elo0343
elo0343
La musique dans la peau
11 posts
Don't wanna be here? Send us removal request.
elo0343 · 5 years ago
Video
youtube
Regarder en arrière : régression ou retour aux sources ?
0 notes
elo0343 · 5 years ago
Video
youtube
Cette nuit dans mon lit,
Bercée par ce son si joli,
Perchée sur un nuage,
Qu’aujourd’hui, je vous partage.
0 notes
elo0343 · 5 years ago
Text
J’vous ai pas dit !
Il est important de donner du sens aux choses.
C’est pourquoi, je pense qu’il n’est pas inutile de vous présenter aujourd’hui mon parcours musical.
J’ai commencé les cours de solfège à l’âge de 7 ans. L ’année suivante, j’intégrais l’école de musique de Chaumont (devenu depuis un conservatoire ). Après 2 ans obligatoire de solfège je débutais l’apprentissage d’un instrument de mon choix: la flûte traversière. 
S’en est suivi 10 années d’apprentissage, d’exigence, de représentations.
Parmis ces 12 années, j’y ai passé 4 ans en classe à horaires aménagées, classe musicales, ce qui signifie 6 heures d’apprentissages musicaux hebdomadaire comptabilisées dans notre emploi du temps de collégien. Exit donc les cours de technologie et d’arts plastiques. Cette classe particulière m’a emmener plusieurs fois à Paris, à la rencontre de professionnels, à la découvert des opéras Garnier et Bastille, à des représentations d’opéra... 
Ma majorité a sonné la fin de mon cursus musical si scolaire et j’ai par la suite intégrée un groupe de reggae pendant presque 3 ans. Suivi en partie par la MJC, nous avons pu bénéficier d’enregistrement en studio professionnel. Nous avons fait de nombreuses scènes ( parfois sans scène ). Je me suis libérée des partitions et j’ai créée. 
Jusqu’à peu, je partageais des moments complice, moi à la flûte ou au mélodica et lui à la guitare. Nous faisions chanter la famille, les amis ...
Aujourd’hui, la vie fait que je joue peu mais quand je joue, c’est par plaisir, par choix.
Voilà pourquoi la musique a une si grande place dans ma vie, dans ma construction, dans mon cœur.
1 note · View note
elo0343 · 5 years ago
Photo
Tumblr media
Le Larousse défini les loisirs comme “distractions, amusements auxquels on se livre pendant ses moments de liberté”.
Les établissements d’enseignement initial de la musique en France, destinés aux amateurs, obligent aux performances et aux résultats.
Peut-on alors toujours considérer la pratique de la musique, en établissement, comme un loisirs ?
0 notes
elo0343 · 5 years ago
Video
youtube
Lorsque nous faisons de la musique, nous faisons du bruit,  mais est ce que , pour autant, faire du bruit signifie faire de la musique ?
1 note · View note
elo0343 · 5 years ago
Video
youtube
Si tu te sens à bout, si tu as pris des coups, si la vie te saoule et si te te sens seul, faut que t’écoutes le Stupéflip CROU
Stupéflip, qu’est-ce que c’est que ce truc ? C'est pas n'importe quoi : ça fout le feu, fait le fou, ça t'handicape quand tu ne l'as pas. C’est un truc qui te fracasse la tête à base de caisses claires qui claquent.
C’est beaucoup de travail (comme pour un album d’Astérix).
Le CROU-stille dans ta bouche comme une cracotte ou un Granola.
Le crou qui creuse comme une pelleteuse, fait des trous dans l'crâne, tue les oreilles comme une agrafeuse.
Né en 1972, le CROU  Stupéflip a pour objectif de terroriser la population et par la même instaurer une nouvelle ère... L’ère du Stup.
Composé de 894 membres, le fondateur est connu sous le pseudo de King-Ju. ( Mais aussi Pop Hip, Flip, l'épouvantable épouvantail, et Rascar Capac). Membres principaux, on peut aussi citer Cadillac (Stup, Casimor, Aqaq) et Mc Salo (Mr Michel, Jean-Paul III).
Stéphan Bellanger, fondateur a un rôle réduit en apparence : celui de simple patron de la menuiserie. Il reste néanmoins le membre le plus dangereux du Crou.
Depuis 2003 et leur premier opus, cinq albums ont vu le jour. Mélange de hip-hop, de rap, du punk, de pop, des beats electros, des cris, des sons avec un certain don pour les jeux de mots et un goût prononcé pour les déguisements.
Après 5 ans d’absence et avoir été mis dehors de leur maison de disque, le CROU annonce en octobre 2016, la sortie d’un album courant 2017. Le truc est vivant dans les têtes même s’il est cramé dans les FNAC. Pour ce faire, le groupe décide de financer leur projet via un site de financement participatif sur la base de dons des internautes avec un objectif de 40 000euros. La campagne se clôt avec 427 972 € récoltés, dont 145 000 € en seulement 48 heures, soit le record européen de levée de fonds sur Internet pour un groupe de musique.
Plus qu’un groupe, le CROU c’est une construction mathématique, un truc pataphysique qui pique comme un aspic. Stupéflip, les lapins, la menuiserie, l’ASFH… Le son est paufiné à la menuiserie et l'ASFH, Association de Stup-Fanatiques (il est formellement interdit de demander la signification du H) à but non-lucratif est interdite aux fans en toc. Ce groupement propose des solutions très radicales, un truc brutal, torture mentale, penthotal, la totale. Quant aux lapins, ce sont les adeptes du CROU et de sa stup religion.
Bien qu’il n’ait aucune actualité à ce jour, la force de leurs entités est tellement puissante que les adeptes lapins ne peuvent que leur être fidèle et de ce fait : Le Stupeflip Crou ne mourra jamais !
1 note · View note
elo0343 · 5 years ago
Photo
Tumblr media
Qu’est ce qui fait qu’une désertion n’est plus signe de lâcheté et devient un acte d’engagement (à risque) ? Réponse, avec Boris Vian…
 Tour à tour ingénieur, écrivain, traducteur, poète, scénariste, acteur, peintre et bien d’autres encore, Boris Vian multiplie les casquettes avec toujours un certain succès.
En 1954, il revêt celle de chanteur dans un climat particulier : la France est enlisée dans un confit armée avec l’Indochine depuis 1946 et la guerre d’Algérie se profile dangereusement. Il faut également rappeler qu’à cette époque, le service militaire en France est obligatoire et la conscription est rétablit depuis 1946.
C’est dans ces conditions militaires plus que délicates que Vian, accompagné de l’ancien G.I. américain Harold B. Berg, compose Le Déserteur, une missive à l’attention du Président de la République de l’époque.
Avec des paroles telles que « Si vous me condamnez / Prévenez vos gendarmes / Que j'emporte des armes  / Et que je sais tirer », la démarche pacifique n’est pas flagrante et la recherche d’un interprète s’avère laborieuse. Vian propose donc une fin plus en adéquation avec son idée de départ et Marcel Mouloudji accepte d’en faire l’interprétation en 1954.
La fin de l’enregistrement coïncide avec la défaite côté Français de Diên Biên Phu en Indochine. Jugée antipatriotique et défaitiste la chanson est privée de diffusion avant même sa sortie.
Faisant face, Vian enregistre lui-même sa composition en 1955 dans un album rassemblant plusieurs textes provocateur. L’album est immédiatement censuré, privé de diffusion et de distribution commerciale.
Pour s’exprimer, Vian n’a plus qu’une solution : La scène. Il se lance donc dans une tournée régulièrement source de contestation.
La chanson étant parfois reprise par les combattants sur le front de l’Algérie, tout chant ou fredonnement de la chanson par un soldat est puni de plusieurs semaines de prison.
C’est malheureusement après sa mort, que Le Déserteur rencontrera son succès : Elle est reprise par plusieurs Américain dans les années 60 est
Devient même un symbole de la lutte contre la guerre au Vietnam.
En France, la censure est levée en même temps que la fin de la Guerre d’Algérie est apparaît enfin sous son trait le plus pacifique. Le déserteur est alors repris dans tout l’hexagone par de nombreux chanteurs à la mode.
Malgré cet engouement pour la chanson, le texte reste sujet à polémique au plus haut niveau de l’Etat : En 1999, à Montluçon, la directrice d’une école de la commune fait interpréter la chanson par ses élèves. La punition pour la directrice est sévère : elle est dans un premier temps suspendue à vie de ses fonctions, sanction annulée quelques mois plus tard…
0 notes
elo0343 · 5 years ago
Text
Qui est la chanteuse préféré des sourds ?
0 notes
elo0343 · 5 years ago
Text
La musique ou l’art de rassembler
Tumblr media
Le son du diable ou une distraction futile, la musique a parfois été boudée et ne laisse personne insensible.
S’il y a bien un thème en commun aux individus, cultures, civilisations, aux religions, c’est bien la musique. Elle fait partie de chacun d’entre nous depuis toujours. Déjà dans le ventre maternel, l’ouïe est le 1er sens qui se développe, bien avant les autres
Souvenirs, connexion entre les gens, appartenance/identification à un groupe… Nombreuses sont les qualités sociales véhiculées par la musique.
Elle créée du lien. Il suffit de regarder le succès de la fête de la musique qui a lieu chaque année le 21 juin. C’est un véritable succès populaire qui rend accessible de nombreux styles musicaux, et permet aux gens de se découvrir entre eux, au gré des flâneries dans les rues.
La musique à une très forte charge symbolique. Qu’on la chante, qu’on l’écoute, qu’on la joue, on fabrique un temps commun, une temporalité partagée.
 Elle rassemble quelle que soit la culture, l’histoire ou les origines. C’est quelque chose que l’on a en commun, qui nous lie. Et ce n’est pas uniquement vrai pour le public, il y a également une foule de gens qui se réunit aussi bien sur scène qu’en coulisse : les communautés des tourneurs, du catering, des costumes, ingénieurs de sons et lumières, les bénévoles…
Elle est un outil à nos rapprochements, si fondamentaux dans nos constructions individuelles et de groupe : le festival Hellfest vend la totalité de ses places avant même que la programmation ne soit dévoilée. La musique n’est plus une priorité mais un prétexte.
Elle nous fait littéralement vivre ensemble lors de festivals sur plusieurs jours avec campement.
 La musique est partout dans notre vie. Elle accompagne les états d'âme, les joies, les peines, les tristesses et les souvenirs. Elle aide à se connaitre, s’exprimer ou à faire entendre certains combats. Elle est indispensable dans notre construction personnelle et de fait dans nos rapports aux autres.
1 note · View note
elo0343 · 5 years ago
Text
High level pour la scène dub française
youtube
Momentanément sur pause, il fait bon de se rappeler que le Français parfois râleur, souvent courageux est également un sacré dubbeur !
Ce ne sont pas ses origines controversées plutôt méconnues qui ont empêché le dub style de faire vibrer des adeptes de plus en plus nombreux au rythme de basses puissantes et de soirées à rallonge.
En France c’est High Tone qui répend le son dub dès les années 2000 avec son Opus incertum. Une notoriété qui fera de nombreux petits, dignes héritiers qui ne cessent de se mutiplier faisant évoluer ce style musical dont l’histoire n’est pas figée. Proche de nous, à Brest, Stand High Patrol emmené par Pupajim connaît un succès qui ne se dément pas depuis plusieurs années. La musique étant un monde de partage, ses instigateurs enchainent les collaborations pour le plus grand plaisir des fans.
La force du dub : une base, la base, la basse enfin l’infra-basse, C’est cette vibration ressentie dans tout le corps qui n’est accessible que devant ses protagonistes avec un matériel sonore plutôt conséquent. Sur scène, la musique est souvent accompagnée de projets visuels. La vue ajoutée à l’ouïe, les sens se décuplent tout comme notre plaisir.
Vous l’aurez compris, la musique dub se vit, elle fait vibrer (littéralement). Elle s’écoute, se regarde, se ressent alors trêve de mots et place aux sons…
1 note · View note
elo0343 · 5 years ago
Text
L’Echonova fait écho auprès des mélomanes
Tumblr media
Inaugurée en 2010, L'Echonova s’est rapidement imposée comme la scène musicale majeure du bassin Vannetais. Une programmation éclectique avec une acoustique dont beaucoup rêvent l’ont propulsé au premier plan. Mais ce n’est pas la seule raison de son succès…
Plus qu’une salle (600places), l’Echonova c’est aussi un centre de documentation, cing studios de répétition, un studio d’enregistrement. Amateurs comme professionnels y trouvent leur compte.
On créé, on forme, on conseille, on y accompagne des projets artistiques amateurs et professionnels, on y met en place des actions culturelles variées (conférences, projections, expositions, formations...).
L’Echonova a fait de l’accès à la culture, une priorité. Elle multiplie les actions innovantes en portant une attention particulière aux jeunes (de l'enfance à l'âge adulte) et aux personnes isolées ou en difficulté.
2 notes · View notes