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felixlajoie · 6 months
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Séance #14 L'inégalité d'une ressource essentielle
Lorsqu’on pense à Internet, on pense à une invention qui a complètement révolutionné le monde. C’est d’ailleurs le cas dans plusieurs pays industrialisés comme le nôtre, le Canada où le web est indispensable dans la vie de tous les jours, que ça soit pour communiquer avec nos proches, s’informer sur l’actualité, magasiner ou même pour travailler, alors que le télétravail est une pratique de plus en plus populaire. Ce n’est pas toutes les sphères de nos vies qui ont été affectées par le numérique, mais presque. En 2016, dans les pays développés, 80% des habitants ont accès à Internet, alors que dans les pays en voies de développement ce taux est à 40%, selon l’Union internationale des télécommunications dans un rapport publié il y a 7 ans. Pourtant, ce privilège n’est pas acquis pour tout le monde. En effet, dans les pays les plus pauvres et les plus fragiles d'Afrique, ce taux tombe même en dessous de 10 %, seule une petite minorité urbaine, jeune, aisée, éduquée et plutôt masculine ayant accès aux moyens de communication. Mais dans certains cas, plusieurs personnes ne se retrouvent pas sur le web, pas par manque d’envie, mais bien par un manque de connaissance ou tout simplement, car l’Internet est assez technique et comporte son lot de formalités. C’est donc à ce moment que le terme d’exclusion sociale fait son entrée en jeu. Ne pas bénéficier de tous les avantages qu’Internet regorge peut en quelque sorte amener une forme marginalisation chez certains individus. Ces gens sont privés de plusieurs services, car maintenant, pratiquement tous les besoins d’un individu peuvent être comblés par l’usage du web. Le virage numérique prive en quelque sorte ces gens de leurs droits fondamentaux. L’Organisation des Nations Unies souhaite rectifier le tir et a l’intention d’améliorer le sort des 2,9 milliards de personnes toujours privés d’Internet.
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felixlajoie · 7 months
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Séance #13 L'influence du web sur la vie de tous les jours
La démocratisation du web a amené plusieurs changements à notre vie de tous les jours. Les réseaux sociaux ont beaucoup d’influence changeant ainsi complètement les habitudes des gens. Synonyme d’espaces publics, les médias sociaux permettent à tout le monde de s’exprimer librement. Ce contexte a été l’essence même de plusieurs recours collectifs dénonçant des situations inacceptables passant parfois sous le radar. La possibilité de rejoindre une large audience accentue par le fait même la puissance du message véhiculé. C’est en soi un point positif qui permet à tout le monde d’être entendu, comme on l’a vu lors de récents mouvements sociaux comme #MeTOO. Mais c’est également dans ce contexte que l’utilisateur se voit enseveli d’information dont certaines qui peuvent s’avérer faussent. Parmi les différents enjeux, on peut constater que ce contexte numérique a joué un rôle important dans plusieurs événements d’envergures. On peut penser aux élections par exemple. Certains médias de renoms propagent de vraies nouvelles en se donnant pour objectif d’informer et d’outiller la population en vue de la période d’élection. Il faut par contre se méfier de la désinformation, un fléau qui ne cesse de monter en popularité sur les plateformes interactives. En effet, certains groupes voire certains individus maîtrisent à la perfection le sens de la fausse nouvelle, tout ça dans le but de tromper les électeurs. Le problème a donc dû être pris au sérieux et c’est ce que Twitter (maintenant X) a fait en 2020 en imposant des restrictions afin de limiter la propagation de fausses nouvelles. Parmi les ajustements effectués, des vérifications sont dorénavant faites afin d’assurer la crédibilité de la source publiant de l’information. Il reste cependant énormément de travail à faire afin de contrôler le contenu publié sur les réseaux sociaux. C’est d’ailleurs un enjeu qui prend toute son importance lorsque l’on observe ce qui se passe ailleurs dans le monde présentement.
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felixlajoie · 7 months
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Séance #12 L'économie des réseaux sociaux
Ce n’est pas un secret, les plateformes interactives sont la propriété d’hommes riches tels que Elon Musk qui détient X ou encore Mark Zuckerberg propriétaire de Facebook. Cependant, la puissance de ces hommes et l’argent qu’ils ont afin d’investir sur leurs réseaux sociaux respectifs ne les empêchent pas de générer encore plus de revenus via les publicités par exemple. En effet, un utilisateur ne peut passer une seule minute sur un réseau social sans qu’une publicité s’affiche sur son écran. Si l’on prend l’exemple de Facebook, 97% de leurs revenus proviennent des annonces, tandis que pour X c’est 89%. Ces statistiques sont énormes et démontrent toute l’importance d’inclure des publicités mettant de l’avant différents produits. L’attention des utilisateurs est d’ailleurs une denrée tellement rare que les annonceurs sont prêts à dépenser des sommes ahurissantes afin d’obtenir le précieux temps des internautes. Et qui en pneu-bénéfice? Les médias sociaux bien évidemment. Il y existe cependant d’autres moyens de faire profit. Un de ceux-ci consiste à vendre des abonnements. Certains journaux et certaines plateformes de diffusions le font déjà, alors que les membres ont accès à du contenu propre et réservé à la plateforme en question lors de l’achat d’un abonnement. C’est une formule qu’a tenté d’implanter Elon Musk. Depuis le 23 octobre, il est possible d’être un membre X premium pour la somme de 32$ par mois. Pourtant, un utilisateur n’ayant pas envie d’effectuer cet achat peut toujours consommer le contenu qu’il désire sur la plateforme. Être abonné à X permet seulement d’obtenir plus de fonctionnalités sur l’application ce qui bonifie donc l’expérience de l’utilisateur sur le réseau. Le coût de la vie ne cesse d’augmenter et payer afin d’avoir accès à du contenu supplémentaire semble être une nouvelle tendance. La question qu’on se pose est donc la suivante : Allons-nous être témoins d’une révolution dans l’univers des réseaux sociaux?
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felixlajoie · 8 months
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Séance #9 Le web, une menace pour les médias?
Durant les dernières années, les médias ont eu une ascension fulgurante et le numérique y en est pour beaucoup. Si auparavant l’actualité n’était que disponible dans les journaux ou en direct à la télévision, ce n’est maintenant plus le cas. Finis l’époque où si l’on manquait une information à la télé, il nous était impossible de l’entendre à nouveau. Le web a permis à plusieurs grands médias d’avoir une page ou un site où les rediffusions des émissions sont disponibles en tout temps pour le public. Les plateformes numériques offrent également recours à ces rediffusions, alors le contenu est disponible sur des réseaux comme Facebook ou X (anciennement Twitter). Les internautes peuvent donc, en plus d’avoir accès à ce qu’ils ont manqué à la télévision, commenter sur le contenu en question. C’est dans la section commentaire que les utilisateurs peuvent exprimer leurs pensées sur un sujet en particulier. C’est un nouveau facteur à prendre en compte qui amène son lot d’avantages, mais également son lot d’inconvénients. D’une part, un bon nombre de journalistes possèdent un compte sur la plateforme X, permettant ainsi que de l’information de source certaine soit propagée sur Internet. Cependant, il est désormais beaucoup plus facile pour tout individu de se proclamer comme reporteur afin de profiter de ce statut pour répandre de fausses informations. Une pratique qui est d’ailleurs de plus en plus populaire et qui par le fait même déjoue énormément de personnes. C’est le principal risque relié à cette soudaine expansion des médias via les réseaux sociaux. Comment mettre un terme à ces fausses informations ou encore même cette propagande qui en trompe plus d’un?  X a récemment réussi à implanter un système permettant de vérifier l’exactitude de l’information. Ce n’est malheureusement pas le cas pour tous les réseaux ce qui augmente la fréquence à laquelle des informations erronées gagnent en popularité.  
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felixlajoie · 8 months
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Séance #8 L'avenir du magasinage en ligne
Fini l’époque où l’on devait se déplacer en magasin ou au centre d’achat afin de se procurer nos vêtements préférés ou encore le plus récent IPhone. Si certaines boutiques en payent les conséquences, d’autres pages web s’en réjouissent. De quelle manière est-ce que ces entreprises réussissent à faire des bénéfices? Plusieurs facteurs l’expliquent. Premièrement, l’émergence et l’accessibilité du web permettent aux utilisateurs de n’être qu’à un seul clic de distance avec le contenu disponible. C’est beaucoup plus facile pour un individu de rechercher ce qu’il l’intéresse sur le web en utilisant des mots précis et clairs plutôt que de se perdre dans différentes rangées d’une succursale, qui n’a parfois même pas ce que l’on recherche. D’ailleurs, se perdre sur le web n’est point une expérience désagréable. Au contraire, lorsqu’une personne se perd sur le web, elle découvre des items basés sur son algorithme, lui permettant ainsi de découvrir du nouveau contenu dont elle n’aurait peut-être jamais eu l’intention d’acheter, mais puisqu’elle y est maintenant exposée, tout est possible. Un autre facteur entre en ligne de compte, la pandémie. Lorsque la COVID-19 a frappé l’ensemble de la planète, les gens n’ont pas eu d’autres choix que de se tourner vers le commerce en ligne, car évidemment il fallait éviter les contacts humains. Avec le temps, cette habitude s’est imprégnée dans le quotidien de la population et a grandement augmenté la croissance de l’achat en ligne. Les boutiques virtuelles ont un avantage considérable sur les magasins, car ils n’ont pas besoin de main d’œuvre. Dans l’environnement où nous vivons, la pénurie d’employées est un réel enjeu. Le magasinage en ligne s’affiche comme une solution à ce problème. Quel est l’avenir pour cette facette de notre vie qui ne cesse de développer? C’est une question qui soulève beaucoup d’interrogations, mais chose certaine, beaucoup plus d’entreprises se tournent désormais vers Internet, afin de vendre de plus en plus de produits.  
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felixlajoie · 8 months
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Séance #7 Lorsque la science se mêle du sport
L’arrivé du numérique a grandement influencé la transmission de l’information. Il est désormais possible de retrouver tout type de nouvelle sur les réseaux sociaux de notre choix. Parmi ceux-ci, on y retrouve X anciennement Twitter, application où l’on peut lire les publications d’un bon nombre de journalistes. Sauf qu’évidemment, les primeurs que peuvent sortir des journalistes ou des experts entraînent des réactions. Le public n’est pas toujours d’accord, de même pour la communauté professionnelle. Un spécialiste du sujet a comme devoir d’informer la population, tout en respectant un mandant et en s’assurant de proclamer des faits. Cependant, ces règles de l’art se doivent d’être respectées. Et c’est à partir de ce moment, lorsque l’utilisateur est dans le doute et que son travail est douté voire remis en question que d’autres arrivent à trouver une faille. Un exemple que j’ai trouvé pertinent et en lien avec un sujet qui me passionne soit le sport est celui de Bennet Omalu. Ce médecin légiste s’est intéressé aux contacts à la tête dans le monde du football américain. Il est rapidement venu à la conclusion que certains joueurs, morts subitement, avaient développé un traumatisme crânien nommé l'encéphalopathie chronique traumatique.  C’est quelques années plus tard que ces travaux ont été remis en doute par la communauté scientifique laissant ainsi un questionnement quant à la manière dont Mr Omalu étudiait ces patients. Depuis ces critiques, ce célèbre travailleur de la santé vit de son succès. Pour lui, sa thèse était à l’époque la vérité absolue, et ce malgré la quantité industrielle de flèches qui lui sont lancées. Un enjeu que Omalu connaissait, mais ce ne l’a pas empêché d’aller jusqu’au fond des choses. Il a récemment suggéré à Tua Tagovailoa, quart-arrière au football, de prendre sa retraite suite à trois blessures à la tête qu’il a subies durant la même saison. Plutôt que de travailler ensemble afin de collaborer sur un sujet chaud concernant le football américain, les scientifiques ont décidé de s’attaquer à Bennet Omalu, remettant ainsi en question la qualité de son travail.
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felixlajoie · 9 months
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Séance #6 Se créer une identité grâce au numérique
https://www.tvanouvelles.ca/2023/04/28/tinder-declare-la-guerre-aux-faux-comptes
La génération des 2000 se familiarisent énormément avec les réseaux sociaux. Instagram, Snapchat, Facebook etc. sont des applications essentielles qui font partie du quotidien d’un jeune adulte. Ces réseaux sociaux ont pour but de socialiser voire rester en contact avec les personnes qui nous sont importantes. Au-delà de l’information que l’on peut y retrouver, il est également possible pour un utilisateur de partager des photos de son quotidien afin d’en informer ses amis et ses abonnés. Cette facette des réseaux sociaux a d’ailleurs grandement évolué alors que l’apparition des sites de rencontre a pris une tout autre tournure dernièrement. Prenons l’exemple de Tinder, une des applications de rencontre figurant parmi les plus populaires. Ayant pour but de rencontrer de nouvelles personnes, l’utilisateur se doit d’ajouter des photos de lui afin de rendre son profil visible par tous. Cependant le numérique permet de se faire passer pour quelqu’un d’autre principalement via les photos. Il est donc possible de se construire une fausse identité de A à Z et d’être en mesure d’utiliser l’application comme tout le monde. Ça permet entre autres à l’utilisateur d’en tromper d’autres, mais également de déjouer l’application. C’est un problème qui persiste depuis longtemps, mais que Tinder souhaite résoudre. Les membres ayant déjà accès à une fonctionnalité permettant de vérifier leur profil via un autoportrait (selfie) auront maintenant la possibilité de vérifier leur nouvelle rencontre par l’entremise d’un système vidéo. Cette nouvelle mise à jour amène ainsi un seuil de double vérification qui vient renforcer la sécurité des utilisateurs du site. Le risque de rencontrer une personne qui prétend en être une autre diminuera grandement. Certes, cette stratégie est innovatrice, mais elle ne permettra pas d’abolir ce fléau qui prend de plus en plus de place et qui cause une multitude de problèmes pour de nombreux adeptes des sites de rencontre.
https://www.tvanouvelles.ca/2023/04/28/tinder-declare-la-guerre-aux-faux-comptes
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felixlajoie · 9 months
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Séance #5 L'émergence des communautés virtuelles sportives
De nos jours, de plus en plus de passionnés de sports se rassemblent sur des plateformes numériques afin d’interagir entre eux. Les communautés virtuelles permettent aux utilisateurs d’échanger sur un sujet précis. La diversité d’opinion et le sentiment d’appartenir à une communauté sont deux facteurs qui aident grandement à l’expansion de ce phénomène. Pour l’utilisateur, c’est un espace en ligne où il peut clavarder avec des pairs tout en cachant son identité par l’usage d’un pseudonyme. Le membre est libre, en effet il peut participer en discutant et amenant son point de vue, mais il peut également se contenter de feuilleter l’information afin d’en apprendre plus. Alors que les galeries de presse se vident et que de moins en moins de journalistes sont attitrés à la couverture de certaines équipes sportives, les communautés virtuelles s’en réjouissent, de même pour les blogueurs. Ces derniers peuvent alors rejoindre un plus grand auditoire et gagner de la crédibilité auprès du public en profitant du fait que les médias ont en quelque sorte délaissé certaines sphères du sport. Évidemment, l’information que l’on peut retrouver sur les forums n’est pas toujours professionnelle, contrairement à ce qui est relaté dans les médias traditionnels. Les deux camps ne disposent cependant pas des mêmes ressources au niveau financier, mais également quant à l’accessibilité aux coulisses, une des grandes différences qui avantage les médias. Éventuellement, ces derniers pourraient être tentés de se tourner vers le web afin de développer une autre partie de leur couverture, mais également de sauver un peu d’argent, car couvrir une équipe partout où elle voyage, c’est dispendieux. De même pour les organisations sportives alors que certaines d’entre eux songent à avoir leur propre organe de presse, ce qui viendrait nuire au travail des journalistes et à leur objectivité. Voilà donc une opportunité en or pour les communautés virtuelles, alors que les médias traversent présentement une période difficile.
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