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Les entre-vues.
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Rouge amoureuse / Pour prendre part à ton plaisir / Je me colore de douleur,
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chatterleyy · 5 years ago
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Koba LaD - Guedro | A COLORS SHOW
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chatterleyy · 5 years ago
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Pyramid song - 800% slower
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chatterleyy · 5 years ago
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Je rêvais de me faire la belle et tant pis que tu sois prise Te kidnapper, je m'abaisse comme Hadès aux abysses
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chatterleyy · 5 years ago
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Après, le matin.
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chatterleyy · 5 years ago
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Ta, ma campagne
Je suis au chalet de bois avec des amis, je crois que c'est un de ces rares moments où je n'ai pas le temps de me trouver de l'espace parce que le temps est distendu, que je suis occupé, que je me surprend à être naturel, que ma tête a peu de temps pour se perdre en elle même.
Ce soir après trop d'alcool ils sont allés dormir dans leur chambre. Les soirs auparavant je m'écroulais dans le lit, complètement saoul, je n'avais pas le temps de m'éterniser quelque part. Ce soir, sans trop savoir pourquoi, je suis allé sur ta page, ici, que je croyais fermée, des photos, je t'ai retrouvé sur plusieurs nue, totalement nue, de la même nudité contre laquelle je pressais toute la mienne avec un désir infini, tes cheveux noirs longs inchangés, ta grâce toute pareille.
Je n'aurais pas dû ouvrir ça, je le sais, maintenant je suis dans le lit du haut, les murs sont fins, j'ai le coeur fondu et mon sexe est devenu gros. Je sais que je n'aurais pas dû ouvrir ça parce que je ne peux pas me retenir de le toucher lentement pour ne pas faire de bruit en me rappelant, en sachant qu'avant de venir je serai triste d'avoir perdu quelqu'un. Alors je décide de t'écrire jusque là, je sais que tu ne lis plus ici mais que tu te reconnaîtras si jamais quelque chose t'y mène.
Je me souviens du plaisir incomparable que je prenais à te faire l'amour évidemment. Mais je me souviens étrangement surtout de ces instants là où j'avais le corps endormi, long allongé, où tu glissais seulement ta main sous le drap fin où déjà je transpirais un peu. Surtout de la façon dont tu caressais mon sexe avec tes doigts, le branlait doucement, et de l'impression lorsque tu le faisais que tu me savais parfaitement, que tu en étais consciente, lorsqu'il y avait ta main là et encore jusque après que je coule sur elle et sur mon propre ventre, j'avais l'impression qu'en me caressant c'était comme si tu te masturbais, que tu ressentais mon plaisir tout le long et entièrement comme s'il était le tien, comme si même cette chose désireuse qui se tenait entre mes cuisses était la tienne, qu'elle avait déjà fait partie de ton corps.
Je me souviens aussi de ma langue sur tes fesses, de tes doigts dans les miennes, du plaisir que je prenais, quasiment à en venir seulement à te préparer ainsi, doucement. Je me souviens évidemment de l'amour ensuite, de comme j'aimais me voir disparaître entièrement là, sentir mes bourses caresser ta forêt, vider mon plaisir ici, précisément à cet endroit que tu m'offrais parce que là encore, tu savais mon désir comme si tu portais toi même mon organe.
Tu sais, je parle de tes mains et de tes fesses parce que je suis excité, proche maintenant, que mes mots sont abîmés ce soir par mon ventre qui gronde. Seulement, ce que je veux dire c'est que ces soirs là, lorsqu'on s'aimait, lorsque tu m'éternisais entre tes deux cuisses fines, lorsque tu m'accueillais entier et veiné par delà ce que tu disais être ta forêt noire, j'aurais aimé, lorsque je criais enfin de nos corps fondus, de notre ressemblance, te laisser un enfant dans le ventre, un enfant d'amour, le nôtre à nous seuls. Il serait né aujourd'hui, et au lieu de ma main mouillée de moi ce soir pour finir de t'écrire j'aurais aimé mouiller ton coeur encore et encore et toujours.
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chatterleyy · 5 years ago
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Vers Martigues, au hasard
Avec mes lèvres salées de mer je t'ai laissé Dans l'eau Pour jusqu'au mois suivant, où je sais que tu viens À l'exact même endroit, poser ton pied qu'il y a quelques mois tu frottais contre mon désir pour me répandre Sur la plage de galets, de roches séchées de soleil tout le jour Je t'ai laissé une marque en baiser de remous Un cri comme ceux que je ne sais retenir Un de ceux nombreux que tu disais aimer Quand tu prenais le large tu m'en donnais de pareils J'ai laissé cette marque comme un port reconnaissable Où je sais que tu jetteras ton ancre transpirante Pour allonger ton coeur et noyer ton plaisir.
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chatterleyy · 5 years ago
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☁️☁️
Dernier jour à Nîmes
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chatterleyy · 5 years ago
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De poisson à Belier sur des centaines de kilomètres -- mercredi 22 juillet au soir
Clara, je ne t'en veux pas. J'étais surtout énervé contre moi, enfin ton message m'a rendu triste, je me suis effondré en pleurs au milieu de ma famille. Ça m'a rendu très triste parce que c'est arbitraire, le fait que tu rentres, que tu t'en ailles, que j'ai jamais été doué pour rester avec les gens, mais que là c'était difficile à accepter parce que c'est la faute de quelque chose qui dépendait pas de nous. Qu'on s'est pas lassés, fâchés, battus, usés, y'a juste eu le covid, que pour moi c'est une raison affreuse et que ça me rend toujours triste parce que ce n'est pas une raison. Je crois que c'est vrai que je suis un poisson, je m'accroche à mes peines pendant longtemps, je suis un peu naïf, c'est comme un couteau que je garde sous ma gorge presque volontairement. Je suis heureux que tu m'aies envoyé ce message, parce que tu sais, comme toi je savais que c'était impossible, mais je n'avais pas la force de mettre un point, je n'ai jamais vraiment eu cette force là, j'ai toujours fui plutôt, arrêté de répondre. Tu as eu ce courage là et ça me touche énormément. Alors surtout ne t'en veux pas de la peine que tu peux me faire, tu me fais un cadeau en réalité, et je sais que tu n'oublies rien, je n'oublierai pas non plus, je me souviendrai toujours de ton sourire et de ta trop belle façon de voir que quelque chose cloche chez moi, de vouloir le régler, d'être bêtement là pour moi tout le temps. De m'aimer. J'ai eu longtemps du mal à me l'avouer, mais tu es la seule personne depuis très longtemps que j'ai considéré être une maison pour moi, un endroit où rentrer, chez soi. J'ai peur de ça depuis quelques années. Avec toi c'était simple, j'allais chez toi en sachant que c'était comme rentrer d'un voyage, à un endroit où on se sent chez soi. Et c'est très précieux, j'ai mis presque trente ans à le comprendre.
S'il te reste encore du temps en Italie, j'espère que tu en profiteras beaucoup, et j'espère que ton retour au Brésil sera beau et brillant.
Si tu reviens ici, en France ou à Lille, j'espère te revoir, pas forcément pour recommencer quelque chose, juste pour savoir, pour t'écouter parler et revoir tes yeux.
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chatterleyy · 5 years ago
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Kr
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chatterleyy · 5 years ago
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Après la nuit du 18 juillet 2020
Le bras entouré de ronces je me souviens de ton visage qui grattait ma peau ; tes deux dents qui en déchiraient doucement l'enveloppe comme elles le faisaient plus tôt dans la journée avec le fruit sur la table du salon, et mon sang rouge en petit point presque invisible sur ta lèvre supérieure.
Je t'ai aimée ce soir, j'ai aimé me souvenir de ta danse autour de moi, de l'ombre qu'elle laissait après que tu sois passée au-dessus et tout contre ; quelque chose après a poussé en moi, quelque chose d'invisible que je sentais sous ma poitrine, qui doucement chaque jour prend plus de place jusqu'à éclore dans mon cerveau en images à répéter cent fois. Tu es toujours là, répété cent fois.
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chatterleyy · 5 years ago
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Trouver les couleurs
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chatterleyy · 5 years ago
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Je suis comme un manguier dont les fruits sont trop lourds mais ne tombent pas. Arqué par le poids, avec dedans la peur qu’ils pourrissent tous avant de toucher terre, qu’ils pourrissent tous avant de toucher bouche. C’est la mélancolie qui en partie les empêche de tomber dans son mouvement étrange, mais je suis persuadé aussi que c’est elle qui fait mûrir de couleurs mes cent bras d’écorces.
Lorsque j’étale mon corps plein le soir, que je tente d’enfin fermer les yeux, ce sont toujours des images anciennes de dents fortes déchirant mon fruit qui me reviennent. Le souvenir puissant de ces instants-là où je me laissais entourer de ses cheveux bruns, de sa bouche puissante, où j’aimais ses quenottes et sa bave coulant sur mon cou. On échangeait nos eaux, on coulait l’un pour l’autre, j’ai toujours pensé qu’on était conscients de s’entre-dévorer, que l’amour était un plaisir gustatif, qu’il était sans cesse question de nos saveurs..
Je me souviens d’un mardi où je me retrouvais exténué, un grand sourire esquintant mon visage. Il était tôt. Sur son nombril à elle arrivait le soleil qui éclairait ma jouissance laissée là, coulante jusqu’au drap, collant et chatouillant la peau. Ce mardi elle avait tenu à rester là ensuite, immobile, allongée, à sentir le poids du soleil et le mien sur son ventre, et je me souviens que c’était pour moi un des moments les plus précieux. J’avais laissé là ma grappe, elle semblait vouloir s’en délecter lentement, sentir mon jus doucement circuler sur elle et en elle, se confondant avec le sien.
Je sais que les femmes que j’ai intensément aimées avaient tout en commun d’adorer mon odeur. S’il y a une chose qui leur est commune c’est celle-ci, lorsque allongées et proches elles posaient leur nez contre ma peau longtemps.
Je crois que je sens le poids que je porte au bout de mes doigts, que derrière ce poids il y a la saveur d’un fruit que je ne veux pas laisser tomber tant j’ai peur d’être avalé jusqu’au bois par la bouche vorace et amoureuse qui sans cesse me croque.
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chatterleyy · 5 years ago
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2.4.
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chatterleyy · 5 years ago
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C la fin
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chatterleyy · 5 years ago
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Coeur Coeur
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chatterleyy · 5 years ago
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chatterleyy · 5 years ago
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