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“À quoi bon donner son coeur à quelqu'un qui a besoin d'un cerveau ?”
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J'veux pas changer de vie j'veux changer de planète
Columbine
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moi et mes émotions instable, fait chier.
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“comment on fait quand à notre âge on en a déjà plus rien à foutre ?”
— (via mara-wynn)
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“Si je m'éloigne de toi c'est à contre-cœur, à contre-corps, je devrais pas, ça me fait du mal, pourtant je le ferais encore”
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“Je t'ai aimé tellement fort que, quand tu es parti, j'étais persuadée que je ne pourrai plus jamais réapprendre à aimer un jour.”
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““I knew people were talking, but I wasn’t listening. I wasn’t interested in anything anyone had to say.””
— Michael Thomas Ford, Suicide Notes (via anamorphosis-and-isolate)
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“J'ai menti. Quand j'ai dit que je serais toujours un peu amoureuse de toi, qu'une partie de moi t'aimerait toujours quoi qu'il arrive. J'ai menti, c'est pas vrai, je ne t'aime plus, tu m'as dégoûtée de l'amour alors je ne t'aime plus, toi. Je ne sais pas si j'aurai préféré que notre fin se passe autrement. Je crois que c'est juste impossible quand j'y pense. T'es qu'un connard et tu m'as quittée comme une malpropre. Je crois que ça m'a permis d'ouvrir les yeux sur toi. C'est triste. J'aurai préféré que tu me respectes, que tu viennes me parler en face pour me dire tout ce que t'avais à me dire. T'as jamais eu les couilles d'assumer tes propos, t'as jamais eu les couilles de dire ce que t'avais à dire en me regardant dans les yeux. C'est le seul truc que je regrette, que t'aies pas assumé. T'es même pas parti, tu as fui comme un lâche et t'as tout abandonné sur le chemin sans chercher à comprendre. Tu t'es trouvé une excuse, une occasion et tu as sauté dessus pour me lâcher. T'as attendu l'opportunité pour te tirer. Et t'es parti. T'as jamais dit pourquoi réellement. Parce que tu sais que ton excuse est pourrie, même pas valable et fausse à tous les niveaux. Alors oui, j'ai menti, mais je crois que c'est ta faute. Si t'avais décidé de te pointer devant ma porte comme un adulte pour me dire pourquoi tu me quittais, peut être que je t'aimerai toujours et peut être que, dans des dizaines d'années, je t'aurai toujours aimé aussi. Si t'avais décidé de me donner la vraie raison de ton départ au lieu d'avoir attendu d'avoir une excuse que l'on sait tous les deux ridicule, en me regardant droit dans les yeux, peut être que mon amour pour toi ne se serait pas éteint et serait rester caché au fond de moi. Si t'avais assumé, si tu t'étais pas comportée comme un lâche, un connard de première, je serais pas là à écrire que j'ai menti. Je trouve ça triste, on avait une belle histoire, on partageait des trucs, je t'ai avoué des choses que je n'avais jamais dites à quelqu'un, je te faisais confiance ; t'es juste parti comme une enflure et t'as gâché une histoire de plus d'un an qui, malgré les failles, les disputes et les mauvais moments, comptait beaucoup pour moi, m'avait fait grandir et ouvert les yeux sur ce qu'était vraiment l'amour. Déception. Tu vis ta vie sans même te rendre compte qu'après tout ce temps, j'ai besoin des réelles explications. Pas pour passer à autre chose, simplement pour savoir. Je mérite de savoir pourquoi t'es parti. Je veux pas de ton excuse pourrie parce que tu sais comme quoi qu'elle est fausse. C'était une excuse facile, pas la vraie. Alors si un jour une paire de couille se met pousser dans ton pantalon, je serais là . A une seule condition : que tu me regardes dans les yeux lorsque tu me donneras les raisons de ton départ. Je veux pas d'un message tout pourri, te cacher derrière la nouvelle technologie serait encore plus lâche. Je veux une réaction d'adulte, une vraie excuse, des mots sincères. Qui sait, peut être que je regretterai d'avoir écrit ce texte parce que je me rendrais compte à ce moment là que je ne t'ai pas menti. Peut être t'aimerai-je toujours ? Peut être suffit-il de la vérité pour que mon amour infini pour toi, du moins ce qu'il en reste, revienne à la surface. Simplement un peu, pour ne plus à avoir regretté de t'avoir confié ma vie pendant plus d'un an.
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Je suis las d'aimer. Il ne s'agit pas d'une réflexion dénuée de sens ou de toutes pensées cohérentes. Je suis sobre, dénuée de toute liqueur amère ; c'est promis. Viens, prends une chaise. Il faut que je t'explique. En vérité, cela n'a rien de compliqué. Il y a juste quelque chose de détruit. Ce n'est pas une fracture ou une fêlure. C'est un anéantissement complet. L'annihilement de ma pauvre vie dans cette monotonie torride, sans conditions, sans marchandage, sans intérêt que celui de ses regards dénués de vie. La douceur n'existe plus ne reste plus que la douleur. Une lettre erronée et nous basculons de l'autre coté. Baudelaire ne me sauve plus, les tableaux de Monet me rendent nostalgique mais sans rien de plus. Je ne vais pas mal mais je ne vais pas mieux ; constance. Je ne cherche pas la plainte et cela serait entièrement vain. Il n'y a plus rien à plaindre si ce n'est l'humanité dans son entièreté. Regarde cet enfant qui rit, plus tard, il ne restera de lui qu'une coquille vide. Maman sera partie, Papa rentrera tard, les yeux fous ; oui, une coquille vide. Je me battais pour quelque chose qui se trouvait être déjà perdu. Une course terminée il y a déjà quatre ans. Il n'y a plus rien à faire, plus rien à sauver. Le dernier acte a été joué, le rideau fermé ; trop tard. Tu arrives trop tard. J'arrive trop tard. Pour me sauver de moi-même et de tout ces choix désastreux. Je suis las d'aimer. La mauvaise personne, le mauvais moment, le mauvais comportement. Le mauvais, mauvais, mauvais. Mais peut-être qu'il s'agit du bon ? Je ne vis plus pour les normes, j'ai trop donné ces subterfuges. J'ai fermé la bouche, serré les poings, longtemps ; trop longtemps. Je suis à bout de souffle. De quoi ? De cette fameuse course. On ne peut s'en défaire. C'est une horloge bien huilée. Un pas, un deuxième, un troisième, sans fin. C'est triste ? Injuste ? Surfait ? Ouais, peut-être, qui sait ? Qu'est-ce qu'on y peut ? Je cherche encore cette réponse à la nuit tombée, lorsque les ombres se mouvent en de nouvelles formes. Je te dirais quand j'aurais trouvé mais en attendant, je suis las d'aimer. Aller, viens. Cours, cours, cours. Toujours plus loin. Sans t'arrêter..
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#yeah maeve… you totally hate cheesy grand romantic gestures… you really showed us
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“We aren’t just friends. Just friends don’t stare that long. Just friends don’t smile like that. Just friends don’t say the things we say and just friends don’t do the things we do. Just friends… are not what we are.”
— m.a
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