Tumgik
beatvondaeniken · 6 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Our birds nest in Caracas. Krahhh
0 notes
beatvondaeniken · 9 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
I stepped on several sea urchins. It hurts extremely but with the help of the locals I was in good hands. Thank you Wilmer and Ruben for your support 😊
0 notes
beatvondaeniken · 9 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Choroni and Cepe in the Henri Pittier national parc
1 note · View note
beatvondaeniken · 9 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Amazonas. Project activities
0 notes
beatvondaeniken · 9 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Amazonas State in Venezuela. Indigenous associations generating income with cacao and chocolate production 😋
Tarantula is a délicatesse in Amazonas. Taste a bit like shrimps
1 note · View note
beatvondaeniken · 10 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
All along the Orinoco river in the Amacuro Delta...
1 note · View note
beatvondaeniken · 10 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Ma mante religieuse... en pleine prière...
0 notes
beatvondaeniken · 10 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Maternal Child health in Venezuela. ACF health support to Wuaiu communities in La Gujira
0 notes
beatvondaeniken · 10 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Demining in the border region Colombia Ecuador with the support of SDC...
1 note · View note
beatvondaeniken · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Workshops with district services (police, education, infrastructure, economy and health)
4 notes · View notes
beatvondaeniken · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Consultations for developpment between the communitiy leaders, the Government of the District Sussundenga and Solidar Suisse. Gloria’s active participation for the community lead processes
3 notes · View notes
beatvondaeniken · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Each family received five ducks for their livlihood (Photos Gloria Gallego)
2 notes · View notes
beatvondaeniken · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Construction of houses for the displaced families from Cyclone Eloise in Dombe (Mozambique) (Photos Gloria Gallego)
2 notes · View notes
beatvondaeniken · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media
Internal training of Solidar Suisse staff in Mozambique
0 notes
beatvondaeniken · 1 year
Text
La ponctualité
On a beau le savoir, souvent les Européens en Afrique ont de la peine à s’habituer à la ponctualité « africaine ».
Il est jeudi soir, aux heures de fermeture du bureau de Solidar Suisse dans la petite ville de Chimoio au Mozambique. La secrétaire de réception monte dans mon bureau pour me passer sans attente une lettre. Il s’agit d’une invitation pour la cérémonie de remise de diplômes à 83 étudiantes et étudiants d’un institut de formation professionnelle à environ 40 minutes de route de Chimoio. Solidar Suisse soutient financièrement cet institut de formation afin que les élèves les plus démunis puissent suivre en internat cette formation de trois ans. Nous mettons également à disposition des fonds pour démarrer de petites entreprises pour ceux et celles, qui ont obtenu leur diplôme et sont à la recherche de travail. Une invitation importante donc. Elle est signée par son directeur, un sacerdote de Pologne. A ma surprise, l’invitation est datée d’il y a plus d’une semaine. Mon esprit cartésien me dit qu’elle a voyagé 6.3 km par jour pour arriver à Chimoio. Mon intuition institutionnelle me suggère que cette invitation est restée probablement 6 jours sur le bureau du responsable administratif de l’institut en question. Bon, c’est dans deux jours, ça va, c’est un samedi et avec ma partenaire nous n’avons rien d’autre prévu.
Les familles et les invités sont attendus à 08h30 , heure prévue pour la cérémonie de remise des diplômes. Un peu surpris, je prends note en me disant qu’il faudra me lever tôt. Je me dis aussi, qu’il faudra être à l’heure, c’est tout de même un Polonais qui invite. Normalement, au Mozambique il est coutume d’arriver une heure après.
Samedi, 07h30 prêt au départ. Un monde fou se trouve dans la rue qui mène vers l’institut. Le jour est déjà bien levé et les gens vaquent à leurs affaires dans la rue. J’ai de la peine à passer et je me dis un peu stressé que je serai en retard. 8h40, 10 minutes de retard, pour une cérémonie importante, pas bien ! En plus, je ne sais pas, si je dois tenir un discours en portugais ou non. Ces choses-là, on vous les dit qu’au dernier moment.  Bon, j’ai anticipé avec mes quelques notes gribouillées sur une feuille de papier. Tous le monde semble au rendez-vous, tous debout dans le jardin et sapés sur leurs 31.
Je cherche le sacerdote polonais pour le saluer. Je l’aperçois au loin, avec des gestes grands comme un moulin à vent. Un bref bonjour pour me dire, que la mission manque d’eau depuis ce matin et qu’il devait régler cela au plus vite. Je retourne donc dans le jardin joindre les parents et autres membres de familles des jeunes diplômés. 09h30 rien ne semble bouger et tout le monde attend gentiment. Là, nous serions toujours dans les heures mozambicaines... une heure de retard, c’est normal.  10h30 tous les diplômés, vêtus de leur uniforme académique avec leur couvre-chef carré courent vers le bureau de l’administration. Je me dis : enfin, ça va commencer.  Fausse alerte, il semble qu’il s’agissait uniquement d’une instruction pour expliquer comment se comporter durant la cérémonie. 11h15, j’annonce à Gloria, ma partenaire de vie, que, si à 11h30, donc avec trois heures de retard, ça ne bouge pas, nous repartons. Pas manqué, 11h20 nous sommes enfin appelés pour rentrer dans la grande salle de la mission. Et 11h30 nous pouvons enfin nous assoir. 3 heures de retard me dis-je, surpris de ma patience et surtout celle des familles venues des quatre coins du pays.
Comme chaque cérémonie, celle de la remise des diplômes commence avec l’hymne national. Contrairement à l’hymne suisse, tout le monde connait le texte par cœur, et cela dure 5 minutes. C’est la marque de tous les régimes autoritaires, les citoyens doivent connaitre l’hymne national par cœur. Ils l’ont tellement chanté et entendu à l’école, rien d’étonnant.
Le discours inaugural ne donnera aucune explication ni excuse pour le retard de 3 heures. Heureusement, nous n’étions pas les seuls surpris par ce manque de communication. Les invités mozambicains manifestaient eux-aussi leur indignation. Après la cérémonie, nous apprenons que la responsable du retard est en fait Madame l’Administratrice du District. Au Mozambique les représentants de l’autorité (donc dans ce cas Madame la Bourgmestre du district) ne rentrent qu’une fois la salle pleine.  Et elle était pleine depuis un long moment. Il semble, qu’elle ait simplement oublié l’événement et qu’il ait donc fallu aller la chercher au supermarché à Chimoio. Morale de l’histoire : si vous travaillez au Mozambique, armez-vous de beaucoup de patience et profitez du temps à disposition pour apprendre l’hymne national :
Na memória de África e do mundo Pátria bela dos que ousaram lutar Moçambique, o teu nome é liberdade
O sol de junho para sempre brilhará
Ref: Moçambique, nossa terra gloriosa Pedra a pedra construindo um novo dia Milhões de braços, uma só força Oh, Pátria amada, vamos vencer
1 note · View note
beatvondaeniken · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Young electricians being trained in Chemba district
0 notes
beatvondaeniken · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Professional training for young carpenters in Chemba District
0 notes