c’est juste pour nous informer que les tickets restau sont bien arrivés.
Pour éviter les risques de panique et le stress professionnel que cela peut occasionner, le très sérieux site https://www.estcequonmetenprodaujourdhui.info/ propose une solution radicale. Allez sur le site, et regardez si vous pouvez mettre en prod’. Déléguer la décision à quelqu’un d’autre est sans aucun doute le meilleur moyen d’être le plus serein. Ce site humoristique révèle une vraie problématique au sein des prestataires techniques.
Pourquoi le jour est-il aussi important ?
Il est d’usage de dire qu’on ne met surtout pas en prod’ le vendredi, parce que c’est juste avant le week-end. En conséquence, personne ne pourra s’en occuper samedi et dimanche. Ce n’est pourtant pas forcément vrai. En réalité, cela dépend surtout de l’organisation de l’entreprise et des moyens mis en œuvre au sein des équipes techniques. Il n’est pas si rare de disposer d’horaires d’astreintes pour permettre de travailler à des horaires décalés par rapport au rythme de bureau classique. C’est très pratique pour réaliser des mises en prod’ à des moments où la fréquentation sur un site est la plus basse, la nuit par exemple. Ainsi les ruptures de service, s’il y en a, sont moins graves.
Alors on fait quoi ?
Déjà, ne mettez pas en prod’ à l’arrache, on ne sait jamais ce qui peut arriver ! Choisissez le bon moment, et faites au moins en sorte que tout le monde soit au courant.
Et s’il arrive quand même une catastrophe, vous pourrez aussi dire que c’est de la faute de https://www.estcequonmetenprodaujourdhui.info/ !
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IFTTT DÉLIVRE DES COCKTAILS D’ASTUCES POUR AUTOMATISER VOS TÂCHES
Il n’est jamais difficile de faire la liste des choses sur lesquelles nous aimerions gagner du temps. Ce sont le plus souvent les petites tâches ingrates, mais nécessaires, et qui ne sont pas bien intéressantes. Mais par une astuce d’optimisation de rien du tout, on arrive parfois à gagner 5 minutes par jour, puis 25 minutes par semaine (on ne bosse pas le week-end), enfin 21,6 heures par an.
21 heures, c’est l’équivalent de 5 fois et demi un marathon Retour vers le futur, ou approximativement le temps pour aller en Australie par avion.
Qu’est-ce qu’IFTTT ?
Nous vous laissons le plaisir de trouver une prononciation correcte pour ce sigle. En français, on pourrait dire « ièftétété », ce qui est sans doute une des manières les plus élégantes de le faire.
En quelques mots, IFTTT est un outil d’automatisation qui permet de combiner entre elles plusieurs API. IFTTT signifie en effet : « If this then that », soit « si ceci alors cela ». Par exemple, vous pouvez demander que chaque publication sur le blog de votre marque enclenche depuis son flux RSS un partage sur Twitter. Une fois votre action désirée configurée, vous n’avez plus qu’à laisser IFTTT travailler pour vous.
IFTTT pour la communication numérique
Parmi les applications qui permettent d’utiliser IFTTT, nous pouvons citer Instagram, Blogger, Medium, Tumblr, WordPress, Feedly, Flickr, Youtube, Facebook Twitter... Retrouvez la liste complète par ici. Chose épatante, les personnes qui disposent d’objets connectés pour leur maison pourront également utiliser IFTTT pour des usages dont la seule limite sera l’inventivité.
IFTTT dispose aussi d’un immense catalogue de suggestions de « recipes ». C’est le terme utilisé pour une action configurée. Chaque recette connecte deux applications ensemble pour une action définie. Ces recipes sont entre autres proposées par la communauté utilisatrice d’IFTTT.
Voici quelques exemples. Sauvegarder les publications Instagram dans Dropbox.
Synchroniser la photo de profil Twitter avec celle de Facebook.
S’envoyer par mail les actualités technologiques du NYTimes.
IFTTT, un outil de fainéant ? Non, un outil pour les malins !
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ON VA RETRAVAILLER POUR LA SNCF & RÉGION NORMANDIE
L’année dernière, la région Normandie et la SNCF nous avait consultés pour réaliser l’habillage de trains circulants entre Paris et Le Havre, dans le cadre du projet « Le Train de L’Impressionnisme ».
Nous leur avions proposé le concept de « musée sur rails » en attribuant une œuvre par voiture. Résultats > 1 voiture = 1 œuvre / 1 artiste à découvrir = 1 couleur dominante.

Pour prolonger l’expérience, Arcange a travaillé sur la conception d’un site mobile accessible en flashant les QR codes présents dans le train. En plus de son habillage, nous nous étions occupés de la réalisation de multiples supports de promotion (affiches, encarts presse, bannières web…) ainsi que l’habillage de la gare de Vernon et de la gare Saint-Lazare : des œuvres étaient exposées ici et là aux abords des quais.

La cerise sur le gâteau ? Nous sommes très heureux de réitérer l’expérience Normandie Impressionnisme pour 2016 !
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ON VA S’OCCUPER DES RÉSEAUX SOCIAUX “ENJOY ROUEN NORMANDY” JUSQU’EN 2017 !
Rouen, une des dix métropoles françaises, a l’avantage de disposer d’atouts exceptionnels en matière d’attractivité : un patrimoine hors du commun sur lequel s’appuie un territoire innovant et en pleine mutation, où le dynamisme et la créativité s’expriment pleinement dans un environnement favorable.
Enjoy Rouen Normandy, est née d’un élan et d’une volonté commune : sous sa signature, elle se veut rassembler tous les acteurs – économiques, touristiques, culturels, sportifs, éducatifs…- qui forment et œuvrent à cette attractivité, sous une marque territoriale. Cette démarche porte les orientations et les actions destinées à valoriser la Métropole rouennaise. Et pour la bonne nouvelle, Arcange sera là pour aider Enjoy Rouen Normandy à prêcher la bonne parole sur les réseaux sociaux jusqu’en février 2017 !
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