La Turquie en photographie.
Pour ce voyage j'ai abandonné mon Canon 60D en échange d'un appareil de très bonne qualité et plus compact: L'Olympus OMD E-M5. Comme c'était un voyage "backpack" je voulais être plus léger. Le Canon 60D est un superbe appareil mais lors de notre voyage au Vietnam, j'ai brisé une de mes trois lentilles et mon kit était encombrant. Je m'ennuie de l'écran amovible et du très efficace "burst shot" du 60D mais l'Olympus avec sa lentille M.Zuiko ED 12-50mm F3.5-6.3 EZ est un bon compromis qualité/légerté.
En back-up, nous avions un petit Sony Cybershot qui fait très bien le travail au cas nous aurions eu une bad luck avec l'Olympus.
En résumé, oui le canon 60D est un appareil supérieur avec un choix de lentilles supérieures. Mais comme le témoignent les résultats, pour les photographes non-professionels que nous sommes, l'Olympus a su prendre des clichés magnifiques. Admettons aussi qu'en Turquie et plus précisément en Cappadoce, tout est sublime. On pourrait photographier une bouse de vache et ça serait beau.
Comme je me débrouille un peu en Photoshop/Lightroom, j'ai su bonifier les images à mon goût. Bref, pour un photographe amateur, le choix entre un gros Canon et un petit Olympus réside dans son budget et dans le désir ou non d'alourdir nos bagages.
-Eddie
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Turquie - La bouffe
1- Jus de grenade frais. Mon coup de coeur tout au long du voyage. Il y a des "vitamin bar" un peu partout dans les rues où l'on peut se faire presser des jus frais à prix modique.
2- Du Koka Kola avec des "K".
3- Au bord du Bosphore, il y a des stands où l'on peut manger des sandwichs de viandes ou de poissons non identifiés. Bons et pas chers. Parfait pour manger sur le pouce.
4 - Des baklavas partout... Nous y avons pris goût.
5 - Après chaque repas au restaurant, le thé à la pomme est un incontournable. Naturel ou en poudre, c'est un bon moyen de relaxer avant de reprendre la route.
6- Et bien sûr, les kebabs. J'en ai mangé 10 jours en ligne. Agneau, boeuf ou poulet. En brochettes accompagnés de pain "pide".
Pour les végés, il y a moyen d'essayer toute sorte d'humus, de feuilles de vigne, de machins à base d'aubergine et autre nourriture du Diable que mon corps me demande de ne pas consommer...
-Eddie
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Turquie - Selçuk - Jour 10
La ville des cigognes.
Une belle journée à déambuler dans les rues de la ville tranquille de Selçuk, là où se trouve notre hotel. J'en profite pour me faire une tête de Turc chez un vigoureux barbier. On prend le bus pour la ville portuaire de Kusadasi. Ça sent la fin du voyage. Le lendemain, direction Izmir pour prendre l'avion. 10 jours ça passe trop vite. On n'a pas tout vu mais nous sommes satisafaits de notre itinéraire. On a fait le maximum avec le temps alloué et on repart avec le sourire.
-Eddie
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Turquie - Éphèse - Jour 9 (1 de 2)
Éphèse (en turc : Efes ; en grec ancien : Ἔφεσος / Éphesos ; en latin : Ephesus ; en hittite : 𒀀𒉺𒊭 / Apaša) est l'une des plus anciennes et plus importantes cités grecques d'Asie Mineure, la première de l'Ionie. Bien que ses vestiges soient situés près de sept kilomètres à l'intérieur des terres, près des villes de Selçuk et Kuşadası dans l'Ouest de l'actuelle Turquie, Éphèse était dans l'Antiquité, et encore à l'époque byzantine, l'un des ports les plus actifs de la mer Égée; il est situé près de l'embouchure du grand fleuve anatolien Caystre. L’Artémision, le grand sanctuaire dédié à Artémis, la déesse tutélaire de la cité, qui comptait parmi les Sept merveilles du monde et auquel Éphèse devait une grande part de sa renommée, était ainsi à l'origine situé sur le rivage. C'est l'œuvre combinée des sédiments charriés par le Caystre, des changements climatiques, et peut-être d'accidents sismiques, qui explique le déplacement progressif de la côte vers l'Ouest, et l'ensablement subséquent des ports de la ville, prélude de leur abandon.
-Wiki
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Turquie - Pamukkale - Jour 8
Non ce n'est pas de la glace...
Wiki: Pamukkale (« château de coton » en turc1) ou Pamukalé est un site naturel et touristique de Turquie composé de sources formant une tufière. Il est inscrit depuis 1988 conjointement avec Hiérapolis sur la liste du Patrimoine mondial de l'UNESCO. Une ville du même nom se trouve à proximité.
Pamukkale, le site touristique, est superbe et surprenant... Quand on nous demande d'enlever nos godasses (pour ne pas endommager le sol) pour grimper la colline, je m'attends à me casser la gueule sur des plaques glissantes comme de la glace... C'est blanc, c'est lisse, c'est mouillé. Au Québec, c'est généralement synonyme de crissage de camp les quatre fers en l'air. Mais ici dans la pente, mes pieds s'agrippent sur la surface calcaireuse. L'eau est parfois chaude. C'est une étrange sensation. Et puis sur les photos, on a l'air de marcher pieds nus sur de la glace et on n'a pas l'air de mauviettes. Je prends aussi le temps d'être perplexe à la vue des grosses madames en maillot de bain qui se vautrent dans les bassins d'eau chaude pour leurs soi-disantes propriétés curatives. Désolé, mais je ne peux m'empêcher de penser à des éléphants de mer sur la banquise...
Ceci étant dit... Pamukkale (et Hiérapolis) est un extraordianire endroit sauf qu'il est situé dans la ville du même nom (Pamukkale) qui elle, est une ignomie sans nom, c'est un genre d'Old Orchard (USA) bourré d'attrape-touristes. C'est laid et c'est petit. Il n'y a rien à faire là. Nous avions réservé un hotel (minable) pour passer la nuit là. Nous avons plutôt pris le bus à la fin de la journée pour déguerpir à la prochaine destination. Argent perdu... Mais quelle bonne décision.
Mon conseil de voyageur; Arrivez là le matin. Passez deux heures à visiter le site touristique ( quatre si vous voulez absolument voir Hiérapolis en payant un surplus monétaire) et allez-vous en. Vraiment, ne perdez pas votre temps là alors que toutes les autres villes sont plus belles...
-Eddie
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Turquie - Le Cappadoce - Jour 7
Dernier jour dans cette sublime région, on décide de se la couler douce en trainant dans les rues. On prend quand même un petit sentier, que nous ne finirons pas, faute de temps. C'est la vallée du miel, en pleine campagne, et encore une fois, c'est magnifique. Pas le temps de la finir, on doit sauter à nouveau dans un bus de nuit, qui nous mènera à la pire journée du voyage. Yay! Pammukale nous attend!
-Nancy
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Turquie - Le Cappadoce - Jour 6
On se réveille à l'aube, et on décide de se dépêcher à monter la colline surplombant la ville, car c'est le moment où s'envolent les fameuses montgolfières cappadociennes! Moment féerique de marcher dans la ville déserte et silencieuse avec seulement les "pshhh" des montgolfières. Et la vue est magnifique de là-haut!
Plus tard, on se rend à Uchisar pour visiter le Uchisar Castle, qui est magnifique de l'extérieur, mais un peu poche à l'intérieur. On s'en fout, la vue est sublime d'en haut, on voit toute la ville, et même Göreme, Çavusin, et même Avanos au loin. Je discerne même un giga mont enneigé au loin. Flûte, il y a un haut sommet avec neiges éternelles dans la région, et je ne pourrai pas y aller! Prochaine fois!
En revenant en Göreme, on prend le sentier de la Vallée des Pigeons. Quelle bonne idée! On marche au fond d'un petit canyon, superbe!
-Nancy
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Turquie - Istanbul - Jour 3 - Soir
Nous terminons la journée avec l'ascension de la Tour de Galata. Une longue attente en file pour y entrer qui en vaut la peine si vous voulez voir une vue magnifique de tout Istanbul et ses environs. Le soir, c'est très beau avec la lumière des mosquées au loin. Le balcon étroit au sommet fait un panorama 360 degrés. Nancy se souvient qu'elle a le vertige au moment de marcher sur la balustrade et je me retrouve seul à jouer du coude avec des touristes de partout dans le monde qui se font des selfies avec leurs téléphones...
-Eddie
p.s. J'ai boosté artificiellement la lumière des photos. En fait, nous sommes la nuit mais mon appareil photo ne capte pas très bien les paysages en low-light.
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Turquie - Istanbul - Jour 3 - PM
Après la Mosquée Bleue, nous déambulons dans les rues et tombons sur le fameux Grand Bazaar d'Istanbul. Après quelques minutes dans ce dédale sans fin, je regrette d'être entré là-dedans. C'est un assaut sur tous mes sens. Trop de bruits, trop de monde, trop de couleurs. C'est laid. C'est étroit de partout. Un million de kiosques qui vendent les mêmes affaires. Particulièrement des ripoffs de marques de vêtements chics et des parfums cheap. Je ne suis pas claustrophobique, mais cet endroit teste les limites de ma tolérance. Nous cherchons une sortie mais c'est tellement grand qu'il est facile de se perdre. C'est extrêmement rare que je sois agressif mais j'ai vraiment envie de sortir en criant et de me frayer un chemin en pétant des faces. J'aime déjà pas les centres d'achat au Québec, particulièrement pendant les emplettes de Noël, mais là, c'est cent fois pire. Bref, c'est tellement gigantesque que ça nous prend une éternité avant de trouver une sortie et de l'air frais.
Par contre, en descendant vers le Bosphore, nous entrons dans le Bazaar Égyptien. Beaucoup plus petit et axé davantage sur la bouffe. Là, ça me plait. Des épices, du caviar, des Turkish Delight, des Baklavas. Tout est beau. Tout à l'air bon. Et ce n'est qu'une longue allée principale au bout de laquelle on voit la lumière du jour. Et... Et... L'espoir.
-Eddie
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Turquie - Istanbul - Jour 1
Premier constat en arrivant à Istanbul : une longue file de taxi à la sortie de l'aéroport et aucun chauffeur ne nous embête. On nous remarque à peine. Moi qui déteste me faire harceler en voyage, ça commence bien!
Deuxième constat : des chats, des chiens, partout, et libres! Yay! En Turquie, on voit un chien errant, on l'embarque, le vaccine, le castre, et on le remet en liberté! Certains restaurateurs leur donnent volontier les restants de table, et tout le monde semble cohabiter paisiblement.
En ce premier jour, on ne fait rien de particulier, on découvre le quartier touristique et ses attraits. On prend le pouls de la ville. On s'auto-confirme qu'Istanbul semble formidable!
On mange un sandwich à 2$ sur le bord du fleuve, qui sera probablement le meilleur de tout le voyage!
Dernier constat, mais oui, c'est un pays musulman! On se fait donc chanter la pomme quelques fois par jour par le muezzin du coin. Les méga-mosquées d'Istanbul se renvoient la balle à coups de haut-parleurs.
Moment que j'adore à chaque fois
-Nancy
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