Du plomb dans la tête, l'atome 82 et des fleurs de cotons. On a tous un côté solaire, on a tous un côté pluvieux. ADELINE B.
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'' Chaque génération est un nouveau peuple''
Je n'aurai jamais la vie que je veux parce que tout ce que je pense depuis longtemps finira par se réaliser, malgré moi ou à cause de moi.
Malgré vous ou a cause de vous.
Le futur n'arrive jamais car seul le présent est. Mais notre vie rêvée n'est qu'aujourd'hui.
Je vais faire des albums photos pour Immortalisées mes plus beaux moments, pour me rappeler la vie que jai rêvé pour de vrai, il fut un temps.
Est ce que quelqu'un viendra nous aider ?
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Vous avez tellement pris aux tripes et aux cœurs que parfois je me demande comment j'ai pu être cette autre personne.
Est ce normal d'être à la fois soulagée et nostalgiques de toutes ses peines ?
Les êtres sensibles sont incencés tu ne trouves pas ?
Je ne sais plus où m'exprimer.
Mon Dieu, je sais bien que personne ne verra ça. Mon Dieu, comme les gens torturés sont tirallés entre le fait d'être compris et celui de ne pas vouloir être compris.
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Avis à toi âme de passage;
Sache que tous ces mots ont été écrit dans la rapidité et la peur qu”ils s’évaporent aussi vite qu’ils sont arrivés jusqu’à mon esprit.
Voilà pourquoi, si tu passe par là, là maintenant tout de suite, tu risques de te prendre une vague déferlantes de phrases presques incensées et dailleurs mal tournées (Note à moi meme : revoir mes tournures de phrases) ainsi que possiblement une multitude de fautes d’orthographes et de fautes de frappes. Bien consciente que cela décribilise pas mal ce que j’essaye avec peine de faire sortir de ma tête (dailleurs parce que je ne veux pas emporter mes pensees avec moi, du moins pas toutes), sache que je n’ai juste pas l’energie là tout de suite pour corriger cela. Il est 23h03 et mon ame fatiguée de ses etats d’âmes à besoin de repos.
A bientot......avec ou sans fautes
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Cher Univers,
L’humain s’entête à toujours commencer ses questions par des “pourquoi ?” sans se demander plutot “comment ?”. Alors je vais essayer de me poser moins aussi mes questions différents. Puisque nos pouquois n’auront jamais de réponses satisfaisantes, peut être que nos Comments réussiront à nous apaiser. Peut etre que si on lon comprend comment telle chose est arrivée, on comprendra peut etre plus pourquoi. En fait, on s’y perd completement.
Désolée,je crois qu’on a juste besoin de trouver un peu de sagesse à nos pourquois sans réponses.
Donc je me disais.
Comment ca se fait que l’on soit tellement proche de certaines personnes à un moment de notre vie et que d’un seul coup, ou plutot progressivement; sans s’en rendre compte, on se retrouve à des années lumières d’elle ? Comme est ce que cest possible qu’une personne qui a tant compté ne fasse soudainement plus partie de notre vie ? Comme ca se fait que la connexion entre ces 2 personnes soient si spéciales, qu’elle crée des étincelles autour d’elle, qu’elle secou le microunivers des ondes qui nous entourent et puis que quelques temps après les étincelles finissent par cesser de briller, la lumière cesse d’emettre et la connexion, comme une batterie totalement déchargée, ne fonctionne plus ? Comment ? Et pourquoi en fait???
Je me pose cette question de manière spirituelle parce que cest certainement plus facile de cette manière que d’admettre juste que nos actes tendent tous simplement à rapprocher ou à éloigner les gens des uns des autres.
Je sais que cest comme ca cher Univers, je lai bien compris avant même de te poser la question... Alors si la connexion de tous ces êtres qui ont été connecté à moi un jour ne reviens jamais, je voulais juste leur dire merci d’avoir apporter une partie de leur Etre chaleureux dans ma vie.
Merci aux personnes que j’ai cottoyé de plus près à un moment de ma vie, Margot, Coco, Alban... Merci pour vos lumières. Merci à celle que j’ai cotoyé de plus loin, merci pour vos lueurs. Merci à toutes ces personnes qui ont été de passage dans ma vie pour un temps.
Et pour toutes ces personnes que j’ai autour de moi et maintenant, merci d’etre à mes côtés, merci pour ce chemin que l’on fait ensemble et maintenant. Merci pour vos étincelles, merci de rayonner à mes côtés.
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Cosmic Spirit
Cher Univers,
Tu me rend complètement dingue. C’est fou à quel point quand je lève mes yeux au ciel, je suis à la fois fascinée et rassurée de voir tous ces mondes qui brillent autour de moi, j’ai l’impression qu’ils me sont familliers, je les ai toujours vu. Comme tout le monde. Car oui, que serait notre ciel terrestre sans étoiles ? Je pense qu’un ciel sans astres sonnerait pour tous les habitants de la Terre comme une partie manquante de leurs propres Etres.
Cher Univers, toi autour de moi comme ca, tu me réconfortes mais comme je suis boulversée et effrayée en même temps si tu savais.
Enfin je pense que tu le sais,quelle question.
Je garde les pieds sur Terre mais je ne peux pas m’empêcher de sentir la vague qui s’élève en moi quand je te regarde.
On est tellement seuls. Et pourtant on est censé faire qu’Un. Tu penses que tu nous expliqueras un jour ? Quelle question, tu nous l’a déjà expliqué des millers de fois, n’est ce pas ?
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Qu’est ce montage est mal fait, my god. Mais j’adore l’Univers. Le ciel me parle, les étoiles me fascinent, ces milliards de monde qui flottent au dessus de notre tête à des années lumières de nous et qui ne savent même pas que je les observe. Mais peut être qu’eux aussi ils m’observent ?
Peut-être que cet Univers à un sens ou peut-être qu’il n’en a juste pas.
Peut être qu’il y a une bouteille dans l’espace comme on jette sur Terre nos bouteilles à la mer. Peut etre que le message c’est qu’il n y a pas de message. Peut être que le message dit simplement :
“Chers tous, chers Etres de l’Univers, chers atomes, chères particules, chères poussières. Vous êtes ici parce que c’est comme ca et qu’il n’en est pas autrement. Notre message est : Vivez. Faites ce que vous pouvez. Vous ne serez ni puni, ni récompensé. A la fin, vous n’aurez rien, aucune promesse, juste celle d’un cycle sans fin que vous répétrer, infiniement. Vous vous oublierez, vous vous rencontrerez et à chaque moment précis d’un cycle vous finirez par vous reposer les mêmes questions existentielles. Aucune de vos réponses ne vous satisfera jamais, car vous savez et avez toujours sur qu’il n’y avait que deux réponses possibles. Soit l’Univers à un sens et vous en serez effrayé, soit l’Univers n’a pas de sens et vous en serez d’autant plus boulversé. Vous avez les réponses en vous et les avez toujours eu. Votre mission est de vivre, coûte que coûte, de vivre sans raisons et de re commencer sans cesse.
Signé : L’Univers. C’était dire Vous car vous êtes l’Univers.”
C’est tordu non ?
Chère Univers,
Je ne suis pas sûre de vouloir connaître les réponses. Moi je suis juste triste de quitter sans cesse tous les gens que j’aime. Je suis tellement triste si tu savais comme ca me dépasse. Pourquoi avoir plusieurs vies et prétendre se retrouver tous ensemble à la fin de chacune d’elle si on est à nouveau tous séparé aux 4 coins de la Terre ou de l’Univers. A quoi ca sert d’être des âmes qui s’aiment, se séparent; se retrouvent et s’oublient ?
Chère Univers, on prone toujours l’Amour, l’Unisson mais il faudrait qu’on revoit notre conception humaine de l’Amour non ? C’est pas plutôt triste tout ca ?
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Est ce que j’ai le droit d’être heureuse si ma mère a perdu son père puis sa mère puis son frère et si mon père a perdu sa mère puis son père ? Si ils sont tous les deux orphelins et si la fraterie de ma mère est maintenant bancale ?
A certains moment, je pense que la vie n’a pas de sens. Ca me fatigue, ca me fait de la peine, ca me desespère. Ca n’a pas. de. sens.
Je les aime tellement.

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Lettre à moi même
Toi Etre sensible, petit Etre à fleur de peau,
Qui ne montrera rien mais qui se vexe pour rien, pour un mot de travers, un geste éphémère, un maudit mot dit
toi pour qui ton coeur peut se briser mille fois dans une journée
pour une feuille qui tombe, une fleur qui fane, une personne qui s’éloigne
Toi Etre sensible, incapable de contrôler le champs de force autour de tes émotions
ton esprit est un vacarne,
tes larmes sont en fusion, prêtes à s’abandonner,
ta sensibilité est un volcan dans lequel bouilloune les eaux troubles de ton fort intérieur
tes pensées se cognent, elles sont un tourbillon, une tornade
mais tout n’est qu’une question de volonté
cesse tes tempêtes, tempère ton esprit
si tu veux retenir tes emotions, alors contiez-les
si tu veux pleurer, je ten prie, pleure.
Moi Etre sensible, sensible partout et pour tout, sensible pour rien
je m’efforce de dompter mes émotions
je suis tiraillée entre ma vérité et mon image
je ne veux pas être démasquée, je veux me préserver
Pourtant mon coeur se brise mille fois dans une journée
mais je suis mon propre maître, je bataille entre moi et moi
je suis un Etre sensible et contenplatif, inssuportable et passifiste
je ris à outrance et pleure en abondance
pour tellement et si peu à la fois
je ne peux m’en prendre qu’à moi meme
Je suis parfois le jour, je suis parfois la nuit.
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Je ne sais pas pourquoi je suis morcelée et pourquoi il me manque des fragments de ce que je suis avec chaque personne. Je ne sais pas pourquoi je peux ressentir tout et rien à la fois, je me sens vide et à la fois oppréssée par une multitude de choses qui se bousculent en moi. J’ai l’impression que tout le monde trouve sa place dans l’espace, mais moi, entourée d’âmes qui prennent trop de place et qui brassent de l’air sans voir ce qu’il se passe autour d’elles, moi je m’efface. Je n’aime pas la confrontation et mon Etre n’a pas toutes ses armes pour s’imposer, alors je m’allie au silence et j’observe ce monde qui se dérobe sous mes yeux. Je suis impuisssante et faible parfois même avec ceux que j’aime. Mais de toute facon personne ne sait. Personne ne voit en moi et personne ne voit en vous non plus après tout. Je ne sais pas ou est la vérité de mon être. Et vous, l’a connaissez vous la vôtre de vérité ? Est ce que la personne que je suis en fait partie ? Il y a des choses fondamentales qui sont encrées en moi et dont je connais la nature rassurante mais il y a des choses suspendues à la falaise de mon coeur et dont je ne sais pas si je me dois de les retenir ou de les lacher. Alors je les laisse stagner, au gré de mes émotions flucluentes. Je les laisse ni trop loin ni trop près, je ne m’en sépare pas, tout comme si il s’agissait d’un objet à valeur sentimentale. Je suis un peu tirallée mais finalement ca ne m’empeche pas de vivre, cest juste un boule d’émotions que j’enterre au fond de moi et qui remonte parfois quand je suis avec vous et qui re surgit la Nuit quand je suis seule, entre moi et moi.
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Si je devais devenir un jour un réseau social fantôme, sachez que : Mon enfance fut merveilleuse, enchantée, pleine d'espoir et de gaieté, ma jeunesse fut belle et électrique bercée par un air d'Electric Feel, l'avenir nous attend, on ne peut dompter ni l'espace, ni le temps, je prendrai donc mon temps, vivrai le temps qu'il faudra, aujourd'hui je suis heureuse et dans un autre monde je le serai aussi. Il y a 150 ans je n'existais pas, dans 150 printemps (étés, automnes ou hivers) je n'existerai plus non plus, mais bon, mon âme n'a pas de mauvais souvenirs de sa vie antérieure il y a 150 ans, alors partons du principe qu'il en sera de même dans un siècle et demi ;) et que je serai toujours là, quelque part. Quelqu'un à dit : "Je crois en l'âme et en l'éternité. Il n y a aucune raison que l'Univers tourne, et que nous, on disparaisse" Je suis du même avis. Advienne que pourra, mais avec ceux que j'aime et qui m'aiment, on se retrouvera. Bien à vous, Adeline Blandin. And I’d choose you; in a hundred lifetimes, in a hundred worlds, in any version of reality, I’d find you and I’d choose you. dc*
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Extrait n°2 : le jour et la nuit
Etrangement en revenant ici, je découvre que la date de ma dernière publication correspond au 14 novembre 2017, et pourtant je suis là, un an après le 15 novembre 2018 a trouver le courage de mettre toutes mes pensées à plat, sur ce bout de papier virtuelle, lisible par personne car personne ne sera assez curieux pour arriver jusqu’ici. Alors qu’il en soit ainsi, voici le lieux sacré de mes pensées les plus profondes, lisible par qui voudra bien les lire.
Un an sans écrire ce n’est pas un an sans penser, sans pensées.
J’aime me dire que si je n’écris pas, c’est que je vais bien et que donc je devrais continuer de ne pas écrire, car écrire ici signifierait que je ne me sens pas bien. C’est vrai quoi, les gens deviennent toujours tellement de grands poètes quand ils sont empreint d’une grande tristesse, d’un grand malheur. Seuls les transits d’amour heureux écrivent lorsqu’ils sont heureux. Mais sinon, personnes n’écrit quand il est heureux, car écrire est un refuge pour les âmes en peine. Les personnes heureuses n’écrivent pas, elles vivent au jour le jour, elles n’ont pas besoin de laisser une trace écrite d’elle car elles savent que même si l’âme est éternelle, le temps est ephémère et que rien ne sert d’écrire des mots sur ses maux, il faut juste vivre, aimer vivre, aimer les gens que l’on aime, les aimer très fort et leur dire, pas leur écrire.
Je me perds dans mes mots, car au fond, je ne suis pas malheureuse et pourtant j’écrire quand même. Mais voilà, je suis un être complexe et paradoxale, je vis le jour, je suis heureuse, mais je vis la nuit et je me sens soudain vulnérable, livrée à moi même, seule. Je me dis sans cesse que je recherche un paradis pour y loger mes démons. La nuit m’engloutis de toutes mes pensées les plus obscures. Le jour s’abaisse, la nuit augmente et toutes mes pensées les plus profondes resurgissent.
Enfin bref, rien de bien surprenant pour n’importe lequel d’entre nous, pas vrai ? Tout le monde à son esprit qui cogite la nuit, tout le monde broie du noir, remue ses pensées, à chacun son dégrés de penser. A chacun son issus. Est ce qu’elles vous mènent à l’endormissement ou est ce qu’elle vous pousse à pleurer ? J’imagine que tout dépend à quoi l’on pense.
Moi la nuit, je pense à l’Univers, je pense à ma vie, à ma mort. Et plus j’y pense dans la nuit noire, sans soleil, sans nuages, juste les étoiles, et plus je trouve ça insoutenable. Je me demande qu’elle est ma place dans l’Univers. Je me demande où j’ai bien pu être tout ce temps, tous ces 4,5 millards d’année ? Et je me demande où est ce que je vais passer les prochains. Est ce que je suis éternelle ? Est ce que j’ai déjà vécu d’inombrables vies ? Mais alors, si c’est le cas, mon dieu, quelle tristesse toutes ces personnes abandonnées. Je ne peux même pas imaginer le jour où je serai séparé de ma famille et des gens que jaime. La seule chose réconfortante là dedans c’est de savoir, d’espérer se retrouver dans l’au delas (enfin appelons ça comme on voudra, il n y a peut-être pas d’au delas, peutêtre pas de ciel. Peutêtre que le paradis et l’enfer des âmes errantes résident sur des autres planètes, ou peutêtre qu’il s’agit sinon d’un monde parallèle sur notre planète, ou peutêtre que la vie après la mort correspond à une terre passée, une terre future ou peutêtre qu’il n y a juste rien et que l’on retourne poussière dans le vide sidéral de la galaxie). Bref, ce que je tentais d’écrire avant d’être bousculer par le vacarne incessant de mes pensées, c’est : pour moi, mon espoir c’est une vie après la mort, c’est de pourvoir retrouver mes êtres chers. Mais bon sang, comment cela pourrait-il être possible si une fois partie de notre corps phyique, notre âme est renvoyé dans un autre corps. De quel droit, je ne sais qui encore, pourrait-il se permettre d’effacer notre propre souvenir ? D’effacer notre vie de telle âme dans telle corps ? Qui prévient les personnes qui restent qu’il n y a plus personne à pleurer ? Que l’âme de la personne qui est partie n’est plus ? Qu’elle à été emporté chez quelqu’un autre et qu’elle n’aura jamais le souvenir, la mémoire de ses êtres qui l’ont aimé dans son ancienne vie ? Bon sang, cest tellement injuste et triste, je suis remplie de colère rien qu’en pensant à cette foutue théorie. Et pourtant, en 4,5millards d’années, ça en aurait fait des âmes à renouveler, alors voilà, autant leur donner la possibilité de vivre plusieurs fois. Tout le monde y trouve son compte j’imagine ? La Terre se surpeuple petit à petit certe, mais elle connait les âmes qui l’habitent, elle sait qu’il y aura toujours des gens qui naiteront et dautres qui mourront et que nous petites ames, nous vagabonderont, de corps en corps, de vie en vie. Le fait d’oublier n’est peutetre pas si mal, cela nous épargne une certaine souffrance. Mais à quoi bon vivre, avoir une famille, aimer, si au bout du compte personne ne se retrouve jamais et si les âmes de cette Terre ne connaissent jamais de fin heureuse ? Peuvent elles choisir à la fin leur éternité ? Et avec quelle famille d’être la passer ?
Je te pose la question mon cher Univers, comme toutes les nuits, je cogite, je me perds, j’en ai peur et j’en pleure. Je voudrais pouvoir compter sur toi, mais je fais partie des pions et je n’ai pas mon mot à dire. Je cherche simplement comme tout le monde, la paix éternelle. Je ne veux pas me retrouver seule sans que personne ne m’entende, je ne veux pas être une âme errante dévastée. Je voudrais, lorsque mon jour viendra, qu’un être familier me tende la main et me guide. Mais je voudrais surtout que ceux qui restent ne se terrent pas dans la tristesse, qu’ils n’aient pas peur pour moi, car je trouverai toujours des solutions pour retrouver mon chemin. Je voudrais qu’ils continuent d’être heureux, qu’ils n’aient pas peur de la nuit et de la mort mais que si cest le cas, qu’ils l’écrivent comme moi je le fais maintenant.
Mon cher Univers, j’espère que tu sauras bien faire les choses et que tu me rameneras un jour auprès de ma famille et ma famille auprès de moi. Je ne sais pas si tu devras peser notre coeur comme dans l’Egypte ancienne, mais si c’est le cas, tu auras peut-être beau me trouver égoiste mais je peux t’assurer que tous mes actes sur cette planète n’auront eut que pour but de protèger et de garder ceux que j’aime. Si il y a bien une chose donc je suis sure, c’est que l’une des principales clefs de l’Univers réside dans l’Amour que chacun se porte mutuellement. L’Amour doit présider envers et contre tout. Je suis sûre que tu le sais et que c’est ça que tu attends de nous.
En attendant que tu récupères mon âme, je vais essayer de vivre ma vie la plus pleinement possible, de la vivre aux côtés de ceux que j’aime. C’est tout ce qui m’importe. Mais je continuerai tout de même à chercher un paradis pour mes démons, pour apaiser mes peurs et adoucir mes peines. Dans le plus grand des silences, ici sur le lieu secret de mes pensées tristes et obscures, je continuerai, à pas de velours, à penser et à me questionner. Je resterai ici pour ne pas immerger les autres de mes vagues négatives. Car pourtant, je pense à tout ça, à cette noirceur mais si tu savais à côté de ça, comme j’aime tellement la vie, et comme eux je les aime tellement.
Alors, dans l’attente de retrouver chaque nuit mes mêmes refrains, mes mêmes pensées et questionnements, je vais continuer à vivre le jour, de tout mon être, de toutes forces et je vais profiter de tous les soleils de ma vie.
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Je suis nostalgie et tristesse, soleil et gaieté
Extrait n°1 : premier essai.
Je commencerai par “Tout ce qu”on partage fleurit, tout ce qu’on garde pour soi moisit”.
Alors je dirai certaines choses, peut-être qu’elles fleuriront, peut-être qu’elles resteront ici comme hors de moi ou comme une copie de moi. Elles vogueront comme des milliers de particules à travers l’impalpable internet, comme une bouteille à la mer renfermant les SOS et les poèmes, elles trouveront peut-être un destinataire ou peut-être que non. Mais elles seront en dehors de moi ou comme une copie de moi. J’emporterai mes pensées et mes croyances avec moi mais peut-être même qu’une copie en restera sur cette terre. Comme les pensées flottantes dans l’air et que personne n’attrape. Comme toutes ces choses autour de nous que personne ne voit.
Quelqu’un à dit “Je suis comme un océan transformé en lac qui aurait la nostalgie de ses marées, de ses vagues et de ses tempêtes”, alors j’ai 21 ans et j’ai la nostalgie de mes marées, de mes vagues et de mes tempêtes, de mon passé, de ma famille, de mes amis, de mes états d’âmes.
Je suis triste car je sens que plusieurs choses se sont brisés et qu’elles resteront brisées toute la vie.
Mon enfance,
La plus belle époque de toute ma vie. Et comment puis-je dire ça en ayant vécu que 21 fois les 4 saisons ? Les quatre saisons, tient. J’ai vécu mon enfance en rythmée par ces 4 merveilleuses saisons que compose notre vie. Le printemps et l’apparition des primevère que ma mamie aimait tant, l’été et l’herbe verte qui craquait sous nos petits talons d’enfants, les abeilles, les lavandes. L’automne et ses feuilles tourbillonnantes, la montagne en face de moi qui prend la couleur du soleil, l’Hiver, les descente en luge au pied de la forêt, notre petit monde qui change et qui se donne un air encore plus mystérieux. Et j’en cite, comme des photographies, comme des films dans ma mémoire, qu’il est dur de déposer des mots sur une telle intensité de bonheur. Printemps, Eté, Automne, Hiver, je me souviens de nos cabanes, de la cabane verte, de la cabane blanche, de la cabane du canada, de nos innombrables cabanes dans les bois, dans les arbres, à planté des clous pour se faire un toit. Je me souviens de notre monde dans les bois, autour de notre village, autour du chalet de chez pépé et mamie.Je me souviens du bruit, du tintements des objets accrochés aux arbres quand le vent les traversait, de ce bruit si doux et magique dans le jardin d’Eden de ma tante. Je me souviens de tellement de choses chaque jour. Un rien me replonge de ces moments de mon passé. Chaque rayon de soleil, chaque rayon de chaleur qui traversent les fenêtre de ma maison me rappelle combien j’étais bien. Je suis toujours bien. Les rayons du soleil sont toujours aussi chauds mais ils sont différents, ils me rapportent ces bouffées de bien-être pendant quelques secondes et ils disparaissent et me ramènent dans mon temps présent. Peut-être que mon enfance était si belle car je ne me posait pas la question du temps présent, je le vivais pleinement. Je vis toujours le temps présent pleinement mais bon dieu qu’est ce que le doux passé de mon enfance me réconforte, réchauffe mon coeur et m’attriste. Printemps, Eté, Automne, Hiver, vous sonnerez toujours pour moi comme une nature éternelle, un soleil sans fin, des moments éternels renfermant les rires, les aventures de mon enfance et les gens de mon enfance. Mon petit cousin androu, mon second frère, qu’est ce que je t’aime. Nous avions tout un monde à nous, à nous 3 avec Maxou. Dehors dans les champs, dans les bois, dans nos jardins, dans les abres, dans nos cabanes. On fabriquait des parfums de toutes les fleurs qu’on avait pu cueillir, on faisait des dizaines de tours autour du chalet et chaque fois sur notre petit tracteur orange en plastique, on jouait un autre personnage. On faisait de la balançoire et regardions qui irait le plus haut. A l’intérieur, on faisait des ordinateurs en papier, on jouait au père noel, on embellait des objets qu’on avait déjà pour faire mine de les re découvrir à nouveau. On s’inventait des histoires de princesse et de tigres, les murs sont encore encrés de toutes nos histoires et même des trois petits clous que l’on avait planté pour nos 3 calendriers chacun. Tout ça, tout ce monde parfait, enchanté par la seule présence de mes grands-parents. Et ma petite mamie So qu’est ce que tu me manques, si tu savais à quel point tu as ensoleillé ma vie.
Mon enfance est faite de toutes ces personnes que j’ai aimé et que j’aime. Des moments chaleureux et magiques passés dans notre chalet des Gets, de la petite boite à mots que l’on a caché dans le chalet, de tout ce temps passé en famille à regarder les lumières des chalets dans la neige, les feux d’artifices de noel et du nouvel an. Le simple fait d’être ensemble autour du feu, au milieu de cette atmosphère apaisante, le simple fait que nous étions tous là. Même si on est petit on sent quand les gens sont heureux ou malheureusement. Là haut, dans ce temps, nous étions heureux, chacune de mes tatas avaient encore sa moitié, le 31 de l’an 2000 restera à jamais gravé en moi. Le temps passe et prend quelques personnes au passage, il prend la moitié, l’être cher, le bien-aimé d’une personne, sans scrupules. Mais comment peut on vivre sans la personne que l’on aime et qui nous aime, comment peut-on vivre sans l’amour de notre vie? Et comment peut-on vivre sans son père, sans sa mère ? C’est tellement important un papa et une maman. Mes tatas sont de grands êtres, ce sont des wariors, je les admire et en même temps je sens leur peine immense. Je sens la peine immense de mon père qui a perdu sa mère et de ma maman qui a perdu la sienne. Quelle immense vide, quelle tristesse infinie. Si je devais perdre mon père, ma mère, mon frère ou ma soeur, jamais je ne m’en remettrait et d’ailleurs je ne voudrait pas, c’est inconcevable de vivre comme ça. Pour qui se prend je ne sais qui de décider de nous enlever tous les amours de notre vie ? Si je dois partir un jour, je serai le fantôme de ma maison, du chalet des Gets, le fantôme de mon village, Avugnens, éternellement s’il le faut, car c’est ici que je suis profondément moi, c’est ici que tout à commencé et que tout continuera. Éternellement, peu importe le temps.
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