Tumgik
alois-sodidor · 4 years
Text
Je suis roche sous mer, Dieu est ma prostituée, et toi aussi, gratuite Et tu es délicate en caresse sur nuque qui dort avec mèches.
Sent-toi mieux cloche. Le matin sur le boulevard les fleurs Photographier le matin Les restes de la nuit Pigeon sous la cascade de cage. Tunnel il remonte Le matin.
Porter ce sourire navré.
Rubrique du pistolet à plume Rubrique du contondant Le vertige ne devrait me connaître.
Sommeil jamais, fatigue je dis oui. Si la nourriture est dénombrable ou non. Les peluches étaient une lettre de l’absence du comportement masculin à avoir Elles n’apprennent à être égaux aux hommes Ni qui de toi ou d’eux est réconfortée, car exprimer de l’affection C’est s’en exprimer toujours à son encontre.
Lire insignes de la rue Enregistrer ses essais de voix tournante
Marcher seul des heures aux peurs matins Horde de quitter Force d’être seul Boule sous la gorge droit Remonte la pente massacre réveille la mort
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Parlez-vous en moi Morts.
Pour une brigade de la nuit
Ridicule Accélération du portrait de l’étoile
La nuit est partout Qu’est-ce que je cherche Dieu est nuit Et me plait ainsi.
L’eau  Sur La terre tombe.
Faire dessiner les âgés des portraits, ou sur les portraits déportés.
Un Peu d’espoir Pour ne pas échouer rappeler le mois du commencement Illusion
Enfermé hôpital
Ne pas le dire
Oh oui il est circoncis
Épuisé
Lourde
Au lit aller
Se sauver
cosmonaute fantôme
bleu en bleu
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Chien citronnier éclopé maladie de l’aveugle
Qu’est-ce qui gagne une solitude ? L’apprendre, nous avons visité le parc hier, quand commençait la rivière ? Canards étaient pierres. Lance-pierre à ruban. Arbre protecteur sous le vent. De vous puis-je le vertige ? Grand immeuble, je vous déteste. Territoire plat, aussi. On me dit tu es comme la terre. À percer.
Je récupèrerais sur mon visage les territoires que j’ai assemblé. Perfide. Désabusé ma peau, assurément.
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Mois Arbe
La blessure ne se tint pas tranquille Comme un œil fermé Queue d’une occasion.
Frère muraille Elle n’a pleuré que pour moi Tu ne devrais pas être là.
Comment je reviendrais Il n’y a plus personne Je les regarde et en l’air plus personne Je l’ai vu celui qui ne dit se tordre de douleur Ne pas le vouloir Le sable des mers Assez là pour une prière.
Le tracteur Le foin coupe Elle l’a Arbre bientôt Avec lui Je n’ai plus rien Et je dois encore aller plus loin
J’aime les grands et beaux  Nous nous reverrons demain, chênaie.
Est ce que je-dis et j’en ai peur Profondeur profondeur profondeur Triste sel, soit morte Une image de moi Faire ami de tous Drague et ami On m’enlève On m’enlève Pas pouvoir rentrer Le dragon du Malawi est loin Transiger femme en ami Pleurer seul Joue tombe Jour tombe Jardin
Il me siffle en robe, et je déverse sur sa tête.
Mon ami apprivoise Je fais les gens m’écouter Besoin d’être connu L’inconnu me hante à moi Parle de moi Beaucoup Évacue ne pas parler Dos rien Ressens et vis seul Ce mensonge faux de la surface. 
Ne dis rien On m’enlève L’intensité des relations que je crée  Votre sol est faux et il n’y a que cela pour Moi je creuse je creuse je creuse pour la profondeur et je dis que tout est faux Il n’y a tant de choses que je n’ai pas dite Partir peur M’éloigner Ne m’éloigne On m’enlève Pour ce qui rentre à la maison Ma peau me rendre laid Chercher confirmation  Ma  peau pose problème
Peur en solitude De disparaître
Seul sentir le sol Le diamètre Tout faux Vous tenez debout l’annoncer Faux derrière Faux c’est faux
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Rêve dermatologie salle Ça ne va pas, je montre mon dos. En effet. Pourquoi ? Vous savez ils étaient là-bas.
Oui elle raconte ta peau. Dis-moi la terre Sous moi.
Et cherche la belle marque d’amour Ce qui nous soutient Les plaque noires font disparition.
Je n’ai jamais pissé, les animaux bronzent J’avais un château tu habitais dans un arbre de mon jardin, je suis venu te dire bonjour Tu étais caché par les feuilles Je ne t’ai vu
Petit à petit Poésie
Mes condoléances Coquillage. Besoin d’un coquillage pour accéder à la mer de sang en nous Coquillage ponts entres les mers.
Le rêve ne connaît le visage Est-ce qu’on ne serait pas déjà haut sur une route On m’a transporté Inconscient Et je suis arrivé là.
Je ne dois retenir que l’être respirant J’en ai envie mais je n’y crois pas Il part de moi voit les collines aux moins Je respire au viaduc Je remise j’oublie Où dois-je rester il est fini Je vois les collines aux moins Les oreilles se bouchent Revenir à celui qui respire Le cœur désormais battre fort Depuis quelque temps. Condamné à être à la surface Il lui a mis un couteau sur la gorge et il est mort après quelques joue le frère.
Je pense que l’amour inconditionnel n’est pas à chercher Il peut être attendu comme un orage orange qui dure. Trop de rouge autour de toi Tu es bien trop vivant ou bien trop mort Tomber.
Elle saute et pourtant on reçoit des bouts de peaux d’elle.
Les sirènes Tomber jambes casser
Brimer
Veillée
La cicatrice qui doit aussi devenir cicatricielle. Un enfer est une ville à immeuble bas. Qui protège ?
(W. in
On a trinqué aux pleurs. Avec la musique Au moins on sait où l’on va.
Les cartes et les nombres me font peur de porter vers l’océan En nuée ils arrivent détalent des dunes Et se jettent à la mer Par millier Festoient Jettent les gouttes sur eux. Une libération, arrivée de camp dans la mer.
Tout ce qui est équivalent est en distance Je ressens la distance de mes parents D’une flèche égale
Mettre en place différentes stratégies pour libérer une maison de ses secrets. Je te replace, cachée dans ma maison. Papier peint.
Sur le lit Caché Il se cachait Et derrière aussi. Et le sexe faisait mal déjà.
Où partir, ici je suis plus bas que la mer. 
Il ne me trouvait pas Je me cachais
Hommes passent je ne vois que leur tête au dessus de la muraille Ils me regardent je suis seul dans l’immense jardin qui n’est pas mien Ils vont m’attaquer.
Pourquoi ? Sans raison.
Un homme vole, il essaye de me voler, il me suit, je sais que tu voles Dans une boite de nuit.
Nous sortons ensemble il est petit et volant Oh maman je ne sais pas écrire.
Même ses père et non-mères.
Si tu y étais caché tu serais une âme Morte Sur un fond de vérité, un début de bravoure Séla Sécrète qui flotte, ossature damné rebelle à la pendaison Mais qui au miroir parle.
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Ils sont partis, m’ont laissé, ne pouvoir vivre, la prière sur la tombe au sous-sol. J’avais peur, les chants la nuit continuent, et ils se baissent, et ils sont là au village. J’entends Elle est partie la soeur, elle voulait voir, et moi non.
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Le vagabond qui devint sédentaire Qui ne pouvait plus s’éloigner Je tombe Le “Je-tombe”
Angoisse survient, enveloppe corps Perdu Tombé Je vais apprendre ce Kaddish Je sais déjà que je dormirais mal Et seul Et éloigné De je ne sais quoi de vivant ou de mort justement Je pourrais le réciter au bateau Dans tous les transports Et demain même.
Je devrais dormir éloigné, éloigné à jamais de là Où suis-je né Je suis pas bien drogué Je tombe La pierre est angoissée On m’éloigne Me fait partir encore La pierre est avec le jonc
J’ai pleuré. Souillé le feu Pics de Montelimard.
Les gens baisent dans toutes ces maison, à quoi cela peut-il ressembler ?
Je t’emmène au bosquet Et on trace.
Plus il y a de meurtre plus y a de peau Espace clos, je te le demande, puis-je être ?
Je crée des absences dont je n’ai honte Et qui laissent des marques Sur le menton le baiser de L’allemande malade.
J’ai sauté d’une génération de sentiments en moi Générations qui passent.
Éloigner ou trop près ? Ne pouvoir rentrer ou ne pouvoir y aller ?
Élude Berlin, je ne m’en souviens pas Que faisais-je là-bas ? Je marchais, tentais.
J’aimais cet aéroport.
Découvert liberté présence en moi Et sa chute en nuit avancée quand elle perdait mon langage Éloigner profondeur Peau Part de là Pars de là On rentre à la maison
Pas trop de couleurs ? Tomber dans un trou Peut pas égarer le passé Peut pas regarder le passé Peur m’éloigner De quoi ? Danger empêche revenir Empêche revenir chez moi Car pas chez toi ? Pas ta maison Flora
Les arcs de la vie sont demi-juif Moi je m’habille avec les choses des autres Son manteau cousu sur moi Avant que je ne tombe dans la prosodie Ne quittant ma terre ferme Des fosses Quezacoatl Jaune Jument Abîmé abîmé abime Avec les demi-dieux, les corps sans côtes, les départs annoncés, les bateaux qui enferment, les cicatrices seules,
se perdre enfin, échouer, et devoir se consoler seul seul seul sur une plage, sans poitrine, et aux vêtements déchirés avec le douille, avec le feu de ce qui enfin coulera sur le demi que mère prend. L’été des angoisses arrive Je tombe La voiture percute l’espace J’angoisse J’ai drogue Je ne sais pas pourquoi je dis que les acacias sont tombées sur moi Je dois Être en colère J’en peux plus Ils vont m’éloigner m’empêcher pourquoi et de quoi avoir peur Je ne peux plus toi Ta présence Déjà Ta vie Maintenant je dois enlever au ventre Ce que j’ai Et la route est encore longue Abominable Le garder combien de temps Deux heures Deux ans Le pont recouvre Il recouvre un cratère de peau Pose une ombre Perdre les os À l’enterrement Encore une fois Derrière soi Naissance derrière celui qui part Celui qui part derrière la naissance L’ombre Pèse Ils m’éloignent La veillée J’ai peur de pas pouvoir rentrer chez moi ça me possède l’été arrive, l’été revient, encore
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Gadah de la rue Famille Tu doutes d’eux, qu’ils t’aiment, mais ils se soucient extérieurement de toi C’est ainsi. Tu peux douter d’eux, non de nous. Tu as eu cette enfance que j’ai aussi eu. Tu penses à moi tous les matins, tu pleures deux larmes quand je te dis avoir douté de toi. Ils nous connaissent et nous non, je veux être là désormais, davantage. Je veux construire.
Tu as un grand cœur, tu l’as doigté dans la piscine. Tu aimes les femmes, je t’ai dis pour l’homme. Toi à quatorze ans à Palais Royal, tu pleurais en revenant. Tu étais curieux.
La richesse de nous : le tous.
Père mère Entendez Sa silhouette a grossi Il le voit, le dit;
Prenons les photographies ensembles tu as des traces de sang Parler avec le cœur Aux clochards rencontrés Tu voles une aile.
Le premier, Edouard ce lui fit du bien. Le second, éducateur, reprendra je l’espère sa vie. Que Dieu vous bénisse, cela me fit du bien. Le dernier, indien des Comores, on a besoin de juif, pas de toi.
Il avait peur de l’eau, cherchait le banc et la photographie. Je l’ai éloigné. L’image de l’homme que je cherche est peut-être celle-ci, l’est-elle ?
Nous avons parlé, de nos deux anciennes africaines et polonaises. Oui, ta mère ne veut pas de moi, et la mienne de toi. Nous avons ensemble. Tu étais mon modèle parmi les femmes.
Un frère une forteresse. Tu as eu mes parents, des figures importantes, éloignées de chez toi. Que tu viennes aux fêtes. Quand tu viens de tout, tu acceptes tout. Quand pourrais-je de nouveau voyager ? Je ne suis sans savoir. Comment accepter d’être éloigné, de ne pouvoir revenir ? 
Tu me touches, me souhaites, je ne veux pas, ne suis pas présent, suis ailleurs, fouillant mystère, certes, pour te faire plaisir, mais je ne suis pas là, c’est fini entre nous, le temps est passé, je ne peux plus t’embrasser, te toucher, j’en suis désolé.
Pourtant ta musique.
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Ébène ivoire dans le chœur du soleil Rocher du cauchemar Rentrer dans une Jeanne d’arc bleue azur Et fomenter un attentat dissident. Tu vas pouvoir te nourrir comme tu le souhaites Un ver de l’eau Un ver de peau Tout sacrifier pour aller mieux Chercher déjà la morte Dont le corps tombe Au sens de la peau je remplis une mère en moi. Où s’assembler ? Parti de moi ils me reconnaissaient Tel, je veux être.
Passées sous silence à jamais Et peur de devoir sortir Dialogue de Pantin.
On m’éloigne, on m’éloigne, on me ramène, on me ramène, mais où ?
Mais sa mémoire est Fière de toi.
Tristesse par Passer par lui Autoriser Primer plier visage pour pleurer Essayer Prendre image.
Je ne sais faire face à l’émotion de lui.
Et moi Attend Lui m’attend Comment lui parler Lui parler en soi Si tu arrêtes de parler Quand on m’empêche je ne supporte. Le départ. La manche. L’invulnérable inconsolé.
Nuit me pèse Que faire Où aller comment dormir Et ne pas penser à la veille Transporte en permanence, perle à hanse.
Avant je m’asseyais sur les ponts C’est autour d’eux que je me suis construis Eux seul Eux pouvaient me confirmer. Voir peut dégénérer les transports avant nous portaient.
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Je ne sais où je suis et musique m’aide à me situer quelque part dans l’achevé ne me touche pas, fais moi jouir, non je pisse je pisse je vais pisser en toi si tu continues, les deux liquides ne peuvent se mélanger, huile et vinaigre ne me touche pas ne m’aime pas, c‘est déjà trop désormais, tu me chauffes, tu parles, tu veux m’embrasser trois fois et effectue la succion de tes trois pays, Alexandrie argentine, tu veux, mais quoi, je ne veux plus de toi, tu me touches, je me brise, frissonne, d’accord tu peux me faire jouir mais seulement cela, seulement cela et encore je n’y arrive pas et je ne veux pas te toucher ta lourde tête sur mon ventre me gêne, elle s’y était endormie, cela m’a musclé, pour me muscler elle dort sur moi je ne peux pas je suis triste je ne peux pas agir dans le bien  être
à Cassandre qui voulut m’aimer
Tu me caresses comme si j’étais dans un jardin Je voudrais.
L’exercice serait d’expliquer mes métaphores et idées continues, comme cela montrer à l’exerçant qu’elles ne sont gratuites, et au commerçant aussi qu’il est possible d’imaginer. Je suis cette possibilité. Tu me demandes de te toucher, je ne veux pas je te le dis hier encore avant de dormir avec profondeur. C’est cette profondeur du sommeil qui me cherchait.
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Et comment les pleurs, enregistrés au miroir peuvent-ils servir et je me tiens debout comment plisser ma face ? Comme la naissance d’une soeur sur un père et l’espagnole en face se tient debout et je ne peux pas mourir comme elle en pleurant de vieillesse, sur les aimés qui restent.
Comme une insomnie, ou Mai en pleurs contre nécessité.
Pour pleurer il faut être honnête mais irréductible le corbeau se pose sur la cheminée. je suis dinosaure la tête à l‘envers arrêtant de respirer car une cigarette allumée à la bouche vient au nez oiseau tu manges d’arbre derrière les feuilles changes tu les nettoies en bien la seule fleur de mon balcon les choses en moi comme des bulles qui remontent d’un La collées à la surface du ventre comme ciel d’étoile comme grotte à respirer et je ne peux ni vomir ni être moins mort et pleurer baisser son cantor lune comme mère grande premier croissant de sa mort quelqu’un qui va dans la montagne et ne crie pas ne pleure pas mais se frotte aux murs quand il a peur s’enlève de la peau a peur de la peau ils pensent que cela ne change rien mais ma valeur change nouveau père ou mère mère spirituelle père religieux je vais lire ses échanges de condoléances Dieu habite en lui même, il est seul vraiment sommeil sans horizon horizon du sommeil elle est morte et je la cherche déjà la détresse fais donc à cette hauteur pleurer pleurer est une barrière à atteindre manger pour être encore colère en étant encore colère la voix grasse du raz de marée raz de marée peur de ma phobie donner de la phobie pour se présenter gaz marée planète atterrit et que raz de marée passe étincelant transparent inactif vous passe au travers à vous rendre fou tu leur demande de vous tuer voici ma pierre dans Sisyphe il y avait un Coeur de fleurs ou une chose à l’intérieur qui s’écoulait sur mes épaules ruisseaux éruption cutanée glacée sysiphe qui mord
Maserel boire est un choix la tristesse va m’envahir j’aurais pu courir jour où besoin de deux dieu Aurore est une armée libre Gadah perchée sur le cèdre Où fuir Il fait noir Il faut que j’aime quelque part j’aille Comme un petit garçon qui ne fait pas confiance à la ville Il y a Un drame dans la connaissance Il chante ou parle ou écrit Et mêle à lui le noir sur le blanc Il passait dans les tunnels Il jouait Je n’aurais l’opinion de sa mère Ni sur son mari Elle leur reproche de n’avoir confiance en la ville la sœur petite femme
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Gaïä inscription de l’hématome tu t’endors sable et neige avant moi. Déépluche-moi. Chercher dans les poubelles et être riche Bazooka et Tovar Tovar, Tobar-tobar les canards Avoir une grande réunion juive Serait magnifique et mérité La couleur de cadenas Accro au miroir passe plusieurs fois Passe plusieurs fois à répétition Retourne folie Enlève Fait tout enlever Aucun défaut Vient de la mère Mais pourquoi Je rie comme Je crie comme la plupart des humains sur terre Quand j’attends l’angoisse, ils m’emmènent loin dans la pièce
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Le prénom du père tu sais je revendique ses prénoms comme un blason, oh oui je l’ai connu, je l’ai aimé et toi aussi ne me reproche pas elle m’aima tendrement tu ne pouvais pas savoir, j’étais garçon Jeanne d’arc sera musicienne  Lina Cantor Lina Cantor j’ai arrêté de savoir de te savoir la nuit où fuir, tout noir et personne là le monde programme sans trace dans l’air de cela qui est véritable. Le coeur ne montre pas au plancton errant La responsabilité.
Reconnaitre la tienne, reconnaitre ta propre liberté, l’attendre. Pourquoi ne couchons-nous plus ensemble tu demandas.
J’attends ta liberté Personne plutôt qu’ensemble
Je suis confiant, je suis debout Être insupportable 
Y’a langue
Y’a langue
Y’a langue
Y’a langue
Mes ennemis je ne les vois pas Bloqués dans ton visage dans tes expression Être fou Perdre Insupportable Coma chez toi Malade Pourquoi ressens cela
Ton visage je fais tout tomber.
Affecter le sourire Tu bois comme une plante Ta langue tirée Œil senti bouger tu es un débile jouet de zèbre fruits de printemps-été Parler parler Mamie et nous, ils ne peuvent comprendre Amie Ma famille La mienne Je ne fais pas les choses auxquelles je crois pas Parents Plus triste pour ta mère que la mienne Mamie sourire Force A tout vécu Elle dormait pas Cauchemar occupé La renvoyait dormir Et quels cauchemars Pleurer Moi vous savez Silence Pleure Fille touche dos Amérique grosse, camp Rencontre Gürs Pas parler enterrement mon père Elle ne savait pas pourquoi il pleurait Pourquoi les ai-je quitté J’ai tout appris J’ai parlé Écoute Ma mère Forte Ma mère forte Les disputes Les répétions Tu n’as pas la connaissance  Ma mère forte Dans son portefeuille image fille Elsi Il a rejeté son nom pour mourir Écouter du son les inviter Rue Charlotte Ils ont été aimé on ne sait pas Les enfants réchauffes. Voir seul chose peut faire Regarder et ne pas intervenir Ce n’est pas Berlin mais c’est la vague Reflets de côtes sauvez-moi le corps pousse sous moi Je dis coma ici Nous ne sommes que poussières J’ai les doigts pleins de tristesse Il m’a offert le masque dans le rêve Plus triste pour ta mère que pour la mienne Pleure elle vous aimait Tant Vivre éternelle Pour vous Pour cous aimer Miss Shoah
Dermato et pas gynécologue T’as les cornes qui poussent Moelle de chameau Gai amoureux Chien plié absente Elsi Mère drague père de Jonas Camp Amour San Francisco Grossit Histoire  Parle de ton père Elle a failli me vomir et ne pouvais la pardonner Eelle savait pas pourquoi ils vont pas bien Assume Déchirer sa chemise deuil Parler parents Joanna trio Elle accouche à l’hier Le deuxième est le pire Souvenir Israël immeuble
Apprendre à aimer la seule vie Mamie elle et nous rire Blagues communes
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Faire un masque à la femme enceinte Toucher. Pour me sentir bien Ne plus être pas parfait devant elle, imparfaite Mais en même temps, lui reprocher l’imperfection, vers elle. Pour être, elle est imparfaite Pour que je la touche, elle doit être parfaite, pour c’aimer comme ça, de cette façon, chercher un peu en elle Que je l’approche. Une perfection Sans dire.
Ébène cubain Matador  Éclater dans le bain je me tue, je tombe en chandelle je me tue avec du plomb je retourne à l’eau tombée, du silence immobile qui me conçut père je suis né d’un viol et j’ai déchiré ma mère sa peau comme des bulles faites éclater.
L’un s’oublie le genou replié, un autre éloigne ses draps arbres à mosaïques, à faïences. Arriver à Berlin en avance, me tromper d’arrêt es-tu sûr de ne pas voler de valises ?
Elle comme un fantôme enregistre l’humanité charrie une tristesse, énigme prodige.
Je vois à demi-regret la couleur de la mort. Absorber la couleur d’une demi-mort.
Rouge ma couleur perdue Tu la retrouves Retrouves ma dangereuse solitude, l’écorchée peau de toi Dieu pas religieux, une drogue.
Prends temps d’embrasser  Souvenir cirque, rouleau, jongler en foulard maladie Drapeau grenouille rouge Je me vois dans ta pupille Regarde mon œil
Ève symbole des yeux et peur Mes souvenirs bougent, je ne me souviens des voyages.
Poisson demande baisers Pas finir  Sexe odeur sèche Occuper un enfant Peur Peuvent-ils Bazooka Un crocodile acheter
Regarde les yeux gens lisent Pour cela écrire pas mosaïque archives sans retouches ici ne piquèrent les diamants sexuels.
Extinction de masse dinosaure et juif relation indienne aux animaux piscine d’étoiles nuit reflet préfère voir reflet sans peur caresse liée écriture tu as oublié tes anciens yeux dans mon lit
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
En face des tatouages au mur peint à la main rouge, la nuit, de l’impasse magique, j’ai vu les symboles noirs, coulants, de la vie et de la mort.
Tu es si rouge, car tu ne peux saigner. Si j’ouvre ton coeur en deux qu’y trouverais-je ? Arbres, sur eux de l’eau.
Je transforme toutes les femmes en homme, désolé.  Tu lui as demandé s’il aime ta jupe ? Je lui ai mise sur la tête comme un abat-jour, je l’ai fais se pencher sur sa tombe qui nuit.
Mes échographies parfaitement normales. L’intime désincarné.
Personne n’a dis que je n’avais pas le droit de me défendre, mais d’être attaqué.
Les expériences de pensée du combat sont fécondes. Petite violence.
Je me demande si elle est encore vivante. Sa langue dans mon oreille, entendre une sensation enfant. 
Ces hommes et femmes disparus dans l’espace.
Tu adores me faire parler, que je parle. Rentre chez toi et fais-moi honte. Tu me fais honte de rentrer chez toi ainsi.
Mort lente Rapide même quand lente Une calle, une cave Escalier dans le boire, dans le bois
Ce gryphon des camps qui vient y chercher l’or, parlant aux bonnes soeurs.
Ce serait comme un autre thème d’étudier la griffure Mouille ta main de salive puis attrape mon sexe Il le traînait au dessus de l’eau jusqu’à ce que j’accouche Trainer par une corde par un bateau sur l’eau et ricocher.
Égalité
Fuir vers l’égalité
L’homme que je n’ai pas su combattre
Que je n’ai pas su combattre
Il m’humilie me frôle ma jupe, parce que jupe j’attends la remarque le regard au dos qu’ils s’en prennent à moi de moi oh oui venez chercher.
Maison de gens aux sexes mutilés Châtaigne et goélands Elsi Monte chambre Redescend blessé, brillante un point de sang à un endroit différent
Cuillerée de peau. Faire un corps onctueux, une glace, trempée dans l’eau, râper comme un fromage la peau L’une est ville
Poisson dans glace Plonger corps mort eau Je mange la nourriture décousue L’abandon progressif des masques
Une adolescente en chaleurs crée un remède explosif Ne pas pouvoir tomber
Bois sur toi tripe
C’est un fermier de pommes Adopté huit jours après sa naissance Sans relation avec sa mère Qui avait besoin de pommes
Envoie mon parfum de figue au canal Il fait si chaud je saigne presque
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Ça parle des antilopes ? Un canard est plus poétique que toi Et tes couilles pleines de vent Les cils restent ou tombent Après-mort Pas peau pas poil Fleur et terre
Parlons entre personnes par quoi est attiré un enfant ? vous me demandez si j’aime les femmes, ne m’intéressent qu’aux femmes ? Oui, elle sont différentes de moi, j’ai grandi entouré par leur alimentation invulnérable, inoffensif, inconsolable inoculé  préparé à se défendre, ronflement d’une protection, d’une armure assiégée par fourmis volantes, souterraines par des montagnes d’usines, je vous aime  et je vois le prince qui déroge
0 notes
alois-sodidor · 4 years
Text
Où notre bébé dort, il dormira également dans l'autre monde. Durant la cinquième nuit du mois de mai, sa lumière diminua petit à petit jusqu’à ce que, quand la nuit arriva, il eût complètement disparu sans qu’aucune lueur ni sphère ne fût visible. Cela continua ainsi jusqu’à l’aube et alors il m’apparut plein et brillant, évacué.
Huit erreur de jugement, huit minutes d’égarement retombèrent, ressac purifié, le lundi d’après. La foudre avait muté. Elle créait d’autres hommes. Touchait au miroir. C’était interdit.
Lieu sans parole au miroir, Renouvelle muselière Et la main est blanche Parmi les roseaux Renouvelle la panse du tatouage ex æquo.
Agonie blanche blanche blanche allumés de ruisseaux carnivores.
Toutes ces années Malicieuses au programme, Ces heurts nocturnes, Ces coups de grâce.
Peines au fragment Digital.
C’est comme cela, Un œil qui ne voit pas bien  Cimetières-dés, dragon enneigés J’aimerais que le sexe n’existe pas Mais je l’ai vu au miroir Contre moi lu.
Ma parole contre lui qui tendit un piège, couché. Nous partîmes en île nous affronter, nous convaincre de révéler la vérité. Clochard après l’échec Revient après eux années, sans nouvelles, sonne Un homme ouvre et avait ouvert la soeur.
Avant de voir la morte J’avais peur des ponts Je chante je chante je chante Tu
Chantes ?
Attributs visage ignorés, peau change, et si distendue, les ferai tomber. Ouvre visage vers peau, faire croire désormais à la peau sans séquelles, sans verres. Ils n’entendent pas.
Les larmes montent ne descendent pas L’enjeu est sous les roches.
Trouver la mère. Enfin laid L’être enfin laid Remerciant !
Soutenir le faux mensonge. Invulnérable donc inoffensif Seul l’offensé a raison de répondre.
Point aveugle la violence faite aux femmes On me veut, je m’offre Offre, mais la violence se fait souvenir, et régurgite le  Déplacement des corps.
Ma vie : m’a dit.
Pensées sont des masques pour contrôle.
Faire corps mien et tracer des traits identificateurs. Œil malade Cicatrice couteau L’autre œil sain est rose et inscrit dans la chair Si il tombe ramasse et désinfecte.
Enlever image ? Jugement beauté Sexe avant et plus après. Dans le monde d’après de la connaissance, il n’y en aura plus.
Aucun appui repos Prouver Finir jugement
Offrir aux autres la pénétration élevée Sans contenu.
Pas dis au revoir pas dis au revoir regrette je l’anime encore partout.
Père parle pas passe Je vous montre Pencher, m’épancher, se pencher vers l’allongé. Accepter la victoire Coup de fouet sur la tourbe Regarder, ses morts. Labyrinthe.
0 notes