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L’odyssée d’un «petit suisse » parti a la mauvaise époque, pour une lune de miel, qui sera pris malgré lui dans la tourmente tragique des années rouge sang de la révolution Algérienne. Il lui faudra choisir entre ces convictions sociales héritées de son pays d’origine et la révolte de sa conscience devant l’exploitation abusive d’indigènes frustrés de leurs terres ancestrales par les dérives d’une colonisation qui ne dit pas son nom. Engagé par un des plus riches propriétaires d’Algérie, il sera confronté à la dure réalité du terrain, a l’injustice, à l’impitoyable tyrannie, à la brutalité allant jusqu’à la mort, dans l’indifférence aveugle et cupide des maîtres du jeu. Il ralliera la cause de l’indépendance, aidant les rebelles ou combattants de la liberté, c’est selon… suivant de quel côté on ce trouve.
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Notre vie de la naissance à la mort ne nous appartient plus, elle a été confisquée par la médecine moderne avec l’appui de l’État. Le saviez-vous ? Non certainement pas, cela s’est fait en douceur sur quelques centaines d’années, avec en passant un petit coup de main de l’église, à l’époque de la Renaissance. Vous n’êtes pas convaincu, eh bien essayez seulement aujourd’hui d’imaginer de choisir une voie différente que celle imposée par la médecine officielle.
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Souvenez-vous de cette loi cardinale du diagnostic :
le macrocosme se perçoit dans le microcosme. Ainsi l’état du corps dans son ensemble se révèle parfaitement dans une partie de celui-ci, le visage, l’œil, l’oreille, la langue, la plante du pied.
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Souvenez-vous de cette loi cardinale du diagnostic :le macrocosme se perçoit dans le microcosme. Ainsi l’état du corps dans son ensemble se révèle parfaitement dans une partie de celui-ci, le visage, l’œil, l’oreille, la langue, la plante du pied.
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Souvenez-vous de cette loi cardinale du diagnostic :
le macrocosme se perçoit dans le microcosme. Ainsi l’état du corps dans son ensemble se révèle parfaitement dans une partie de celui-ci, le visage, l’œil, l’oreille, la langue, la plante du pied.
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Votre corps vous parle constamment, écoutez-le constamment. Si vous ne l’écoutez pas, il va se mettre à crier (de douleurs) puis à hurler et finalement devant l’absence de réaction et une bonne dose d’analgésiques et de médicaments chimiques il finira par se taire définitivement.
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Grand-Canyon - Recule…Recule…Stop
Florence cramponne-toi il y a du vent !!!
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Notre périple Américain
Book movie des prochains 18.000 km. Gare Centrale des bus – Boston 8 heures.
Première étape en Greyhounds jusqu’à Chicago. 15 heures de route et 1500 km. De Cleveland à Chicago, la vue se réduit en étendue de champ de maïs. Faut bien fournir en matière première les usines à Pop-Corn. Comme souvent au cours de ce voyage, le terminus des bus sont situés dans les quartiers chauds des villes et l’arrivée en pleine nuit. Ce qui nous a valu pas mal de surprises et d’ennuis. Faut dire qu’à cette époque, ce mode de transport bon marché n’est pratiqué que par les exclus du système capitaliste, plutôt des gens de couleur sombre ou des blancs alcolos ou pauvres ou les deux... oui, oui il y en a ! Pratiquer à pied les grandes métropoles américaines, ça use... ça use les souliers. Notre première expérience, à ce sujet, c’est justement à Chicago que nous allons la vivre. Avant notre départ, nous avons collecté un certain nombre d’adresses de centres macrobiotiques et de restaurants, l’un de ces restaurants se situe au 6500 Cicero Av. Ce qui, depuis notre point de départ, représente 25 km et 5 heures de marche sac au dos sous le soleil. Mais ça nous ne l’avons su qu’après. Nous voulions juste prendre le repas de midi, heureusement, il restait encore de quoi nous restaurer à 19 heures lors de notre arrivée. – une tarte aux épinards et un potage miso au tofu -. Nous sommes revenus dans le centre en 20 min. de bus – . C’est une des plus dures épreuves que nous ayons eu à subir lors de notre périple. Depuis, nous sommes devenus méfiants sur l’évaluation des distances. L’Amérique n’est pas un pays pour les marcheurs à pied ! Avec le Pass libre circulation, l’énorme avantage, vous pouvez prendre n’importe quel bus et en descendre quand vous voulez. Ce qui de temps en temps réserve des surprises.
Blaise Le Wenk suite chapitre 9 dans le tome 3 (TRAFICS) de ma TRIPLICI VITA
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L’écrivain : Peint par Gabriel Metsu peintre Hollandais de l’âge d’or.
Le tableau, un chef d’oeuvre. L’homme est beau. La nappe...incroyable.
Le très polisson Histoire de l’Œil, de Lord Auch alias (Georges Bataille).
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Première lecture
Dès l´âge de 2 ans, ma maman c’est mise en tête de m’apprendre à lire, faut dire qu’elle possède une bibliothèque qui occupe toute une paroi du salon.
Chaque jour j’ai me leçon de lecture, maman a sa propre technique d’apprentissage, c’est une adepte de Rudolph Steiner dont elle possède la plupart des livres. A : comme arbre. Maman dessine un arbre dans le grand cahier de lecture. B : comme bébé. Elle dessine un beau bébé. C : Cul comme pan-pan cucu. Elle dessine mon petit cul rose. D : Dé, il y en a qui traîne partout, maman dit que ce sont les outils de papa ! F : Feee… Feu, tu connais... P : Pon… comme pin-pon ou pompier, tu les connais aussi. Et ainsi de suite, à 3 ans je lis les mots sous les illustrations, à 4 ans je lis couramment, à 5 ans lorsque j’arrive à l’école, je sais lire et comprendre ce que je lis. Ce système est formidable, maintenant je peux lire les livres de la bibliothèque de maman. Par prudence, les livres ont été classés différemment. Premier rayon, tous les livres que je peux lire maintenant, j’ai 4 ans. Heidi, Bambi, Pinocchio, Croc-Blanc de Jacques London, Crin-Blanc, Flicka le cheval de l’empereur, les contes d’Andersen, les contes des frères Grimm, Dieu et héros grecs, contes de la Forêt-Noire, Cendrillon et Barbebleue de Charles Perrault. Sur le deuxième, cela sera pour plus tard, ce sont les grands romans d’aventures : Les Jules Verne à la magnifique reliure rouge et or avec des dessins en couleurs - Michel Strogoff - le Tour du monde en quatre-vingts jours. Blaise Cendrars avec L’Or, la Main coupée et Moravagine. Maurice Leblanc : Arsène Lupin, ah, celui-là... - Les sœurs Brontë et les Hauts de Hurlevent. Les contes des Mille-et-une Nuits. Le 3ème rayon comprend tous les Rudolf Steiner en français et en allemand et des livres des philosophes : Kant, Nietzsche, Rousseau, Voltaire, Platon. Homère avec L´Odyssée et L´Iliade, les Voyages d´Ulysse que je lis plusieurs fois reste mon préféré. Les 4ème et 5ème rayons sont réservés aux grandes personnes. Tu n’as pas le droit de les lires. C’est l’Enfer là haut. Tu m’as bien compris... Oui maman !!!!! De toute façon je suis trop petit pour les atteindre... Pour le moment...! Je finirai par y arriver vers l’âge de 10/11 ans je crois, ce fut la seule et unique fois où ma mère m´a filé une baffe et ma puni de lecture durant 1 mois, vous vous rendez compte. Je m’étais endormi avec Justine de Sade et Salambô de Flaubert auxquels d’ailleurs je n’avais pas compris grand-chose. Le Kamasûtra illustré sera plus explicite. Manon Lescaut de l’Abbé Prévot et le très, très polisson Histoire de l’Œil, de Lord Auch alias (Georges Bataille). Je commençais à entrevoir un monde d’adulte trouble et inquiétant. C’est ainsi que je deviens un dévoreur de livres et un rêveur d’aventures. Comme vous l’avez compris, j’ai déjà un esprit aventurier, qui ne me quittera jamais. J’ai d’ailleurs de qui tenir avec mes ascendances Chaux-de-Fonnières, la cité horlogère du Jura Suisse. Les trois C : Cendrars - Chevrolet - Le Corbusier. Les célèbres aventuriers de La Chaux de Fonds.
suite dans mes romans auto-biographiques : TRIBLICI VITA en trois tomes. Tome I : GRAINE DE POTENCE – Apprentissage Tome II : ALGÉRIE - Révolution - Les années douleurs Tome III : TRAFICS - Damnation et Rédemption
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KARMARISSAGE.
Paraît que c’était mon tour au grand tirage des karmas : Direction ⇨ la Voie Lactée ⇨ système solaire ⇨ planète Terre ⇨ pays ⇨ Suisse ⇨ karmarissage : Genève. Ouf ça y est… J’en ai reçu une (de vie) sans grand enthousiasme, année terrestre 1933/34. Voilà que les problèmes commencent déjà, je suis né aux environs de minuit, chez ma grand-mère, dans la cuisine pour ne pas salir les tapis et à vrai dire, personne n’a pensé à regarder l’heure. Vous vous rendez compte… une année de plus ou de moins, ça compte, surtout le jour où l’armée vous convoque pour participer au prochain casse-pipe. Je ne le sais pas, mais je viens de tirer le bon numéro. Dans dix ans, certains qui n’ont pas eu cette chance vont en faire la terrible expérience. Adresse de mon « karmarissage « : un petit théâtre devant la cathédrale, bien visé sur la colline en plein centre de la ville. Famille d’accueil - Tobias et Hélène Le Wenk. Je ne les connaissais pas... avant !! Tobias le père; antiquaire, libertaire, anarchiste. Hélène la mère; écrivaine, rêveuse, poétesse, pudique, modiste. Pour le moment mes parents sont gérants du casino-théâtre de la cour St. Pierre à Genève. Ceux qui l’ont connu, ne sont plus là… je sais, je sais ! Moi le né-nouveau, sexe masculin, beau bébé à l’air renfrogné; évidemment je dois me rappeler encore d’où je viens. En arrivant je me souviens vaguement m’être dit, quel est le salaud qui m’a poussé, je sais qu’il y a un héros qui a crié ça, dans le pays où j’ai été transféré. Ensuite après la descente vertigineuse dans le long tube lumineux, oui... le même qu’on prend pour remonter, c’est le trou blanc, je ne me rappelle plus de rien, même pas de ne me rappeler de rien, heureusement d’ailleurs, sinon j’aurais été encore plus désespéré. – Ah oui... mon nom est « Monbb » ou « Monbobb » en style SMS. En fait c’est Blaise-Basile, mais personne ne m’a demandé mon avis. Je tète, je dors, je pleure – toujours dans cet ordre – c’est ainsi que les jours s’écoulent, enfin, je suppose, car je n’en ai aucun souvenir...........................suite.
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1935 - 1 ans sur les pavés de la cour St. Pierre à Genève
1937 - 3 ans sur le port de Cassis
1931 - Mariage de mes parents
Maman-1927
Papa-1929
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Aussi longtemps qu’on ne le prend pas au sérieux, celui qui dit la vérité peut survivre dans une démocratie. Nicolás Gómez Dávila
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