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Notre problématique

“Comment fédérer une communauté qui prône le partage et l'entraide ?”

-Bonhumeur, groupe 4

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Typologie des comportements des utilisateurs

Consulter

S’informer (sur la plateforme web ou les bornes interactives) sur le planning des animations à venir.

Initier

Être à l’initiative d’un projet, proposer un nouvel atelier sur un lieu public.

Contribuer

Prendre part à l’organisation que ce soit en sponsorisant/finançant ou en aidant tout simplement à l’organisation de l’évènement.

Diffuser

Participer activement à la diffusion de l’information quant aux évènements à venir (réseaux sociaux, bouche à oreille, affichage (papier ou numérique) ou tout autre moyen de communication)

Participer

Prend part à l’évènement le jour J (s’inscrire au préalable depuis l’application ou le site ou participer spontanément).

Observer

Ne pas prendre part à l’évènement mais observer et regarder; et peut-être avoir l’envie la fois suivante de réellement participer.

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Les quartiers ne sont pas assez vivants, surtout le soir.

Un homme interviewé près du centre Mayol

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Toulon ? C'est mort, il n'y a rien à faire de jour comme de nuit

Une femme interviewée dans la rue

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Il faudrait plus d'activités pour les jeunes !

Un jeune homme questionné dans la rue

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Récit d’usage

Claire a 27 ans, elle est éducatrice spécialisée à Toulon et en couple avec Damien depuis près de 3 ans. Elle pratique le yoga depuis 10 ans et fait partie d’un club de peinture dans lequel elle apprend diverses techniques. Claire est très généreuse, elle aime partager son savoir-faire et ses nombreux hobbies. Étant éducatrice, elle travaille beaucoup avec les enfants et elle leur transmet sa passion pour la peinture, elle a même mis en place une exposition au mois d’octobre dans laquelle elle présentait les chefs d’oeuvre des enfants afin qu’ils soient fiers d’eux.

Un samedi matin, Claire n’avait rien prévu hormis regarder quelques séries. Un bon programme cocooning en perspective, mais elle pense tout de même que ce serait bien de sortir un peu. Cependant, Claire déplore le manque d'activités gratuites le samedi matin en centre-ville. En dehors du marché sur le cours Lafayette, il y a très peu d’animations. Il n’y a pas non plus de cours de yoga ni de peinture le samedi. En somme, Claire s’ennuie aujourd’hui. Elle contacte Marie, une amie à elle, pour aller boire un café à la brasserie La Place située sur la place de la liberté. Rendez-vous pris, elle file se préparer pour aller rejoindre son amie.

Un café brûlant entre les mains, parées de lunettes de soleil, les deux amies discutent sur la terrasse de la brasserie. Marie lui raconte ce qu’elle a fait le week-end dernier.

- J’ai participé à un flashmob improvisé avec une dizaine de personnes sur la place Puget. C’est une asso toulonnaise qui organise des petits évènements de ce genre en centre-ville. Je ne connaissais pas du tout mais j’ai trouvé l’initiative très sympa. Et puis je me suis vraiment régalée à danser avec des gens que je ne connaissais pas !

- Ah c’est drôle effectivement. Comment elle s’appelle cette association ?

- Euh… Bonheur. Non… Bonhumeur ! En fait je crois qu’ils proposent à tous les habitants de créer leurs propres ateliers dans la ville, le tout gratuitement. Mais bon, je t’avoue que je ne me souviens pas de tout. Ils ont très certainement un site internet qui regroupe toutes les informations.

- Mais comment tu savais qu’il y avait un flashmob ?

- J’ai vu une affiche en passant devant la mairie l’autre jour. J’en ai profité pour télécharger l’application smartphone pour pouvoir regarder l’agenda régulièrement.

Les deux jeunes femmes poursuivent leur conversation au soleil.

En rentrant chez elle sur les coups de 11h, Claire s’installe sur son canapé, bien décidée à rattraper les épisodes en retard de sa série préférée. Au bout de quelques minutes, elle se souvient de sa conversation avec Marie et attrape sa tablette tactile. Malheureusement, elle ne se souvient plus du nom de l’association. Au hasard, elle tape “animations toulon” sur Google et accède directement à la page des résultats. Dès le premier lien adwords, Claire découvre le site “Bonhumeur”.

- Ah oui c’est ça le nom ! pense-t-elle.

Elle clique sur le lien et accède à la plateforme web. Durant les minutes suivantes, elle parcourt le site pour en savoir plus sur l’association, ses actions et ses valeurs. Elle apprend notamment qu’il s’agit d’une asso bénévole qui propose aux habitants de Toulon d’être à l’initiative d’animations et ateliers ludiques, gratuits, en plein centre-ville dans des lieux publics. La création d’évènements est gratuite et les démarches simplifiées : c’est l’association qui gère directement toutes les formalités administratives nécessaires. L’idée séduit Claire qui clique sur le bouton “Agenda”. Elle y découvre la liste des évènements à venir et ce, sur plusieurs endroits de Toulon. Place de la liberté, place Puget ou encore place d’Armes il y a en fait une multitudes de petites animations gratuites et ludiques que Claire ne soupçonnait pas, alors qu’elle vit en plein centre. Claire décide de cliquer sur le bouton “Je suis intéressé(e) par cet évènement” pour une initiation à la zumba qui aura lieu samedi prochain sur la place de la liberté.

Le samedi suivant, elle enfile sa tenue de sport et ses baskets puis elle file sur la place de la liberté pour son tout premier cours de zumba. En arrivant sur place, elle découvre une vingtaine de participantes, toutes issues de quartiers différents et de tout âge. La séance commence, Claire s’éclate et apprend ses premiers pas de zumba. Elle ne se sent pas du tout gênée car presque toutes les participantes sont débutantes comme elle. Une heure plus tard, le cours est terminé mais les participantes discutent un peu. Puis, Claire rentre chez elle.

En fin de matinée, Damien rentre de sa séance running et Claire en profite pour lui raconter son premier cours de zumba, en plein centre-ville. Elle trouve le projet de Bonhumeur très intéressant et retourne sur le site pour découvrir le planning des évènements à venir. En parcourant l’agenda, elle repense à l’exposition qu’elle avait organisé au club de peinture pour présenter les oeuvres des petits apprentis peintres aux parents. Elle se demande si ce ne serait pas intéressant d’organiser un atelier peinture, un peu comme le cours de zumba. Elle clique sur le bouton “Proposer un évènement” puis remplit le formulaire avec ses informations personnelles et la description de l’évènement qu’elle souhaiterait mettre en place. Enfin, elle clique sur “Envoyer le formulaire”.

Moins de 24h après, Claire reçoit un mail lui indiquant que son projet a été approuvé par l’équipe de Bonhumeur. Les démarches administratives ont été lancées auprès de la mairie de Toulon et Claire connaîtra très prochainement la date de son atelier. L’équipe de Bonhumeur lui informe également que c’est l’association qui s’occupe de la recherche de partenariats avec les entreprises locales pour avoir le matériel nécessaire pour la réalisation de son projet : peindre une fresque géante avec des parents et leurs enfants. Un travail collectif qui mêle les générations.

Quelques jours plus tard, Claire reçoit un nouveau mail de la part de Bonhumeur. L’équipe lui indique que son projet a été validé par la mairie de Toulon et que la recherche de partenariats avance bien notamment avec les boutiques Art 3000 et Charlemagne. Elle dispose également d’une date : son projet de fresque collective aura lieu dans quatre semaine. Désormais, son évènement apparaît dans le planning des évènements disponible sur la plateforme. Ravie, Claire s’empresse d’en parler à ses proches et de partager l’agenda sur les réseaux sociaux. Au cours des semaines suivantes, Claire échange régulièrement des mails avec l’équipe de Bonhumeur afin de préparer au mieux l’évènement. En se connectant sur la plateforme, Claire peut voir qu’il y a déjà une dizaine de personnes intéressées par cet évènement. Voilà qui est très encourageant. Autre avantage : c’est Bonhumeur qui se charge de la promotion de l’évènement. Affichage (papier et numérique) dans la ville en partenariat avec la mairie de Toulon, campagnes sur les réseaux sociaux…

Le jour J, des dizaines de parents et enfants sont au rendez-vous. Tous les âges et toutes les communautés sont représentés, il y a même des étudiants qui sont venus donner un coup de main pour l’encadrement du projet. Claire coordonne la création de la fresque géante, elle donne des conseils de peinture aux plus petits et les félicite.

Deux heures plus tard, alors que les personnes venues aider pour l'organisation ramasse la fresque géante, Claire se rend au stand tenu par l’équipe de Bonhumeur situé sur la place pour les rencontrer et les remercier pour leur soutien. Elle apprend que la fresque sera exposée durant une quinzaine de jours sur la place de la liberté.

Plusieurs heures après, Claire rentre chez elle : ravie mais exténuée. Installée sur son canapé accompagnée de Damien, elle regarde les photos prises avec son smartphone. Elle se connecte sur Facebook et lit les commentaires très positifs laissés sur la page Facebook de Bonhumeur par les participants. Elle fait un débrief avec Damien qui était également présent lors de l’évènement. Elle a trouvé le résultat fantastique et a particulièrement apprécié le mélange des générations pour ce projet collectif. Cette initiative a permis aux habitants de Toulon de se rencontrer autour d’un objectif commun, gratuit, toujours dans la joie et la bonne humeur. Le quartier était vivant, les commerçants à proximité ravis de cette animation et l’équipe de l’association géniale.

Depuis, Claire a téléchargé l’application et participe régulièrement aux évènements gratuits proposés chaque semaine dans les lieux publics de Toulon.

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Veille technologique

Nous allons axer notre veille sur les dispositifs numériques permettant l’interaction avec les passants. Notre objectif : connaître les technologies utilisées afin de déterminer lesquelles nous choisiront pour la réalisation de nos bornes interactives situées en centre-ville.

Bornes dans les centres commerciaux (ex: Grand Var)

Nous avons dans un premier temps dirigé nos recherches vers les bornes d’orientation situées dans les centres commerciaux et plus particulièrement Grand Var. Installées en 2010, ces tables interactives sont équipées par ViaDirect (solution logicielle tactile). Gros avantage : ViaDirect contient un outil d’administration permettant au client de modifier lui-même les contenus.

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Bornes interactives dans les fast-food (ex: McDonald’s)

Les bornes de commande installées dans les fastfood depuis 2008 permettent de fluidifier les files d’attente et d’améliorer la satisfaction des clients. Ces bornes sont conçues par la société Acrelec (MacDonald’s, Quick, Carrefour...).

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Hashtag trophy

Entreprise spécialisée dans l’affichage des réseaux sociaux au coeur des espaces publics. Ces bornes permettent notamment la mise en avant d’hashtags spécialement pensés pour un évènement. Les + ? La gamification et les interactions en temps réel.

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Digilor Marketing

Cette entreprise propose des applications conçues pour les bornes tactiles à destination de tous les secteurs d’activité (hôtellerie, secteur médical, immobilier...). 

D’après notre projet, nos bornes interactives se rapprocheraient davantage du projet créé par ViaDirect : des bornes numériques dédiées à l’information auprès des riverains. Nous aimerons cependant des fonctionnalités supplémentaires : l’ajout de proposition pour candidater auprès de Bon’humeur afin de créer un évènement dans le lieu public en question.

Les objectifs :

Proposer une expérience unique : les riverains passent devant ces bornes, consultent l’agenda et peuvent proposer en seulement quelques clics un évènement à organiser.  

Dynamiser le centre-ville avec des dispositifs performants qui permettront aux citoyens de prendre part aux activités locales.

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Comment fédérer une communauté qui prône le partage et l'entraide ?

Bon’humeur, groupe 4

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Veille concurentielle

Myqaa

Myqaa est plateforme web et une application permettant de mettre en relation les organisateurs d’évènements et les participants. Ce projet s’adresse essentiellement aux professionnels et aux associations qui mettent en place des évènements (salons, conférence...). Myqaa donne de la visibilité aux évènements. Cette application est payante et par conséquent son accessibilité est restreinte : un citoyen lambda ne pourra s’en servir facilement pour communiquer sur son évènement.

La start up Myqaa créé des applications spécialement conçues pour les évènements afin d’obtenir davantage d’interactivité entre les participants et les organisateurs.

Similarité avec notre projet Bon’humeur : ++

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Nearify

Nearify est une application permettant de recenser les évènements par localisation et par genre. Elle offre de la visibilité aux évènements locaux mais il ne s’agit en aucun cas d’une plateforme pour organiser des évènements. Les utilisateurs ont la possibilité de laisser des messages et donner leur avis. En somme, cette application permet uniquement de communiquer sur des évènements, elle s’apparente à un agenda interactif.

Similarité avec notre projet Bon’humeur : +

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Gogobot

Gogobot recense les principaux points d’intérêts par lieux (restauration, évènement, points touristiques...). Cette application, uniquement disponible en anglais, s’apparente à un guide du routard 2.0 avec une fonctionnalité supplémentaire : un agenda qui catalogue les évènements.

Ce projet, avant tout destiné aux voyageurs, s’éloigne de notre philosophie : créer des animations pour et à l’initiative des citoyens.

Similarité avec notre projet Bon’humeur : +

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OnVaSortir

OnVaSortir est un site qui propose de d’organiser des évènements dans un cadre privé et de proposer un certain nombre de places réservables par les participants.

Ce site manque clairement de dynamisme et de visibilité. La cible client ne correspond pas à la nôtre : OVS a souvent une image de clientèle vieillissante. De plus, il n’existe pas de fonctionnalité permettant d’organiser des évènements sponsorisés ou financés par des professionnels. Néanmoins, nous retrouve un facteur essentiel que nous souhaitons développer avec notre projet : les initiatives des particuliers pour l’organisation d’évènements.

Similarité avec notre projet Bon’humeur : ++

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Eventbrite

Eventbrite est le projet qui se rapproche le plus de notre idée. Cette plateforme offre une aide pour l’organisation d’évènements (logistique, tickets...) ainsi que sa promotion.

Cependant, cette plateforme ne met pas en relation les parties prenantes organisatrices de l’évènement (par exemple, pour l’organisation d’un évènement sur l’espace public : contact avec la mairie) et ne comporte pas la dimension citoyenne (création de lien social, cohésion, gratuité…) que nous voulons donner à notre projet.

Similarité avec notre projet : +++

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Eventful

Le site Eventful permet de donner de la visibilité à des évènements tels que des concerts, la diffusion de films… et ce, selon les centres d’intérêts des utilisateurs. Par ailleurs, Eventful ne permet pas d’organiser un évènement citoyen dans sa ville. Il s’agit essentiellement d’une plateforme qui recense les évènement à venir avec la possibilité de réserver des places grâce à des sites partenaires.

Similarité avec notre projet : +

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Jump in

Le site Jump In permet de participer ou d’organiser une soirée. Les valeurs développées par le site sont : le partage, les rencontres et la convivialité. Le site semble viser un public jeune et fêtard et contrairement à notre projet, nous ne retrouvons pas la notion de citoyen. De plus, Jump In propose en outre d’organiser des soirées dans des espaces privés, et non dans des espace publics.

Que retenons-nous de cette veille concurrentielle ?

Nous disposons d’une véritable opportunité de positionnement grâce à la dimension “citoyenne” qui est au centre de notre projet ;

Nous partageons des valeurs similaires : partage, convivialité, bonne humeur et interactions sociales ;

Contrairement à beaucoup de ces projets, Bon’humeur a une portée plus locale, réellement centrée sur les besoins des habitants d’une ville.

Ce qui nous démarque : la possibilité aux citoyens d’être à l’initiative d’évènements, la gratuité et la notion de facilitateur en matière d’organisation.

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Les sorties culturelles sont beaucoup trop chères pour nous

Deux passantes rencontrées dans la rue 

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Le post it du jour : BONHUMEUR

Jolie contraction de bonheur et bonne humeur

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Ça bosse dur ce matin 🔜 Création de personas, typologie des utilisateurs...

Et vous, serez-vous early iniators ? early adopters ?

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Nous avons rencontré les habitants toulonnais

Nous avons interviewé des habitants de Toulon, de tout âge afin de discuter avec eux et déterminer quels sont leurs besoins. Nous avons séparé notre panel en trois profils : les jeunes, les adultes et les seniors afin de déterminer si leurs besoins sont similaires ou nettement distincts.

Jeunes

Les profils interviewés

Jeune toulonnais qui n’habite plus à Toulon aujourd’hui

Une collégienne

Trois lycéens

Deux personnes sans emploi

Cinq jeunes hommes

Un couple d’étudiants

Deux jeunes femmes

Les remarques notées :

Toulon manque de vie

Il faudrait + de loisirs, d’animations

Travaux de rénovation

Parking gratuit

Plus d’évènements sur la plage

Sorties culturelles moins chères

Tarifs trop chers (cinéma, bowling, théâtre…)

Insécurité

Boite de nuit, festivals, rave party

Ville sale

Problèmes avec la police

Aucune activité après 19h

Les suggestions formulées au cours de la discussion :

un lieu pour les jeunes (bar, restaurant) où chacun pourrait jouer d’un instrument

créer un festival avec différentes sortes de musique

transport et bus de nuit

Adultes

Les profils interviewés

Deux parisiens récemment installés à Toulon

Une maman installée depuis décembre à Toulon

Deux mamans

une commerçante qui travaille à Toulon qui n’y habite pas

Un barman qui est à toulon depuis 20 ans

Agent ASVP

Agents de sécurité (Mayol, Opéra)

Un père de famille

Les remarques notées :

Il manque du travail pour les jeunes

Plus d’évènements pour les jeunes

rapprocher les populations

insécurité : rajouter des caméras, personnes pas agréables

manque d’activités le soir

Ne se sentent pas intégrés dans la ville en tant que commerçants

les magasins ferment en centre-ville (loyers chers), et ils ne sont pas remplacés / concurrencés par les grands centres commerciaux

beaucoup de logements sociaux dans le centre-ville (pouvoir d’achat assez bas)

parking gratuit

plus rien à partir de 19h

il faudrait que les magasins ouvrent plus tard le samedi

éviter les amalgames : les personnes se sentent divisées et jugés / contrôles de police / difficultés à trouver du travail

travail des associations

ville bruyante

améliorer les transports, tramway ?

manque d’information sur les activités de la ville

Les suggestions formulées au cours de la discussion :

un lieu où il y aurait tout le temps des activités musicales, un lieu très vivant

petits groupes de musiques pour refaire vivre le centre-ville (période de noel, été)

taxer les propriétaires qui ont les locaux vides et qui ne louent plus

création d’un vrai parc pour enfants

Seniors

Les remarques notées :

insécurité, se sentent agressés mais que ça avait évolué ces derniers temps

mise en place de bus nocturnes

problèmes de parking

quartiers peu vivants le soir (port par exemple)

éviter les amalgames, populations divisées

Ce que nous retenons :

Manque d’activités, de sorties et d’animations pour les habitants quel que soit leur âge. Est-ce un manque d’information ? un problème de communication ? Est-ce que les programmations ne sont pas assez populaires ?

Gros problématiques sur les transports, les parking. Comment améliorer la circulation ?

Problèmes d’insécurité.

Au terme de ces interviews, nous avons compris que les 3 profils rencontrés ont des remarques similaires. En dehors du sentiment d’insécurité dû à la désertion des rues le soir, le grand reproche fait à la ville de Toulon réside dans le manque d’activités et d’animation. Après avoir discuté avec plusieurs personnes travaillant au sein de la mairie de Toulon, nous avons compris que l’essentiel du problème est d’une part le manque de communication, et d’autre part une offre un peu trop élitiste qui ne correspond pas toujours aux goûts du plus grand nombre. 

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Benjamin, graphiste, développeur, vidéaste, et ventriloque aussi aime traîner sur les Internets et regarder One Punch Man. Chef de projet web dans son Sud-Ouest natal, il a l’amour du travail bien fait et surtout du bon foie gras du Gers.

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Yuna, tout droit sortie du pays-basque avec un accent à s’en faire gratter la gorge et un rire à en percer les tympans ! Faites un tonnerre d'applaudissements à notre chargée de com’!