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Avec l'esprit ouvert allons en avant
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Homme 61 ans
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i-follow-me921 · 12 hours ago
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Une visite immersive vers un sous seins privé.
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O. jeta un dernier coup d’œil anxieux au salon. Sur le canapé bleu, les coussins repositionnés avec soin, les objets compromettants rangés. Presque tous. Il avait hésité longtemps sur le placard du couloir : fermer à clé aurait éveillé la curiosité, laisser ouvert était risqué. Il avait opté pour un compromis bancal : ranger, dissimuler, prier.
La sonnette retentit.
— Bonjour ! lança l’agent immobilière en entrant, cheveux attachés en une queue stricte, talons nets sur le parquet. J’espère que vous allez bien, je vous présente les visiteurs : Clémence et Éric.
Le couple souriait, détendu, regard curieux. Clémence, rousse pétillante aux yeux perçants, tenait son téléphone prêt à immortaliser chaque recoin. Éric, discret, avait ce calme troublant de ceux qui observent tout sans rien dire.
La visite commença. Tout semblait fluide. L’agent débitait ses phrases rodées : exposition, traversant , immeuble bien entretenu. O. hochait la tête à intervalles, répondant mécaniquement. Jusqu’à ce que…
…la sonnette retentisse une seconde fois.
Son sang se glaça. Il ouvrit.
Maîtresse V.
Elle était là, bien réelle. Implacable. Tailleur noir satiné, lèvres rouges comme une menace, regard vertical. Elle entra sans attendre d'invitation.
— J’avais envie de voir… à quoi tu occupais ton temps, murmura-t-elle à O., si près qu’il sentit son parfum, sur sa peau.
— C’est… c’est une visite pour la vente de mon appartement…
— Et tu pensais m’annuler pour ça ?
Elle se tourna vers le couple et l'agent, prit un ton polie et charmeur.
— Bonjour. Je suis une proche du propriétaire. Très proche.
Un silence. L’agent sourit, un peu crispée.
— Bien sûr… Nous allions passer à la chambre.
— Parfait, répondit Maîtresse V. avec un sourire glacial.
Dans la chambre, Éric posa quelques questions techniques. Clémence ouvrit le placard du couloir par réflexe. Et là, tout bascula.
Un accessoire de cuir noir mal rangé. Une laisse repliée. Un collier gravé "O.", visible malgré les chemises suspendues. Et sur l’étagère, un petit sablier orné de chaînes miniatures. Inutilement décoratif. Inexplicablement révélateur.
Clémence resta figée une seconde. Puis referma lentement.
— C’est… un placard intéressant.
Maîtresse V. s’avança, croisant les bras.
— Il a ses passions. Que j’encadre avec rigueur.
L’agent eut un rire nerveux.
— On voit de tout, dans ce métier…
— Vous avez l’air tendue, lui glissa Maîtresse V. d’un ton amusé. Peut-être que l’idée vous trouble… ou vous intrigue ?
Elle s’approcha d’O., caressant son cou du bout de l’ongle.
— Il est à moi.
Un instant de flottement. Puis Éric s’éclaircit la gorge.
— C’est… original. Mais… et très honnêtete de votre part.
Clémence croisa les bras, un sourire en coin.
— Et puis… il est plutôt charmant, je l'imagine agenouillé. C’est presque de l'art.
L’agent immobilière se reprit. Elle sourit plus franchement.
— Je suppose qu’on peut… intégrer ça au cachet du lieu.
— Vous n’êtes pas choqués ? balbutia O.
Maîtresse V. eut un éclat de rire.
— Pourquoi le seraient-ils ? Tu crois que le monde est peuplé d’âmes pures et prudes ?
Elle s’approcha de Clémence.
— Vous avez l’œil et une curiosité intéressante.... Et sûrement une pointe d’autorité ?
Clémence haussa un sourcil, puis attrapa le collier resté visible dans le placard. Elle le fit tinter entre ses doigts.
— Il se porte comment ?
— Agenouillé. Nu. Muet.
Clémence se tourna vers O.
— Et toi, tu serais prêt à nous montrer ?
Il cligna des yeux, déglutit.
— Ici… maintenant ?
L’agent immobilière ferma discrètement la porte de la chambre.
— Je ne vois pas l’intérêt de perdre un si… beau potentiel d’ambiance. Et j’ai toujours aimé les visites immersives.
Éric s’assit calmement sur le bord du lit, observant O. avec un intérêt nouveau.
— Retire ta chemise, dit Maîtresse V. Puis non, laisse-les faire plutôt.
Clémence s’avança. Lentement. Elle déboutonna O. comme on déballe un jouet précieux. L’agent l’aida à retirer ses chaussures. Maîtresse V. lui attacha le collier autour du cou, lentement, comme on signe un contrat.
— Voilà. Maintenant, dis-leur à qui tu appartiens.
O., en sous-vêtements, le regard vers le sol :
— Je suis à Maîtresse V.
— Et aujourd’hui, tu es un peu à nous aussi, dit Clémence puis ajouta: Du moins le temps d’une offre.
Le sablier du placard fut retourné par Éric. Les grains coulèrent doucement.
— Disons que la négociation commence maintenant.
Le claquement sec du sablier résonna doucement dans la chambre. Tous les regards étaient braqués sur O., torse nu, à genoux, le collier noir autour du cou. Son souffle était court, le rouge de ses joues contrastait avec le silence pesant dans la pièce. Clémence tenait encore le fermoir du collier entre ses doigts, comme si elle venait de sceller un pacte.
— Tu as l’air… docile, murmura-t-elle, le regard planté dans celui de Maîtresse V.
C'était un échange silencieux, parcouru d'un frisson de complicité.
Puis Clémence tourna légèrement la tête vers Éric :
— Rappelle-moi, mon cœur… que fais-tu quand une femme prend le dessus dans une pièce ?
Éric, toujours assis sur le bord du lit, inclina la tête en signe de soumission. Ses mains se croisèrent sur ses genoux. Il ne dit rien.
— Il est bien éduqué, souffla Clémence, l’air presque absent. Mais il a toujours besoin d’être remis à sa place quand d’autres dominatrice sont là. Pas vrai ?
Maîtresse V. sourit, amusée.
— Une jolie paire de soumis. Tu crois qu’ils sont capables de se supporter dans la même pièce sans chercher à se comparer ?
— Non, répondit Clémence, narquoise. Mais c’est à ça que servent les dominatrices, à recadrer, les exposer et parfois à partager.
L’agent immobilière, jusqu’ici en retrait, intervint avec une autorité inattendue. Elle tapota son carnet contre sa main et dit :
— Bien. Voilà ce que je propose. Pour que cette "visite immersive" soit complète, nous allons considérer que les deux couples présentent leur bien respectif. L’une offre son appartement… l’autre, sa servilité.
Un silence.
— Je vous invite, mesdames, à faire une démonstration conjointe. Que vos soumis s'exhibent. Que les lieux parlent à travers eux. Et moi, je m’occuperai… de la scénographie.
Maîtresse V. s’avança, tourna autour de son O. comme une lionne autour de sa proie. Ses talons claquaient doucement sur le parquet. Elle s’adressa à l’agent sans la regarder :
— Si vous nous donnez carte blanche…
— Faites. Je suis curieuse et ce lieu mérite qu’on resente bien son potentiel…
Clémence claqua des doigts. Éric se leva, se plaça spontanément à côté d’O., puis se mit à genoux. Il n’eut pas besoin d’un mot. Il connaissait sa place.
— Regardez-les, dit Clémence à voix basse. Deux mâles, deux rôles, et pas une once de doute. Ils savent que leur valeur est dans l’obéissance. Dans le silence.
Maîtresse V. attrapa le menton d’O., le força à relever les yeux.
— Tu as voulu m’effacer aujourd’hui. Et tu finis à genoux, exposé, comparé, observé. Tu sens le regard des femmes sur toi ? Tu sens leur autorité imprégner ton esprit ?
O. hocha la tête, le souffle tremblant. Il voyait Clémence s’agenouiller légèrement pour murmurer dans l’oreille d’Éric, puis glisser sa main dans ses cheveux, lentement.
— Montrez-nous ce qu’ils peuvent faire, souffla l’agent, d’une voix presque rauque. Je veux voir comment vous les utilisez. Comment vous habitez l’espace à travers eux.
Clémence attrapa une ceinture en tissu accrochée à un peignoir dans la penderie. Elle fit glisser le lien entre ses doigts, puis l’enroula autour du cou d’Éric comme une laisse improvisée.
— Avance. Lèche moi, entement.
Éric obéit sans un mot, vint à quatre pattes, glissa sa tête sous la jupe de sa maîtresse et sa langue s'exécuta.
Maîtresse V., quant à elle, fit se relever O. d’un claquement de doigts.
— Debout et retire le reste de tes vêtements.
Hésitation. Un bref regard vers l’agent. Elle ne dit rien. Elle observait, comme une commissaire d’exposition face à une œuvre qui s’anime.
O. abaissa lentement son pantalon, puis son sous-vêtement. Nu, offert, vulnérable.
— Mains sur la tête, ordonna Maîtresse V. Buste droit. Jambes écartées. Parfait. Et maintenant… dis qui tu es vraiment.
— Je.... je suis ta petite salope.
— Plus fort.
— Je suis ta petite salope.
Clémence se déplaçant lentement, contourna Éric toujours à genoux, passa près de l’agent immobilière, puis se pencha vers O., observant ses fesses, son dos, son port de tête.
— Ce modèle me plaît. On sent la discipline… mais aussi la peur. C’est une belle matière.
— Il est à moi, précisa V. sans ciller.
— Je ne conteste pas. Je commente. Je m’imprègne.
L’agent nota quelque chose dans son carnet.
— Je propose qu’on poursuive dans le salon. Pour voir comment la lumière se pose sur leurs corps quand ils sont à genoux. Cela aide toujours à se projeter dans un espace.
Maîtresse V. sourit.
— Avec plaisir.
Clémence tendit la "laisse" d’Éric à l’agent, qui la prit sans ciller.
— Je vais prendre le relais, proposa-t-elle. Je veux tester sa docilité.
Éric frissonna.
La visite reprenait. Mais cette fois, ce n’étaient pas les murs qu’on inspectait. C’étaient les âmes. Et les chaînes invisibles qui les reliaient à leurs reines.
Le salon baignait dans une lumière douce, tamisée par les grands voilages blancs. L’atmosphère, pourtant, était lourde de tension érotique. Clémence guida O. par le collier, tandis que Maîtresse V. avançait avec une lenteur souveraine. Derrière, l’agent tenait toujours la laisse d’Éric, le regard concentré, presque professionnel, comme si elle supervisait un shooting immobilier très… particulier.
— Placez-les côte à côte, ordonna-t-elle, en indiquant le grand tapis devant la fenêtre. À genoux. Dos droit. Regard baissé.
Les deux hommes s’exécutèrent en silence, nus, vulnérables, le dos tendus.
— On sent une belle complémentarité, commenta Clémence. Deux styles, deux disciplines… mais une même docilité.
Maîtresse V. croisa les bras et dit froidement :
— Il manque quelque chose.
Elle fouilla dans son sac, en sortit un petit étui noir qu’elle posa sur la table basse. Elle l’ouvrit lentement. À l’intérieur : une cage de chasteté d’un rose bonbon provocant.
— Debout, ordonna-t-elle à O. Montre-leur pourquoi tu portes ça.
O. se leva, le sexe frémissant sous la pression de l’exposition, jusqu’à ce que Maîtresse V. empoigne délicatement sa virilité et y glisse la cage, refermant le dispositif avec un petit clic sec.
— Voilà. Ce n’est pas qu’un objet de contrôle. C’est un symbole. Il n’est à personne… sauf à moi.
Clémence s’approcha et passa lentement un doigt sur la cage, l’effleurant du bout de l’ongle.
— Charmant. Tellement… ridicule. C’est parfait.
— soubrette ? Questionna Clémence avec un sourire.
V.. ouvrit le placard de l'entrée, en sorti la valise metalique remplie des accessoires de leurs jeux habituels, la posa sur la table du salon et proposa à Clémence de faire son choix. Elle en sortit une tenue de soubrette, un porte-jarretelle noir, une paire de bas de même couleur, un petit serre-taille rose et un string en satin.
— Tu me donnes des idées.
Elle lança un regard à Maîtresse V.
— Tu me laisses le relooker ?
— Fais-toi plaisir.
Quelques minutes plus tard, O. était méconnaissable. Il arborait une silhouette grotesquement féminisée. Le string ne cachait rien de la cage qui emprisonnait son sexe. Le serre-taille le forçait à se tenir cambré.
— Montre nous bien ta tenue, tourne sur toi-même ma petite salope.
O. obéit, sous les rires feutrés des trois femmes. L’agent immobilière siffla doucement.
— Il est… étonnamment à l’aise.
— je suis sur qu'il en crève d’envie depuis toujours, murmura V.
Clémence posa une main sur l’épaule d’Éric, toujours agenouillé, sage.
— Tu vas jouer toi aussi, mon amour ?
— Oui, Déesse.
Elle sourit, ravie, et se tourna vers l’agent :
— Il y a… un strapon ici, n’est-ce pas ?
Maîtresse V. répondit souriante :
— Évidemment, tu le trouveras dans le placard, derrière les chemises. Un bleu, un réaliste et un violet vibrant pour les jours de fête.
L’agent sourit, presque admirative.
— Vous êtes une femme prévoyante.
Quelques instants plus tard, Clémence bouclait un harnais noir autour de ses hanches, le godemichet translucide dressé entre ses cuisses. V. fit de même, choisissant le bleu. Les deux dominatrices s’observèrent, puis croisèrent leurs regards avec une complicité non feinte.
— Mets-toi à quatre pattes sur le canapé, ordonna V. à O.
— Toi aussi, dit Clémence à Éric. Qu’on puisse comparer vos réactions.
O. grimpa, tremblant, offrant son fessier cambré. Éric s’installa à côté, avec ce même abandon silencieux.
L’agent immobilière, debout à côté de la table basse, ouvrit à nouveau son carnet. Elle commença à noter calmement, entre deux gorgées de thé glacé :
— Belle harmonie de formes. Bonne soumission. Il faudra peut-être revoir l’acoustique si les cris sont trop forts.
— Oh, il va y avoir du bruit, souffla V. avec un sourire de prédatrice. Ils vont gémir, supplier… peut-être pleurer un peu. Mais ils le veulent. Ils vivent pour ça.
Elles se partagérent le flacon de lubrifiant et les gémissements commencèrent quand le strapon de Clémence frôla les fesses d’Éric, lentement. De l’autre côté du canapé, V. tapota doucement l’intérieur des cuisses d’O.
— Écarte mieux. Montre à tout le monde à quel point tu es déjà prêt.
Puis, elle entra en lui, lentement, fermement, sans laisser place à l’évasion.
Clémence suivit, en cadence, pénétrant Éric avec une douceur cruelle, se cramponnant à ses hanches.
Les deux soumis haletaient, cambrés, soumis à l'exposition autant qu'à la pénétration. Les coups de reins saccadés faisaient trembler le canapé. Les deux femmes, en rythme, dominaient la pièce. Corps contre corps, volonté contre chair.
Et l’agent, les yeux brillants, notait encore :
— J’ajouterai : grand potentiel de mise en scène. Idéal pour résidences dominantes, ou location libertine de luxe.
Elle releva la tête, le ton calme, professionnel :
— Ce bien mérite une estimation… particulière. Peut-être même un second passage. Si la démonstration continue ainsi.
Le silence revenu était moite. Deux corps encore haletants, à quatre pattes sur le canapé, jambes tremblantes, sexes enfermés ou flasques, visages rougis d’effort, de honte, de jouissance contenue.
Maîtresse V. croisa les bras et contempla la scène. Elle retira lentement le harnais de ses hanches, puis alla s’asseoir, jambes croisées, sur le fauteuil club, avec une grâce calculée. Clémence fit de même, légèrement décoiffée, les joues encore roses d’excitation.
L’agent immobilière, elle, n’avait pas bougé de sa place. Elle referma son carnet dans un petit claquement sec, puis leva les yeux vers les deux dominantes.
— Voilà. Nous avons vu le potentiel des lieux. Testé l’insonorisation, évalué les volumes… et même l’intimité du mobilier.
Clémence sourit, tout en caressant distraitement les fesses d’Éric, maintenant agenouillé à ses pieds.
— Et donc, combien pour… ce terrain de jeu ?
— Je pourrais vous proposer une estimation classique, répondit l’agent, l’air parfaitement sérieuse. Mais nous savons toutes que ce n’est pas un bien ordinaire. Il faut un prix à la hauteur de sa vocation.
Elle posa son stylo, regarda successivement V. et Clémence.
— Vous vouliez vendre, Madame ? lança-t-elle à Maîtresse V. Enfin, au propriétaire supposé — elle désigna O. d’un léger mouvement de tête — mais je crois qu’il est clair que vous gérez ce lieu.
— Je le vends s’il part entre de bonnes mains. Avec les bons usages.
— Et les bons rituels, ajouta Clémence en riant.
L’agent hocha la tête.
— Je propose donc… une transaction en trois temps.
Elle sortit une fiche de son carnet et la lut à voix haute :
> Prix de base : 200 000 €
Remise possible :
– Si le "propriétaire" s’excuse à genoux d’avoir voulu échapper à sa Maîtresse : -10 000 €
– Si les deux soumis donnent un baiser de soumission à leurs maîtresses respectives devant témoins : -15 000 €
– Si le string rose reste dans les tiroirs et que l’appartement est vendu meublé & équipé BDSM : -20 000 €
– Si O. offre un dernier service à l’agent, ici, maintenant, un baiser cibler sur mes lèvres verticale à genoux : négociation finale ouverte.
Maîtresse V. se pencha légèrement en avant, le regard brillant.
— Je valide toutes les conditions… sauf la dernière. Ça, c’est ma prérogative.
O. redressa doucement la tête, le regard perdu entre la honte et l’excitation.
— Tu entends, ma salope? demanda V. o' va faire baisser le prix de ce lieu de ton humiliation mais pas totalement. C’est ton petit patrimoine… mais j'en veux une partie, tu vas me le verser avec ta bouche.
V.. s'asseya calmement sur une chaise en face de lui et écarta les jambes.
— À toi de voir, mon petit vendeur. Moi, je suis prête à valider l’offre… à condition que tu t’appliques.
Clémence tapota doucement la cage rose de O.
— Ce serait une belle manière de clôturer cette visite. Une dernière démonstration. Une petite signature orale, dirait-on.
O. baissa lentement la tête, puis rampa jusqu’à V.. Il s’agenouilla entre ses cuisses, les mains posées sur ses propres genoux, et demanda d’une voix douce :
— Je peux vous servir, maîtresse ?
Elle le regarda de haut, se lécha distraitement les lèvres, puis murmura :
— Avec application. Et sans négocier. Le plaisir, c’est moi qui le négocie. Toi, tu offres.
Le contrat allait être scellé.
Et l’appartement… vendu.
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i-follow-me921 · 16 days ago
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i-follow-me921 · 21 days ago
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Ohhhh Yeeeees Mommy, i was a very naughty boy!!!!
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i-follow-me921 · 21 days ago
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Oh Thank you Mommy for you treat
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i-follow-me921 · 1 month ago
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i-follow-me921 · 1 month ago
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The Benefits Of Getting Spanked
The Benefits Of Getting Spanked
Many people believe that if someone likes to get spanked, it is all sexual. That is not the case all the time. Even though getting spanked has some sexual effects or enhances sexual arousal, there are many non-sexual benefits from getting spanked. What can spankings do for you?
1. Getting spanked relieves stress.
2. Getting spanked is calming.
3. Getting spanked generates endorphins and puts you in a euphoric state.
4. Getting spanked generates adrenaline and gives an adrenaline rush, especially if you are anticipating getting a very harsh one.
5. Getting spanked lifts moods. Russian psychiatrists have found success in treating depression with bare butt whippings.
6. The marks left from getting spanked is like an art of its own.
7. For some, it can restore feelings of youth.
Don’t be ashamed of getting spanked, enjoy it! For those who never tried it in your adult years, give it a try. You never know, you may like it.
Rodney Calmes
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i-follow-me921 · 1 month ago
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What is Female Led Relationship?
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A Female Led Relationship has many terms associated with it like FLR, Femdom, Female Domination, Mistress slave, D/s dynamic and sometimes even BDSM.
An FLR (Female Led Relationship) is a consensual agreement between a man and woman that the woman in the relationship will lead and the man will play a supportive role. She can make the final decisions in the aspects she wishes to take control of. Her comfort, fulfillment and satisfaction are given priority in the relationship.
The above definition captures various themes in a female led relationship and thus, each word and phrase should be paid attention to.
Characteristics of a Female Led Relationship –
It is a consensual relationship.
Some people think that the woman has all the power and thus, the man is helpless. This is not the case. The FLR ends when either one withdraws their consent. The woman cannot dominate if the man does not submit, the man cannot serve if the woman does not dominate.
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She will make final decisions in the aspects she wishes to take control of.
This is very important to understand. As a woman, if you are getting into a Female Led Relationship, you do not need to take control of all the aspects. Nothing could be further from the truth. It might be the case that your man is kinky and he has asked you to control certain things that are overwhelming, but you do not need to comply with all of that immediately. He might have expressed that you can control each and every thing about his life, but you need to go at your pace and you need to decide the aspects you want to control. You should only take charge of the aspects you’re comfortable taking charge of. For example, many women find it easy to begin with taking control of their sex lives. Having sex only when you want to have sex is an easy thing to do. It is made easier by the fact that men tend to comply more easily with sexual commands as compared to other commands. Another example is taking charge of household aspects. For example, she might delegate dusting and cleaning, as they are not difficult skills to learn for someone who has not performed these actions in the past and are easy to delegate. However, the point is that you should only take control of the things that you want to take control of. Do not feel pressured for any extra responsibilities.
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Her comfort, fulfillment and satisfaction are given priority in the relationship.
In an FLR, the woman is the one who is in focus. Her comfort is of utmost importance. The man must strive to make her feel at ease. Since he is in a submissive and supportive role, he willingly makes efforts to make sure that the woman is feeling fulfilled. Her satisfaction is not limited to physical satisfaction but her emotional and mental satisfaction as well are equally important. For example, the man constantly reminding her that he loves her dominance, or, he loves the way she takes charge, etc. will boost her confidence and make her feel better in her role.
The man will play a supportive role.
The man in a Female Led Relationship refers to himself as the submissive, slave, servant, pet, etc. Do not get overwhelmed by these terms. For a vanilla person, these terms being used for a human might sound a little too strong. But for now, just ignore the nomenclature and understand the role. The man derives satisfaction in serving his woman. He has accepted the fact that the woman is in the lead. He will need to abide by her decisions. It does not mean that he has no say. It just means that his input would be considered while deciding but the final decision might be different from his expectations. The final decision-making would only be in terms of the aspects she had decided to take control of. Other decisions can be taken mutually or she can delegate the responsibility to her man. For example, she might decide to just have oral sex even if her man wants PIV (Penis in Vagina Sex), or, she might decide to go to a European restaurant even if her man wanted to eat Mexican, or she might decide the final itinerary of the vacation after using the research her man has done for her. In all the cases, the man accepts her final authority and plays a supportive role.
Why Female Led Relationship?
A Female Led Relationship is usually introduced by a man to his woman. An FLR can be very fulfilling for both parties in the relationship. Women are probably more emotional creatures than men. A female led relationship allows her to get more emotional fulfilment. She feels more heard in the relationship. She feels more cared for.
Since the man is in a submissive role, he prioritizes his woman and takes care of her in every situation. The man might call himself a slave, but rather he’s a gentleman. The slave term is used just because of the fact that a gentleman can disobey his woman but a slave never will.
When a man sees that he is able to keep his woman happy and satisfied, it boosts his masculine ego and makes him more confident as a partner.
An FLR can be very fulfilling emotionally. Moreover, FLR has a lot of kinks to play with such as tease and denial, domestic discipline, chastity, etc, which adds to the fun and increases physical satisfaction as well.
Thus, an FLR can lead to improved intimacy, reduced conflicts, and increased satisfaction.
Misconceptions in a Female Led Relationship?
Below are some of the misconceptions in a Female Led Relationship.
She has to make the decision regarding everything.
She has to micro-manage everything.
He is caged, denied and spanked all the time.
The man is beta and worthless, and has no self-respect.
The woman should have multiple partners.
The woman is strict and a bitch 24/7.
The woman has to dress in sexy clothes and shout orders.
None of this (and any related scenarios that you can think of) has to be true. A female led relationship is all about her happiness and satisfaction. Thus, whatever she feels fit would be implemented with the man’s consent.
How to start and FLR?
Short answer – Start slow.
Discuss the interests and boundaries with each other. Write a list of fantasies for your partner. Get to know more about their expectations.
Grow slowly. Ask for feedback. Most importantly, communicate! I cannot stress enough.
COMMUNICATE!
You cannot grow if you do not talk. Do not assume expectations or reactions in your head. If you both had a spanking session, do not assume that you both will be fine after some time. The woman can experience “Dom Drop” or the man can experience “Sub Drop”.
Or, the man might be more willing to jump into the kinks while the woman might still be adjusting to the dynamic. The man can feel disappointed in this case due to the slow pace. He should communicate his expectations and the woman should communicate her hesitations in this case.
Just talk about everything.
Moreover, when getting started, the man should not push the woman to dominate more. He should let her grow at her pace. He should always be supportive and should not try to manipulate her into dominating more or incorporating certain kinks and fetishes.
The woman can start with mini tasks such as “get me a glass of water” or “pick me up at 7” or “take out my heels” and then slowly extend to “Do the dishes” or “Clean the washroom” or “You aren’t going out with the boys, you’re staying home with me”. It is all about getting into the comfort zone.
Conclusion?
Remember, a Female Led Relationship is about empowering the woman. She should be comfortable in being herself. The man should not try to change her but he should embrace her for who she is.
An FLR focuses on her pleasure but it does not mean that his pleasure holds no importance. It is just that her pleasure is prioritized over his.
If you are just starting out, do not feel overwhelmed by so many hardcore articles online. If you have reached flrindia.com, you have reached the best source on the internet for educating yourself about Female Led Relationships.
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i-follow-me921 · 1 month ago
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i-follow-me921 · 1 month ago
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i-follow-me921 · 1 month ago
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i-follow-me921 · 1 month ago
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i-follow-me921 · 1 month ago
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i-follow-me921 · 2 months ago
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i-follow-me921 · 2 months ago
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i-follow-me921 · 2 months ago
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50 jours mon amour
Hier mon mari a atteint les 50 jours d'abstinence de jouissance sexuelle. Il n'avait jamais atteint une telle performance et je suis trés fière de lui. Cette expérience a renforcée ma conviction que les hommes ont leur comportement dépendants de leur libido. Ces derniers temps, il ne fut jamais aussi serviable, amoureux et attentif. Je n'avais même plus à lui demander quoique ce soit puisque il répondait à tous mes désirs avant que je les exprime Sur le plan sexuel, sa queue avait atteint une vigueur incroyable avec cependant beaucoup de difficulté à retenir sa jouissance. Je conseille à toutes les femmes : fruster votre mari sexuellement et il vous mangera dans la main.
Ces 50 jours d'abstinence méritait donc une récompense à la hauteur de ce record. Mais je tenais à le prendre par surprise. Après ma journée de travail, en rentrant chez moi, je le laissai d'abord garder les bonnes habitudes. Je plongeai dans le canapé les jambes posées sur la table basse pour qu'il vienne me déchausser. Il me fit couler un bain. Quand tout était prêt, il m'invita à rejoindre la salle de bain pour me retirer mes vetements délicatements. Une fois complètement nue, je m'allongeai dans la baignoire pour me prélasser un long instant. Après être complètement détendue je l'appelai pour me sécher. Il s'appliquait en me frottant délicatement de la nuque jusqu’aux pieds. J'enfilai une nuisette en omettant volontairement de mettre mes sous vetements. Nous dînâmes à 20h et après qu'il eut fini ses taches ménagères du soir il me rejoint dans le salon. Allongée dans le canapé, je le fit s'approcher de moi en position debout. Je lui baissai son short pour inspecter ses boules pleines à craquer que je caressai avec la paume de la main droite. - Mon chéri, ce soir tu viens de passer les 50 jours sans éjaculation. Je suis trés fière de toi. - Merci ma princesse, moi aussi je n'aurai jamais pensé y arriver. En jouant l'ingénue je commençais à approcher mes levres de son sexe prisonnier de sa cage. Je lui donnais quelques baisers. Il semblait n'avoir jamais été aussi compressé dans sa ceinture de chasteté. Je récupérai la clé attachée à mon cou puis délicatement je retirai la ceinture, puis l'anneau qui enserrai ses couilles. Doucement je lui caressai avec ma langue ses boules et passait mon index sur le bout de son gland. Je le regardai dans les yeux, il semblait être hypnotisé, presque en transe. Mes lèvres engloutirent sa queue, je ne l'avais pas sucé depuis plusieurs mois. Il gémissait. Je n'ai jamais éprouvé du plaisir à sucer un homme mais mon chéri l'avait mérité. Je sentais qu'il n'étais pas loin de craquer. Je retirai de ma bouche sa queue puis l’empoignai avec ma main droite pour emmener mon homme dans notre chambre. Je le laissai debout face à notre lit, je retirai ma nuisette pour me placer face à lui allongée sur le dos les cuisses entrouvertes. En faisant signe de l'index de venir me rejoindre sur le lit je lui chuchotai dans l'oreille : - Maintenant, tu peux prendre ta princesss sans retenue, je te donne le droit de jouir ce soir A peine avais-je fini ma phrase, il se jeta sur moi et me fit l'amour sauvagement. Ce fut intense et délicieux. Bien sur il jouit trés rapidement en emmettant un cri libérateur. A peine avait-il repris ses esprits je l'installai sur le dos et je me plaçai à genoux mon sexe face à son visage - Maintenant nettoie tes 50 jours de frustration ! Il passa sa langue dans tous les recoins de ma chatte, je ne le laissai pas s'extirper sans être certaine qu'il avait tout nettoyer. Nous sous endormimes immédiatement. Le lendemain, après sa douche je lui remis sa ceinture en remettant mon compteur à 0.
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i-follow-me921 · 2 months ago
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i-follow-me921 · 4 months ago
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Le repas de matin 👅👅👅👅👅
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