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«Cette guerre, c'est une lutte pour nos valeurs.»(discours d'Elisabeth Borne devant l'Assemblée le 3 octobre 2022)
Les quarante valeurs?
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100% efficace (même si des fois à peine 95%…), imaginez le PDG de Durex qui dirait: «J’ai mis 4 préservatifs, et ma femme est tombée enceinte. Je suis content, ça aurait pu être pire, des triplés par exemple... De toutes façons nous fabriquons aussi la pilule du lendemain.» 🤡
Tous inoculés, tousse bien profond!
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Petite considération pratique à l’usage de ceux qui ont des oreilles (et qui ont appris à compter jusqu’à trois)…
Arrêtons de répéter la langue, de reprendre les termes, les expressions du persécuteur. L’analyse appliquée à la politique, comme celle du philologue, ne peut que rejoindre la réflexion de Bertolt Brecht, qui notait : «Dans les époques exigeant la tromperie et favorisant l'erreur, le penseur s'efforce de rectifier ce qu'il lit et entend. Il répète doucement ce qu'il entend et lit, pour rectifier au fur et à mesure. Phrase après phrase, Il substitue la vérité à la contre-vérité [...]. Le penseur avance de phrase en phrase, de façon à corriger lentement, mais complètement ce qu'il a lu et entendu, en suivant l'enchaînement. Ainsi, il n'oublie rien.» (Bertolt Brecht, Sur le rétablissement de la vérité – in Écrits sur la politique et la société, L'Arche, 1970)
L'observation de l’évolution de la langue par Victor Klemperer (LTI, La langue du IIIe Reich) lui permet de détecter avec une acuité particulière ce qui distingue par exemple le Nazisme d'une tyrannie ordinaire ou d'une dictature brutale. Il perçoit dans le détail la «différence totalitaire» du régime nazi lorsqu'il s'avère que celui-ci dispose de la faculté non seulement de maltraiter et d'abattre ses ennemis (réels ou imaginaires), mais aussi d'embourber la parole et la pensée de ses victimes dans la fange de son jargon et de sa propagande. Observateur tout à la fois horrifié et impitoyable, Klemperer évoque fréquemment ces Juifs traqués qui ne cessent de se couler dans la langue du persécuteur, ces braves gens dont les manifestations de compassion véhiculent le venin de l'idéologie et font saigner le cœur de ceux auxquels elles s'adressent non moins que les violences et les insultes des bourreaux.
Reprendre la langue de l’adversaire, ne serait-ce que partiellement, c’est nourrir son discours de sens et lui donner continuité de subsIstance…
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«Étrangers aux langues anciennes, au mythe Grec, au droit romain, à la Bible et à l’éthique chrétienne, aux moralistes français, à la métaphysique allemande, à la poésie du monde entier.
Nains quant à la vie véritable, Goliaths de la technique – et, pour cette raison, gigantesques dans la critique, dans la destruction, mission qui leur est impartie sans qu’ils en sachent rien.
D’une clarté, d’une précision peu commune dans tous les rapports mécaniques ; déjetés, dégénérés, déconcertés sitôt qu’il s’agit de beauté et d’amour.
Titans borgnes, esprits des ténèbres, négateurs et ennemis de toutes les forces créatrices, eux qui pourraient additionner leurs efforts pendant des millions d'années sans qu'il en reste une œuvre dont le poids égale celui d'un brin d'herbe, d'un grain de froment, d'une aile de moustique, ignorants du poème, du vin, du rêve, des jeux, et désespérément englués dans leurs hérésies de cuistres arrogants. Mais ils ont leur tâche à remplir.»
(E.J. La cabane dans la vigne)
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ATTENTION! IMPORTANT!
Pour une meilleure compréhension des événements en cours, chaque déclaration gouvernementale officielle depuis 2020 doit se voir réintégrer sa bande-son originale. Effet rétroactif garanti. «Nous sommes en guerre»… 🤡
youtube
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Encore des progrès chez les progressistes grâce à l’innovationnisme technologique!
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Regardez cette courte vidéo d’une audience au Sénat.
Il y a celui qui interpelle Laurence Muller-Bronn en la traitant d’"antivax" et qui lui reproche d’argumenter sur "le manque de recul à long terme des vagues saints" comme si ce n’était pas une vérité… D’une manière générale, les intervenants croient pouvoir se défausser de leur responsabilité subjective en se contentant de répéter "la ligne du parti", s’imaginant à l’abri de s’en remettre à l’autorité des "institutions médicales"…
Avec un président du Sénat à la hauteur de sa fonction, il aurait pu être rappelé, en termes fermes et courtois (et c’est d’autant plus sensible pour les femmes enceintes…) que:
– le principe intangible reste: "primum non nocere"
– l’avis des "autorités médicales" a été fortement contesté par d’éminents médecins spécialistes de la vaccinologie (Perrone, Raoult, Montagnier, Henrion-Caude, etc.), il ne saurait donc y avoir de "consensus scientifique" le syntagme s’avérant en lui-même une contradictio in adjecto…
– la "campagne vaccinale", pour forcer la population à l’inoculage massif d’un produit génique expérimental (appelé frauduleusement "vague saint") a ravalé la complexité de l’infectiologie au binarisme de l’opinion "pour ou contre" (provax vs antivax) de manière à ne pas pouvoir questionner le caractère fondamentalement non-sanitaire de ladite "solution vaccinale": en l’occurrence, qu’est ce qui pourrait justifier médicalement et scientifiquement qu’une politique de Santé Publique digne de ce nom, responsable et éthique, fasse la promotion éhontée d’un produit génique expérimental sur la totalité de sa population pour une maladie dont le taux de létalité se situe autour de 0,05%, (et qui donc laisse 99,95% de sa population sauve)?
– depuis Kant, il n’est plus possible de se dédouaner de sa responsabilité subjective, même si tu ne fais que "faire ton devoir", tu as la responsabilité pleine et entière de la formulation de ce qu'est ton devoir…
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129 MILLIARDS de masques par mois pendant deux ans, dont 3 milliards dans les océans.
Jamais la fameuse formule: "Do you really want to save the planet? Kill yourself!» n’aura été plus pertinente.
D’autant plus qu’utiliser un masque chirurgical pour "lutter contre un virus respiratoire" ça a peu ou prou(t) la même efficacité que vouloir éloigner un lion en pétant.
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Le point saillant du psychanalyste (qui le différencie radicalement du psychologue, du psychothérapeute, du psychiatre …qui ne ressortissent pas du même discours et qui sont dits des "psys" alors que le diminutif de psychanalyste est "analyste"…) c’est ce savoir que le sujet est toujours déjà pris dans un discours en tant qu’il s’apparaît à lui-même d’abord sous la forme d’une subjectivité (celle de son époque, son "moi, je" qui n’est pas à confondre avec le sujet) d’où il ne pourra éventuellement émerger en tant que sujet que par un effort sur lui-même, d’une dissociation de son "moi de viande" d’avec son "moi de pensée" pour le dire avec les mots de Jean Giono.
Un exemple pour comprendre comment dans nos sociétés postmodernes, le discours dominant qui prône l’évaluation, la prédominance de la logique comptable et la priorité donnée aux chiffres, loin de résoudre les problèmes d’organisation, en crée toujours de nouveaux, tout en anéantissant ce qui subsistait encore de la possibilité d’un «lien social» basé sur l’éthique: dans une crèche parisienne, il y avait des parents qui arrivaient souvent en retard, ce qui perturbait l’accueil des enfants et l'organisation du travail des professionnelles.
Les responsables de la crèche se sont réunis et ont fini par prendre la mesure suivante: les retardataires devront désormais s'acquitter d'une amende.
Sans se rendre compte qu'avec cette décision, ce qui devait être de l'ordre d'une relation socio-symbolique (entre les parents et le personnel de la crèche) vient de basculer dans l'échange marchand.
Résultat: non seulement les retards ne cessent pas, mais ont au contraire tendance à augmenter, les retardataires ayant la possibilité de se dédouaner avec l'argent versé, ils n'ont même plus de culpabilité à éprouver.
Les responsables atterrés décident alors de supprimer le système des amendes, mais las …les retards continuent, les retardataires récurrents éprouvant, cette fois, un sentiment de gain lié à l'idée d'une gratuité.
La négation d’une négation ne revient pas à l’affirmation première…
NB: Rappelons que pour la psychanalyse, il y a seulement trois structures de langage incorporé (psychose, névrose, perversion) et chaque parlêtre répond forcément de l’une de ces structures en fonction du choix (forcé) qu’il a dû faire pour se situer en tant que sujet face à la mise en impasse de la castration symbolique (d’être un corps parlant): le "je ne peux pas savoir" du psychotique (que je suis castré, car il me manque un signifiant...), le "je ne veux pas savoir" du névrosé (qu’en tant que castré je suis soumis au signifiant dont les lois déterminent mon destin, ce dont je ne veux rien savoir...) et le "je sais bien mais quand même" du pervers (qu’il y a la castration, mais c’est l’Autre qui est castré, la preuve en me faisant l’objet de sa jouissance, je le démont(r)e...)
Le discours dominant (Discours Capitaliste dans sa stricte acception lacanienne) évacue le Réel en tant qu’il est la troisième dimension, celle du sujet du signifiant à proprement parler.
S’il est impossible d’échapper au discours dominant, il reste à la discrétion de chacun de ne pas se faire l’obligé relais de ses signifiants, à savoir que "se coltiner la misère du monde", c'est toujours entrer dans le discours qui la conditionne, ne serait-ce qu'au titre d'y protester.
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Pour le psychanalyste, cela s’appelle une dénégation, en allemand: Verneinung. "Quelle que soit cette femme dans mon rêve, ce n’est pas ma mère": Freud en conclut que l’analysant parle bien de sa mère…
NB: si "je ne mentirai pas" constitue forcément un mensonge, cela était déjà préfiguré par le changement nocturne intervenu sur sa fiche Wikipedia, jusqu’à là son origine était russe, elle est subitement devenue ukrainienne…
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