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Je Vais Ciner
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Envie de "ciner" ? Mon avis rapide et efficace des films, que j'ai vus en salles, pourra vous aider à choisir !
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jevaisciner · 5 years ago
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Le blog a 5 ans ! J’ai en effet ouvert ce Tumblr le 1er février 2015. Et quoi de mieux pour fêter ça que de l’arrêter ? Voici mon tout dernier article…
C'est ? JeVaisCiner.tumblr.com
De ? Pandoxyd
Compagnies ? Color Note / Microsoft Word / Tumblr
Sorti le ? 01/02/2015
Vu le ? 01/02/2020
Où ? Tumblr
Genre ? Cinéma
Durée ? En moyenne 60 min par article
Nationalité ? Français
Quoi ? Un avis rapide sur les films sortis en salle, avec les plus belles affiches et stars de cinéma
Alors ? Cela fait donc 5 ans jour pour jour que j’ai commencé à partager mon avis sur les films que je vois au cinéma. Quelle aventure ! Tellement de séances au compteur, mais aussi des avant-premières, des festivals, des projections exclusives et d’autres événements liés au cinéma, comme des expositions, des spectacles ou des concerts. J’en aurai vu des acteurs, des réalisateurs, des producteurs, parfois même mondialement connus. J’avais envie de retracer ces 5 premières années de blog grâce à cette vidéo. Je suis toujours aussi content d’écrire ces articles, même si je n’ai aucune idée du nombre de lectures. Ce qui me fait déjà énormément plaisir, c’est le retour positif de quelques personnes. J’adore écrire, cela me permet à moi-même de faire un débrief de chaque film.
Mais alors pourquoi arrêter ce blog ? Tout simplement parce que la plate-forme tumblr ne me suffit plus. J’ai créé tellement de contenu, qu’il faut maintenant le ranger proprement et surtout, le retrouver facilement…
Et c’est pourquoi j’ai créé un Wordpress entièrement dédié ! Le site me permet de classer et de trier tout ce que j’ai vu depuis 5 ans. Je peux aussi rendre la lecture plus confortable, en choisissant des affichages plus aérés, plus digestes.
Du coup ? J’arrête le tumblr, mais bien évidemment, pas JeVaisCiner. À ce jour, je n’ai pas encore tout rapatrié sur le Wordpress, cela arrivera petit à petit. Je continue évidemment en parallèle à vous partager mon avis sur les dernières sorties. De plus, dans les textes se trouvent encore les liens vers les films du tumblr. Je les laisse pour le moment, le temps de tout ramener. Je ne sais pas encore si j’abandonne totalement le tumblr ou s’il me servira encore pour des posts spéciaux. En tout cas, en attendant…
Si vous avez envie d’une base de données de plus de 500 projections, d’avis rapides sur les dernières sorties et des plus belles affiches de films au cinéma, dites au revoir à jevaisciner.tumblr et bienvenue sur jevaisciner.fr !
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jevaisciner · 5 years ago
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Sony a décidé de ressortir une licence phare des années 2000, avec le même casting mais sans Michael Bay aux commandes. Est-ce vraiment une bonne idée ?
C'est ? Bad Boys For Life
De ? Adil El Arbi, Bilall Fallah
Compagnies ? Columbia Pictures/ Sony Pictures Releasing
Sorti le ? 22/01/2020
Vu le ? 28/01/2020
Où ? Gaumont Parnasse
Genre ? Policier / Comédie / Action
Durée ? 124 min
Nationalité ? Américain
Quoi ? Les Bad Boys de Miami ont 25 ans de loyaux services à leur actif. Marcus songe sérieusement à prendre sa retraite, tandis que Mike a toujours envie d’action. Vont-ils réussir à s’accorder lorsque le passé ressurgit et menace la police floridienne ?
Alors ? Je vous confesse que j’ai dû rattraper moi-même mon passé. Grâce à Netflix, j’ai pu me préparer et découvrir Bad Boys I & II, que je n’avais jamais vu. Et j’ai bien fait. Ce troisième épisode place évidemment la bonne dose de clins d’œil. Je n’ai pas trouvé le premier volet fou-fou, par contre la suite fonctionne toujours autant.
Bad Boys For Life (qui au passage perd son jeu de mot anglophone pour un 4e épisode) réussi brillamment à mêler fan-service et nouveautés. En effet, il fait plaisir de retrouver les personnages casse-cou et les références pleuvent, sans trop en faire. À la rigueur, qu’ils tirent sur la corde concernant la chanson aux paroles cultes. Je n’étais d’ailleurs pas vraiment dans le mood, puisque je l’ai vraiment découverte qu’une semaine avant… En tout cas, ils flattent les fans en conservant la couche de divertissement propre à cette série. Le retour de Will Smith en bad boy fait du bien aussi, après sa multitude de rôle de bon paternel lisse. Les scènes d’actions se modernisent tout en conservant la fibre Bad Boys. Et les répliques font toujours aussi mouches, très naturellement. Le tout dans une ambiance de Miami très respectée.
Avec ceci, les protagonistes en rencontrent de nouveaux, sans tomber foncer le cliché du vieux contre jeune, passation d’héritage, etc… Ils s’en moquent même. Le film arrive à les rendre les nouvelles têtes attachantes. Alors certes, on ne peut pas vraiment s’attarder sur toutes, mais cela permet de mieux se concentrer sur les plus importantes. Surtout, ils arrivent à rajouter intelligemment, sans tout casser, de nouvelles problématiques, de nouvelles pistes de personnalités sur les anciens. Parfois même en tapant très fort. Cela effraie toujours d’ajouter de nouveaux éléments scénaristiques sur un univers établi. Ici, le travail est remarquable, car le dosage frôle la perfection.
Du coup ? Le pari de relancer Bad Boys, 17 ans après un carton générationnel, était osé. Et souvent, faire revenir des sagas cultes peut s’avérer périlleux et parfois raté. Ici, la jongle entre fan-service et modernisation fonctionne à plein régime. L’équilibre entre le divertissement et la sincérité des personnages procure un plaisir immense et redonne même de l’espoir. Cela dit, un 4e épisode sorti trop vite risquerait de gâcher le plaisir.
Si vous avez envie d’un pertinent animateur d’événements, de faire la course sur Ocean Drive et de sidecar lumineux, repartez en mission façon Bad Boys !
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jevaisciner · 5 years ago
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Première avant-première de l'année et je commence avec du lourd ! Enfin concernant la star présente, parce que bon le film...
C'est ? Cuban Network (Wasp Network)
De ? Olivier Assayas
Compagnies ? CG Cinéma / Orange Studio / Memento Films
Sorti le ? 29/01/2020
Vu le ? 22/01/2020
Où ? Pathé Beaugrenelle
Genre ? Drame / Espionnage
Durée ? 125 min
Nationalité ? Français, Espagnol, Brésilien, Belge
Quoi ? Dans les années 90, Cuba subit l'embargo des États-Unis. Des attentats anticastristes surviennent dans les hôtels cubains, afin de faire tomber le tourisme et l'économie cubaine. Le réseau La Guêpe a pour mission d’infiltrer les groupes terroristes. Un pilote quitte sa femme et sa fille à leur insu, part de Cuba pour s'installer à Miami et rejoint le réseau d’espionnage...
Alors ? Une première avant-première appréciable. Le réalisateur Olivier Assayas a présenté son film, accompagnée de la star planétaire Penelope Cruz. Une intervention agréablement plutôt longue, o�� ils ont pris le temps de répondre à quelques questions de la modératrice. Ils ont ainsi pu nous donner une idée du travail qu'ils ont effectué pour cette production. Notamment sur l'accent cubain que les acteurs ont dû adopter pour être super crédibles. En effet, le film sera distribué dans les contrées hispaniques et d'Amérique latine, il leur fallait être le plus précautionneux. Pour le coup, c’est un travail de plusieurs mois qui sera effacé et invisible dans la VF (et pour les non hispanophones comme moi) Ils nous ont aussi parlé du travail d'adaptation du livre Les Derniers Soldats de la Guerre Froide, de Fernando Morais. Le matériel original donnait du fil à retordre, car il s’agissait surtout de témoignages.
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Pour en venir au film, je n'avais que l'affiche comme support de marketing. J'ai en effet réservé la séance seulement 2 jours avant, lorsque j'ai vu par hasard qu'une projection avec équipe s'organisait. En voyant qu'ils l'avaient vendu comme un thriller, je me suis dit pourquoi pas...
C'était long. L'histoire n'a pas réussi à me capter, je l'ai même trouvée compliquée. Je n'arrivais pas à déterminer qui bossait pour qui et les révélations ne faisaient que m'embrouiller.
De plus, le montage paraissait décousu, avec une structure approximative et des ellipses peu évidentes. Le rythme peinait à décoller et se permet un revirement de style sur quelques scènes, de façon improbable. Même se le réalisateur nous avait prévenus de la structure de base assez confuse, je pense que justement, c'était l'occasion de rendre l'intrigue à l’écran plus captivante.
Même dans les images, on frôle le petit budget par moment, tellement certaines rendent une qualité médiocre. J’ai trouvé ça surprenant, puisqu’il s’agit du même directeur photo, Yorick Le Saux, dont j’avais adoré le travail sur Personnal Shopper, du même réalisateur.
Le seul élément qui m'a maintenu, concernait l'histoire de la famille séparée. D'habitude, je ne m'attache pas trop à ces aspects, mais pour le coup ici, c'est la seule chose qui fonctionnait. Notamment grâce à Penelope Cruz qui campe le seul personnage crédible à mes yeux. On le la voit pas tant que ça, mais chaque apparition tient bien la route. Pourtant, le reste du casting se fait plaisir, avec Edgar Ramirez (La Fille du Train, Point Break), Gael García Bernal (Desierto), Wagner Moura (Narcos) et Ana de Armas (Knock Knock, À Couteaux Tirés) qui font le nécessaire, mais sans plus m’accrocher que ça.
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Du coup ? Je n'attendais quasiment rien de ce film, puisque j’ai appris son existence précipitamment. Seul qu’un des deux invité ne m'a pas déçu. Dommage, pour Olivier Assayas car il m'avait pourtant convaincu sur Personnal Shopper. Une confuse histoire d'espionnage, avec juste une mère de famille qui nous tient durant ces deux longues heures. Les historiens spécialisés dans la révolution cubaine pourront sans doute prendre leur pied. J'ai appris des choses, mais ça n'est pas pour autant ma tasse de thé (et pourtant, j'ai visité Cuba, que j'avais bien apprécié) et je n’ai pas réussi à tout comprendre.
Si vous avez envie d’être trilingue, de faire péter des hôtels et de prendre l'accent cubain, rejoignez le réseau de la Guêpe.
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jevaisciner · 5 years ago
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Nominé aux Golden Globes et récompensé par la Meilleure Actrice Comédie pour Awkwafina, nominé au Sundance, vu plusieurs fois en bande-annonce, conseillé par des amis… Il est temps de voir ce qu’il en est de ce film !
C'est ? L’Adieu – The Farewell (英語:The Farewell)
De ? Lulu Wang
Compagnies ? Big Beach / A24
Sorti le ? 08/01/2020
Vu le ? 18/01/2020
Où ? Opéra Premier
Genre ? Drame comique
Durée ? 100 min
Nationalité ? Américain / Chinois
Quoi ? Le médecin a diagnostiqué un cancer du poumon en phase terminale à la grand-mère Nai Nai. Sa famille décide de le lui cacher, comme le veut la tradition chinoise. Afin que tout le monde puisse la revoir une dernière fois, on prétexte alors le mariage du cousin Hao Hao. Billi, la petite-fille qui vit à New York, aime énormément Nai Nai et la rejoint en Chine. Malgré la réticence de ses parents, qui ont peur qu'elle fasse fuiter la vérité...
Alors ? Les sites de cinémas exagèrent un poil lorsqu'ils annoncent L'Adieu comme une comédie. Je ne dirai pas non plus qu’il s’agit d’une comédie dramatique, car il n’y a rien d’hilarant pour autant. Je trouve la partie drame plus dominante que la comédie. Les cinémas veulent sans doute attirer plus de gens. Ce qui en soi, part d'une bonne intention, puisqu'il vaut vraiment le détour !
Il s'agit plus précisément d'un drame sur lequel on a ajouté des moments plus légers que le reste. J'ai notamment apprécié la vie de figuration. Dans le sens qu'à plusieurs moments, il se passe des choses en arrière-plan, souvent amusantes, en plus de l'action principale.
On s'immisce parfaitement dans cette famille chinoise hyper attachante, où certains membres ont fait leur vie ailleurs mais qui se retrouvent tous. Les relations qu'ils entretiennent reflètent des ententes comme on pourrait en voir de partout, donc on peut s'y identifier facilement.
La plus grosse force réside dans le lien fort entre Nai Nai et sa petite-fille Billi. Awkwafina (Jumanji : Next Level, Ocean's 8), méritant amplement son Golden Globe de la meilleure actrice dans un film de comédie, délivre une touchante performance, à la fois naturelle et drôle. Shuzhen Zhao assure complètement aussi, car elle regroupe tout ce qu'on peut aimer chez sa grand-mère. Ce qui donne un duo très moderne et sensible.
Enfin, la narration en profite pour faire un point pertinent sur les mœurs et leur impact sur l'individu, en confrontant efficacement la culture occidentale et orientale.
Du coup ? Un beau film sur les grand-mères, la famille et la culture. On ne se prend pas la tête, on vit aux côtés de toutes ces personnes, le temps d'un film. On nous véhicule simplement toutes sortes d'émotions, du sourire aux larmes, en passant par la colère. Les codes narratifs varient très naturellement entre le cinéma hollywoodien et chinois, au plaisir de retrouver le meilleur des deux.
Si vous avez envie d'ombres bénignes, de vous marier comme en vrai mais pour de faux et de vous faire appeler 'ma belle', allez donc faire un câlin à votre grand-mère chérie !
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jevaisciner · 5 years ago
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Qui a dit que je ne me nourrissais que de films à effets spéciaux et de super-héros ?
C'est ? Les Filles du Docteur March (Little Women)
De ? Greta Gerwig
Compagnies ? Columbia Pictures / New Regency / Sony Pictures
Sorti le ? 01/01/2020
Vu le ? 16/01/2020
Où ? Gaumont Marignan
Genre ? Drame / Romance
Durée ? 134 min
Nationalité ? Américain
Quoi ? Jo March, l’indépendante écrivaine prometteuse, veut publier un livre. Pour se faire connaître, elle va s’inspirer de sa vie, en compagnie de ses sœurs. Meg aspirant de monter sur les planches, Amy qui souhaite devenir la meilleure peintre du monde et enfin Beth, la pianiste timide. Quatre frangines qui, en se soutenant, vont affronter les remous de la vie avec détermination et honnêteté.
Alors ? Quand j'ai vu que le film durait 2h14, j'ai un peu stressé, de peur de ressentir une longueur. Finalement, j'ai passé un bon moment, empli d'émotion.
L'histoire ne lésine pas sur la densité, à travers deux lignes temporelles (le présent sustenté de flashbacks). Si l'on ne se focalise pas sur l'attente d'une narration classique, on profite de l'extraordinaire fresque de vitalité.
En effet, on suit clairement la vie de ses sœurs inséparables, de façon légère et adorable.
Ce que j'ai le plus apprécié, c'est le grand bain de bienveillance. Que ça fait du bien de vivre le temps d'un film dans un monde où les problématiques ne reposent que sur des choix personnels, encouragés et assumés.
On accroche totalement aux personnages, à travers un solide casting de femmes incroyables. Vous retrouverez notamment Florence Pugh, découverte récemment dans Midsommar. Le trio de fille est épaulé par Laura Dern et Meryl Strip super protectrices, chacune à leur manière. Le lien sororal ultra sincère saute aux yeux grâce au talent de chaque actrice et de la personnalité des protagonistes. Une image de la femme que j’aimerais voir beaucoup plus au cinéma, tout genre confondu.
On se délecte d'une atmosphère féministe positive, pas forcée et loin d'être moralisatrice. On nous présente tout simplement des filles et femmes fortes, indépendantes et déterminées, accompagnées de quelques hommes intelligents. On soulève quelques sujets pertinents, concernant l'inégalité de genre ou les préjugés, ponctuellement et bien amené. Sans jamais en faire des caisses.
Du coup ? Les Filles du Docteur March fait vraiment du bien. Autant de bienveillance recharge les batteries à 100%. Aucune prise de tête stupide ou initiée par des abrutis. Que des relations humaines saines et sincères. Dont le monde a bien besoin en ce moment.
Si vous avez envie d'une sororité incroyablement belle, d'un petit déjeuner de Noël et de voisins charmants, découvrez l'histoire de l'histoire des Filles du Docteur March (Marchecption?).
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jevaisciner · 5 years ago
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La Première Guerre Mondiale (finalement peu présente au cinéma), filmée en utilisant le plan-séquence et en Imax, voilà l’annonce d’une palpitante épopée !
C'est ? 1917
De ? Sam Mendes
Compagnies ? Universal / DreamWorks
Sorti le ? 15/01/2019
Vu le ? 15/01/2019
Où ? Pathé La Villette
Genre ? Guerre / Drame
Durée ? 60 min
Nationalité ? Britannique / Américain
Quoi ? Le 16 Avril 1917, l’État Major envoie deux soldats en mission. Ils ont jusqu’à l’aube pour délivrer un message très important à une autre compagnie, qui pourrait éviter un massacre inutile. Seuls à traverser le front ennemi, vont-ils arriver à temps ?
Alors ? Je m’attendais à une plus grosse claque que ça, je dois dire. De mon œil de technicien, je ne cessais d’essayer de repérer où ils avaient placer les coutures de ce faux plan-séquence, ce qui m’a un peu distrait. J’ai d’ailleurs senti quelques longueurs par moment, avec des scènes un peu forcées à mon goût. Cela dit, j’ai bien ressenti la tension et ce que je voulais expérimenter.
Le placement de la caméra, parfois stupéfiant, permet de suivre pleinement l’action (alors imaginez en format IMAX à laquelle j’ai assisté). On peut ainsi ressentir le courage qu’avaient les soldats, de se rendre compte de leur talent, de leur chance et aussi malchance, parfois dû juste au stress et à la peur. J’ai d’ailleurs beaucoup apprécié l’évolution des personnages principaux. Les suivre sans arrêt rend notre attachement inévitable mais aussi plus naturel. Un bel hommage aux Poilus.
J’ai trouvé amusant de retrouver un casting solide, que l’on découvre à chaque point de rendez-vous narratif.
A de nombreuse reprises, la photographie émerveille, avec des compositions et des lumières sublimes.
L’horreur de la guerre n’est pas édulcorée, on peut visionner des images assez violentes, humains comme animaux. Déjà qu’ils ont superbement travaillé l’ambiance.
Du coup ? 1917 peut se vanter de son format super-immersif. L’enchaînement de scènes sans (vraies) coupes permet d’être au cœur du drame et du stress, accompagné d’une musique discrète mais terriblement juste. Malgré une magnifique photographie, quelques passages pouvaient être dispensables, gâchant un peu le rythme. Cela n’empêche pas au reste du long-métrage de nous proposer des scènes plutôt percutantes. Va-t-il remporter quelque chose aux Oscars, après les Golden Globes ?
Si vous avez envie de courir sur un champ de bataille, de galérer dans des tranchées et de prendre du recul sur vos deadlines au boulot, plongez au cœur de la Grande Guerre de 1917 !
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jevaisciner · 5 years ago
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Les profondeurs des océans n'ont pas encore complètement révélé leur secrets...
C'est ? Underwater
De ? William Eubank
Compagnies ? Chernin Entertainment / 20th Century Fox
Sorti le ? 08/01/2019
Vu le ? 14/01/2019
Où ? Publicis Cinémas
Genre ? SF / Horreur
Durée ? 95 min
Nationalité ? Américain
Quoi ? Une gigantesque station de forage, ayant atteint une profondeur record, se désintègre, suite à une anomalie inconnue. 6 membres d'équipage tentent de survivre. Sauf que pour y arriver, ils vont devoir se déplacer dans l'eau, avec du matériel pas forcément adapté pour. Et les mystérieuses rencontres qu'ils vont faire ne vont pas les aider...
Alors ? Ça démarre au quart de tour. Le stress et la tension vous donnent rendez vous dès les premières minutes, on ne perd pas de temps, ça fait du bien.
On peut inévitablement comparer Underwater à un Alien sous l'eau. Heureusement, il s'en tient à un véritable survival, évitant la découverte scientifique foireuse.
La menace n'abuse pas d’une grosse présence, elle arrive de façon ponctuelle et pertinente. Les jumpscares non plus n'inondent pas inutilement l'intrigue.
Les personnages restent superficiels, on ne s'attache pas spécialement à eux et répondent aux archétypes, le minimum syndical. Le sidekick Paul peut agacer, par ses interventions moyennement drôles. On devinent quand même ceux qui vont partir. J’ai apprécié de voir Kristen Stewart dans ce rôle de technicienne débrouillarde.
Globalement, la tension et le rythme maintiennent l'attention jusqu'à la fin, le survival tient ses promesses sans s'éparpiller. Il donne le meilleur du genre, en y ajoutant quelques agréments sympas. Il nous laisse même sur une (très) légère note de réflexion. Néanmoins, malgré un ravissant sound design et des détails intéressants dans les mises en scène, il ne réinvente pas non plus le genre. Il manque aussi plus de profondeur quant aux conséquences de celle de l’eau sur le mental, à 10km sous l'horizon. L'expérience plaît sur le moment, puis on passe à autre chose. Un peu comme Dunkerque, j'ai aimé suffisamment, sans avoir envie de le revoir.
Du coup ? Une bonne immersion, visuelle et auditive. À regarder lors d'une recherche d'expérience de survival sous l'eau, sans prise de tête. Il donne ce que l'on aime, sans y mettre un cœur dingue. Un film convenu, sans être détestable. Juste un bon potentiel qui ne va pas au bout.
Si vous avez envie de ramper sous des décombres, d'un lapin en peluche et d'obscurité sous-marine, allez donc tester la pression sur vos tenues de sortie extra véhiculaires.
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jevaisciner · 5 years ago
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Encore un film sorti en décembre que je voulais voir. L'année 2020 d'animation débute en trombe !
C'est ? Les Incognitos (Spies In Disguise)
De ? Nick Bruno et Troy Quane
Compagnies ? 20th Century Fox / Blue Sky / Walt Disney Studios Motion Pictures
Sorti le ? 25/12/2019
Vu le ? 08/01/2020
Où ? UGC La Défense
Genre ? Animation / Espionnage
Durée ? 100 min
Nationalité ? Américain
Quoi ? Le meilleur agent secret de l'Agence se nomme Lance Sterling. Grâce à tous ses gadgets futuristes et son style inimitable, il parvient à mettre la main sur une mallette, contenant un dangereux drone. Mais en revenant au QG, tout ne se passe pas comme prévu. Réussissant à s'échapper, il ne peut compter désormais que sur un petit génie, Walter Beckett. Il crée des inventions hors du commun et souvent considérés comme inoffensifs ou bizarres. Alors que Lance veut devenir invisible, il se transforme finalement en... pigeon ! Pourrait-il sauver ses pairs d’une immense menace, malgré son apparence ?
Alors ? Blue Sky m'avait laissé sur des notes pas terribles ces derniers temps. Entre une suite tout juste passable de Rio et un énième épisode fatiguant de L'Âge de Glace, il a fallu attendre 2017 avec Ferdinand pour qu’ils se relancent. Aujourd’hui encore, ils proposent une nouvelle licence (bien qu'inspirée du court-métrage Pigeon : Impossible de Lucas Martell)
Les Incognitos respire le fun du début jusqu'à la fin. Il n’amuse pas seulement, il réussit aussi totalement à mélanger les codes avec intelligence.
Vous retrouverez évidemment l'ambiance du film d'espionnage et les grands arcs narratifs de l'animation, sans jamais abuser. Il jongle parfaitement entre les obligations et l'originalité.
J'ai traversé tout Paris malgré les grèves et payé ma place plein tarif pour aller le voir en VO. Et je ne regrette pas. Le duo Will Smith et Tom Holland fonctionne harmonieusement. Tout comme le film, chacun pioche dans ce pourquoi on les apprécie et en même temps, ils ouvrent de nouvelles palettes qui caractérisent avec sérieux leur personnage. Il est amusant de retrouver Tom Holland à Venise et qu’il se fait ici aussi poursuivre par des drones… De plus, rien qu'en bande-annonce le méchant possède un charisme instantanément validé. Dommage qu'on ne pousse pas plus son rôle, qui se limite à une fonction, certes bien développée. Enfin, si je devais vraiment tatillonner, il manque clairement la présence des autres espions de l’Agence. Avec du recul, on a l’impression que Lance demeure le seul employé sur le terrain.
L’animation des pigeons effectue un job satisfaisant, les rendant tous super attachants. Même les side-kicks interviennent avec parcimonie.
Le ton global touche tous les âges, avec des gags bien rythmés qui feront forcément mouche, tant ils varient d'humour. L'intrigue ne s'oriente même pas spécialement pour le jeune public, les enjeux surprennent par une certaine complexité. Dans le fond, on peut le rapprocher de Ferdinand, qui opposait déjà gentillesse contre la violence. Comme quoi, on peut vraiment aborder les mêmes thèmes de façons totalement différentes. D’ailleurs, le sujet de la violence permet de regarder le film d’action d’une toute autre manière.
Du coup ? Le studio Blue Sky fait des efforts et cela paye. Il propose une aventure entraînante, sur un fond classique picoté de rafraîchissements efficaces. Jamais cela ne tombe dans la facilité et le prévisible reste pertinent. Raconté via une dose bien équilibrée d'humour qui n’agace à aucun moment et des plans fascinants, Les Incognitos permet de bien commencer l'année ! Je regrette même de ne pas avoir assisté à une séance 3D, car le long-métrage regorge de cadrages pensés pour le relief et l’immersion.
Si vous avez envie de voir à 360 degrés, de paillettes avec des chatons et d’échouer à Tetris, transformez-vous en pigeon pour sauver le monde !
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jevaisciner · 5 years ago
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Premier ciné de l'année avec le rattrapage d'un film que je n'ai pas pu voir en fin d'année dernière, faute d’organisation et de transport. Après avoir testé le Luminor lors du Festival National d'Animation, j'y retourne pour démarrer la nouvelle saison de JeVaisCiner.
C'est ? The Lighthouse
De ? Robert Eggers
Compagnies ? New Regency Pictures / A24
Sorti le ? 18/12/2019
Vu le ? 07/01/2020
Où ? Le Luminor
Genre ? Drame / Thriller
Durée ? 109 min
Nationalité ? Américain / Canadien
Quoi ? Un gardien de phare et son second débarquent sur une île pour un mois. Le jeune second ne s'occupe que des tâches ingrates tandis que son supérieur fait la maintenance de la lampe. Mais pourquoi le gardien ne veut en aucun cas laisser sa mission à l’assistant ?
Alors ? Une expérience assez étrange ce Lighthouse. Une bonne descente dans la folie, qui trouble aussi bien les protagonistes que le spectateur. On se demande qui des trois va craquer en dernier.
Le rythme tend vers le contemplatif, ce qui ne me déplaît pas. D’autant qu’ici, la fascination visuelle fait mouche, contrairement à d’autres du même genre. Par contre, je regrette que les questions occupent plus de place que les réponses.
Le casting bat son plein, avec tout d'abord Robert Pattinson qui ne cesse de m'étonner. Il retranscrit au mieux l'état changeant de ceux qui suivent cette intrigue distordue. Ensuite, Willem Dafoe porte un accent qui sonne agréablement comme une ambiance pirate dans mes oreilles. Comme s'il ne faisait déjà pas assez peur, voilà qu'on lui met de la lumière par dessous, et à plusieurs reprises.
Du coup ? Entre hallucinations et réel, on ne sait pas vraiment où donner de la tête. Le point fort réside bien heureusement dans cette progression vers la confusion la plus totale. On doit cela à une réalisation précise, qui contrôle chaque image et parfois même astucieusement. Néanmoins, hormis cette sensation d'angoisse réussie, l'histoire peine à se faire comprendre, notamment à cause de mystères incessants, qui rallongent inutilement le récit. Des films peuvent se permettre de se concentrer sur l’expérience plutôt que sur l’histoire (Gravity, par exemple). Celui-ci en a trop dit pour qu’on en demande plus.
Si vous avez envie d'histoires de marins, d'un collègue pétomane et de boire à n'en plus se relever, partez donc vous occuper de ce phare mystérieux.
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jevaisciner · 5 years ago
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Ce weekend a eu lieu la 77e cérémonie des Golden Globes, qui récompense des films et des séries. Voici les résultats concernant les films que j’ai vus (dont vous retrouverez mes avis en cliquant sur le titre) : 
Once Upon A Time… in Hollywood de Quentin Tarantino : Meilleur Film (Comédie ou Musical), Meilleur Scénario et Meilleur Second Rôle Masculin pour Brad Pitt. 
Joker de Todd Phillips : Meilleure Musique Originale pour Hildur Guðnadóttir et Meilleur Acteur Masculin dans un film dramatique pour Joaquin Phoenix.
Rocketman de Dexter Fletcher : Meilleur Acteur Masculin dans un film musical ou comédie pour Taron Egerton et Meilleure Chanson Originale avec I’m Gonna Love Me Again pour Elton John & Bernie Taupin. 
Meilleur Film D’Animation pour Monsieur Link (Missing Link) de Chris Butler et Meilleur Film Étranger pour Parasite (기생충- Gisaengchung) de Bong Joon-ho. 
Enfin, j’en parle car il n’est pas encore sorti en France mais j’ai hâte de le voir (edit: vu le 15/01/2020) : 1917 de Sam Mendes, qui a obtenu les prix du Meilleur Film (Drame) et du Meilleur Réalisateur. 
Pour mon avis, je trouve que l’attribution des prix correspond assez à mes attentes. Néanmoins, j’ai beau avoir apprécié Monsieur Link, je reste surpris qu’il passe devant Dragons 3. D’un côté tant mieux, il avait besoin de plus de visibilité. Aussi, À Couteaux Tirés de Rian Johnson ou même Rocketman (en tant que comédie musicale) auraient pu avoir le prix de du Meilleur Film (Comédie ou Musical) 
Prochaines cérémonies : les Oscars et les César 2020 !
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jevaisciner · 5 years ago
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Je démarre l’année ciné 2020 avec un film d’animation japonaise… que j’ai vu en avant-première en décembre 2019 !
C'est ? Les Enfants Du Temps (天気の子, Tenki no ko)
De ? Makoto Shinkai
Compagnies ? Toho / BAC Films
Sorti le ? 08/01/2020
Vu le ? 13/12/2019
Où ? UGC Ciné Cité Les Halles
Genre ? Animation / Fantastique / Romance
Durée ? 114 min
Nationalité ? Japonais
Quoi ? Hodaka a fugué sa ville natale et survit tant bien que mal à Tokyo, en décrochant un poste d’assistant pour un journal insolite local. Par la suite, il rencontre Hina, une jeune fille qui vit seule avec son petit frère Nagi. Elle possède un secret incroyable : elle peut maîtriser la météo ! Les trois amis vont alors monter un business, pour se faire payer à invoquer le soleil sur demande. Une belle affaire, car la capitale subit une étrange pluie incessante depuis plusieurs jours...
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Alors ? Après la claque de Your Name, je me devais de continuer à suivre l’œuvre de Makoto Shinkai. Par chance, BAC Films a organisé une avant-première exceptionnelle à l’UGC des Halles de Paris, en y invitant le jeune réalisateur. Il nous a parlé de son travail, de ses motivations, de ses envies. Le tout, dans une timidité et modestie improbable.
Concernant la nouvelle aventure qu’il nous propose, je suis assez embêté : je n’arrive pas à déterminer si elle dépasse ou égale la précédente !
En effet, la poésie subtile continue de flirter avec une ambiance réaliste immersive. Le fantastique apparaît que par petites touches quand il faut et l’on se concentre surtout sur la relation entre Hodaka et Hina. Ce lien émeu énormément, par sa puissance, sa profondeur et sa beauté. Laissez tomber les romances ennuyeuses et mielleuses du cinéma traditionnel. Plongez plutôt au cœur d’un lien intense et passionnant qui vous submergera d’émotion.
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Du coup ? Makoto Shinkai confirme son originalité dans le paysage de l’animation japonaise. Celle de mélanger subtilement une aventure très immersive par son réalisme avec de la magie discrète et intense à la fois. Sans oublier une puissante relation entre deux êtres humains, chacun acculé par ses peines et son passé. Une recette qui peut sans doute faire mouche à chaque fois, si l’intention de narration reste la même. Donc à surveiller de près (et regarder ses précédents films)
Si vous avez envie de prier le soleil, de manger McDo et de vivre une relation à un tout autre niveau, découvrez les Enfants du Temps !
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jevaisciner · 5 years ago
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Je vous souhaite à toutes et à tous une très Bonne Année 2020 ! Tous mes vœux de bonheur, de réussite et de santé. Et de beaux films au cinéma bien sûr.
En 2019, j’ai atteint les 103 films vus en salle. J’ai visionné plus de 190 heures de films, soit plus de 7 jours cumulés.
Voici donc mon petit bilan annuel. Il s’agit de mes classements de films, selon mon avis strictement personnel.
Tout d’abord, le Top 3, c’est-à-dire des films où je suis resté scotché, où j’ai été à fond pendant toute la projo, qui m’ont ému et qui véhiculent de bonnes choses :
Films étrangers :
1)  Parasite de  Bong Joon-ho (vu en juin 2019)
2) Bienvenue à Marwen de Robert Zemeckis (vu en janvier 2019)
3) Ne Coupez Pas ! de Shinichiro Ueda (vu en février 2019)
Films français :
1) Le Chant Du Loup de Antonin Baudry (vu en février 2019)
2) Edmond de Alexis Michalik (vu en février 2019)
3) La Vie Scolaire de Grand Corps Malade et Mehdi Idir (vu en septembre 2019)
Ensuite, mon Top 3 des Films d’Animation, pour ceux qui m’ont faire rire, fait pleurer et qui m’ont fait voyager :
1) Dragons 3 de Dean DeBlois (vu en février 2019)
2)  J’Ai Perdu Mon Corps de Jérémy Clapin (vu en octobre 2019)
3) Shaun Le Mouton : La Ferme Contre Attaque de  Will Becher et Richard Phelan (vu en octobre 2019)
Cette année, j’ai réussi à tomber sur des mauvais films … Voici donc le Flop 3, c’est-à-dire les films qui m’ont ennuyé, tant par l’histoire que par la réalisation et où je n’en voyais ni le bout, ni l’intérêt :
Films étrangers :
1) Hellboy de Neil Marshall (vu en mai 2019)
2) The Operative de Yuval Adler (vu en  juillet 2019)
3) Midway de Roland Emerich (vu en  novembre 2019)
Viennent ensuite les Déceptions, à savoir les films qui me plaisaient à la bande-annonce ou dès que j’en ai entendu parler, mais qui une fois à l’écran, ne sont pas si bons, voir mauvais :
1)   Captive State de Rupert Wyatt (vu en avril 2019)
2) The Dead Don’t Die de Jim Jarmusch (vu en mai 2019)
3) Ad Astra de James Gray  (vu en septembre 2019)
Mais enfin, j’ai aussi vu des bonnes Surprises, des films dont je n’attendais pas grand-chose ou que je ne connaissais pas ou qui s’annonçaient minables, mais qui m’ont bien plu, soit avec la réalisation, soit avec le casting, soit par l’originalité de l’histoire :
Films étrangers :
1) La Famille Addams de Conrad Vernon et Greg Tiernan (vu en décembre 2019)
2) Mid 90s de Jonah Hill (vu en mai 2019)
3) Escape Game d’Adam Robitel (vu en janvier 2019)
Films français :
1) Chamboultout d’Eric Lavaine (vu en avril 2019)
2) Terra Willy d’Eric Tosti (vu en février 2019 en avant-première)
3) Bon je n’ai pas vu assez de films français pour avoir 3 bonnes surprises…
Il y a bien sûr plein d’autres films, j’ai dû en choisir que 3 pour chaque liste. De plus, comme j’ai vu moins de films, je suis allé voir surtout ceux que je voulais voir.
Comme j’ai dépassé la barre symbolique des 100 films vus en salles, je ferai un petit bilan de statistiques, à travers 50 questions, dans un prochain article.
Cette année est à peine plus fructueuse que 2018. La fin de l’année a été dure à cause de la grève des transports qui m’a empêché de voir plus de films. J’aurai en tout cas continué à découvrir quelques nouveautés. Une projection équipe, une conférence de presse Disney à Annecy, la salle Georges Mélies de Montreuil, l’Imax Laser (et les salles américaines), le Dolby Cinema, la salle du Club 13…
Voilà pour 2019 ! Pour ce qui est de 2020, voici les films qui m’intéressent pour le moment (dans un ordre aléatoire) :
Mulan, Les Enfants du Temps (bon, ok, je l’ai déjà vu en avant-première, l’article arrive bientôt), Kingsman 3, En Avant !, Soul, Bob L’Eponge,Tenet, Scoob!, Jojo Rabbit, 1917, New Mutants (s’il daigne sortir un jour), Kong vs Godzilla…
La prochaine review arrive très vite ! Et restez attentif, on va fêter les 5 ans du blog bientôt et j’aurai de quoi honorer cet événement…
Donc si vous avez envie d’avoir un avis concis et efficace sans spoil sur les films en salles, c'est sur JeVaisCiner qu'il faut se rendre !
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jevaisciner · 5 years ago
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Et voici la dernière séance de 2019 ! J’aurai pu finir sur mieux, certes…
C'est ? Rendez-vous Chez Les Malawas
De ? James Huth
Compagnies ? TF1 Films Production / Pathé
Sorti le ? 25/12/2019
Vu le ? 30/12/2019
Où ? Passr’L
Genre ? Comédie / Aventure
Durée ? 92 min
Nationalité ? Français / Belge
Quoi ? Léo Poli, le présentateur de l’émission Rendez-vous Au Bout du Bout du Monde, décide pour la spéciale de Noël, d’inviter 4 personnalités. Ils les emmènent en Afrique, pour découvrir la tribu des Malawas. Les stars vont-elles supporter le manque de confort et l’hostilité de la nature ?
Alors ? Rien à signaler. Un exercice de style assez classique dans la comédie française. Le casting a été choisi pour ce que les comédiens savent faire le mieux, s’auto-parodier sans avoir à se forcer. Les gags sont poussifs, on les voit venir et paraissent forcés la plupart du temps. J’ai réussi à rire à 2-3 dialogues quand même et à apprécier quelques décors plutôt dépaysants. Néanmoins, même quand on a beau aller voir un film sans se prendre la tête, à le prendre sur soi pour ne pas faire attention aux défauts, ceux-ci sautent malheureusement aux yeux. Entre les personnages creux, le manque de montée (et de morale) et les animaux sur fond vert, on a l’embarras du choix. Ce qui me gêne le plus, c’est la tentative désespérée de vouloir faire mouche, autant sur les répliques que sur des scènes se voulant comiques, qui finalement paraissent grotesques. Cette histoire au scénario bancal ne sert que de prétexte pour voir chacun des acteurs dans leur routine.
Du coup ? La globalité reste fade et je savais à quoi m’attendre. Dommage, l’idée de parodier une célèbre émission semblait alléchante. Je l’ai choisi pour des raisons familiales et ce sera donc le dernier film pour 2019, mais on se retrouve bientôt pour le bilan de l’année.
Si vous avez envie d’un traducteur, de perruques et d’hypocrisie télévisuelle, direction l’Afrique du Sud, caméra à l’épaule.
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jevaisciner · 6 years ago
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Malgré le départ de Chroma, Panic ! Cinéma continue de fêter Noël au Forum des Images. Une fois n’est pas coutume, il s’agit du 2e film que j’avais déjà vu avant !
C'est ? Panic! Cinéma De Noël - Gremlins (1984)
De ? Panic! Cinéma, Forum des Images
Vu le ? 21/12/2019
Où ? Forum des Images
Genre ? Film de Noël décalé
Quoi ? Chaque année en décembre, au Forum des Images, on recommande de venir avec un pull de Noël (moche si possible), d’échanger des cadeaux nuls et de se retrouver pour un film de saison.
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Alors ? 2 ans de suite, j’étais tombé sur des cadeaux plutôt utiles. Un paquet de mouchoirs pour Brick et des oreilles de rennes pour La Vie Est Belle. J’ai espéré enchaîner une 3e fois, comme le veut le dicton. Mon regard lors du choix du paquet sur la table s’est porté sur un super emballage collector, à l’effigie de Karim & Jérémy. Qu’elle ne fut pas ma surprise d’avoir obtenu un présent complètement à l’opposé des précédentes années ! Je ne sais vraiment pas à quoi pourrait me servir cette pauvre carte. Bien joué secret santa, une belle surprise empoisonnée.
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Après l’ouverture commune de tous ces merveilles secrètes, les organisatrices ont élu les plus beaux costumes de la soirée. Un couple d’Elfes a ainsi gagné un super calendrier de chats, fait spécialement pour l’occasion. Avant le film, nous avons été gâté par la diffusion d’un court-métrage parodique, mélangeant les Gremlins avec d’autres films cultes, réalisé par Sacha Feiner, un fan de Gremlins. Joe Dante lui-même l’a validé et a demandé à embaucher cette personne pour une éventuel 3e volet.
Concernant le premier, j’ai été très content de le revoir, car je ne me rappelais vaguement que de quelques scènes.
C'est ? Gremlins
De ? Joe Dante
Compagnies ? Amblin / Warner Bros.
Sorti le ? 05/12/1984
Genre ? Comédie / Fanstastique
Durée ? 105 min
Nationalité ? Américain
Quoi ? Un papa inventeur voyage en Chine, afin de trouver le cadeau de Noël de son fils unique. Dans un antiquaire chinois, il déniche une petite créature, appelée Mogwai. Super mignonne et attachante, mais à seulement 3 conditions : ne pas l’exposer à la lumière vive, ne pas la mouiller et surtout ne pas la nourrir après minuit !
Alors ? Une belle œuvre attachante, créée par « la dreamteam du film familial » (ce sont les mots de Marie de Panic!) : produit par Steven Spielberg, écrit par Chris Columbus (qui plus tard lança la saga Harry Potter au cinéma) et réalisé par Joe Dante (Small Soldiers, Les Looney Tunes Passent à l’Action)
Les ennuis, dans l’histoire, arrivent plus tard que dans mon souvenir. Heureusement que le découpage permet de ne pas s’ennuyer avant.
Gizmo, la star du film, procure un réel plaisir et ses animations d’animatroniques ne vieillissent pas tant que ça. Pour les amateurs de la série The Mandalorian, vous penserez sans doute à l’Enfant.
Une série produite par Kathlyn Kennedy, la showrunner des Star Wars chez Disney. On la retrouve aussi à la production de Gremlins. Et je ne me souvenais pas qu’il y avait autant de références à d’autres œuvres dedans. Peut-être qu’il existe un lien avec le fan-service dans la dernière trilogie de la galaxie lointaine…
Du coup ? Des personnages attachants pas trop cuculs, des effets spéciaux encore sympa à regarder et des gags toujours aussi drôles, voilà ce qui définit Gremlins d’un bon film. Si on veut pinailler, on peut chercher les défauts. Si le film sortait en 2019, il se ferait attaquer de toute part par les rageux. Si on aime ce long-métrage, c’est la nostalgie qui parle, rien de plus.
Si vous avez envie de faire de la musique avec un Mogwai, d’inventions pas encore au point et de revoir Blanche-Neige et les Sept Nains en salle, adoptez donc ce petit Gizmo !
Du coup ? Une bonne séance avec une bonne ambiance. Panic! revient à ses débuts sans Chroma mais tient toujours le navire et continue de proposer des animations de qualité. Une atmosphère bon enfant aussi bien sur scène que dans le public. Un réel plaisir !
Panic! Cinéma : http://paniccinema.com
Forum des Images : https://www.forumdesimages.fr
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jevaisciner · 6 years ago
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Après avoir eu la conclusion des Avengers tels qu’on les connait, Disney propose la même année de clore une autre saga bien connue.
C'est ? Star Wars Épisode IX : L’Ascension de Skywalker (Star Wars Episode IX : The Rise of Skywalker)
De ? J.J. Abrams
Compagnies ? Lucasfilm/ Walt Disney Pictures
Sorti le ? 18/12/2019
Vu le ? 19/12/2019
Où ? Pathé La Villette
Genre ? SF / Aventure / Action
Durée ? 142 min
Nationalité ? Américain
Quoi ? La Résistance continue d’en découdre avec Le Premier Ordre, dirigé par le Leader Suprême Kylo Ren. Pendant que Rey est en formation Jedi avec la Générale Leia Organa, Poe, Finn, Chewbie et C3PO interceptent un message mystérieux d’un espion. Il semble indiquer le retour d’une menace bien plus terrible qu’ils ne le pensaient…
Alors ? Afin d’être prêt pour cet ultime volet consacré à l’héritage Skywalker, j’ai revisionné tous les épisodes, de I à VIII (et même Rogue One). Pour ce mini marathon de révision, je me suis focalisé uniquement sur l’histoire, pour me remémorer comment on en est arrivé là. Je voulais aussi voir ce qu’il manquait tant aux nouveaux, ce que reprochaient les gens. Et franchement, j’ai réalisé que narrativement, Star Wars (à travers uniquement les épisodes canons) n’a jamais été si dingue que ça. Ok, à l’époque ça révolutionnait le cinéma, mélanger des genres n’avait jamais été aussi bien fait. Mais justement, une fois l’effet de surprise passé, beaucoup crachent sur les films suivants, soi-disant que ce n’est pas aussi bien, que c’était mieux avant. Je crois que les gens n’arrivent plus à prendre du recul sur les films attendus. Leur attente passant avant tout, forcément, ça ne peut pas plaire à tout le monde. Alors ce Star Wars 9, honnêtement, il ne fait pas forcément pire que les autres.
Vouloir rajouter des éléments à un mythe de plus de 40 ans, ça fera toujours débat. Cependant, le public ne sait plus vraiment ce qu’il veut. Le Réveil de la Force copiait tandis que Les Derniers Jedi innovait. Dans les deux cas, les spectateurs ont râlé.
Avoir revu tous les épisodes, j’ai pu ainsi descendre mon niveau d’attente de cet ultime volet. Ça a été une bonne expérience au final.
Il faut arrêter de sacraliser la trilogie originale, car j’ai l’impression qu’on ne l’aime que grâce au ressenti des souvenirs qu’elle procure. Lorsque j’ai pris ça en compte, j’ai passé un plutôt bon moment.
Bien sûr que cet épisode comporte des défauts. Un montage trop rapide, des utilisations douteuses d’éléments que l’on connait, des facilités de mise en scène… Néanmoins, à côté de ça, je ressens des efforts fournis pour remettre au goût du jour la licence. Des apports visuels qui impressionnent, des principes scénaristiques qui surprennent, des idées de réalisation qui plaisent et même, du fan-service adéquat qui m’a fait sourire. Sur la fin, il fait plaisir aux fans et boucle bien la saga.
Du coup ? Les films Star Wars n’ont jamais été tout noir ou tout blanc pour moi. Ils possèdent tous du bon et du moins bon, que ça soit dans la prélogie, trilogie et postlogie. L’épisode IX n’échappe pas à la règle et contente autant qu’il ne déçoit. De toute façon, ils n’allaient pas se rattraper comme ça d’un coup, juste parce que c’est l’ultime volet. Quand on sait que cette nouvelle trilogie n’a jamais été écrite de façon cohérente, mais selon les envies de chaque réalisateur… c’est déjà gâché. Alors on réduit ses attentes pour être éventuellement surpris. Et on passe un meilleur moment.
Si vous avez envie de voir danser toute une ville, de faire des ricochets dans l’espace et de visions en tout genre, clôturez donc cette saga Skywalker, une bonne fois pour toute !
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jevaisciner · 6 years ago
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À cause de la grève générale, ça faisait quelques jours que je n’étais pas sorti. J’ai donc trouvé une fenêtre de temps pour tenter un ciné. La journée s’est mieux terminée qu’elle n’a commencé.
C'est ? La Famille Addams (The Addams Family)
De ? Conrad Vernon, Greg Tiernan
Compagnies ? MGM / BRON / Universal Pictures
Sorti le ? 04/12/2019
Vu le ? 09/12/2019
Où ? Gaumont Parnasse
Genre ? Animation / Fantastique / Comédie
Durée ? 97 min
Nationalité ? Américain
Quoi ? La Famille Addams, lugubre et morbide, a emménagé dans le manoir de la petite ville d’Assimilation. Tout semblait bien se dérouler, jusqu’au jour où la présentatrice déco Margaux Needler découvre l’existence de cette maison. Elle qui ne jure que par les couleurs flashy et la bienveillance, elle va tout faire pour virer cet immondice du décor…
Alors ? Le design aux premiers abords paraissent abruptes et peu attirants. De même, la bande-annonce reprend les codes des films mainstream à plus petits budgets. Le genre de projet qui ne se base que sur une licence rétro. Alors qu’en fait…
Je ne connais pas grand-chose à la Famille Addams, seulement en surface les icones cultes que l’on peut retrouver partout. Je n’ai vu aucun film, aucune série (live ou animée) et aucune BD. Et pourtant, je suis tout de suite rentré dans l’univers macabre et hilarant.
On a déjà eu droit à des aventures mortuaires, notamment avec la trilogie Hôtel Transylvanie de chez Sony Pictures Animation. Que pouvait donc raconter de plus ce long-métrage ? Eh bien ils se sont focalisé sur ce qui caractérise le plus cette famille déjantée : la mort. Et ça fonctionne à mort.
Les gags tournent autour du mauvais goût, du meurtre et le décalage se base sur le contraste entre ce que l’on est censé penser comme moralement acceptable et leur vision de la « bienveillance ». Ce long-métrage ne s’adresse clairement pas au très jeune public, car beaucoup de blagues nécessitent un certain recul pour bien les saisir. Il est préférable de le regarder à partir de l’adolescence, je pense.
L’efficacité de l’humour apporte un bon rythme. Jamais de scène lourdes, on cale la chute rapidement sans faire traîner, tout en tapant juste. À titre personnel, c’est carrément mon type d’humour : décalé, absurde et subtile (dans le sens que parfois par petite touche discrète, qui rajoute juste du rythme). J’ai remarqué à un moment d’ailleurs un petit détail, insignifiant pour une scène, mais qui participe à l’agrémenter. Ça me donne envie de le revoir, juste pour débusquer d’autres de ces easter-eggs, dont les décors semblent regorger.
Malgré des designs très exagérés, l’animation tient vraiment la route et même quelques effets spéciaux / simulation impressionnent.
Enfin, l’intrigue explore beaucoup de sujets actuels, sans faire dans le pathos. Par exemple, les réseaux sociaux et la technologie font partie des thèmes, sans pour autant en faire trop. Ils les utilisent à bon escient en évitant de surcharger, comme pourraient le faire des films plus flemmards.
Du coup ? Une véritable bonne surprise. Un humour décalé qui me touche beaucoup, tout en abordant des sujets modernes pertinents. Les références au culte de la Famille Addams se font discrètes et ne dérangent pas les spectateurs néophytes comme moi. L’écriture se tourne plutôt vers un public âgé (bon, pas non plus comme Sausage Party, le précédent film des réals), car l’aspect sordide est très présent et constitue la force de ce film. Le casting original assure grave et je pense que cela joue beaucoup sur l’ambiance. Évitez d’aller le voir en VF, beaucoup de blagues doivent y passer à trépas.
Si vous avez envie de multiple tentative de meurtre, d’un corbeau malade et d’un pianiste virtuose, redécouvrez la Famille la plus barge du cinéma !
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jevaisciner · 6 years ago
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Le retour des avant-premières au Grand Rex avec le retour à Jumanji !
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C'est ? Jumanji : Next Level (Jumanji: The Next Level)
De ? Jake Kasdan
Compagnies ? Seven Bucks Production / Sony Pictures
Sorti le ? 04/12/2019
Vu le ? 03/12/2019
Où ? La Grand Rex
Genre ? Aventure / Action / Comédie
Durée ? 123 min
Nationalité ? Américain
Quoi ? Martha, Bettany et Fridge retourne dans le jeu vidéo Jumanji, pour une toute nouvelle mission. Spencer a disparu et les avatars n’appartiennent pas aux personnes habituelles…
Alors ? Très heureux de retourner enfin dans une avant-première organisée par le Grand Rex. Et Sony a mis le paquet. Tapis rouge (malheureusement déjà complet quand j'y suis arrivé), interviews des invités, couverture live de l'événement, insta-wall (bon certes qui affichait toujours les mêmes photos), photo-call avec décor pour les invités, spectacle de percussions et enfin, introduction du film par le casting. 
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Nous on fait l'honneur de venir sur scène les producteurs, Matt Tolmach et Hiram Garcia, le réalisateur / co scénariste Jake Kasdan, les acteurs principaux Karen Gillan (Avengers : Endgame), Kevin Hart (Agents Presque Secrets), Jack Black (Kung-Fu Panda 3) et Dwayne « The Rock » Johnson (Hobbs and Shaw) Une bonne ambiance, certes avec les classiques 'amazing' et autres 'great crew' mais qui reflète une vraie entente entre les membres de l'équipe. Tous dégageaient une sympathie sincère.
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Bon, le film, il vaut le coup ? La bande-annonce avait fini par m'agacer, car elle représentait juste le surfage de succès. Le premier volet m'avait beaucoup plu à ma grande surprise, pour ce reboot improbable (vu également en avant-première au même endroit, 2 ans plus tôt quasiment jour pour jour). Eh bien cette suite continue bien sur la lancée de la licence.
Jumanji : Next Level respire le film de pur divertissement qui le fait bien. Les ingrédients telles que l'aventure, l'action et la comédie se marient parfaitement, avec un soupçon d'originalité.
Le principe de body-swapping reste le point fort de ce reboot et ils ont réussi à faire encore plus fort dans ce second volet. Les acteurs représentent excellemment des personnages qui sont dans la peau de caricatures !
De même, je n'ai pas trouvé l'humour hyper lourd. Il se dispose même de façon juste et pertinente ! J'ai beaucoup ris notamment aux gags qui se réinventent, malgré quelques airs de déjà-vu.
Niveau effets spéciaux, on est loin d'un budget Avengers, donc certaines créatures et fonds verts piquent les yeux (peut-être pas autant que Midway). Seuls quelques plans avec des mandrilles tapent vraiment dans l'oeil.
L'histoire respecte simplement le film d'aventure et ajoute autour son lot de messages touchants. Les personnages, même si on en connait déjà, ont encore une évolution intelligente.
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Du coup ? Le reboot de Jumanji faisait peur et pourtant, cette suite confirme qu'il va dans une bonne direction. Le divertissement est suffisamment bien géré, en reprenant les grandes lignes de ce qu'on aime, tout en y apportant une touche de fraicheur, de rire bien sentis et même d'émotion. Clairement le film pour tout âge, qui fera plaisir à n'importe quelle génération. Et je vous dis ça alors que j'ai passé la séance à esquiver la touffe de cheveux devant moi, qui m'empêchait parfois de voir une partie de l'écran !
Si vous avez envie de connaître par cœur les animaux, de frapper aussi fort qu'Obélix et de ponts suspendus, retournez à Jumanji pour une nouvelle mission !
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