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Annie LEVY-MOZZICONACCI
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Bus MDM - Ma réaction.
Bus MDM. Ma réaction.
Comme souvent à Marseille, on crée une polémique sur un sujet qui pose problème, mais est bien mal posé!
Jusque-là je n’ai pas souhaité intervenir sur le dossier de la navette MDM qui fait couler beaucoup d’encre. Mais certaines vérités sont bonnes à dire et remettre dans le contexte cette situation me semble important.
En effet, Je souhaite apporter un éclairage d’élue municipale d’opposition, élue sur ce secteur à la fois comme conseillère municipale et également métropolitaine
En préambule, il est important de rappeler que la création de cette navette remonte aux années 2010, à la demande des habitants du quartier de la Madrague de Monredon devant des problèmes de circulation rencontrés par toutes les personnes qui souhaitent rejoindre les Goudes en période estivale, empêchant les habitants de ce quartier de pouvoir circuler aux heures de travail pendant cette période du mois de juin à aout : cette situation amenant souvent le Bus 19 a devoir s’arrêter à la pointe Rouge, obligeant les habitants de ce quartier à continuer à pied.
Nul ne peut nier les problèmes récurant de circulation dans ce quartier et qui est un vrai sujet de mobilité, sur lequel je n’ai de cesse de me prononcer depuis mon élection en 2014.
Dire aujourd’hui que cette navette n’était pas connue notamment de personnes qui ont fait la campagne municipale avec moi me semble surprenant, voir amusant. Je ne peux admettre cette omission ou alors leur implication n’était que superficielle même après presque 6 années de mandat.
En effet, dans le cadre de notre implication sur le secteur, en termes de mobilité, nous avions intégré la demande des habitants et l’existence de cette navette devant une situation inextricable mais avons toujours convenu que seules des solutions pérennes devaient être apportées dans ce quartier dans le cadre d’une réflexion plus globale.
Quant à la communication de cette navette, les bras m’en tombent quand je lis que la RTM n’en fait pas état sur ces documents ! Pourquoi une telle attitude ? En quoi cette ligne tient-elle du secret ?
Il faudra que la RTM s’explique de cette communication plus que surprenante renvoyant au CIQ de la Madrague de Montredon alors qu’ils sont les responsables de cette ligne. Ceci est inadmissible provenant d’un service public
Quant au CIQ de la madrague de Montredon qui avait en son temps milité pour sa création, rien d’étonnant qu’il rende public sur leur site ce trajet et les horaires. En consultant leur site, vous constaterez qu’il s’agit bien d’un document émanant de la RTM!
Il est intéressant aussi de noter que les élus siégeant au Conseil d’administration de la RTM n’ont pas trouvé depuis 2011, l’occasion de « dénoncer » cette « navette fantôme ».
Dans le programme que j’avais défendu lors de la campagne des municipales en 2014 en qualité de tête de liste sur le 4ème secteur, après un travail de proximité avec les habitants et la RTM, et en actant l’existence de cette navette, j’avais souhaité le développement dans le 6-8 de ce type de transport de proximité dans d’autres quartiers du 4ème secteur , en accord avec le programme de la liste socialiste dont je défendais les couleurs. C’est ainsi que j’avais proposé un bus reliant certains quartiers du haut du Boulevard Perrier à la Mairie Bagatelle. S’agissait-il là de clientélisme ? Qu’elle ne fut pas ma surprise de voir ma proposition reprise par le maire de secteur Y. Moraine et la RTM avec la création de la ligne 86, qui j’espère est, elle, sur le site de la RTM !
Elue du 6-8 à Marseille, en travaillant au quotidien avec mes concitoyens, j’ai appris que le 8eme arrondissement, le plus riche de la ville, comporte aussi des poches de pauvreté à ne pas sous-estimer et des habitants qui ont fort heureusement un besoin de transports en commun exacerbé notamment l’été, où , comme je l’ai souligné à différentes reprises, les accès sont encombrés par les apports touristiques dont je ne conteste pas l’utilité pour l’activité de la ville, en proposant des parkings de délestage avec navettes gratuites pour désengorger ce quartier.
Partout en France bourgeonnent des expérimentations nouvelles au plus près des préoccupations des habitants. Cet été, Paimpol, 7000 habitants, qui accueille le Festival de Chant de Marins qui draine plus de 160000 touristes sur une petite semaine, a su avec l’aide du département des Côtes d’Armor, créer une dizaine de parkings de délestages avec les navettes gratuites indispensables.
Paris, capitale de la France, vient d’investir plusieurs millions d’euros pour mettre en place des navettes a la demande pour investir des zones sensibles, périurbaines avec des réservations jusqu’à la dernière minute.
La navette MDM n’a-t-elle pas aussi cette fonction ? Ne devrait-elle pas être prise en modèle pour répondre à d’autres problématiques de proximité ?
Permettez-moi de ne pas rentrer dans une réaction politico-politicienne. Les difficultés des habitants de ce quartier en termes de circulation sont connues de tous. Il ne s’agit pas d’un problème d’un quartier mais un problème avant tout Métropolitain d’accessibilité aux calanques, aux plages, au littoral.
Au lieu d’un bus qui « évite » les plages, je demande qu’un vrai bus électrique des plages, soit ajouté qui ne desserviraient à partir du mois de juin que les arrêts des plages à tarif préférentiel, ce qui aurait l’avantage de fluidifier les abords de ces quartiers aussi bien pour les plagistes que pour les riverains qui utiliseraient les transports en commun habituels
Au lieu, de critiquer la municipalité sur son défaut de gouvernance, sur l’absence d’un schéma de mobilité, sur l’absence d’une politique de transports digne de ce nom, notamment dans les quartiers Nord de Marseille sur la non transparence de la RTM concernant cette ligne éphémère, on préfère stigmatiser une solution palliative obtenu de haute lutte par les habitants du quartier et augmenter dans les esprits la fracture Nord Sud, qui gangrène notre ville.
Je préfère pour ma part, en concertation avec nos concitoyens, les CIQ et les associations de défense de notre littoral Marseillais, continuer à travailler au quotidien pour nous donner les outils et les capacités d’innover pour Marseille et la Métropole au plus près des demandes des habitants.
Annie Levy-Mozziconacci Conseillère municipale et métropolitaine 4ème secteur, Marseille
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Refonder Marseille
Monsieur Gaudin de qui vous moquez-vous ? Le ton et les contre-vérités que vous avez utilisés tout au long de l’entretien que vous avez donné au journal Libération m’obligent à vous répondre pour les Marseillaises et Marseillais qui vous ont honoré de leurs votes et pour ceux qui vous ont refusé leurs suffrages.
Notre ville n’a que trop souffert, marquée au fer rouge du drame de la rue d’Aubagne le 5 novembre dernier. Au-delà de l’hyper-centre de la ville, le coeur de l’ensemble des Marseillais a été touché.
Vous promenez sur vos 24 années de mandat un regard distant, imprécis, un peu condescendant, mettant en avant telle ou telle réussite, incapable de nommer sincèrement un échec ou un regret, campant un personnage de tragi-comédie ayant peu de lien avec ce que l’on souhaiterait entendre du Maire de la deuxième ville de France.
Votre interview est à l’image de votre gestion, brumeuse, approximative sans ambition pour Marseille et truffée de contre-vérités. Pour quelqu'un qui se prétend homme de foi, qui répète à l'envie qu'il est « aspergé d’eau bénite », user de contre-vérités et de chimères nous semble clairement à l’encontre de vos croyances. Monsieur Gaudin n'oubliez pas que "le diable est le père du mensonge et que ceux qui mentent ont pour père le diable » (Évangile selon Saint Jean, chap. 8 ; verset 44 - 47 "). Il est fort à craindre que les morts de la rue d’Aubagne marquent le début d’une crise lourde de l’habitat en péril, insalubre et en tout cas indigne qui concerne près de 100 000
Marseillais. Il est à craindre que la crise soit structurelle et que la ville doive traiter le logement insalubre pendant une, voire plusieurs décennies. De ce défi, il faudra faire un atout susceptible de créer des emplois durables, susceptibles de réduire la précarité écologique et sociale. Pour y parvenir, Il faut regarder les choses en face, poser les diagnostics utiles et construire un plan de gestion et de sortie de crise en conséquence.
La municipalité se cantonne à des soins, au mieux, palliatifs.
Vos dénégations quant aux divers diagnostics élaborés par les services compétents de l’État, n’enlèvent rien à leur pertinence et ne sont qu’un moyen de refuser d’assumer vos responsabilités. Le « Marseille bashing » auquel vous faites référence n’existe pas, mais vous tendez ainsi le bâton pour vous faire battre ! Comment ne pas voir dans l’audit « indépendant » pour les écoles, que vous avez fait voter en conseil municipal, une manoeuvre dilatoire de plus, destinée à vous permettre de maintenir un couvercle brinquebalant sur une marmite douteuse jusqu’à la fin de votre mandat ?
La politique du logement menée depuis un quart de siècle, tout comme l’indigence de l’organisation des services municipaux en charge de cette question (cinq personnes pour une ville de plus de 800.000 habitants !), les budgets affectés – et pour certains non consommés ! – tout cela est de la responsabilité directe de la ville. Il suffit de comparer la structure de budget de Marseille et celui de Lyon ou de Lille. Il y a toujours plus de 1000 sinistrés non relogés. C’est une situation de crise qui va perdurer pendant plusieurs années et vis-à-vis de laquelle la municipalité est dans le déni.
Non, Monsieur Le Maire, les choses ne se passent pas de cette façon dans les autres grandes villes de France qu’elles soient de gauche ou de droite. Faire croire le contraire, c'est se moquer des Marseillais. Il appartiendra bien sûr à la justice de trancher sur les responsabilités des uns et des autres, mais comment passer sous silence la situation de plusieurs élus propriétaires loueurs de logements indignes ? Ainsi l’adjoint au patrimoine; comment peut-il encore faire partie de l’équipe municipale ? Lui qui écrit sur papier à en-tête de la Mairie pour réclamer des loyers impayés pour un logement reconnu insalubre par les propres services d’hygiène de la Mairie de Marseille ? Par décence et respect pour les sinistrés, M Gaudin aurait dû demander à son adjoint de démissionner; ce n’est toujours pas le cas à ce jour.
Au-delà de la loi, il en allait de l’éthique personnelle et politique.
Quant à expliquer que les logements insalubres sont dus à l’ancienneté de la ville, ce serait risible si la situation n’était pas si dramatique. La municipalité ne fait aucun cas de la préservation de notre patrimoine. Le site archéologique de la Corderie, le non classement des quelques bastides encore debout témoins de l’architecture de notre ville en sont autant d’exemples. On n’entretient pas, on détruit et l’on préfère projeter de payer des douches pour le Cercle des Nageurs ou de ravaler les façades de la rue de Rome que de permettre à des familles de vivre dans des logements décents ou à des enfants de fréquenter des écoles dignes de ce nom.
Et il faut ajouter que le Maire ne tient pas compte de quartiers plus récents, notamment les quartiers nord au sein desquels l’habitat insalubre est également monnaie courante. Mais cette partie de la ville et ses habitants ne sauraient être évoqués dans les propos du Maire puisqu’ils sont systématiquement et volontairement absents de ses préoccupations. Pourtant c’est là que se concentrent le chômage, où il a moins diminué que dans le reste de Marseille, les mi-temps subis, les familles monoparentales inscrites de façon durable dans la très grande pauvreté. Quant aux parents d’élèves, aux associations et à l’action des différents collectifs qu’il faut saluer pour leur implication et le travail indispensable qu’ils accomplissent, M Gaudin les balaient d’un « Les collectifs ne sont pas élus du peuple ! », illustration d’une conception de la politique d’un autre âge, où l’on confond le mandat et l’action.
D’ailleurs Monsieur le Maire a soin de choisir les citoyens qu’il entend consulter c’est à dire quelques CIQ (Comités D’Intérêts de Quartier). Pour les collectifs, selon les propres écrits du Maire : qu’ils « gagnent les élections et après, ils décideront eux-mêmes ». A Marseille, la possibilité de pouvoir échanger avec des citoyens, de reconnaître qu’ils peuvent être acteurs d’une solution co-construite n’est toujours pas arrivée jusqu’à l’hôtel de ville. Quel mépris pour les administrés et les citoyens responsables de notre cité qui n'envisagent pas nécessairement d'occuper des mandats pour oeuvrer utilement au développement de la ville !
Au-delà des dysfonctionnements mis en lumière par la catastrophe de la rue d’Aubagne et l’apathie de l’équipe municipale qui a conduit le Gouvernement à reprendre la gestion de la crise en direct, il faut également parler des questions de santé environnementale (car Marseille est la ville la plus polluée de France), l’absence de vision urbanistique, le secteur culturel laissé en déshérence, comme la jeunesse de nos quartiers ou bien encore le niveau extravagant des impôts locaux. Aucune réflexion n’est menée autour d’une économie en voie de convalescence.
Comment l’accompagner, la rendre durable ? Comment en faire profiter la majorité de Marseillais ?
Pas un , dans ce long entretien, sur le sous-dimensionnement de la ville en équipement de piscines -et plus largement sur le manque scandaleux d'équipements sportifs nécessaires-, en transport en commun (aujourd’hui compétence métropolitaine), ni sur les sous-effectifs dans les écoles en personnels ATSEM ou sur le dysfonctionnement chronique des bibliothèques municipales pour ne parler que de quelques-uns des problèmes récurrents que subissent quotidiennement les Marseillais. Et là encore, la fracture géographique est à l’oeuvre, accentuée par la gestion désastreuse de la majorité municipale. Marseille sera plus forte si l’on cesse d’opposer quartiers nord et sud, plus prospères, si les infrastructures indispensables sont mises en oeuvre. Faut-il rappeler à M Gaudin que si nous sommes la deuxième ville de France, nous sommes la première pour la pollution, sur le podium des villes les plus endettées et que nous occupons bien d’autres premières places auxquelles nous renoncerions volontiers.
En cette année de préparation des élections municipales, la priorité est de nous construire un destin commun c’est à dire de penser et d’articuler un projet, une vision pour le futur de notre ville, tout en sachant reconnaître et respecter nos engagements et nos valeurs républicaines, enrichis de compétences et énergies multiples. C’est ainsi que nous construirons une démocratie de proximité, proche des réalités quotidiennes des Marseillaises et des Marseillais. Pour y parvenir, en pleine connaissance du bilan de M. Gaudin, Marseille, pour se redresser, devra aussi se passer de ses héritiers complices et comptables du passif du premier édile, ... élus aux "affaires" depuis si longtemps et qui ont fait tant de mal à la ville.
Il y a fort à parier que beaucoup d'entre eux seront bientôt frappés "d'amnésie" quant à leur participation à la vie politique sous JC Gaudin et actuellement à des postes clés de Marseille et de sa Métropole .
Certains n'hésiteront sans doute pas à dire le plus grand mal de Jean Claude Gaudin, pour se démarquer le plus possible de lui et tenter de s'acheter une forme de "virginité politique". Pour reconstruire une ville plus solidaire, plus juste, nous allons devoir fabriquer un pacte républicain et municipal utile et respectueux de tous les marseillais.
Nous devrons en réalité avec tous les marseillais qui le souhaitent "Refonder Marseille". C'est l'ambition qui doit aujourd'hui être la nôtre, c'est cette urgence qui doit guider notre action. Marseillaises, Marseillais, il nous faut tourner la page cette gestion municipale funeste qui s'achève pour recréer le lien perdu avec Marseille, son passé et son histoire bafoués.
Marseille, mérite mieux. Marseillaises, Marseillais, "Ensemble, Refondons Marseille".
Annie LEVY-MOZZICONACCI Médecin Hospitalo-Universitaire Conseillere Municipale et Métropolitaine Chevalier de la Légion d’Honneur
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Café citoyen - ensemble - construisons la ville de demain
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Le 11 Juin 2017, pour une Majorité Présidentielle, Rassemblons-nous !
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Retrouvez mes propositions dans le cadre des Élections Législatives 2017 en cliquant sur le lien ci-dessous : https://drive.google.com/open?id=0B1-mRrJHx2j4ZGlJajlnUnZGT3M
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Retrouvez mes propositions pour l'éducation dans le cadre des élections législatives 2017.
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Rencontre Citoyenne "Urbanisme, outil de développement de la Ville ou contrainte ?". Samedi 3 Juin 2017, Maison de la Mer, 13008 Marseille.
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Édition du journal "La Provence" du 31 Mai 2017. Débat organisé par l'Ordre des Experts Comptables pour parler et débattre des problématiques des TPE/PME, du RSI ou encore du Code du Travail.
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Mes propositions pour la santé dans le cadre des élections législatives 2017.
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Dimanche 7 mai 2017, le seul vote responsable Emmanuel MACRON !
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Article paru dans le journal "La Provence" - Édition du Mardi 25 Avril 2017
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Ma lettre aux militants socialistes de Marseille 8ème arrondissement
Mes chers amis,
Le résultat du 1er tour de l'élection présidentielle amène de nombreuses réflexions : certaines souffrances sont bien sûr présentes, quand nous voyons le score élevé de Marine Le Pen et sa présence au second tour des élections et l'état de notre parti si on résume celui-ci au score de Benoit Hamon. Mais ne soyons pas dupes, il n'y a pas seulement 6% de socialistes en France ! Ce score est la résultante de nombreux problèmes qui n'ont fait que s'accumuler avec le temps … Est venu sans doute le temps de la reconstruction du chantier que représente le PS … Loin des apparatchiks et avec les citoyens … Mais ce premier tour amène aussi quelques raisons de se réjouir, par exemple le fait d'avoir éliminé Francois Fillon et son association “sens commun”, le symbole d'une droite conservatrice qui ne représente pas la France que nous souhaitons. Ce soir également, le score d'Emmanuel Macron permet de penser qu'une autre forme de politique est possible, plus citoyenne, plus ouverte sur la société civile. Vous savez que je partage cette vision de la politique que j'ai toujours essayé de faire vivre depuis le premier jour de mon engagement en politique. Ce soir nous vivons cette mutation et même si nous n'adhérons pas à tout le programme de Emmanuel Macron sans doute, même si certains craignent une politique plus libérale que ce qu’ils souhaitent, nous avons tous la nécessité dès demain d'être dans la rue pour soutenir En Marche afin de faire barrage au Front National. C'est pour cela que je vous propose d'unir nos forces avec les militants d'En Marche pour que dès le début de la semaine nous soyons en ordre de marche (sans jeux de mots) pour tracter, persuader les citoyens que Emmanuel Macron doit être élu avec un score sans ambiguïté, preuve que la France est toujours la France. Nous tiendrons les bureaux de vote et je vous demande donc dès maintenant de nous donner vos disponibilités pour le 7 mai. Grâce à cette cohésion, cette confiance collective, nous pourrons imaginer battre le FN, puis envisager les législatives sur la 2ème circonscription des Bouches-du-Rhône avec une réelle possibilité de gagner cette élection si nous faisons preuve de cohérence et d'intelligence collective. Je sais pouvoir compter sur vous, je sais que mon camarade Jonathan Moretti, Secrétaire de section du 7ème est dans la même dynamique que la mienne et qu'ensemble nous allons montrer que cette circonscription peut être un vrai laboratoire politique où il est possible de rassembler les progressistes sur un projet cohérent d'éthique, de justice sociale et de progrès.
Amitiés, Annie Levy-Mozziconacci.
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Je suis très heureuse de vous faire découvrir la vidéo qui accompagnera ma candidature aux Élections Législatives 2017 sur la 2ème circonscription des Bouches du Rhône - 7ème et 8ème arrondissements. Merci de la partager autour de vous !
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Je partage avec vous la tribune que j'ai écrite et qui a été publiée dans le journal Libération, édition du Samedi 22 avril 2017. J'ai souhaité donner mon avis sur les questions de Bioéthique qui seront déterminantes pour le prochain quinquennat et les raisons pour lesquelles il ne faut en aucun cas avoir comme président F. Fillon et M. Le Pen si nous voulons affronter ces questions essentielles.
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Ma réflexion, à quelques jours du 1er tour de l'élection présidentielle...
Marseille, le 17 Avril 2017
En 2014, en qualité de citoyenne je me suis engagée en politique et j'ai mené mon 1er combat comme tête de liste dans le 4ème secteur de Marseille contre Jean Claude Gaudin. Bien que " novice en politique " c'est à une trentaine de voix près que j'aurai pu mettre l'actuel maire en ballotage et lui imposer un 2ème tour sur son secteur.... Au sortir de cette campagne, j'ai compris que la politique ne pouvait plus s'exercer de la même façon, si nous voulions être en accord non seulement avec l'attente des citoyens mais aussi avec les nouvelles formes de l’action citoyenne. Car, la participation citoyenne à l'action politique ne peut plus être exercée uniquement par l'action de voter tous les 5 ans. En effet, pétitions en ligne, manifestations innovantes, lanceurs d’alerte, actions citoyennes, peuvent empêcher tel projet immobilier injustifié, dénoncer et influencer les législations relatives aux pollutions, faire connaître le mauvais emploi de l’argent public, se mobiliser contre l’état inadmissible des écoles de la République en forçant la mise en route de programmes d’urgence. Ces mouvements citoyens sont une expression politique à valoriser car elle va dans le sens du bien commun mais nécessitent pour être suivie de fait doivent être accompagnées. Élus et non élus doivent travailler ensemble !
J'ai très rapidement imaginé un nouvel espace politique participatif réunissant des citoyens, élus et non élus, engagés dans leur cité et j'ai créé l'association i2m : Innovons pour Marseille Métropole.
Voici un extrait du texte fondateur écrit lors de la création de notre association. Mais je vous invite aussi à faire un tour sur notre site www.innovonspourmarseille.fr :
« Rassemblons-nous ! Les Républicains doivent se ressaisir, s’ils veulent préserver, à Marseille et dans le Sud en général, les valeurs de la démocratie et de l’état de droit. Nous devons sortir de cette impasse et inverser très rapidement cette tendance en proposant une nouvelle manière de concevoir et de faire de la politique, plus intègre, efficace et innovante tournée vers les citoyens et non les appareils, en faisant émerger de nouveaux talents, une nouvelle génération issue de la société civile, du monde associatif et militant. Quelle que soit notre appartenance, nous sommes nombreux à souhaiter que les pratiques et les personnels politiques changent à Marseille pour une gouvernance de notre ville et de notre métropole plus démocratique et transparente. Seul le rassemblement permettra d’engager un changement de cap. Mais rassemblons les femmes et des hommes avant de rassembler les partis politiques ! Rassemblons ce qui fait notre socle commun, non pas le plus petit dénominateur dans un jeu de partage des pouvoirs mais sur une base de mise en commun des richesses de chacun. Dans un contexte de crise, guidés par des valeurs républicaines et une éthique commune, nous voulons porter ensemble les projets qui permettront à notre territoire de retrouver enfin son développement. Nous vous proposons de le faire autour de la Métropole, pilier institutionnel d’une attractivité économique et d’une transformation des pratiques politiques. Nous vous proposons de le faire autour des valeurs de la démocratie, de la transparence, de la probité, de la non-appropriation privée de l’argent public, valeurs qui, pour beaucoup d’électeurs, ont été abandonnées par les caciques de la politique dans le département. Nous vous proposons de le faire avec les entreprises, les professionnels et toutes les forces vives de la société civile. C’est ce que nous voulons mettre en œuvre dans le cadre de notre association “innovons pour Marseille Métropole “, i2m. Nous vous proposons de nous rejoindre pour changer Marseille, au sein de l’association i2m “Innovons pour Marseille Métropole”».
Aujourd'hui à quelques jours de l'élection présidentielle, à la lecture de ce texte fondateur, je vois à quel point nous avions vu juste, à l’échelle de Marseille et de sa Métropole. En 3 ans nous avons multiplié rencontres, débats, échanges, consultations dans le but de construire du "commun", nécessité absolue pour proposer un projet d'avenir.
Vous comprendrez que, tout en ne transigeant sur aucune de mes valeurs de Gauche, ma liberté politique est l'essence même de mon engagement. Vous comprendrez que mes convictions inébranlables ne trouvent leur application sur le terrain que portées par une démarche participative, autour d'une politique de co-construction.
Quand je regarde la composition des membres fondateurs de notre association i2m, je vois que l'un d'eux est actuellement affilié au Modem, un autre est aujourd'hui un membre actif du mouvement "En Marche", il s'agit de mon suppléant aux législatives, d'autres sont issues de la société civile et je suis moi-même élue-citoyenne socialiste... Nous construisons ensemble. Nous nous respectons. Nous avons un intérêt commun : casser le moule de ces pratiques politiques, politiciennes et clientélistes, en respectant ce qui nous est commun : la justice sociale, le développement humain et économique durable et équitable, la création d'emploi.
Quand je regarde les personnes venues en invitées ou en amies à I2m, je retrouve des élus ou anciens élus de EELV, de Génération Écologie, les membres fondateurs de l'UDE et des soutiens d'Alain Juppé aux primaires LR, des citoyens en demande d'un espace ouvert de construction.
Quand je regarde les combats que je mène sur mon secteur en qualité d'élue municipale et métropolitaine, je sais que c'est très souvent avec le Front de Gauche que je les mène.
Alors, n’est-il pas urgent de rassembler des hommes et des femmes de convictions et de responsabilités avant de rassembler des partis politiques ?
N’est-il pas urgent d'arriver à mobiliser des personnalités compétentes, engagées, pétries de probité, pour notre pays, au lieu de nous réfugier dans des extrêmes qui ne pourront en aucun cas affronter les enjeux qui nous attendent ?
J'aurai aimé que Benoit Hamon puisse porter ce projet pour la France. Malheureusement, nous sommes à quelques jours du 1er tour de l'élection présidentielle et je suis contrainte de voir qu'il n'a pas pu le faire .
Même si je ne partage sans doute pas tout avec Emmanuel Macron, j'apprécie sa méthode qui consiste à consulter la population et les experts avant de poser un diagnostic, j'approuve le volet social de son programme et sa perspective économique volontaire. Je vois dans son programme santé-environnement les bases d'une politique incitative dont la France a besoin. En revanche, je suis plus sceptique quant à la suppression de l'ISF sur les capitaux. Enfin, j'adhère totalement à sa volonté d'éthique en politique dont je fais le moteur de mon engagement politique depuis le 1er jour et de ma candidature aux élections législatives dans la 2ème circonscription des Bouches du Rhône.
Je me permets de penser qu’avec i2m nous avions mis en place modestement, dès 2014, un laboratoire politique proche de cette vision qui, j'en suis sûre, sera le socle politique de la construction de la politique de demain pour notre pays comme pour Marseille et notre Métropole.
Pour mon pays, je souhaite défendre ce projet de co-construction dès le 1er tour de l'élection présidentielle en donnant toute sa force à un espace politique nouveau, loin de la droite conservatrice de M. Fillon et de l'extrême droite de Mme Le Pen.
Ce projet c'est une politique basée sur un contrat de gouvernance entre des femmes et des hommes qui ont décidé de travailler ensemble dans un objectif commun et selon une méthodologie innovante.
Donnons-nous la chance de croire que la politique peut s'exercer autrement avec l'ensemble des citoyens et dans le rassemblement des intelligences collectives.
Donnons-nous la chance, ainsi, de construire à l'Assemblée Nationale une majorité présidentielle portant des valeurs de probité, de rassemblement sur un projet partagé et ambitieux, en intégrant également des citoyens, où seul l'intérêt collectif prime, en proposant, non pas des compromis qui enlèvent tout sens à l'engagement politique, mais de la cohérence.
Médecin généticienne, issue de la société civile, ayant choisi de m'engager en politique et candidate aux élections législatives dans la 2ème circonscription des Bouches-du-Rhône, je porterai ce projet en lien étroit avec les citoyens et l'ensemble des progressistes avec qui j'ai plaisir à travailler et avec qui je suis sûre, nous saurons faire vivre notre laboratoire politique. Pour cela, je souhaite qu'au soir du 1er tour de l'élection présidentielle nous soyons débarrassé de Mme Le Pen et de M. Fillon dont la proximité idéologique se vérifie un peu plus tous les jours et que nous puissions réaliser ce projet de co-construction pour notre pays, comme nous l'avons souhaité pour Marseille et sa Métropole un soir de Printemps 2014 sur ma terrasse, en créant i2m.
C'est cela qui doit guider notre choix dès le 1er tour de l'élection présidentielle. Viendra ensuite le temps de la reconstruction des organes politiques.
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Les méandres syriens de Monsieur François Fillon
Un « pragmatisme » à géométrie variable mais invariablement démenti par les faits.
Monsieur François Fillon depuis qu’il a été élu candidat de la droite a toujours revendiqué la même solution pour l’atroce conflit en Syrie, une solution soi-disant pragmatique. Prêt à renouer avec Monsieur Bachar al-Assad, à rouvrir une représentation diplomatique à Damas, le candidat des Républicains revendique une rupture avec la ligne suivie par la France depuis Monsieur Alain Juppé jusqu’à Monsieur Jean-Marc Ayrault pour promouvoir une troisième voie sans Monsieur Bachar al-Assad ni l’état islamique. En privilégiant la lutte contre l’État islamique Monsieur Fillon s’aligne sans critiques sur les positions de la Russie soutien et patron de la dictature des Assad, tout en reconnaissant paradoxalement que Monsieur Assad je cite « est un dictateur, c’est un manipulateur » dans ces interviews dans Le Temps de Genève, sur BFMTV et RMC.
Pourtant c’est la version de ce « manipulateur » que Monsieur Fillon reprend dernièrement sur France Inter quand on l’interroge sur l’attaque du 4 avril au gaz sarin de la population civile de Khan Cheikhoun au nord-ouest de la Syrie, et c’est toujours la « discussion » avec Monsieur Assad et la Russie qu’il privilégie sur France Inter.
- Discuter alors que 50% de la population syrienne est en exil ou déplacé, que le nombre des morts se monte à près de 500 000, que la France a du accueillir déjà 10 000 réfugiés syriens ? - Continuer à discuter alors que dans les négociations menées pendant 5 ans par les instances internationales la Russie et Monsieur Bachar al-Assad n’ont jamais changé de position et ont toujours refusé les solutions négociées avec les rebelles ? - Discuter avec les Russes alors que selon les enquêtes indépendantes (Institute for the Study of War) les bombardements russes comme ceux sur Alep, ciblent rarement les positions d’ISIS mais souvent celles des rebelles au régime de terreur de Monsieur Assad ? - Discuter encore, alors que malgré les promesses, les armes chimiques sont encore utilisées par le régime contre la population civile au mépris de toutes les conventions internationales du droit de la guerre ? - Discuter sur une lutte commune contre ISIS/Daesh avec Monsieur Bachar al-Assad alors que le recours aux armes chimiques montre bien que le régime n’a plus la capacité militaire de contrer Daesh au sol ? - Discuter encore maintenant alors que les USA viennent de reprendre une politique offensive de rétorsion et de lancer contre l’armée de Monsieur Assad des missiles Tomahawks sous le coup des dernières horreurs de cette guerre de 5 ans?
Bien sûr il faut discuter. La diplomatie consiste aussi à discuter avec ses ennemis. Mais le pragmatisme consiste aussi à comprendre quand les discussions deviennent inutiles et sont instrumentalisés par des dictateurs « manipulateurs » selon les propres termes de Monsieur François Fillon.
Monsieur Fillon d’ailleurs a la mémoire courte. Il n’a pas toujours été partisan de ces « discussions » avec les dictatures étrangères. Après avoir accueilli en grandes pompes Monsieur Mouammar Kadhafi à Paris, l’attaque unilatérale de la Libye de Monsieur Mouammar Kadhafi par le gouvernement Sarkozy-Fillon, décidée sans consultation européenne et réussie uniquement à cause de l’aide logistique américaine, n’a eu que deux conséquences certaines, le chaos politique en Libye et l’augmentation des réfugiés en Méditerranée.
Une telle politique étrangère à la géométrie variable, sans cohérences, sans vision, et toujours en retard d’un coup, une telle politique n’est pas digne de la France, de son histoire. Un tel « pragmatisme » est seulement voué à l’échec.
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