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AMADÉO
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Certains hommes brillent. Lui, il brûle lentement.
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amadeoyselt · 21 days ago
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DAMIANO DAVID | Interview with Mythical Kitchen
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amadeoyselt · 22 days ago
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amadeoyselt · 22 days ago
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— Nizar Qabbani (via lunamonchtuna)
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amadeoyselt · 24 days ago
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♡ DOVE CAMERON via instagram ( dovecameron )
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amadeoyselt · 24 days ago
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amadeoyselt · 2 months ago
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Né un 12 novembre 1992, à Rome, entre les ombres du Trastevere et le silence d’un appartement trop grand pour un enfant seul. Il n’a jamais vraiment parlé de son enfance. Quelques phrases, lâchées parfois entre deux silences. Une mère absente. Un père peut-être pire que l’absence. Très vite, il a compris que les murs n’écoutaient pas, mais que la musique, elle, prenait tout.
Il a appris la guitare avec un vieux voisin sourd qui sentait le tabac froid et lui répétait toujours : “Tu joues pas pour eux. Tu joues pour rester debout.”
C’est resté. Amadéo n’a jamais cherché la scène. C’est elle qui l’a trouvé.
Aujourd’hui, il chante dans des lieux sans nom, où les gens viennent plus pour se perdre que pour se montrer. Pas de promo. Pas de pub. Juste sa voix, rauque, abîmée, vivante.
Ses textes parlent de ce qu’on ne dit pas : la honte, le manque, le feu qu’on garde en dedans, l’amour qui t’arrache au lieu de te sauver. Il ne regarde presque jamais le public. Mais il sait exactement quand quelqu’un le comprend.
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Il fait peur à certains. Pas parce qu’il est méchant. Parce qu’il est vrai.
Il parle avec les yeux. Ses silences sont plus lourds que des discours. Il peut être brut, tranchant, sec. Et puis, un soir, il cuisine des pâtes comme si ta vie en dépendait. Il te fait écouter un morceau inédit sans rien dire. Il te tend son carnet avec un regard un peu fuyant. Et là, tu comprends : il aime. Mais comme on tombe.. Sans prévenir, sans mesure.
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Il vit seul, au 4e étage d’un immeuble vieux comme le monde. Sur les murs, il y a des vinyles, quelques photos floues, et des phrases griffonnées qu’il n’assume pas.
Il ne sort jamais sans ses bagues. Il fume quand il est nerveux, et il déteste qu’on le regarde dormir. Trop vulnérable, qu’il dit.
Il ne promet rien.
Mais si tu tiens bon… il t’ouvre la porte. Pas en grand. Mais juste assez pour que tu comprennes que t’es pas face à n’importe qui. Que derrière le mystère, il y a un cœur immense. Sauvage, loyal, fragile. Un type qu’on ne dompte pas, mais qui, parfois, choisit de rester.
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