Tumgik
janeneyrouss · 4 years
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Une rencontre
Dans cette chambre d’hôtel près de Jussieu
A la fois heureux et effrayés
Nous nous regardons dans les yeux.
Deux heures à peine qu’on se connaît.
  Nous sommes l’inconnu de l’autre
Avec l’envie de se découvrir.
Cette nuit sera la notre
Et sera remplie de désirs.
  Un regard échangé dans ce bar.
Quelques mots autour d’un verre.
Ton nom est Oscar.
Le mien est Claire.
  Tu as vu mes larmes.
J’ai senti ta douleur.
Je suis tombée sous ton charme.
Tu m’as ouvert ton cœur.
  Toi qui passe ta vie sur les routes
Et moi qui essaye de tracer mon chemin.
J’hésite, j’ai quelques doutes.
Qu’en sera t’il de demain ?
  Tu m’enlaces de tes bras.
Tes lèvres s’attardent sur mon cou.
J’ai tellement envie de toi.
Ce soir, aucun tabou.
  Mes mains descendent le long de ton dos.
Ta bouche effleure la mienne.
Je sers mes doigts contre ta peau.
Ma langue est tienne.
  Tu m’attires vers le lit
Avec un grand sourire.
Il sera le lieu de nos folies.
Je ne peux m’empêcher de rougir.
  Une chemise, une robe à terre
Nous sommes à présent nus
Chair contre chair.
N’attendons plus.
 Tes mains parcourent mon corps
Mes seins, mon ventre, entre mes cuisses.
Je m’abandonne à ce confort.
Continu, c’est un délice.
  Je sens ton regard sur moi
Et ce que tu vois te plaît.
Je le sens à tes doigts.
Continu, s’il te plaît.
 Un soupir, un gémissement.
Tu es sacrement doué.
C’est à moi à présent
De te faire crier.
  Je me surprends à te faire plaisir
Avec les recoins de ma bouche.
Tu commences à gémir.
Mes coups de langue font mouche.
  Tu me renverses sur le dos
Pour venir entre mes cuisses.
Mon Dieu, que tu es beau.
En moi, tu te glisses.
  Quelques va et vient approfondis
Pour continuer le jeu.
Cette fougue, cette énergie
C’est bien moi qui te rends heureux.
  Nos lèvres se touchent.
Nos langues s’effleurent.
Nous ne sommes plus qu’un seul souffle.
A l’unisson battent nos cœurs.
  La cadence s’accélère.
Je perds mes moyens.
Pour moi, c’est une première.
Je sors un cri sans fin.
  Dans un dernier coup de rein
Tu t’abandonnes en moi.
Un long baiser sur mon sein
Et tu t’allonges près de moi.
  Tu m’as fait sentir belle
Et je veux te revoir.
Depuis cet échange charnel
Il n’y a que toi que je veux avoir.
  Dans cette chambre d’hôtel près de Jussieu
A la fois heureux et comblés
Nous nous regardons dans les yeux.
Trois heures à peine qu’on se connaît.
  Juillet 2013
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janeneyrouss · 4 years
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Le rugbyman
Les quelques rayons de soleil de ce vendredi après midi m'ont encouragé à rentrer du boulot à pied. Il fait même assez chaud pour retirer mon manteau que je fermais jusqu'au cou depuis plusieurs mois...
 Ça me donne même envie de m'arrêter prendre un verre dans ce bar près de chez moi.
 Ouh là, il est blindé ! Match de rugby ce soir ! J'y vais, j'y vais pas ? Une bonne pression me ferait du bien...
 Allez, je me fraye un chemin parmi les habitués du PMU, les cadres sup' décravatés et les fans en maillot les yeux fixés sur l'écran.
 J'arrive à commander mon petit demi, un "Etche quelque chose" marque un point à la télé et je me retrouve par terre, le contenu de mon petit demi sur mon chemisier... Le responsable de ma chute me délivre des dizaines de jambes qui m’entourent en me soulevant d’une facilité déconcertante et commence à se confondre en excuses… 1m82 je dirais, gabarit d’un joueur de défense, un petit côté homme préhistorique mais avec une barbe bien taillée… Il a vraiment l’air confus…
 En moins de deux, avec l’aide de ses collègues, j’hérite d’un maillot de rugby trop grand pour moi et d’une pinte pour se faire pardonner… Je vais mettre deux heures à finir ce verre, enfin cette carafe devrais je dire…
 Assez de temps pour regarder le match avec mes nouveaux amis. A la découverte de ma non-connaissance des règles du rugby, Denis (c’est comme ça qu’il s’appelle…) décide de me les expliquer. Je comprends rien. Il recommence, je comprends toujours rien… Enfin si, j’ai compris la base : quand c’est un gars avec le même maillot que moi qui a le ballon, c’est bien. De plus, les cris et les applaudissements de tout le bar m’informent aussi du bon ou du mauvais déroulement du match.
 Rentrée vite dans le jeu, je suis autant excitée que les autres et au fur et à mesure que notre équipe marque, je deviens de plus en plus proche de Denis. Accolade pour les points marqués, main posée sur ma hanche pendant les moments de tension… Main qui reste posée sur ma hanche même pendant la pause…
 Avec sa grande carrure et sa barbe, il ressemble à un nounours qu’on aimerait câliner mais si on lui cherche des noises, il devient un véritable grizzli. Pendant la mi temps, j’arrive à lui parler un peu de moi et lui, un peu de lui mais ayant été de nature très joviale pendant le match, les gars du bar m’embarquent dans un concours de hurlements de loup !
 Reprise du match, re accolade, re main sur les hanches/un peu sur les fesses et c’est la victoire ! Quatre armoires à glace me soulèvent pour fêter ça ! Denis me récupère en douceur pour me serrer dans ses bras, les pieds à 10 cm du sol. Il me repose tout en douceur et m’embrasse ! Juste un gentil baiser, lèvres contre lèvres… Il recule un peu gêné par cette aplomb mais c’est peut être l’alcool, la victoire de notre équipe ou simplement une véritable attirance pour lui, je l’embrasse à mon tour ! Mais avec plus d’ardeur, avec ma langue, mes bras autour de son cou pour ne pas le laisser s’enfuir. J’entends à peine les sifflets de ses amis et leurs moqueries concernant notre baiser mais je m’en fous !!
 S’en suit la 3e mi temps, avec une dixième reprise de « Allez le Lou » et une pseudo mêlée avec les garçons.
 Mais toutes les bonnes choses ont une fin… Le gérant nous demande gentiment de sortir, les derniers clients me font la bise et espèrent me retrouver au match retour. Le groupe se disperse et je me retrouve seule avec Denis. Je n’ai que 5 minutes à pied à faire mais il insiste pour me raccompagner « Sait on jamais ! » C’est ça, sait on jamais…
 La rue devient alors notre terrain de jeu. Je rallonge le trajet comme je peux pour rester plus longtemps en sa compagnie. Je le ralentis en « essayant » de le plaquer mais toutes ces ruses n’ont fait que repousser l’inévitable : le bas de mon immeuble…
 Il me donne un premier baiser d’au revoir, un second, un troisième… Au bout de deux minutes de bouche à bouche, mon regard persistant suffit à lui demander de monter et son clin d’œil accompagné d’un sourire suivi d’un baiser fut sa réponse…
 Plaquée contre la paroi de l’ascenseur, je suis couverte de baiser : sur la bouche, dans le cou. Mon maillot ne lui permet pas d’atteindre mes seins… Il faudra attendre encore pour lui montrer… Tout lui montrer…
 J’arrive maladroitement à ouvrir ma porte d’une main, l’autre est trop occupée à lui tâter le fessier…
 L’entrée franchie, il redouble d’énergie, me soulève pour me porter sur ses épaules comme un sac à patates et se met en quête de ma chambre. (C’est bien la première fois qu’un de mes amants arrive à me porter. Ce n’est pas comme si je sortais qu’avec des gringalets mais on risque une foulure du poignet à vouloir trop tripoter un de mes seins…).
 Dans 35 m2, la recherche sera de courte durée. Objectif atteint mais un occupant à poil et à longue queue attendait lui aussi un câlin de ma part… Il déguerpit en un éclair à la vision de cet ours portant sa maitresse en butin !
 Il me renverse sur mon lit, enlève son maillot et son pantalon, laissant apparaître un tatouage tribal sur son torse ainsi qu’une bosse à un certain endroit…
 Tellement fascinée par ce spectacle que j’en oublie de me déshabiller… Il rectifie mon erreur rapidement et me débarrasse de tous tissus superflus. A présent entièrement nue, j’ai envie de sa langue dans ma bouche, de ses mains sur ma poitrine, de son corps contre le mien. Je tente de le renverser pour le chevaucher mais je suis prisonnière de ses mains. Son sexe se fait de plus en plus gros contre mon bas ventre. Il tête mes seins, les lèche, les caresse de sa barbe. Il me donne l’impression de ne pas en avoir eu entre les lèvres depuis longtemps… Tellement doux et fort en même temps… J’ai l’impression qu’il pourrait me protéger de tout…
 Sa main se glisse entre mes cuisses pour tâter le terrain et découvre un milieu humide non hostile prêt à accueillir un invité (un invité muni d’une protection quand même…). Je mouille depuis le bas de la rue aussi…
 Ma main libérée en profite pour fouiller dans le tiroir de ma table de nuit pour trouver de quoi « le » protéger. Je n’ai en stock qu’une boite non entamée de Durex Tutti Frutti reçue en cadeau à mon dernier anniversaire. Pas le temps de choisir le parfum !
A présent doté d’une protection, il me pénètre doucement mais continue sa frénésie de baisers sur mon corps. Il me caresse le visage en me regardant dans les yeux… Son regard est si doux, si tendre… et il enfonce sa langue dans ma bouche… Son sexe et sa langue sont au plus profond de moi…
 Moment de tendresse…
 Soudain, il descend son visage sur mon sexe pour le prendre à pleine bouche. Sa langue s’occupe de mon clito, ses doigts de mon vagin… Je gémis à cette double stimulation.. puis triple stimulation… Premier orgasme…
 Il saisi mes jambes et me retourne sur le ventre. Ses mains s’agrippent à mes fesses pour les embrasser, les lécher… Il remonte ma colonne vertébrale de baisers… Ecarte mes cuisses de sa main pour y remettre son sexe dur…
  Il reprend les coups mais cette fois-ci, plus forts, plus profonds, plus animal…
Première fessée suivie d’une caresse… une seconde… Alternance de douleur et de douceur… Cette alliance contradictoire me donne encore plus de plaisir…
 Doucement, son pouce se glisse mon autre orifice… Juste quelques effleurements…
 Puis sa main caresse mes cheveux, les agrippe pour les serrer fort entre ses doigts et redresse ma tête… Juste assez pour me montrer que c’est lui qui mène la danse… Il est en train de me monter sauvagement comme si je lui appartenais et j’adore ça !
 Il gémit… Il va jouir en moi… Il pose ses mains sur mes seins… Il m’embrasse le haut de mon dos et dans un long souffle dans mon cou, il joui…
 Il se retire, s’allonge à côté de moi et m’enlace pour ne pas laisser m’échapper… Nous sommes à bout de souffle, incapables de parler mais ses quelques baisers sur mon front suffisent à me dire qu’il a apprécié…
 Tant d’émotions en quelques heures… Et j’ai envie de recommencer…
 C’est à mon tour de dompter la bête, de montrer que malgré ses 100 kgs de muscles, je peux faire de lui ce que je veux…
 A califourchon sur lui, il se demande à quelle sauce il va être mangé… Il caresse doucement mes cuisses… et me regarde prendre les commandes…
 Je peux enfin utiliser mes mains pour le caresser, palper ses muscles, me frotter à lui… … Abuser de lui quoi… Je passe doucement mes seins près de son visage mais je les retire avant qu’il n’arrive à les toucher de ses lèvres… Son regard est fixé sur mes seins ce qui les fait pointé encore plus. Je sens dans ses yeux qu’il veut les toucher, les sentir, les dévorer. Il devra patienter, je veux le voir me désirer, je veux le rendre fou à ne pas pouvoir les toucher.
 Second passage, mais cette fois ci, je lui laisse le temps qu’il les attrape avec sa bouche pour les téter.
 Plusieurs baisers sur ses lèvres, puis plus bas, encore plus bas…
 Il écarte ses jambes pour me faciliter la tâche. Son sexe recommence à être aussi tendu que tout à l’heure. Il a encore de l’énergie après cette longue soirée. Je commence la dégustation et découvre un goût de fraise, mon parfum préféré ! Le hasard fait bien les choses ! De petits coups de langue sur ses testicules puis je les mets entièrement dans ma bouche pour bien les sucer. Puis c’est au tour de sa verge d’être goûter, d’être lécher de bas en haut par ma langue, d’être entourer de mes lèvres. Je prends mon temps pour qu’il apprécie toutes mes qualités buccales.
 A présent bien dur et droit, il est prêt à être chevauché.
 Bien ancrée sur lui, je commence les ondulations avec douceur en prenant mon temps pour tout ressentir.
 Puis j’accélère le rythme, mes doigts plantés dans sa chair. Plus vite, encore plus vite. Il me chope les hanches pour accompagner le mouvement. La force de ses mains permette une meilleure pénétration, de couvrir tout mon intérieur. Il caresse mes fesses, mes seins… A présent, c’est moi qui monte la « Bête »…
 C’est une position que j’aime mais je ne vais pas tarder à plus avoir de cuisses à forcer de sauter sur lui…
 Je dois avoir réveillée tout mon immeuble à force de crier… mais je ne peux pas m’en empêcher… Son sexe ne fait que frôler mon point G et c’est un mini orgasme à chacun de ses passages… Je vais exploser… Orgasme… Suivi d’un autre… Et il jouie une nouvelle fois…
 Il m’attrape la taille pour m’allonger contre lui car je n’ai plus la force de tenir accroupie…
 Nous mettons au moins 10 minutes à reprendre nos esprits et je veux maintenant dormir près de lui, sentir son odeur pendant mon sommeil...
 Il pose sa tête contre mon sein, sa main sur mon ventre et s’endort en moins de deux…
 Mon chat attiré par le retour au calme monte sur mon lit et se blottit à son tour contre moi.
 Entourée de deux gros minous, je m’endors comblée par cette soirée…
Juillet 2015
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janeneyrouss · 4 years
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Capitaine C’
Suite de “Câlins, fessées et plus si affinités”
Une semaine. Une semaine depuis que j’ai fait ma première séance avec Pierre. Enfin, « séance ». C’était du soft comparé à ce que certaines de mes amies ont pu vivre.
On s’était envoyé de nombreux mails sur mes envies et sur ce qu’il pourrait me faire découvrir. Ça oui, ça oui, ça surtout pas ! Les cordes ? Oh que oui et n’hésites pas à mettre de la longueur !
Puis arriva le second rendez-vous. Toujours chez lui. Toujours cette même appréhension devant sa porte. Toujours le même accueil avec un grand sourire.
Nous dînons donc tranquillement devant quelques vidéos Youtube. On rigole et puis, c’est le moment...
Je m’allonge entièrement nue au sol en attendant qu’il prépare ses jouets. Je ferme les yeux pour ne rien voir, ne rien savoir de ce qu’il va utiliser.
Il me redresse pour me mettre à genoux et il commence à me ligoter. Vous avez déjà vu une proie se laisser attacher par un prédateur sachant qu’il va la manger ? Et bien, je suis en train de me jeter directement dans la gueule du loup…
Une corde qui glisse sous mon sein, sous mon bras, sur mes épaules... Chaque passage sur ma peau me fait frissonner… Puis, c’est au tour de mes mains d’être liées. Impossible pour moi de me libérer.
Assis face à moi, il passe sa main sur mon visage, mon cou, mes seins et me pince mes tétons. Il alterne entre le gentil pincement et le moins gentil pincement… Cette prise lui permet de m’attirer vers lui et je tente de l’embrasser mais il recule son visage. Je dois m’avancer plus vers lui et donc le laisser tirer plus fort vers le bas sur mon téton pour tenter de l’atteindre. Après quelques secondes de torture, j’y arrive enfin et j’en profite car je ne sais pas si j’arriverais à l’embrasser de nouveau…
Je suis assez chaude pour qu’il commence à m’ajouter des accessoires. L’OVNI (cf. l’épisode précédent) fait son retour ainsi que la carotte (le plug à boules). Une pénétration douce… Une boule après l’autre… Je me penche sur le canapé pour le laisser me pénétrer plus profondément, plus fort… Je sais qu’il me prépare pour autre chose de plus spéciale pour toute à l’heure.
Il prend du plaisir à me faire souffrir mais je dois également lui donner du plaisir avec ce qu’il me reste de libre : ma bouche.
Il ouvre son pantalon et je prends son sexe entre mes lèvres et commence à le sucer fort, comme il aime. Je suis prise de tous les côtés : par lui, l’OVNI et la carotte…
Et je reçois un coup de cravache sur les fesses, ce qui me fait me redresser d’un coup mais il saisit ma tête pour la replonger entre ses jambes. Je dois continuer à le sucer et à recevoir ses coups de cravache.
Chaque coup fait contracter mes muscles sur l’OVNI et la carotte qui se rapprochent. Tout mon entrejambe vibre et chaque partie est stimulée.  
Il maintient sa main sur ma tête pour avoir son sexe entièrement en moi et augmente le nombre de coups. Je gémis la bouche pleine mais il me libère un peu pour me laisser respirer et mais surtout me laisser crier… Mes fesses sont en feu…
Et là, il sort son crochet à boule muni d’une corde pour le mettre à la place de la carotte. J’ai tellement était stimulé qu’il rentre tout seul.
Puis, il commence à tirer dessus pour m’attirer vers lui et sourit de me voir souffrir. Il se penche pour m’embrasser mais je recule mon visage. Moi aussi, je peux le torturer mais la punition ne se fait pas attendre. Une fessée. Je persiste. Une autre tombe. Je veux l’embrasser mais je veux également qu’il me fesse. J’aime voir sa tête quand je lui désobéis mais il me saisit par la nuque et engouffre sa langue dans ma bouche. De son autre main, il me pince très fort le téton qui veut signifier « plus jamais ça » mais je peux lui garantir que ça se reproduira. Soumise, oui mais à tendance taquine.
Mais il n’a pas encore fini avec moi. Il attache la corde du crochet au sommet de mon dos et c’est moi à présent qui le contrôle.
Je suis obligée de me tenir droite pour m’éviter une trop grande douleur de la part du crochet mais je ne peux m’empêcher de me pencher de temps en temps pour tirer dessus.
Ayant les deux mains libres, il peut enfin se vouer entièrement à sa grande passion : le pincement de tétons. Je gémis de douleur et de plaisir.
Il m’embrasse et je ne résiste pas. Une nouvelle fessée avec cette configuration serait beaucoup trop douloureuse. Je ferme les yeux et je profite de toutes ses sensations nouvelles. J’embrasse son visage, son cou, les seules parties de son corps accessibles. Il caresse mon dos, le haut de mes fesses et me délivre de son crochet et de ses cordes…
Il m’allonge doucement sur le sol et me caresse de haut en bas. Il m’embrasse la joue, me mordille la taille. Je suis bien. J’ai plus de bras ni de jambes mais je suis bien.
Je l’entends brancher son bâton magique qui vibre. Il veut me finir en beauté… Je jouie dès le premier contact et hurle un long « oui »…
Il s’allonge près de moi, j’utilise mes dernières forces pour le prendre dans mes bras et nous restons là, sans bouger.
Après une bonne et longue nuit de sommeil dans son grand lit, je repars chez moi, encore une fois le sourire aux lèvres en m’imaginant les nouvelles bêtises que nous pourrions faire…
Juillet 2015
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janeneyrouss · 9 years
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Calins, fessees et plus si affinites...
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On s’était donné rendez-vous chez lui, juste pour une après-midi. Pour ma première séance… Lui, c’est Pierre, un homme pas comme les autres qui pourrait m’apporter ce qu’il m’a toujours manqué dans ma vie.
Je l’ai rencontré quelques jours plus tôt dans une soirée où chacun était un autre, caché derrière un masque, mêlant rires et baisers volés, baignée dans une ambiance de taverne médiévale. Tout le monde se connaissait ou faisait en sorte de se connaitre et j’ai rapidement fait la connaissance de Pierre. Un grand bonhomme aux grandes mains, aux yeux noisettes avec une voix à tomber…
Dans un recoin de la taverne, on s’était raconté nos vies, nos envies, nos « qualités »…  Il était doué pour les nœuds, moi pour les massages… Suivirent les caresses puis les douces morsures, les baisers, les câlins… Il avait bien compris que j’en voulais plus mais cela devait attendre d’être seuls.
Me voilà donc devant chez lui en train d’envoyer un SMS à une amie pour lui dire que je vais faire plus ou moins une grosse bêtise et que si elle n’avait pas de nouvelles de moi avant 16h, elle pouvait appeler la Police…
Torture, voilà le mot qu’il avait utilisé dans ses messages. Je suis à la fois effrayée et émoustillée.
Il m’accueille gentiment d’un baiser, m’offre à boire et me propose de regarder des dessins animées ! Je m’attendais à tout sauf à ça… J’ai envie de commencer mais je vais devoir être patiente… Première torture, une torture psychologique… Il est fort ce Pierre…
On s’installe sur son canapé ce qui me permet quand même de me détendre un peu mais après un épisode, ses mains commence à me parcourir, à saisir mes seins, mes fesses… Il pince mes tétons… C’est douloureux mais je veux qu’il continue… Rien que ça et je suis déjà en train de mouiller… J’ai hâte de voir la suite… Je m’abandonne totalement… Il retire son tshirt et l’utilise pour me nouer les mains. C’est un garçon plein de ressources ce Pierre…
Allongée sur son canapé, j’explose intérieurement… J’ai envie qu’il s’allonge sur moi, qu’il m’immobilise, qu’il me morde, qu’il me montre que je suis à lui mais il reste calme et doux.
Il retire ma culotte et engouffre ses doigts en moi. Je suis chaude et humide. Assez pour qu’il m’insère un OVNI (un objet vibrant non identifié). Il se penche sur mon visage et commence à me susurrer à l’oreille des mots qui m’excitent encore plus : « Tu ressens une chaleur en toi… Une boule de plaisir entre tes cuisses… » Mais c’est lui que je veux entre mes cuisses !! Ses doigts caressent mon clito où je ressens les battements de mon cœur... La fameuse boule de plaisir monte, grandit en moi et explose dans un long gémissement.
Il me détache et me prend dans ses bras.  L’OVNI continue à vibrer en moi et je me laisse aller à cette détente, ce plaisir… Il me couvre de baisers comme si j’étais une petite chose fragile. C’est vrai qu’à côté de lui, je parais toute petite alors que d’habitude, c’est les autres qui paraissent petits à côté de moi. Nous restons, tous les deux, quelques instants à ne rien dire.
« Encore ? » me dit-il. Oh que oui…
Mais cette fois, il me met à genoux, me lie les mains au dos avec du matériel provenant d’HP et  bascule mon buste sur le canapé. Une vraie position de soumission et j’aime ça. Que va-t-il me faire ? Je l’entends chercher du matériel, brancher une prise… Il soulève ma jupe, laissant apparaitre mes fesses nues. J’écarte mes cuisses pour lui signaler qu’il peut commencer à jouer avec moi et là, commence les choses sérieuses.
Une première fessée part suivi d’une caresse puis une autre fessée et encore une autre. Je découvre la sensation du mélange de la douleur des fessées et du plaisir des vibrations. Que c’est bon… Je tire sur mes liens pour augmenter la sensation d’attachement.
Être fessée par un homme à quatre pattes, les mains liées. Ce moment, je l’ai fantasmé depuis mon adolescence. Une période où les différences sont très mal vues.
Ensuite, c’est un nouveau jouet qu’il m’insère, doucement, par derrière… Je sens les boules du plug me pénétrer une par une, puis aller et venir de plus en plus rapidement… La double stimulation, il n’y a que ça de vrai… Je gémis dès qu’il me fesse, dès qu’il manipule le plug… J’ai chaud, j’ai froid… Je ne sens plus mes jambes mais j’aimerais que ça dure des heures…
Puis, j’entends le bruit d’une vibration, plus forte que l’OVNI et je sens un autre jouet sur moi… Il fait des va et vient entre mon clito et mon vagin… Les vibrations sont de plus en fortes... Et là, bingo, il tombe sur le point G et je hurle de plaisir… Crier, je l’ai déjà fait mais hurler, c’est une première…
Tandis que je reprends mon souffle et mes esprits, il me libère de tous ses jouets et me reprend dans ses bras pour faire un câlin. Un câlin, c’est exactement ce dont j’ai besoin, là maintenant, après toutes ces émotions.
On repart sur d’autres dessins animés accompagnés d’une glace, je préviens mon amie de ma survie mais il est de temps pour moi de partir (satanés horaires de bus). On se cale un nouveau rendez-vous et je pars le sourire aux lèvres attendant impatiemment notre prochaine fois…
La suite dans “Capitaine C”
Juillet 2015
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janeneyrouss · 11 years
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Le commercial
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Paris, 1h30 du matin : la journée se termine enfin… 15h de travail non stop pour boucler ce dossier… Nous étions sept dessus ce matin (enfin, hier matin) et je suis la seule survivante… J’ai enchainé les cafés, les Red Bulls et les tablettes de chocolat pour tenir…
Je range comme je peux mon bureau, me fait un brin de toilettes (j’ai une mine affreuse) et je remonte les couloirs vides. Quelqu’un a encore oublié d’éteindre la lumière de son bureau et ma conscience écolo m’oblige à y aller. Ah non, c’est le commercial. « Bonsoir… Heures sup’ vous aussi ? ».
  Habitant en province, il fait le trajet jusqu’à Paris tous les mois pour nous aider à utiliser le logiciel de sa boite. Costume cintré, cravate bien nouée, toujours un peu séducteur mais là, il a perdu un peu de sa grandeur… Chemise ouverte, cheveux en bataille (avec un mignon petit épi)... Notre système donne du fil à retordre à son « fameux logiciel »…
  Allez, je vais jeter un coup d’œil à son ordi, on ne sait jamais…
  Pendant ces derniers mois, nos échanges restèrent surtout professionnelles, en dehors de nos rencontres à la machine à café : « bonjour, au revoir, oh la machine ne marche pas, vous avez déjà essayé le potage à la tomate ? ». Et là, ça me fait bizarre d’être seule avec lui au beau milieu de la nuit. D’un coup, il est passé du commercial célibataire (info provenant de notre réseau national de « secrétaires »)  sûr de lui et adulé par toutes les filles du bureau au pauvre petit employé victime de l’informatique…
  Même un peu décoiffé, il reste séduisant… même carrément plus séduisant… Sa barbe de quelques jours bien taillée lui donne aussi un petit côté bad boy…
  J’aimerais qu’il passe sa main sur mon cou et qu’il plonge ses doigts dans mon soutien gorge pour caresser mon téton… Qu’il glisse son autre main entre mes cuisses et qu’il parcoure ma nuque de baisers… Cette idée commence à me faire de l’effet et je tente de cacher mes émotions comme je peux…
  Je continue à taper sur le clavier en tentant d’oublier cette pensée saugrenue...
  5 minutes passent…
  « Je vous trouve très jolie… ». Pardon ? Enfin… Il me drague ?! J’ai la tête à l’envers, les yeux injectés de caféine et il me trouve jolie ? Pas très exigeant ce jeune homme…
  Trop perturbée pour aligner une phrase dans ma tête, je reste bouche bée devant lui qui me sourit… Sa main est posée sur mon genou et ne tardera pas à remonter ma cuisse si je continue à ne rien faire… Et doucement, il m’embrasse… Il sent bon…
  J’ai terriblement envie de lui et sans réfléchir, je me jette sur lui… Il ne s’attendait surement pas à une telle réaction de ma part et optait plus pour un câlin dans sa chambre d’hôtel…
  Surpris au début par mon audace, il reprend vite les rênes et m’attire vers lui pour le chevaucher. Mon haut disparaît vite et mes seins sont rapidement pris en charge par ses mains, sa bouche, sa langue… Il se perd dans ma poitrine généreuse mais il semble apprécier cette profusion de chair… Sa main se faufile dans ma culotte qui reflète depuis longtemps mon excitation… Un doigt, deux doigts… C’est si bon…
  Il m’allonge sur son bureau en balayant ses dossiers et retire les derniers vêtements qu’ils me restent. Il s’engouffre en moi en multipliant les coups de langue…
  J’ai envie de lui… Je veux le voir nu… Je veux connaître le goût de sa peau…
  Passons à quelque de chose de plus équitable… De moins conventionnelle pour une première fois…
  C’est à son tour d’être allongé, la tête entre mes cuisses… pendant que je lui montre mes talents en langue « vivante »…
  Je monte, je descends sur son sexe droit… Je tiens entre mes lèvres son gland gorgé de sang… tandis qu’il continue à m’explorer plus vite… J’accélère la cadence avec ma bouche puis avec mes mains… Il gémit… Je crie… Nous jouissions ensemble…
  Le bip de l’ordinateur nous informe que le logiciel refonctionne et nous explosons de rire...
  Suis morte. Lui aussi. C’est vrai qu’on est un peu crevé… Mais on a passé un moment agréable…
  Mais que faire à présent ? Un bon repos serait la bienvenue dans un bon lit… Mais lequel, le mien ou celui de son hôtel..?
  Janvier 2014
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janeneyrouss · 11 years
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Le Petit Brun aux yeux verts
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Je déteste les mariages. Surtout ceux des autres... Donc quand j'ai su que ma 17e cousine se mariait avec un "De Quelque Chose", je n'ai pas vraiment sauté de joie.
  Quel besogne un mariage... Se rappeler de qui est qui : "Donc lui, c'est le fils du grand frère de ma mère qui a trois enfants, eux-mêmes parents d'enfants en bas âge..." Ok...
  Se taper une heure de cérémonie religieuse sur la vertu du couple, la prétendue virginité des futurs mariés alors que la petite en blanche, elle a un polichinelle dans le tiroir... Pfff...
  Et puis le repas... On prétend qu'on se remplit à un mariage... D'alcool, oui mais de nourriture, faut être patient... Pire que dans un avion... Le moment où tu attaques ton entrée, les premiers servis viennent de le digérer... Alors quand tu ne bois pas comme moi, tu t'emmerdes vite à table...
  Et puis, il y a les power points pourris de la famille entre chaque plat... Avec les polices de caractère originales mais surtout illisibles...
  Me voilà donc dans cette église à attendre que les deux autres zigotos se disent oui... Et puis entre l'homélie du prêtre, un cri de bébé et un étouffement de vieillard, je le vois LUI. Le Petit Brun aux yeux verts.
  Assis à quelques rangs derrière lui, je ne le lâche pas du regard. Cheveux courts bien coiffés, une barbe de quelques jours bien taillée et des yeux… si verts… Accompagnés d’un sourire, il en fera craquer plus d’une… ou d’un…
  Un bâillement… Un second… Encore un autre… Ses ouvertures de mâchoire sont plus intéressantes que le monologue du prêtre. Il a l'air de s'emmerder autant de moi...
  Puis tout le monde se lève, applaudit, lance du riz... Merde, il est passé où le Petit Brun ?
  Au vin d'honneur, à l'apéro, au dîner... Disparu...
  Le gâteau des mariés, attaqué de tous les côtés, ne ressemble plus vraiment à rien. Les tables se vident et la piste de danse se remplit.
  Je poirote seule sur ma chaise mais manger mon dessert me donne une contenance… puis voilà que surgit de nulle part le Petit Brun aux yeux verts, en train de trémousser son petit popotin parmi les invités. A croquer... et je ne parle pas que de ses fesses...
  Il a fait tomber sa veste et je ne rêve que d'une chose, lui faire tomber le reste...
  Quelle tactique utiliser ? Celle du "jme frotte à lui tel un chat réclamant un câlin" ou celle du "ouais, je connais par cœur la Macarena" ? Mais surtout, le plus important, est ce qu'on est cousin ?! C'est autorisé par la loi, mais bon, je préfère éviter...
  Bon allez, la technique de la danse populaire, il y a des enfants autour et je veux leurs éviter un traumatisme... On jette quand même un coup d’œil au miroir de poche pour éviter le fameux « bout de salade entre les dents » ou moins connue, « la graine de pavot du petit pain du fromage »…
  Gangnam Style, Ketchup Song... Tout y passe y compris ma fierté... mais ça marche ! Au bout de 5 morceaux, j'ai son nom, son statut de célibataire et surtout, notre non lien de parenté !!
  La musique de beauf s'arrête enfin pour laisser place à une mélodie plus propice aux rapprochements corporels...
  Moment d'hésitation... "Tu m'accordes cette danse...?" Oh que oui...
  Mes mains sur ses épaules, les siennes sur mes hanches... La position réglementaire... Il sent bon... Azzaro ? Dior ? En tout cas, c’est du musc... Et dire que c'est extrait des glandes abdominales de cerfs...
  Sa chemise entre ouverte... Son cou... Sa bouche... Ses yeux verts... Oh mon Dieu, il me regarde... Je baisse le regard... Oh mon Dieu, je rougis...
  Ses bras se resserrent autour de ma taille et la distance de sécurité entre nous se réduit fortement ce qui m’oblige à poser ma tête sur sa poitrine. Tant mieux… Je ne pouvais pas la garder baissée éternellement… Son cœur bat rapidement. Est ce dû à nos précédentes chorégraphies ou est il autant émoustillé que moi…?
  Il aura suffit de 3'32 d'Adèle pour être entièrement collé à lui… Ses doigts glissent sur mes fesses mais remontent rapidement. Cela a suffit à me donner des frissons. Mais était ce un accident ou l'a t'il fait volontairement…?
  Et "Les Sardines" de Patrick Sébastien retentissent dans la salle : non non non !!! Il s'est peut être passé quelque chose avec LUI et ce satané DJ vient de tout faire tomber à l'eau… (Note pour plus tard : tuer DJ Carlito avec ses vinyles en faisant croire à un accident…).
  Les gens autour se pressent contre nous pour faire comme la chanson de "Patoche"… Mais IL me prend la main pour me faire "sortir de cette boite" et m'emmène à l'extérieur de la tente où se trouve un immense jardin éclairé par des centaines de bougies. La famille "De Quelque Chose" a effectivement beaucoup d'argent.
  Sans lâcher ma main, il me conduit dans un recoin derrière de grands arbres, à l'abri des restes des invités. Le ciel est dégagé, la lune est pleine et les étoiles scintillent au-dessous de nos têtes. Il me montre les constellations : la Grande Ourse, la Petite… ou plutôt la Grande Casserole, la Petite… c’est à dire les seules constellations que tout le monde connaît mais je le laisse m’étaler sa science.
  La tête vers les étoiles, je ne le vois pas poser sa main sur ma taille ni m’embrasser le cou… Ses doux baisers remontent vers ma bouche… Il me caresse le dos… puis le bas du dos… puis le haut de mes fesses… puis mes fesses…
  Ne voyant aucune résistance de ma part, il soulève le bas de ma robe pour saisir mes fesses ce qui laisse apparaitre mes porte-jarretelles. Sentir ses mains parcourir mes dessous m'excite et me convainc d'en porter plus souvent… Et la bosse que je sens grandir contre mon ventre me dit que ça doit également l'exciter…
  Je peux enfin serrer entre mes doigts son petit popotin…
  Ses mains caressent mon cou, mon décolleté… Il descend le haut de ma robe pour mieux empoigner et embrasser mes seins… Il tète, lèche, mordille mes tétons qui pointent de plus en plus…
  Il plonge ses doigts dans ma culotte trempée et les ressort pour les lécher. Oui, toi, le Petit Brun aux yeux verts, tu me fais mouiller.
  Il m'allonge sur l’herbe, retire ma culotte et commence à embrasser l'intérieur de mes cuisses. Mon sexe s'impatiente d'avoir sa langue, ses doigts en lui. Sa bouche atteint enfin son objectif et titille mon clito tendu de désir… Un doigt me pénètre... puis deux… Je gémis… Il a touché le bon endroit et il l'a bien compris…
  Je suis à moitié nue...allongée sur l'herbe...avec un homme qui m'est presque inconnu entre les jambes… avec la moitié de ma famille à quelques dizaines de mètres… Cette constatation me traverse l'esprit et étrangement, me fait plutôt sourire…
  Le bruit de la musique couvre mes nombreux cris (et heureusement…). J'ai chaud… J'ai froid… J'ai faim… de lui… Je me redresse pour l'embrasser et lui donner du plaisir avec mes lèvres…
  A cheval sur lui, j'ouvre son pantalon et voit son sexe tentant désespérément de déchirer son boxer. Je le libère de son emprise et je ne lui laisse pas le temps de prendre l'air. Ma bouche saisit son gland gorgé de sang et ma langue lui lèche l'extrémité… Puis commencent les va-et-vients… Mes mains n'oublient pas ses testicules qui se contractent à chacune de mes "bouchées"…
  Ses gémissements se font de plus en fort… Il se redresse pour attirer mes jambes vers lui… Il veut que l'on se "mange" mutuellement…
  Chacun de ses coups de langue me fait frissonner, me faisant serrer encore plus mes lèvres sur son sexe… Je sens son doigt s’aventurer un peu partout… même « là »…
  Ses mains s'agrippent à mes fesses… Ses doigts plantés dans ma chair me font autant mal que plaisir…
  Il se redresse à nouveau pour cette fois être entièrement en moi… J'entends le bruit d'un emballage de préservatif s'ouvrir… Il me prend en coitus more ferarum (« comme les animaux le font »… en levrette quoi... Faut bien que mes cours de latin servent à quelque chose…).
  Il me mordille la nuque, m’embrasse le dos puis accélère le rythme… Mes membres peinent à me tenir en équilibre tellement il me pénètre fort et profondément… Il pétrie mes seins, pince mes tétons… Je sens en moi le plaisir monter… Oui… Oui… et c'est l'orgasme…
  Mes bras, mes jambes tremblent mais il continue… et il se déverse en moi…
  Essoufflés, nous nous allongeons l'un à côté de l'autre essayant de reprendre nos esprits… Et dans un dernier effort, il me prend la main pour la serrer entre ses doigts…
  Au loin, les rires, les chants des invités se font entendre tandis que je réponds au petit brun aux yeux verts en serrant également sa main entre mes doigts...
Décembre 2013
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janeneyrouss · 11 years
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La Chemise
Quelle que soit sa couleur Tu la portes toujours aussi bien. Chemise rose, noire ou à fleur Tu restes toujours sur ton 31.   Cette chemise à demi ouverte Laissant apparaître ta peau Me suffit pour être en alerte Et éveiller ma libido.   Je n’ai qu’une envie C’est de te l’enlever. Allons nous en d’ici Pour te la déboutonner…
Novembre 2013
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janeneyrouss · 11 years
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Il s’approche de toi et ouvre ses bras Sa présence, son odeur, sa peau Tu l’avais tant désiré et le voilà T’offrant ses lèvres, caressant ton dos
Tu le contemples, qu’il est beau Ses actes succèdent à ses mots Doucement ses bras t’entourent Place à la chair, place à l’amour
Ton corps...
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janeneyrouss · 11 years
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C'est tellement vrai... #soupir
La foule, le monde, le bruit Attablée avec tes amis Ta soirée est longue, quel ennui Et tu penses encore à lui
Toujours cette foule bruyante, Et ces minutes lassantes Deviennent des heures Tu rêves de sa chaleur
Et voilà que soudain Dans le creux de ta main Son message apparaît ...
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janeneyrouss · 11 years
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L Etudiante et le Professeur
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(à lire en écoutant ceci : http://www.youtube.com/watch?v=QM3CouTZ2Hg)
L’aiguille de l’horloge avance d’un cran Et la sonnerie de l’école retentit. Les chaises, les tables sont en mouvement. Le dernier cours est fini. La classe se vide rapidement Mais je reste assise. Installé à votre bureau tranquillement, Vous terminez de corriger nos bêtises. Vous, le professeur. Moi, l’étudiante. Etre ensemble serait une erreur Mais je veux être votre amante. J’ai à présent 18 ans Et le droit de vous aimer. Un an que j’attends. Je peux maintenant vous embrasser. Juste un baiser Pour vous montrer mes sentiments. Juste un baiser Et profiter de l’instant. Vers votre bureau, je me dirige. Dans vos copies, vous êtes plongé. Dernier pas vers vous, je me fige. C’est moi, à présent, que vous regardez. J’approche mes lèvres avec émoi Mais vous reculez. Je ne vous plais pas ? M’aurais je fait des idées ? Nos heures passées ensembles A parler grandes littératures. En y pensant, j’en tremble. Votre refus me torture. Je fais demi-tour pour partir Mais votre main me retient. Ce contact inhabituel me fait rougir. Vos doigts commencent à serrer les miens. Vous m’attirez vers vous Sans aucun mot. D’une main, vous caressez ma joue De l’autre, le bas de mon dos. Puis nos lèvres se touchent Lentement, délicatement. Votre langue effleure ma bouche Une éternité que je rêvais de ce moment. Notre doux baiser devient plus fort. Nos langues font plus ample connaissance. C’est certain, nous en voulons encore Et nous savons où finira cette danse. Vous balayer d’une main vos livres Et vous m’allongez sur votre bureau. De moi, vous êtes ivre. Je suis l’aventure dont vous êtes le héros. Votre main remonte entres mes cuisses Pour explorer de nouvelles contrées. Vous êtes brillant à cet exercice. C’est un 20 sur 20 que vous méritez. Ma main s’attarde sous votre ceinture Et ressent votre joie. Et dans un doux murmure Je vous dis : « Prenez moi ». Vous venez en moi avec douceur En n’oubliant pas d’embrasser mes seins. Puis avec plus de rigueur Vous multipliez les coups de reins. Cette salle de classe, d’ordinaire si studieuse Est devenue le théâtre d’un joyeux raffut. D’une étudiante pieuse Je suis passée à une femme sans tenue. A l’unisson, nous crions notre plaisir. C’est ça qu’on appelle l’amour. Un dernier baiser avant de s’endormir. Je veux être avec vous pour toujours. Puis, je reviens à la réalité. Tout ça n'était qu'un rêve. Je vous regarde de ma place, hébétée. Je ne serais pas votre Eve.  Je sors de la salle Le cœur serré. Ces pensées amorales Continuent à me blesser. Vous écrire une lettre En vous révélant mes sentiments ? Des mots suffiront peut être A vous dire ce que je ressens...
Août 2013
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janeneyrouss · 11 years
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Un, deux, trois...
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De nous trois, vous êtes les plus intimidés Mais après, c’est vous qui avez lancé l’idée. Deux hommes, une femme. Finis les états d’âmes.
Assez discuter Et venez vous occuper de moi. Les plaisirs seront décuplés Quand on joue à trois.
Quelques baisers de l’un. Quelques caresses de l’autre. Voici mes mains J’attends les vôtres.
Pas besoin de se disputer Il y en aura assez pour vous deux. Généreuse et dévouée Vous n’en croirez pas vos yeux.
Mes vêtements vous gênent. Je vous laisse me dévêtir. A deux, vous n’aurez pas de peine A me les faire partir.
Je suis à présent entièrement nue. Mon corps est recouvert de vos mains. Je sens que c'est le début d'un jeu très coquin.
Vos baisers, vos caresses, Vos langues, vos doigts. Je ne veux en rien que cela cesse N'oubliez aucun endroit. Puis il s'agit maintenant de jouir de mes compétences. Au début, j'irais doucement mais j'augmenterais la cadence. Première fois pour vous, pour moi. Je m'attaque à cette double affaire qui, je le souhaite, vous plaira et sera non-réglementaire. Sentir le plaisir de deux hommes dans ma bouche. Entendre vos compliments. Cette considération me touche et me fait apprécier cet instant. Puis, c'est l'étape suivante. L'un me pénètre doucement Avec sa verge imposante Tandis que l'autre me regarde tout en s'occupant. Un coup lent, un coup rapide entre mes reins. Il joue avec mes sens. L'autre caresse mes seins avec une telle aisance. Je les embrasse chacun leurs tours et me laisse aller. Au maximum, je savoure et me mets à crier. A l'unisson, ils jouissent. L'un sur moi. L'autre entre mes cuisses. Je suis en émois. Je m'endors doucement avec un homme sur chaque sein. Ils voudront surement recommencer demain matin. Retenter l'expérience ? Pourquoi pas.. Je suis prête à une nouvelle performance avec beaucoup de joie.
Juillet 2013
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