C'est pas que j'm'ennuie, mais j'ai les joues qui m'brûlent.
— Série noire (Alain Corneau, 1979)
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Ducros, c’est pas un ténor !
— Jo (Jean Girault, 1971)
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Raouh !
— Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages (Michel Audiard, 1968)
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Faut laisser ses illusions à une malheureuse veuve.
— Souvenirs perdus (Christian-Jacques, 1950)
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C'est le drame de l'homme, ça, pas pouvoir s'arrêter de penser.
—Les bons vivants (Gilles Grangier, Georges Lautner, 1965)
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Les femmes, c’est mon truc.
— Cent mille dollars au soleil (Henri Verneuil, 1964)
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C’est pas commun ça l’Egypte.
— Les tontons flingueurs (Georges Lautner, 1963) | Source : @Michel_Audiard
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Non ! Si. Oh !…
— Jo (Jean Girault, 1971)
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Quand vous pétez, un pantalon ça vous colle aux guiboles…
— Calmos (Bertrand Blier, 1975)
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Je vais le travailler en férocité !
— Les tontons flingueurs (Georges Lautner, 1963)
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Ça me scie les nerfs le violon !
— Buffet froid (Bertrand Blier, 1979)
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Pas attendrissement, pas de larmes, du sourire.
— Elle cause plus… elle flingue (Michel Audiard, 1972)
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La machine à poinçonner est en marche avec mézigue aux commandes.
— Le cri du cormoran le soir au dessus des jonques (Michel Audiard, 1971)
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Le craquement de la biscotte dans un appartement vide, ça a un côté rassurant.
— Ça n’arrive qu’à moi (Francis Perrin, 1984)
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On la débusque, on la passe à l’acide, on la découpe au laser, on la dissout.
— Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages (Michel Audiard, 1968)
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Tiens bec en zinc, si t’en crève pas, mort aux cocus !
— Archimede le clochard (Gilles Grangier, 1959)
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Vous n’êtes que des salariés, c’est-à-dire les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste.
— Un idiot à Paris (Serge Korber, 1967)
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