Les élèves prennent conscience de l’étendu de ce territoire méconnu ainsi que de sa découverte. Souvent représenté par un regard occidental à l’aide de peintures ou de croquis, les explorateurs, artistes et scientifiques n’ont souvent représenté qu’une infime partie du territoire.
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Les élèves ont pu se questionner sur la représentation du territoire de l’Amazonie, par l’analyse de différentes images et représentations, passées et contemporaines.
Par le prisme de la déforestation, ils ont pu se rendre compte de sa superficie, sa géographie, et de l’étendu de l’exploitation de l’Homme sur la nature.
“Avec la déforestation, de nombreuses traces de civilisations anciennes sont apparues. Grace à la vue aérienne, de très grands motifs géométriques creusés dans le sol ont été découverts.”
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Après le visionnage de reportage sur les géoglyphes, la potentialité d’une présence extra-terrestre est évoquée. Après tout, ces formes si étranges ne serai pas la preuve d’une présence d’OVNI?
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Dans le cadre du programme pédagogique d’éducation à l’image « Mon Journal du Monde », les classes de 4ème 2 et 4ème 5 du collège Pailleron ont eu pour but, par le biais d’analyse d’images et de création de contenus, de travailler sur la thématique abordée cette année :
« Voir c'est croire. L'image comme preuve ? ».
A travers différents ateliers mené en collaboration avec la Fabrique du Regard et la photographe Franco-Mexicaine Alexandra Serrano , les élèves ont pu analyser les faits d’actualité concernant la forêt amazonienne et mettre en forme leur propre revue scientifique au cours de différents ateliers mené au sein du collège et à l'extérieur.
Ils se sont plus particulièrement penché sur la découverte de géoglyphes en Amazonie, ayant ressurgit à cause de la déforestation grandissante de la région. Découvertes grâce à des prises de vues aériennes, les mystérieuses formes se dessinant dans le sol laissent place à plusieurs hypothèses concernant leurs fonction.
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