Tumgik
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Le changement climatique pourrait devenir le principal facteur de déclin de la biodiversité d'ici le milieu du siècle
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Selon la vaste étude multi-modèle publiée dans Sience le 26 avril, la biodiversité mondiale pourrait avoir diminué de 2 % à 11 % au cours du 20e siècle en raison du changement d'occupation des sols induit par l'Homme. Les projections montrent que le changement climatique pourrait devenir le principal facteur de déclin de la biodiversité d'ici le milieu du 21e siècle.
  Publié le 25/04/2024 "Dirigée par le German Centre for Integrative Biodiversity Research (iDiv) et la Martin Luther University Halle-Wittenberg (MLU), cette analyse est la plus grande étude de modélisation de la biodiversité et des services écosystémiques de ce type à ce jour. Les chercheurs ont comparé pas moins de treize modèles pour évaluer l'impact du changement d'occupation des sols et du changement climatique sur quatre métriques distinctes de la biodiversité, ainsi que sur neuf services écosystémiques. Nicolas Titeux, responsable de l’Observatory for Climate, Environment and Biodiversity du LIST, a joué un rôle actif dans cette recherche novatrice, qui appelle à de nouveaux efforts politiques pour atteindre les objectifs internationaux en matière de biodiversité. Il a apporté ses connaissances sur les rôles relatifs des facteurs directs du changement de la biodiversité et sur la manière dont ils sont intégrés dans les modèles à grande échelle. Il a également veillé à ce que les résultats de cette collaboration internationale soient pris en compte dans le rapport d'évaluation mondiale de la plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES)."
(...)
  Global trends and scenarios for terrestrial biodiversity and ecosystem services from 1900 to 2050 | Science, 25.04.2024 https://www.science.org/doi/10.1126/science.adn3441
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NDÉ
Henrique Pereira sur X, 25.04.2024
  "Global trends and scenarios for terrestrial biodiversity and ecosystem services from 1900 to 2050. Our paper @ScienceMagazine shows declines in biodiversity and regulating services driven by land-use can be slowed but climate impacts are accelerating #1/ https://t.co/fXTmFIuqOT" / X
  https://twitter.com/hmlfpereira/status/1783595062615576936
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Coptotriche marginea, le papillon
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Tout début janvier, je trouve cette mine dans une feuille de ronce au bord du chemin de halage. Un coup d'œil à contre-jour permet de vérifier la…
  29.04.2024
  [Image] Mine de Coptotriche marginea - parc du peuple de l'herbe à Carrières-sous-Poissy
Crédit : Gilles Carcassès
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Une méta-analyse mondiale révèle une activité nocturne globalement plus élevée que l'activité diurne dans les communautés d'insectes
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Sometimes it seems the night is just buzzing with insects. But are there really more insects out at night? We analysed all the evidence on insect activity across the day–night cycle to find out.
  Things that go buzz in the night – our global study found there really are more insects out after dark
  Mark Wong
Forrest Fellow, School of Biological Sciences, The University of Western Australia
  Raphael Didham
Professor of Ecology, The University of Western Australia
  Publié: 18 avril 2024, 16:10 EDT
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NDÉ
Traduction
  ... Nous avons finalement retenu 99 études publiées entre 1959 et 2022. Ces études couvrent tous les continents à l'exception de l'Antarctique et englobent un large éventail d'habitats terrestres et aquatiques.
Qu'avons-nous trouvé ?
  Nous avons trouvé plus d'éphémères, de trichoptères, de papillons de nuit et de perce-oreilles la nuit. En revanche, il y avait plus de thrips, d'abeilles, de guêpes et de fourmis pendant la journée.
De nombreux insectes aquatiques, comme les éphémères, sont plus actifs la nuit.
  L'activité nocturne était plus fréquente dans les zones humides et les cours d'eau. Dans ces zones aquatiques, il peut y avoir deux fois plus d'insectes actifs pendant la nuit.
  En revanche, les insectes terrestres sont généralement plus actifs pendant la journée, en particulier dans les prairies et les savanes. Nous avons constaté que le nombre d'insectes en déplacement pouvait tripler au cours de la journée dans ces habitats.
  Cela peut être lié au fait d'éviter les prédateurs. Les poissons ont tendance à chasser les insectes aquatiques pendant la journée, tandis que les animaux nocturnes tels que les chauves-souris rendent la vie sur terre plus dangereuse la nuit.
  Nous avons également constaté que les insectes étaient plus actifs la nuit dans les régions chaudes du globe, où les températures maximales sont plus élevées. Les insectes sont des « ectothermes », ce qui signifie qu'ils sont incapables de réguler la température de leur corps. Ils sont particulièrement sensibles aux températures extrêmes, qu'elles soient chaudes ou froides. Cette découverte souligne le rôle du climat dans la régulation de l'activité des insectes.
  Étant donné que les températures atteignent leur maximum pendant la journée, des températures maximales plus élevées peuvent favoriser une activité nocturne accrue, car davantage d'individus cherchent à éviter le stress thermique en travaillant dans l'obscurité.
  Les insectes n'ont pas la capacité de réguler leur température corporelle. Ils sont plus actifs lorsqu'il fait plus chaud, mais il y a des limites. Parfois, ils ont simplement besoin de se reposer ou d'éviter la chaleur de la journée.
Les découvertes soulignent les menaces qui pèsent sur les insectes nocturnes
  Les insectes fournissent de nombreux « services écosystémiques » vitaux, tels que la pollinisation, le cycle des nutriments et la lutte contre les parasites. Nombre de ces services peuvent être fournis la nuit, lorsque les insectes sont plus nombreux à être actifs.
Cela signifie que nous devons réduire certaines de nos activités pour soutenir les leurs. Par exemple, l'éclairage artificiel nuit aux insectes nocturnes.
La lumière artificielle, qui peut fortement attirer et désorienter les insectes nocturnes, constitue une menace importante pour la biodiversité et les fonctions écologiques des insectes.
  Nos recherches mettent également en évidence la menace du réchauffement climatique. Dans les régions les plus chaudes du globe, comme les tropiques, la tendance au réchauffement pourrait réduire davantage l'activité des insectes nocturnes qui luttent contre la chaleur. À cette fin, nous espérons que notre étude incitera les écologistes qui aiment le jour à s'intéresser à l'écologie nocturne.
  Les insectes comptent parmi les organismes les plus divers et les plus importants de notre planète. L'étude de leurs rythmes complexes n'est pas seulement une entreprise scientifique, c'est aussi un impératif pour la préservation de la faune et de la flore.
  Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
  Global meta-analysis reveals overall higher nocturnal than diurnal activity in insect communities | Nature Communications, 15.04.2024 https://www.nature.com/articles/s41467-024-47645-2
  [Image] Diel patterns in abundance vary among insect taxa (k = 331 effect sizes).
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Lors de son ouverture, la fleur de pétunia émet une molécule volatile entre ses organes reproducteurs — pistil et étamine —, permettant la communication qui induit le développement normal du pistil
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Le pétunia, qui orne communément nos balcons, est la plante à massif la plus connue et utilisée dans le monde pour sa diversité de couleurs, de morphologies et de senteurs. C’est également un modèle d’étude important utilisé par les scientifiques notamment pour étudier la biosynthèse des parfums, les mécanismes de transport permettant leur émission ainsi que leur rôle écologique de communication chez les plantes. Un chercheur du Laboratoire de biotechnologies végétales appliquées aux plantes aromatiques et médicinales (LBVpam, UJM/CNRS), Benoît Boachon, vient de participer à l’identification du premier récepteur d’une molécule volatile impliquée dans la communication entre organes floraux chez le pétunia. Cette étude est publiée dans la revue Science.
  Des chercheurs participent à élucider le mécanisme de communication entre les organes floraux du Pétunia grâce à une molécule volatile utile au développement de la fleur
  CNRS, 12.04.2024
  [Image] Les organes reproducteurs, pistil et étamines, situés dans le tube de la fleur de Petunia hybrida lors de son ouverture. C’est entre ces organes qu’une molécule volatile est émise et permet la communication induisant le développement normal du pistil.
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Pour une éducation aux médias et à l’information (de) tous les jours
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En mars, la Semaine de la presse et des médias à l’école sensibilise les enfants et les adolescents au décryptage de l’actualité. Mais l’éducation aux médias est un défi à relever au jour le jour.
  Anne Cordier, Université de Lorraine
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Comment ont fait les moustiques pour envahir toute la planète ?
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On connaît aujourd’hui plus de 3 500 espèces de moustiques différentes distribuées sur tous les continents. Chaque continent héberge son propre assemblage d’espèces qui descendent directement des moustiques présents sur la Pangée et qui ont « surfé » sur la dérive des continents.
  Publié: 28 avril 2024, 09:50 EDT
"Au fil des générations, des populations de moustiques séparées géographiquement accumulent les différences génétiques et finissent par former des espèces différentes, aux caractéristiques biologiques et morphologiques différentes. Sur chaque continent, différentes forces évolutives vont alors agir et façonner les espèces telles qu’on les connaît aujourd’hui. Grâce aux techniques de génomique, il est possible de retracer en partie l’histoire évolutive de ces espèces. Ces études ont en particulier révélé l’extraordinaire potentiel adaptatif caché au cœur du génome des moustiques qui se manifeste par une diversité génétique parmi les plus élevées du règne animal."
(...)
  Genetic diversity of the African malaria vector Anopheles gambiae | Nature, 29.11.2017 https://www.nature.com/articles/nature24995
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NDÉ
Illustration
  https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6026373/
  [Image] Geographical population structure and migration
In the upper panel, each mosquito is depicted as a vertical bar painted by the proportion of the genome inherited from each of K=8 inferred ancestral populations. Pie charts on the map depict the same ancestry proportions summed over all individuals for each population. Text in white shows average FST followed in parentheses by estimates of the population migration rate (2Nm).
  Bernadette Cassel's insight:
  En relation également
  The earliest fossil mosquito - Current Biology, 04.12.2023 https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0960982223014483
  https://www.scoop.it/search?q=The+earliest+fossil+mosquito
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Les papillons d'Equateur : joyaux ailés et thermomètres du changement climatique
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Dans la réserve de Cuyabeno, en pleine Amazonie équatorienne, une équipe de biologistes et de gardes forestiers a accroché dans les branches des pièges à papillons, ces bijoux ailés remplis d’informations permettant de mesurer les effets dévastateurs du changement climatique.
  Cuyabeno (Equateur) (AFP)
Publié le : 28 Avr 2024
  "À l’intérieur de filets, un verre contenant un appât de poisson ou de banane fermentée entend séduire les individus adultes, dont la vie éphémère permet de comprendre à court terme l’extinction de certaines espèces.
  Depuis août, l’équipe mène un projet de surveillance des papillons avec le soutien de l’ONG Rainforest Partnership, basée aux Etats-Unis.
  La sueur, la longue marche et la pestilence sont récompensées : en une semaine, l’équipe a recueilli 169 papillons, principalement de la famille des nymphalidés. Parmi eux, 97 ont été marqués sur leurs ailes et relâchés. Les autres, appartenant probablement à de nouvelles espèces, seront étudiés.
Des saisons « mortelles »
La biologiste Maria Fernanda Checa dirige le projet et étudie depuis dix ans les papillons dans le parc national voisin de Yasuni, une réserve de biosphère où d’importants gisements de pétrole sont en cours d’exploitation.
  Ses travaux ont été étendus en 2023 à la réserve de Cuyabeno, dans la province de Sucumbios, dans le nord-est du pays. Les résultats seront bientôt connus, mais Mme Checa, professeure à la Pontificia universidad catolica del Ecuador (PUCE), s’attend déjà à quelques découvertes."
(...)
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NDÉ
Sur le même sujet
  → In Ecuadoran Amazon, butterflies provide a gauge of climate change, 22.04.2024 https://www.france24.com/en/live-news/20240422-in-ecuadoran-amazon-butterflies-provide-a-gauge-of-climate-change
  Traduction
  Cuyabeno (Equateur) (AFP) - Des biologistes sur un sentier de l'Amazonie équatorienne retiennent leur souffle alors qu'ils distribuent une friandise nauséabonde pour attirer les papillons, pollinisateurs essentiels de plus en plus menacés par le changement climatique.
Environ trois quarts des cultures produisant des fruits ou des graines pour la consommation humaine dépendent de la pollinisation, y compris des papillons.
  Une équipe a accroché 32 pièges faits de filets verts, chacun appâté avec du poisson en décomposition et des bananes fermentées. Ils sont censés se fondre dans le couvert forestier. Leur odeur âcre ne l'est manifestement pas.
  Depuis le mois d'août dernier, une équipe de biologistes et de gardes forestiers surveille le nombre de papillons dans la réserve naturelle de Cuyabeno, un parc réputé pour l'abondance de sa flore et de sa faune.
  Ils attrapent et documentent les insectes colorés, relâchant la plupart d'entre eux avec une marque d'identification sur leurs ailes. Certains d'entre eux, qui appartiennent peut-être à des espèces inconnues jusqu'alors, sont conservés en vue d'une étude plus approfondie.
  Les papillons sont des « bioindicateurs », des organismes vivants dont le bien-être permet de mesurer la santé de l'écosystème qui les entoure, et leur nombre diminue, a expliqué à l'AFP la biologiste Maria Fernanda Checa.
  Si le nombre d'espèces n'a pas diminué de plus de 10 %, en termes de nombre absolu de papillons, « la diminution est très importante... peut-être 40/50 % », a-t-elle déclaré.
  Les Nations unies ont averti que 40 % des pollinisateurs invertébrés - en particulier les abeilles et les papillons - sont menacés d'extinction à l'échelle mondiale, ce qui représente un risque certain pour l'humanité elle-même.
  Les papillons, a expliqué M. Checa, sont « très sensibles, même à de petits changements dans l'écosystème » tout au long de leur courte vie, de l'œuf à la chenille, puis à l'adulte reproducteur.
M. Levy a expliqué que les plantes tropicales, contrairement à celles des régions à saisons distinctes, ne sont pas habituées à des variations climatiques extrêmes.
  Si elles ne s'adaptent pas à l'évolution rapide du climat, ces plantes pourraient disparaître, de même que les larves de papillons qui s'en nourrissent.
  L'Équateur, relativement petit mais extrêmement riche en biodiversité, abrite environ 4 000 espèces de papillons, soit presque autant que ses voisins plus grands, le Pérou et la Colombie.
  Pourtant, dans des endroits comme le parc national de Yasuni, voisin de Cuyabeno, « le rythme de découverte des espèces est plus lent que le rythme d'extinction », a déclaré Mme Checa.
  [Image] The butterfly traps are made of green nets that blend in with the forest canopy
Crédit : Daniel MUNOZ / AFP
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Écologie : La diversité engendre la stabilité, mais la perte de biodiversité peut accélérer la déstabilisation des écosystèmes
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A new study from McGill University and the Max Planck Institute and published recently in Science suggests an answer to this question that has stood unanswered for half a century among ecologists.
Species diversity promotes ecosystem stability | Newsroom - McGill University
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NDÉ
Traduction
  Qu'est-ce qui maintient la stabilité d'un écosystème et empêche un seul et meilleur concurrent d'évincer d'autres espèces d'une communauté ? La stabilité d'un écosystème dépend-elle de la présence d'une grande variété d'espèces, comme le pensaient les premiers écologistes, ou la diversité a-t-elle l'effet inverse et conduit-elle à l'instabilité, comme le prédisent les théories modernes ?
  Résoudre un débat de longue date parmi les écologistes
  Une nouvelle étude de l'Université McGill et de l'Institut Max Planck, publiée récemment dans Science, suggère une réponse à cette question qui est restée sans réponse pendant un demi-siècle parmi les écologistes.
  Les chercheurs ont abordé la question de la croissance de la population à l'aide d'un modèle qui, jusqu'à présent, n'avait pas été utilisé dans ce contexte, bien qu'il corresponde à la sagesse conventionnelle et à la façon dont les gens ont traditionnellement modélisé la croissance individuelle (de la naissance à la maturité).
Les chercheurs ont utilisé des données sur l'abondance, la croissance et la biomasse des populations de diverses espèces (insectes, poissons et mammifères) recueillies au cours des 60 dernières années dans le monde entier. Leurs résultats, basés sur une analyse approfondie, suggèrent que, contrairement à la théorie écologique contemporaine, la diversité des espèces conduit à la stabilité de l'écosystème, comme l'ont cru les premiers écologistes.
La croissance des populations ralentit avec la densité
  « Alors que la quasi-totalité des théories antérieures partent du principe que les populations connaissent une croissance exponentielle, il apparaît de plus en plus clairement que les espèces suivent en réalité une trajectoire légèrement différente, dans laquelle la croissance exponentielle ralentit continuellement. C'est un peu comme la loi des rendements décroissants en économie", explique Ian Hatton, chercheur associé au département des sciences de la terre et des planètes de l'université McGill et auteur correspondant de l'article.
« Ce qui est étonnant, c'est qu'une si petite différence dans la croissance de la population puisse avoir un effet aussi important sur les interactions communautaires, renversant complètement les prédictions de décennies de théorie. »
Les dangers d'une rupture d'équilibre
  Leurs conclusions soulèvent des questions alarmantes sur les effets potentiels à grande échelle de la perte de biodiversité.
« Cette recherche devient de plus en plus urgente étant donné les taux actuels d'extinction des espèces et de perte de biodiversité », déclare M. Hatton. « En plus de mieux aligner la théorie sur les données, le modèle fait une prédiction troublante : les pertes de biodiversité peuvent déstabiliser davantage un écosystème et l'empêcher de se rétablir après une perturbation. »
  Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
  Diversity begets stability: Sublinear growth and competitive coexistence across ecosystems | Science, 15.03.2024 https://www.science.org/doi/10.1126/science.adg8488
  [Image] From tropical rainforests to coral reefs, some of Earth’s most diverse ecosystems are also the most stable.
  This staggering diversity stands in opposition to ecological theory, which for decades has predicted that diversity begets instability. We show that a small difference in how population growth is formulated can reverse these classic predictions and match theory with observation.
  [Photos: Rhett Butler and MPI MiS]
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entomoblog · 2 days
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Congrès européen d'Odonatologie 2024
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the congress will take place in Sevilla from 25th to 28th of june.
  EUROPEAN CONGRESS ON ODONATOLOGY (ECOO)
  Two special sessions of the congress:
Impact of Climate change on Odonata and conservation responses
Ecology and adaptation of Mediterranean dragonflies
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NDÉ
via STELI, mail du 25/04/2024
  Congrès européen d'Odonatologie 2024
Le prochain congrès ECOO (European congres on Odonatology) se déroulera à Séville, du 25 au 28 juin prochain. 
Le programme est encore en construction, mais nous pouvons d'ores-et-déjà vous annoncer qu'il sera notamment question de l'officialisation de la création de Dragonfly Conservation Europe, qui sera le pendant sur les libellules de l'organisation Butterfly Conservation Europe ! Son rôle sera bien sûr de fédérer chercheurs et naturalistes européens, mais aussi de peser auprès des instances européennes, pour une meilleure préservation des Odonates et de leurs habitats.  
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“Les insectes, une vie sexuelle foisonnante”, d’Andrew Gregg : à 22h30 sur Arte
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Voilà un documentaire malicieusement voyeuriste… Son sujet en apparence grivois — l’étude de la vie sexuelle de quelques-uns des dix milliards de milliard
  Documentaire réalisé par Andrew Gregg (Grande-Bretagne, 2023). 50 mn. Inédit.
  Outre la découverte de la passionnante diversité de la vie intime des dix milliards de milliards d’insectes qui peuplent la planète, ce doc donne un coup de pied dans la fourmilière des recherches scientifiques basées sur un biais patriarcal et hétéronormé. Fort heureusement, c’est en train d’évoluer !
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entomoblog · 2 days
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Stella Mare : vers la restauration écologique des Grandes Cigales de mer en Méditerranée - France Bleu
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Parvenir à la restauration écologique des Grandes Cigales de mer en Méditerranée... C'est le nouveau défi que s'est fixé Stella Mare, la plateforme scientifique de l'Université de Corse et du CNRS spécialisée en ingénierie écologique marine et littorale.
  De Roland Frias
Jeudi 11 avril 2024 à 13:20 Par France Bleu RCFM
  "Stella Mare, plateforme de recherches de l’Université de Corse et du CNRS, poursuit son engagement pour la biodiversité méditerranéenne avec un projet dédié aux Grandes Cigales de mer (Scyllarides latus)."
(...)
  [Image] Cigale de mer (Illustration)
Crédit : Maxppp - Eric Dulière / Photo PQR / Nice-Matin
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Élections européennes. Pourquoi les questions d'environnement et de climat se jouent-elles en grande partie à Bruxelles ?
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Le renouvellement des eurodéputés, début juin, sera déterminant pour l'avenir du Pacte vert européen, qui vise à atteindre la neutralité carbone en 2050 au sein de l'UE et de ses Etats membres.
  Article rédigé par Paolo Philippe, Fabien Jannic-Cherbonnel
France Télévisions
  Publié le 23/04/2024 05:52
  Bernadette Cassel's insight:
  'Pacte vert européen' in Les Colocs du jardin https://www.scoop.it/topic/les-colocs-du-jardin/?&tag=Pacte+vert+europ%C3%A9en
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entomoblog · 2 days
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Journée de la Terre : Nous produisons largement assez de nourriture pour tous les humains mais pas pour les bons usages et cette production cause de terribles pollutions
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L'ONU invite les habitants de la planète Bleue à célébrer "La Terre nourricière" tous les 22 avril. En France, c'est un mois "inédit" selon Météo-France de par ses températures anormalement chaudes.
  Earth Day : le 22 avril marque la "journée mondiale de la Terre" selon l'ONU
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NDÉ
Illustration
  via Philippe Grandcolas sur X, 22.04.2024
  "#JourneeMondialeDeLaTerre #EarthDay Nous ne vivons pas durablement ! Nous produisons largement assez de nourriture pour tous les humains mais pas pour les bons usages et cette production cause de terribles pollutions #pesticides #deforestation @CNRSEd @ClaireMARC5 https://t.co/yY7HVMpkYD"
https://twitter.com/pgISYEB/status/1782419049495851375
  Bernadette Cassel's insight:
  'Journée de la Terre' in Les Colocs du jardin https://www.scoop.it/topic/les-colocs-du-jardin/?&tag=Journ%C3%A9e+de+la+Terre
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Genève : pollution lumineuse
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L’évolution du vivant s’est construite de pair avec l’alternance entre le jour et la nuit. Mais l’éclairage urbain illumine les rues en continu. Une luminosité qui perturbe la faune et la flore et s’étend de plus en plus loin, comme dans le Grand Genève.
  Publié le 1 avril 2024
Villes vivantes
Pollution lumineuse, le côté obscur de la ville
  Camille Belsoeur (abonnés)
    "En regagnant en covoiturage le centre-ville de Genève, après avoir arpenté sa campagne immédiate à la recherche de cerfs, je regarde songeur la voûte céleste. Aucune étoile visible. Les cervidés genevois l’ont-ils également remarqué ? Cela change­-t-­il quelque chose dans leur orientation nocturne ? « La pollution lumineuse est très forte ici, on ne peut pas faire pire », m’avait soufflé, quelques jours avant mon reportage, Aline Blaser, cheffe de programme corridors biologiques du canton."
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NDÉ
Pour en savoir plus
  Des corridors noirs pour lutter contre la pollution lumineuse
Genève Grandeur Nature https://www.lemanbleu.ch/fr/Emissions/93540-Geneve-Grandeur-Nature.html
  « S’il nous permet de retrouver notre chemin dans la nuit ou d’embellir nos bâtiments, l’éclairage nocturne perturbe la vie de la faune. Insectes, amphibiens, oiseaux, mammifères et même les végétaux peuvent être impactés par ce qu’on appelle la pollution lumineuse. Préserver des corridors noirs est essentiel pour la biodiversité. Genève Grandeur Nature met en lumière les espèces de l’ombre. » Avec Aline Blaser, Cheffe de programme corridors biologiques, État de Genève Bastien Guibert, Ingénieur en gestion de la nature Tommy Andriollo, Responsable projet CCO, Muséum Loren Manceaux, Cheffe de projet, CCO-Genève Florence Colace, Architecte-éclairagiste, Ville de Genève
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  La biodiversité s’étend dans l’obscurité
  Trames vertes, bleues et noires
  "Historiquement, toutes les espèces ont besoin de repères pour canaliser leurs déplacements", nous précise Loren Manceaux, biologiste chiroptérologue au Centre de coordination ouest pour l’étude et la protection des chauves-souris du canton de Genève (CCO-GE). "On parle des nécessaires trames vertes et trames bleues, composées de structures végétales, de couloirs forestiers ou de cours d’eau, mais on s’est aperçu qu’elles étaient insuffisantes pour une majorité d’espèces qui se déplacent de nuit, soit pour éviter l’homme, soit parce qu’elles sont nocturnes. Il faut leur reconstituer des trames noires, sans quoi on isole des populations, et la biodiversité périclite. Car si certaines espèces arrivent à s’adapter, d’autres pas, telles certains rapaces nocturnes, ou les chauves-souris qui désertent progressivement les zones éclairées. Les espèces migratrices sont aussi très perturbées par les éclairages pointés vers le ciel, les enseignes publicitaires, les aéroports."
  Cartographies genevoises en pointe
  En Suisse, le canton de Genève est aujourd’hui en pointe sur cette thématique. Tout a démarré à l’occasion d’un colloque franco-suisse en 2015 sur les corridors biologiques, qui a mis en évidence l'enjeu de l'obscurité. "Ce point de prise de conscience a permis de travailler ensuite très concrètement avec les services industriels de Genève", récapitule Aline Blaser, "en leur présentant les effets de la pollution lumineuse en termes d’astronomie, de santé et de biodiversité. Puis on a bénéficié d’un travail réalisé par la Haute école du paysage, d'ingénierie et d'architecture (HEPIA), qui a pu nous fournir une carte de l’éclairage en 2012, actualisée grâce à des images satellites en 2021. On a ainsi pu coupler les points de lumière artificielle aux axes des déplacements de la faune, y compris des chauves-souris, grâce à des données récoltées par des boîtiers à ultra-sons disposés sur le canton." Et Loren Manceaux de compléter: "Chaque pont éclairé vient fragmenter un corridor et réduire la richesse spécifique que l’on peut avoir de part et d’autre de l’ouvrage. Les espèces les plus sensibles à la lumière sont repoussées, cela créé des barrières presque physiques, réduisant de fait leurs territoires."
  Projet-pilote d’extinction des routes
  Entre temps, la validation de ces données a permis d’enclencher des collaborations tous azimuts. Pour atteindre le public, il y a, depuis 2019, l’opération "La nuit est belle", dont la 4e édition, le 22 septembre dernier, a mis en lien l’extinction de l’éclairage public, dans 184 des 209 communes du Grand Genève, à une centaine d’animations: observations du ciel, expositions, concerts, repas à la bougie, etc. Et une étape plus importante est franchie depuis 2022, avec la mise en œuvre de la stratégie des autorités pour l’extinction des routes cantonales, portant sur la moitié des 8'000 points lumineux recensés. "C’est un essai pilote", précise Aline Blaser, "qui permettra une évaluation de sa pérennité en veillant à désamorcer toutes les questions de sécurité. Cette approche apporte de grands bénéfices pour restaurer notre patrimoine commun qu'est la nuit, et ménager les espèces impactées par les routes."
  L’intérêt des agriculteurs contre les ravageurs
  Reste à nous concentrer sur le potentiel rôle de l’agriculture contre cette pollution lumineuse. "Les exploitations agricoles sont justement déjà des corridors biologiques naturels de déplacement de la faune", poursuit Aline Blaser. "Si on éteint une route entre deux parcelles, cela favorise les déplacements entre réservoirs de biodiversité. Et il y a un intérêt commun à faire mieux. Car les agriculteurs se demandent comment bien agir pour faire revenir les chauves-souris, certains pollinisateurs et à peu près toutes les espèces animales, parce qu’elles régulent très efficacement les atteintes aux cultures et permettent de limiter l’utilisation de produits phytosanitaires. Il y a ceux qui font de louables efforts pour maintenir et développer leurs haies, ou qui installent des nichoirs sur leurs fermes. Tout cela est très bien et implique aussi parallèlement un travail sur la façon d’éclairer leurs bâtiments pour être encore plus bénéfique»."
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  agirinfo, 27/03/2024 https://www.agirinfo.com/medias/articles-agir/detail/tx_news/la-biodiversite-setend-dans-lobscurite/
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entomoblog · 2 days
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Congrès des Sociétés Françaises de Parasitologie (SFP) et de Mycologie Médicale (SFMM) - Université d'Angers
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Au cours des trois journées de congrès, 250 à 300 participants scientifiques, médecins, pharmaciens et vétérinaires sont attendus pour venir écouter les orateurs et présenter leurs derniers travaux de recherche fondamentale ou appliquée et leur expérience de pratique médicale en parasitologie ou mycologie médicale.
  Le programme sélectionné par le comité scientifique portera sur des thèmes variés d’actualité en parasitologie et en mycologie et permettra de mener des débats animés et interactifs. Il offrira une visibilité toute particulière aux maladies vectorielles, aux nouvelles technologies omiques, aux actualités diagnostiques et thérapeutiques dans le domaine de la parasitologie-mycologie humaine et/ou animale.
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Enquête sur la tenthrède Elinora maculipes – OPIE antenne Occitanie
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
Le CEN Occitanie travaille actuellement sur la définition d’une liste régionale ZNIEFF des Hyménoptères Symphytes (plus communément appelés tenthrèdes), dont la biologie est proche de celle des papillons. Afin d’améliorer nos connaissances, le CEN et l’Opie lance une enquête sur une espèce emblématique et mal connue, récemment découverte dans la région, Elinora maculipes. Très rarement observée au niveau national, toujours sur les fleurs d’Iberis amara sa plante-hôte probable, il s’agit d’une des très rares tenthrèdes connues uniquement en France.
Que vous vous intéressiez aux insectes ou aux plantes, votre aide nous sera précieuse ! Nous avons préparé une fiche pour vous aider à chercher et à reconnaitre l’espèce sur le terrain :
  Fiche-synthetique-Elinora-maculipes_avril-2023
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entomoblog · 3 days
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Quand on arrive en ville
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Venez assister à une soirée explorant les interactions entre la vie nocturne, la biodiversité et la préservation de l'obscurité. Notre première interventio…
  14 mai Les portes ouvrent à 18h30 !
  The Dubliners, 28 Rue Mathieu Donnart 29200, Brest
  Pour une nuit moins lumineuse ?
Yoann Roulet (Doctorant en écologie, Laboratoire Géoarchitecture - UBO, pollution lumineuse et trame noire “Darker Sky”)
  "Mon intervention vise à mettre en lumière les éventuelles interactions entre la lumière artificiel nocturne et la biodiversité, qu'elle soit dite ordinaire ou rare et menacée. Le projet se concentre notamment sur l’effet de l’extinction dans les parcs et jardins urbains et sur plusieurs groupes de la faune et de la flore. Nous verrons aussi l’étude des effets de la modification d’éclairage sur les populations locales et migratrices d’oiseaux, de chauves-souris et d’insectes."
(...)
  Nuit festive et enjeux environnementaux : un dialogue (im)possible ?
Edna Hernandez (Maîtresse de conférences en urbanisme, Laboratoire Géoarchitecture - UBO, liens entre la lumière urbaine et les activités humaines nocturnes et leur impact sur l’environnement)
  (...)
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