clementrioual23
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Clément Rioual
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clementrioual23 · 2 years ago
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Les Demoiselles de Rochefort, Jacques Demy, 1967
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clementrioual23 · 2 years ago
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I think about jumping
Off of very tall somethings
Just to see you come running
And say the one thing I’ve been wanting… but NO!
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clementrioual23 · 2 years ago
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The drought was the very worst,
When the flowers that we'd grown together died of thirst.
It was months and months of back and forth,
You're still all over me like wine-stained dress I can’t wear anymore.
— Taylor Swift, Clean (Taylor's Version)
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clementrioual23 · 2 years ago
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Les Parapluies de Cherbourg, Jacques Demy
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clementrioual23 · 2 years ago
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Moon, tell me if I could
Send up my heart to you?
So, when I die, which I must do
Could it shine down here with you?
— My Love Mine All Mine, Mitski
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clementrioual23 · 2 years ago
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Pauline a la plage, Éric Rohmer
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clementrioual23 · 2 years ago
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— Nicolas de Staël
« Je sais que ma vie sera un continuel voyage sur une mer incertaine, c’est une raison pour que je construise mon bateau solidement »
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clementrioual23 · 2 years ago
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« Que se serait-il passé ? Lol ne va pas loin dans l’inconnu sur lequel s’ouvre cet instant. Elle ne dispose d’aucun souvenir même imaginaire, elle n’a aucune idée sur cet inconnu. Mais ce qu’elle croit, c’est qu’elle devait y pénétrer, que c’était ce qu’il lui fallait faire, que ç'aurait été pour toujours, pour sa tête et pour son corps, leur plus grande douleur et leur plus grande joie confondues jusque dans leur définition devenue unique mais innommable faute d’un mot. J’aime à croire, comme je l’aime, que si Lol est silencieuse dans la vie c’est qu’elle a cru, l’espace d’un éclair, que ce mot pouvait exister. Faute de son existence, elle se tait. Ç’aurait été un mot-absence, un mot-trou, creusé en son centre d’un trou, de ce trou où tous les autres mots auraient été enterrés. On n’aurait pas pu le dire mais on aurait pu le faire résonner. Immense, sans fin, un gong vide, il aurait retenu ceux qui voulaient partir, il les aurait convaincus de l’impossible, il les aurait assourdis à tout autre vocable que lui-même, en une fois il les aurait nommés, eux, l’avenir et l’instant. Manquant, ce mot, il gâche tous les autres, les contamine, c’est aussi le chien mort de la plage en plein midi, ce trou de chair. Comment ont-ils été trouvés les autres ? Au décrochez-moi-ça de quelles aventures parallèles à celle de Lol V. Stein étouffées dans l’œuf, piétinées et des massacres, oh! qu’il y en a, que d’inachèvements sanglants le long des horizons, amoncelés, et parmi eux, ce mot, qui n’existe pas, pourtant il est là : il vous attend au tournant du langage, il vous défie, il n’a jamais servi, de le soulever, de le faire surgir hors de son royaume percé de toutes parts à travers lequel s’écoulent la mer, le sable, l’éternité du bal dans le cinéma de Lol V. Stein. »
— Marguerite Duras, Le Ravissement de Lol V. Stein
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