Je suis sensible et je l'assume. Je suis en symbiose avec mes émotions et je n'ai pas peur de vivre pleinement mes joies et mes peines.
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Séance 12 : Bilan du cours
Au terme de la session, j’ai bien apprécié le contenu du cours. Le monde des médias numériques est à la fois fascinant et inquiétant. C’est fascinant de voir où nous sommes rendus avec ces technologies. Quand on prend du recul et on explique de façon détaillée le fonctionnement d’une application comme Uber, ça sonne bel et bien comme ce à quoi notre idée du futur pouvait ressembler alors que nous étions enfant. Pourtant, ces applications font maintenant partie intégrante de notre quotidien et nous les prenons pour acquis.
C’est également inquiétant de voir à quel point nous sommes maintenant dépendant d’internet et à quel point nous savons peu de ce monde. Si demain l’internet connaissait un arrêt de service majeur je suis certain qu’une certaine forme de chaos s’ensuivrait. Plus tôt cet automne, je me souviens que Youtube a connu une panne majeure et a été hors-service pendant plusieurs heures et comme je suis un grand consommateur de contenu sur cette plateforme, je me suis senti un peu désemparé. Je me souviens également que lorsque j’ai emménagé dans mon nouvel appartement nous n’avons pas eu internet pendant quelques semaines et ça m’a fait du bien. Je crois qu’à l’ère du numérique on ne prend plus assez souvent la peine de se déconnecter.
De plus, les technologies numériques évoluent à un rythme effréné. Si bien que je pense que nous n’avons pas le temps de mesurer pleinement les impacts négatifs qu’elles peuvent avoir sur nos vies avant qu’elles deviennent obsolètes et remplacées par d’autres innovations. Ces technologies sont très intéressantes et de grandes avancées pour l’humanité. Je terminerais en disant que c’est important d’avancer, mais il faut faire attention de ne pas se perdre en chemin.
Pour une dernière fois, restez sensible mes amis. Xoxo
L’homme sensible.
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Séance 11 : Médias numériques et démocratie
Dans les dernières années, le taux de participation aux élections semble toujours être assez bas. D’ailleurs, on entend souvent que les jeunes sont ceux qui se déplacent le moins pour aller aux urnes. Je crois qu’il faudrait revoir notre système de scrutin pour le numériser davantage. En 2018, avec tous les progrès que nous avons fait dans le domaine du numérique, je ne crois pas que c’est tiré par les cheveux de dire que nous pourrions numériser complètement le mode de scrutin. Permettant ainsi à tous ceux qui ont accès à internet de voter dans le confort de leur foyer sur leur ordinateur ou leur téléphone intelligent. Je crois qu’un tel système permettrait d’augmenter le taux de réponse des électeurs et plus spécifiquement celui des plus jeunes. Bien que cette idée semble tenir la route certains disent qu’un tel système ne changerait rien. Manifestement, la politique doit s’adapter pour attirer les jeunes qui constituent l’électorat d’aujourd’hui et de demain. On commence déjà à voir quelques tentatives d’utilisation des médias sociaux à des fins politiques avec la campagne qu’a mené Québec Solidaire l’automne dernier. Leur utilisation des médias sociaux laisse présager ce que nous pourrons voir dans l’avenir puisque Québec Solidaire a réussi à faire beaucoup de vague chez les jeunes par le biais de leur contenu web qui a su se faire partager de façon organique. J’ai bien hâte de voir ce que l’avenir nous réserve avec le développement toujours de plus en plus poussé des réseaux sociaux comme un outil électoral autant pour les partis que pour les électeurs.
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Séance 10 : S’informer à l’ère de Google et ses médias sociaux.
Je ne sais plus où m’informer. Certes je ne suis pas la plus grosse bête d’actualité, ni le plus connaisseur de l’offre des services d’informations disponibles sur le web, mais reste que je ne sais plus où donner de la tête lorsque vient le temps de me renseigner sur ce qui ce passe dans le monde. À priori, je dirais que beaucoup de nouvelles viennent à moi. En effet, dans mon fil d’actualité sur Facebook, un bon nombre de nouvelles font leur apparition. Cependant, beaucoup d’entre-elles sont des faits divers, des nouvelles que je vois passer sans les lire puisqu’elles ne m’intéressent pas.
Sinon je vais sur les sites web des quotidiens québécois quand je cherche des nouvelles plus spécifiques, mais encore une fois les nouvelles qui m’intéressent sont très souvent noyées dans un lac de nouvelles inintéressantes. J’ignore si ce défaut est lié aux exigences qu’on ces plateformes à l’ère du numérique ou si c’est seulement moi qui est devenu trop cynique.
Quand je veux beaucoup de nouvelles à l’échelle internationale, je vais sur Reddit. Plus spécifiquement r/news. Là ce ne sont pas les nouvelles qui manquent. On y trouve beaucoup de choses très enrichissantes, mais on dit souvent loin des yeux loin du cœur. Beaucoup de nouvelles étrangères ne me sont pas particulièrement utiles à connaitre. Certes, je pourrais faire des recherches pour trouver une plateforme qui me convient mieux, mais à l’ère des fake news on dirait que c’est difficile de trouver une nouvelle plateforme et de ne pas avoir des doutes à savoir si elle est digne de confiance ou pas.
Si quelqu’un connait une application ou un site web digne de confiance qui tri pour moi les nouvelles en fonction de mes préférences, de ma localisation et de mes intérêts pour que je me fasse pas bombarder de fait divers de Saint-Agathe-Des-Monts sachez que je suis preneur.
Bonne semaine à tous les sensibles.
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Séance 9 : Culture 2.0 : la revanche des amateurs
Je crois que nous sommes très chanceux de vivre à une ère où la création de contenu n’a jamais été aussi accessible. Les web 2.0 donne l’occasion à presque n’importe qui de devenir un producteur de contenu médiatique. D’un côté, les outils n’ont jamais été aussi accessibles et de l’autre le nombre de plateformes disponibles pour diffuser les différents types de contenu n’a jamais été aussi grand. Aujourd’hui, il est possible de devenir une célébrité du web avec seulement son téléphone.
J’ai moi-même profité de cette disponibilité pour tester plein de formats pour exploiter ma créativité. Que ce soit la musique, Youtube, Twitch et j’en passe, ceux qui veulent créer du divertissement n’ont jamais eu autant d’option. Naturellement, il est difficile de se démarquer et d’en venir à monétiser son propre contenu. Seul une sélection restreintes de personnes réussissent que ce soit par leur talent brute, la chance ou encore un mélange des deux. Cela dit, celui qui décide de créer du contenu pour faire de l’argent et non par passion ne crée pas pour les bonnes raisons.
Nous avons la chance de vivre dans un monde où nous avons accès à pleins de plateformes pur s’exprimer. Des microcosmes fabriqués pour accueillir nos créations et ce, sans avoir à passer par les filtres d’une boite de production, sans voir notre vision transformer pour la rendre plus profitable. Pour moi, cette nouvelle ère culturelle est quelque chose de formidable et j’invite tout le monde à trouver sa voix dans ce nouvel écosystème virtuel.
N’ayez pas peur d’être sensible mes amis. xoxo
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Séance 08 : L’éthique des réseaux
L’avènement de l’internet à faciliter l’accès à la culture de manière sans précédent. Il n’a jamais été aussi facile d’écouter de la musique, des films, des séries télévisés et j’en passe. Les gens qui ont accès à internet ont accès à un océan gigantesque de contenu. Toutefois, un accès aussi facile à autant de contenu ne profite pas à tous. Bien entendu, pour le consommateur c’est incroyable. Cependant, certaines industries souffrent énormément de cette transition. L’industrie de la musique en fait partie. Nous avons atteint un stade ou les ventes de copies physiques sont presque disparues. Celles-ci ont été remplacées par les téléchargements illégaux et les plateformes de «streaming» comme Spotify, Apple music, Tidal, etc.
Encore une fois accéder la musique d’un artiste gratuitement ou à un faible coût mensuel est très avantageux pour le consommateur, mais pour les artistes c’est devenu plus difficile de monnayer leur musique. Certes, leur visibilité est augmentée et la diversité de l’offre musicale n’a jamais été aussi grande, mais pour vivre de leur art la donne a changée énormément. Les plateformes de «streaming» ne donnent que de maigres redevances aux artistes et c’est sans parler des milliers d’utilisateurs du site YouTube qui publie sur leur chaine les chansons d’un artiste sans leur consentement.
C’est à ce demander si l’on ne devrait pas exiger aux plateformes de «streaming» de mieux rémunérer les artistes qui remplissent leurs bibliothèques musicales et si on ne devrait pas revoir nos lois pour enrayer de façon plus efficace des sites web comme thepiratebay.org qui survivent encore et permettent au public de télécharger gratuitement des milliers d’œuvres normalement payantes.
Ça me fait réfléchir, et je me surprend parfois à verser une larme pour tous les artistes qui se font flouer par ce phénomène.
Restez sensible mes amis. xoxo
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Séance 06 : L’identité dans un monde d’avatars.
Sur beaucoup de sites web, notre vraie identité est cachée derrière un masque. Celui-ci peut être un avatar ou encore un nom d’utilisateur. Dans certains cas, notre identité est bien à la vue comme sur des sites comme Facebook, mais dans d’autres cas les autres utilisateurs n’ont aucune façon de nous identifier. Cet anonymat comporte certainement des avantages. Cependant, cet anonymat peut parfois faire ressortir le mauvais côté de certains individus. En effet, je crois que l’anonymat peut faciliter l’extériorisation de certaines idées plus controversées. Puisque ces idées sont polarisantes, peu de gens osent les partager à voix haute. Il suffit de jeter un coup d’œil aux commentaires sur Youtube. Les utilisateurs y sont très souvent très irrespectueux les uns envers les autres et envers les créateurs de contenu. On y retrouve souvent du sexisme, du racisme, de l’homophobie et j’en passe. Alors que ces comportements sont très mal vus dans la vraie vie, ils sont bel et bien présents en ligne. Ce phénomène observable sur certaine plateforme où les utilisateurs ont un pseudonyme est encore pire sur des plateformes où les utilisateurs sont complètement anonymes. Le site 4chan.org est un exemple de cela. Ce forum anonyme est reconnu pour être un endroit où les idées d’extrême droite sont très présentes. Cela me porte à croire que plus un individu est anonyme, plus il se sentira à l’aide de partager le fond de sa pensée aussi sombre qu’il soit.
Sur ce, restez sensible mes amis. Plein d’amour à tous et à toutes.

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Séance 04 : angoisses et vertiges du numérique

L’avènement de l’ère numérique et la démocratisation de l’accès aux nouvelles technologies est selon moi quelque chose de formidable. L’information n’a jamais été aussi accessible à tous par le biais de l’internet. Nous portons sur nous des téléphones intelligents qui nous permettent d’accéder en tout temps à d’innombrables ressources pour s’informer, apprendre et faciliter notre quotidien.
Cependant, ce phénomène possède une face cachée. Avec le temps, l’internet est devenu un outil de prédilection pour la radicalisation de certains individus. Cette radicalisation peut éventuellement mener l’individu à poser des gestes violents pouvant mettre sa vie ou celle des autres en danger. En effet, un rapport de l’UNESCO rapporte qu’«Internet et plus précisément les médias sociaux jouent le rôle d’intermédiaires dans le cadre de processus plus larges de radicalisation violente.» (UNESCO, 2017) Cette radicalisation peut être causée par les algorithmes des différentes plateformes telles que Facebook, Youtube, Twitter, etc. Celles-ci utilisent ces algorithmes pour recommandé et présenté du contenu qui s’agence avec les intérêts de la personne. Ainsi, si une personne manifeste un intérêt pour des mouvements d’extrême-droite se retrouve à se faire suggérer de plus en plus de contenu de ce genre. Cela crée un effet de chambre d’écho. La personne ne voit que du contenu qui valide ses points de vue d’extrême-droite plutôt que de voir tous les côtés de la médaille, ce qui est très polarisant.
Pour ma part, je peux observer ce phénomène d’endoctrinement à une plus petite échelle. Dans les élections provinciales, je suis d’allégeance Québec Solidaire. Or, j’ai remarqué récemment que dans mon fil d’actualité je n’ai aucun contenu provenant des autres partis je ne vois que du contenu pour Québec solidaire. Bien que sans danger de radicalisation. Mon Facebook s’est transformé en chambre d’écho. Peut-être que si j’avais eu plus de contenu des autres partis ma décision aurait-été plus nuancée.
Soyez prudent sur les internets, vous ne voyez pas nécessairement tous les côtés de la médaille. N’oubliez pas de vous renseigner sur les enjeux importants et de ne pas vous arrêter à une seule source.
Sur ce, restez sensible.
L’homme sensible.
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