Tumgik
histoire-hot · 5 years
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Avec Papa
Cette histoire est réelle et s'est passée le 20 décembre dernier.
Moi, Julien, 23 ans, brun, 1m80, très fin, imberbe et pas très musclé.
Bernard, mon père, 46 ans, 1m85 de muscles (ancien rugbyman qui fréquente toujours la salle de sport pour s'entretenir comme il le dit...).
Fils unique et vivant toujours chez mes parents (travaillant dans la même ville) et n'ayant pas encore fait mon coming out, je désespèrais de rencontrer le mec idéal, si possible grand, bien foutu, plutot mûr et plus agé que moi... (j'adore les mecs plus vieux et expérimentés).
Lassé de ne tomber que sur des gars de mon âge indécis et pas assez virils, je fantasme de plus en plus sur les potes de mon père. Tous sont taillés comme lui, tous anciens rugbyman comme lui, très bourrus, virils, hétéros convaincus et très portés sur les blagues coquines...
20 decembre, 18h15: je quitte le travail, soulagé d'une longue journée bien chargée. Et surtout content d'être en vacances pour une semaine. Comme d'habitude, je prend la direction de la maison, et arrivé devant la maison je peste ne trouvant pas de place pour me garer.
Mes parents et moi habitons un petit pavillon avec une place de parking souvent squaté par la caisse de mon père. Bref je me rend compte que plusieurs voitures familières sont postées devant: celles de 2 potes de mon paternel. Tout excité à l'idée de retrouver Patrick (51 ans, 1m90, tres viril, poilu et divorcé 3 fois, un vrai queutard) et Antonio (49 ans, espagnol, meilleur ami de mon pere, tres typé avec une peau foncée, tres musclé aussi et coureur de jupon invétéré), j'ai qu'une hâte: trouver une place. Sentant mon entrejambe gonfler dans mon boxer a l'idée de leur serrer la main, je pourrais laisser ma caisse garer en pleine rue !
Après 10 minutes à tourner je finis par trouver une place et me depeche d'arriver à la porte d'entrée.
J'ouvre la porte et suis ravi d'y trouver mes 2 fantasmes assis à la table du salon, accompagné de mon père et de ma mere afférée à la cuisine pour leur servir à boire.
- Déjà rentré mon chéri ?" s'étonne ma mère
- "Oui oui enfin en vacances!" répondis-je soulagé.
- "File te doucher et rejoins nous vite nous allons bientôt passer à table" me dit-elle
Je m'attarde quelques minutes dans le salon pour saluer Patrick et Antonio. Leur poignée de main virile me font littéralement bander et j'ai du mal à cacher mon début d'érection.
Je fais rapidement le tour de la table pour éviter de me faire griller et embrasse mon père qui me presse de monter à l'étage pour me laver.
Après une douche rapide et un repas bien arrosé, mon père raccompagna nos invités, ivre de fatigue et d'alcool. Je regagnais ma chambre et mes parents fesaient de même.
Allongé dans mon lit, je ne trouvais pas le sommeil, dû en partie par les ronflements importants de mon père. Je repassais dans ma tete les images du repas, mon regard se portant sur les paquets prometteurs de ces mâles qui occupaient notre salon quelques minutes auparavant. Je m'imaginais etre baisé sauvagement sur la table par un Antonio déchaîné pendant que Patrick me forçait les levres avec son énorme queue de daron.
Mais ce qui me troublait le plus dans ce rêve c'est que mon pere nous regardait avec un air malicieux, la bite dressée entre ses mains.
J'ouvrais les yeux pour me sortir ces images de mon esprit. Pourquoi mon père était apparu dans ce reve? Lui si macho et distant dans la vraie vie. Cet homme qui ne douterait pas un seul instant que son fils aime la bite.
Ma chambre était située en face de celle de mes parents qui avait pour habitude de laisser leur porte ouverte. Pour je ne sais quelle raison, surement l'excitation, je me levais lentement de mon lit en prenant soin de ne pas faire de bruit et m'avancer vers la porte de ma chambre que jentrouvais délicatement. Seuls les ronflements de mon père ponctuaient ce silence. Je traversais le couloir qui séparait nos chambres pour m'approcher de leur lit dans la pénombre. Mes parents dormaient a poing fermé et la situation ne faisait qu'intensifier la bosse qui déformait mon boxer. Et si ma mère se reveillait? Impossible elle a toujours eu le sommeil lourd et faisait des nuits completes. Et si mon père ouvrait les yeux et retrouvait son fils dans sa chambre la bite bien raide? Cette idee m'effrayait et m'excitait en meme temps.
Je m'approcha tout doucement de mon pere, comme attirait par une force mystérieuse. Je revais de le voir plus près, de vérifier que ce qui m'était apparu dans mon rêve pouvait etre reel... par chance ce soir là il dormait au dessus des draps, le chauffage etant poussé à fond en raison de l'hiver. Il était allongé sur le dos. Je parcourais mes yeux sur ce corps d'Apollon. Chaque muscle était bandé c'était un corps ferme et bien dessiné. Sa respiration mettait en valeur ses abdos qui se contractaient à chaque inspiration.
Il ne portait qu'un slip blanc Dim qui cachait une imposante bosse. Je n'ai jamais vu mon père nu, on est très pudique dans la famille. Mon regard était bloqué sur cette bosse qui me donnait envie. Même au repos ça avait l'air énorme. Si je tiens de mon père il doit etre bien fourni car la mienne atteint fierement les 19 cm et bien large. Malheureusement elle ne m'est pas très utile je suis passif à 200%.
Après quelques secondes d'hésitation je me met à genou, tend mon bras vers son slip et commence à caresser le tissu. Le contact est chaud et c'est méga excitant, je ne comprend pas pourquoi toucher mon pere m'excite autant. Je peux parcourir toute la longueur de sa queue et deviner ses couilles qui paraissent énormes sous le tissu. N'en tenant plus et ne voyant aucune réaction de sa part, cela m'encourage à lentement passer mes doigts au niveau de la ceinture et faire glisser son slip delicatement, tout en guettant la moindre réaction. Maintenant son slip est au niveau de ses cuisses et laisse voir la bête tant attendue! Un bon morceau d'environ 10 cm avec un gland superbe (je ne savais pas que mon pere etait circoncis). Tout cela posé tranquillement sur deux grosses boules que je supposais bien remplies.
J'approchais doucement mon visage de cet engin pour venir sentir son odeur : un mélange de gel douche vanillé et de cette douce odeur de corps, de bite que j'aime tant. J'aurais pu jouïr sur place tellement la situation était excitante mais aussi dangereuse. Je pourrais le réveiller et quelle serait sa colère et sa fureur de me voir ainsi à genou au pied de son lit, son slip baissé.
Mais je ne voulais pas en rester là. Dormant toujours tres fort, ses ronflements me donnait du courage.
Je passais ma langue sur sa queue et pouvais enfin tomber en contact avec sa chair. C'était chaud et je pouvais sentir les pulsations de son corps à travers sa bite. Je prenais son gland entre mes lèvres et m'appliquais à le sucer avec délice et tendrement, comme si l'on me demandait de faire la meilleure pipe de ma vie. Je la prenais entierement dans ma bouche et fesais des va et vient, toujours très lentement. Son corps commençait à reagir a ce traitement car je sentais sa queue grosdir lentement et forcer mes levres. Cetait trop bon je ne voulais pas en perdre un centimetre. Le fait que ce soit mon père m'excitait encore plus. Lui, l'homme à femmes, le macho, limite homophobe, avait sa bite fourrée dans la bouche de son fils. Et quelle bite! Elle devait maintenant atteindre facilement les 20cm je ne pouvais plus la prendre entièrement et je ne tentais pas la gorge profonde, de peur de le réveiller... elle était extremement dure et je pense que mon père devait faire un de ces reves érotiques qui vous réveillent et vous laissent l'entrejambe humide et plein de jus...
Je m'appliquais à le sucer avec désir, pasant bien ma langue autour de ce gland et accompagnant le mouvement avec ma main droite, pendant que ma main gauche caressait ses boules. Mes yeux restaient fixés sur son visage qui montrait un certain apaisement, les levres légèrement entrouvertes.
Mon pere, au bout de 5 minutes fit un mouvement pour basculer son corps vers moi: je n'osais plus bouger. J'avais toujours sa bite plantée entre mes lèvres, paralysé par la peur. Je sentis un mouvement du bassin qui enfonça plus profondement sa queue dans ma gorge, ce qui me provoqua un haut le coeur mais je ne bougeais toujours pas, me laissant faire. Et ce qui arriva par la suite me surpris: sa queue se tendit et déchargea une quantité impressionnante de sperme que je ne pouvais tout contenir ! Mes lèvres accompagnaient ses pulsations à chaque jet, et ma langue se delectait de chaque goutte. J'étais comme au paradis. Je prenais soin d'avaler le plus de jus possible, pour ne pas tacher les draps et ne laissant aucune preuve de mon passage nocturne. Toujours endormi mon pere semblait avoir un air de contentement qui se lisait sur son visage. Je m'appliquais à nettoyer sa bite et lécher chaque centimetre de chair puis je remontais lentement son slip. Je me sentais fier et chanceux d avoir pu faire jouir mon père et avoir gouté à sa semence. Je me sentais vraiment salope quand meme.
Je me relevais lentement et reprenais la direction de ma chambre.
Je mendormais paisiblement apres avoir bien entendu pris soin de me vider à mon tour en me branlant frénétiquement dans mon lit, le gout de sperme de mon pere toujours en bouche.
Le lendemain matin, en descendant prendre mon petit déjeuner, je retrouvais mon père dans le salon, ma mere etant déjà parti travailler.
- Bien dormi mon fils? me demande t'il.
- Super bien papa et toi? repondis-je amusé.
- très bien.
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histoire-hot · 5 years
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Mon beau-frère
Tout a commencé il y a cinq ou six mois maintenant. Pendant un repas de famille, tout ce qu’il y a de plus classique (oui pénible serait plus adapté). La famille était toute réunie et comme à chaque fois j’étais en bout de table, frères, sœurs, père et mère tous attablés et en face de moi, Pierre, le copain de ma sœur. Enfin le copain, ils sont fiancés.
Il est plutôt beau mec j’avoue, sympathique et assez discret. Courageux pour supporter ma sœur et surtout son caractère un peu particulier. Elle n’est pas méchante, juste bizarre et je sais je ne suis pas objectif.
Enfin, tout se passait comme d’habitude quand j’ai voulu étendre mes jambes pendant le repas et j’ai buté contre celles de Pierre. Pris d’un sursaut de surprise j’ai failli m’excuser par réflexe et retirer mes jambes quand je l’ai vu me faire un « non » de la tête et j’ai senti ses jambes s’entourer autour des miennes et les faire avancer.
Mes jambes étaient à présent étendues et il a enlacé les siennes entre les miennes. Le moment était tellement gênant que j’ai du rougir comme un con et je me suis senti presque mal pendant quelques minutes. Lui avait l’air plutôt tranquille. Je ne savais pas ce qui se passait, j’étais dans une espèce d’attente pesante, à ne pas savoir ce qu’il se passait ou ce qu’il allait arriver. Je le regardais de temps en temps, sentant ses jambes bouger et se frotter aux miennes. Il avait le regard serein, quelques petits sourires par moment.
Le repas s’est poursuivi et on a pas changé de position jusqu’à ce qu’on sorte tous de table. Aucun geste, remarque ou rapprochement de sa part. J’ai fait de même, laissant courir ce moment. Toujours incapable de savoir ce qu’il s’était vraiment passé.
J’étais à moitié perdu dans mes petites pensées et ça a duré quelques jours. Enfin quand je dis quelques jours je veux dire quelques semaines puisque ma vie a repris un peu son cours même si cette histoire est resté dans ma tête, dans un petit coin jusqu’à ce que ça se reproduise.
En effet, plusieurs semaines après ce premier contact anodin je suis allé chez eux pour je ne sais quelle raison. Quand je suis arrivé ils étaient là tous les deux, tout s’est passé presque normalement à l’exception des sourires très fréquents de mon beau-frère.
Lui, ça ne faisait aucun doute il se souvenait de ce jour-là et il me cherchait. Du moins c’est ce que j’ai pensé dans ma tête. J’étais en train de discuter avec ma sœur. Elle était repartie dans la cuisine en train de se préparer un truc à manger, je m’étais accoudé au bar qui séparait la cuisine du grand salon.
Pierre était alors retourné un moment dans le salon, tranquillement posé devant la télé. J’ai plus trop réfléchi à son accueil et on a commencé à entrer dans de vastes sujets de discussion avec ma sœur quand quelques minutes après je l’ai senti venir s’accouder à côté de moi mine de rien.
Ma sœur nous tournait le dos, on était toujours en train de papoter et il s’est mis à me regarder, tantôt moi, tantôt ma sœur. Il a posé son téléphone sur le comptoir et à gentiment posé une de ses mains au dessus de ma fesse.
Son téléphone était ouvert sur ses contacts et notamment sur ma fiche. Je lisais «Gaël xx » et il manquait juste le numéro de téléphone. Je me suis demandé pourquoi il n’avait pas mon numéro depuis tout ce temps et j’ai failli demander « pourquoi les xx » et accessoirement aussi « euh ta main, c’est pour ?
J’ai du rougir un peu mais vu que je ne voyais pas le mal à lui filer mon numéro, je l’ai tapé vite fait. Je sais même pas pourquoi je prenais autant de précautions que lui mais je sais que j’avais juste peur que ma sœur se retourne et le vois retirer son bras avec précipitation.
Je lui ai donc filé et à peine j’avais fini qu’il a récupéré son téléphone en enregistrant mon numéro et s’est tiré sans demander son reste. Je ne sais même pas si ma sœur a capté qu’il avait été là quelques minutes, elle ne s’était pas arrêté de causer.
Moi comme la première fois je devais être rouge de honte presque. Mon beau-frère me cherchait doucement, ça ne faisait plus de doute. La conversation continuait comme si de rien était avec ma sœur quand j’ai reçu un message.
Ma sœur n’a pas cessé pour autant de jacasser. J’ai pris mon téléphone sans souci et j’ai regardé le message. Sans déconner… c’était un MMS d’un numéro que je n’avais pas encore… mais j’ai reconnu l’appartement dans lequel j’étais. Et c’était tout simplement mon beau frère, la queue en dehors de son short.
Le message en dessous disait « regarde ce que tu rates dans le salon ». J’ai du devenir écarlate. J’en revenais pas. J’étais mal vis-à-vis de ma sœur mais j’étais aussi complètement attiré par ce que je voyais. J’avais très envie d’en voir plus. Je m’apprêtais à répondre pour avoir la suite quand ma sœur s’est mis à parler plus fort.
- Gaël ! Tu m’écoutes ?
- Hein ? Quoi ?
- Ah oui donc en fait tu étais dans les nuages, Gaël décroches un peu de ton téléphone on dirait un geek sur le retour
- Quoi ? Mais non, non c’est pas ça
- C’est pas un reproche, tu as le droit d’être rivé dessus mais fais ce que je t’ai demandé et va demander à Pierre s’il est allé acheter ce que j’ai demandé pour le repas de ce soir. J’ai pas envie d’arriver sans le cadeau pour Cathy.
- OK
Je me suis levé tel un robot et le seul truc que j’ai retenu c’est cadeau et Cathy. Je me suis retourné et je suis parti en direction du salon. Un grand couloir à traverser.
Je me demandais s’il nous avait entendu, s’il était encore avec la queue sortie de son short (il était peut-être nu). C’est incroyable le nombre de trucs auxquels on peut penser en une aussi petite distance.
Je suis arrivé dans le salon, tout gêné. Il était là. Dans le fond du canapé, une jambe à terre, l’autre bien étendue. Il avait gardé son t-shirt, son short aussi. Mais comme je l’espérais, sa queue était toujours sortie de son short. Elle était encore plus imposante devant mes yeux que sur mon téléphone.
J’ai souri et j’ai machinalement posé la question. Il a répondu à mon sourire, a répondu que oui pour le cadeau de Cathy. Il a posé son index sur sa bouche pour qu’on ne fasse plus de bruit et m’a tendu la main. Je me suis approché doucement. J’ai pris sa main et je l’ai laissé m’amener doucement à lui.
Je me suis assis à côté de lui. Sa main a amené la mienne sur sa queue toute raidie de désir. Je me suis contenté de le caresser, prenant sa queue en main. Je continuais de sourire presque bêtement en le regardant de temps en temps.
Visiblement cela lui plaisait. Mes yeux se sont vite concentrés sur sa queue. Je la trouvais vraiment très belle et j’aimais sentir cette chaleur monter dans ma main. Il bandait de plus en plus. C’est lui qui m’a fait arrêter, je l’ai presque regretté mais les risques de se faire surprendre étaient trop grands.
Je me suis relevé et je suis reparti, complètement chamboulé, direction la cuisine. J’ai retrouvé ma sœur et lui ai répondu qu’il avait bien pensé au cadeau de Cathy. Je ne pensais plus qu’à une chose. Je pensais à Pierre, l’imaginant retirer son short et continuer de se branler en pensant à moi et à mes mains. Autant vous dire que mes souvenirs étaient intacts et le sont restés très longtemps (encore aujourd’hui, ce premier contact est encore très vif).
Je suis reparti sans même retourner dans le salon, juste en disant au revoir à haute voix. Je l’ai entendu me crier « à tout bientôt ». J’ai dit au revoir à ma sœur et je suis reparti. Je suis reparti de chez eux avec une érection que j’avais de plus en plus de mal à contenir.
Il m’avait mis dans un sacré état ce soir-là. En rentrant, pas moyen de faire autrement. Je me suis déshabillé et je me suis masturbé directement. J’étais tellement excité qu’il ne m’a fallu que quelques minutes pour jouir d’une traite toute cette excitation que je retenais.
J’avais conscience que ce que je faisais et encore plus ce que j’entreprenais dans ma tête n’était pas raisonnable. Je me consolais en me disant qu’il était aussi responsable que moi dans cette histoire et puis c’est lui qui était venu me chercher après tout.
J’ai eu quelques jours de répit avant que tout ne parte vraiment en live. Enfin quelques jours où j’avais quand même reçu de nouveau plusieurs photos un peu dénudées et quelques unes plus explicite de la part de Pierre. Non content de le découvrir de plus en plus en photos, j’avais joué le jeu en répondant à mon tour.
Un samedi après-midi, je reçois un message de ma sœur qui me prévient qu’ils vont en courses pour le repas de famille du soir même. Et bizarrement elle me propose de les accompagner avec Pierre. J’ai pas réfléchi et je lui ai répondu que oui je voulais bien venir. Ils passaient me prendre en voiture je n’avais qu’à me préparer. Honnêtement je ne savais pas s’il allait se passer quelque chose, mais juste revivre encore quelques tensions et croiser les regards de Pierre me tentaient bien.
Ils sont arrivés quelques minutes après et je suis monté derrière ma sœur. Pierre était au volant et oui je l’ai fait exprès, je voulais qu’il puisse me voir, sans trop pouvoir répondre. C’est moi qui n’ai pas arrêté de le regarder. Pour une fois j’avais l’impression d’avoir le dessus et d’être un peu provoc, ne serait-ce que pour le voir mal à l’aise.
J’ai pris un malin plaisir à ne pas le quitter des yeux. Ma sœur me parlait et j’arrivais à lui répondre facilement mais mes yeux ne se décrochaient pas de Pierre et ils lui signifiaient clairement que j’avais juste envie de le revoir nu !
Il a quand même réussi à nous amener en vie jusqu’au centre commercial et je l’ai entendu sur le parking prévenir ma sœur qu’il allait devoir aller aux toilettes avant de faire tous les magasins. C’était la version soft puisqu’en vrai il lui a dit : Commence le marathon par tes trucs et on se retrouve après moi je vais pisser avant de rester des heures là-dedans ». La poésie du beau-frère et sa patience.
Et oui, je plaide coupable, j’ai sauté sur l’occasion avant même qu’il se retourne pour me le proposer. J’ai dit à ma sœur que je l’accompagnais. Elle n’a même pas cherché à savoir quoi que ce soit et elle est partie faire ses emplettes, sûrement contente de s’être débarrassée des deux boulets.
On est donc partis tous les deux en direction des toilettes, sourire en vue, les yeux plus que coquins. Personnellement je bandais déjà avant d’y rentrer. Par chance, les toilettes étaient visiblement vides et on est entrés chacun dans un toilettes privés. Sur le coup je me suis dit « merde, on aurait pu en partager un ». Mais c’était sans compter sur le côté vicieux de Pierre puisque quelques secondes à peine après être entré, il est apparu en bas de la paroi qui nous séparait.
Sur le coup il m’a fait peur une micro seconde puisque je m’y attendais tellement pas. Il n’a rien dit, il est juste apparu comme ça, le pantalon tout en bas des chevilles, la queue bien raide et offerte.
Il n’y avait pas un bruit dans les toilettes, nous étions que tous les deux. Il ne parlait pas alors j’ai décidé d’en faire autant mais je ne savais pas ce qu’il voulait et dans un élan d’envie, je me suis déshabillé à moitié, surtout pour sortir ma queue et je me suis rué littéralement sur sa queue et j’ai commencé à le sucer.
Je l’ai sucé sans même savoir si c’est ça qu’il attendait. Je goûtais sa queue de plus en plus frénétiquement. Je me suis dit que s’il ne s’était pas retiré c’est que finalement c’est peut-être ce qu’il attendait aussi. Ça n’a fait que renforcer la gourmandise de mes lèvres autour de son gland qui grossissait de plus en plus.
Je l’entendais gémir derrière la paroi. Il se retenait mais je voyais bien qu’il aimait ça. Je n’ai pas lâché sa queue. Je ne suis même mis à lui caresser les couilles tout en le suçant et au bout de quelques minutes il est venu jouir dans ma bouche.
Là encore je n’ai pas bougé et je l’ai reçu totalement et avec un délice non dissimulé. Je me suis fait jouir à peine avais-je fini de l’avaler totalement. Je suis resté presque gêné pendant quelques secondes. Je n’avais aucune idée du temps qu’on avait passé dans ces toilettes mais j’ai repris mes esprits et on s’est retrouvé, en souriant, devant les lavabos. On s’est lavé les mains, il me souriait tout en me regardant de près dans le miroir.
- Regardes-moi
- Pourquoi ?
- Pour que je vérifie… ça va tu n’en as pas sur les lèvres.
- Oh t’es con. Non tu sauras, je finis toujours.
- Arrêtes, je vais être pressé d’être à la prochaine fois.
- Pourquoi il y en aura une ?
- Grave, et bientôt, tu verras je trouverai bien quelque chose
- J’ai hâte de voir ce qu’il y aura au menu
- Hum tu es gourmand mon petit Gaël, tant mieux, en tout cas qu’est ce que tu suces bien !
On est ressorti sur ce compliment, si on peut appeler ça comme ça et on est allé retrouvé ma sœur qui n’était pas alerté par notre absence puisqu’on l’a vite aperçue en train de flâner dans les rayons. Et du coup, l’après-midi s’est passée tranquillement, tout détendu qu’on était !
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histoire-hot · 5 years
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Le fiancé de ma sœur
Le fiancé de ma sœur On était un weekend de Mai. Ma soeur venait me visiter pour me présenter son fiancé. Je me met beau, jean moulant qui montre mon boul, chemise blanche et tout. Ma sœur arrive et me présente Farid et oh mon dieu quel homme! Environ 1m95, bâti en armoire à glace, super musclé poilu et avec un assez gros paquet si je juge du pantalon. On passe une bonne soirée et tout et j’arrête pas de me dire que je veux baiser ce mâle. Ma sœur va se coucher avec Farid dans la chambre d’ami et j’entends de ma chambre les coups du lit dans le mur, j’en peux plus je dois me faire ce rebeu. Le lendemain ma sœur part faire des courses. Je me glisse sous les couvertures du lit où Farid est endormi. Je prends sa queue énorme d’au moins 23cm dans ma bouche. Il murmure le nom de ma sœur en se réveillant doucement. Il me voit et sursaute. « Je suis pas pd moi dégage pute ». Je joue avec ses grosses couilles et arche mon petit cul. Il se détend et met ses bras derrière sa tête. « allez suce moi salope ». Il me fait sucer plus fort et baise ma gorge comme un dieu. Je bave, j’ai des haut le cœur mais il continue jusqu’à ce qu’il gicle.Sa bite gonfle dans ma bouche alors qu’il jouit « Allez salope avale mon jus pute » il gicle au moins 8 fois dans ma gorge avant de me demander de lui montrer mon trou. J’avale tout son jus
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histoire-hot · 5 years
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Chez ma belle famille
Mon frère sort avec une rebeu. Un jour il nous dis à mes parents et à moi que nous sommes invités dans sa belle famille. Et que dans 8 jours on va tous manger là bas. Le samedi d'après arrive et mes parents et moi allons dans sa belle famille où il nous présente sa belle mère veuve sa belle sœur et ses trois beau frères un 35 ans un de 30 et l autre de 17 ans. Le repas se passe et le soir arrive. Mon fère reconduit nos parents et moi je passe le weekend avec lui. Les deux plus vieux frère rebeus se disputent un peu pour dormir avec moi. On va dormir, et moi je décide de dormir avec celui de 30 ans. Tous le monde se couche, les lumières se coupent et voila Belkasem vient dormir près de moi. Tous les deux on est en caleçons. On discute un peu. Et on se dit bonne nuit d'un seul coup je sens sa queue sur ma jambe et il commence à faire des vas et viens. Et je sens sa bite arabe gonfler sur ma jambe. Je mets ma main sur sa bite il m embrasse d'un seul coup. Je lui rend son baiser. Et il m'appui sur ma tête pour le pomper chose que j'ai fait avec plaisir. Je le pompe goulûment. D'un seul coup je sens doigt dans mon cul. Un doigt puis deux. Il voit que je ne suis pas reticent. Et il me met donc sur mon dos et embrasse tout en m embrassant il m écarte les jambes. Me mouille un peu la rondelle et rentre avec sa grosse bite de rebeu en moi. Je crie car il a une queue de 20 cm. Il me lime le cul. Me baise. A un certain moment il se remet sur son dos et je le chevauche. On a baisé comme des fous il me baise plus d une heure avec des poses multiples. Et me jouis dans le cul. Le dimanche matin viens on se lève prend le petit déjeuner tous ensemble et j apprend que Belkaçem va se marier dans un mois.
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histoire-hot · 5 years
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L’équipe de foot
Salut je suis un jeune keum bi blanc bronzé de 18 ans. Je suis brun avec les yeux marron foncés et je suis plutot bg bien dessiné pcq jfais pas mal de sport (natation, muscu et foot). Jai déménagé il y a peut dans un quartier de la banlieu parisienne. Tres vite je me suis trouvé des beaugosse rebeu avec qui jai ken discretement dans des caves. Il faut savoir que je suis uniquement actif sauf avec les mec de cité rebeu et black TBM ou je peut devenir une veritable salope. Bref l'histoire ce passe a mon inscription au club de foot du quartier. Je suis alle un vendredi voir pour minscrire dans le club du quartier et quand jai dis que jetait principalement goal le mec du bureau ma tout de suite dis quil me prenait en essai et que je devais revenir le lendemain. Donc le samedi jy vais avec mon equipement je mentraine avec les mecs. Il etaient que 4 aujourdhui car cetait les vacances donc les autres etaient partie. Cest pas grave cest plus simple de faire connaissance. Il y avait 3 rebeu et un black: yavait Mehdi cetait un rebeu hiper grand et hyper baraque avec une belle gueule de caïd et un putain de beau bulge. Imed cetait le cousin de mehdi et il etait plus petit mais vachement plus baraque que les autres cetait une montagne de muscle. Yavais Farid lui cetait mon prefere un pure lascart en survet avec un survet qui moullait sous boule de fou et un Tshirt hyper moulant qui dessinait parfaitement ses pecs de dieux. Et enfin yavait momo cetait le seul black il etait encore plus grand que mehdi et un tout petit peut lon baraque qu'Imed et cetait un pure BG. Bref ils etaient tous BG et jattendait quune chose cetait daller au vestiaire pour voir leur teub. Lentrainement se passe bien on discute, je fais mes preuve en tant que gardien. Et je me rapproche plus de mehdi a chaque but il met une main au cul de tout le londe jiue a chat bite ect. Puis vient la fin de lentrainement on rentre dans les vestiaires on se fou a poil et on va sous les douches. La je peut pas mempeche de mater leur beau morceau et ca se voit. Mehdi me dis "mdrr frero matte pas comme ca t cramer" donc je rougis et je sais plus quoi dire. La il me repond "T pd? Tu sais on sen fou et puis mon cousin imed il lai aussi et ca nous arrive de baiser des petits culstoute lequipe ensemble quand on trouve pas de meuf". Le je rigole et je dis "chui bi et ya que les lascart qui me chauffes". La Farid commence a ce toucher la queue et les autres aussi je fais de meme. Je mapproche de momo qui avais la plus grosse teub (facilement 24 cm) puis il me roule une pelle de fou puis je roule une pelle a mehdi et je voit Imed decendre le long tu torse de momo pour le sucer je fait de meme avec mehdi pendant que farid ce branle dune main et commence a me doigter le cul je sens 1 puis 2 puis 3 doigt.Farid dis " putain ton petit cul de blanc je kiff de fou" deux seconde plus tard je sens un truc me dechirer le cul (cetait le morceau de 19 cm bien epai que farid venait de menfoncer dnas le cul) et mon cri est etouffer par la bite de 20 cm de mehdi que jai dans la bouche. Les mecs sont tous passe dans mon cul et ma bouche, jusqua ce que momo ce mette derriere moi la je dis dis alle doucement meme si cui bien ouvert et imed me dis " tkt la bite de momo cest la meilleur cest un peut dure a rentre mais une fois quelle y est tu vas kiffer". Momo lenfonce doucement les quelques premier cm puis donne un grand coup pour faire rentrer le monstre. Une fois la douleur passer je joui asser rapidement et en serrant mon cul je fait cracher momo a linterieur de moi cest trop bon. Mehdi et imed avait deja cracher et je finit mon prefere en le sucant et en lui carressant son torse puis farid me gicle 6 bonne dose dans la bouche que javale direct il me releve membrasse et me dis « bien venu dans lequipe bg »
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histoire-hot · 5 years
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Théo et mon père
Mon père est un homme à femmes, je l’ai constaté à mainte reprise. Un mètre quatre-vingt, la peau mate, brun, poilu et des tablettes de chocolat pour couronner le tout, il séduisait toutes les femmes qu’il désirait. Fils unique, j’ai décidé de vivre chez mon père.
« Tu peux vivre ici, mais le midi, tu manges à la cantine ». J’ai compris que le midi c’était un défilé de femme… Je ne lui en tenais pas rigueur, ça m’excitait même, car, quand je rentrais du lycée, j’allais dans son lit me rouler dans les odeurs de sexes, je me branlais souvent, en pensant à ce qu’il s’y était passé.
Il y a deux ans pour fêter le début de l’été, j’ai demandé à mon père, si pouvais inviter quelques copains et copines à la maison. Il accepta, car nous étions de jeunes adultes sans histoire. Théo était mon meilleur pote, à l’époque et il venait de fêter ces 19 ans le mois dernier. Je m’étais « outé » auprès de lui et lui aussi ! Je n’avais aucune attirance pour lui. Il était châtain, musculature fine, 1m69, cheveux courts et totalement imberbe sur son corps. Moi, j’aime les mecs virils poilus bruns, typés arabes, lui aussi, sauf que lui en pinçait pour moi. On se mettait des défis à la con, je gagnais presque à chaque fois. Une semaine avant notre fête, il est venu dormir à la maison. On croise mon père en caleçon dans les couloirs montrant bien son paquet bien lourd et proéminent. Théo n’a pas pu décrocher son regard de la bosse de mon père. J’avais un peu honte d’autant plus que mon père n’était pas au courant de notre homosexualité…
– Vous allez vous coucher ? Pas besoin de vous broder les garçons ? Nous lança-t-il en blaguant.
Théo est rentré, dans la chambre, tout émoustillée.
– Non, mais tu as vu la bosse de ton père ???? Elle est énorme ! C’est héréditaire ???
– Oui je l’ai déjà vu au repos, elle l’est ! Et non, ce n’est pas forcement héréditaire !!!
– Hummm, je kifferais de lui bouffer la bite à ton père ! Il est magnifique et il a ce qu’il faut là où il faut !
– Tu peux toujours essayer, il n’y a pas plus hétéro que lui.
– OK !
Cela en était resté là, prenant ces paroles pour une blague. La veille de la fête, Théo est venu passer la soirée à la maison. Il pouvait ainsi profiter de la piscine et d’être sur place le lendemain pour les préparatifs. On chahutait comme deux coqs à se faire couler. Mon père nous a rejoints. Il arborait un slip de bain mettant bien en valeur sa grosse bite et ses lourdes bourses. J’avoue que je fantasmais moi aussi sur mon père et ça depuis longtemps. Il plonge et commence à rentrer dans le jeu. Nous devions avoir la même force physique. Je m’étais bien développé sur cette année. Il me coule, je le coule, quant à Théo, lui s’amuse à compter les points. Mon père s’en aperçoit et se précipite sur Théo. Cela ne fit, ni une, ni deux… Théo sombra sans résistance au fond de l’eau, mais ne perdant pas le Nord pour autant, s’agrippa au slip de mon père. Il se retrouva nez à nez avec la bite énorme de mon père provoquant une érection immédiate de celui-ci. Théo s’empresse de remonter à la surface le sourire aux lèvres. Mon père, lui, est un peu gêné, et remet son slip en feignant d’ignorer l’incident.
Théo avait marqué un point et Théo a fait sa pute auprès de mon père pendant toute la fin d’après-midi. Il rigolait à toutes ses blagues vaseuses, lui donnait du « vous êtes formidables » « vous êtes drôle ». Mon père visiblement était charmé par tous ses compliments.
– Et tu te destines à quelles d’études cette année, Théo ?
– Je rentre en PACES cette année pour être Kiné.
Non !!!! Mais là il exagère ! Il veut faire du droit et il est inscrit à l’UFR de droit et maintenant il est en PACES ???
– Je voulais faire du Droit, mais j’adore masser et j’ai des prédispositions à cela, parait-il. J’aimerais bien être Kiné sportif.
– C’est un beau métier ! Tu n’auras aucun mal à trouver du travail. En tout cas, je saurais où venir pour me faire soigner quand j’aurais des problèmes musculaires.
– Avec plaisir ! Je suis à votre disposition et si vous voulez vous pouvez même me servir de cobaye…
– C’est une bonne idée !
Je n’ai pas eu le temps t’entendre la suite de la conversation, mon téléphone sonna : c’est Jennifer ! Il faut que j’aille chercher la sono chez son frère…
– Tu as besoin de moi ? me demande Théo.
– Non, enfin comme tu veux, je n’en ai pas pour longtemps, je pense.
Et je suis parti tout seul. J’y suis allé très rapidement, vingt minutes aller-retour, j’avais une prémonition… C’est sur la pointe des pieds que je rentre à la maison. Pas un bruit. J’avance à pas de loup vers la chambre de mon père. La porte est restée entrouverte, il y a une lumière tamisée. Théo est assis à califourchon sur les fesses fermes de mon père et masse son dos. Mon père pousse des petits bruits de plaisir.
– Je peux vous masser les jambes si vous voulez.
Théo se dégage pour laisser mon père se retourner. Je vois mon père déboutonner son jeans, aider par Théo. Il est en slip. Je bande et mon pantalon est trop serré. Mais je suis un peu tétanisé par la scène. Théo commence à s’occuper des orteils et remonte progressivement vers le haut des cuisses. J’abaisse ma fermeture éclaire et dégage ma bite pour la sortir complètement. Là, Théo caresse le sexe de mon père qui déborde de son slip. Mon père a les yeux fermés, mais de petits bruits d’encouragements invitent Théo, à plus d’action. Il ne se fait pas prier. Je vois sa tête se précipiter sur le paquet de mon père et commencer à lui bouffer la queue à travers le tissu. Je me branle et je sens déjà mon jus monter… Mon père se redresse sur ces coudes et mate Théo qui s’attaque à dégager sa queue. Elle est grande et épaisse. Théo marque un moment d’hésitation et avale d’un coup d’un seul son manche.
Mon père tressaille de plaisir. Théo ne la lâche pas. Ses mains viennent s’emparer de son pieu et le branlent, tout en le suçant vigoureusement en alternance avec des gorges profondes.
– Putain ! On ne m’a jamais sucé comme ça ! Vas-y mon gars, fais moi plaisir !!! Boufles, là bien !
Théo redouble d’efforts. Moi, je n’en peux plus. Je crache trois grands jets de sperme qui viennent s’étaler sur la porte dans le plus grand silence. Mais je bande toujours et l’excitation est toujours là.
Mon père se redresse d’un coup sur ses jambes et prend la tête de Théo entre ses mains puissantes. Il lui assène de grands coups de boutoir dans la bouche, l’obligeant à tout avaler jusqu’à la garde. Théo se dégage un instant pour se déshabiller complètement et reprendre son souffle. Mon père est là face à lui, la bite dressée. Elle est vraiment impressionnante, droite avec un gros gland, bien dessiner. Théo lui lèche les couilles poilues et lourdes de spermes. Mon père le regarde et prend sa bite pour le biffer.
– Toi, tu n’es pas à ta première bite ! Tu aimes ça, mon garçon ! Ça se voit !
Théo acquiesce par un petit râle d’approbation. Il revient à la charge sur sa queue en la prenant à deux mains et en lui bouffant sa tige. Mon père pousse un cri de plaisir et de surprise. Théo accélère la cadence au rythme des coups de reins, et se tient aux cuisses pour ne pas tomber. Mon père s’arrête et s’agenouille, faisant face à Théo. Il lui saisit la nuque et l’embrasse avec fougue. Il pousse Théo avec fermeté pour le mettre sur le dos. Sa bouche vient se recoller à celle de Théo, il le pénètre de sa langue et leurs salives se mélangent abondamment, dans cette étreinte chaude et intense. Mon père passe ses bras sous les genoux de Théo afin de poser les jambes sur ses épaules. Son sexe viril et turgescent vient se positionner sur la rondelle de Théo, fébrile de désir. Quant à moi je me branle encore sans faire de bruit tout en regardant le spectacle. Théo est tout menu dans les bras de mon père et quand celui-ci le pénétra, Théo ne put retenir un cri, mélange de plaisir et de douleur. Le sexe de mon père est rentré de toute sa longueur dans son trou. Ils restent un moment comme ça, sans bouger. Puis par petits à-coups, les vas-et-viens, se font sans violence. La main gauche de mon père vient se placer sur la bouche de Théo.
– Tais-toi ! Je veux pouvoir entendre si Stephane entre…
Mon père accélère son mouvement de bassin. Je vois son cul poilu et rebondi se mouvoir sur le petit corps fragile de Théo. La masse corporelle s’écrase et rebondit. Théo est devenu un trou ouvert ou le braquemart de mon père s’enfonce sans ménagement, de plus en plus fort. Théo subit un vrai labourage de cul ! Je n’avais jamais vu ça ! Une telle puissance se déchainer dans un si petit trou !
– Putain, je vais jouir dans ton cul ! s’exclame mon père.
Théo prend sa bite en main et se branle. Ils jouissent quasi en même temps et, moi aussi, pour la deuxième fois. Le sperme de mon père coule le long du cul de Théo. Mon père se retire doucement et s’affale sur le côté.
– Ouah ! t’es vraiment un sacré coup ! Je n’avais jamais baisé un mec…
– C’est moi que devrait dire ouah ! Vous avez une sacrée belle bite et un super beau corps ! C’est la première fois qu’on me baise comme ça.
– Par contre pas un mot ! Je veux que ça reste discret !
– Promis ça sera notre secret.
Cela resta un secret, mais partagé avec moi… et j’ai su bien l’utiliser ce secret….
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histoire-hot · 6 years
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Ne pas savoir qui je suce
Après de multiples contacts sur un site de rencontre, je décide d’inviter mon premier client. Je suis commerçant, dans un petit village, donc, je propose de recevoir dans mon arrière-boutique au moment de la fermeture.
Arrive l’heure fatidique, je me prépare et me mets en condition. Je ferme le magasin, m’installe dans la salle annexe, torse nu, un bandeau sur les yeux, et les mains liées dans le dos. Je ne vois rien, et mon invité entre. Tout en fermant la porte, il commence à me traiter de petite salope. Je l’entends descendre avec précipitation son pantalon, et s’approcher de moi. Sa queue est devant ma bouche, et naturellement, j’ouvre pour goûter son engin. Légèrement mou au début, je m’applique à le gober en entier, et je me rends compte qu’il porte un anneau pénien. Je continue ma fellation à l’aveugle, et il décide de prendre les choses en mains. Il saisit ma tête et décide de me baiser la bouche. La salive envahit ma bouche et j’ai quelques haut-le-cœur. Je suis impuissant, les mains attachées, et je subis ses assauts. Après ce traitement, il se retire, je le sens jouir sur mon torse. «Merci petite salope», dit-il en se rhabillant, il ferme la porte derrière lui.
Échauffé par cette rencontre, je commande une cagoule entière ou il n’y à qu’un seul trou, celui de la bouche. La matière est très plaisante, et semble bien mouler ma tête. Une fois mon colis livré, je recontacte mon invité. Emballé, il répond par l’affirmative rapidement, et nous voilà de nouveau sur l’horaire de fermeture de mon magasin quelques jours plus tard.
Je décide de le recevoir sans slip, juste un fuseau noir moulant, un tee-shirt noir moulant aussi et ma cagoule sur la tête. La sensation est délicieuse, que des matières qui glissent. Je m’installe à genoux, et ne m’attache pas les mains. Je suis vraiment dans le noir complet avec cette cagoule, lorsque j’entends la porte, une érection me prend de suite.
«Bonjour petite salope», me dit-il en empoignant ma bite à travers mon fuseau. Il semble se déshabiller encore plus vite que la dernière fois, et me fourre sa queue déjà un peu dure dans ma bouche. Ma tenue semble lui faire de l’effet. Contrairement à la fois précédente, je décide d’utiliser mes mains. Toujours à l’aveugle, je le suce, le lèche, le branle. Il gémit de plaisir, et à ma grande surprise, au milieu de ma salive, je me rends compte qu’il vient déjà de jouir. Je me régale, je suce, encore, le branle encore. Mais encore sur ma faim, je décide de me transformer en salope allumeuse, ne sait-on jamais…
Je me relève, lui tourne le dos, et frotte mes fesses moulées dans le fuseau contre sa queue, je fais des ondulations, me plaque, me frotte. Je descends mon fuseau, et continue avec mes fesses, en collant avec ma main son sexe bien au milieu de ma raie. Il me retourne, se met à genoux, et commence à me doigter le cul. Je n’en peux plus, je me branle pendant qu’il me branle le cul. La jouissance arrive telle une explosion. Je m’effondre, couvert de son sperme et du mien. Je l’entends se rhabiller, et fermer la porte.
Je ne sais toujours pas à quoi il ressemble, mais c’est ça qui m’excite.
Je lui ai promis la prochaine fois un «Lapdance», ou je jouerais toujours avec ma cagoule, ma bouche, mes mains, et j’espère pouvoir m’empaler sur lui pour un final explosif.
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histoire-hot · 6 years
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Chut ! Ma femme dort
Ceci est une histoire vraie.
J’ai 35 ans, je suis plutôt grand, ni beau ni moche, plutôt genre viril. Je suis plutôt actif mais parfois aussi quand l’envie me prend, bien salope.
Un soir de semaine, jeme retrouvais seul, chez moi, avec une envie bien précise que je ne pouvais satisfaire seul. Marre des branlettes solitaires devant un film de boules. Ce soir il me fallait du réel !
Je me connecte donc sur un tchat de rencontre pour satisfaire mon envie. Une fois passés les nombreux mythos habituels, ceux qui n’assument pas leurs envies et ceux qui ne recherchent que des photos pour pouvoir se palucher tranquilles derrière leur ordi, je commence enfin une conversation prometteuse….
Un mec qui me dit avoir 50 ans, pas très grand mais d’après les photos bien fait. Il me certifie être bien monté. Ce n’est pas trop mon genre à la base, mais l’envie se fait tellement grande que je continue notre discussion, d’autant que je n’ai pas eu de touche sérieuse jusque là.
Il habite à une dizaine de Km de chez moi. Il ne peut pas se déplacer et me dit qu’il habite dans un lotissement et qu’il me faudra être très discret. Je suis sensé venir à partir de 22h, pas avant. Sa maison sera dans le noir et je devrai passer par une porte fenêtre au rez de chaussée. Devant ce scénario très précis et inhabituel, je lui demande pourquoi ce cérémonial. Il me répond tranquillement qu’il est marié et que sa femme est à la maison ! Mais il veut se faire sucer et me certifie que sa femme a le sommeil lourd…..
Je trouve cette histoire bien curieuse, mais malgré moi, je me sens tout excité. Je décide donc de tenter le coup.
J’arrive donc à son adresse, à 22h comme prévu. La maison de l’adresse indiquée est bien plongée dans le noir et une porte fenêtre est entreouverte. Je me sens un peu fébrile. Après tout, je ne sais pas où je mets les pieds. C’est peut être un faux plan et je m’apprête peut être à entrer chez des inconnus qui n’ont rien demandé ! Il fait assez chaud ce soir et beaucoup d’habitants ont décidé d’ouvrir leurs fenêtres…
Je m’avance le plus silencieusement possible vers la maison. Alors que j’avance une main tremblante pour pousser la fenêtre ouverte, une main touche la mienne et me fait signe d’entrer !
Je me trouve dans ce que je devine être un salon, totalement plongé dans le noir. Un homme me murmure : « chut ! Pas un bruit ! ». Il prend ma main et me guide au milieu de la pièce. Pose ses mains sur mes épaules, pour me montrer ce qu’il attend de moi. Je me place docilement à genoux. Il laisse son short tomber à terre et libère son membre. Je ne vois toujours rien, mais la situation m’excite de plus en plus .
Mon plan d’un soir ne m’avait pas menti, en empoignant sa queue, je me rend bien compte qu’elle est de bonne taille et surtout bien épaisse : mes doigts n’en font même pas le tour !
J’enfourne donc goulument ce bel engin dans ma bouche et commence à sucer consciencieusement cette bonne bite. Mon partenaire a l’air d’apprécier car il durcit rapidement dans ma bouche et place ses mains derrière ma tête pour m’aider à garder un bon rythme. Il ne gémit pas mais me fait comprendre qu’il apprécie ce que je suis en train de faire.
Subitement, un bruit de porte qui s’ouvre se fait entendre dans la maison ! Et une lumière s’allume dans ce que j’imagine être le couloir ! Je me fige sur la grosse bite que je suis entrain de sucer, et m’imagine déjà en train de me faire jeter de cette maison à coups de balais dans le cul par la maitresse de maison, mécontente de me découvrir ainsi occupé à satisfaire son mari ! Je m’attends à ce que lui remballe le matériel rapidement et me fasse sortir en vitesse.
Mais pas du tout ! Au contraire, il bloque ma tête sur sa queue ! Et en plus, j’ai l’impression que sa bite se fait encore plus dure…. Il est vraiment couillu celui-ci ! Il fait venir un mec pour le pomper alors que sa femme dort à côté et l’entendre passer dans le couloir juste à côté pendant ce temps l’excite encore plus ?!?
Je n’y crois pas ! Je suis à genoux en train de reprendre cette bonne pipe à un inconnu que je ne vois pas, alors que bobonne retourne se coucher après avoir actionné la chasse d’eau !!!
Cet épisode, bien loin d’avoir calmé mon obsédé, lui fait accélérer ses mouvements dans ma bouche. Il me baise littéralement la bouche, ce que j’adore par-dessus tout !
Rapidement ses mouvements se font de plus en plus saccadés et sans prévenir, sans un bruit je sens une bonne quantité de jus m’inonder la bouche par jets. Il me maintient la tête en place pour me faire avaler toute sa semence : il ne faut pas laisser de trace.
Satisfait de s’être bien vidé, il me fait signe que notre plan est terminé et qu’il est temps de partir.
Je me retrouve donc dans ma voiture, et je me demande si ce qui vient de se passer était bien réel. Mais je sens toujours le goût de son jus dans ma bouche. Je suis encore terriblement excité et je ne peux plus me retenir. Là en plein milieu du lotissement, je sors ma queue et me branle. Il me faudra peu de temps pour jouir à mon tour.
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histoire-hot · 6 years
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Le pari
Bonjour, je me présente je m'appelle éric j'ai 25 ans et je suis hétéro , enfin j'étais, je sais plus bien en fait, tout ça à cause de jerem. Mon pote d'enfance jérem est un joueur, tiercé, poker, casino etc... Avec lui quand nous ne sommes pas d'accord on parie des fois de l'argent des fois des gages à faire et si je ne tiens pas parole il le prends trés mal. Pour lui un pari c'est du sérieux. La dernière fois c'était au sujet de la capitale du Botwana, je ne sais pas comment on en était arrivé là mais lui me certifiait que c'était Gaborone. J'étais sure qu'il me disait n'importe quoi.
- Tu mitonnes jérem là, vas pas me faire croire que tu connais la capitale du Botwana!
- Bien sure c'est Gaborone, tu parie?
j'etais sure de moi
- ok, on parie quoi?
- Celui qui perd vient chez l'autre à poil et sert le repas disons vendredi soir
Là j'aurais du me méfier, idiot que je suis, même si je ne suis pas pudique et que je pratique le naturisme (quelques fois avec lui) nous n'avons pas ce style de relation.
- ok
On regarde sur wiki et il avait raison!
La semaine passe
Il habite au rez de chaussée d'un petit immeuble, j'arrive vers 21 h (je suis tjrs en retard!). Au parlophone
- t'es à poil?
- Ben non je me déshabille chez toi
- Ah non, on avait bien dit que tu arrivais chez moi à poil, vas te dessaper dans la voiture je guette si tu veux
- ok
Je l'écoute, j'aime bien être à poil. Je suis un peu exhibe, il le sait. Je vais à la voiture, me fous à poil regarde aux étages supérieurs, personne, je file dans l'entrée de l'immeuble, fermée, le con, je sonne
- t'es à poil
- oui, ouvre vite
Il ouvre, je rentre dans le hall, l’ascenseur indique 3 puis 2 je coure, sa porte est ouverte j'entre en courant chez lui et là !
Il n'est pas seul!!
Ils sont une bonne dizaine de mecs entrain de boire l'apéro! sur le coup premier réflexe, je me mets les mains devant le sexe, et lui qui annonce
- Ah voila notre serveur de ce soir
Ca rigole, les mecs ont l'airs sympas, un ou deux un peu efféminés sans plus, ça rigole, parle un peu de mon corps, jérem m'explique
- je leur ai dit que c'était un pari, détends toi il n'y à pas de blème ils sont cool, je te fais les présentations
Il me présente un à un ses copains, je n'en connais que 3 au début je sers une main l'autre cachant mon anatomie puis apres je laisse tomber on est entre mecs, ils connaissent jérem et ses paris stupides, il n'y a pas de problème, mais cela me fais quand même bizarre d'être nu dans un appartement au milieu de tous ses mecs habillés. j'ai bien remarqué que pas mal de regards se dirigeaient vers mon sexe, mais bon simple curiosité. Jérem, avec un grand sourire de vainqueur me sert un pastis. Je m'installe sur le fauteuil. Après deux pastis et avoir tirer sur un joint qui tournait, je ne fais plus trop cas des regards, Jérem me rempli d'office un troisième pastis puis
- Bon éric il est peut être l'heure de servir, on commence à avoir faim
J'avais oublié que je devais en plus faire le service, mais ok c'est bon, comme dirait jérem un pari est un pari et je dois avouer que maintenant cela ne me déplais pas du tout d'être à poil je suis un peu éméché aussi. J'ai quand même une place en bout de table prêt de jérem. Pour l'entrée je dois servir chacun un après l'autre, vu le nombre on est serré à table, je dois me faufiler entre les chaises pour servir, bien sure je touche les gens. Bon les mecs me touchent le bras, le dos puis tout le monde étant éméché il me semble, on s'amuse à me toucher le ventre, les fesses même un effleurement sur mon sexe. Je m'assois à table ça rigole, la discussion tourne pas mal autour de moi, sur mon culot d'arriver à poil, puis sur mon corps mes pecs, mes abdos, mes fesses, ma teube, c'est une drôle de discussion mais bon je rigole aussi, le vin est trés bon, je suis un peu saoul. En servant le plat de résistance, je remarque quand même que les mains s'enhardissent sur mes fesses et ma bite, je fais des "ho" des "ha" mais l'alcool aidant je laisse plus ou moins chacun me toucher, je ne me pose pas vraiment de question vu que tout le monde est un peu saoul que l'ambiance est à la rigolade je laisse faire. Je vais reposer le plat dans la cuisine au retour avant de m’asseoir, Jérem se saisi de ma bite, devant tous qui regardent
- Ben dit donc tu commence à bander mon salop
Je regarde, c'est vrais je bande un peu la honte
- c'est à cause de tes copains ils m'ont tous touché la bite aussi
rires
Je m’assoies vite fait, je dois être tout rouge. Pendant que chacun y va de son commentaire plus ou moins salace sur mon début d'érection, le voisin de droite me caresse la cuisse
- T'inquiète, c'est pas grave on s'en fout si tu bande, et puis tu as le droit en plus t'as une belle bite
euh je réponds quoi là? Jérem me passe un joins je fume. Le moment du dessert arrive vite.
- Bon les mecs ce coups ci débrouillez vous pour qu'il ai la trique en revenant s’asseoir
- Ah non c'est pas du jeu vous n'allez pas faire ça!
Je bougonne mais laisse faire, je ne sais pas encore bien mais je commence à aimer ça, tout le long du service les mains s’emparent de mon corps, on me branle carrément, les mains se baladent le long de mes fesses, les écartent même, on me pince les tétons tout ça dans une bonnes humeur, on est tous gais, on rigole, on fait rien de mal et puis j'aime bien, deux bouches s’emparent même de mon sexe gonflé et le sucent, au retour Jérem fait bien remarquer que je bande dur!
Applaudissement. Je suis entre la gène la fierté et une certaine excitation, pendant le dessert jérem et mon voisin de droite continuent à balader leur main sur mes cuisses et mon sexe. Ils ne seraient pas un peu pd? Je n'arrive pas trop à me poser la question clairement entre l'alcool, la fume et mon érection je n'arrive plus trop à réfléchir.
Chacun va s'installer dans le salon et je dois encore servir des cafés, Me lever et me balader nu en érection au milieu de tous ces mecs qui me matent et commentent, me gène un peu mais m'excite aussi, je ne sais pas expliquer mais je dois bien avouer que cela me plais de m'exhiber ainsi. Je n'ai pu servir qu'un seul café après j'ai basculé sur le divan et n'ai plus rien géré. Les mains se sont emparés de mon corps je crois qu'à un moment tout le monde me touchait en même temps , imaginez onze paires de mains qui se baladent partout sur votre corps nu. Pour moi c'était l'extase! on me caressait me léchait, me branlait, me pinçait, les tétons, je me suis même laisser embrasser, des doigts, enfin un après l'autre, se sont même, insérés dans mon anus, moi je n'étais plus que plaisir, une entière zone érogène, je n'avais plus de retenu, je geignais, c'était trop bon, alors qu'un doigt caressait ce que maintenant j'ai repéré comme étant ma prostate, mon plaisir à commencer à monter exponentiellement, j'ai laissé des cris sortir en éjaculant dans une bouche gourmande, le pied comme jamais. Apres je n'étais plus du tout géné, j'ai repris le service du café, toujours à poil, mais je me sentais super bien, super à l'aise au milieu de tous ses mecs qui maintenant connaissaient bien mieux mon corps, je me suis laissé caresser, je me suis assis sur des genoux, j'ai même embrasser avec plaisir, je ne me posais pas de question j'étais bien comme ça point. Et voilà Jérem qui la ramène
- Alors les mecs j'ai pas gagné mon pari de vous offrir un serveur nu hétéro et super bandant ?
Ah le con, c'était moi son pari de ce soir, je feins la colère et je fonce sur lui pour une bagarre au corps à corps, autour les paris et les encouragements reprennent, moi nu dans ce corps à corps avec mon copain d'enfance je recommence à m'exciter et à bander, et cela m'excite de bander et de savoir que l'on me mate, sentir le corps de Jérem pressé contre le mien m'excite et me plais aussi, je décide de foutre Jérem à poil, il n'offre qu'une résistance de principe son pantalon enlevé, je vois trés bien qu'il bande, je tire d'un coup sec sur son boxer et sa bite vient se dressée devant moi, de suite il saute sur mon sexe et me suce avec gourmandise. En l'espace de quelques secondes, autour de nous, tous se déshabillent et viennent se mettre dans la mélée, autour dessus dessous de moi les corps d'hommes s’entremêlent dans un mélange de bites de culs de torses, à un moment une bite se présente devant ma bouche, par curiosité je la prend dans ma bouche, j'aime bien, j'aime même beaucoup je me mets à la gouter, la lécher la sucer, puis ma langue par à la découverte de tous ses corps j'embrasse, je suce, je lèche et j'apprécie tout, à un moment pendant que je suçait une bite de longs jets jaillissent, chaud gouts amer mais j'aime. Je continue, je sens des langues me lécher l'anus, c'est super agréables, à un moment un cul se poste devant ma bite, doucement je le perforent, insère ma teube à l'intérieur, c'est plus serré qu'un vagin, à chaque allés retour la rondelles enserre bien mon sexe, c'est divin c'est vraiment divin. je fini par jouir dans une bouche avide, encore quelques cris autour puis ça se calme nous restons encore une petite demie-heure tous à poil par terre cul par dessus tête. Certains vont prendre une douche nous nous retrouvons tous installés au salon, tout le monde reste nu on est trop bien nus. On me questionne, ils sont tous, et moi le premier, étonnés que cela soit la première fois pour moi et que je soit si débridé, à l'aise. je réponds que c'était tout super agréable pour moi, mais une question me turlupine.
- ça fait quoi de se faire enculé ?
- c'est trop bon! c'est une jouissance immense qui te prend de l'intérieur! tu t'aperçois que c'est toi par ton cul qui mène le bal! ... Tu veux pas essayer?
- J'ai peur que cela fasse mal
- Un peu au départ mais apres ça passe et puis si tu prend un peu de poppers ça va aller.
L'idée fait son chemin dans ma tête, j'ai envie d'essayer. Du coup on va tous dans la chambre, une procession de mecs à poil pour assister à mon dépucelage! Le lit est immense je m'y installe pour me préparer les voila tous qui me caressent à nouveau, c'est divin le plaisir revient, on m'embrasse aussi j'adore embrasser, j'ai tjrs trouver que la bouche est la première zone érogène accessible, je bande bien on me demande de me retourner de me mettre à 4 pattes, on me passe du gel sur ma rondelles, et dire qu'actuellement 11 paires d'yeux sont entrain de mater mon cul entrain de se faire ouvrir doucement, un premier doigt est passé assez facilement en ce moment il est entrain de caresser ma prostate, j'adore trop ce plaisir qui monte en moi par l’intérieur, un deuxième doigt tente de s'insérer, j'ai un peu mal on me donne du poppers à sniffer, ça me détends je débande un peu mais le deuxième doigt est rentrée la douleur s'est estompé. Alain parce qu’il a une bite fine est désigné, sa bite se pointe à l'entrée, j'ai un peu peur mais je suis pret, il pousse doucement, je sens mon anneau qui s'carte, un peu de Poppers mes sphincters acceptent cette bite qui rentre en moi, elle s’arrête, ne bouge plus puis ressort puis rerentre, s'enfonce un peu plus et encore, je sens cette bite rentrer en moi la douleur dure un peu puis cède la place au plaisir. Je respire bien comme ils m'ont dit.
- Je suis au fond, ça va?
- Oui attends ne bouge plus
Au bout d'un petit moment je suis bien habitué je commence à remuer mon cul qui a envie, alors Alain commence un va et vient, pendant ce temps plusieurs mains me caressent, une me branle, le plaisir commence à m'envahir, j'ai l'impression qu'une onde de plaisir s’empare de mon antre, je geins de plus en plus fort le Alain me pilonne et fini par jouir en moi, apres il s'allonge sous moi pour me sucer la queue, pendant qu'un autre prend sa place demande la permission et doucement m'empale le plaisir revient immense, je lui dit de me défoncer le cul, il le fait joui aussi en moi le troisième et dernier arrive, c'est Jérem, mon ami d'enfance qui m'encule à présent devant tout ces mecs qui ne ratent rien et commencent à se sucer et s'enculer aussi. Jérem sort et me demande de me retourner, il veut me prendre de face, j'écarte bien les jambes, son sexe est assez énorme il le présente devant mon anus et rentre au fond de moi, Jérem se penche et m'embrasse il est tendre et puissant j'adore trop trop mais au bout d'un moment mon excitation demande qu'il accélère le rythme et encore, Jérem me défonce en règle en accélérant le mouvement, une bouche s'est emparée de ma bite, mon plaisir monte, monte et monte encore je sens que jérem vas venir il joui en moi au moment ou ma bite explose mon sperme en fusion dans la bouche accueillante. Je ne peut plus bouger du lit, les invités après avoir joui s'en vont petit à petit, je demande à Jérem si je peux rester dormir ici. Il m'embrasse
- Bien sure rien ne me ferait plus plaisir
Nous avons fait l'amour avant de s'endormir corps entremêlés, le lendemain matin au réveil aussi et ce matin aussi...
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histoire-hot · 6 years
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La sœur de mon meilleur ami.
C'était l'été, le weekend ensoleillé se déroulait parfaitement avec une atmosphère propice aux rencontres.
Le samedi soir avec quelques amis, nous décidons de sortir manger au restaurant et de continuer la soirée autour de quelques verres sur une terrasse très agréable de notre ville. La nuit avançant, nous nous retrouvons deux survivants et prenons la décision de nous rendre dans une petite boîte où nous avons nos habitudes.
Quelques minutes après être entrés, on me tape sur l'épaule. C'est Marine, la petite sœur mon meilleur ami parti très loin à l'étranger.
Nous nous, saluons, elle paraît déjà très excitée par l'alcool et disparaît aussi vite qu'elle est venue.
Marine a 19 ans, elle débarque dans ma ville suite à son bac pour entamer des études de communication. Elle mesure 1,80m, taille très fine, yeux d'un bleu azur et cheveux bruns. Elle à posé pour quelques photographes et participé à des concours de beauté dans sa jeunesse (son frère ne s'est jamais retenu de nous montrer certains clichés). Bref, une très belle jeune fille, bien que pas mon style à priori.
Je vous passe les détails de la soirée, jusqu'au moment où je décide que ma soirée est terminée. Je me dirige vers le vestiaire pour prendre mes affaires, quand je croise à nouveau Marine, qui me demande « où je vais après ». Je lui répond que je rentre chez moi pour dormir, il est déjà 5h du matin. Et à ma grande surprise, elle me rétorque : « je viens avec toi ».
Mon sang ne fait qu'un tour et ma conscience me pousse à refuser : « continue à t'amuser, on se voit bientôt si tu veux », elle fait un peu la moue et me demande mon numéro, que je donne.
A peine trois minutes après alors que je suis en route, je reçois un texto : « il n'y a pas de Uber pour rentrer chez moi, je peux dormir chez toi ? » Je sens l'arnaque à plein nez, mais je lui indique mon adresse, j'ai deux chambre dans mon appartement, et je me fais la promesse qu'il ne se passera rien.
Dix minutes après que je sois rentré, on sonne a ma porte, c'est Marine, évidemment. Je la fais monter, lui montre la salle de bain et sa chambre, puis je vais me coucher.
Je n'ai même pas eu le temps d'éteindre ma lampe de chevet que la porte s'ouvre brutalement, me laissant face a une vision magnifique : Elle a détaché ses cheveux, qui tombent maintenant sur ses épaules et cachant le haut de ses petits seins qui pointent déjà, elle porte un string noir, quasiment transparent qui me laisse deviner une petite chatte toute lisse, quant à ses jambes, elle n'en finissent pas.
C'est à ce moment précis que j'abandonne toute envie de résister. Je sors de mon lit, ne portant qu'un boxer, me dirige vers elle et l'embrasse fougueusement, plongeant ma langue dans sa bouche en lui empoignant les fesses d'une main, et un sein de l'autre.
Je la projette sur le lit, lui retire son string, et je ne me fais pas prier pour commencer la dégustation. Sa chatte est lisse et déjà dégoulinante de désir, je me régale. Elle émet de petits gémissements en me tenant fermement la tête plaquée contre son entrejambe, je sens qu'elle aime quand c'est violent.
Après 10 bonnes minutes de cuni pendant lesquelles elle aura joui 2 fois (me semble-t-il), je me relève, le visage recouvert de cyprine du nez au menton, elle m'embrasse comme une reine pour nettoyer tout ça.
Avec la précipitation, je n'ai même pas pris le temps d'enlever mon caleçon, elle s'en charge a la vitesse de la lumière avant d'avaler mon sexe sans préavis ! Je suis a genoux sur le lit, elle est allongée sur le ventre face à moi avec mes couilles dans une main et mon sexe au maximum au fond de la gorge, a ce moment j'oublie tout ! La pipe est très bien, elle sait se servir de sa langue, fait des va et vient rapides tout en malaxant mes couilles avec la bonne dose de pression. Elle n'a que 19 ans mais je décèle de l'expérience !
Au moment où je sens que je pourrais jouir, je mets fin a sa prestation, pour passer aux choses sérieuses. Je la mets à quatre pattes de manière virile, car je sens qu'elle aime ça, elle gémit quand je lui claque les fesses, avant de la pénétrer. J'entre en elle jusqu'à la garde, et j'entame des va et vient très rapides et amples, lui claquant les fesses, et serrant son cou, à la limite de l'étranglement. Elle a l'air d'adorer ça, puisqu'elle me crie de continuer.
Après quelques minutes, je m'allonge sur le dos et lui indique de venir me chevaucher, ce qu'elle fait volontiers après m'avoir de nouveau sucé quelques secondes en me regardant dans les yeux.
Lorsqu'elle me grimpe dessus cependant, elle ne dirige pas mon sexe vers sa chatte, mais plus en arrière, je ressens cette résistance significative des premiers centimètres avant de plonger profondément dans ses petites fesses ! Elle se déhanche désormais sur moi en se malaxant les seins, pendant que je lui frappe les fesses, lui enserre le cou avec toujours plus de vigueur, ses gémissements se faisant de plus en plus forts a mesure que je resserrais mon étreinte.
Quand je la jetais sur le côté pour la prendre en missionnaire, elle me pris par la main, se mit a genoux devant moi et me demanda de me laisser faire.
Elle me branla alors très vigoureusement et me gobant les boules jusqu'à sentir les premiers spasmes dans mon sexe. Elle dirigea alors l'éjaculation sur ses petits seins, qui se retrouvèrent alors dégoulinants de sperme, qu'elle étala de bout des doigts pour éviter que ça ne coule.
Elle se releva, m'embrassa sur la joue puis se dirigea vers la salle de bain, se rhabilla, puis disparut !
Nous somme par la suite devenus amants pendant 1 an, sans que son frère ne le sache, et en amplifiant énormément le côté violent et soumission, même si nous étions tous les deux débutants dans ce domaine.
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histoire-hot · 6 years
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Sortie de prison
Je m'appelle Kevin. Je suis sorti de prison ce matin, après 3 mois passés en taule pour une vague histoire de stup. Je vais pas rentrer dans les détails, mais je fais partie d'une bande et je me suis fais gaulé ! Pas grave.
A la sortie je pensais retrouver Jennnifer ma copine qui est venue me voir plusieurs fois pendant que j'étais enfermé, mais je la vois pas je suis étonné, et je pars direction chez moi, ça fait 30 minutes à pieds j'y serai vite.
Quand j'arrive devant chez moi, j'ai un sentiment bizarre, je tape à la porte mais personne me réponds. Je commence à penser que Jen m'a oublié. J'essaie quand même d'ouvrir la porte et coup de bol, elle est ouverte. Une fois a l'intérieur, j'entends des drôles de bruits !! Comme si ca baisait chez moi. J'avance doucement et quand j'entrouve la porte de ma chambre je trouve Jen en string en train de pomper Karim un pote de ma bande. Le sang me monte a la tête et je commence à m'ennerver contre ma meuf et Karim :
- Ca va pas non ? Toi Jen tu baises pendant que je suis en taule et toi Karim, t'as personne d'autres à baiser que ma meuf ??
- C'est bon me dit Karim. Fallait bien la faire reluire un peu pendant que t'étais pas là. Vaut mieux que ce soit un pote que quelqu'un d'autre non ?
- J'y crois pas tu baises ma meuf et tu dis que c'est pour me faire plaisir ??
- Allez c'est bon. Viens me donner un coup de main à la faire crier. Tu dois sacrément en avoir envie. Viens te faire sucer je vais commencer à baiser cette chienne
Jennifer ne disait rien et je restais ébahi par le spectacle et c'est vrai que je bandais déjà grave.
Le temps de me mettre à poils Karim était passé derrière Jen qui gémissait à l'introduction du sexe de Karim. Je présente à bite à Jennifer qui se fait pas prier et m'aspire la tige jusqu'au bout. Elle ne m'avait pas habitué à ça la salope.
Au bout de quelques va et vient je ne tenais plus et je sentais que j'allais lâcher la purée. Après 3 mois d'abstinence je ne tenais plus. Je sortis ma bite de sa bouche pour pouvoir asperger son visage. J'ai du cracher 20 ou 30 giclées de sperme recouvrant complétement le visage de Jennifer. Karim se mit a rire et me dit eh ben t'avais les couilles pleines !!!!
Je me jette sur le lit envahit d'une sensation de bien être et Karim me dit :
- Repose toi 5 min je finis avec ta femme et tu pourras tirer une autre cartouche.
- vas y régale toi
Et je regarde Karim pendre Jennifer en levrette. il lui malaxe les seins. Il commence à lui mettre un doigt dans le cul, puis deux. Ca commence à m'exciter et je sens que ma queue durcit à nouveau. Karim sort alors sa queue se présente devant Jennifer et lui enfonce sa bite dans sa bouche il commence alors à lui baiser la bouche et après s'être raidit, il lui éjacule dans la bouche la forcant à tout avaler. Jennifer a fait ca avec un naturel que je ne lui connaissait pas !!!
Après quelques râle il me dit vas y prends la par derrière elle est prête et elle adore ça. Moi je te laisse j'ai du travail, et après s'être rhabillé, il est parti.
Je me suis mis derrière Jennifer qui ne disait rien et paraissait encore en forme. Après avoir lubrifié avec un peu de salive, j'ai enfoncé mon sexe dans son cul pour ma première sodomie et comme une bête je l'ai défoncée pendant une minute ou deux avant d'éjaculer dans son cul.
Quand nous avons repris nos esprits nous avons pris une douche et il fallait qu'on parle .......
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histoire-hot · 6 years
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Les nouveaux voisins.
L’autre jour, je me suis réveillée et j’ai enfilé le t-shirt de mon mec et une culotte. Mon mec dormait toujours, il était nu dans le lit, le drap ne lui recouvrait que le bas du ventre et ses jambes. Je remarquais que le drap était assez tendu à un certain endroit. J’aime quand il est dur, surtout que je n’ai pas à me plaindre, pour m’amuser je me suis amusée à le mesurer et il est équipé d’un joli morceau de 20cm pour 5cm de diamètre. Et en plus il sait s’en servir, le seul souci c’est qu’elle fait un peu mal à la mâchoire au bout d’un moment...
J’avais terriblement envie de venir le sucer, de le réveiller doucement et de venir le chevaucher dès le matin. Mais il est épuisé en ce moment alors je me retiens et le laisse dormir.
Je vais dans la cuisine chercher un jus d’orange et me dirige vers le salon. Ce dernier a de grandes vitres sans rideaux (on déteste ça !). On a une vue sur l’immeuble d’en face et les appartements. Bien entendu les voisins aussi peuvent tout voir chez nous. Cela ne nous dérange pas, mon mec est naturiste, et on ne se gêne pas pour s’amuser dans le salon même si on peut nous voir. On part du principe que si ça les dérange, ils n’ont qu’à regarder ailleurs, on est chez nous et on fait ce que l’on veut… et avec qui on veut !
C’est en allant arroser les fleurs que j’ai vu nos nouveaux voisins. Un couple, je présume, elle brune cheveux longs et jolies courbes. Lui brun également, plutôt bien bâtit, et assez grand.
Ils étaient tous les deux contre une table, en train de s’embrasser. Elle portait une chemise, vu la taille ça devait être celle du mec. Lui était en caleçon, et vu la bosse qu’il avait, cela devait lui plaire d’embrasser cette fille.
Naturellement, je suis restée à les regarder !
La fille devait également apprécier être embrasser, car elle commença à défaire les boutons de sa chemise et elle découvrit une poitrine absolument magnifique, bien ferme et haute. A sa vue, j’ai commencé à être excitée. J’avais envie de cette poitrine devant moi, de la toucher, de la lécher et de l’embrasser. Bien entendu, c’est son mec qui s’en chargea. Mais au lieu d’être jalouse, je me suis également dit que j’aimerai bien que ce soit moi à la place de la fille. Il avait l’air de bien s’y prendre. Mon corps commença à réagir tout seul, je sentais mes seins devenir dur, et le tissu du t-shirt sur mes tétons commençait à me faire des frissons dans tout mon corps.
Machinalement, je posai mon verre de jus de fruits pour commencer à caresser mes seins après avoir retiré mon haut, j’imaginais me joindre à eux pour en profiter. J’étais déjà excité par la vus de la queue bien dure de mon mec, mais ce spectacle m’émoustillait tout autant.
Mon excitation fut à son comble, quand la fille ôta totalement sa chemise et se mit à genoux devant son mec. Elle descendit son caleçon et je pus voir une jolie queue à moitié bandé jaillir du bout de tissu. Je ne sais pas si c’est mon imagination ou non, mais je suis presque sûre que la fille m’a vue à ce moment-là et m’a fait un joli sourire avant de prendre en main la queue de son mec et de faire de doux va et viens dessus pour enfin la prendre en bouche.
Je n’ai pas pu me retenir d’avantage, cette situation m’excitait au plus haut point. Je glissai ma main dans la culotte et me rendis compte que j’étais bien plus excitée que je ne le pensais. J’étais totalement mouillé et le simple fait d’effleurer mon clito me scia les jambes.
Je me caressais les seins tout en glissant mon doigt entre les lèvres de mon minou. Je me mis à me doigter en les regardant.
C’est à ce moment-là que je senti quelqu’un se coller contre moi. Mon mec posa ses mains sur mes épaules et vint m’embrasser dans le cou. J’eu des frissons tout le long de ma colonne vertébrale.
Il me demanda pourquoi je me caressais devant la fenêtre, si j’étais dans une période exib.
Je me retournai pour l’embrasser, et je lui dis de me laisser faire et de regarder devant lui. Je me mis alors à genou, il était encore un peu dur de son réveil. Je pris sa queue dans ma main, je le léchai tout le long avant de le prendre en bouche. Il ne bougea pas, il me laissa faire, et au bout d’un moment je sentis sa queue devenir plus dur. Je compris qu’il avait trouvé ce que je regardais. Pour seule réponse, il m’indiqua qu’il appréciait énormément les nouveaux voisins. Cela me fit sourire.
Je pris mon temps pour le sucer, j’aime avoir la queue bien dure de mon homme dans la bouche, lui donner du plaisir, l’entendre gémir de temps en temps. Il aime particulièrement les pipes baveuses, quand ma salive sert de lubrifiant, quant au moment de reprendre mon souffle un filet de bave vient s’étaler sur mes seins. Cela l’excite autant que moi !
Mais je ne veux pas qu’il jouisse dans ma bouche, je veux retourner voir mes nouveaux voisins, je veux qu’il me baise en les regardant.
Alors je me relève, l’embrasse à nouveau et me retourne pour les regarder. C’est à son tour de se mettre à genoux derrière moi. Il m’écarte les fesses que je cambre et il commence doucement à me lécher. D’abord mon petit minou mais également mon anus, mon petit oeillet. J’aime quand il me lèche, il sait le faire et il aime ça, ça se sent !
Nos voisins n’ont pas perdu de temps non plus, la fille est allongée sur la table, sur le dos. Son mec est debout entre ses cuisses et la prends avec douceur en lui tenant les jambes. De temps en temps j’arrive à voir sa queue sortir et re rentrer. Elle est quand même de bonne taille, elle doit prendre beaucoup de plaisir.
Mon homme est en train de me doigter tout en léchant mon cul, je mouille comme une folle. Il se relève alors, il est toujours aussi dur je peux le sentir entre mes fesses. Je me cambre pour qu’il me prenne, mais à ma grande surprise, ce n’est pas mon minou qu’il veut pénétrer.
Je le laisse faire, j’aime la sodomie, et c’est le seul à arriver à me faire jouir par là. Il prend son temps pour rentrer, je le sens rentrer centimètre par centimètre, j’aime ça, je me sens envahir, écarter. Arrivé au fond, il ne bouge plus, il me laisse m’habituer. Il en profite alors pour caresser mes seins.
Les voisins changent alors de position. La fille vient se pencher sur la table, pour qu’il puisse la prendre en levrette. Encore une fois, je la vois me regarder et sourire, elle ne me lâche pas des yeux au moment où son mec la pénètre et je peux la voir ouvrir en grand la bouche, elle doit effectivement prendre son pied. Tout comme moi d’ailleurs, mon homme a commencé à me prendre, il me caresse le dos, les hanches, se penche pour m’embrasser dans la nuque. Ce que c’est bon, j’ai une queue bien dure dans les fesses, des caresses sur tout le corps et une magnifique brune qui me regarde me faire baiser pendant qu’elle aussi se fait prendre et sans ménagement à ce que je vois.
Mon mec les observe aussi je pense car lui aussi accélère le rythme, il me baise comme un fou en m’agrippant les hanches. De temps en temps il me met une fessée comme j’aime ! Il passe alors sa main entre mes cuisses et commencer à caresser mon clito. Il m’arrache mon premier orgasme, j’ai les jambes coupées, je ne tiens debout que par ce que je suis empalé sur lui et qu’il n’arrête pas de me baiser !
Je reprends mon souffle, mais je ne sais plus trop où je suis. Maintenant il commence à me doigter. Je peux sentir ses doigts frotter sa queue au travers de ma parois vaginale. C’est terriblement bon ! Je peux voir que la fille est tombée à genoux devant son mec et qu’elle le prend à nouveau en bouche comme une folle.
Mon mec accélère alors, résultat, il devient plus dur que jamais, ses doigts s’activent dans tous les sens. Et c’est au moment où voit le mec d’en face jouir sur le visage et les seins de la jolie brune, que mon mec crache tout son sperme au fond de mon cul en grognant et en me faisant jouir une seconde fois !!
Nous ne bougeons plus, on reprend notre souffle, il vient à nouveau m’embrasser dans le cou. Le mec d’en face est parti de notre champ de vision. La jolie brune se relève, on peut voir qu’elle a reçu une jolie dose sur elle. Elle nous regarde alors, et nous envoie un baisé avant de partir elle aussi…
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histoire-hot · 6 years
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Réunion de famille.
C'était le soir d'une réunion de famille chez mon oncle Victor. À notre arrivée, mes parents et moi allons déposer nos manteaux sur le lit de mon oncle.
Juste quand je sors de la chambre, j'aperçois mon cousin Antoine; toujours aussi beau, il a un ans de plus que moi, c'est-à-dire 20 ans. Antoine est connu dans la famille pour être le grand sportif, il est joueur de rugby depuis le collège. Ce soir-là, il était très charmant: il portait une belle chemise noir avec un jeans. D'habitude, mon cousin vient avec sa copine Célia mais cette fois-ci, elle n'y était pas. Je me dirige donc vers lui, pour lui serrer la main, il était très content de me voir.
Je lui dis:
— Tu n'es pas avec Célia?
— Non, ça n'allait plus très bien entre nous deux, m'a-t-il répondu.
Suite à cette discussion, il m'invite à aller dehors avec lui car il s'apprêtait marcher pour prendre l’air. Je réponds oui.
Nous commençons donc notre marche tout en discutant et vint la question de la part de mon cousin à savoir si j'avais une copine. Je lui répondis donc que non je n'en ai pas pour l'instant, peut-être ça serait à venir. Il me demande aussi si j'étais puceau. Je le regarde avec un drôle d'air en lui disant:
— Ouais tu les as les questions ce soir!
Je lui explique donc en riant que ma seule partenaire sexuel était ma main droite. Il riait en me disant:
— Max, tu n'as rien vécu de ça?
— Non jamais et ce n'est pas l'envie qui manque!
Il me dit qu'il pourrait peut-être m'arranger ça; je n'ai rien ajouté à ça. Plus loin dans notre marche il me dit:
— J'ai envie d'essayer autre chose dans ma vie.
Je réplique en me questionnant:
— Mais quoi d'autre veux-tu essayer?
— Je vais être direct, j'aimerais essayer le sexe avec un mec.
J'étais bouché, je ne savais quoi répondre. Dans ma tête à moi, j'espérais seulement qu'il me demande de baiser avec lui, j'en avais une érection juste à y penser. Comme de fait, ma pensée fut réalité, il me le demande:
— Toi , as-tu déjà eu de l'attirance envers les mec?
— Je peux trouver un mec joli mais mes pensées n'ont jamais été plus loin. Pourquoi?
— Bien nous pourrions peut-être essayer toi et moi ce soir?
— Euh... peut-être. Mais où. Il ne faut pas se faire prendre.
La nervosité et l'excitation s'empara de moi. Il me dit:
— Calme toi, nous pouvons faire ça dans la cabane. Tu te rappelles où nous allions jouer quand nous étions plus jeune?
Nous nous dirigeons là. Tout excité, mon cousin enlève son manteau et enlève le mien par la suite. Il me m’embrassas le cou, puis finit par me rouler sa langue dans ma bouche. Ensuite il déboutonna ma chemise pour embrasser mes pectoraux; il enleva aussi sa chemise. La température monta dans la cabane. Il déboutonna mon pantalon et je fis de même en déboutonnant son jeans. Ses boxers moulant montraient sa fière érection; tant qu'à moi, ma tige sortait de mes sous-vêtements.
Il prit ma bite et l'engloutit dans sa bouche comme un affamé. La sensation était sensas! Ma main droite pouvait aller se cacher maintenant que j'ai connu cette sensation. Je viens quelques minutes après, il avala le tout. Par la suite, moi aussi j'était affamé. J'engloutis donc sa tige dans ma bouche et la bouffai à fond. Que c'était bon! Il jouit pas longtemps après et j'avalai tout son nectar d’homme. Collé les deux sur le petit lit de la cabane, nous nous embrassions en nous disant que nous devrions recommencer ça plus souvent.
Depuis, mon cousin et moi se voit souvent afin de nous enfiler.
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histoire-hot · 6 years
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Trans, fait une partouze.
Ce jour-là, on peut dire que j’ai eu de la chance !
En général, quand je prévois des rencontres à l’hôtel, je ratisse large notamment en termes d’hommes, car les poseurs de lapin sont extrêmement nombreux. Quelque temps à l’avance, je passe donc des annonces, je relance des contacts pour être certaine de ne pas me retrouver toute seule le jour J à cause des malotrus qui ne viennent pas.
Ce jour-là, après avoir pris une douzaine de contacts, 5 hommes me confirment qu’ils viendront, donc je m’attends à en avoir au moins deux, au mieux 3 (tous ont répondu a une annonce sur vivastreet), de quoi passer une excellente après-midi. Je les préviens qu’il y aura d’autres mecs présents, car je compte me faire partouzer.
J’arrive à l’hôtel à midi, le temps des formalités et de me préparer, me voilà devenue une jolie salope 45 minutes plus tard. À part un qui m’a dit qu’il passerait vers 15h, j’ai donné rendez-vous à tous le monde à 13 heures.
À peine l’heure que le premier m’appelle, il est sur le parking, je lui indique le numéro et le code de la chambre. À peine raccroché, mon téléphone sonne à nouveau, même chose pour le 2e mec. Ils sont à peine montés que ça sonne à nouveau, et voilà qu’à 13h20, je me retrouve avec 4 mecs dans la chambre !
Très vite, je me dis que je dois les mettre dans l’ambiance, car malgré toutes les saloperies qu’ils ont pu me dire par téléphone ou mail, ils sont là comme 4 empotés. Je me mets donc à 4 pattes sur le lit et j’annonce :
- Je suce la première bite qui se présente, et vous pouvez utiliser tous les gadgets qui sont là !
Martinet, cravache, godes, capote, gel, tout ça en dit long sur ce que je suis venue faire.
J’ajoute donc
- Je suis la totalement pour vous, faites-moi tout ce que vous voulez, tout est à vous, éclatez-vous, je vais être la meilleure chienne que vous ayez eue. Mettez-vous à poil et venez profiter.
À peine dit, voici une 1ere puis 2e queue qui se présentent, me voilà donc à branler et sucer deux belles queues quand des mains viennent caresser mes fesses et mes tétons.
Je sens que je dois les exciter, il faut qu’ils se lâchent et puissent vaincre la timidité qui s’installe entre eux, pour cela ils ne doivent penser qu’à moi. Je dois faire ma chienne.
- Encore des bites, donnez-moi des bites, je suis votre jouet sexuel cet après-midi, la pire des putes, je veux des queues dans la bouche et dans mon cul, des godes, du martinet, faites-vous plaisir, lâchez-vous !
L’ambiance chauffe doucement, je sens une langue venir me lécher le petit trou, en voilà au moins un qui se laisse aller, il me branle par la même occasion. Je sens qu’un autre m’écarte bien les fesses pour que le premier puisse mieux lécher, puis j’entends qu’on me crache copieusement sur le trou et voilà des doigts qui s’enfoncent.
De face, je suce alternativement les deux belles queues qui commencent à grossir. Je bave, je fais de gros bruits de succion pour les exciter, je demande « encore », on vient me pincer les tétons, ça me rend folle, j’aime tellement ça, je gémis, je bande. Je sens un mec se glisser sous moi par-derrière et venir me sucer tandis qu’un gode commence à me pénétrer, quel bonheur.
Les rares fois où je n’ai pas la bouche pleine, je suis obscène, je veux les garder tous bien excités.
- Défoulez-vous mes chéris, je suis à vous, mon cul, ma bouche, ma queue, tout est à vous sans limites, éclatez-vous (j’avais auparavant précisé que la baise n’était qu’avec capote).
Le gode commence à bien me ramoner, celui du dessous me suce goulûment, me lèche les couilles. Devant, un des mecs s’est mis à sucer avec moi la queue du troisième (ça promet), on se roule de grosses pelles avec une queue qui vient s’introduire dans sa bouche ou la mienne.
On me pince toujours les tétons, et en plus du gode je sens que le martinet commence à claquer
- Vas-y salope, fait ta chienne, tu es notre pute, donne-nous du plaisir !
Hummm, ça commence, quand les mecs insultent c’est bon signe. Le martinet se fait plus insistant, je roule du cul (en continuant d’enfoncer copieusement ma queue dans la bouche du mec en dessous). J’entends un sachet de capotes s’ouvrir, c’est bon signe, et quelques secondes après je sens une première queue s’enfoncer en moi.
Oh p*tain, un bon calibre, plus épaisse que mon gode en tout cas, et je commence à me faire ramoner en prenant des claques sur le cul pendant qu’en dessous on me suce toujours.
- Encore, baise-moi ! Mon cul est à toi, il t’appartient, défonce-moi !
Et mon baiseur s’en donne à coeur joie.
- Tiens salope, tu l’aimes ma grosse bite, je vais te déglinguer le cul.
Et je dois dire que c’est plutôt vrai. Ce vicelard m’a prise par les hanches et me déglingue copieusement, à tel point que les deux mecs devant s’arrêtent pour regarder et l’encourage – vas-y, défonce cette salope, tu l’a fait jouir !
Et c’est vrai qu’il me fait jouir du cul comme une vraie chienne, je le sens, je mouille tellement que je dégouline (c’est souvent le cas au début quand je suis bien excitée) j’oscille entre plaisir et douleur, je fais signe à un mec devant de me pincer les tétons, je suis en plein rêve, mes tétons en main je me fais royalement fourrer comme une pute en me faisant sucer, le rêve.
Et puis il jouit, je me prends une pluie d’insultes dans la foulée, il n’en finit pas, il a craché, mais continue à me piner tant qu’il bande. Et puis enfin il arrête.
À peine le temps de dire ouf que l’un des mecs devant est passé derrière moi et envisage visiblement de me faire subir le même sort quand mon téléphone sonne à nouveau, c’est le cinquième mec, il est venu ! Je lui donne le code de porte en le prévenant que 4 mecs me baisent déjà.
Un autre à déjà mis sa queue à la place libre et me met de bons coups de queue, j’ai le trou béant complètement ouvert par son prédécesseur qui m’a fait jouir comme une dingue, et je sens que ca repart, le second est aussi en train de me faire prendre mon pied alors que celui qui était sous moi est remonté, je suis couché sur lui, il m’embrasse et suce aussi (avec moi) un mec devant moi.
Je suis en train de vivre un vrai rêve, 4 mecs s’occupent sans arrêt de moi et un 5e arrive, d’ailleurs on frappe à la porte. Un va ouvrir, en entrant le gars me voit me faire utiliser comme une chienne, il semble ravit, il sourit et se déshabille déjà – Alors, elle est bonne cette salope ? demande-t-il.
La réponse semble unanime – Oui, elle aime la bite, une vraie chienne en chaleur.
Je sens que le mec qui me tringle est en train de jouir, son râle me le confirme, ses insultes aussi.
- Tiens salope, je remplis ton cul de jus sale pute, profite !
À peine le temps de dire ouf qu’on me retourne, au bord du lit j’ai la tête en arrière, je sens qu’on remonte mes jambes et c’est reparti de plus belle, j’ai à nouveau une queue qui me ramone et je crois que le mec qui vient d’arriver (à un moment on ne sait plus qui est qui) me fout sa queue dans la bouche et me la baise. J’étouffe, je commence à nouveau à jouir du cul, les rares fois ou je reprends ma respiration je lèche les couilles au-dessus de moi, je pince moi-même mes tétons pour monter que je suis en chaleur, le mec me fait bouffer son cul, me remet sa queue dans la bouche. Pendant ce temps, on me triture à nouveau les tétons.
Je me fais défoncer comme ça un moment. Depuis que le dernier mec est arrivé (un marseillais), les mecs parlent entre eux, commentent l’action.
- Vas-y démonte la elle aime ça.
- Attend je vais la doigter en même temps que tu la baises.
- Défonce lui la bouche à cette pute
- Vas-y fait la appeler sa mère
Ils s’en donnent à cœur joie, et moi qui ne suis plus qu’une poupée gonflable je jouis comme une véritable chiennasse. Quand le mec vient tout cracher dans mon cul, je demande une petite pause, je suis lessivée, il faut que je boive quelque chose, que j’aille faire pipi.
J’ai le trou en feu, je veux encore des bites, mais je suis rincée. Mine de rien, voilà plus d’une heure que je me fais tringler sérieusement, le tube de gel ne sert plus à rien, tout passe.
Alors que je vais faire un pipi, celui qui me suçait me demande – Fait dans ma bouche !
Hummm, j’adore. Je pisse debout et il vient boire par petites gorgées tout en me mettant un doigt dans le cul, j’aime ça vous n’imaginez même pas.
Je reviens, je propose une petite pause cigarette
Partouzée par 5 mecs
- prend plutôt mon cigare !
Pas le temps de dire ouf que je me retrouve a nouveau à genoux avec une queue dans la bouche. Un des mecs qui a joui se rhabille, il part, 4 sont toujours là.
Juste le temps de boire un verre d’eau et deux me tripotent à nouveau, j’ai 4 doigts dans le cul et une langue dans la bouche. On me fout à 4 pattes par terre et me revoilà avec une bite dans la bouche et une autre qui se fraie un chemin dans mon trou. Je mouille comme une chienne.
Deux mecs regardent et deux autres me baisent, je suce, je prends des claques sur le cul, des insultes.
- tu es insatiable ma salope, tu aimes les queues, tu aimes te faire défoncer, on va t’en donner (c’est le marseillais, c’est le plus volubile).
J’ai droit à un petit essai de double anale mais malheureusement les queues ne doivent pas être assez raides, car ça cafouille, et ce n’est pas de ma faute, car dans l’état où je suis tout peut rentrer sans problème. Je n’ai jamais réussi à me faire fister mais là je pense que ce serait passé sans souci, je suis incroyablement ouverte.
Pendant les deux heures qui ont suivi, j’ai eu droit à tout. Les 4 mecs s’entendaient bien, blaguaient ensemble (et avec moi) l’ambiance était géniale, et je n’ai eu droit qu’à quelques micro-pause pour boire à peine un verre d’eau. J’ai passé le restant du temps à servir de jouet pour ces mecs.
Godes + doigts, martinet, des bites et encore des bites, il y a une bonne vingtaine d’années que je ne m’étais pas faite baisée comme ça. Il y en avait toujours un en forme pour me piner tandis qu’un autre me faisait sucer sa queue, quand les bites s’arrêtaient j’avais droit à des doigts, je me faisais fouiller le cul, on me le dilatait, je ne sais même pas combien de doigts on m’a mis en même temps. Mon record est à huit, mais là ils provenaient parfois de trois mains différentes et ces salauds s’en donnaient à coeur joie pour me fouiller.
Finalement, vers 17 heures, 3 sont partis. J’ai encore passé une heure avec le marseillais qui n’a quasiment jamais arrêté de me baiser depuis le début, il m’a avoué que les petites pilules bleues l’aidaient beaucoup, en tout cas moi je ne m’en plains pas. Bon baiseur donc, mais aussi très sympa, malheureusement de passage exceptionnellement dans mon coin, dommage, je l’aurai bien revu ce coquin.
Vivement ma prochaine partouze ! Si elle pouvait être filmée j’aimerais beaucoup.
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histoire-hot · 6 years
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Deux anciennes amies se retrouvent.
J’avais fait toutes les classes avec Chloé depuis la maternelle. Elle était rapidement devenue ma meilleure amie. J’allais chez elle et elle venait chez mois et plusieurs fois, ses parents m’avaient emmenée passer une semaine dans leur maison familiale en Bretagne. Après le bac, nous avions été séparées par la vie. Je n’avais jamais été très douée à l’école et mes parents m’avaient inscrite dans une école de secrétariat et même là, j’avais raté mon diplôme.
Chloé avait eu plus de chances. Forcément, quand on a des parents qui sont médecins, la vie est plus facile et elle avait pris la direction de la fac de médecine. Je ne savais pas où elle en était, si elle s’était mariée, avait fondé une famille. Moi, si j’avais eu des petits amis, ça n’avait jamais marché. Soit ils étaient trop intelligents pour moi et ils me trouvaient trop bête, soit s’ils ne m’avaient draguée, c’était pour me baiser. J’avais baisé avec certains mais me faire sauter et devoir me masturber à la fin, le vagin plein de sperme, ce n’était pas très exaltant.
Chloé devait avoir trente ans, tout comme moi, aujourd’hui. Nous étions nées presque à la même date. En sortant du supermarché où j’étais caissière, j’ai récupéré ma mobylette pour aller chez mes parents pour fêter mon anniversaire et en sortant du parking, j’ai failli me faire renverser par une voiture décapotable qui était décapotée. J’ai hurlé à la conductrice que ça va pas, qu’elle veut me tuer et j’ai eu la surprise de voir qu’elle s’était arrêtée et qu’elle retirait le carré Chanel, excusez du peu et je savais ce que c’était parce qu’il y avait une boutique de luxe dans le centre et qui en vendait. Donc, la femme a retiré son châle et j’ai eu comme une bouffée de châleur en voyant que la femme ressemblait à Chloé. C’était impossible.
Elle est descendue de sa voiture et elle est venue vers moi pour me dire que ce n’est pas possible, que c’est moi Louise et elle m’a serrée dans les bras puis elle s’est écartée un peu pour mieux me regarder. Elle a répété que c’est pas possible puis elle m’a demandé ce que je fais avec ce vieux machin. Elle parlait de ma Mobylette. Je lui ai répondu que je n’ai pas les moyens de me payer une voiture de luxe. Elle m’a répondu que c’est pas vraiment du luxe mais ces choses-là, je savais bien que ce n’est qu’une question de point de vue. Tu travaille là ? Tu vas où ? Je te rappelle, mais tu l’as sûrement oublié que c’est mon anniversaire. Ah, oui, c’est vrai, et le mien c’est après-demain. Je suis caissière dans le supermarché et toi ? Oui, évidemment, je suis gynécologue !
Il me semblait que j’en avais vu un parce que j’avais mal au ventre et que ma mère me soupçonnait d’être enceinte mais ce n’était qu’un mal de ventre qui est passé tout seul après une semaine de souffrance. Bon, tu m’invites ? C’est où ? C’est ce soir et chez mes parents. Ils seront contents de te voir. Je suis remontée sur ma Mobylette et Chloé m’a suivi avec sa belle voiture. Mes parents n’habitaient plus le même quartier parce qu’après la fermeture de son usine, il leur avait fallu réduire la voilure et ils habitaient maintenant dans un HLM.
Sûr que mes parents étaient bien contents de revoir Chloé. Sûr aussi que mon père m’a dit quand il a su son métier, que si j’avais travaillé à l’école j’aurais pu faire pareil. Ma mère avait fait un gâteau mais il n’y avait que trois bougies, parce que, a-t-elle expliqué, chacune d’entre elle représente dix années. La honte avait fini par me gagner. Voir ma meilleure amie avec ses beaux vêtements et ses bonnes manières au milieu de ce taudis. J’avais soudain hâte qu’elle reparte et qu’elle disparaisse hors de ma vue. Après tout c’était elle qui avait exigé de venir. Enfin, elle m’avait demandé mais c’était tout comme. A dix heures du soir, elle a fini par se lever par sa chaise puis elle a dit qu’il faut qu’elle rentre chez elle parce que demain elle travaille. Elle a fait la bise à mes parents et je l’ai accompagnée à la porte et là, elle m’a demandé de la suivre. J’ai hésité mais elle m’a tirée par la main hors de l’appartement et nous sommes descendus d’un étage.
Qu’est-ce que tu fais demain, m’a-t-elle demandé ? Tu peux venir chez moi ? Chloé a insisté et j’ai fini par accepter puis je l’ai regardée disparaître dans l’escalier avant de remonter dire au revoir à mes parents, récupérer ma mobylette et m’apercevoir que j’avais oublié de demander son adresse à mon amie ou bien qu’elle l’avait fait exprès et j’ai tracé la route jusqu’à mon studio. Ce n’était pas mieux que chez mes parents mais c’était chez moi. Je me souvenais que quand j’avais commencé à l’habiter, j’avais invité mon petit ami de l’époque à passer une soirée mais tout ce qu’il avait ça avait été me forcer à faire l’amour avec lui. Après ça, je ne l’avais plus jamais revu. J’avais décidé de le quitter mais c’est lui qui m’avait largué et j’ai su qu’il m’avait baisée sur tous les plans.
Je ne sais pas comment Chloé a su mon adresse. Peut-être qu’elle avait fouillé dans mon sac ou qu’elle avait demandé à mes parents. Je n’avais pas travaillé ce jour-là. Elle a sonné à ma porte. Quand j’ai ouvert, je venais de prendre ma douche et j’étais encore en peignoir. Tu te souviens, m’a-t-elle dit tout de suite en poussant ma porte, quand on prenait la douche après le sport au gymnase ? Je m’en souvenais très bien parce que des filles en profitaient pour s’embrasser et se faire des papouilles quand ce n’était pas plus et même beaucoup plus.
- Dis, je ne te l’avais pas dit l’autre fois mais tu serais pas enceinte ?
- Moi ? Non, c’est juste que je me suis arrondie parce que je fais pas d’exercice ! Tu veux quand même pas que je fasse un régime !
Elle a soulevé son T-shirt. Elle avait un petit peu de ventre puis elle a fait une pirouette et… Hé, attends ! J’avais cru voir quelque chose sur son dos. Elle a encore fait un demi tour et elle a soulevé son T-shirt sous ses bras et j’ai pu voir qu’elle s’était faite tatouer un aigle prenant son envol et vu de face sur les reins. C’était impressionnant. Chloé m’a demandé si ça me plaît. A l’époque, j’ai trouvé ça un peu trop chelou. Elle m’a demandé si je veux voir ses piercings et elle m’a montré son ventre en entier. Elle en portait un au-dessus de son nombri. Moi aussi je m’en étais fait mettre un mais je ne le supportais plus parce qu’il me rappelait de mauvais souvenirs et en plus le passage s’était rebouché.
- J’en ai d’autres, a insisté Chloé, ajoutant qu’elle ne les a pas tous mis et elle m’a demandé si je veux les voir eux aussi. J’ai accepté. Elle a défait la ceinture de son jean puis elle déboutonné sa braguette avant d’écarter sa petite culotte et j’ai d’abord découvert les anneaux plantés dans ses grandes lèvres avant de voir qu’elle avait le ventre entièrement rasé et je lui ai demandé si ce n’est pas gênant pour son travail. Elle s’est mise à rire puis elle a ajouté que c’est sa vie privée. Elle m’a encore demandé si je crois qu’elle bosse à poil. Après ça, elle m’a emmenée dîner dans un restaurant que je ne pourrais jamais me payer puis elle m’a raccompagnée chez moi.
Nous avons recommencé à nous fréquenter et je retrouvais ce qui m’attirait en elle même si quelque chose d’indéfinissable me retenait. Elle n’arrêtait pas de m’inviter et nous allions au restaurant, au cinéma et même à des expositions dans des galeries de peintures. C’était toujours elle qui payait mais je n’avais pas assez d’argent pour régler les additions. En juillet, elle a dû partir pour un congrès en Amérique du Sud. Quelle soit obligée, me semblait bizarre, mais nous n’étions pas du même milieu. Je suis partie huit jours en août en Bretagne et c’est tout que que je pouvais me payer. A la rentrée, j’ai recommencé à revoir Chloé et nous avons recommencé nos sorties. Parfois, j’avais l’impression d’être la bonne œuvre de mon amie. Une autre fois, elle m’a offert une œuvre et pour mon anniversaire un bracelet.
Il n’y avait rien d’autre entre nous que de l’amitié. Je lui en étais reconnaissante. Un jour, alors que je racontais à ma mère que j’étais sortie avec Chloé, elle m’a demandé s’il y a quelque chose entre nous. Qu’est-ce que tu veux qu’il y aille, lui avais-je répondu ? Tu sais bien, ces femmes qui couchent ensemble… Les lesbiennes ? J’espère que tu n’es pas comme ça, avait conclu ma mère.
Etait-ce le hasard qui a fait que Chloé m’a demandé si je veux aller avec elle à une soirée. J’ai accepté et j’ai mis la belle robe qu’elle m’avait offerte même si celle-ci était très décolletée. Quand elle est venue me chercher, elle m’a embrassée sur les joues puis elle m’a dit que la robe me va bien. C’est pas un peu trop décolleté ? C’est joli ce que tu as à montrer ! J’ai rougi. Elle avait pris sa voiture. Nous sommes sorties de la ville puis dans la traversée d’un village, Chloé m’a dit qu’elle aurait dû me préciser que c’est une soirée entre filles. Je n’y ai pas vu malice. La maison était en dehors du village. Plusieurs voitures étaient garés devant. J’ai suivi Chloé à l’intérieur. Les premières amies de Chloé que nous avons croisées m’ont embrassée sur les joues comme du bon pain et je me suis rapidement trouvée séparée d’elle et j’ai pris un verre et je me suis installée dans un coin du salon. J’étais un peu déçue parce que mon amie était accaparée par ses copines. Elle parlait longuement avec l’une et plaisantait avec les autres. En fait, je ne regardais pas et en ne regardant pas, je ne voyais rien puis j’ai réalisé que deux femmes, juste en face de moi de l’autre côté de la pièce, étaient en train de s’embrasser sur la bouche et ça ne semblait gêner personne. Ça va, m’a demandé Chloé ? J’ai levé le menton pour qu’elle regarde en face et elle a tourné la tête et elle m’a répondu que les deux femmes sont ensemble puis elle est passée à autre chose en me laissant là. Je regardais les deux femmes. La rousse était assise sur les genoux de la brune et elle avait glissé sa main sous le pull de l’autre et je pouvais voir bouger sa main sur les seins au travers du pull et elles se sont embrassées à nouveau sur la bouche.
Il y a eu un brouhaha suite à un bruit de voiture puis une femme est entrée. Elles étaient toutes de nos âges et celle-ci, si elle était mince, avait une forte poitrine qui était libre sous sa robe noir et ses seins n’arrêtaient pas de trembler à chaque pas qu’elle faisait. Quand elle est arrivée devant moi, Chloé s’est précipitée et elle m’a présentée comme son amie. Vous êtes ensemble depuis longtemps, lui a demandé la femme ? Chloé lui a répondu que je suis juste une amie et l’autre femme a insisté en lui demandant si elle a quelqu’un en ce moment mais elle n’a pas eu de réponse. Cloé m’a dit de ne pas m’en faire. Une fois de plus, elle est allée parler à une de ses copines et elle m’a laissée seule et j’ai recommencé à laisser planer mon regard et j’ai vu que la femme en robe noire avait passé la main sous la jupe fendue d’une blonde. A minuit, j’ai dit à mon amie que je veux rentrer. Elle ne s’y est pas opposée et elle m’a raccompagnée et j’en ai profité pour lui demander qui sont ces gens. Chloé ne s’est pas démontée. La femme en noir, celle qui est arrivée la dernière, elle est avocate ! Les deux lesbiennes travaillent ensemble dans la boîte qu’elles ont monté ! J’avais l’impression qu’elle ne me disait pas tout. Elle m’a ramenée chez moi et si j’ai continué à sortir avec elle c’était juste quand on allait au restaurant et je me disais qu’un jour, au cinéma, Chloé va se tourner vers moi et elle va m’embrasser sur la bouche.
A Pâques, j’avais oublié tout. Chloé est venue avec moi déjeuner chez mes parents. Tu sais, tu peux me le dire, m’a ensuite dit ma mère, si vous vous aimez, ça ne nous dérange pas ! De toute façon on ne pourra rien y changer. Tu as notre bénédiction ! Je n’ai même pas essayé de la contrarier et j’ai laissé courir. Aucun type ne me courait après et je tapais sur ma caisse dans une indifférence totale quand Chloé est venue me voir chez moi. Elle semblait mystérieuse. Comme elle voulait qu’on sorte je lui ai répondu que j’espère que ce n’est pas une histoire de gouines. Elle a ri et elle m’a dit qu’au contraire, je trouverai peut-être quelqu’un.
Je l’ai suivie. Cette fois-ci, c’était en ville dans son quartier. Un bel appartement. J’étais seule avec elle. Elle m’a servi un verre puis elle m’a dit de m’installer dans le fauteuil. En face de moi, il y avait un grand miroir et quand la lumière s’est allumée dans la pièce d’à côté, j’ai pu voir au travers du miroir et une demi-douzaines de mâles à poil sont apparus et je me suis demandée si ce n’est pas du cinéma. Je n’avais jamais connu d’hommes aussi bien fait. Ils n’avaient aucun défaut et ils se tripotaient sans doute pour se faire bander puis mon amie Chloé est apparue au milieu d’eux et elle leur a parlé l’un après l’autre. Je n’entendais rien mais le son a été rétabli et je les ai entendu parler et Chloé s’est mise à plaisanter et à prendre leur bite dans les mains. Elle passait de l’un à l’autre puis un type s’est collé dans son dos et l’orgie a commencé parce que c’était vraiment une orgie et mon amie se donnait sans retenue. Elle branlait et se faisait mettre par les deux faces puis elle s’est agenouillée et elle a pris les bites dans la bouche. Je ne vous raconte pas tout ce qu’elle a fait avec eux mais si je rougissais de ce que je voyais, j’admirais son abnégation. Ils l’avaient tous prise et ils avaient tous laissé leur semence dans l’un de ses trous.
Dix minutes plus tard, Chloé est venue me trouver. Elle s’était rhabillée. Elle m’a demandé lequel je préfère. Je veux bien que tu aies droit à deux, a-t-elle ajouté mais je garde tous les autres ! Mais c’est qui, ai-je insisté ? Elle m’a répondu que ce sont tous ses amants même si elle ne peut les réunir que de temps en temps. Je n’en revenais pas. Ainsi donc, il y a des gens qui vivent comme ça. Alors lesquels, a insisté Chloé ? Il fallait que je réponde. Celui avec la petite moustache, lui ai-je répondu et puis le blond ! Elle m’a répondu que c’est fait. Je lui ai dit que je croyais qu’elle m’aimait. C’était de la faute de ma mère. Jamais de sentiments, m’a répondu Chloé ! J’ai bien vu combien c’est moque quand on se sépare ! Pour moi, dorénavant, ce ne sera que du sexe ! Elle s’était assise pour me dire ça et elle s’est relevée pour me dire qu’elle a toujours eu envie de moi et elle m’a embrassée sur la bouche et elle m’a déshabillée et nous avons fait l’amour ensemble et quand j’ai rouvert les yeux, les six étalons qu’elle avait soi-disant épuisés étaient tout autour de nous en train de se branler et nous avons partouzé avec eux.
Je n’avais jamais eu autant de bites à mon chevet. On me prenait en levrette et juste devant moi c’était Chloé. Elle m’a demandé si ça va et je me suis mise à pleurer et elle m’a embrassée en me disant qu’elle est contente et pour la première fois elle m’a appelée Chérie. Les bites se succédaient sans arrêt et j’ai hurlé qu’on me prenne dans l’anus et mon vœu a été exaucé puis le temps est arrivé de recevoir leur semence et j’en ai eu plein le trou du cul et aussi dans la bouche. Pareil pour mon amie. Nous avons continué jusqu’au matin et comme j’avais du temps à ratt****r, mon amie s’est contentée de se masturber pendant que je me faisais baiser puis j’ai emménagé chez elle et quand elle a su ça, ma mère m’a félicité. Quand à mon père, j’ai bien compris qu’il n’avait jamais cru que j’en serais capable.
Quand ses amants venaient chez elle, j’avais droit à eux mais quand c’était le type à moustache qu’elle m’avait réservé, elle nous laissait la place. Quand j’ai eu des problèmes, je suis allée consulter dans le cabinet de Chloé. Elle aurait pu le faire chez nous mais ça m’amusait de m’asseoir sur le siège et de poser les pieds dans les étriers et elle m’a masturbée jusqu’à ce que j’ai un orgasme après m’avoir auscultée et dit que tout est normale mais j’ai vite compris que ma compagne est bisexuelle rien qu’en voyant son infirmière qui, quand je lui ai donné mon nom m’a jeté un regard noir. Chloé m’avait laissé sur le siège avec les jambes écartées et le con bavant de mon plaisir quand l’infirmière est entrée. Elle m’a regardée mais mon amie lui a dit que je veux bien. Elle ne m’avait pas demandé mon avis. La fille s’est approchée de moi et elle m’a fait ma petite toilette avec sa langue et j’ai eu un autre orgasme puis je suis rentrée chez nous.
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histoire-hot · 6 years
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Au boulot
Un bon petit prénom des pays de l'est, ou le cliché américain, au choix. Pourtant j'ai plutôt le teint Méditerranéen, et l'accent à l'italienne. Celui qui fait craquer les garçons. Les jeunes comme les moins jeunes d'ailleurs. Je me suis mariée il y a peu plus pour faire taire les rumeurs que par conviction. Mon job de secrétaire porte en lui ses indétrônable fantasmes masculins. Que peut on dire d'une femme mariée sans attirer les foudres de son mari ? Alors je profite de cette condition et d'un mari absent, bien qu'aimant. Il lui manque, dans nos étreintes amoureuses, cette fougue qui transcende les corps. Et malgré son jeune âge, le stress et la fatigue l'empêchent de me satisfaire. J'ai longtemps attendu qu'il s'endorme pour laisser mes doigts reprendre le contrôle de mon corps. L'excitation qu'il se réveille par un de mes gémissements étouffés dans l'oreiller, ou le besoin d'être satisfaite, tout simplement, je ne sais pas. Lors d'une soirée autour d'un verre entre amis, la solitude de voir des couples rentrer plus tôt pour je ne sais quoi, d'autre couples se former, certains se laisser aller en publique je me suis confiée à mon meilleur ami. Je lui ai avoué que je me sentais délaissée, insatisfaite. Il m'a alors ouvert les yeux.
"-Nicky, tu as 28 ans et tu veux te résoudre à ne plus t'amuser ?
-c'est pas l'envie qui m'en manque, mais je ne sais pas être infidèle
-crois en mon expérience, un peu d'ivresse et le bon calibre et tu ne sentiras rien arriver ! Je te connais toi et tes fantasmes, déjà au lycée tu me projetais tes nuits interminables à l'hôtel, ou dans les toilettes du bureau avec un collègue, ou est passée la Nicky aventurière ?"
Ces mots ont longtemps raisonné dans mon esprit avant de trouver un écho. Cette fameuse nuit où je lâche enfin les rennes. Ou toute ma féminité étouffée refait surface au plus grand plaisir d'un homme.
Il est 19h, plus personne dans l'open Space. Tout le monde a quitté le travail depuis au moins une heure. Je suis revenue pour une babiole : un châle oublié. J'y tiens particulièrement et je voulais avoir toutes les chances de le retrouver en retournant au travail dans la soirée.
J'arrive devant mon bureau et je ne l'y trouve pas. Je me pose alors 2 minutes en refaisant mon trajet de la journée. J'étais certaine de l'avoir en sortant du réfectoire. Mais oui! Je me souviens alors laissé dans le bureau de Philipe dans l'après midi lors de notre entretien. Je m'y rends sans grande conviction de pouvoir mettre la main dessus pour ce soir, persuadée que la porte du bureau sera fermée. Et pourtant, j'attrape mollement la poignée et elle laisse la porte s'entrouvrir. Mon châle a été déposé sur le porte manteau. Je l'attrape et le sens par habitude, comme pour me persuader que l'odeur de mon parfum est inépuisable. C'est alors que j'y sens une odeur étrangère, inhabituelle. Quelque chose que je ne saurais expliquer. Je conclus qu'il a dû rester sous un manteau toute l'après-midi qui lui a imprégné l'odeur de son propriétaire. Qu'importe, je m'apprête à ressortir, quand une idée me vient. L'occasion était rêvée pour jeter un coup d'œil dans les tiroirs du bureau, juste par curiosité. L'inconnu et l'interdit sont toujours autant excitant à cet âge. J'ouvre le premier tiroir, rien d'extraordinaire: des tonnes de paperasses, une agrafeuse, un bloc note.. J'ouvre alors le deuxième tiroir sans grands espoirs. Toujours des papiers. Je feuillette alors la pile et parmi les feuilles blanches, une forme anormale se dessine sur les rebords. Je le tire alors du tiroir et je resté bouche bée devant ce que j'ai dans les mains : une revue pornographique. La situation prend alors une tout autre dimension. La petite visite de curiosité devient affriolante de plus belle. Je décide donc de m'assoir, à l'affût du moindre bruit dans le couloir. Normalement je suis seule, mais visiblement les châles oubliés provoquent des découvertes. Je commence à feuilleter les pages légèrement froissées, sûrement après avoir été trop tournées. Ça me fait penser que je n'ai pas eu de rapports depuis des jours. Et le manque se fait sentir. Je me prends alors à rêver devant ces femmes qui se font désirer, à la poitrine généreuse, à l'intimité dévoilée et nombreuses fois visitée. Lentement, je sens ma main glisser machinalement vers mon entrejambe. Ce ne sera pas long. Juste quelques minutes. Le lieu est tellement excitant, je noie déjà le siège d'excitation, j'ai besoin d'assouvir cette pulsion montante. Mes doigts glissent alors sur mon clito et mes lèvres fort humides. Je n'ai pas besoin de chercher longtemps l'entrée ou mes doigts se font déjà attendre. Je les laisse patienter quelques secondes pour faire encore monter le désir. J'écarte doucement les jambes sous le bureau et de l'autre main je caresse lentement mon téton raide qui est désormais visible à travers mon chemisier blanc. Quelle idée de se masturber dans le bureau d'un collègue devant une de ses revues pornographique ? C'est sur ces pensées que la porte que j'avais laissée entre ouverte laisse entrer Philipe, un café à la main. Toute surprise je tente tout d'abord de cacher ma stupeur et de lui expliquer la situation. Intrigué pour sa part, il avance dans la pièce pour me rejoindre. J'avais rapidement dégagé ma main de sous ma jupe, mais je ne pouvais pas faire disparaître le magazine qui trônait sous mes yeux. Je cherchais désespérément une diversion quand je me surpris à tirer profit de la situation. Mon plaisir solitaire valait bien d'être partagé. Je devais seulement attendre que Paul repère que j'avais fouillé dans ses tiroirs. En espérant qu'il ne se braque pas.
C'est alors que ses yeux se posent sur les photos obscènes qui gisaient sur son bureau. Je le vis se décomposer un instant, avant qu'il me lance :
"-Tu sais que je pourrais te faire virer pour faute grave? Rupture de la confidentialité est un motif suffisant
-Je suis confuse Paul, ce n'est pas du tout ce que tu crois. Je cherchais simplement mon châle
Devant Philipe en colère, j'envisageais sérieusement la fuite et commençais à me lever pour me diriger vers là sortie. Il m'arrêta brusquement :
-tu comptes rentrer chez toi comme ça ? Tu n'as donc pas pris au sérieux mes menaces. Je déteste que l'on fouille dans mes affaires. Encore plus dans mon intimité."
Je lui faisais désormais face et je mourrais d'envie qu'il m'empêche de partir. La flamme dans ses yeux prenait une autre tournure. Je le vis traverser la pièce en trois enjambées et claquer la porte avec autorité. Je ne savais toujours pas où me mettre devant cette situation ambiguë. Même si je mourrais d'envie de prendre les choses en main dans tous les sens du terme, je percevais d'ici son désir de domination qu'il ne valait mieux pas frustrer. La tension était à son comble dans la pièce quand il voulu prendre place sur le siège que j'avais précédemment occupé. Et il aperçu alors la trace visqueuse que mon intimité avait laissé sur le siège. Je me pris alors à observer la bosse gonflante de son pantalon. Je savais que je ne le laissais pas indifférent. Je sais de toute façon que j'excite tous les hommes. Sentant mon regard brûlant ne pas quitter sa braguette, il prit place sur le fauteuil et dessera son noeud de cravate pour se mettre à l'aise. Les bras sur l'accoudoir il me fit signe de m'approcher, scrutant à son tour chacune de mes formes. J'aimais me sentir observée ainsi, tel un morceau de chaire, de viande fraîche, je voulais être dévorée. Sur le champ. Dans ce bureau, à cette heure tardive. Je voulais être infidèle. Ressentir l'excitation de main étrangère sur mon cul, sur ma poitrine généreuse qui ne désirait qu'être pelotée. Je la voyais déjà jaillir de mon soutien gorge trop étroit, exploser et rebondir à chaque mouvement. J'arrivais à sa hauteur, et machinalement me mis à genoux, et entrepris mon travail de femme, de suceuse. J'entrepris de libérer de ce pantalon ce sexe à l'étroit, et gonflé de désir. Il m'attendait fièrement et frémissant, soumis à ma langue joueuse. J'avais envie de le faire souffrir, de le torturer de plaisir. Je l'attrapai fermement et ma main et ma bouche d'experte s'affairant déjà à faire rugir Philipe. J'entendais des soupirs à chaque venue de ma bouche de son gland jusqu'au fond de ma gorge. J'avais rarement été aussi gourmande, autant savouré. Il glissait déjà ses main vers mes seins qui cognaient contre ses cuisses, et je le repoussai un instant, la frustration décuplant le désir. Il retenta de les saisir et je ralentissais les mouvements de ma main comme pour le punir. J'avais la situation en main.
J'avais envie qu'il me supplie de lui donner mon corps, tandis qu'il gémissait de plus en plus fort. Il attrapa alors mes deux gros seins pour les coller contre son membre plein de salive. Il le faisait désormais glisser entre les deux, remontant mes seins le plus haut possible. J'étais désormais son objet. Dans un élan il se leva et me retourna sur le bureau. La tête dans les papiers, il saisit mes fesses et me pénétra violemment. Il voulait me faire payer le prix de mon indiscrétion. Il voulait se faire plaisir, baiser bestialement. La situation renversée m'excitait tout autant. Je n'étais plus maîtresse mais soumise à ses pulsions de mâle, soumise à son sexe qui me pilonnait le vagin en heurtant violemment mes fesses en claquant. J'aurais aimé voir la scène de l'extérieur, voir son regard flambant, au bord de la jouissance. Je tournais alors la tête afin de voir, il me cria :
"Tourne toi salope ! Et crie plus fort !"
Alors qu'il empoignait mes cheveux pour plaquer mon visage contre le bureau, je ne me fis pas prier pour lâcher mes gémissement, mes plaintes, mes supplication pour qu'il continue à me défoncer en profondeur, qu'il me claque les fesses. Je me sentais vilaine et dieu que ça m'excitait ! Il me retourna ensuite et les jambes en l'air, il me faisait désormais face. Mes seins se cognaient l'un à l'autre à chaque assaut, et je sentais ses bourses cogner contre mes fesses. Je passais une main pour les caresser, pendant que l'autre jouait avec mon clitoris. C'en était trop pour que je retienne cet orgasme. Je me vis alors projeter la tête en arrière, écarter les jambes au maximum pour le laisser se vider à l'intérieur de moi, sentant le sperme chaud gicler contre les parois. Quelle jouissance extrême de s'abandonner ainsi à un collègue de bureau. Il venait de me baiser violemment sur son bureau. Je me rhabillais ensuite, sans aucune gêne, et je pris un malin plaisir à le croiser dans les couloirs, en me mordillant une lèvre. Je me voyais déjà le rejoindre dans son bureau, en pleine journée cette fois. Peut être un autre jour..
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histoire-hot · 6 years
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Ma voisine de palier.
Il était environ 19 h, il faisait encore très chaud car c'était l'été, je rentrais chez moi. Dans la rue où se trouve mon immeuble, j'aperçu à une trentaine de mètres devant moi, une femme qui avait des difficultés pour marcher correctement. Elle titubait un peu et se tenait aux façades des immeubles. Elle est arrivé quelques mètres avant moi devant la porte d'entrée et il fallait qu'elle s'adosse contre le mur pour ne pas tomber et elle cherchait ses clés.
Je reconnus ma voisine de palier et en me voyant, elle était gênée que je la vois dans cette état car elle avait bu et elle était saoule. Je dois dire que c'est la première fois que je la voyais dans cet état car c'est une femme bien, très jolie, la quarantaine, brune, cheveux mi-longs avec de beaux yeux bleus. Toujours bien mise et très élégante car elle mesure 1,70 m environ pour 60 kg et ce soir-là, elle portait une robe d'été très légère qui la moulait bien. Comme elle cherchait toujours ses clés, je me suis proposé d'ouvrir la porte et sans me regarder, elle se déplaça un peu. En ouvrant la porte, j'ai entendu un grand boum et en me retournant pour voir ce qui se passait, ma voisine de palier était tombée et essayait de se relever mais elle n'y arrivait pas. Elle s'était égratignée le front et le bout du nez et elle bredouillait quelques mots pour s'excuser de cette situation. Je me suis placé derrière elle pour la relever et je dois dire que ce n'était pas facile car elle se laissait aller comme un poids mort de fait de la boisson et du choc qu'elle avait reçu. Je réussis tant bien que mal à la relever et on est entré à l'intérieur de l'immeuble, on a traversé le long couloir qui mène aux escaliers en colimaçon.
Jusque là, tout allait à peu près bien mais ça s'est compliqué quand on a commencé à monter les escaliers. Il faut dire qu'il n'y a pas d'ascenseur car l'immeuble n'a que trois étages et nous habitons au deuxième étage ou il n'y a que deux appartements par étage. Je me positionnais derrière elle pour la maintenir et l'aider à monter ces marches et aussi pour ne pas qu'elle tombe en arrière dans les escaliers. Je la maintenais ferme et elle était pratiquement collée à moi, je me suis aperçu que j'avais les mains sur sa poitrine opulente et j'avais ses beaux seins fermes dans mes mains et entre mes doigts d'autant plus qu'elle ne portait pas de soutien-gorge sous sa robe très légère. Elle mettait une fine ceinture autour de sa taille fine, ce qui mettait en valeur sa belle poitrine opulente et ses fesses bien fermes et bien rebondies. Je dois dire que j'en ai profité et ça me procurait beaucoup d'effet je sentais ses seins durcir au contact de mes doigts et j'en profitais pour caresser ses tétons qui étaient devenus vraiment très durs et qui avaient grossis. En l'aidant à monter les marches et comme elle était collée contre moi, je sentais ses fesses bien fermes collées contre mon sexe qui était devenu très dur avec des proportions démesurées. Je bandais et je n'en pouvais plus car j'avais mal aux couilles qui avaient grossies suite à l'accumulation de sperme dans les bourses. Je ne pensais qu'à une chose: aller très très vite me branler pour me soulager et vider mes bourses pleines de liqueur d'amour.Je sentais à chaque mouvement, ses fesses et mon sexe qui allait se loger entre ses fesses et comme je portais un pantalon d'été très fin de saison, ce qui facilitait le contact.
Arrivés au deuxième étage, j'ai voulu la laisser devant sa porte avec une idée en tête, aller me soulager pour diminuer ce mal lourd qui venait de mes bourses trop pleines. Mais elle s'agrippa à mon bras et me tendit ses clés pour que je lui ouvre sa porte. C'est ce que je fis et elle voulait que je l'accompagne dans son appartement pour la sécuriser. Elle se dirigea dans sa salle de bain et sans rien dire elle s'assit sur le bidet et se mis à faire pipi , elle n'avait pas baissée sa petite culotte et je vis l'urine passée à travers le tissu. Je n'en revenais pas et à cette vue, ma bite était tendue comme un arc, et dure comme un morceau de bois. Je n'arrivais pas à détourner mon regard de cette vue qu'elle m'offrait et qui me donnait des frissons de partout. Je me baissai et lui enlevai sa culotte toute trempée et j'ouvris les deux robinets pour obtenir de l'eau tiède et ayant mis un peu de gel douche dans ma main et sur mes doigts, je commençai à la laver tout doucement. Elle était épilée et avait juste un petit triangle sur le pubis, c'était vraiment très très doux et chaque fois que je passai ma main sur son sexe et entre ses fesses, ça augmentait mon plaisir. Je la rinçai et l'essuyai puis je me suis redressé et là, je me suis aperçu qu'elle avait les yeux rivés au niveau de mon sexe et en jetant un oeil, je m'aperçu que j'avais une grosse tache au niveau du sexe car étant tellement excité, je ne me suis pas aperçu que le liquide séminal avait été propulsé hors de la fente de mon gland et s'était déversé contre les parois de mon pantalon.
Elle vit ma gène et avec un petit sourire, elle me débraguetta et libéra ma bite tendue et l'engloutie entre ses lèvres jusqu'à la garde. Je sentais sa bouche chaude et accueillante et sa langue qui s'agitait autour de ma colonne. Elle avait cette particularité qu'ont certaines femmes, c'est engloutir complètement le sexe et je sentais le fond de sa gorge s'ouvrir pour laisser passer mon gland, c'était magique. Je n'ai pas pu me retenir plus longtemps, je me suis tendu comme un arc et en poussant quelques râles, je me suis vidé complètement au fond de sa gorge par de longs jets qu'elle s'est empressée de tout avaler et ce jusqu'à la dernière goutte. Elle garda mon sexe dans sa bouche en lui donnant des coups de langue le long de ma colonne mais surtout sur mon gland et plus précisément surs sa fente en essayant d'y introduire le bout de sa langue et ainsi récupérer le restant de ma liqueur à l'intérieur.
Je me suis rhabillé et je l'ai aidé à se relever et on est allé dans sa chambre et elle s'est affalée sur son lit. .....
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