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Rock et Rap

L’histoire du rock et du rap est très similaire, découlant de l’oppression, le rap est maintenant la musique la plus écoutée au monde. Le premier hit de rap à atteindre le top des chartres n’était autre que le single Rapture du groupe Blondie. Certes, le premier hit n’a pas été porté par des rappeurs mais, la machine à hit s’est vite lancée. Véritable hymne à la culture dite « urbaine » elle parle des graffeurs Fab Five Freddy et Lee Quinones.

« Pour un paquet de blancs, pour le public mainstream, c’était la première fois qu’il entendaient du rap. D’une certaine façon, Blondie a pavé le chemin pour ce qui allait arriver après. » Fab 5 Freddy.

Le mélange de ces deux styles un pari pas forcément facile mais que relève haut la main Cake ce groupe de rock alternatif (rock, rap, folk) de 1991. Leur parlé/chanté se lie parfaitement à leurs influences rock, chaque album est à écouter en entier tant les chansons sont complémentaires. Plus récemment la formation en grandes pompes qui a tout chamboulé : Prophet of Rage. Au programme que du lourd Rage Against the Machine au complet ; Public Enemy, et Cypress Hill.

Le mélange Rock/Rap/Metal a son apogée et c’est maintenant !

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Le changement signifie qu'il va y avoir une bataille, un combat qui va mettre les gens mal à l'aise. Il faut y être préparé car le changement signifie des challenges.

Madonna juin 2019

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L’influence de la musique sur la vision du genre.

Récemment, Harry Styles, ancien membre des One Direction, a fait la couverture du mythique magazine de mode : Vogue. Sur cette série de photos, il est en robe, veste de smoking et dentelle. On y trouve une esthétique douce, belle pour des photos parfaites pour les robes d’Alessandro Michele styliste chez Gucci. C’était la première fois qu’un homme posait en robe pour le magazine une grande avancée dans la représentation plus fluide du genre. En effet, Harry Styles n’est pas la seule figure fluide à qui peuvent s’identifier les jeunes. Dans le passé Prince, Freddy Mercury, David Bowie ou même Kurt Cobain se sont habillés en jouant avec les représentations de genre. Véritables Sex Symbole à coup sur cette fluidité des genres plaît, inspire et est nécessaire pour l’acceptation. En France nous ne sommes pas en reste avec Bilal Hassani qui inspire toute sa génération à faire comme il le dit « un fuck aux normes ». Que ce soit pour Bilal ou Harry ces deux artistes ne ce décrivent pas comme fluide, ils veulent juste porter ce qui leur plaît ! Ce qui peut nous aider tous à revoir et questionner nos conceptions de mode qui a tant de barrières genrées.

Ces figures fortes donnent de la force a toute la communauté LGBTQIA+ qui se bat toujours pour l’acceptation de leurs droits et, plus simplement, leur droit d’exister.

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Iggy pop que retourne les Vieilles Charrues en 2019. Comme les anciens me l’ont fait remarquer après le concert “Il ne saute plus si haut qu’avant mais c’est déjà bien assez haut”.

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Le rock, toujours dans le coup ?

Originaire des Etats-Unis, cette musique porte pendant longtemps la marque de la ségrégation raciale. Les jeunes l’affectionne et en font un symbole de rébellion. Chronologiquement son évolution est facile à représenter tant ces figures sont universelles. De Bill Haley avec “Rock around the clock” à Elvis Presley avec “That’s alright (Mama)”. Cette influence, qui c’est faite ressentir sur tout les points avec des comédies musicales pour les adolescents (pour faire comment si cela ne nous touchait pas) Cry baby de John Waiters ou Dirty Dancing de Emile Ardilino en passant par Footloose de Hervert Roosee. Les jeunes en veulent toujours plus !  Le rock n’a eu de cesse d’évoluer, avec le rock  psychédélique des années 70 avec toutes la génération de Jimi Hendrix,  Jefferson Airplane, en entre-deux Blondie s’impose comme pop-rock-punk. Suivi de près par le mouvement punk qui se croise à la fin 70 début 80. L’influence des Dead Kennedys qui surplombe une Angleterre dénonciatrice la génération “No Future” des Sex Pistols est là iconique leur reprise de God Save the queen. En parlant de Queen, leur biopic ainsi que celui sur Elton Jhon a permis une remontée en puissance de ces belles années “sex and drugs and rock’n’roll” comme dirait Ian Dury. A chaque génération son rock et Kurt Cobain nous l’a bien montré, a son décès tout les lycée du monde pleurait sa mort.

On peut ce demander si le rock suivra donc les évolutions sociétales ‘a vida aeternam’. Ces figures emblématiques ce fatiguent MAIS quand notre cher Iggy Pop lance un Passenger au vieilles charrues Une cohésion intergénérationnelle sans pareil ce fait ressentir alors que, tous, nous chantions. 

Même si l’époque est à la musique  dite “commerciale” (qui à mon sens est juste de la pop = musique populaire). Nombreux sont les artistes qui continues à nous faire danser, poggoter. Sam Fender, Good Charlotte, Sum 41, New found Glory. Le rock, le punk font légion et le Hellfest ne manque pas à nous le rappeller chaque année avec des programmations toujours plus monstrueuses.

Le rock est culte, il le restera.