Tumgik
emettleprince · 1 year
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club electro rap tous mes gars dansent avec rage
y a des mélodies qui pop ca crée le plus beau des carnages
j’scintille au milieu jai dis que je mourrais sur scène
y en a qui ont peur de danser
alors jles attire dans mon règne
spots bleus et rouges
jai la vision magique
clope beuh et j’bouge
prendre lair dans un coin de l’arctique
l’egregore m’a avalé jsais plus lquel est mon viiiisage
jai plus d’cephalé les rêves ont imbibé mon nauuufrage
l’orage
l’orage
a échoué l'appairage
rend les armes sans dommages
j’peux enfin tourner la page
hommage
hommage
a tt cqu’jai vecu
maintenant j’evacue
j’fais le vide dans le passage
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emettleprince · 2 years
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Si j'rends mon dernier soupir c'est que mes souv'nirs sont ôtés De ma tête et qu’l'antidote m'a trahi, me laissant de coté Si j'crois au destin c'est pas pour déléguer la faute Pas pour mettre sur l'dos des étoiles Tous les péchés de ces bots Et c'est beau la vie, c'est ouf la vie, c'est incroyable la vie Tant qu'les jnouns sont endormis et qu'leurs cœurs pendus se tarissent Certains se haïssent et avant j'en faisais partie Puis j’me suis vu en haut d’une montagne :
j’me suis proj’té des Abysses
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emettleprince · 2 years
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Pour une portion de bonheur contre un drame intériorisé
Je démontrerais les heures et caresserais le danger
Au bout d'une heure, je suis full en dép : surabondance de clarté
Ça se noit et ça se perd dans des paradis désolés
Taudis dans l'âme de la mer, une reprise avec le passé
Distendue est la misère, ça se meurt car ça perd pieds
Redis moi c'est quoi l'enfer que je puisse l'éviter
Chez les autres ca lévite et les autres j'ai pas aimé
Partout où je vais
Le ciel à ses nuages épais
S'enfuir, sans rien, sans se revoir
Pour quoi faire ?
Retrouvons nous maintenant que nous sommes déjà liés
Récupère tes bagues, le peu de bisous que je t’ai donné
Car partout où je vais
Je regarde au dessus de nous
Et les oiseaux, toujours les mêmes,
Encore à roucouler
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emettleprince · 2 years
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29.07.20.12.50
1000 piles de papiers gravés d’écrits de crises mortelles.
Je ne suis couronné d’aucune arche, mais j’ai toute l’hydromel pour enfin rendre gorge à mes tripes. Pour, enfin, ne plus me plaindre de la peine que j’éprouve à trouver ma place dans l’arène, car j’ai des visions différentes. ( Car j’ai des visions délirantes. ) J’ai hachée ma vision du ciel, je n’ai plus de chance de voir l’exosphère et le Lexomil mêlé au ter, endorment mes douces nuances de haine. La maison douze étant pour la vie, mes ailes me distance des avions. Il y en a qui s’y sont perdus : Boeing 777 200 E R.
Je rêve de ramener mon pays, je suis perdue dans cette hydrosphère. Mes pêchés capitulent. J’en ai fini de boire un art vendu par des gens bizarres. En Nubie les forêts dansent car deux grammes m’atteignent par hasard.
J’ai perdu toute âme à sept ans puis j’ai gagné la capacité de mimer tout ce qui vit.
J’ai déjà voulu porter des marques de vêtements qui tuent les humains qui les fabriquent. J’ai déjà condamné des sœurs et des frères qui servent les autres depuis l’ère colonial.
Je suis perdue mais je comprends ma vie. 
Je suis perdue, je ne comprends pas la leur.
Je ne comprends vraiment pas la leur.
Je n’ai rien dans la tête en pensant à la leur.
(C’est faux)
Dans celle des autres ( la tête ), il n’y a que la peur.
Ni pourquoi tout le temps, les gens crient 
( Je ne comprends pas ) Ils tapent.
Ils hurlent pour se faire comprendre.
Ils menacent leurs amis.
( Leurs âmes pour sûr, elles sont en cendres 
Et ils mènent de lugubres nuits )
La parole, mon rêve de cesser
Communiquer sans blablater sa vie
( Mais le programme est infini )
Etre seul ensemble, sans inquiétude
Dépasser soi, atteindre le Ni 
( Un jour )
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emettleprince · 2 years
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29.7.2.15.14
Tombé dans l’écotone, badant écho d’âmes, partant des confins du temps.
Finir dans la zone de prolifération visible, animale, avant qu’un astéroïde ose répandre l’ozone.
Dompté par l’aride, l’éviction en ces scènes, sa biosphère complète s’enfume et consume toute source de vie. 95 % de perte; 0 posthume, ne peuvent faire plus peur que la 6ème extinction de toute source d’envie.
Toute source d’envie donc la nature se tasse ; 
Du bleu au noir, du vert au taz. Des gaz sulfureux a la métastase, dégât des eaux dans l’âme et sa mélasse.
Viens t’il le moment ou le monde se lasse ?
La Pangée s’allie à l’opposé de la glace. A l’apogée du permiens trias, 5 millions d’années en feu comme Natas. Dans la forêt, la vitesse, les fragments sont condensées. Les étincelles isolées feront vite de s’étendre. 50 pourcent de notre humanité dans ses jambes.
Si dément, la renaissance de tous ces éléments influencée par le pouvoir du grand, du sacré que sont les portes des temples.
Menacés, par de nouveaux vivants, 
Lancé, le dé du revirement,
Des pharaons d’or et des pyramides
(han)
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emettleprince · 2 years
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Je veux la poésie depuis que j’ai les pieds sur terre et les limites de nos vies se confondent aux limites de l’air
Se confondent aux limites de tout (J’élimine chaque parcelle) 
J’prends un voyage sans retour j’disparais au fond de la nacelle
Je lis dans mon sang la couleur de l’amour 
Je m’évapore de mes sens pour soulager mon corps 
Pour enterrer ma peine 
J’ai du jeter le sort interdit 
Qui wash les éclats sur le sol
Que des feelings hardcore qui isolent
Des cris de l’enfer pire que la camisole
Des années passées à chercher la boussole 
Alors que tous les drames se resoudent en magie
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emettleprince · 2 years
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J’m’éveil dans une catastrophe
Un micro monde ou je m’étouffe
Il y a nothing dans mes poches,
j’ai plus de poches et mon corps souffre
J’suis aveuglé par la poussière d’étoile et elle vient m’étoffer 
Puis je m’effondre sur les toits tout nu sans savoir où aller
Mon prénom rime avec le vide et j’en ai fais une amnésie
Je me sens comme un être d’ailleurs enclin aux full multiples vies 
Je n’ressens rien dépossédé de toute lueur, aphantasie
La fantaisie elle s’est jetée elle même d’un pont dans les abysses 
J’ai des images en noir et blanc qui broient viralement mon cerveau
J’y vois des lames et des couteaux, du sang partout des morts dans l’eau
Je n’connais plus rien d’autre que le vocabulaire du vide 
Je ne suis rien d’autre qu’un candide dont la servitude est splendide J’pourrais me suicider collectivement, m’noyer là où c’est sombre 
Et me faire broyer par des ornements, des tentacules dans l’ombre 
Et des oiseaux au becs perceurs, mon cœur s’est fait séquestré par le monde 
Je n’suis un sain qu’si l’on invente la beauté subtile de l’immonde
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emettleprince · 2 years
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J’suis dans la foule abandonnée 
Des milliers de flammes  à mes pieds
J’ai chaud de l'âme, j’ai chaud, j’ai chaud
On m’a donné des noms d’oiseaux
Ils volent là haut, ils volent là haut 
Et moi aussi je vois la galaxie 
Je m’en veux à tout prix
Mais j’aimerais parvenir 
A un état d’esprit aussi beau qu’une lyre
J’suivrais les volatiles
Dans leur course aux étoiles
Et bientôt la foule au loin sera fatale
J’déteste c’qui est brutal 
Donc je tuerais ma vie
mais je  sauverais mes sœurs, les astres, les mélodies
Sacré chaos
Quand j’crois ces idioties
Sacré chaos quand j’envie les paillettes 
Des fois j’en veux tant qu’volerais la galaxie
 J’ai trop d’pacotilles, j’en volerais des planètes
Y’a rien de logique dans ma tête,
Des flashs d’egocides et l’amour des barrettes 
Rien à perdre si j’arrête, j’gagne un esprit  lucide dans les crises et les quêtes
Y a rien d’plus faux que d’constater à vue 
Sans sillonner le haut, le monde est superflus
Faudrait calculer distances et lacunes
Assumer que les êtres sont tous un peu perdus
Je crains moi-même cette brute réalité
Qui est trop difficile et pèse des tonnes à porter
Et j’ai un gabarit pas assez composé
D’une source de vie assez sûre pour m’épurer
J’lévite 
J’tourne en rond et vite 
Fais vite
Ca presse faut qu’on quitte
Y a des anges noirs qui tapissent le toît de la ville
Des angles morts qui facilite leur désastre indocile
J’l’évite
J’pars en trombe et vite
Fais vite
Ca presse faut qu’on quitte
Y a des anges noirs qui tapissent le toît de la ville
Des angles morts qui facilite leur désastre indocile
J’ai eu la tare de prévenir, hantant vos rêves pour dire merci 
Et puis pardon en temps de guerre de mon esprit j’ai déclenché des implosions
Mais l’cœur a cédé pour un avenir qu’il songeait plus à achever correctement
Au son d’une lyre faut tasser tous ces tremblements
Mais j’ai tout entendu de “ princesse ” à “ émo”
Donc j’lisais des cassettes et tapais des démos
Le verre d’eau et le ter posé sur le piano
  Arme de pointe quand j’me servais des mots
On a tout enlevé de mon aura mystique
En me prédestinant telle une âme iconique
Enterrer mon trou au loin, c’est plus pratique
Les cauchemars implicites, qui se dissipent
On m’a traumatisé un peu jeune dans cette vie
Qui maintenant est un film où chaque rôle est sur off
Mais en réalité, je suis une catastrophe
J’parle trop des astres, je sais, j’les balade dans le coffre
Car l’arche de mon cœur déborde
Dans l'eau d’la mer j’ai jté les cordes
J’ai jté les dés et attendu 
Après l’déluge j’ai reconnu
Toutes mes psychoses, mes illusions
et j’ai eu l’choix de revenir ou de changer de division
J’décide pas, J’lévite
J’tourne en rond et vite
Fais vite
Ca presse faut qu’on quitte
Y a des anges noirs qui tapissent le toit de la ville
Des angles morts qui facilite leur désastre indocile
J’lévite
J’pars en trombe et vite
Fais vite
Ca presse faut qu’on quitte
Y a des anges noirs qui tapissent le toit de la ville
Des angles morts qui facilite leur désastre indocile
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emettleprince · 2 years
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22.10.21.11.38
J’ai beau traverser les chemins, je me rends compte que je ne sens rien plus fort qu’une tristesse infinie et qu’une joie sans lendemain.
Une vingtaine d’années de misère dans toutes les aréas d’une vie, pour que je perdure longtemps il faudrait un tour de magie. J’agis, j'agis calmement pour ne pas déclencher la tempête. Je gis dans mon propre sang mais je dis que je veux mon bien être. J’ai des sentiments douloureux que je peine un peu à cacher. Depuis quelques mois, je ne me lève pas sans mes cachets.
Mais, je crois à la magie depuis que je les pieds sur terre et sans mon imagination, je serais noyée dans la mer. Toutes les tragédies se poursuivent d’une nouvelle ère et les limites de nos vies se confondent aux limites de l’air.
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emettleprince · 2 years
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19.10.21.13.46
Je ne suis pas sûr que le temps passe et rien ne bouge dans mon espace, ni dans l’espace, à mille.
Mais on va à deux milles à l’heure.
J’ai besoin d’abandonner toutes mes angoisses et mes malheurs. J’ai besoin de me noyer pour dissoudre toutes les traces et pour ensuite réussir à remonter à la surface.
Mais pour l’instant, je préfère couler.
Je n'ai pas envie de voir les gens, je n'ai pas envie d’exister. Je trouve ces gens courageux, ils résistent au lieu de tanguer.
Tant mieux, car moi, je perds pieds.
(Les pieds dans l’eau, je me sens mal et dans ma ville, je me sens mal.)
Avec mes amis, aussi,
j’ai tant peur qu'on se fasse du mal.
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emettleprince · 2 years
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08.10.21.15.22
Je sais pas si je vais tenir toutes ces années avec ces pensées dans ma tête. Je me sens régresser où alors, j'appartiens a d’autres planètes. Décontenancé au moindre ressentis pas net, je revis en boucle des émotions de mal être d’auparavant. Comme si la faille dans mon esprit me parle. Je ne comprends pas de simple mots et je veux die maintenant. Parce que dans mon cœur, ça brule et ça brule vraiment. Que les mots ils s’articulent que sans sentiments. Des fois je meurs dans ma tête, à l’extérieur j’parais méchant L’intimité m’inquiète et j’ai tellement peur des gens/ Je sais pas si je me remettrais de mes traumatismes d’antan. La seule chose que j’aime dans cette vie c’est mes amis au présent. J’ai toujours eu l’habitude de devoir me délier du sang. Comme défier la nature que je peux très bien vivre sans. Je veux die maintenant. Il y a des choses qui m’arrêtent, mais je veux die maintenant. Dans la tombe, une cigarette Je veux fly avant.
Mais pas trop loin, je veux pouvoir me réincarner en parfum.
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emettleprince · 2 years
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05.10.21.22.17 
Je suis née dans le soleil et j’ai viré dans l’eau glacée
Les misères que j’ai vécu établissent ma destinée
Je n’ai pas envie mais je suis là, comme le tonnerre après l’été
Je n’ai qu'une envie de voler, comme si je ne pouvais plus toucher la terre
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emettleprince · 2 years
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29.09.21.08.33
J’ai envie de refaire le monde et peut être que je le referais. Mais ce n’est pas avec l’orage qui gronde que l’on s’oriente vers le progrès. Des recettes venues d’orient et des pièces vides dans le palais. Je suis sous le tonnerre glaçant : je n’ai d’avenir au soleil. Cette année m’a tué tant que je prends mon lit pour sommet. La drogue, l’alcool et les xans; plus dormir, j’ai plus sommeil. Je vais me casser toutes les dents à force de mordre ma peine. Je ne voulais plus voir ce monde après dépassé la vingtaine... Mais je reste ici.
Parmi tous les corps entachés, je reste ici. Comme si quelqu’un m’attendait, je reste ici. A longer les routes de près, je vous supplie De me laisser me balader,  toute la vie.
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emettleprince · 2 years
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01.10.03.16.03
De la concordance de vos mouvements, je me méfie. Dans ce monde, houlement. Je ne ressens pas mon corps mourir doucement. Je n’ai que la panse en mouvement. Je me désintègre, doucement. Certains essaient de me maintenir, doucement. J’ai l’habitude de la dépression depuis 10 ans. J’ai l’habitude des pensées noires et du sang Peut être que m’en aller serait une solution ? Un cerveau condamné : que dissolution Peut être qu’enfermé je perdrais toutes notions ? “ Rien a regretter de toutes mes actions “. J’ai peur que mes amis ne voient pas que je les aime : en ce moment, j’ai tout un monde de problèmes. Dans les yeux, je n’arrive pas à vous regarder. Les mots me transpercent comme si j’étais en papier. Je n’arrive pas a vous regarder dans les yeux, ni les chemins.
Le brouillard est prétentieux.
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