The one where Christian Gourcuff tells a joke
Christian Gourcuff: «Confiance en mes joueurs»
«Quel est lâĂ©tat gĂ©nĂ©ral de votre groupe?
Tous les joueurs participeront Ă lâentraĂźnement du soir. Slimani a fait un travail individuel qui sâest rĂ©vĂ©lĂ© positif. Pour Yacine (Brahimi), il nây a pas de problĂšmes.Â
Comment imaginez-vous ce match contre la CĂŽte dâIvoire?
Un match ne ressemble jamais Ă un autre. Le SĂ©nĂ©gal a des caractĂ©ristiques trĂšs diffĂ©rentes de la CĂŽte dâIvoire. Je mâattends donc Ă autre chose. Dans les huit derniĂšres Ă©quipes en course, câest lâune des plus dangereuses, si ce nâest la plus dangereuse. Câest une Ă©quipe avec beaucoup de talent individuel mais chez nous aussi, il y en a. Jâai confiance en mes joueurs mĂȘme si on a beaucoup de respect pour les Ivoiriens. Le premier tour nous a permis dâemmagasiner de la confiance. La solidaritĂ©, la combativitĂ© Ă©taient lĂ .
Vous nâĂȘtes pas un adapte du turn-over. Allez-vous changer?
Je ne vous dirai pas mais Ă chaque match, il y a une histoire. Les trois compositions ont Ă©tĂ© diffĂ©rentes mĂȘme si on garde toujours un socle commun. Mais il nây aura pas de bouleversements fondamentaux.Â
Avez-vous lâimpression que les deux Ă©quipes montent en puissance?
Si lâon se rĂ©fĂšre aux matches de poule, oui. Mais il faut prendre en compte les considĂ©rations de chaque match. Je ne suis pas Ă©tonnĂ© que notre dernier match soit le meilleur en raison du terrain et de la tempĂ©rature moins forte.
Que pensez-vous du retour de Gervinho?
On aurait prĂ©fĂ©rĂ© quâil reste dans la tribune (rire) car il peut faire des grandes diffĂ©rences. Câest Ă©videmment un argument offensif de poids.»
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Deepest condolences to Christian Gourcuff on the death of his Mother
Le Président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraua, les membres du bureau fédéral, les joueurs et membres des staffs de l'équipe nationale à Mongomo
(Guinée Equatoriale) ont présenté leurs condoléances au sélectionneur national, suite au décÚs de sa mÚre.
Lâinformation a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© par la FAF ce jeudi 22 janvier 2015.
Christian Gourcuff est actuellement Ă Mongomo oĂč lâAlgĂ©rie jouera son deuxiĂšme match de la CAN contre le Ghana ce vendredi 23 janvier Ă 17h00.
Selon certains médias, Christian Gourcuff pourrait se rendre en Bretagne ce samedi pour les obsÚques de sa mÚre, avant de revenir pour le troisiÚme match.
Christian Gourcuff, ancien entraineur de Lorient, est Ă la tĂȘte de lâAlgĂ©rie depuis la fin de la Coupe du monde 2014.
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CAN 2015 : Christian Gourcuff, lâAlgĂ©rien
Christian Gourcuff devrait ressentir une pointe dâapprĂ©hension, lundi 19 janvier, lorsque retentira le Kassaman, lâhymne national algĂ©rien, dans le ciel du stade de Mongomo, lâune des quatre villes hĂŽtes de la Coupe dâAfrique des nations (CAN) 2015. Câest dans cette commune de 53 000 Ăąmes, par ailleurs citĂ© natale de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, inamovible prĂ©sident de la GuinĂ©e-Equatoriale depuis 1979, que le sĂ©lectionneur des « Fennecs » va diriger son premier match lors dâune compĂ©tition internationale. Pour son baptĂȘme du feu dans la poule C, lâex-entraĂźneur historique de Lorient (1982-1986, 1991-2001 et 2003-2014) dĂ©fiera lâAfrique du Sud, laurĂ©ate de lâĂ©dition 1996, organisĂ©e sur son sol, qui ne sâĂ©tait plus qualifiĂ©e directement pour la compĂ©tition depuis 2008. AprĂšs cette entrĂ©e en matiĂšre face aux « Bafana-Bafana », lâAlgĂ©rie affrontera le Ghana, le 23 janvier, puis, quatre jours plus tard, le SĂ©nĂ©gal, coachĂ© par le Français Alain Giresse.
Vainqueurs de la CAN 1990 sur leurs terres, les Fennecs ont prĂ©parĂ© le tournoi Ă Alger, au Centre technique national (CTN) de la FĂ©dĂ©ration algĂ©rienne de football (FAF), Ă Sidi Moussa. Le 11 janvier, les « Guerriers du dĂ©sert » ont disputĂ© une rencontre amicale contre la Tunisie (1-1), au stade de RadĂšs, prĂšs de Tunis. Christian Gourcuff nâa guĂšre apprĂ©ciĂ© la prestation livrĂ©e ce jour-lĂ par ses joueurs. « On a perdu beaucoup de ballons devant nos buts. Ce n'est pas possible et c'est irresponsable, a tonnĂ© le technicien breton. J'ai toujours insistĂ© sur la nĂ©cessitĂ© d'imposer notre jeu dans chaque rencontre. Nous n'allons pas dĂ©roger à la rĂšgle en GuinĂ©e-Equatoriale. » Avant de prendre leurs quartiers Ă Mongomo, les Fennecs ont fait une courte escale Ă Malabo, la capitale Ă©quato-guinĂ©enne, afin dâeffectuer des tests de dĂ©pistage de la fiĂšvre Ebola.
FAIRE OUBLIER « COACH VAHID »
ArrivĂ© en juillet 2014 Ă la tĂȘte des Ă©quipes A et Aâ (uniquement composĂ©e de joueurs locaux), Christian Gourcuff a succĂ©dĂ© au Franco-Bosnien Vahid Halilhodzic, en poste depuis 2011, dans une atmosphĂšre particuliĂšrement lyrique. Au BrĂ©sil, la sĂ©lection algĂ©rienne venait de rĂ©aliser lâun des plus grands exploits de son histoire en atteignant les huitiĂšmes de finale de la Coupe du monde. AprĂšs leur Ă©limination hĂ©roĂŻque contre lâAllemagne (2-1 aprĂšs prolongations), les Fennecs sont ovationnĂ©s par des AlgĂ©rois en transe Ă leur retour dans la capitale. « Zid, ya Wahid ! » (« reste encore, Vahid ! »), scande alors la foule, qui rĂ©clame le maintien du coach aux mĂ©thodes musclĂ©es mais payantes. « Vahid doit rester avec nous. C'est une grande Ă©quipe que nous avons », va jusquâĂ Â dĂ©clarer le chef de lâEtat, Abdelaziz Bouteflika. Dans les esprits, lâĂ©popĂ©e du Mondial 2014 a mĂȘme supplantĂ© le « triomphe de Gijon », lorsque lâAlgĂ©rie avait battu (2-1) la RĂ©publique fĂ©dĂ©rale d'Allemagne au premier tour de lâĂ©dition 1982.
MalgrĂ© les suppliques et les lamentations du peuple, « coach Vahid » quitte son poste pour rejoindre le club turc de Trabzonspor. Mohamed Raouraoua, le prĂ©sident de la FAF, fait alors appel Ă Christian Gourcuff, sondĂ© dĂšs le printemps et qui sâest rendu au BrĂ©sil pour superviser les Fennecs durant le tournoi planĂ©taire. La feuille de route assignĂ©e au technicien de 59 ans est claire : entretenir la spirale vertueuse engagĂ©e par une sĂ©lection qui sâest hissĂ©e dans le Top 20 au classement FIFA, se qualifier pour les demi-finales de la CAN 2015 et passer le premier tour lors du Mondial 2018, en Russie. Le FinistĂ©rien sort alors dâune « rupture amoureuse » avec le FC Lorient, aprĂšs vingt-cinq ans dâun rĂšgne divisĂ© en trois pĂ©riodes. « On est passĂ© de lâamateurisme au professionnalisme [de la division supĂ©rieure rĂ©gionale Ă l'Ă©lite], on a ensuite construit vers la Ligue 1, puis on a consolidĂ© le club en Ligue 1 », confiait-il au Monde en mai 2014.Â
Il venait alors de disputer son dernier match au stade du Moustoir, battu par Lille (4-1), laissant les rĂȘnes de lâĂ©quipe Ă son adjoint Sylvain Ripoll. Les « Merlus » avaient fini la saison Ă une « plus quâhonorable » huitiĂšme place en championnat. Lâancien professeur de mathĂ©matiques, fascinĂ© par le « jeu du BrĂ©sil des annĂ©es 1970 », le FC Nantes d'Arribas, Vincent et Suaudeau, le « grand Milan AC dâArrigo Sacchi » et le Barça de Pep Guardiola, sortait dâun exercice 2013-2014 Ă©prouvant. ConsidĂ©rĂ© tel le garant de lâidentitĂ© du FC Lorient, fait de jeu en mouvements et dâhumilitĂ©, Christian Gourcuff Ă©tait rentrĂ© en conflit avec son prĂ©sident, lâhomme dâaffaires LoĂŻc FĂ©ry, Ă la tĂȘte du club depuis 2009.
LE DĂPART DE LORIENT
« Si jâĂ©tais restĂ©, je nâaurais pas Ă©tĂ© fidĂšle au FC Lorient, considĂ©rait le technicien. En partant, je lui reste fidĂšle. En vingt-cinq ans, il y a eu beaucoup de moments difficiles. La mĂ©moire sâefface. Beaucoup de gens ne connaissent pas toutes les difficultĂ©s quâon a vĂ©cues. Les prĂ©sidences tournent. On est beaucoup dans lâĂ©phĂ©mĂšre, dans le foot. On ne se penche pas tout le temps sur le passĂ©. Savoir dâoĂč on vient est important pour le futur. Jâen veux Ă LoĂŻc FĂ©ry. Dans un rapport de forces prĂ©sident-entraĂźneur, le prĂ©sident gagne. Il y avait un problĂšme stratĂ©gique et humain, plus profond : câĂ©tait la conception de lâentreprise. Si jâavais Ă©tĂ© un entraĂźneur qui avait Ă©tĂ© lĂ depuis deux ans, jâaurais cohabitĂ©. Mais quand ça fait vingt-cinq ans que vous construisez le club, il y a des choses que vous ne supportez pas. Mon histoire a fait que ça sâest mal terminĂ©. » En septembre 2013, la vente du jeune prodige lorientais Mario Lemina Ă lâOlympique de Marseille, rĂ©alisĂ©e par LoĂŻc FĂ©ry malgrĂ© le refus de son entraĂźneur, avait mis le feu aux poudres.
« Il faut tourner la page et avancer, assurait Christian Gourcuff. Câest le gros problĂšme de lâinvestissement passionnel quâon a dans un club. Quand on avait de la passion, câest comme une rupture amoureuse. La thĂ©rapie est de repartir dans un autre projet et de sâinvestir Ă fond. Je lâai vĂ©cu aprĂšs mon passage Ă Â Rennes [en 2002]. Je suis restĂ© deux mois⊠câĂ©tait invivable. Je me suis remis dans un projet au Qatar. Jâavais besoin de mâĂ©loigner. »
En contact avancĂ© avec la FAF, il Ă©voquait alors Ă demi-mot son prochain challenge Ă la tĂȘte des Fennecs. Son devoir de rĂ©serve l'empĂȘchait d'en parler de maniĂšre trop explicite. « Quand lâentraĂźneur arrive, ça roule parce quâil y a toujours une phase de grĂące. Tenir, câest trĂšs difficile, dĂ©veloppait-il. Mais il y a une forme dâapprĂ©hension. Il y a une forme de danger. On en tire un surcroĂźt de motivation. On arrive Ă un stade de sa carriĂšre oĂč les risques font partie du challenge. Le plus difficile dans le mĂ©tier dâentraĂźneur est lâoption temps pour mettre en place des choses, crĂ©er un collectif. Avec une sĂ©lection, câest trĂšs limitĂ©, rĂ©duit. Je ne me fixe pas de limite dâĂąge pour exercer. Câest la motivation qui compte. Quand on se fixe une limite, câest quâon y est plus. Câest un point de non-retour. »
« UN JEU CREATIF »
Lâex-entraĂźneur lorientais est arrivĂ© Ă Alger avec dans ses bagages Guillaume Marie, son prĂ©parateur physique, qui officiait auparavant au Havre, et lâancien joueur lorientais (2006-2010) et ex-international algĂ©rien (2001-2010) Yazid Mansouri, promu adjoint et manageur gĂ©nĂ©ral. Il a Ă©galement dĂ©signĂ© un deuxiĂšme adjoint local, Nabil Neghiz, afin de donner des gages Ă la FAF. Il a surtout importĂ© ses idĂ©es de l'autre cĂŽtĂ© de la MĂ©diterranĂ©e. « Jâai des antimodĂšles : tout ce qui est axĂ© sur la destruction, sur lâimpact physique. Je ne me retrouve pas lĂ -dedans. La conception du foot nâest pas nĂ©gociable, insistait-il en mai 2014. Pour moi, elle ne sâadapte pas aux circonstances. Câest beaucoup plus profond que ça. Câest une façon dâĂȘtre, de voir la vie. Ăa va plus loin quâune question dâefficacitĂ© sur un match. Je prĂ©fĂšre vivre avec mes idĂ©es que mourir avec celles des autres. »
« J'ai choisi l'Algérie pour deux raisons, a-t-il expliqué lors de sa premiÚre conférence de presse. La premiÚre est relative au potentiel du football algérien, représenté par le talent de ses joueurs, dont certains avaient travaillé avec moi à Lorient, à l'image de Saïfi et Mansouri. En plus, je pense que l'équipe est formée actuellement de joueurs trÚs intéressants dont le style de jeu, basé sur la créativité et la technique, correspond à ma philosophie. »
Lire notre entretien : « A la CAN, il y a une surreprésentation des anciennes puissances coloniales »
Le quinquagĂ©naire sâest Ă©galement engagĂ© Ă entretenir des relations apaisĂ©es avec les mĂ©dias locaux, particuliĂšrement exigeants depuis l'Ă©popĂ©e du Mondial 2014. « Ce quâon appelle la communication est plus un effet dâesbroufe qui sâest dĂ©veloppĂ©. Cet aspect-lĂ existait avant dans une moindre mesure. Le savoir-faire est important, mais le faire savoir est capital maintenant. Communiquer, câest dire les choses. Et la communication nâest pas conçue comme ça dans le football, dĂ©plorait-il au printemps 2014. Câest, au contraire, ne pas dire les choses, ou alors dire des choses qui sont fausses. On en dit le minimum, ou on dit des banalitĂ©s pour ne pas se mettre en difficultĂ©. Câest presque du mensonge. Câest un terme qui est dĂ©nuĂ© de son sens premier. On est toujours dans la vente de quelque chose. »
Depuis qu'il a pris en main les Fennecs, Christian Gourcuff enchaĂźne les allers-retours entre son pavillon de Hennebont, commune situĂ©e Ă une dizaine de kilomĂštres de Lorient, et une rĂ©sidence dâEtat, nichĂ©e dans lâouest dâAlger, dans laquelle il a Ă©lu domicile. En AlgĂ©rie, il est escortĂ© au quotidien par un garde rapprochĂ© pour des raisons de sĂ©curitĂ©. PrĂŽnant « un jeu crĂ©atif », Christian Gourcuff le pĂ©dagogue sâest appuyĂ© sur les cadres de lâeffectif (le solide dĂ©fenseur Rafik Halliche ou le chevronnĂ© capitaine Mehdi Lacen) prĂ©sent au BrĂ©sil ainsi que sur les talentueux milieux Yacine Brahimi (FC Porto) et Sofiane Feghouli (Valence CF).
UN NĂOPHYTE SUR LA SCĂNE AFRICAINE
En septembre 2014, le technicien a entamĂ© son parcours qualificatif pour la CAN 2015 par une victoire (2-1) face Ă lâEthiopie sur le terrain marĂ©cageux et bosselĂ© du stadium dâAddis-Abeda, Ă 2 400 mĂštres dâaltitude. Le Breton a enchaĂźnĂ© sur quatre succĂšs consĂ©cutifs avant de concĂ©der, en novembre au Mali, sa premiĂšre dĂ©faite (2-0) comme sĂ©lectionneur. Pour bĂątir son groupe dans lâoptique du tournoi continental, il se repose sur la quasi-totalitĂ© des « mondialistes » transcendĂ©s par son prĂ©dĂ©cesseur en y agrĂ©geant quelques pĂ©pites comme le milieu de Newcastle Abeid Mehdi et les Parmesans Djamel Mesbah et Ishak Belfodil.
En GuinĂ©e-Equatoriale, Christian Gourcuff fait partie des six techniciens français aux commandes dâune sĂ©lection engagĂ©e dans la CAN. En comparaison avec les « monstres sacrĂ©s » et « sorciers blancs » que sont Claude Leroy (Congo), vainqueur de lâĂ©dition 1988 avec le Cameroun et huit participations au compteur, HervĂ© Renard (CĂŽte dâIvoire), victorieux avec la Zambie en 2012, et Henri Kasperczak (Mali), en lice pour la sixiĂšme fois, le FinistĂ©rien fait figure de nĂ©ophyte sur la scĂšne africaine. Loin dâavoir encore fait oublier Vahid Halilhodzic, il entend glaner un trophĂ©e qui Ă©chappe aux Fennecs depuis vingt-cinq ans. Soit une Ă©ternitĂ© pour les supporteurs algĂ©riens.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sport/article/2015/01/19/can-2015-gourcuff-l-algerien_4557911_3242.html#pAEtFsK0arHXICTj.99
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Algeria 3-1 South Africa: Slimani seals emphatic comeback
Bafana Bafana took the lead just after half-time but three goals in 16 minutes secured maximum points for Christian Gourcuff's side
Algeria got their Africa Cup of Nations campaign off to a flyer as they came from a goal down to beat South Africa 3-1 on Monday.
Christian Gourcuff's Algeria side, the top-ranked national team in Africa, are among the favourites to win the tournament but looked to be heading for defeat when Thuso Phala gave Bafana Bafana a deserved second-half lead at Estadio de Mongomo.
South Africa striker Tokelo Rantie then missed a penalty a few minutes later and that was to prove costly as Algeria fought back to win their Group C opener.
Thulani Hlatshwayo's own goal pegged Shakes Mashaba's men back and Napoli defender Faouzi Ghoulam added insult to injury by putting Algeria in front five minutes later.
Islam Slimani then sealed the points with a third goal, which goalkeeper Darren Keet should have kept out, as South Africa were left to reflect on what might have been.
South Africa did not allow their opponents to settle in the first half and they were unfortunate not to be in front when captain Dean Furman rattled the crossbar with a rasping long-range drive 22 minutes in.
Bafana Bafana then suffered a blow when they lost a distraught Rivaldo Coetzee to injury, meaning Siyabonga Nhlapo entered the fray after only half an hour.
South Africa looked increasingly threatening and had two great chances to take the lead just before half-time as Algeria rode their luck.
Sibusiso Vilakazi looked certain to open the scoring when he wriggled free in the penalty area and was poised to apply the finish when Rais M'Bolhi came out to deny him.
Algeria were again indebted to M'Bolhi a minute later, as this time Vilakazi picked out Andile Jali in space in the penalty area and he took his time before seeing his shot kept out by the Philadelphia Union keeper.
M'Bolhi was unable to prevent South Africa from deservedly taking the lead six minutes into the second half, though, when Phala rounded off a fine move.
The lively Rantie flicked the ball back from the byline into the path of Vilakazi, who in turn set up Phala and the midfielder took a touch before firing home from eight yards.
Algeria were unable to live with the pace of Bafana Bafana and Mashaba's men should have doubled their lead two minutes later, when Aissa Mandi clattered into Vilakazi as he raced into the area and referee Noumandiez Desire Doue pointed to the spot.
Mandi was somewhat fortunate to escape with only a yellow card and Algeria were given another let off when Rantie's penalty hit the crossbar and went behind for a goal-kick.
Algeria responded and Keet denied Slimani, who reacted quickly but saw his header palmed onto the post by the South Africa keeper.Â
Gourcuff's men were then gifted an equaliser when defender Hlatshwayo could only head Yacine Brahimi's cross into his own net after 67 minutes.
And worse was to come for South Africa five minutes later, when Ghoulam surged into the penalty and found the back of the net with a left-footed strike that Keet ought to have done better with at his near post
Slimani then stole in to add a third goal seven minutes from time, as Keet had another moment to forget by allowing a tame shot to squirm under his body and into the net.
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Comment Christian Gourcuff a imposĂ© sa patte sur lâAlgĂ©rie...
Le 30 juin 2014, lâAlgĂ©rie sortait de la Coupe du Monde la tĂȘte haute, Ă©liminĂ©e par lâAllemagne en 1/8Ăšme de finale. Un palier que la sĂ©lection nationale a atteint pour la premiĂšre fois de son histoire. Une vĂ©ritable fiertĂ© nationale qui sâest traduite par une fĂȘte exceptionnelle au pays lors du retour des hĂ©ros. Les supporters algĂ©riens nâont dâailleurs pas manquĂ© de montrer leur soutien Ă Vahid Halilhodzic. Ils avaient mĂȘme lancĂ© une pĂ©tition sur le net afin que la FĂ©dĂ©ration AlgĂ©rienne de Football conserve le Bosnien Ă la tĂȘte dâEl Khadra. En vain. La FAF avait dĂ©jĂ dĂ©cidĂ© de confier les clĂ©s de la sĂ©lection Ă Christian Gourcuff, libre de tout contrat. Une dĂ©cision actĂ©e avant le dĂ©but du Mondial. Tant sportivement que humainement, le challenge Ă©tait donc de taille pour lâancien entraĂźneur du FC Lorient. Mais lâhomme en a vu dâautres. Quatre mois aprĂšs la fin du Mondial, le technicien tricolore impose sa patte sur une sĂ©lection qui pointe Ă la 15Ăšme place au classement FIFA. Sous ses ordres, lâAlgĂ©rie est invaincue. Mieux, elle est dĂ©jĂ qualifiĂ©e pour la prochaine Coupe dâAfrique des Nations 2015. Il devra Ă©galement mener ses troupes Ă la CAN 2017 et Ă la Coupe du Monde 2018 en Russie. Des objectifs Ă long terme pour Gourcuff. MĂȘme sâil reste encore du chemin Ă parcourir et quâil nâen est quâau dĂ©but de sa mission, le Breton a commencĂ© Ă mettre en place certaines choses. Mais quâapporte-t-il aux Fennecs ?
Le style Gourcuff
Si succĂ©der Ă Coach Vahid Ă©tait difficile par rapport Ă la cote de popularitĂ© dont le Bosnien jouissait auprĂšs des fans Ă lâissue du Mondial, Christian Gourcuff sâen sort plutĂŽt bien pour le moment. Avec quatre victoires en autant de matches, lâancien entraĂźneur de Lorient a rĂ©ussi ses dĂ©buts Ă la tĂȘte de la sĂ©lection algĂ©rienne. Plus que les bons rĂ©sultats, les Fennecs sĂ©duisent par le style de jeu proposĂ© notamment offensivement. SpĂ©cialiste du foot maghrĂ©bin pour France Football, Nabil Djellit apprĂ©cie : « Ăa fait peu de temps quâil est lĂ donc ce nâest pas encore palpable. Câest une Ă©quipe qui tournait dĂ©jĂ bien. Elle continue Ă bien tourner. Il a surtout changĂ© le schĂ©ma tactique. JusquâĂ prĂ©sent, lâĂ©quipe dâAlgĂ©rie Ă©voluait en 4-3-3 ou en 4-2-3-1. Avec Christian Gourcuff, elle est passĂ©e en 4-4-2. Donc on va dire quâil y a eu surtout un changement tactique. CâĂ©tait attendu. Il arrive avec ses idĂ©es. On a lâimpression que le principal changement est Ă titre individuel. Cela a libĂ©rĂ© un joueur comme Yacine Brahimi. Il a encore pris plus dâimportance quâil nâen avait par le passĂ©. Idem pour Riyad Mahrez qui a pris plus dâĂ©paisseur avec lui. Maintenant dans le jeu, les joueurs commencent Ă assimiler ses mĂ©thodes. Je pense quâil faut encore attendre le vrai rendu ».
MĂȘme constat pour Bilel Ghazi, journaliste Ă Â LâĂquipe et spĂ©cialiste du football algĂ©rien.« Jâai lâimpression que lâAlgĂ©rie cherche davantage Ă imposer son jeu par rapport aux prĂ©cĂ©dentes annĂ©es. Aujourdâhui, Christian Gourcuff a peut-ĂȘtre permis aux Fennecs de prendre conscience quâils nâavaient pas seulement les arguments dans lâenvie, dans la hargne. Avec Vahid, câĂ©tait surtout une Ă©quipe qui jouait avec le cĆur. Tout en gardant cette base lĂ , il a rĂ©ussi Ă inculquer des notions tactiques un peu plus poussĂ©es. AprĂšs deux rassemblements, câest un petit peu court pour vĂ©ritablement juger de ce quâil a pu rĂ©volutionner ou non. Mais avec quatre matches et quatre victoires, le bilan est plus que positif. On a le sentiment quâil y a une base qui a Ă©tĂ© jetĂ©e par Christian Gourcuff avec son fameux 4-4-2 qui accorde une place toute particuliĂšre Ă Yacine Brahimi. Il ne faut pas oublier que toute lâEurope sâenthousiasme aujourdâhui pour lui. Il y a quelques mois, ce nâĂ©tait encore quâun joker pour Vahid. Christian Gourcuff le place en soutien dâIslam Slimani. Toute lâĂ©quipe bĂ©nĂ©ficie de ce rĂŽle plus important accordĂ© Ă Brahimi ».
Un management différent de Vahid
Petit Ă petit, le nouveau sĂ©lectionneur pose donc les jalons de son projet avec lâĂquipe nationale algĂ©rienne. Un fond de jeu basĂ© sur les qualitĂ©s intrinsĂšques du groupe et une discipline tactique, voici ce quâapporte pour le moment lâancien coach de Lorient. Par rapport Ă son prĂ©dĂ©cesseur, il faut Ă©galement souligner que Christian Gourcuff se distingue par ses mĂ©thodes et sa façon dâapprĂ©hender la vie de groupe. « Aujourdâhui, câest un management diffĂ©rent de celui de Vahid Halilhodzic, prĂ©cise Bilel Ghazi. Câest un peu moins rigoureux, un peu moins militaire si on veut reprendre la caricature suscitĂ©e par Vahid parfois. Christian Gourcuff responsabilise Ă©normĂ©ment son groupe. Tout nâest pas forcĂ©ment ultra cadrĂ© comme ça pouvait ĂȘtre le cas il y a quelques mois. Lui-mĂȘme me confiait quâil nâavait pas forcĂ©ment besoin de mettre trop de cadre parce que les joueurs sâauto-rĂ©gulaient assez bien. Il nây avait pas de dĂ©bordements. Il nây a pas de joueurs qui profitaient du fait quâil soit cool pour dĂ©passer les limites. Le groupe a toujours bien vĂ©cu. Au niveau des jeunes, peut-ĂȘtre quâils sâĂ©panouissent un peu plus avec Gourcuff. On sait que les mĂ©thodes de Vahid, Ă la longue, peuvent ĂȘtre "usantes" et "contraignantes" pour de jeunes joueurs. Gourcuff est jusquâici efficace en matiĂšre de management ».
Outre les relations avec les joueurs et le staff, les deux hommes ont Ă©galement des rapports diffĂ©rents avec la presse comme nous lâexplique Nabil Djellit : « Vahid, câest un personnage. Un coach qui est un peu la star. Câest un meneur dâhommes avec beaucoup de rigueur. Il donnait une vraie philosophie de jeu. Christian Gourcuff est vraiment portĂ© sur le jeu et sa maniĂšre de lâexpliquer. Il passe son temps Ă parler tactique. Câest quelquâun dâun peu plus austĂšre. Il est peut-ĂȘtre moins conflictuel que Vahid. Sâil fallait aller au clash, il y allait. On lâa vu notamment au travers de ses sorties face Ă la presse. Le rapport avec la presse a vachement changĂ©. Câest beaucoup plus pacifiĂ©. Le rapport entre la presse algĂ©rienne et Vahid nâĂ©tait pas trĂšs bon. En revanche, avec Christian Gourcuff les choses semblent ĂȘtre rentrĂ©es dans lâordre. Lâavantage avec lui quand il est en confĂ©rence de presse, câest quâil ne parle que de foot. Donc il nây a pas de prises de bec sur des sujets polĂ©miques. Câest une diffĂ©rence entre les deux ».
Des priorités établies
Si le bilan de Coach Vahid est plutĂŽt positif, Christian Gourcuff devra tenir la distance sur la longueur tout en continuant dâimposer sa patte. Comparer les deux hommes peut donc sembler prĂ©maturĂ©. Dâautant que le technicien français sera jugĂ© sur lâensemble de son travail mĂȘme si en quelques mois il a sĂ©duit les diffĂ©rents observateurs. Avant lui, Vahid Halilhodzic sâest distinguĂ© en misant sur le vivier local. Un point sur lequel Gourcuff sera lui aussi amenĂ© Ă travailler : « Il a appelĂ© de nouveaux joueurs pour le prochain rassemblement, souligne Bilel Ghazi. Je sais quâaujourdâhui une de ses prioritĂ©s est de sâappuyer encore un peu plus sur le championnat local. Il veut aider le football algĂ©rien Ă se dĂ©velopper mais pas en allant chercher uniquement des joueurs qui ont la double nationalitĂ© et qui ont Ă©tĂ© formĂ©s en Europe. Il a Ă©tĂ© justement recrutĂ© par la FĂ©dĂ©ration pour cela. Si on fait un parallĂšle avec Lorient, câest plus sur la notion de projet. LâAlgĂ©rie veut rebĂątir des fondations solides et se concentrer davantage sur son vivier local, câest-Ă -dire des joueurs formĂ©s en AlgĂ©rie. Christian Gourcuff est appelĂ© Ă participer Ă cela. Je sais que câest quelque chose qui lâavait Ă©normĂ©ment motivĂ© dans sa volontĂ© de rejoindre lâAlgĂ©rie ».
Une tĂąche qui prendra du temps. Mais lâentraĂźneur ĂągĂ© de 59 ans ne sây est pas encore rĂ©ellement consacrĂ© nous explique Nabil Djellit : « Je pense quâil nâa pas encore vraiment fait un travail de dĂ©tection parce quâil vient juste dâarriver. Vahid lâavait fait avec le temps. Il avait rĂ©ussi Ă sortir des joueurs comme Slimani, Soudani, Djabou, Belkalem. Pour lâinstant, quand on regarde les listes de Gourcuff, il nâa pas vraiment travaillĂ© sur les locaux. Il a une Ă©quipe Aâ dans laquelle il viendra piocher sâil repĂšre des joueurs lĂ -dedans. Ăventuellement, il pourrait en promouvoir un ou deux dans la liste finale. Les places valent cher. LĂ , il a appelĂ© le meilleur buteur du championnat tunisien, Baghdad Bounedjah, au dĂ©triment dâun joueur comme Belfodil. Je pense quâil nâa pas encore fait le tour du championnat dâAlgĂ©rie ». Un championnat quâil aura largement le temps de dĂ©couvrir et oĂč il dĂ©nichera peut-ĂȘtre les futures stars des Fennecs. Une mission que Gourcuff prend Ă cĆur ; lui qui souhaite aider le football algĂ©rien Ă poursuivre sa progression. Un processus dĂ©jĂ bien entamĂ© par Vahid Halilhodzic. Reste Ă savoir si Gourcuff aura la mĂȘme rĂ©ussite avec les AlgĂ©riens. Ce qui est sĂ»r, câest que tout est rĂ©uni pour quâil arrive Ă ses fins.
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