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Promouvoir des solutions inclusives et durables pour un monde meilleur
Le thème de cette année, « Les coopératives : promouvoir des solutions inclusives et durables pour un monde meilleur », souligne l’impact mondial durable des coopératives, les positionnant comme des solutions essentielles aux défis mondiaux d’aujourd’hui. Il met en avant leurs contributions au développement durable dans les dimensions sociales, économiques et environnementales, montrant comment les coopératives sont des moteurs clés pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies d’ici à 2030. Le thème met également l’accent sur la capacité unique des coopératives à favoriser une croissance inclusive et à renforcer la résilience des communautés.
Cette Journée 2025 est un moment phare de l’Année internationale des coopératives (AIC), destiné à mobiliser la sensibilisation, encourager de nouveaux partenariats et démontrer comment les coopératives construisent un monde meilleur — par et pour tous.
Cette Journée 2025 a notamment pour objectifs de :
sensibiliser à l’impact et au potentiel des coopératives à l’échelle mondiale;
encourager les gouvernements, le secteur privé et la société civile à soutenir les initiatives coopératives;
présenter les réussites et les innovations des mod��les coopératifs;
promouvoir les politiques et les pratiques qui permettent aux coopératives de prospérer.
Contexte et histoire
Qu'est-ce qu'une coopérative ?
Une coopérative est une association autonome de personnes volontairement unies pour répondre à leurs besoins et leurs aspirations économiques, sociales et culturelles communes, au moyen d’une entreprise leur appartenant en commun et régie démocratiquement.
Grâce à leur mode de fonctionnement axé sur les personnes et non sur le capital, les coopératives permettent une redistribution des richesses de façon équitable et démocratique, plus que tout autre modèle d'entreprise, évitant ainsi de perpétuer et d’accélérer le phénomène mondial de concentration des richesses.
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Un handicap distinct nécessitant un soutien et une inclusion spécialisés
La surdicécité est la combinaison d’une déficience visuelle et d’une déficience auditive d’une gravité telle qu’il est difficile pour les sens déficients de se compenser mutuellement, et qu’il s’agit donc d’un handicap à part entière, avec ses propres enjeux, obstacles et exigences en matière de soutien et d’inclusion, lesquels diffèrent de ceux dont bénéficient les personnes qui sont uniquement sourdes
ou aveugles.
Les personnes sourdaveugles sont confrontées à des obstacles du fait que la surdicécité n’est ni traitée ni reconnue comme un handicap à part entière, ce qui a pour conséquence de les rendre invisibles dans les statistiques, les politiques et les programmes, et les empêche donc d’accéder aux services.
Les interprètes et les guides-interprètes professionnels sont donc d'une importance cruciale pour personnes sourdaveugles pour ce qui est de garantir l’accès à l’information, à la communication, aux services et aux droits fondamentaux, ainsi que pour permettre aux personnes atteintes de surdicécité de vivre de manière indépendante et d’être incluses dans la communauté.
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Un handicap distinct nécessitant un soutien et une inclusion spécialisés
La surdicécité est la combinaison d’une déficience visuelle et d’une déficience auditive d’une gravité telle qu’il est difficile pour les sens déficients de se compenser mutuellement, et qu’il s’agit donc d’un handicap à part entière, avec ses propres enjeux, obstacles et exigences en matière de soutien et d’inclusion, lesquels diffèrent de ceux dont bénéficient les personnes qui sont uniquement sourdes
ou aveugles.
Les personnes sourdaveugles sont confrontées à des obstacles du fait que la surdicécité n’est ni traitée ni reconnue comme un handicap à part entière, ce qui a pour conséquence de les rendre invisibles dans les statistiques, les politiques et les programmes, et les empêche donc d’accéder aux services.
Les interprètes et les guides-interprètes professionnels sont donc d'une importance cruciale pour personnes sourdaveugles pour ce qui est de garantir l’accès à l’information, à la communication, aux services et aux droits fondamentaux, ainsi que pour permettre aux personnes atteintes de surdicécité de vivre de manière indépendante et d’être incluses dans la communauté.
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Bienvenue aux Nations Unies

Journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues
26 juin
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Un membre de l'unité anti-drogue de la police nationale du Libéria devant une décharge municipale, à l'extérieur de la capitale Monrovia, au Libéria, où sont brûlés près de 400 kilos de marijuana et d'autres drogues saisies.
PHOTO :ONU/Staton Winter
Conformément à sa résolution A/RES/42/112, du 7 décembre 1987, l'Assemblée générale a décidé de célébrer la Journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues le 26 juin afin de renforcer l'action et la coopération aux échelons national, régional et international dans le but de parvenir à une société affranchie de l'abus des drogues.
Soutenue chaque année par la communauté internationale et par l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, cette journée a pour objectif de renforcer la sensibilisation au grand danger que sont les drogues illicites pour notre société.
Les faits sont là : investissons dans la prévention
Le problème mondial de la drogue représente un défi à multiples facettes qui touche la vie de millions de personnes dans le monde. Qu'il s'agisse d'individus souffrant de troubles liés à l'utilisation de substances ou de communautés aux prises avec les conséquences du trafic de drogue et de la criminalité organisée, les répercussions de la drogue sont vastes et complexes. Pour relever ce défi, il est impératif d'adopter une approche fondée sur des preuves scientifiques qui donne la priorité à la prévention et au traitement.
La Journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues, ou Journée mondiale contre la drogue, est célébrée chaque année le 26 juin pour renforcer l'action et la coopération en vue de parvenir à un monde sans toxicomanie. Cette année, la Journée mondiale de la drogue appelle à investir dans la prévention, en particulier dans la justice, l'éducation, les soins de santé et les moyens de subsistance alternatifs, qui sont les fondements d'une résilience durable.
La campagne de cette année « Brisons le cycle. Stoppons le crime organisé. » souligne la nécessité d'une action coordonnée à long terme pour briser le cycle de la criminalité organisée et du trafic de drogue - en s'attaquant aux causes profondes, en investissant dans la prévention et en renforçant les systèmes de santé, d'éducation et les systèmes sociaux.
Participez aux conversations sur les réseaux sociaux en suivant les hashtags #Journéemondialedeladrogue
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La torture : un crime contre l'humanité
La torture est un crime au regard du droit international. Selon tous les instruments pertinents, elle est absolument interdite et ne peut être justifiée en aucune circonstance. Cette règle fait partie du droit international largement accepté et implique que chaque pays doit s'y conformer, même s'il n'a pas signé de traité spécifique interdisant la torture. De plus, la pratique systématique ou généralisée de la torture constitue un crime contre l'humanité.
Les Nations Unies ont toujours considéré la torture comme l'un des actes les plus viles commis par des êtres humains sur leurs semblables.
Par la résolution 52/149, adoptée le 12 décembre 1997, l'Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 26 juin Journée internationale des Nations Unies pour le soutien aux victimes de la torture, en vue d'éliminer totalement la torture et d'assurer l'application effective de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, qui est entrée en vigueur le 26 juin 1987.
Cette Journée fait appel à toutes les parties prenantes, y compris les États Membres de l'ONU, la société civile et les individus à travers le monde pour s'unir et soutenir les centaines de milliers de personnes qui ont été (ou sont encore) victimes de torture.
Aucune excuse
La torture vise à briser la personnalité de la victime et constitue une négation de la dignité inhérente à l'être humain. Malgré l'interdiction absolue de la torture en vertu du droit international, elle persiste dans toutes les régions du monde.
« Le recours à la torture augmente dans le monde entier; c'est en partie lié au fait que (...) nous avons plus de guerres dans le monde depuis 1945 », déclare la Rapporteuse spéciale sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, Alice Jill Edwards. « De nombreux conflits actuels se caractérisent par la pratique généralisée et sans retenue de la torture et d’autres crimes de guerre similaires perpétrés dans le cadre de stratégies militaires délibérées, ou par des individus délinquants ou opportunistes, qu’ils soient soldats, paramilitaires, miliciens, mercenaires ou criminels. »
La protection des frontières et la sécurité nationale sont des moyens utilisés pour justifier la torture et d'autres formes de traitements cruels, inhumains et dégradants. Ses conséquences vont souvent au-delà de l'acte isolé sur un individu et peuvent être transmises à des générations et conduire à des cycles de violence.
« Je réfute l'argument selon lequel il s'agit d'une coalescence naturelle parce que je pense que des troupes disciplinées ne torturent pas. Je pense que suffisamment d'armées dans le monde connaissent les règles du droit de la guerre. Elles savent que la torture est absolument interdite en toutes circonstances. Il n'y a pas d'excuses pour la torture. »
Guérir grâce à la réadaptation
Des programmes de réhabilitation sont nécessaires pour permettre aux victimes une transition de l'horreur à la guérison. Le Fonds de contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture, administré par le Bureau des droits de l’homme, est un mécanisme unique, axé sur les victimes et leur famille afin de leur apporter un soutien financier. Créé en 1981, le Fonds fournit des services juridiques, sociaux, humanitaires, psychologiques et médicaux. Les bénéficiaires comprennent les défenseurs des droits humains, les personnes privées de liberté, les enfants et les adolescents, les réfugiés et les migrants, les victimes de disparitions forcées, les peuples autochtones, les victimes de violences sexuelles et sexistes et les personnes LGBTI, entre autres.
Découvrez à travers cette vidéo comment les services de réadaptation aident les survivants de la torture à guérir.
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