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Plouf 💧
(dates multiples)
Il fait chaud, genre vraiment très chaud, dimanche dernier on a atteint 42° 🙅♀️ Heureusement Berlin a des lacs! Ici le Schlachtensee (oh langue allemande toi qui est si belle), où je suis allée déjà quelques fois.
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Freikuftkino 📽️
7.6.19
J’ai été à un ciné en plein-air au parc Friedrichshain, c’était soirée court métrage. Vraiment trop couuuul! Il y en a un qui m’a beaucoup touché, pas tant pour le documentaire en lui-même, mais pour le skype qui a suivi la projection avec le réalisateur. Il a filmé des jeunes garçons migrants à la frontière entre l’Espagne et le Maroc, et pendant le skype il y avait un de ces garçons avec le réalisateur qui a raconté son histoire et qu’il était maintenant en Espagne et qu’il allait avoir des papiers et un diplôme scolaire. C’était vraiment touchant, ça m’a rappelé quand je travaillais ave Caritas à Bamberg...
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3-2-1 Musique !
8.6.19
Concert à la Konzerthaus de Berlin - Beethoven et Mahler au programme. Mis à part que les musiciens étaient incroyables et que la première symphonie de Mahler me poursuit encore, le concert était en lui-même juste dingue car la salle est super belle et elle apporte à la musique cette petite touche d’ancien car la salle n’a pas toutes les technologies d’une Philharmonie d’aujourd’hui.
21.6.19
C’est la Fête de la Musique! Concept importé de France, mais résultat moyennement satisfaisant, les Germains n’ont pas bien compris le principe de musique “de rue”, mais en cherchant un peu, on trouve des musiciens cachés quand même.
Sur la photo, c’est une initiative européenne, à 20h dans différents pays de l’UE, l’Hymne européen a été chanté, ainsi que deux autres chansons différentes selon les pays. C’était vraiment intéressant de voir qu’il y a a toujours de la bonne volonté européenne même si le chant était bancal, il y avait beaucoup de monde d’âges et nationalités différents. Et puis le chant de musique pop allemande était bien moins bancal, tiens tiens...
28.6.19
Concert cette fois à la Berliner Philarmonie. Et bien vous savez quoi, je vais tenir un discours “Der guten alten Zeit”, parce que l’architecture du bâtiment était incompréhensible et m’a foutu la nausée. Et puis même si les musiciens étaient très bons, le son était si techniques que ça sonnait plus live mais enregistré. Naja, die guten alten Zeiten.
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Lumières du soir sur Berlin
(dates multiples)
Berlin c’est pas très beau, je crois l’avoir déjà mentionné. Mais dans la lumière du soir, et surtout dans la lumière apocalyptique qu’on a eu début du mois de juin en raison d’orages successifs, la ville devient bien plus jolie.
Depuis le Warschauer-Strasse-Brücke, juste à côté de la RAW-Gelände où je vais travailler l’année prochaine en tant que volontaire au Zirkus Zack 😄
Rotes Rathaus am Alexanderplatz
Dorotheenstrasse, une des rues du campus universitaire sud
Berliner Dom
Station Gleisdreieck
Station S Bahn Springpfuhl
Roederplatz
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Photo
Oh que j’ai ri
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Tour à 🚲en DDR 🏢
1.6.19
Du Plattenbau en veux-tu en voilà! Je suis partie à la découverte de mon “quartier” à vélo, histoire de voir ce qu’il y a entre les stations de tram que j’ai l’habitude de voir défiler.
Je suis très surprise, mais les monuments pour les communistes sont intacts.
Désolé Mamie, je ne sais pas le nom des rues ni des églises!
Ah si celle-là je connais son nom et pour cause c’est la Karl-Marx-Allee qui se jette dans la Frankfurter-Allee.
Toute l’avenue est dans ce style, cela devait être une avenue-vitrine de la beauté des capacités de la DDR.
Ce bâtiment est dans Joseph-Orlopp-Strasse, juste à côté de chez moi.
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Bamberg (une dernière fois)
24.5.19 - 26.5.19
Sixième et dernier séminaire HISTRABA. Et quel séminaire... Trois jours pour dire au revoir au programme et à la ville, se promettre de se revoir quand on sera tous partis dans des directions différentes après la licence. On a beaucoup ri, et certainement pas pleuré, car il faut dire ce qui est, HISTRABA ne nous manquera pas, c’est une page qui se tourne avec tous les beaux et moins beaux aspects (l’administratif et les attentes de réponse aux e-mails). Et puis, on ne pleurera pas, parce que c’était une belle expérience qui va tout droit dans les lanterne accrochée dans nos dos.
Alors une dernière fois, au revoir Bamberg, au revoir HISTRABA.
Attend une minute... mais... en fait ça ne s’arrêtera pas là! Surprise! Je vais organiser les derniers séminaires de janvier et mai prochains avec Wirby! Mais bon ils seront à Strasbourg, donc au revoir Bamberg quand même, mais HISTR’à Bientôt!
Et bonne fête Maman ! ❤️
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Theodor Fontane - Soirée littéraire internationale 📖
28.5.19 et 25.6.19
Ah le théâtre... Cette activité si drôle et si connectatrice ! Une fois encore, me voilà embarquée par la fièvre des planches dans un projet international. Cette fois-ci, thème imposé: c’est le 200ème anniversaire de la naissance de Theodor Fontane, un auteur allemand très connu et encore plus connu à Berlin, où il a vécu et à propos de qui il a écrit en long en large et en travers.
4 Étudiantes, 3 Nationalités 🇩🇪 🇨🇭 🇫🇷
Nous avons organisé deux soirées littéraires mélangeant théâtre, lecture, musique, ou encore peinture. En lisant et réécrivant des textes de Fontane, nous avons surtout ri, car c’est qu’il avait de l’humour l’écrivain! Et comme le public a lui aussi ri, je crois que nous avons réussi à transmettre son ironie critique.
Comme toujours, toutes les bonnes choses ont une fin et me laisse sur la faim de loup de recommencer année après année o:)
Mon poème préféré de la première soirée littéraire:
Berliner Landpartie
Ein Vergnügen eig`ner Art ist doch eine Wasserfahrt, und ein Vergnügen (frage nicht wie) ist eine Berliner Landpartie. Vorortszug mit einem Bremser, Droschke, Dampfschiff oder Kremser, Fahnen, rote, blaue, gelbe, das Vergnügen ist dasselbe, welches Bild schon unterweges, welche Fülle gold`nen Seges, gold`ner Sand in weitem Kreise, Bahndamm, Schienen und Geleise, Pfiff, Geklingel, Klapptrompete, lange, lange Spargelbeete, nicht mehr Köpfe, nicht mehr Sprossen, längst in Samen aufgeschossen, Staub und Qualm und Hochstrom ah, ah nun kommt`s, nun sind wir da.
Lange Reihen Tische, Tische,
neu gestrichen, welche Frische,
freilich etwas terpentinen, aber dafür welche Mienen, alles atmet tiefen Frieden, und zu stören diesen Frieden ist dem Platz hier heut beschieden. Kaffee! Kellner, drei Portionen, o wie lieblich, hier zu wohnen, o wie weht die Luft hier freier, und der Teich da und der Weiher und das liebe Schwanenhaus, Enten fahren ein und aus, still die Kegelkugeln liegen, dicht sich aneinander schmiegen, und das Sandfeld, daß sich`s verjüngt, eben wird es stark gedüngt, und der Luftzug drüber, drüber trägt die Luft zu uns herüber.
Und nun kommt der Kellner Töffel, dicke Tassen, Nickel-Löffel, einige dünn und vorwurfsfrei, andre noch mit etwas Ei. Drei Stück Zucker pro Person, und der Deckel klappert schon. Mokka, Java sind Nationen, die weit auf dem Monde wohnen, Mutter, rechnet, die zu sparen liebt, ob es was zu retten gibt. Laura möchte Wasserfahren doch mit aufgelösten Haaren, Hedwig mit den dünnen Ärmen, Hedwig möchte im Walde schwärmen, Hugo will den Wald genießen, Hermann nach der Scheibe schießen, Mutters Lippe zieht sich schief, ach, sie kennt den Schlußtarif, Vater hat ein Herz genommen, läßt sich einen Cognac kommen,
Vater winkt den Kellner her, zahlt ihm 15 Pfennig mehr, ein`Moment, wo Mutter nicht aufgepaßt, hat er glücklich erpasst. Unter Gähnen, Mückenmorden ist es endlich sieben geworden, Mutter macht sich schon bereit, Mann, ich denk, es ist nu Zeit, möchte gern noch länger bleiben, doch man muß nicht übertreiben, wenn am höchsten der Genuß, allemal man schließen muß, darin bin ich großgezogen und es hat mich nie betrogen. Alle haben Rückfahrtskarten, alle müssen deshalb warten, 9 Uhr geht der nächste Zug, 9 Uhr ist auch früh genug, 9 1/2 da landen sie, – war Berliner Landpartie.
Theodor Fontane
Mon poème préféré de la deuxième soirée littéraire :
Ein Ball in Paris (1851)
Paris hat Ball: hin durch der Gassen Enge Braust rasselnd der Karossen bunte Menge, Die Quai’s entlang, entlang die Tuillerien, Ein rastlos Jagen und Vorüberfliehn. Halloh, die Peitsche knallt, die Rosse dampfen, Schon dröhnt „La Grêve“ von ihrer Hufe Stampfen, Und jetzt ein kurzes „Halt!“ — hell glänzt das Ziel, Der prächtge Ballsaal des Hôtel de Ville.
Rings Fackelglanz; die Nacht ist lichter Tag, Betresste Diener springen an den Schlag, Leis knistert auf der steingehaunen Treppe Der Atlasschuh, es rauscht die Seidenschleppe, Der Mantel fällt, und jetzt in luftgem Shawl, Selbst luftig, schwebt die Schönheit in den Saal.
Drin wogt es schon; auf Klängen der Musik Wiegt sich der Glanz der neuen Republik: Die Abenteurer und die Schleppenträger, Die Vettern all und all die Stellenjäger (Auf deren Brust das Kreuz der Ehre blitzt, Weil nichts von Ehre drin im Herzen sitzt) All sind sie da, und leichter schwebt ihr Fuß, Trifft sie des Kaiserneffen flüchtger Gruß.
Der Kaiserneffe aber, klanglos hin Zieht heut der Töne Macht an seinem Sinn, Sein Aug' ist todt rings für den Blumenflor,
Nach einem Punkt nur blinzelt Er empor, Von wo herab im Purpur, goldgestickt, Des Kaisers Bild auf ihn herniederblickt.
Das Kaiserbild! traun in das Festgebraus Aus seinem goldnen Rahmen tritt's heraus, Ein tiefer Ernst umschattet sein Gesicht, Der Kronendurstge aber sieht es nicht, Er sieht nur wie der Goldreif blinkt und blitzt, Der auf der Stirne des Allmächtgen sitzt, Er sieht das Scepter nur der halben Welt, Das Jener spielend fast in Händen hält, Und zitternd nach des Glückes gleicher Huld, Ruft er sich selber zu: "Geduld, Geduld!"
So aber denken nicht die schlanken Schönen, Die leicht hin schweben auf den leichten Tönen, Mit Blüthen sind die Blühenden geschmückt, Wie wenn man Rosen noch auf Rosen drückt,
Und schier als wär' die Gabe zu genießen Selbst nur ein stundenkurzes Blüthensprießen, So jagt man hin, voll fieberhafter Hast, In ewger Furcht, die Stunde sei verpasst.
Ich tanze nicht; -- im Durst nach Luft und Frische Tret' ich seitab in eines Fensters Nische, Und hinter mir jetzt all den Saus und Braus, Blick' ich, aufathmend, in die Nacht hinaus. Die lagert draußen schwarz und schwer und dicht, Mit Eifersucht-umfinstertem Gesicht, Und in des Saales Glanz und Pracht und Schein, Starrt wie der Tod in's Leben sie herein.
Doch lauter immer wird das laute Treiben, Fest drück' die Stirn ich an die feuchten Scheiben,
Da ist es mir, als ob mein Ohr es träf': "Kennst Du den Platz da draus? kennst Du "La Greve"?
La Greve! wie kalt das Wort mich überlief, Und nächtge That vor meine Seele rief; La Greve! wo Haß nur, der nach Rache schnob, Der Freiheit Zerrbild aus der Taufe hob; La Greve! wo man von Menschenliebe schwur, Wenn mal auf mal das Beil herniederfuhr; La Greve! wo Blut aus so viel Quellen floß, Daß es -- ein Strom sich in den Strom ergoß.
Und mir im Rücken jetzt erbraust es wilder, Vor meinen Augen aber, Schattenbilder Der Greuel all, die ringsumher geschehn, Läßt mich die Nacht in ihrem Spiegel sehn.
Horch! Weiberstimmen durch die Lüfte kreischen; Da sind sie selbst; -- in Wollust zu zerfleischen, Hat ihres Fleisches Wollust sich verkehrt, -- Blut heißt jetzt was die Sinnlichkeit begehrt. Manch Eine trägt den Säugling an der Brust, Doch nirgends einer Mutter stille Lust; Mit aufgelöstem Haar, halbnackt die Leiber, So ziehn vorbei mir die Versailler Weiber.
Und jetzt, verhallt kaum ist ihr Schrei nach Brot, Da naht ein zweiter Zug, den führt der Tod, Er zieht als Mordgesell dem Zug vorauf, Und trägt zwei Stangen und zwei Köpfe drauf; Wild heulend folgen aus den Rhone-Landen Die Lyoneser- und Marseiller Banden, Siegtrunken noch vom Sturm der Tuilerien, Seh' ich die Blutgen mir vorüberziehn.
Vorbei, vorbei! jetzt aber Trommelklang So dumpf, so hohl, -- das ist ein Sterbegang; Schon um den Platz wie eine Eisenkette Legt sich der spitze Wald der Bayonnette, Und rasch, in Nacht herauf, steigt das Schaffott, Vom Volk umtanzt in widerlichem Spott. Zwei Männer schreiten herwärts; -- alles still, -- Es winkt des Priesters Hand, die segnen will, Und machtvoll jetzt, hertönt's aus dem Ge- wimmel: "Des heilgen Ludwig Sohn -- steig' auf gen Himmel!"
Ein Beilesblitz; -- -- mein Auge schließt sich bang; Da hinter mir aufschreckt mich Beckenklang, Und aus der Nische fort und ihrer Nacht, Tret' ich zurück jetzt in die Saalespracht.
Drin wogt es noch; auf Klängen der Musik Schwebt nach wie vor der Glanz der Republik, Noch immer senken taktvoll sich und steigen Die Walzerpaare nach dem Strich der Geigen; Noch immer aus des Contre-Tanzes Touren Erblühen Arabesken und Figuren, Und immer noch, rasch wie Gewitterhusch, Braust der Galopp her im Orchestre-Tusch.
Wohl! rings dasselbe Thun noch und Beginnen, Ich aber jetzt, mit nachtgeschärften Sinnen, Schau durch das Maskenwerk und seinen Schein, Tief in das Herz der Wirklichkeit hinein.
Sieh Jenen dort: es frömmelt sein Gesicht, Mir sagt's sein Aug', daß er von "Tugend" spricht; Sieh, wie so süß er seiner Dame lächelt, Und Kühlung ihr mit seinen Blumen fächelt,
Sieh hin, -- und denk dann an den Festeszug, Wo der Hyänenmensch auch Blumen trug.
Sieh jenen Zweiten dort: wie Dantons Brust Hebt sich die seine stolz und selbstbewußt; Ein jedes Härlein schwört auf diesem Haupt, Daß es an nichts, als an sich selber glaubt.
Und jenen Hagren sieh! wie, kündet nicht "La mort -- sans phrase!" dies steinerne Gesicht? Und Jenen sieh: vergiftet ist sein Blut, Pestbeule außen, drinnen Höllenglut; "Stirb an Dir selbst, Tyrann! zu rein für Dich Ist einer Corday keuscher Messerstich."
Genug! Du aber Fürst, deß Blicke eben Scheu wieder sich zum Wandbild dort erheben, Du Kaiserneffe, der im Herzen still Noch immer rechnet: ob's nicht werden will?
Und über sich und seine Welt vergißt, Daß rings die Welt ein drohnder Krater ist, -- Sag an, wenn jener Schreckenszeit Gestalten Bluthochzeit wieder in den Gassen halten, Bist Du's dann, der das losgelassne Thier Voll Ruh empfängt, des Sieges sicher schier, Und eh's in Blut sich voll und satt geschlürft, Das Fangseil rasch ihm über'n Nacken wirft, -- Bist Du's? -- Du schweigst; der Kaiser aber spricht Von seiner Wand herab: "er ist es nicht!"
Theodor Fontane
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Angélique à Berlin 💛
3.5.19 - 6.5.19
Diantre la chronologie, mes yeux d’Historienne ne sont pas heureux. En effet, ma Bretonne préférée est venue me voir début mai avant que je rentre en Alsace.
Peu (t’) importe.
Joie - Bonheur - Rire. Un bon résumé de ces quelques jours trop courts où j’ai emmené Angélique à la découverte de Berlin-Est, elle qui ne connaissait que l’Ouest. Enfin, surtout du Berlin-Est gustatif... ☕
Art de rue à Mauerpark, une activité on ne peut plus berlinoise du dimanche...
... d’autant plus appréciable avec le ventre plein!
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Retour à la Maison 🏡
17.5.19 - 19.5.19
En raison de la très bonne excuse de l’examen de latin, me voilà de retour en Alsace pour le week-end. Je me suis faite bichonnée par Mamounette, trop heureuse d’avoir son petit poussin à la maison. Il ne manque que Lulu, bien évidemment excusée puisqu’elle se prélasse au soleil en bonne compagnie ;)
Petit détour par la Moselle pour voir papi :)
Tout le monde va bien, je peux rentrer à Berlin !
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Ostern - C’est la fête ! 👏🍻🐰🔥
19.4.19 - 22.4.19
Ce week-end c’était Pâques ! Cela signifie quatre jours fériés et comme on le sait en Allemagne, férié veut dire fermé, donc il a bien fallu occuper ces quatre jours de libertés. Et puis comme personne ne peut vraiment rentrer dans sa famille pour les fêtes / que bien plus de cultures que je ne le pensais ne fêtent pas Pâques, c’était l’occasion de beaucoup s’amuser en communauté étudiante avec barbecue et feu de camp, mais aussi chasse aux œufs en chocolat !
L’étape cruciale des courses transformée en franche rigolade lorsque l”Ordnungsamt” nous a demandé ce qu’on faisait sur la route (fortement interdit apparemment) mais bon ils avaient de l’humour !
Première chasse aux œufs de Zo 😂
Première baignade au Weissensee ! Quoi de plus germain qu’une plage avec bière et frites en plein milieu de la ville, je vous le demande...
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Spaziergang um die Uni
4.4.19
Après avoir franchi une des dernières étapes administratives, je profite du soleil et d’avoir du temps pour descendre la bien connue Unter den Linden qui va de la fac à la porte de Brandenburg. Je poursuis mon chemin jusqu’au mémorial pour les victimes de la Shoah et rejoins Potsdamer Platz. J’ai ainsi en moins de deux heures effectué un tour de la moitié des monuments connus de Berlin pour avoir la conscience tranquille :p
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Lohmühlenstrasse
12.4.19
Bon aujourd’hui il fait moche. Après 10 jours de Printemps et de Soleil, c’est de nouveau l’hiver. Avec en plus le début des cours, tout le monde est à moitié malade, à moitié déprimé, à moitié déjà prêt à partir dans le Larzac local élever des moutons c’est-à-dire juste devant Adk (cela fait trois moitiés, je sais). Pour contrer cela, Zo qui a entendu de quelqu’un qui a entendu que apparement selon quelqu’un, bref vous avez compris, qu’il y a une expo dans un espace de Co-working. L’occasion idéal pour s’infiltrer dans une de ces fancy places de Berlin ni vu ni connu. Je pense que l’expérience valait le détour dans la mesure où l’ensemble formé était très typique de la vie berlinoise. On s’est retrouvé dans un quartier de club mais de jours, des vendeurs de drogues tous les deux mètres, cet espace de co-working ultra hipster (architecturellement parlant magnifique au passage) et puis un genre de bidonville manouche d’apparence, en fait un village de récup’ habité par des habitants au mode de vie choisi. Bref, un bordel fou.
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Ostern (avant l’heure) 🐰🐑🥚🍫🌼
12.4.19
Merci Mamounette ❤❤❤ Ce matin mon colis de Pâques est arrivé, j’ai failli le garder pour l’ouvrir seulement la semaine prochaine, mais bon Dieu que j’ai bien fait de ne pas attendre, il y a un Lamele qui m’attend dans la boîte 😍 Autant vous dire que ce soir il ne reste pas une trace de ce pauvre moigno. Mais s’il a déjà disparu c’est aussi parce que je l’ai partagé avec mes amis, ce qui m’a fait encore plus de joie de le manger :)
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Spionnage Museum 🕵️♀️
2.4.19
J’ai oublié ! Il y a quelques temps je suis allée au Musée de l’espionage de Berlin, fort intéressant parce qu’il y avait pleins d’objets concrets à voir et des activités pour faire comme les espions 😊 C’était surtout l’occasion de rencontrer d’autres étudiants et de continuer à élargir mon cercle de connaissances ;)
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Quelle heure est-il Madame Tartine ? L’heure d’aller écouter Pierre Lemaitre 📖
10.4.19
C’est bien connu que les capitales offrent de sacrées possibilités culturelles, je me suis donc rendue à la Maison de France sur la célèbre avenue de Ku’damm pour écouter Pierre Lemaitre accompagné de son traducteur lire et commenter des extraits de son dernier roman. Un beau moment de literature :)
En sortant proche de la Gedächtniskirche, je suis tombée sur cette drôle d’horloge qui suit une prétendue théorie des éléments. Bref ça m’a cassé la tête mais je suis dit que ce serait toujours utile pour un Escape Game ;)
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