Je suis roche sous mer,
Dieu est ma prostituée, et toi aussi, gratuite
Et tu es délicate en caresse sur nuque qui dort avec mèches.
Sent-toi mieux cloche.
Le matin sur le boulevard les fleurs
Photographier le matin
Les restes de la nuit
Pigeon sous la cascade de cage.
Tunnel il remonte
Le matin.
Porter ce sourire navré.
Rubrique du pistolet à plume
Rubrique du contondant
Le vertige ne devrait me connaître.
Sommeil jamais, fatigue je dis oui.
Si la nourriture est dénombrable ou non.
Les peluches étaient une lettre de l’absence du comportement masculin à avoir
Elles n’apprennent à être égaux aux hommes
Ni qui de toi ou d’eux est réconfortée, car exprimer de l’affection
C’est s’en exprimer toujours à son encontre.
Lire insignes de la rue
Enregistrer ses essais de voix tournante
Marcher seul des heures aux peurs matins
Horde de quitter
Force d’être seul
Boule sous la gorge droit
Remonte la pente massacre
réveille la mort
0 notes
Parlez-vous en moi
Morts.
Pour une brigade de la nuit
Ridicule
Accélération du portrait de l’étoile
La nuit est partout
Qu’est-ce que je cherche
Dieu est nuit
Et me plait ainsi.
L’eau
Sur
La terre tombe.
Faire dessiner les âgés des portraits, ou sur les portraits déportés.
Un
Peu d’espoir
Pour ne pas échouer rappeler le mois du commencement
Illusion
Enfermé hôpital
Ne pas le dire
Oh oui il est circoncis
Épuisé
Lourde
Au lit aller
Se sauver
cosmonaute fantôme
bleu en bleu
0 notes
Chien citronnier éclopé maladie de l’aveugle
Qu’est-ce qui gagne une solitude ? L’apprendre, nous avons visité le parc hier, quand commençait la rivière ? Canards étaient pierres. Lance-pierre à ruban. Arbre protecteur sous le vent. De vous puis-je le vertige ? Grand immeuble, je vous déteste. Territoire plat, aussi.
On me dit tu es comme la terre. À percer.
Je récupèrerais sur mon visage les territoires que j’ai assemblé. Perfide. Désabusé ma peau, assurément.
0 notes
Mois Arbe
La blessure ne se tint pas tranquille
Comme un œil fermé
Queue d’une occasion.
Frère muraille
Elle n’a pleuré que pour moi
Tu ne devrais pas être là.
Comment je reviendrais
Il n’y a plus personne
Je les regarde et en l’air plus personne
Je l’ai vu celui qui ne dit se tordre de douleur
Ne pas le vouloir
Le sable des mers
Assez là pour une prière.
Le tracteur
Le foin coupe
Elle l’a
Arbre bientôt
Avec lui
Je n’ai plus rien
Et je dois encore aller plus loin
J’aime les grands et beaux
Nous nous reverrons demain, chênaie.
Est ce que je-dis et j’en ai peur
Profondeur profondeur profondeur
Triste sel, soit morte
Une image de moi
Faire ami de tous
Drague et ami
On m’enlève
On m’enlève
Pas pouvoir rentrer
Le dragon du Malawi est loin
Transiger femme en ami
Pleurer seul
Joue tombe
Jour tombe
Jardin
Il me siffle en robe, et je déverse sur sa tête.
Mon ami apprivoise
Je fais les gens m’écouter
Besoin d’être connu
L’inconnu me hante à moi
Parle de moi
Beaucoup
Évacue ne pas parler
Dos rien
Ressens et vis seul
Ce mensonge faux de la surface.
Ne dis rien
On m’enlève
L’intensité des relations que je crée
Votre sol est faux et il n’y a que cela pour
Moi je creuse je creuse je creuse pour la profondeur et je dis que tout est faux
Il n’y a tant de choses que je n’ai pas dite
Partir peur
M’éloigner
Ne m’éloigne
On m’enlève
Pour ce qui rentre à la maison
Ma peau me rendre laid
Chercher confirmation
Ma peau pose problème
Peur en solitude
De disparaître
Seul sentir le sol
Le diamètre
Tout faux
Vous tenez debout l’annoncer
Faux derrière
Faux c’est faux
0 notes
Rêve dermatologie salle
Ça ne va pas, je montre mon dos. En effet. Pourquoi ? Vous savez ils étaient là-bas.
Oui elle raconte ta peau.
Dis-moi la terre
Sous moi.
Et cherche la belle marque d’amour
Ce qui nous soutient
Les plaque noires font disparition.
Je n’ai jamais pissé, les animaux bronzent
J’avais un château tu habitais dans un arbre de mon jardin, je suis venu te dire bonjour
Tu étais caché par les feuilles
Je ne t’ai vu
Petit à petit
Poésie
Mes condoléances
Coquillage.
Besoin d’un coquillage pour accéder à la mer de sang en nous
Coquillage ponts entres les mers.
Le rêve ne connaît le visage
Est-ce qu’on ne serait pas déjà haut sur une route
On m’a transporté
Inconscient
Et je suis arrivé là.
Je ne dois retenir que l’être respirant
J’en ai envie mais je n’y crois pas
Il part de moi voit les collines aux moins
Je respire au viaduc
Je remise j’oublie
Où dois-je rester il est fini
Je vois les collines aux moins
Les oreilles se bouchent
Revenir à celui qui respire
Le cœur désormais battre fort
Depuis quelque temps.
Condamné à être à la surface
Il lui a mis un couteau sur la gorge et il est mort après quelques joue le frère.
Je pense que l’amour inconditionnel n’est pas à chercher
Il peut être attendu comme un orage orange qui dure.
Trop de rouge autour de toi
Tu es bien trop vivant ou bien trop mort
Tomber.
Elle saute et pourtant on reçoit des bouts de peaux d’elle.
Les sirènes
Tomber jambes casser
Brimer
Veillée
La cicatrice qui doit aussi devenir cicatricielle.
Un enfer est une ville à immeuble bas.
Qui protège ?
(W. in
On a trinqué aux pleurs.
Avec la musique
Au moins on sait où l’on va.
Les cartes et les nombres me font peur de porter vers l’océan
En nuée ils arrivent détalent des dunes
Et se jettent à la mer
Par millier
Festoient
Jettent les gouttes sur eux.
Une libération, arrivée de camp dans la mer.
Tout ce qui est équivalent est en distance
Je ressens la distance de mes parents
D’une flèche égale
Mettre en place différentes stratégies pour libérer une maison de ses secrets.
Je te replace, cachée dans ma maison. Papier peint.
Sur le lit
Caché
Il se cachait
Et derrière aussi.
Et le sexe faisait mal déjà.
Où partir, ici je suis plus bas que la mer.
Il ne me trouvait pas
Je me cachais
Hommes passent je ne vois que leur tête au dessus de la muraille
Ils me regardent je suis seul dans l’immense jardin qui n’est pas mien
Ils vont m’attaquer.
Pourquoi ?
Sans raison.
Un homme vole, il essaye de me voler, il me suit, je sais que tu voles
Dans une boite de nuit.
Nous sortons ensemble il est petit et volant
Oh maman je ne sais pas écrire.
Même ses père et non-mères.
Si tu y étais caché tu serais une âme
Morte
Sur un fond de vérité, un début de bravoure
Séla
Sécrète qui flotte, ossature damné rebelle à la pendaison
Mais qui au miroir parle.
0 notes
Ils sont partis, m’ont laissé, ne pouvoir vivre, la prière sur la tombe au sous-sol. J’avais peur, les chants la nuit continuent, et ils se baissent, et ils sont là au village. J’entends
Elle est partie la soeur, elle voulait voir, et moi non.
0 notes
Le vagabond qui devint sédentaire
Qui ne pouvait plus s’éloigner
Je tombe
Le “Je-tombe”
Angoisse survient, enveloppe corps
Perdu
Tombé
Je vais apprendre ce Kaddish
Je sais déjà que je dormirais mal
Et seul
Et éloigné
De je ne sais quoi de vivant ou de mort justement
Je pourrais le réciter au bateau
Dans tous les transports
Et demain même.
Je devrais dormir éloigné, éloigné à jamais de là
Où suis-je né
Je suis pas bien drogué
Je tombe
La pierre est angoissée
On m’éloigne
Me fait partir encore
La pierre est avec le jonc
J’ai pleuré.
Souillé le feu
Pics de Montelimard.
Les gens baisent dans toutes ces maison, à quoi cela peut-il ressembler ?
Je t’emmène au bosquet
Et on trace.
Plus il y a de meurtre plus y a de peau
Espace clos, je te le demande, puis-je être ?
Je crée des absences dont je n’ai honte
Et qui laissent des marques
Sur le menton le baiser de
L’allemande malade.
J’ai sauté d’une génération de sentiments en moi
Générations qui passent.
Éloigner ou trop près ?
Ne pouvoir rentrer ou ne pouvoir y aller ?
Élude Berlin, je ne m’en souviens pas
Que faisais-je là-bas ? Je marchais, tentais.
J’aimais cet aéroport.
Découvert liberté présence en moi
Et sa chute en nuit avancée quand elle perdait mon langage
Éloigner profondeur
Peau
Part de là
Pars de là
On rentre à la maison
Pas trop de couleurs ?
Tomber dans un trou
Peut pas égarer le passé
Peut pas regarder le passé
Peur m’éloigner
De quoi ?
Danger empêche revenir
Empêche revenir chez moi
Car pas chez toi ?
Pas ta maison
Flora
Les arcs de la vie sont demi-juif
Moi je m’habille avec les choses des autres
Son manteau cousu sur moi
Avant que je ne tombe dans la prosodie
Ne quittant ma terre ferme
Des fosses
Quezacoatl
Jaune
Jument
Abîmé abîmé abime
Avec les demi-dieux, les corps sans côtes, les départs annoncés, les bateaux qui enferment, les cicatrices seules,
se perdre enfin, échouer, et devoir se consoler seul
seul
seul
sur une plage, sans poitrine, et aux vêtements déchirés
avec le douille, avec le feu
de ce qui enfin coulera
sur le demi
que mère prend.
L’été des angoisses arrive
Je tombe
La voiture percute l’espace
J’angoisse
J’ai drogue
Je ne sais pas pourquoi je dis que les acacias sont tombées sur moi
Je dois
Être en colère
J’en peux plus
Ils vont m’éloigner m’empêcher pourquoi et de quoi avoir peur
Je ne peux plus toi
Ta présence
Déjà
Ta vie
Maintenant je dois enlever au ventre
Ce que j’ai
Et la route est encore longue
Abominable
Le garder combien de temps
Deux heures
Deux ans
Le pont recouvre
Il recouvre un cratère de peau
Pose une ombre
Perdre les os
À l’enterrement
Encore une fois
Derrière soi
Naissance derrière celui qui part
Celui qui part derrière la naissance
L’ombre
Pèse
Ils m’éloignent
La veillée
J’ai peur de pas pouvoir rentrer chez moi ça me possède
l’été arrive, l’été revient, encore
0 notes
Gadah de la rue
Famille
Tu doutes d’eux, qu’ils t’aiment, mais ils se soucient extérieurement de toi
C’est ainsi. Tu peux douter d’eux, non de nous. Tu as eu cette enfance que j’ai aussi eu. Tu penses à moi tous les matins, tu pleures deux larmes quand je te dis avoir douté de toi. Ils nous connaissent et nous non, je veux être là désormais, davantage. Je veux construire.
Tu as un grand cœur, tu l’as doigté dans la piscine. Tu aimes les femmes, je t’ai dis pour l’homme. Toi à quatorze ans à Palais Royal, tu pleurais en revenant. Tu étais curieux.
La richesse de nous : le tous.
Père mère
Entendez
Sa silhouette a grossi
Il le voit, le dit;
Prenons les photographies ensembles tu as des traces de sang
Parler avec le cœur
Aux clochards rencontrés
Tu voles une aile.
Le premier, Edouard ce lui fit du bien. Le second, éducateur, reprendra je l’espère sa vie. Que Dieu vous bénisse, cela me fit du bien. Le dernier, indien des Comores, on a besoin de juif, pas de toi.
Il avait peur de l’eau, cherchait le banc et la photographie. Je l’ai éloigné. L’image de l’homme que je cherche est peut-être celle-ci, l’est-elle ?
Nous avons parlé, de nos deux anciennes africaines et polonaises. Oui, ta mère ne veut pas de moi, et la mienne de toi. Nous avons ensemble. Tu étais mon modèle parmi les femmes.
Un frère une forteresse. Tu as eu mes parents, des figures importantes, éloignées de chez toi. Que tu viennes aux fêtes.
Quand tu viens de tout, tu acceptes tout. Quand pourrais-je de nouveau voyager ? Je ne suis sans savoir. Comment accepter d’être éloigné, de ne pouvoir revenir ?
Tu me touches, me souhaites, je ne veux pas, ne suis pas présent, suis ailleurs, fouillant mystère, certes, pour te faire plaisir, mais je ne suis pas là, c’est fini entre nous, le temps est passé, je ne peux plus t’embrasser, te toucher, j’en suis désolé.
Pourtant ta musique.
0 notes
Ébène ivoire dans le chœur du soleil
Rocher du cauchemar
Rentrer dans une Jeanne d’arc bleue azur
Et fomenter un attentat dissident.
Tu vas pouvoir te nourrir comme tu le souhaites
Un ver de l’eau
Un ver de peau
Tout sacrifier pour aller mieux
Chercher déjà la morte
Dont le corps tombe
Au sens de la peau je remplis une mère en moi.
Où s’assembler ?
Parti de moi ils me reconnaissaient
Tel, je veux être.
Passées sous silence à jamais
Et peur de devoir sortir
Dialogue de Pantin.
On m’éloigne, on m’éloigne, on me ramène, on me ramène, mais où ?
Mais sa mémoire est
Fière de toi.
Tristesse par
Passer par lui
Autoriser
Primer plier visage pour pleurer
Essayer
Prendre image.
Je ne sais faire face à l’émotion de lui.
Et moi
Attend
Lui m’attend
Comment lui parler
Lui parler en soi
Si tu arrêtes de parler
Quand on m’empêche je ne supporte.
Le départ. La manche. L’invulnérable inconsolé.
Nuit me pèse
Que faire
Où aller comment dormir
Et ne pas penser à la veille
Transporte en permanence, perle à hanse.
Avant je m’asseyais sur les ponts
C’est autour d’eux que je me suis construis
Eux seul
Eux pouvaient me confirmer.
Voir peut dégénérer
les transports avant nous portaient.
0 notes
Je ne sais où je suis et musique m’aide à me situer
quelque part
dans l’achevé
ne me touche pas, fais moi jouir, non je pisse
je pisse
je vais pisser en toi si tu continues, les deux liquides ne peuvent se mélanger, huile et vinaigre
ne me touche pas ne m’aime pas, c‘est déjà trop désormais, tu me chauffes, tu parles, tu veux m’embrasser trois fois et effectue la succion de tes trois pays, Alexandrie argentine, tu veux, mais quoi, je ne veux plus de toi, tu me touches, je me brise, frissonne, d’accord tu peux me faire jouir mais seulement cela, seulement cela et encore je n’y arrive pas et je ne veux pas te toucher
ta lourde tête sur mon ventre me gêne, elle s’y était endormie, cela m’a musclé, pour me muscler elle dort sur moi
je ne peux pas
je suis triste
je ne peux pas agir
dans le bien
être
à Cassandre qui voulut m’aimer
Tu me caresses comme si j’étais dans un jardin
Je voudrais.
L’exercice serait d’expliquer mes métaphores et idées continues, comme cela montrer à l’exerçant qu’elles ne sont gratuites, et au commerçant aussi qu’il est possible d’imaginer. Je suis cette possibilité.
Tu me demandes de te toucher, je ne veux pas je te le dis hier encore avant de dormir avec profondeur. C’est cette profondeur du sommeil qui me cherchait.
0 notes
Et comment les pleurs, enregistrés au miroir
peuvent-ils servir
et je me tiens debout
comment plisser ma face ? Comme la naissance d’une soeur sur un père
et l’espagnole en face se tient debout
et je ne peux pas mourir comme elle en pleurant de vieillesse, sur les aimés
qui restent.
Comme une insomnie, ou Mai en pleurs
contre nécessité.
Pour pleurer il faut être honnête
mais irréductible
le corbeau se pose sur la cheminée.
je suis dinosaure la tête à l‘envers
arrêtant de respirer car une cigarette allumée à la bouche vient au nez
oiseau tu manges d’arbre derrière les feuilles
changes
tu les nettoies
en bien
la seule fleur de mon balcon
les choses en moi comme des bulles qui remontent d’un La
collées à la surface du ventre
comme ciel d’étoile
comme grotte à respirer
et je ne peux ni vomir ni
être moins mort et pleurer
baisser son cantor
lune comme mère grande premier croissant de sa mort
quelqu’un qui va dans la montagne et ne crie pas
ne pleure pas
mais se frotte aux murs quand il a peur
s’enlève de la peau
a peur de la peau
ils pensent que cela ne change rien mais ma valeur change
nouveau père ou mère
mère spirituelle
père religieux
je vais lire ses échanges de condoléances
Dieu habite en lui même, il est seul
vraiment
sommeil sans horizon
horizon du sommeil
elle est morte et je la cherche déjà
la détresse
fais donc à cette hauteur pleurer
pleurer est une barrière à atteindre
manger pour être encore colère
en étant encore colère
la voix grasse du raz de marée
raz de marée
peur de ma phobie
donner de la phobie pour se présenter
gaz marée
planète atterrit et que raz de marée passe
étincelant transparent inactif
vous passe au travers à vous rendre fou
tu leur demande de vous tuer
voici ma pierre
dans Sisyphe il y avait un Coeur de fleurs ou une chose à l’intérieur
qui s’écoulait sur mes épaules
ruisseaux
éruption cutanée glacée
sysiphe qui mord
Maserel
boire est un choix
la tristesse va m’envahir
j’aurais pu courir
jour où besoin de deux dieu
Aurore est une armée libre
Gadah perchée sur le cèdre
Où fuir
Il fait noir
Il faut que j’aime quelque part j’aille
Comme un petit garçon qui ne fait pas confiance à la ville
Il y a Un drame dans la connaissance
Il chante ou parle ou écrit
Et mêle à lui le noir sur le blanc
Il passait dans les tunnels
Il jouait
Je n’aurais l’opinion de sa mère
Ni sur son mari
Elle leur reproche de n’avoir confiance en la ville la sœur petite femme
0 notes
Gaïä inscription de l’hématome
tu t’endors sable et neige avant moi.
Déépluche-moi.
Chercher dans les poubelles et être riche
Bazooka et Tovar Tovar, Tobar-tobar les canards
Avoir une grande réunion juive
Serait magnifique et mérité
La couleur de cadenas
Accro au miroir passe plusieurs fois
Passe plusieurs fois à répétition
Retourne folie
Enlève
Fait tout enlever
Aucun défaut
Vient de la mère
Mais pourquoi
Je rie comme
Je crie comme la plupart des humains sur terre
Quand j’attends l’angoisse, ils m’emmènent loin dans la pièce
0 notes
Le prénom du père
tu sais je revendique ses prénoms comme un blason, oh oui je l’ai connu, je l’ai aimé et toi aussi
ne me reproche pas
elle m’aima tendrement tu ne pouvais pas savoir, j’étais garçon
Jeanne d’arc sera musicienne
Lina Cantor Lina Cantor
j’ai arrêté de savoir
de te savoir
la nuit où fuir,
tout noir
et personne là
le monde
programme sans trace
dans l’air
de cela qui est véritable.
Le coeur ne montre pas
au plancton errant
La responsabilité.
Reconnaitre la tienne, reconnaitre ta propre liberté, l’attendre.
Pourquoi ne couchons-nous plus ensemble tu demandas.
J’attends ta liberté
Personne plutôt qu’ensemble
Je suis confiant, je suis debout
Être insupportable
Y’a langue
Y’a langue
Y’a langue
Y’a langue
Mes ennemis je ne les vois pas
Bloqués dans ton visage dans tes expression
Être fou
Perdre
Insupportable
Coma chez toi
Malade
Pourquoi ressens cela
Ton visage
je fais tout tomber.
Affecter le sourire
Tu bois comme une plante
Ta langue tirée
Œil senti bouger
tu es un débile jouet de zèbre
fruits de printemps-été
Parler parler
Mamie et nous, ils ne peuvent comprendre
Amie
Ma famille
La mienne
Je ne fais pas les choses auxquelles je crois pas
Parents
Plus triste pour ta mère que la mienne
Mamie sourire
Force
A tout vécu
Elle dormait pas
Cauchemar
occupé
La renvoyait dormir
Et quels cauchemars
Pleurer
Moi vous savez
Silence
Pleure
Fille touche dos
Amérique grosse, camp
Rencontre Gürs
Pas parler enterrement mon père
Elle ne savait pas pourquoi il pleurait
Pourquoi les ai-je quitté
J’ai tout appris
J’ai parlé
Écoute
Ma mère
Forte
Ma mère forte
Les disputes
Les répétions
Tu n’as pas la connaissance
Ma mère forte
Dans son portefeuille image fille
Elsi
Il a rejeté son nom pour mourir
Écouter du son les inviter
Rue Charlotte
Ils ont été aimé on ne sait pas
Les enfants réchauffes.
Voir seul chose peut faire
Regarder et ne pas intervenir
Ce n’est pas Berlin mais c’est la vague
Reflets de côtes sauvez-moi le corps pousse sous moi
Je dis coma ici
Nous ne sommes que poussières
J’ai les doigts pleins de tristesse
Il m’a offert le masque dans le rêve
Plus triste pour ta mère que pour la mienne
Pleure elle vous aimait
Tant
Vivre éternelle
Pour vous
Pour cous aimer
Miss Shoah
Dermato et pas gynécologue
T’as les cornes qui poussent
Moelle de chameau
Gai amoureux
Chien plié absente
Elsi
Mère drague père de Jonas
Camp
Amour San Francisco
Grossit
Histoire
Parle de ton père
Elle a failli me vomir et ne pouvais la pardonner
Eelle savait pas pourquoi ils vont pas bien
Assume
Déchirer sa chemise deuil
Parler parents
Joanna trio
Elle accouche à l’hier
Le deuxième est le pire
Souvenir Israël immeuble
Apprendre à aimer la seule vie
Mamie elle et nous rire
Blagues communes
0 notes
Faire un masque à la femme enceinte
Toucher.
Pour me sentir bien
Ne plus être pas parfait devant elle, imparfaite
Mais en même temps, lui reprocher l’imperfection, vers elle.
Pour être, elle est imparfaite
Pour que je la touche, elle doit être parfaite,
pour c’aimer comme ça, de cette façon, chercher un peu en elle
Que je l’approche.
Une perfection
Sans dire.
Ébène cubain Matador
Éclater
dans le bain je me tue, je tombe en chandelle
je me tue avec du plomb
je retourne à l’eau tombée, du silence immobile qui me conçut père
je suis né d’un viol et j’ai déchiré ma mère
sa peau comme des bulles faites éclater.
L’un s’oublie le genou replié, un autre éloigne ses draps
arbres à mosaïques, à faïences.
Arriver à Berlin en avance, me tromper d’arrêt
es-tu sûr de ne pas voler de valises ?
Elle comme un fantôme enregistre l’humanité
charrie une tristesse,
énigme prodige.
Je vois à demi-regret la couleur de la mort.
Absorber la couleur d’une demi-mort.
Rouge ma couleur perdue
Tu la retrouves
Retrouves ma dangereuse solitude, l’écorchée peau de toi
Dieu pas religieux, une drogue.
Prends temps d’embrasser
Souvenir cirque, rouleau, jongler en foulard maladie
Drapeau grenouille rouge
Je me vois dans ta pupille
Regarde mon œil
Ève symbole des yeux et peur
Mes souvenirs bougent, je ne me souviens des voyages.
Poisson demande baisers
Pas finir
Sexe odeur sèche
Occuper un enfant
Peur
Peuvent-ils
Bazooka
Un crocodile acheter
Regarde les yeux gens lisent
Pour cela écrire
pas mosaïque archives sans retouches
ici ne piquèrent les diamants sexuels.
Extinction de masse dinosaure
et juif
relation indienne aux animaux
piscine d’étoiles nuit reflet
préfère voir reflet sans peur
caresse liée écriture
tu as oublié tes anciens yeux dans mon lit
0 notes
En face des tatouages au mur peint à la main rouge, la nuit, de l’impasse magique, j’ai vu les symboles noirs, coulants, de la vie et de la mort.
Tu es si rouge, car tu ne peux saigner. Si j’ouvre ton coeur en deux qu’y trouverais-je ?
Arbres, sur eux de l’eau.
Je transforme toutes les femmes en homme, désolé.
Tu lui as demandé s’il aime ta jupe ? Je lui ai mise sur la tête comme un abat-jour, je l’ai fais se pencher sur sa tombe qui nuit.
Mes échographies parfaitement normales. L’intime désincarné.
Personne n’a dis que je n’avais pas le droit de me défendre, mais d’être attaqué.
Les expériences de pensée du combat sont fécondes. Petite violence.
Je me demande si elle est encore vivante. Sa langue dans mon oreille, entendre une sensation enfant.
Ces hommes et femmes disparus dans l’espace.
Tu adores me faire parler, que je parle. Rentre chez toi et fais-moi honte. Tu me fais honte de rentrer chez toi ainsi.
Mort lente
Rapide même quand lente
Une calle, une cave
Escalier dans le boire, dans le bois
Ce gryphon des camps qui vient y chercher l’or,
parlant aux bonnes soeurs.
Ce serait comme un autre thème d’étudier la griffure
Mouille ta main de salive puis attrape mon sexe
Il le traînait au dessus de l’eau jusqu’à ce que j’accouche
Trainer par une corde par un bateau sur l’eau et ricocher.
Égalité
Fuir vers l’égalité
L’homme que je n’ai pas su combattre
Que je n’ai pas su combattre
Il m’humilie me frôle ma jupe, parce que jupe
j’attends la remarque le regard au dos qu’ils s’en prennent à moi de moi
oh oui venez chercher.
Maison de gens aux sexes mutilés
Châtaigne et goélands
Elsi
Monte chambre
Redescend blessé, brillante un point de sang à un endroit différent
Cuillerée de peau. Faire un corps onctueux, une glace, trempée dans l’eau, râper comme un fromage la peau
L’une est ville
Poisson dans glace
Plonger corps mort eau
Je mange la nourriture décousue
L’abandon progressif des masques
Une adolescente en chaleurs crée un remède explosif
Ne pas pouvoir tomber
Bois sur toi
tripe
C’est un fermier de pommes
Adopté huit jours après sa naissance
Sans relation avec sa mère
Qui avait besoin de pommes
Envoie mon parfum de figue au canal
Il fait si chaud je saigne presque
0 notes
Ça parle des antilopes ?
Un canard est plus poétique que toi
Et tes couilles pleines de vent
Les cils restent ou tombent
Après-mort
Pas peau pas poil
Fleur et terre
Parlons entre personnes
par quoi est attiré un enfant ?
vous me demandez si j’aime les femmes, ne m’intéressent qu’aux femmes ?
Oui, elle sont différentes de moi, j’ai grandi entouré par leur alimentation
invulnérable, inoffensif, inconsolable
inoculé
préparé à se défendre, ronflement d’une protection, d’une armure assiégée
par fourmis volantes, souterraines
par des montagnes d’usines, je vous aime
et je vois le prince qui déroge
0 notes
Où notre bébé dort, il dormira également dans l'autre monde.
Durant la cinquième nuit du mois de mai, sa lumière diminua petit à petit jusqu’à ce que, quand la nuit arriva, il eût complètement disparu sans qu’aucune lueur ni sphère ne fût visible. Cela continua ainsi jusqu’à l’aube et alors il m’apparut plein et brillant, évacué.
Huit erreur de jugement, huit minutes d’égarement retombèrent, ressac purifié, le lundi d’après. La foudre avait muté. Elle créait d’autres hommes. Touchait au miroir. C’était interdit.
Lieu sans parole au miroir,
Renouvelle muselière
Et la main est blanche
Parmi les roseaux
Renouvelle la panse du tatouage ex æquo.
Agonie blanche blanche blanche
allumés de ruisseaux carnivores.
Toutes ces années
Malicieuses au programme,
Ces heurts nocturnes,
Ces coups de grâce.
Peines au fragment
Digital.
C’est comme cela,
Un œil qui ne voit pas bien
Cimetières-dés, dragon enneigés
J’aimerais que le sexe n’existe pas
Mais je l’ai vu au miroir
Contre moi lu.
Ma parole contre lui qui
tendit un piège, couché.
Nous partîmes en île nous affronter, nous convaincre de révéler la vérité.
Clochard après l’échec
Revient après eux années, sans nouvelles, sonne
Un homme ouvre et avait ouvert la soeur.
Avant de voir la morte
J’avais peur des ponts
Je chante je chante je chante
Tu
Chantes ?
Attributs visage ignorés, peau change, et si distendue, les ferai tomber.
Ouvre visage vers peau, faire croire désormais à la peau sans séquelles, sans verres.
Ils n’entendent pas.
Les larmes montent ne descendent pas
L’enjeu est sous les roches.
Trouver la mère.
Enfin laid
L’être enfin laid
Remerciant !
Soutenir le faux mensonge.
Invulnérable donc inoffensif
Seul l’offensé a raison de répondre.
Point aveugle la violence faite aux femmes
On me veut, je m’offre
Offre, mais la violence se fait souvenir, et régurgite le
Déplacement des corps.
Ma vie : m’a dit.
Pensées sont des masques pour contrôle.
Faire corps mien et tracer des traits identificateurs.
Œil malade
Cicatrice couteau
L’autre œil sain est rose et inscrit dans la chair
Si il tombe ramasse et désinfecte.
Enlever image ? Jugement beauté
Sexe avant et plus après. Dans le monde d’après de la connaissance, il n’y en aura plus.
Aucun appui repos
Prouver
Finir jugement
Offrir aux autres la pénétration élevée
Sans contenu.
Pas dis au revoir pas dis au revoir regrette
je l’anime encore
partout.
Père parle pas passe
Je vous montre
Pencher, m’épancher, se pencher vers l’allongé.
Accepter la victoire
Coup de fouet sur la tourbe
Regarder, ses morts. Labyrinthe.
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