bonquaca
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bon qu'à ça
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samuel buckman
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bonquaca · 6 years ago
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Vigie - 2019
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bonquaca · 6 years ago
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Sentinelle II - 2019
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bonquaca · 6 years ago
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Sentinelle - 2019
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bonquaca · 6 years ago
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bonquaca · 6 years ago
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38 grammes
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bonquaca · 6 years ago
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AIE
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bonquaca · 7 years ago
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La jungle - 2018
Étude pour une performance
Caen
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bonquaca · 7 years ago
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Le grenier - 2018
Étude pour une performance
Valence
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bonquaca · 7 years ago
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La cour d’honneur - 2018
Étude pour une performance
Citadelle de Sisteron
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bonquaca · 7 years ago
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La fée - 2018 Étude pour une performance Musée de Grenoble
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bonquaca · 7 years ago
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Faux et joyeux
Je me souviens qu'à la fête de l'école tous les enfants qui chantaient faux étaient mis au fond de l'estrade. Les maîtresses espéraient-elles que les voix fausses ne s'entendraient pas ou peut-être était-ce une stratégie pour limiter la casse. En fait, c'était l'occasion idéale pour les enfants de faire le pitre et d'élever exprès la voix comme une petite vengeance.
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bonquaca · 7 years ago
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Une certaine incertitude
Entre attentisme et action
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bonquaca · 7 years ago
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DODO
Dors, mon petit Dodo, dors, Un petit Dodo qui dort Dort et dîne, Un petit Dodo qui dort Dîne et dort.
D’après la Berceuse du petit loir - Simone Ratel
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Dieu a créé l’homme et les animaux se sont mis à trembler.
La mythologie des animaux dans le folklore chrétien - Marguerite Yourcenar
https://www.youtube.com/watch?v=-Ic1Cc0t7uc
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bonquaca · 7 years ago
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La nécropole des oubliés
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C’est l’été, à la périphérie d’une ville. Plusieurs hectares de bois et un pré. Les pans d’un mur en silex. Une maison de pierre et un kiosque à musique. Le tout abandonné et paisible. Dans la prairie, sous le soleil comme dans l’ombre immobile des grands chênes : des croix, à peine plus hautes que les herbes folles. Modestes chevrons, bois à l’angle droit. La plupart encore dressées, quelques-unes couchées, d’autres démantelées, arbre d’un côté, bras de l’autre. Libre coin de nature, étendue autrefois annexée à l’hôpital psychiatrique d’Évreux, (ancien) cimetière, cimetière des fous…
De 1885, date à laquelle les premiers malades sont internés à Navarre, jusqu’en 1974, cinq cent cinquante défunts, majoritairement des patients de l’hôpital mais aussi des soignants (médecins, religieuses, infirmières) sont y inhumés. C’est en consultant la presse régionale que Samuel Buckman découvre en 2015 l’existence de ce cimetière en même temps qu’il apprend sa destruction imminente. Une route va être construite. Pour cela, l’ancien cimetière va être détruit, démoli, effacé. « Ancien cimetière » : pléonasme, oxymore ? Un peu des deux, ni l’un ni l’autre ? Les morts ont un nom, mais quiconque s’en souvient-il encore ? Alors que la naissance d’une médecine spécifique transformait autrefois un mode de mise au ban de la société que soulignait jusqu’alors « l’indigence », les défunts de Navarre ne le redeviennent-ils pas aujourd’hui ? Après tant de patience, le temps d’une vie enfermée, celui du repos avec leurs restes désormais indissociables de la terre qui les porte depuis si longtemps, ils sont aujourd’hui ce qui disparaîtra bientôt au profit d’une quatre voies sans âme. Le cimetière de l’hôpital de Navarre n’est pas un lieu de mémoire, un de ces monuments figés que vient régulièrement troubler, avec la régularité d’un pendule suisse, quelques porteurs de drapeaux. Il est la question même de la mémoire, béance sur laquelle veillent de paisibles escargots et des écureuils facétieux, celle qui fait naître une poésie vraie, telle qu’elle se déploie dans le cadre de l’exposition « Les indigents ».
Transmettre une trace de ce lieu funéraire atypique et oublié aujourd’hui voué à disparaitre, voilà l’objet de l’installation de Samuel Buckman actuellement présentée au sein du Chemin de ronde du musée d’Évreux. Le long de cet étroit couloir dont l’encorbellement vient couronner la façade sud de l’ancien palais épiscopal, j’ai la sensation de placer mes pas dans ceux de l’artiste. Au fil des relevés (les cinq plans du cimetière) et d’empreintes (les graffitis de la maison du gardien, les plaques de fer blanc gravées portant le nom des défunts), de ces feuilles modestement épinglées là voisinant avec un silex silencieusement suspendu à un très fin fil d’acier – accessoire de peu à l’égard du caractère éternel de la pierre –, voisinant aussi avec des photographies d’arbres immenses puissamment ouverts vers le ciel, avec des coquilles d’escargots vides, une plume de faisan et des enregistrements vidéos – images grosses de temps – je me rappelle combien la marche – l’errance, même – est matricielle à l’œuvre de Samuel Buckman. Avec elle, l’artiste ouvre des chemins aux histoires. Je réalise aussi que même s’il pratique le dessin, l’écriture, la performance, la photographie, la vidéo et les installations, Samuel Buckman a fait du temps son matériau de prédilection. En creusant des passages entre le révolu et l’actuel, en reliant la rive du monde des morts à la nôtre, tous autant que nous sommes à arpenter ce chemin de ronde, ce travail révèle le temps qui passe, ininterrompu, comme l’eau à travers la clepsydre. Dans un même élan, il nous dit aussi le temps qu’il consacre à ramasser, inventorier, photographier, enregistrer, dessiner. Un prélèvement – frottage à la mine de plomb sur papier – c’est l’empreinte elle-même tout autant que le temps passé à prélever la trace, à reproduire le même geste, plus la concordance des deux. Il s’agit du temps – le sien grossi de celui de ceux disparus tout en laissant de menus indices de leur passage – qui passe à travers lui-même. C’est ce qu’il nous livre dans cette exposition. S’il collecte des bribes, il écoute aussi, observe, sait ne rien faire. Ode à la liberté, à l’abandon. Se laisser guider, sans résistance, par ce qu’il advient. De ses échappées, l’artiste rapporte un déroulé temporel de sensation pure – nulle interprétation, écueil vers la mièvrerie –, avec le mouvement des herbes – vague respiration autour du bois des croix comme des îles ancrées là –, avec le bruit du vent ou la trajectoire du vol d’un oiseau. Son dessin et ses images, cristaux d’être purs, sont des témoignages du moment qui les fit advenir. La pièce vidéo L’Annonciation ajoute à cela la célébration d’une sorte de miracle, quant bien même s’agit-il d’un presque rien. Un long plan fixe sur le Christ en croix, dressé à l’ombre d’un grand chêne. Un long face à face, la caméra et le Christ sont immobiles. Tout autour, la légère ondulation des grandes herbes et le chant des oiseaux donnent corps à l’image. Puis la caméra entre en mouvement, elle part à la verticale du Christ. Elle monte doucement. L’apparition d’un écureuil interrompt son mouvement ascendant. Nous suivons désormais l’animal se déplaçant à l’horizontale sur une branche. À posteriori, nous saisissons ce qui s’est passé. Un bruit, un mouvement hors champ. La caméra qui semble partir sans savoir ce qu’elle va découvrir. Avec L’Annonciation, l’artiste nous offre à partager la beauté pure et intacte d’une intuition, d’une petite voix intérieure qu’il vaut beaucoup d’écouter… Chez Buckman, l’écoute est performative, voici pourquoi le titre de la pièce.
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Plusieurs relevés légendés présentent le cimetière. Un plan général intègre l’hôpital en allant jusqu’au petit bois. Quatre autres plans dont l’échelle est réduite au quart, correspondent à des portions de terrain se déployant autour de la Crucifixion. Elle est un repère sur les relevés comme un marqueur au sein du paysage. Un semi de croix –  les tombes – occupe la plus grande partie de ces quatre dessins. À main levée, pour autant précis. Le compte est bon, chaque tombe à sa place. Et, à l’autre bout du Chemin de ronde, les noms des morts, Nous, ensemble, frottages à la mine de plomb sur les plaques de cuivre, en quatre piles distinctes. Dans l’ordre, celui établi par Buckman recueillant les noms. Sur le dessin, les arbres eux aussi sont précisément localisés. Chênes ou sapin. Qualifiés selon leurs tailles, la couleur de leurs fleurs ou de leurs baies. Aménagements, voies de circulation, pentes, marches, barrière, loge, incinérateur, calvaire complètent cet inventaire. Inventaire rigoureux d’un espace, tranquille immobilité au sein de laquelle le corps en mouvement de l’artiste vient offrir la mesure, ses propres pas en constituant l’unité. Survient l’oiseau. Puis l’écureuil, celui-là même que l’on découvre bientôt dans la vidéo intitulée L’Annonciation. Le plan révèle leur apparition. Comme un palimpseste : sur le temps suspendu de la présence centenaire d’un arbre ou d’une tombe, vient se poser l’allant de soi devenu miracle, la rencontre entre l’artiste en discrétion et les petits animaux occupants des lieux. Peu à peu, comme l’image émergeant doucement des profondeurs de la plaque sensible, la vie entre en possession du lieu. Le modeste prend valeur et dimension universelles, et visibilité est offerte aux oubliés. Samuel Buckman fait de ce lieu et de ses fantômes, l’inoubliable même.
Florence Calame-Levert Conservateur du patrimoine Directrice du Musée d’Art, Histoire et Archéologie d’Evreux
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bonquaca · 7 years ago
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c’est la ducasse
on aimait bien aller se promener à travers la ducasse dans le nord de la France on l'appelle comme ça c'est la foire aux manèges on est bien habillé on est sur notre 31 faut bien gommer la pauvreté histoire d'un jour les socquettes bien blanches les cheveux c'est pas tout à fait ça on ne peut pas être bon partout être irréprochable pis on s'en fout bien heureux d'être de sortie la grande on ne sait pas quoi dire son regard en dit long sa main prête à lâcher le landau ouste ne me faites pas chier le petit il ne peut rien faire ébloui par le soleil même si c'est nuageux un brin souffreteux c'est qu'ils ne sortent pas souvent ils ont des figures pâlottes et l'autre le moyen il est bien accroché à la poussette il montre sa langue elle est vrillée prêt à faire des bêtises les 4 cents coups à la ducasse le remue-ménage c'est rigolo sinon on s'en merde on va se promener mais on n'a pas un sou en poche va falloir échapper à la surveillance de la mère d'ailleurs on la voit dans le reflet de la grande vitre du magasin c'est bien elle on la reconnait déjà un peu courbée déjà une bossue elle m'a pas voulu pourtant on a lui a demandé toi avec tes enfants sur la photo mais non ce jour-là elle n'a pas eu envie on sait pourquoi elle n'avait pas peur de se montrer mais être sur une photo l'œil au beurre noir ça non
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bonquaca · 7 years ago
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Saturne
oui j'ai été rêvé par les anneaux de Saturne de plusieurs natures assemblages de scories mi fantôme mi poussière mi cendre mi vitreux mi bulleux mi fusion
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bonquaca · 7 years ago
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à S.B. / à E.D. / à R.B.
punctum flèche qui perce piqûre petit trou petite tâche petite coupure coup de dés hasard point sensible ponctuation épure hors champ échappée baiser
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