borgien - Tumblr blog

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Je savais combien ce genre de situation t’excitait, combien tu aimais quand je me montrais aussi dominateur, aussi inflexible. Tu te sentais vulnérable, à ma merci, ne sachant jamais ce que j’allais bien pouvoir faire pour te tourmenter... Et j’aimais te voir ainsi : tremblante, impatiente, inquiète, excitée...

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Il y a ce moment où tu me plaques contre le mur, où tu te colles à moi, ta bouche dévorant mon cou, mordant mes épaules, tes mains emprisonnant mes seins, ta queue battant contre mes cuisses, ta bouche frôlant mon dos pendant que tu t’accroupis et que j’en frissonne, tes mains écartant mes fesses, ta bouche sur ma chatte (quand tu me veux femelle, c’est ainsi que tu nommes mon cul), délicieuse caresse humide, ta langue s’y glissant, aiguisant mon plaisir, mouillant ma chatte, puis de tes doigts la travaillant, allant et venant alors que je gémis, ouvrant mon anneau, puis tu te relèves, tu te colles à moi, tes seins dans mon dos provoquant unevoluptueuse caresse, ta main guidant ta queue vers ma chatte, le temps suspendu quand le gland se pose à l’entrée de ma chatte et je sens tes reins qui poussent vers moi, puis tu es toute en moi, collée à moi, instants suspendus là encore, ta bouche léche mon cou, tu bandes, et pendant que tes reins conduisent la danse, tu chuchotes à mon oreille que je suis ta petite femelle, ta petite salope, ta petite pute que tu baises debout contre le mur....

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Je garde le souvenir de ces rendez-vous qui hante encore parfois mes nuits, ces rendez-vous où, affublée de ses atours qui me troublaient, qui excitaient mon désir jusqu’à le rendre presque insupportable, ses atours où se conjugaient si érotiquement le cuir, la résille et la dentelle, rouge la dentelle....

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Il suffit parfois d’une fine bretelle

pour inviter à la bagatelle

comme d’autres fois une dentelle

ou un porte-jarretelle

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Moi attaché, attentif à mes battements de cœur, au sang coulant dans mes veines, ma peau humide de sueur... Je suis exposé, tellement exposé, tellement vulnérable.

Je remue sous ses caresses douces, sous le bout de mes doigts effleurant mes cuisses de haut en bas, touchant parfois « accidentellement » mes couilles gonflées de sperme. Ma queue, ma bite, tremble dans sa cage.

Elle me veux comme sa chienne, sa salope, sa pute, pour me baiser le cul serré avec sa queue de latex. Je le sais, car nous désirons tous les deux la même chose : la conquête de mon corps autant que de mon esprit. Ma baise et l'étirement de ma chatte, de ses doigts, de sa bite de femelle.

Mais pas encore. Plus tard. 

D’abord mes tétons. 

Elle les entoure avec ses doigts pendant un moment, en les pinçant légèrement. A mes gémissements étouffés et à mon sexe qui palpite dasn sa cage, elle sait à quel point j’aime ça. Mais ce n’est pas suffisant, c’est l’heure des pinces et leurs petites dents mordent ma peau sensible.Je supporte la douleur, pour elle et parce que c’est elle qui décide quand, où et comment : ses règles.

Les pinces s'enfoncent dans ma chair, mon corps se convulse, elle caresse lentement mon visage tout en soufflant son haleine fraîche sur mes tétons. Elle m'embrasse sur le front, sur les deux joues. Ses mains trouvent les pinces et commencent à jouer avec elles. « Tu es à moi... ».

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Ce jour là, elle m’avait offert, ce qu’elle nommait un « bijou », me demandant de me parer en salope.... Bijou que je portais et dont elle jouait : le retirant un tout petit peu juste pour l'enfoncer, elle me baisait avec. La chambre d’hôtel s’emplissait de mes doux gémissements, de mes légers grognements et des petites gifles de sa paume sur la peau de mes fesses. 

Ensuite, elle a retiré le bijou de mon cul et l’a remplacé de ses doigts, a mis une main sur mes couilles, les faisant rouler dans sa paume, pendant que les doigts de son autre main faisaient leur chemin, allant et venant, ouvrant, forant, travaillant... puis mordillant ma peau, là où elle m’avait déjà donné une fessée. Sa bouche se déplaçait jusqu'à mon anus, toujours étiré par ses doigts, commençant à le lécher et à la sucer tout autour, déplaçant ses doigts sur les côtés pour que sa langue puisse les rejoindre. Elle savait à quel point j’aimes ça, mes fléchissaient. « Tu veux que je te baises maintenant, comme une petite salope ? Demande le moi... »

Me tirant sur ses genoux, me tenant fort, traçant un chemin allant de mon cou à ma bouche haletante, ses mains caresse doucement ma poitrine, je m’enfonce lentement sur sa verge de latex, en tenant ses genoux pour garder l'équilibre, je rebondis sur ses cuisses aussi fort que possible, jusqu’à...

Puis, nous sommes restés là, poitrine contre poitrine, couverts de sueur, de foutre et de sa mouillure, pendant longtemps, nous embrassant paresseusement...

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la douleur, infligée ou subie, est promesse d’une pureté de sensations...

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La faisant ni habillée ni nue, là réside tout le paradoxe et l'attraction de la résille...

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un instant suspendu devant sa peau qui d'une échancrure surgit, la peau, cet attracteur étrange, cet argile à façonner des caresses...

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il frôle son sein pour attiser son désir, il tourmente son téton (le pince entre ses deux doigts avant peut-être de procéder à d’autres tourments...), il tourmente ses tétons donc, afin d’entendre le feulement/ gémisssement qui s’échappera de sa bouche qu’il trouve terriblement sexuel (parce qu’animal ?) et de regarder sur son corps l’effet de ce genre de tourment, sur sa bandaison (il lui avait avoué qu’une douleur-plaisir, comme celle provoquée par son téton tourmenté, cheminait sous sa peau jusqu’à son sexe qui en bandait...)

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quand mes doigts (la) touchent, frôlent, égratignent, glissent, serrent, empoignent, étreignent, saisissent, fouillent, fourragent, éraflent, cinglent, griffent, écorchent, châtient...

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ce qu'elle dissimulait et ne révélait pas encore....

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cette échancrure comme une déchirure, comme un appel à d'exquises mouillures et morsures...

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il y eut le trouble (et le plaisir mêlé) d’être paré de voiles et de dentelles pour et devant vous, il y eut la caresse de vos mains sur ma peau au travers de ces voiles et dentelles, il y eut ce premier baiser alors que vous me preniez dans vos bras, il y eut...

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ce qu'il voyait d'elle, ce fut d'abord ses mains gantées. Aussitôt ce souvenir lui revint: lui nu, devant elle, ses deux mains mains gantées se positionnant sur ses épaules, entreprenant un lent massage caressant. ses doigts descendant petit à petit sur son dos, passant sur ses flancs (lui, appréciant le passage des reins à son cul où ses doigts ne s’attardèrent pas). Les caresses se poursuivant sur ses cuisses, puis vers ses mollets pour finir aux pieds. Une de ses mains caressant langoureusement ses fesses, un doigt de l’autre main suivant sa colonne vertébrale en descendant, passant le coccyx, se glissant dans sa raie où il la laissait accéder en écartant ses cuisses, elle, ne s’y arrêtant pas, saisissant ses couilles, les serrant puissamment....

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posant ses mains sur le corps, les chairs, palpant, pétrissant, massant, puis frottant son torse au sien, soulevant ses reins (l'autre ondulant sa croupe, ouvrant ses cuisses), happant ses couilles, les pétrissant, accrochant le membre relevé, le branlant, effleurant le gland, puis frottant la fente de son cul....

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il y a dans la danse sexuelle, quand les corps s’attouchent, se frottent, se brûlent l’un sur l’autre, ou dans l’autre, ces fluides à lécher, goûter ou boire : bave, sueurs, mouillure ou foutre..., liqueurs sexuelles enivrantes.