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F(l)ammes,  une passion vive de vivre et de se reconnaître.

Quand on parle, quand on se découvre. Une libération, une mise en commun. Se découvrir par la force des mots, par la douleur donnée par les autres, la découverte des autres entraîne la notre, ces femmes toutes aussi merveilleuses les unes que les autres l’ont bien compris. Touchantes, puissantes, fortes de leur passé, de leur expérience, elles se succèdent, elles se présentent. Dire le privé face au public, une forme de sensibilité émouvante et prenante, boire leur parole nous envoie une morale saisissante. Toutes liées et différentes.

On se reconnaît au travers de leur voix, leurs différences tout comme leurs ressemblances paraissent être universelles, La tolérance est reine.

Chaque femme est une flamme de vie, chaque être est une illumination.

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Ce qui m’est dû,  Un temps, puissant.

Quand on se trouve au milieu de cette tourmente de paroles, de mouvements, tous aussi dénonciateurs et nets les uns que les autres, il est difficile de ne pas se sentir perdu. À mesure de se sentir présent et acté dans les paroles des comédiens, H��loïse Desfarges et Antoine Remondi, la culpabilité monte, le prise de conscience aussi et... En fait... une volonté de liberté s’est emparé de nous. Comme si l’on cherchait à nous emprisonner, ce qui nous est dû nous étouffe, la mise en scène nous enferme ou nous fais voler selon vos affinités avec la danse contemporaine dû à la mise en scène de Jérôme Bergerac.  A moins d’un besoin d’entendre ce que l’on fait à notre planète qu’on aime, il semble juste bien que dur dans la formulation.