arborescence-incrementale
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LCLA Pelagic Alphabet 2016 _source : Atlas of Places
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Yona Friedman Guide book for visitors from outer space 2010 _source
© Balkis Productions, Yona Friedman and Jean-Baptiste Decavèle
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Un peu trop ci Un peu comme ça Pas assez ci Pas vraiment ça Sans foi ni toi Je défie le temps Ce cœur joueur Ravive mon sang Fleur du silence Que dire Quelle importance Plutôt mourir Que d’entendre Parmi ces fous Parmi ces lois Ce je ne sais quoi
Anonyme Sans titre Paris (FR) 2020
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Zbigniew Rybszynski + Studio SeMaFor Tango 1981 _source
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Reste le choix d’être poète. La poésie n’a rien à voir avec la beauté. Moins encore avec le charme mièvre de quelques douces métaphores ou tendres allégories. Elle n’est ni un divertissement ni une distraction. La poésie, c’est la précision. La poésie, c’est à la fois la maîtrise souveraine de la grammaire, l’humble soumission à la syntaxe, et le droit -presque le devoir- de pouvoir réinventer la langue à chaque strophe. La poésie, c’est l’implacable nécessité d’un agencement qui déconstruit en respectant. C’est le choix d’une immense cohérence locale conjuguée avec une espiègle errance globale. Se faire poète ici, ça ne signifierait évidemment pas nécessairement écrire des vers. Cela engagerait avant tout à travailler la matrice sémantique et sémiotique pour ouvrir au questionnement tous les construits que nous avons confondus avec des données. La résistance poétique est intransigeante. Elle dessine au scalpel. Elle est rigoureuse et pointilleuse. Elle cherche à connaitre et à comprendre. Elle n’ignore rien des règles ni des codes. Elle débute par une exploration patiente et savante du réel. Mais elle s’autorise aussi à tout interroger. Elle n’a pas peur de l’ailleurs. Elle n’est pas contrainte par les carcans d’une pensée héritée. Elle tente d’exister c’est à dire de s’extraire, de se désarrimer. Elle ose remettre en cause ce qui n’était jusqu’alors pas même questionnable. Elle jubile face à l’incroyable. […] Si le poète est celui qui sait entrevoir ce qui n’avait pas encore été imaginé, qui sait que l’existant s’invente en même temps qu’il se découvre, l’avenir sera poétique ou ne sera pas.
Aurélien Barreau Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité Michel Lafon ed. 2018 [p202,203]
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Thomas Fischinger Music : Franz Liszt An Optical Poem 1938 _source
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Anonyme Sans titre Paris (FR) 2020
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Takahashi Kageyasu Carte d’Ezo Hokkaido (JP) 1826 env. _www.wdl.org
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Un peu trop ci
Un peu comme ça
Pas assez ci
Pas vraiment ça
Sans foi ni toi
Je défie le temps
Ce cœur joueur
Ravive mon sang
Fleur du silence
Que dire
Quelle importance
Plutôt mourir
Que d’entendre
Parmi ces fous
Parmi ces lois
Ce je ne sais quoi
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Lenoir Eric (2018). Petit traité du jardin punk.Terre vivante. p51
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Réflexion sur la cellule. Souk / Contenair
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Olivier Abel
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Andreas Weber
Lecture marquante de :
Reality as Commons
A Poetics of Participation for the Anthropocene
By Andreas Weber
published in: David Bollier; Silke Helfrich, eds. (2015): Patterns of Commoning. Amherst, MA: The Commons Strategy Group/Off the Commons Books, p. 369-391. http://patternsofcommoning.org
Livre :
Enlivenment
Toward a Poetics for the Anthropocene
Par Andreas Weber
Une nouvelle compréhension de l'Anthropocène qui est basée sur la transformation mutuelle avec la nature plutôt que sur le contrôle de la nature.
L'anthropocène semble froid : un monde exclusivement humain, sombre et égocentrique. L'animation est chaude : une façon de rester fidèle aux feux de forêt qui ont poussé l'humanité à célébrer ce monde. Bravo à Andreas Weber pour avoir osé nous montrer comment vivre en ces temps de peur.
Résumé :
Une nouvelle compréhension de l'Anthropocène qui est basée sur la transformation mutuelle avec la nature plutôt que sur le contrôle de la nature.
On nous a dit que nous vivons dans l'Anthropocène, une ère géologique façonnée par l'homme plutôt que par la nature. Dans Enlivenment, le philosophe allemand Andreas Weber présente une autre compréhension de notre relation avec la nature, en soutenant non pas que les humains contrôlent la nature mais que les humains et la nature existent dans un commun de transformation mutuelle. Il n'y a pas de dualisme nature-homme, affirme-t-il, car la dimension fondamentale de l'existence est partagée dans ce qu'il appelle "l'éveil". Toute subjectivité est intersubjectivité. Le moi est le moi à travers l'autre. Voir tous les êtres dans un ménage commun de matière, de désir et d'imagination, une économie de transformation métabolique et économique, est un "vivifiant". Cette perspective nous permet de dépasser la pensée du style des Lumières qui dépouille la réalité matérielle de toute subjectivité.
Pour franchir ce pas, soutient Weber, nous devons supplanter le concept de « techné » par celui de « poiesis » comme élément qui fait naître la réalité. Dans un monde non divisé en choses et en idées, en culture et en nature, la réalité naît de la création de relations et de transformations fertiles continues ; toute pensée en termes de relations se présente comme une poétique. Le moi est toujours une fonction du tout ; le tout est également une fonction de l'individu. Seule cette liberté intégrée permet à l'humanité de se réconcilier avec le monde naturel.
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