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Je fais également du tatouage depuis un an. Voici quelques planches de flashs fais à la tablette graphique.
Première planche: “bandit”
Deuxième: “La belle et le loubard”
Troisième: “Bas les masques”
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En année sabbatique pendant le coronavirus, on se retrouve la plupart du temps avec comme seule compagnie soi-même. Étant de base quelqu’un de plutôt sociable et souvent entouré d’amis / famille / etc.. je me suis retrouvé dans une situation d’ennui seul face à moi-même. Pour palier cet ennui, j’ai décidé à la mi-février de commencer une série d’autoportraits à l’aquarelle face à un miroir afin de me redécouvrir, en voici une partie.
Le résultat de ce projet me plaît beaucoup. Les autoportraits sont très différents les uns des autres mais tous représentent plus ou moins les diverses tête que je peux avoir.
Février 2021
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Ici deux dessins au fusain de personnages tirés de la série “Queen’s gambit”.
Janvier 2021
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Ici deux aquarelles effectuées en extérieur à la montagne.
Janvier 2021
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“La pêche à l’Homme
Au départ, le projet allait porter tout simplement sur le silence intérieur que peut produire la pêche chez les êtres humains. En me plongeant plus en détail dans ce travail, d’autres éléments et idées m’ont semblé devenir essentiel à la bonne réalisation de ce projet. Mon thème sera donc l’aveuglement que l’on subit, ou que l’on consent, face à cette société moderne qui ne cesse de nous offrir des mirages et que nous ne pouvons pas nous empêcher de poursuivre soit par facilité soit par paresse. L’acte de la pêche, ici, met en scène la naïveté des consommateurs et la part d’ombre que cache, bien trop souvent, ce que la société de surconsommation nous présent comme nécessaire. En parcourant les trois clichés nous remarquons que l’ombre du pécheur devient de plus en plus sombre et donc que son emprise devient de plus en plus forte mais toujours à l’insu de sa proie qui, elle, ne voit que le produit qu’on lui présente. Les trois frottages représentent cette même emprise qui se renforce en continue et touche de plus en plus de monde. Mon projet sera donc porté sur les fausses bonnes idées qu’offre notre monde moderne et de la sourde oreille que l’on prête à ce genre de problème car même si la prise de conscience se fait de plus en plus entendre, les Hommes la font aussitôt taire par soucis de confort et de richesse. Mes artistes de référence durant ce projet ont été Duane Hanson et plusieurs artistes du Pop Art dont le célèbre Andy Warhol et ses fameuses “Campbell’s Soup”, pour leur vision de la société de consommation. Si les éléments de ce portfolio sont peut être en comité un peu trop réduit, ceux-ci n’ont à mon avis pas besoin d’être en plus grand nombre car il sont déjà assez explicites de cette manière.”
Voici un projet de portfolio qui date également de plus tôt dans l’année 2020 (excusez moi encore) accompagné du texte que j’avais rendu avec à mon professeur.
Mars - Avril 2020
(à lire de haut en bas)
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“Errance migratoire
J’ai voulu pour ce travail lier l’idée d’errance présente dans l’intégralité de mes projets et une situation politique actuelle connue de tous mais de plus en plus mise sous silence. Pour cela j’ai entrepris un travail autour de la mer, et plus particulièrement de la mer méditerranée et des migrants qui tentent encore et toujours de la traverser et qui parfois réussissent, parfois finissent naufragés et y errent avant de parfois se faire par chance retrouver ou alors y errent avant de mourir en celle-ci. Selon l’OIM (l’Organisation Internationale pour les Migrations) 16862 migrants sont morts en mer entre 2014 et 2018, 5773 dont on a retrouvé les corps et 11089 ayant simplement disparus. Afin de représenter au mieux ces évènements, j’ai placé au mur un gilet orange (celui qu’on donne aux migrants naufragés retrouvés en mer) fait de bandes découpées donnant une idée de gilets en lambeaux. En dessous de celui-ci est écrit “2014-2018” et encore en dessous “16862” représentant les chiffres donnés par l’OIM. Tous ces élément forment le second plan contre le mur. Au premier plan se trouve une barque composée de barquettes en bois attachées entre elles à l’aide de cordes, très fragiles exprimant LA solidité surestimée des bateaux pour transporter autant de passagers. Dans la vidéo ce dernier tombe après avoir tangué. Je suis très satisfait du rendu de mon mobile très sobre et assez direct en ce qu’il veut exprimer sans totalement l’être. Le bateau est très touchant dans sa fragilité et ce gilet orange en lambeaux avec ces chiffres noirs très sobres en dessous ramènent bien à une idée de sauvetage. Cependant, j’y trouve un petit problème de matière, en effet les cordes utilisées pour accrocher les palettes ensembles sont plastifiées. De véritables cordes auraient renforcé le côté brute de cette barque.”
Voici un projet qui date de début 2020 (excusez-moi, il casse la suite chronologique mais je l’ai oublié quand je publiais les travaux de ce moment de l’année). Le texte est celui que j’ai rendu à mon professeur pour accompagner le travail.
Janvier - février 2020
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Dessin fait à la tablette graphique.
Octobre / décembre 2020
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Dessin fait à la tablette graphique.
C’est la première fois que je m’essayais au “digital painting” dans le sens où je tentais de réellement peindre à l’ordinateur.
Octobre 2020
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Images tirées d’un carnet de dessins d’observation.
Août 2020 - aujourd’hui
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“Rocker”
Dessin de personnage fait avec une tablette graphique.
été 2020
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“Pēche
Ce projet est basé sur l’univers de la mer et de la pêche. On y voit la vie d’une fille et de son père pêcheur. Réaliser ce travail a été en grande partie pour moi un moyen de décompresser, de me relâcher et de me laisser aller sans me poser de barrières. Un moyen de relâcher la colère, la tristesse et d’autres émotions accumulées au cours de ma vie.
En ce qui concerne la technique employée, c’est du monotype. Cette technique consiste à placer une encre de linogravure sur une vitre sur laquelle on va déposer une feuille puis dessiner dessus afin que l’encre s’imprime sur son dos. La plupart des images ont été réalisées sur des formats A5 et quelques-unes sur des formats A4. J’ai choisi cette technique d’une part pour son aspect imprévisible, l’idée de pouvoir créer avec un côté aléatoire qui peut considérablement renforcer le rendu final est absolument incroyable. Et d’autre part pour la sensibilité qu’elle peut apporter aux images.
Avec toutes ces images j’ai composé des carnets qui ont la particularité d’utiliser les illustrations comme narration. Cet aspect amène à une narration plus vague et permet à l’observateur d’y mettre un point de vue personnel et donc de créer un lien plus fort avec le projet.
Antoine Chavier”
Voici un texte que j’ai écrit à l’occasion de l’exposition. Il englobe trois projets, celui-ci étant le troisième: “Effacement”
En raison de problème de taille, il est impossible de publier le carnet en entier d’un coup, voici donc la deuxième partie.
(à lire de haut en bas)
Mai - juin 2020
Carnet format A5
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“Pēche
Ce projet est basé sur l’univers de la mer et de la pêche. On y voit la vie d’une fille et de son père pêcheur. Réaliser ce travail a été en grande partie pour moi un moyen de décompresser, de me relâcher et de me laisser aller sans me poser de barrières. Un moyen de relâcher la colère, la tristesse et d’autres émotions accumulées au cours de ma vie.
En ce qui concerne la technique employée, c’est du monotype. Cette technique consiste à placer une encre de linogravure sur une vitre sur laquelle on va déposer une feuille puis dessiner dessus afin que l’encre s’imprime sur son dos. La plupart des images ont été réalisées sur des formats A5 et quelques-unes sur des formats A4. J’ai choisi cette technique d’une part pour son aspect imprévisible, l’idée de pouvoir créer avec un côté aléatoire qui peut considérablement renforcer le rendu final est absolument incroyable. Et d’autre part pour la sensibilité qu’elle peut apporter aux images.
Avec toutes ces images j’ai composé des carnets qui ont la particularité d’utiliser les illustrations comme narration. Cet aspect amène à une narration plus vague et permet à l’observateur d’y mettre un point de vue personnel et donc de créer un lien plus fort avec le projet.
Antoine Chavier”
Voici un texte que j’ai écrit à l’occasion de l’exposition. Il englobe trois projets, celui-ci étant le troisième: “Effacement”
En raison de problème de taille, il est impossible de publier le carnet en entier d’un coup, voici donc la première partie.
(Dernières photos: apparence du carnet)
(à lire de haut en bas)
Mai - juin 2020
Carnet format A5
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“Pēche
Ce projet est basé sur l’univers de la mer et de la pêche. On y voit la vie d’une fille et de son père pêcheur. Réaliser ce travail a été en grande partie pour moi un moyen de décompresser, de me relâcher et de me laisser aller sans me poser de barrières. Un moyen de relâcher la colère, la tristesse et d’autres émotions accumulées au cours de ma vie.
En ce qui concerne la technique employée, c’est du monotype. Cette technique consiste à placer une encre de linogravure sur une vitre sur laquelle on va déposer une feuille puis dessiner dessus afin que l’encre s’imprime sur son dos. La plupart des images ont été réalisées sur des formats A5 et quelques-unes sur des formats A4. J’ai choisi cette technique d’une part pour son aspect imprévisible, l’idée de pouvoir créer avec un côté aléatoire qui peut considérablement renforcer le rendu final est absolument incroyable. Et d’autre part pour la sensibilité qu’elle peut apporter aux images.
Avec toutes ces images j’ai composé des carnets qui ont la particularité d’utiliser les illustrations comme narration. Cet aspect amène à une narration plus vague et permet à l’observateur d’y mettre un point de vue personnel et donc de créer un lien plus fort avec le projet.
Antoine Chavier”
Voici un texte que j’ai écrit à l’occasion de l’exposition. Il englobe trois projets, celui-ci étant le deuxième: “Pêcheur par péchés (2)”
(à lire de haut en bas)
Mars-Avril 2020
Carnet format A4
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Ici des images tirées du carnet qui accompagnais en parallèle des carnets “Pêcheur par péchés” et “Effacement”.
J’utilise pour celles-ci la même technique (monotype) mais d’une manière différente. C’est sur la vitre que je dessine en enlevant l’encre à certains endroits. Après cela, j’ouvre mon carnet puis le compresse contre la plaque afin que l’encre s’imprime sur les pages.
Formats A5
février-juin 2020
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“Pēche
Ce projet est basé sur l’univers de la mer et de la pêche. On y voit la vie d’une fille et de son père pêcheur. Réaliser ce travail a été en grande partie pour moi un moyen de décompresser, de me relâcher et de me laisser aller sans me poser de barrières. Un moyen de relâcher la colère, la tristesse et d’autres émotions accumulées au cours de ma vie.
En ce qui concerne la technique employée, c’est du monotype. Cette technique consiste à placer une encre de linogravure sur une vitre sur laquelle on va déposer une feuille puis dessiner dessus afin que l’encre s’imprime sur son dos. La plupart des images ont été réalisées sur des formats A5 et quelques-unes sur des formats A4. J’ai choisi cette technique d’une part pour son aspect imprévisible, l’idée de pouvoir créer avec un côté aléatoire qui peut considérablement renforcer le rendu final est absolument incroyable. Et d’autre part pour la sensibilité qu’elle peut apporter aux images.
Avec toutes ces images j’ai composé des carnets qui ont la particularité d’utiliser les illustrations comme narration. Cet aspect amène à une narration plus vague et permet à l’observateur d’y mettre un point de vue personnel et donc de créer un lien plus fort avec le projet.
Antoine Chavier”
Voici un texte que j’ai écrit à l’occasion de l’exposition. Il englobe trois projets, celui-ci étant le premier: “Pêcheur par péchés”
(à lire de haut en bas)
Février-mars 2020
Carnet format A4
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