hellogabriellepaquet-blog

[hellogabriellepaquet-blog]

Blogue #12: Bilan du cours

Source:http://nt2.uqam.ca/fr/actualites/appel-participation-forum-sur-les-technologies-et-les-medias-numeriques

Le cours Médias numériques et société du baccalauréat de communication nous apprend tout les dessous et vérité des médias numériques. Comment ça marche, les plateformes, les différents usages, bref de sa création jusqu’aujourd’hui. Ce blogue discutera des informations qui m’ont le plus surpris et celles que j’ai le mieux retenues.

Pour débuter, l’information qui m’a le plus surpris dans le cours est l’éthique hacker. Comme beaucoup de gens, ma vision d’un hacker était déformée. Je pensais que ceux-ci pirataient des systèmes à des fins mauvaises alors que le hacker est tout d’abord un passionné d’informatique. Il performe du «hacking» pour en apprendre plus sur les codes, sur les programmations par pur désire intellectuel. À mon avis, cette fausse croyance devrait être démentie.

Deuxièmement, tout ce qui concerne les avatars ainsi que la privatisation au temps des réseaux sociaux sont ce que j’ai le mieux retenus du cours. La notion des avatars et des images virtuelles m’a beaucoup fait réfléchir sur ma propre identité virtuelle. Suis-je 100% authentique? Est-ce que j’expose autant mes bonnes journées et que mes mauvaises? Suis-je en quête d’appréciation sur le net? Je pense que ma réponse à ces questions varierait selon la journée ou l’année à laquelle je me la pose. J’ose espérer pouvoir dire dans un futur proche que ma vie virtuelle reflète entièrement ma vie réelle un jour. Pour ce qui est de la vie privée, je pense qu’on doit s’attendre à une fausse privatisation sur des plateformes qui sont utilisées par des millions de personnes dont certaines ont des connaissances plus grandes sur la fonctionnalité du web.

Finalement, le cours Médias numériques et société m’a grandement appris sur les dessous du numériques ainsi que sur des aspects de celui-ci auxquels nous ne posons pas de questions. J’en ressors surpris et avec des connaissances approfondies que je compte utiliser dans mon futur.

[hellogabriellepaquet-blog]

Blogue #11: Médias numériques et démocratie

Source:http://www.afriqueexpansion.com/technologie2/3780-les-reseaux-sociaux-bloques-en-republique-democratique-du-congo-depuis-dimanche-minuit.html

À l’époque de Facebook, les réseaux sociaux sont roi. Les milléniaux ne connaissent que ça et les générations un peu plus vieilles sont aussi adeptes. Dans l’ère des influenceurs, ce n’est pas tout rose ce qui se passe sur internet. L’accessibilité à des groupes radicaux, le partage d’informations secrètes et autres sont possibles grâce aux plateformes de médias sociaux. La question est: que fait notre gouvernement pour nous protéger?

Il est dit que « l’armée canadienne entend se doter des moyens de surveiller les réseaux sociaux» (Trudel, 2016). Par moyens, le gouvernement veut dire que des programmes seront mis en oeuvre afin de pouvoir surveiller les interactions, analyser les contenus et filtrer les données personnelles et publiques des internautes canadiens (Trudel, 2016). Mais à quel prix? Il n’y a pas très longtemps que la planète a connu l’affaire Snowden, et pour ceux qui ont visionné le film tiré des faits réels, c’est épeurant. La difficulté ne sera pas d’être surveillé par notre nation, mais plutôt comment. Les droits de la personne doivent tout de même être respectés et c’est la raison pour laquelle les Canadiens nécessitent une autorité qui authentique et transparente.

 Finalement, il ne faut pas oublier que les plateformes de réseaux sociaux sont à la base publique. Tout ce qu’on publie que ce soit des idées, des opinions ou même des photos peuvent et sont probablement surveillées. Comme on le dit si bien, ce qu’on met sur internet ne peut jamais être repris donc il est important de publier intelligemment.

Trudel, P. (2016).  La surveillance des réseaux sociaux par l’armée. Le Journal de Montréal. En ligne: https://www.journaldemontreal.com/2016/01/26/la-surveillance-des-reseaux-sociaux-par-larmee. Consulté le 29 mars 2019.

[hellogabriellepaquet-blog]

Blogue #10: S’informer à l’ère des fake news et des médias sociaux

Dans un monde qui abolit les frontières, il n’est pas étonnant qu’il soit difficile de séparer le vrai du faux. Les nouvelles informations proviennent de partout, que ce soit sur les médias sociaux, la bouche à oreilles ou n’importe quel autre moyen de communication au 21e siècle. Mais comment savoir si l’information qu’on nous fournit est vraie? 

La vraie réponse est qu’on ne le sait pas. Pour avoir une information vraie et de source fiable, il faut chercher, valider et ainsi vérifier la provenance de la source. L’aspect difficile de cela est que la «mésinformation» est partout (Char, 2019). Le milieu du problème est «le biais de confirmation — nous avons tendance à privilégier les informations qui confirment notre vision du monde et à ignorer celles qui les contredisent —, d’où la polarisation» ( Char, 2019). Effectivement, la société a tendance à encourager ou partager l’information qui coïncide avec leur vision des choses. Cette tendance nuit à la validité de l’information puisque la provenance des nouvelles n’est pas vérifiée. Un deuxième aspect de la fausse information est les chambres d’écho, ce qui veut dire qu’un individu est seulement exposé aux résonnances de ses propres champs d’intérêt. 

En conclusion, les fausses informations sont et seront toujours dans les parages. Il ne date pas d’hier que les informations sont biaisées et sont modifiées. La seule façon de s’assurer que ce qu’on lit est vrai est de vérifier nous-mêmes. Qui sait, peut-être qu’un jour un site filtrera l’information pour nous?

Char, A. (2019). Anatomie des fausses nouvelles dans le cyberespace. Le devoir. En ligne: https://www.ledevoir.com/opinion/idees/545373/anatomie-des-fausses-nouvelles-dans-le-cyberespace. Consulté le 24 mars 2019.

[hellogabriellepaquet-blog]

Blogue #7: La vie privée au temps de Facebook

Source: https://www.futura-sciences.com/tech/questions-reponses/internet-geolocalisation-internet-bloquer-6397/

La technologie d’aujourd’hui permet à tout le monde de réaliser une panoplie de chose. Nous pouvons visionner des vidéos en direct, converser en temps réel avec des gens à l’autre bout de monde, surveiller le positionnement de notre enfant lorsqu’il passe la soirée hors de la maison et trouver plus d’informations sur ta date «Tinder» grâce à Facebook. Les possibilités sont infinies, mais est-ce trop?

Si on se limite à l’environnement de travail, il est maintenant fréquent que les employeurs consultent les réseaux sociaux de leurs candidatures afin de se donner un portrait de cette personne. Ils ont souvent accès aux photos et aux publications via Facebook lorsque les profils ne sont pas privés. Avec les technologies d’aujourd’hui, la CNIL ou la Commission nationale de l’informatique et des libertés «a rédigé un guide à l’intention des entreprises souhaitant mettre en place un système de géolocalisation» (Noël-Lemaître, 2007). Ce système fonctionne avec des véhicules corporatifs et il consiste à émettre un signal que l’employeur peut suivre. Par contre, la CNIL considère que le système doit pouvoir se désactiver pour tous les déplacements personnels telle que le retour à la maison (Noël-Lemaître, 2007). De cette façon, l’employeur peut superviser les déplacements reliés au travail tout en laissant l’opportunité à l’employé de désactiver la géolocalisation pour ces déplacements personnels ce qui respecte sa vie privée.

Pour finir, les nouvelles technologies permettent beaucoup aux entreprises, mais aussi à tout le monde. Les guides rédigés par la CNIL permettent aux employeurs de ce monde d’utiliser les outils de cette nouvelle ère de façon intelligente en respectant leurs employés. La réglementation de ses outils est-elle nécessaire ou superflue d’un point de vue humain selon vous?

Bibliographie:

Noël-Lemaître, C. (2007). La cybersurveillance au travail, une nouvelle version du panoptisme managérial ? Humanisme et Entreprise, 285(5), 49-64. doi:10.3917/hume.285.0049.

[hellogabriellepaquet-blog]

Blogue #6: L’identité dans un monde d’avatars

L’identité d’une personne réelle peut varier dans l’univers numérique depuis l’arrivée des plateformes de médias sociaux. Une identité numérique peut être une forme d’évasion de la réalité pour certaines personnes, mais qu’est-ce que c’est?

Commençons par une définition de l’identité qui émet deux logiques : « la perception de sa construction personnelle et celle qui est perçue et reconnue par les autres » (Ben Amor et Lucia, 2011). Évidemment, ces logiques sont interprétées de différente façon selon le champ d’études et le chercheur. L’identité numérique, quant à elle, est l’évolution d’un individu sur une ou plusieurs plateformes numériques. De nos jours, 8 % des Canadiens créent des blogues et/ou des pages de médias sociaux à leurs nouveau-nées (Ben Amor et Lucia, 2011). Même que maintenant, les photographies d’échographies circulent beaucoup sur internet, ce qui fait en sorte que l’identité numérique d’une personne peut commencer au niveau prénatal (Ben Amor et Lucia, 2011). Lorsque cet individu est enfin en âge de contrôler lui-même son identité numérique vient la quête de popularité, la pression sociale et de nombreux facteurs qui poussent l’individu à publier le meilleur de lui-même sur internet. Certains restent fidèles à eux-mêmes alors que d’autres essaieront d’être le prochain « influenceur » à succès. Sans dire que tout le monde essaie d’être un Kardashian sur internet, beaucoup ressentent la pression invisible d’être populaire sur sa plateforme personnelle. Que leur présence sur internet soit pour montrer leur art, parler de politique ou faire des vidéos de maquillage, beaucoup se surpassent pour faire les journaux web et faire monter leurs abonnées. Le danger de cette identité numérique est la libre interprétation des propos et des photos partagés en ligne. La déformation des propos ainsi que les fausses rumeurs peuvent être fréquentes lorsque la communication n’est pas bien construite. Finalement, il y a aussi ce qu’on appelle les « suicides numériques » qui consistent à supprimer entièrement son identité numérique pour retourner à son identité réelle. La plupart des gens qui le commettent sont souvent soulagés d’être libérés du poids des différentes pressions invisibles des plateformes numériques.

Pour finir, l’identité numérique peut bien s’articuler avec l’identité réelle autant qu’elle peut en différer de tous points. Du début prénatal au suicide numérique, beaucoup de choses peuvent arriver lorsqu’un individu ressent la pression d’une e-réputation. Personnellement, j’ai déjà pensé plus d’une fois à supprimer mes réseaux sociaux, qu’en est-il de vous?

Références

Ben Amor, S. & Granget, L. (2011). L'identité numérique: De la construction au suicide en 52 minutes. Les Cahiers du numérique, vol. 7(1), 103-115. https://www-cairn-info.acces.bibl.ulaval.ca/revue-les-cahiers-du-numerique-2011-1-page-103.htm

[hellogabriellepaquet-blog]

Blogue #5: Sociabilité et vie « en ligne »; Différents d’antan?

Source: https://blogcommasso.wordpress.com/2015/11/03/association-animer-une-communaute-en-ligne/

De nos jours, il existe non seulement des communautés physiques mais également des communautés en ligne. Est-ce que l’aspect « en ligne » nuit aux relations humaines physiques? Ou est-ce que celui-ci nous ouvre des portes quant à des communautés reliées à nos champs d’intérêts?

Combien de fois avez-vous entendu des grand-parents vous dire que vous êtes toujours sur votre téléphone? Probablement plusieurs fois. À leurs yeux, la communauté web n’offre pas de discussion comme ils en ont autour d’un thé. Pourtant, « l'usage du Web, de réseaux comme Facebook, mais aussi de téléphones portables ne nuit pas à la socialisation » (Le Monde, 2009) donc, cet outil n’est qu’une façon de communiquer encore plus. Beaucoup de gens ayant une vie « en ligne » l’utilisent pour agrandir leur cercle social avec des personnes vivant aux quatres coins du globe. Cela leur permet d’échanger leurs opinions, leurs idées, leurs valeurs, bref tout ce qu’ils souhaitent avec une communauté plus diversifiée que leurs voisins. Il est même dit que cette nouvelle sociabilité favorise les amitiés et les échanges avec des personnes de différentes cultures et de différentes apparences.  

Cette nouvelle façon d’échanger ouvre de nouveaux horizons et de nouvelles perspectives tout en tant créant de nouveaux rapports avec des personnes presqu’impossibles à atteindre sans le web. Peut-être que les communautés web sont la recette miracle pour les maux du monde ?

Bibliographie:

Le Monde. 2009. « Les nouvelles technologies favorisent-elles le lien social ? ». Le Monde. En ligne: https://www.lemonde.fr/technologies/article/2009/11/05/les-nouvelles-technologies-favorisent-elles-le-lien-social_1263121_651865.html. Consulté le 11 février.