Tumgik
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Donner du sens ! a 8 ans aujourd'hui !
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Le profit et la maladie
C’est là tout le paradoxe d’avoir confié notre santé à qui a tout intérêt de la voir menacée, remise en cause, bref, précaire et chancelante. Car enfin, si on y réfléchit bien, quel profit tirer d’une population maintenue en bonne santé par une politique de prévention intelligente. “ Big Pharma “ a besoin de malades comme support de sa prospérité.
Les chercheuses et les chercheurs sont des gens dont les moteurs dans la vie sont alimentés par une soif de connaissance et une curiosité insatiable. La recherche du profit, c’est le plus souvent pour eux accessoire et ils se départissent de la gestion de leurs découvertes. Ce faisant, ils délèguent à qui les exproprient de la maîtrise de leurs découvertes. On va développer plus surement une molécule capable de raffermir une capacité érectile défaillante plutôt que celle qui risque de traiter le paludisme. C’est un choix guidé par la recherche du profit, plutôt que par la volonté d’éradiquer un fléau sanitaire.
Parfois il y a une conjonction liée à l’urgence créée par une pandémie non maîtrisée dont on peut penser que la caractère universaliste concerne les riches comme les pauvres. Et là il y a “convergence des luttes” devant un péril pas totalement discriminant. Mais sinon, à cette exception près,  les “blockbusters”, médicaments super rentables sont le produit d’un marketing acharné et ne sont  souvent développés qu’en fonction de leur capacité à  rencontrer du succès, quel qu’en soit l’objet, voir plus haut dans le texte ! Ce qui est premier ce n’est pas qu’ils puissent soulager le genre humain, mais bien plutôt en qu’ils répondent aux attentes d’une demande solvable, directement ou rendue solvable par une prise en charge mutualisée des coûts de développement et la privatisation des profits découlant de leur vente...
Bref, il n’y a pas là le moindre besoin d’un complot a fomenter. Les intérêts bien compris des acteurs de la santé sont défendus et bien défendus par des lobbies solides et très efficients. Ce qu’il faut changer et vite c’est la structure de plus en plus monopolistique des acteurs de la recherche médicale et de sa diffusion.
Oui, il faut réfléchir à une “universalisation” de la santé publique, pour qu’elle échappe aux lois iniques du marché. Il ne faut pas se contenter de “nationaliser” l’économie du médicament, mais la “mondialiser” car la pandémie actuelle à mis en évidence que c’est à cette seule échelle que le problème de la diffusion et de l’usage des médicaments doit se poser.
Oui il est scandaleux que l’on fasse du profit et dans des proportions éhontées sur le dos des malades. L’altruisme et l’empathie doivent se substituer à l’optimisation financière et à la recherche du profit avant tout !
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Laudato Si, un règlement de copropriété épatant !
Le pape François est un type extraordinaire. il vient, dans son dernier encyclique, “ Laudato Si”, de nous proposer de relever un défi colossal. Il vient, en s’adressant à l’ensemble de l’humanité et pas aux seuls catholiques, de nous proposer le défi des défis. Tout simplement il vient nous donner une raison, un sens, à l’accomplissement de notre vie. Dit comme cela c’est un peu “péteux”,  mais à y regarder de plus près c’est une tâche immense, exaltante, qui parce qu’elle  nous dépasse tous donne à voir au delà de nos mesquineries habituelles. Mesquineries, qui si nous n’y prenons pas garde, nous menacent , nous rétractent, nous rendent égoïstes et tristes. Il vient par un coup de g��nie, et beaucoup de courage me semble t il, de nous donner une raison d’habiter nos rêves. Ceux qui parlent d’une terre où il ferait bon vivre, ceux qui mettent de la couleur sur la grisaille, ceux qui cisèlent des utopies à la hauteur de notre solidarité retrouvée. Mais bon sang, c’est bien sûr, on vit tous sur cette “orange Bleue” perdue dans le cosmos, et on est pas capable de s’organiser pour que la copropriété reste vivable, propre, équitable. Bref que “ nous vivions en frères faute de quoi nous risquons de mourir comme des idiots “, merci à un beau chasseur de rêve, Martin Luther King.
Le chantier est immense et il risque de nous occuper sainement pendant pas mal de temps. Il redonne un cap à tenir qui va à l’essentiel. A quoi bon courir après on ne sait quelles chimères, qui ont pour nom, la richesse, le pouvoir, la célébrité, si on passe à côté du bonheur ? Je discutais il y à peu avec un ami qui me faisait la remarque que la plus belle des cathédrale, si elle n’est pas habitée, au sens littérale du terme, si elle perd sa symbolique, sa raison d’être, ne sera pas aussi belle que lorsqu’elle raisonne de la foi d’une foule qui la fait vibrée par le partage d’un projet commun. Nos démocraties sont comme ces cathédrales trop souvent vides, ils nous faut de nouveau les habiter, leur donner de véritables raisons d’être. Notre maison commune brûle et nous regardons ailleurs...C’est tellement vrai, et les flammes gagnent chaque jour du terrain.
On ne peut plus se permettre d’ignorer ce qui fait notre désespérance. Les moyens d’information et de communication actuels nous donnent à voir et à comprendre. La trahison des élites, toujours moins nombreuses, et toujours plus riches, est patente. Elles sacrifient au maintien de leurs privilèges la vie même de la planète. Dans un livre déjà ancien, L’Effondrement, Jared Diamond, donnait à voir comment les dirigeants d’un pays, les tenants d’une civilisation, préféraient sciemment voir s’effondrer leur cadre de vie, plutôt que de renoncer au pouvoir. Le seulultime privilège étant pour eux de mourir les derniers.
En fait, François, je l’appelle ainsi avec beaucoup de respect, trop proche pour ne pas être éminemment humain, nous propose de faire le ménage parmi nos mauvaises habitudes, nos mauvaises ambitions, nos mauvais dirigeants. Bref il est “diablement”, si je puis me permettre l’expression, révolutionnaire. Et je comprends que Fox-News, chaine de télé réactionnaire aux USA , lui recommande de s’occuper d’indiquer aux gens comment atteindre le paradis dans l’au delà, et de laisser aux politiques le soin de décider ce qu’il était bon ou non pour tout un chacun.
Mais voilà, ce qui est bon pour tous est en train d’être perçu, compris, et revendiqué par un nombre de plus en plus grand d’habitants de cette bonne vielle terre. Les satrapes aux petits pieds de tout poil, mais aussi les élus sans grande conviction, incapables de s’opposer aux lobbies, qui nous gouvernent ne représentent plus grand chose. Dans les milieux autorisés, en fait, on s’autorise de moins en moins, car les citoyens, par des lanceurs d’alerte, des veilleurs éclairés sont au courant des turpitudes de chacun. Certes, c’est loin d’être gagné, mais on peut espérer qu’un point de convergence se dégage et fasse consensus. Dans le “ Manifeste Convivialiste “, un ensemble d’intellectuels nous proposent   une définition de ce qui fait société au delà des idéologies, et des convictions de chacun. Ils s’appliquent à définir ce qui fait sens au delà des différences, ce qui fait réellement “Humanité”...C’est,en fait, en travaillant à restaurer l’équilibre écologique de la planète, à ce défi que nous nous attelons. Restaurer l’équilibre écologique c’est bien sûr rendre vivable la planète physiologiquement parlant mais aussi socialement parlant. Un monde incapable d’offrir à tout un chacun la dignité auquel il doit prétendre n’est pas légitime. Et aujourd’hui, ce monde ne l’est pas ! D’où les révoltes qui grondent et les violences qui éclatent un peu partout. La mauvaise gouvernance se développe, le devoir d’ingérence s’impose, il est temps d’en donner le sens. Le “posséder plus”, “le consommer plus”, ne font plus illusion. ils ne donnent pas à vivre une vie, tout au plus il la remplissent, mais à y regarder de près d’un vide sidéral. Ce qui a de la valeur, décidément n’a pas de prix. Et c’est fort de ce constat que le Pape, pardon, François, nous demande un sursaut, un réveil, pour sauver ce qui peut l’être, une espérance de vivre mieux, tous ensemble que nous sommes embarqués dans la même très belle aventure qu’est l’anthropocène. Il ne tient qu’à nous qu’elle devienne l’ère du bonheur, plutôt que l’ère de la sixième extinction des espèces au nombre des quelles nous nous compterons ! Il y a urgence à devenir ensemble plus que l’addition de toutes nos individualités, en conjuguant nos talents nous nous imposeront d’être enfin collectivement intelligents.
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goodtransition · 9 years
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Comment faire prendre la mayonnaise !
La situation semble telle qu'il peut paraître urgent, de se demander comment donner un peu d'espoir à un futur dont on a quelques difficultés à imaginer qu'il soit enthousiasmant, et c'est un euphémisme ! J'ai vu, lu, écouté et constaté qu'il y a une pléthore d'initiatives toutes plus inventives et géniales les unes que les autres, à même de nous rendre la vie moins compliquée, plus exaltante, porteuses globalement de sens et qui souvent ne sont pas très dispendieuses. Des livres, des films, des émissions de radio, des conférences, gesticulées ou non en rendent abondement compte.         Mais on fait comment pour que cette nouvelle société en gestation assurément plus "sexy", émerge et s'impose. Comment faire pour que nous générions de l'espoir et du plaisir à vivre ensemble là où s'impose encore; la suspicion, la rivalité, la concurrence, la cupidité.         Je cherche depuis un certain temps du côté de " l'intelligence collective " une réponse, ou une ébauche de réponse. Comment expliquer que des modèles fiables d'un mieux vivre évident ne soient pas adopter et que l'on perdure dans un quotidien triste et peu exaltant. Alain Caillié, Edgar Morin, Michel Serre, Moulier-Boutang, Cyntia Fleury, et beaucoup d'autres, (j'écris ce "post" sans préparation), s'évertuent à montrer "la voie"...Il nous faut donc inventer une autre façon de faire société pour retrouver du sens là où il n'y a qu'un intérêt, financier, s'entend. Dans cette perspective je vous invite à aller voir du côté du travail d'Olivier Zara, (Intelligence Collective), ou de Bernard-Marie Chiquet, (L'holacratie),etc., ... Ils proposent chacun à leur manière une autre façon de travailler collectivement et pour avoir suivi des stages avec l'un et l'autre, c'est plutôt très satisfaisant. On en ressort avec une confiance restaurée dans le travail collectif. Et je crois que c'est cela qui nous manque cruellement. Ils ont essayer et je crois assez bien réussi à mettre au point, d'une certaine manière de redoutables " Rabots d'Ego ", outils déterminant pour la réussite d'un défi colossal, faire passer le paraître de nos petites personnes après l’intérêt collectif...          Merci de vos réflexions ou   suggestions sur cette idée de réinventer la gouvernance de l'entreprise, de la conduite du projet quel qu’elle soit, ou quel qu'il soit. Quel qu'en soit son objet...Il serait temps, me semble t il, de ne plus subir mais de se mettre sérieusement à anticiper...          On attend quoi d'un futur qui se profile de plus en plus inégalitaire et invivable ? Ne rien faire c'est être responsable d'une faillite collective. Oups, je me demande si cela ne fait pas un peu beaucoup pour un vendredi matin de départ en vacances...Mais bon...Les colibris, les zèbres, le pari citoyen, roosevelt2012, villes en transition, beaucoup s'y essaient on fédère tout cela comment, on donne de l'élan à toutes ces initiatives comment ?
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goodtransition · 10 years
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Du bonheur d'avoir à choisir...
"L'origine du monde", c'est scandaleux, voir, l'origine des choses, c'est une vraie interrogation, une grave interpellation. Pour s'alimenter, on commence à se poser de sérieuses questions sur l'origine des produits et de la façon dont on les obtient. Bref, on s'intéresse à la "traçabilité" de ce que nous ingurgitons. Il en va de notre santé, et dans le domaine on est pas déçu. Quand on connait les techniques d'élevage concentrationnaires, qui suppose un recours massif aux anti-biotiques on "flippe", quand on connait les techniques de cultures intensives,  avec recours massif aux pesticides, insecticides, fongicides, etc., on "panique"...Bref on a du mal à adhérer à un système qui a perdu de vue sa vocation de nourrir proprement la population pour se contenter de faire de l'argent à n'importe quel prix. Bref, il est urgent de ne plus acheter n'importe quoi. On veut savoir qu'elle est la qualité de ce que l'on mange.  Pour nos achats d'objets industriels ou autres il serait bon de se poser quelques questions aussi. Comment sont ils produit avec quelles matières premières et avec quels "process industriels", comment ont été traités les producteurs ? Mêmes types de questions que pour l'alimentation, là aussi, le projet essentiel ce n'est pas de produire l'objet mais la quantité de profits que cela peut générer...Du coup, on va aller voir du côté de l'argent et de son usage.                                         Pour l'argent, c'est pareil. Le temps où on admettait que l'argent n'avait pas d'odeur est révolu. On peut, on doit, se poser la question essentielle de "l'odeur de l'argent". Quand l'argent pue, il importe de se pencher sur la qualité du fumet. Il est nécessaire que nous nous obligions à disqualifier l'argent criminelle, l'argent immonde issue de trafics iniques. Au risque de devenir de véritables receleurs. Alors choisissons de ne plus faire travailler les banques qui spéculent, qui trempent dans les marigots de l'argent sale ( Voir "Alternatives Eco" numéro spécial sur la finances éthiques). Il ne faut plus laisser faire, sous peine de ne plus pouvoir faire. L'objectif c'est de reprendre notre destin en main, rien de moins...Vaste et ambitieux programme qui doit commencer en boycottant toutes structures qui entretient des relations avec des pratiques prohibées qui passent par des filiales dans les cloaques financiers de pays maffieux...Rien de moins, mais on peut, on doit commencer.
Que l'on choisisse l'alimentation, la consommation "ordinaire" de produits manufacturés, ou l'usage de l'argent il faut se hausser au niveau du défi. Il faut donner du sens à nos actions. Choisir, distinguer, vérifier, reprendre le contrôle de nos consommations de nos façons d'être...Ne plus subir, ou alors choisir de ne plus se plaindre...Redevenir capable de choisir, c'est se redonner le pouvoir de devenir les acteurs de nos vies. Pour nous être mis au défi de s'y essayer, certes c'est un peu dur au départ, mais ensuite, alors, c'est vraiment fascinant, c'est vraiment très, mais alors très enrichissant.
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goodtransition · 10 years
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Les électeurs du Front National qui sont ils ? Les déçus d’un système politique qui ne sait pas construire des réponse à leurs questions, qui ne sait pas imaginer un futur capable de faire taire leurs...
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goodtransition · 10 years
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Les automnes flamboyants aident à supporter l'arrivée de l'hiver !
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goodtransition · 10 years
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L'odeur de l'argent !
Il est absolument nécessaire de s'attacher et avec la plus extrême pugnacité à déterminer " l'odeur " de l'argent ! Si l'argent des petits revendeurs est clairement sale, qu'en est il lorsque par agrégations successives l'odeur devrait être totalement nauséabonde en proportion de la masse atteinte ? En fait, il semblerait qu'un effet de seuil rende " miraculeusement " aveugles ou insensibles à l'odeur un nombre significatif de personnes ou d'institutions. Ce sont autant de receleurs qui permettent, encouragent, facilitent la montée des incivilités. Il est urgent d'appeler un chat, un chat. Habillés impeccablement, présentant tous les signes extérieurs de la "respectabilité", ces ignobles, encore largement minoritaires je l'espère, quelques soient les secteurs habituels où ils sévissent, banque, politique, police, médecine, etc., là où on " paie au noir ", où on ne déclare pas une prestation, où on accepte un dessous de table, où on ferme les yeux, où un dépassement d'honoraire oblige à tricher, bref il va falloir réapprendre la vertu, voir les règles de la vie en société. S'en exonérer c'est remettre en cause l'équilibre subtil de règles qui régissent le vivre ensemble, qui permettent la cohabitation de tous...Si l'exemple n'est pas donné par les plus puissants, les plus riches, alors le délitement est rapide et général, et les révoltes sanglantes ! Les observatoires de la corruption doivent nous alerter sur l'élévation de ce type de délinquance, et faire en sorte de les criminaliser. Le viol dénoncé, c'est bien, le viol réprimé avec une extrême sévérité c'est essentiel pour enregistrer des progrès. On ne pourra pas faire l'économie de ce nettoyage en profondeur. C'est ce qui est en train d'être entrepris en Chine, assez "rudement"...Ce qui est entrepris au Vatican. Une limite de la puissance de la Russie actuelle c'est son taus jamais égalé de corruption, un diplôme là bas ne se travaille pas, ne se mérite pas il s'achète. Imaginez vous entre les mains d'un chirurgien qui s'est acheté le droit de jouer au docteur, on peut en rire, mais c'est le cas aujourd'hui en Russie. J'ai pris cet exemple, mais la même chose se fait couramment dans tout un tas d'autres secteurs...Cela devrait nous donner à réfléchir...Une fois effectuée au noir une prestation, une réalisation n'a pas d'existence légale, par de recours possible, et aucune certitude. Ce type de pratiques, se développent tellement vite que, par exemple, des professeurs de faculté se sont laissés aller à ventre des diplômes à des étudiant(e)s chinois(e)s, qui "tout naturellement" sont venus les voir pour connaître leurs tarifs...
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goodtransition · 10 years
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Un soir de partielle, un résultat triste...Trois réflexions...
Les électeurs du Front National qui sont ils ? Les déçus d'un système politique qui ne sait pas construire des réponse à leurs questions, qui ne sait pas imaginer un futur capable de faire taire leurs angoisses ? Sans doute, et qui doivent se contenter de voter pour qui parle "simplement", a des "réponses toutes faites et définitives" même s'ils savent bien au fond d'eux même que ce n'est pas aussi simple que cela. Mais bon, on vote à droite, on vote à gauche, et toujours le même déclassement, et toujours le manque d'espoir... Du coup l'idée que cela ne puisse être pire émerge et s'impose..." On vote pour le loup, en espérant faire peur au berger... L'exemple le plus flagrant, les propositions du FN de "quitter" l'Europe, et le résultat de sondages qui indiquent que très majoritairement, les français n'envisagent pas leur avenir hors de l'Europe.         Il est grand temps de répondre avec des mots simples aux angoisses légitimes d'une partie toujours plus importante de la population en voie de paupérisation galopante. Il faut imaginer les outils à la hauteur des défis. Et commencer par dire la vérité sur l'évolution du chômage. Le modèle économique actuel ne peut être que destructeur d'emplois. La croissance si elle revient va accentuer le phénomène. Alors face à cela on fait quoi ? On laisse le tissu social s’effilocher, ou on imagine un futur qui fasse envie...Je viens de voir le film " En Quête de sens ". Je pense qu'il donne à réfléchir et ouvre sur des perspectives plutôt encourageantes. Des solutions pratiques et efficaces basées sur l'intégration et la reconnaissance de la légitimité de chacun à être, à pouvoir vivre, et même s'épanouir. C'est autant de pistes à explorer, autant de réponse à la désespérance qui passe par la reconquête de l'estime de soi ! Et "bin", rien que ça ! ...Le collectif, "Tous cobaye" mène une démarche d'une grande efficacité en donnant des pistes pour vivre et manger sainement...Il recrute aux franges et prospère là où dit on il n'y a pas d'espoir...Encore un a priori qui tombe...Enfin, il est temps de taxer ceux qui doivent l'être. Les bénéfices trimestriels d'Apple se montent à 16 milliards, un record absolu ! Ils risquent de payer à peine 2% d'impôts sur ce pactole alors qu'il bénéficie de toutes les infrastructures et les dépenses collectives pour réaliser leur " business "...Il faut aussi s'attaquer à la finances. 98% des transactions financières n'ont rien à voir avec l'économie réelles...Le populisme a de beaux jours devant lui si on laisse l'oligarchie financière tenir les rennes. Mesdames et Messieurs les politiques  montrer votre courage, soyez dignes de votre élection...
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goodtransition · 10 years
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La TVA a taux réduit, un privilège de riches ! (Je demande pardon à l'avance à Jean-Eric Hyafil, pour mes modifications de "titres"...
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goodtransition · 10 years
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La nécessité d'agir !
Explorer de nouveaux moyens de réduire les inégalités et de limiter et restaurer les dégâts faits à l'environnement ce doit être, ou devenir, la priorité absolue de toute instance politique, économique et sociale responsable. L'inconséquence actuelle dont font preuve ces instances est au minimum incompréhensible au pire, criminelle. Le propos semble excessif, voir... Limiter l'usage des voitures, des camions, des cars, interdire les plus polluants, et de laisser tourner les moteurs à l’arrêt, pour les car de tourisme notamment , cela dans les centres villes des grandes agglomérations apparait encore aujourd'hui comme une atteinte insupportable à la liberté, rien de moins ! Dans le même temps on constate que le taux de mortalité du à l'accroissement de la pollution augmente de manière sensible, et que les habitants sont malades de cette pollution. A qui va t on dire de sortir prendre l'air, lors d'un pic de pollution toujours plus fréquent. Imaginez "l'état de l'eau du bocal" ! Réfléchir au moyen de donner à tout un chacun de quoi vivre dignement, conformément à ce que prévoit expressément la déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen, au moment où le travail disparait massivement c'est utopique, généreux, sans doute, mais totalement irréaliste. Et pourtant la réflexion sur une nouvelle répartition de la plus-value est indispensable, le consensus social craque de toute part. On peut imaginer la mise en place d'un Revenu Universel d'Existence, combiné à une diminution du temps de travail rémunéré disponible, un véritable choc de simplification dans le secteur social, comparable à celui recherché au niveau du secteur économique. Non, ce serait encourager l’assistanat, les chômeurs n'ont qu'à être plus courageux ! Alors il faut expliquer comment il faut faire pour trouver du travail avec 5 millions de personnes privées d'emploi avec une offre de 350 000 à 400 000 postes au maximum. De quels ressources disposent-ils ? On entend encore des hommes politiques tenir des discours ineptes où il est dit qu'il y a des chômeurs qui ont plus de ressource à ne rien faire qu'en travaillant. ATD Quart Monde se bat et communique pour torde le cou aux idées reçues sur la pauvreté. Il y a encore du travail à faire, certes, mais le regard de l'opinion commence à évoluer sur le sujet. Nul ne se sent plus à l'abri d'une précarité sociale grandissante, qui touche des proches dont on connait la volonté farouche de rechercher et de trouver du travail, hélas en vain. Dans le même temps la banque américaine "Goldman Sachs", pose comme cause principale de l'arrêt de la croissance, sa préoccupation essentielle hélas, la disparition d'une demande solvable ! Cherchez l'erreur, 1 % des habitants de la planète se partagent 50 % des richesses disponibles, et cela ne fait qu'empirer avec un système qui intrinsèquement est construit pour concentrer cette richesse. On s'arrête ou on continue ! Quitte ou double ! Il est temps grand temps de prendre du recul et de réfléchir à quel sens tout cela a. Jared Daimond dans un livre intitulé "L'Effondrement", met en évidence, comment une civilisation peut choisir de se réformer et de s'adapter à de nouvelles conditions de vie, ou choisit sciemment, choix de son élite, d'aller au devant du désastre, pour garder le pouvoir jusqu'au bout. Il y a là matière à réflexion, effectivement, et le mot qui semblait excessif, en début de mon expression, "criminel" est dans le contexte finalement pas si excessif que cela. Merci de vos réactions...
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goodtransition · 10 years
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Promesses et compresses autour de la finance...
Il est extravagant que les hommes politiques, obnubilés par le souci de combattre avec la plus extrême détermination, l'évasion fiscale et leurs corollaires, les paradis fiscaux, après une crise ou avant d'être élus, cessent tout soudain de s'en soucier une fois aux affaires. Il semblerait qu'ils passent d'obnubilés à un état, "d'embullés", "de somnanbulés", bref qu'ils perdent de vue leurs objectifs initiaux. Il n'est que de se souvenir des rodomontades de l'un après la crise financière de 2008, et des promesses de l'autre faisant de "la finance" son ennemi principal, pour constater qu'il y a un grand écart entre les intentions et leurs transcriptions dans la réalité. Mais qui nous les a changés à ce point là, que l'on croit avoir rêvé en essayant de se souvenir de leurs promesses. Le lobby bancaire est donc très, mais alors très, très puissant. Il est capable de les rendre totalement amnésiques, de les lobotomiser pour ainsi dire. Il faut espérer que cela se fasse sans trop de douleurs et du point de vue de la morale, sans trop de compromissions... La Grande Bretagne décide de taxer à hauteur de 25% les profits des grandes multinationales à due proportion du chiffre d'affaires réalisé à l'intérieur de ses frontières. Ce qui parait, entre nous, somme toute normal... Londres, place financière importante, avec tout ce qu'il faut en terme de paradis fiscaux, et pourtant elle décide de taxer les profits réalisés sur son sol et qui jusqu'à présent étaient exfiltrés vers des places financières "off-shore" ! Y aurait-il quelque chose de changer au royaume de la finance toute puissante ? La question reste posée. Mais il est bien évident, que c'est là une opportunité extraordinaire de pouvoir s'aligner sur cette décision pour, au niveau national, mais surtout au niveau européen, s'essayer à préfigurer ce que pourrait être une homogénéisation des politiques fiscales nationales. Cela permettant de voir émerger une politique fiscale européenne qui rende caduque la surenchère à la baisse des impôts. Elle sonnerait la fin d'une concurrence fiscale délétère. On ferait un pas dans la direction souhaitée par Thomas Piketty dans son dernier ouvrage "le Capiltal au XXIe siècle", qui prône un impôt mondialisé, à la hauteur des enjeux de redistribution à considérer. D'un côté des firmes multinationales qui jouent des diverses réglementations nationales pour au final ne rien payer, ne pas contribuer à la réalisation de réseaux, d'infrastructures d'équipements qui leurs sont pourtant indispensables. Et qui servent ainsi des dividendes d'un montant considérable à des actionnaires exonérés eux aussi d'impôts ou "forfaitisés" dans le but avoué de voir leurs dépenses, leurs "frais de bouche" profiter à l'état heureux de les accueillir en s'étant appauvrit...De l'autre des états, jusque là acculés à une surenchère dans le moins disant fiscal. Bref, si même Goldman Sachs s'émeut du niveau atteint par les inégalités dans le monde, il faut se mobiliser pour sauver les riches de leur mauvais penchant qui risque de les mettre dans une position difficile. Du coup, nos hommes politiques seraient bien inspirés de recouvrer d'urgence la mémoire avant de devoir avec eux être amenés à connaître des lendemains peu glorieux !
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goodtransition · 10 years
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Le citoyen et le bonimenteur.
La scène politique Française ressemble de plus en plus à un champ de foire. Des bonimenteurs en font des tonnes, certains se laissent "accrocher", séduire, et fascinés, achètent dans l'urgence, l'objet dont ils n'imaginaient même pas qu'il puisse exister avant que l'article leur en soit fait. Bref, il rentrent chez eux, avec le produit miracle, et ils essaient de persuader leur entourage que c'est vraiment le truc qui manquait à l'équilibre profond de leur vie domestique. Et là, c'est souvent, le plus souvent, le "bide", total, complet. Au lieu du mi, du mimi, du miracle, c'est le flop absolu, la séduction ne résiste pas à la prise de recul, à la réflexion. Et L'objet, du mi, du mimi, du miracle finit son existence, au mieux, sur un rayon poussiéreux, au pire, directement à la poubelle...Du coup, les badauds victimes des camelots, des charlatans, jurent qu'on ne l'y reprendra plus...Et ils s'y tiennent, toujours plus nombreux....Et du coup, l'abstention gagne, seuls les "subjugués" du populisme persistent et nous promettent, pour le coup, des lendemains douloureux.
Le fait est là, la démocratie sous sa forme actuelle favorise l'élection de ceux qui ont des aptitudes de bonimenteurs, alors que la situation nécessite d'urgence que des hommes d’État émergent, et assument des responsabilités dérangeantes, des décisions indispensables. Regardons, à titre d'exemple,  comment l'instauration de l'éco-taxe, imaginée par la droite a été abandonnée par la gauche, sous la pression de l'expression d'un populisme peu reluisant, et constant sur le sujet. Le problème ce n'est pas le spectacle donné par l'abdication devant  la surenchère populiste, mais la non clairvoyance d'une majorité de citoyens. Il faut trouver le moyen de les remobiliser, ces citoyens là, passifs, désabusés,sur des sujets qu'il faut affronter d'urgence pour tenter de maintenir le lien social, voir le renforcer. Si pour se prémunir des bateleurs de foire,on peut faire ses courses sur internet, on peut imaginer remobiliser aussi par ce moyen, peut-être...Surtout, il faut arrêter de croire au père noël. Il n'existe pas le "superman" qui nous évite par un coup de baguette magique de devoir affronter les réformes nécessaires, sur la menace climatique, la transition énergétique, la révision de la protection sociale, la réforme fiscale, la prise en compte de la fin de la croissance et de la chute durable de l'emploi...Bref, il y a du pain sur la planche et au lieu " d'attendre Godot" il est grand temps de réfléchir à une autre façon d'imaginer le futur. Pas dans l'affrontement idéologique, mais dans un relatif consensus, indispensable pour qu'apparaisse un peu d'intelligence collective, seule à même de permettre de relever les défis que l'on vient d’énoncer parmi beaucoup d'autres encore...Car se battre contre les paradis fiscaux, imaginer une solidarité sociale revisitée, un peu comme Roosevelt avait su le faire en son temps,et entamer un programme d'investissements pour un long terme cohérent, qui donnerait un mieux vivre évident à l'écrasante majorité de la population. On peut rêver...Mais tant que les médias, seront essentiellement aux mains des super riches, l'opinion publique ne discernera pas la nécessaire remise en cause à froid d'un "ordre social" inique établi. Faudra t il attendre la déflagration économique, sociale, et environnementale à venir, pour enfin, entamer les indispensables réformes ? Je le crains...
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goodtransition · 10 years
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Du bon usage des intelligences disponibles, toutes...
Aujourd'hui a été publié le dernier rapport du GIEC, le cinquième, qui établit à 95 %, la probabilité pour que l'activité humaine soit la responsable principale du changement climatique à l’œuvre aujourd'hui. Cela fait seulement plus de 40 ans maintenant qu'il est établi que nous sommes lancés dans une course absurde de la croissance économique vers les limites que fixe la finitude de notre planète. Le rapport Meadows, du MIT, est sans équivoque. Si rien n'est fait et jusqu'à présent rien n'a été fait, autour de 2030 cela risque de coincer très très fort ! Bref il parle de "collapse", voir d'effondrement de notre civilisation, rien de moins. Dans ces conditions deux attitudes possibles, on "méprise" comme le suggère Me Folasse dans les tontons flingueurs, ou bien on s'essaie à trouver des solutions, des adaptations...Et on constate alors que deux clans antagonistes s'affrontent sur ces lignes. Les "optimistes", traités d'inconscients pas les seconds, font confiance au progrès, une notion vague et universelle qui ne peut qu'apporter la ou les solutions. De l'autre côté le clan des réalistes, taxés d'oiseaux de mauvaise augure, véritables Cassandre qui n'en peuvent plus de ne jamais être crus. L'ennui c'est que ces deux groupes vivent sur la même planète, et que chaque option est exclusive l'une de l'autre. De gros conflits sont à craindre de plus en plus souvent, chaque fois que des options " décisives", emblématiques sont en passe d'être arrêtées. Les uns pensent qu'il ne faut pas injurier l'avenir par des décisions irréversibles, style développement des plantes OGM, les autres imaginent que des solutions vont apparaitre qui résoudront les dilemmes laissés pendants jusque là. Et on peut multiplier à l'infini le nombre de conflits possibles. Quand on parle du nucléaire, les uns pensent au traitement des déchets, les autres au prix des hydrocarbures, idem pour les nano-technologies, la chimie verte, les pesticides, etc., les uns imaginent donner un sens au progrès, les autres pensent que la destiné y pourvoira...Pour moi, mes enfants et mes petits enfants, je souhaiterais que les optimistes aient raison, que le progrès soit naturellement bénéfique au genre humain...Mais voilà, que les scientifiques, sensés être par essence assez objectifs, pronostiquent de graves ennuis à moyens et presque courts termes. Du coup ce serait assez futé de combiner les deux approches pour nous donner et donner aux générations futures de plus sérieuses chances de vivre dans de bonnes conditions. La dramatisation des uns et l'inconscience des autres devraient permettre d'agir sans angoisse mais avec détermination et confiance. Je suggère qu'il faille faire en sorte de faciliter l'émergence d'un peu d'intelligence collective pour relever les défis qui se profilent à l'horizon. Bref, le temps des invectives doit faire place à celui de la coopération et fissa, si je puis m'exprimer ainsi, à bon entendeur, salut !
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goodtransition · 10 years
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La légalité d'aujourd'hui est obsolète...
L'urgence d'une réflexion pour changer les modes décisionnels. La mise à disposition de nouveaux outils a permis aux scientifiques d'élargir de manière spectaculaire le champ des connaissances, le champ des possibles. Au plan de la société l'émergence des réseaux sociaux n'a pas encore abouti à un changement du mode de gouvernance des états, des associations d'états et de l'organisation mondiale de leur "coopération" l'ONU, mais pas seulement, il en va de même de tous les modes structurés de coopération pour faire aboutir, réaliser ce qui fait sens en société...Les anciennes structures perdurent, et leurs "artisans", les politiciens actuels, les présidents d'associations, de syndicats, etc., s'accrochent comme des moules au rocher à un modèle obsolète, reflet d'une approche démocratique légitimé par le vote majoritaire, alors que l'on voit émerger les modes d'expression de l'intelligence collective, émergence qui se traduit par des décisions prises au consensus ou à l'unanimité après que les objections émises aient été levées après discussion et argumentation. La nécessaire reconnaissance de la démocratie participative, à côté de a démocratie représentative, avant qu'elle ne s'impose finalement, se fait dans la douleur. L'opposition parfois musclée à la mise en œuvre de travaux décidés de manière non transparente en sont l'illustration. Le projet d'aéroport de Notre dame des landes, celui du barrage de Sivens, de l'A45, de la ferme des mille vaches, etc., . Avec à l'origine autant de décisions prises "légalement" certes, mais sans que les procédures d'appel aient été épuisées, sans qu'elles ne soient suspensives, ce qui met les population devant le fait accomplis et les poussent à une contestation "musclée", "illégale" mais c'est la seule alternative disponible. Souvent montré du doigt, ce mode d'opposition est criminalisé alors que la violence initiale est le fait de l'expression d'une structure démocratiquement élue, certes, mais qui n'est pour l'objet considéré pas considérée comme légitime. Podemos, en Espagne invente une autre manière de faire. Confrontée à un problème, quel qu'il soit, la communauté impliquée constitue un "cercle" pour résoudre la question constitué des parties prenantes au problème considéré. Le fonctionnement de ce cercle perdure jusqu'à ce que l'on aboutisse à la résolution de la question qui en justifie la constitution par consensus. Alors le cercle disparait, ou ne perdure qu'un petit groupe en charge de vérifier l'aboutissement conforme à la décision collective du problème initialement posé. Plus de représentants omniscients, mais un regroupement de citoyens impliqués. Cela pose les perspectives d'une autre organisation sociale qui fait la part belle à l'émergence d'une intelligence collective riche et pertinente. Le mythe de la femme ou le l'homme providentiel(le) en prend un bon coup ! Le rapport négatif rendu public mardi, sur l'opportunité et la pertinence du barrage de Sivens illustre s'il en était besoin, jusqu'à la caricature, le déni de démocratie et la non pertinence d'un projet fruit de l'entêtement d'élus démocratiquement désignés pourtant !
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goodtransition · 10 years
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Inventer les outils du XXI siècle pour résoudre la crise du XX.
Je suis surpris de constater la faiblesse des propositions concrètes, innovantes du monde politique concernant la question de la résolution des conséquences du chômage. Qui, aujourd'hui peut croire qu'un retour de la croissance est la réponse ! La croissance ne crée pas d'emplois, elle va même peut-être bien finir par en détruire...Ne pas sortir du cadre et du dogme, croissance=emploi, c'est se condamner, et condamner une génération à la frustration et à la culpabilité...En Europe et partout dans le monde on produit plus avec moins de personnes, cela, c'est le résultat d'une productivité toujours croissante. Le temps de travail qui reste nécessaire, on le partage ? On trouve un nouveau moyen d'assurer des revenus dans la dignité sans passer par le travail ? On réfléchit à la notion de revenu universel d'existence ? Ne pas évoluer dans un monde en mutation c'est se préparer des lendemains douloureux. Laissons cela au FN et imaginons un futur en sortant des vieilles recettes qui nous ont amené là où cela devient insoutenable...Ne pas inventer, ne pas prendre le risque de changer c'est à coup sûr tout simplement insoutenable. Mais en regardant bien du côté de la "société civile" on discerne tout un tas d'expériences, d'innovations qui sont autant de réservoirs pour une meilleure vie, demain. On sera disqualifiés vis à vis des générations à venir si on ne prend pas le temps de les évaluer et de les valider le cas échéant...On en doit plus se contenter de gérer, cela ne suffit pas, le modèle n'est plus adapté, il faut en créé un nouveau...La crispation actuelle est redoutable et mortifère...Osons le changement avant que l'on ne soit même plus en position de l'initier trop occuper à seulement survivre..
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goodtransition · 10 years
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Du bon usage du pouvoir...
L'ennui dans le monde de la politique c'est qu'il faille des qualités pour être élu, qui sont bien différentes de celles dont il faut faire preuve quand on se propose de gouverner...Du coup un bon candidat ne fait pas forcément un bon élu ! Ceci posé on s’aperçoit alors que des profils de chefs de bande émergent et que des profils de rassembleurs, de manager d'équipe se raréfient...Cela au moment où on aurait tant besoin qu'un peu d'intelligence collective puisse émerger enfin !!!
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