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Des femmes invisibles, aux problèmes invisibles
Pour de nombreuses femmes dans le monde, la perte dévastatrice d'un partenaire est amplifiée par un combat de longue haleine pour leurs droits fondamentaux et leur dignité. Malgré le fait qu'il y ait plus de 258 millions de veuves dans le monde, celles-ci ont historiquement été laissées dans l'ombre, et souvent sans mesure de soutien dans nos sociétés.
Les conflits armés, les déplacements et les migrations laissent des dizaines de milliers de femmes veuves et de nombreuses autres dont les partenaires ont disparu; leurs expériences et besoins uniques doivent être mis en avant et leurs voix doivent tracer le chemin.
Les veuves se voient souvent refuser leurs droits de succession ou confisquer leurs biens après la mort de leur conjoint. Elles font parfais aussi face à une stigmatisation et à des actes de discrimination sans précédent car elles sont taxées d’être, à leur tour, « porteuses » de la maladie.
À l'échelle mondiale, les femmes ont moins de chances d'avoir accès à des pensions de vieillesse par rapport aux hommes, de sorte que le décès d'un conjoint peut entraîner le dénuement des femmes âgées. Certaines veuves n'ont pas d'accès possible aux comptes bancaires, par exemple, entravant leur capacité à subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs enfants. Les familles monoparentales et les femmes âgées célibataires étant déjà particulièrement vulnérables à la pauvreté, c'est une question qui nécessite d'urgence toute notre attention.
Bien que les données restent limitées, on estime qu'il y a environ 258 millions de veuves dans le monde; une sur dix vit dans une pauvreté extrême.
L’absence de données solides et fiables reste l’un des principaux obstacles à l’élaboration de politiques et de programmes d’élimination de la pauvreté, de la violence et de la discrimination dont sont victimes les veuves. Plus de recherches et de statistiques ventilées par statut matrimonial, sexe et âge sont nécessaires pour mieux évaluer l’incidence de leur maltraitance.
À l'occasion de la Journée internationale des veuves, le 23 juin, découvrez certains des problèmes qui touchent les veuves dans le monde et ce qu'il faut faire pour sauvegarder et faire progresser leurs droits.
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La Journée et les récompenses de la fonction publique
La Journée des Nations Unies pour la Fonction publique a pour but de célébrer la valeur et la vertu du service public pour la communauté, de souligner la contribution du service public au processus de développement, de reconnaître le travail des fonctionnaires et d'encourager les jeunes à poursuivre des carrières dans le secteur public. Depuis la première cérémonie de remise des prix en 2003, les Nations Unies ont reçu un nombre croissant de candidatures du monde entier.
Le Prix du service public des Nations Unies est la reconnaissance internationale la plus prestigieuse de l'excellence dans le service public. Il récompense les réalisations créatives et les contributions des institutions de service public qui conduisent à une administration publique plus efficace et plus réactive dans les pays du monde entier. Par le biais d'un concours annuel, le Prix du service public des Nations Unies promeut le rôle, le professionnalisme et la visibilité du service public.
Origines
La Journée des Nations Unies pour la fonction publique, proclamée en 2003 par l'Assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution A/RES/57/277, met en valeur le rôle de l'administration publique pour le développement et auprès des communautés.
Pour renforcer la reconnaissance de la Journée et de la valeur du service public, les Nations Unies ont créé en 2003 le programme des Prix du service public des Nations Unies, qui a été revu en 2016 pour s'aligner sur le Programme de développement durable à l'horizon 2030.
Le Forum du service public des Nations Unies est un événement mondial qui se concentre sur le développement des capacités en matière de gouvernance publique. Chaque année, le Département des affaires économiques et sociales de l'ONU organise le Forum avec un pays hôte, profitant de l'événement pour organiser des ateliers de développement des capacités, la cérémonie de remise des prix du service public des Nations Unies et une table ronde ministérielle.
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Le solstice comme incarnation de l'unité du patrimoine culturel et des traditions séculaires
La culture peut être définie comme l'ensemble des caractéristiques spirituelles, matérielles, intellectuelles et émotionnelles d'une société ou d'un groupe social. Elle englobe, outre l'art et la littérature, les modes de vie, les façons de vivre ensemble, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances. Ainsi, la culture est au cœur des débats contemporains sur l’identité, la cohésion sociale et le développement d’une économie fondée sur la connaissance.
Par conséquent, dans nos sociétés de plus en plus diversifiées, il est essentiel d’assurer une interaction harmonieuse entre les personnes et les groupes ayant des identités culturelles plurielles, variées et dynamiques, ainsi que leur volonté de vivre ensemble. En ce sens, la diversité culturelle constitue le patrimoine commun de l'humanité et devrait être reconnue et affirmée au profit des générations actuelles et futures.
Consciente que les solstices et les équinoxes symbolisent la fertilité de la terre, les systèmes de production agricole et alimentaire, le patrimoine culturel et leurs traditions millénaires, l’Assemblée générale des Nations Unies a reconnu que la célébration de ces événements était l’incarnation de l’unité du patrimoine culturel et de traditions séculaires, et qu’elle jouait également un rôle important dans le renforcement des liens entre les peuples sur la base du respect mutuel et du respect des droits fondamentaux, des idéaux de paix et du bon voisinage. Elle a donc reconnu le 21 juin comme étant la Journée internationale de la célébration du solstice, en adoptant la résolution A/RES/73/300.
Contexte
Le mot solstice est dérivé du latin sol (« soleil ») et de sistere (« rester immobile »), car le mouvement saisonnier du trajet quotidien du Soleil (vu de la Terre) semble « rester immobile » à la limite nord ou sud avant la direction inverse. Le solstice est un événement qui se produit lorsque le Soleil atteint son arc de jour le plus au nord ou au sud par rapport à l'équateur. Il y a donc deux solstices chaque année : vers le 21 juin (communément appelé « solstice d'été » pour être le premier jour de l'été et le jour le plus long de l'année) et le 21 décembre (communément appelé « solstice d'hiver » pour être le premier jour d'hiver et le jour le plus court de l'année).
L'équinoxe est, quant à lui, un mot dérivé du latin aequinoctium qui se décompose en aequus (égal) et nox (nuit). Il est généralement considéré comme le moment où le centre du Soleil visible se trouve directement au-dessus de l'équateur, et cela deux fois par an : vers le 20 mars (appelé « équinoxe du printemps » car il marque le début du printemps dans la plupart des cultures) et le 23 septembre (appelé « équinoxe d'automne » pour le début de l'automne). Les équinoxes sont les seuls moments où le terminateur solaire (le « bord » entre la nuit et le jour) est perpendiculaire à l'équateur, de sorte que le jour et la nuit ont une durée approximativement égale.
Les solstices, ainsi que les équinoxes, sont liés aux saisons, aux récoltes et aux modes de vie. Par conséquent, de nombreuses cultures célèbrent diverses combinaisons de solstices, d'équinoxes ainsi que d'autres moments liés au positionnement du Soleil. Ces célébrations sont véritablement ancrées dans certaines cultures et s'accompagnent fréquemment de périodes de vacances.
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Yoga : une planète, une santé
Cette année, la 11e Journée internationale du yoga est placée sous le thème « Yoga : une planète, une santé », qui fait écho à une vérité essentielle : le bien-être personnel et la santé de la planète sont indissociablement liés. Le yoga renforce le corps, calme l'esprit et favorise un sens accru de la conscience et de la responsabilité dans la vie quotidienne. Cette conscience permet de choisir des modes de vie plus sains et plus durables. En prenant soin de nous-mêmes, nous commençons à prendre soin de la Terre, reflétant l'éthique indienne durable de Vasudhaiva Kutumbakam - le monde est une seule famille.
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Solidarité avec les réfugiés
Tous les ans, le 20 juin, la Journée mondiale des réfugiés est l'occasion de saluer la force et le courage de celles et ceux qui ont été forcés de fuir leur pays d'origine pour échapper aux conflits ou à la persécution.
La Journée mondiale des réfugiés de 2025 est notamment un appel puissant à l'action et à l'empathie en cette période d'incertitude mondiale. Face au nombre record de personnes déplacées de force et à la menace qui pèse sur l'aide humanitaire, le thème de cette année, « Solidarité avec les réfugiés », nous incite à aller au-delà des mots et à prendre des mesures concrètes pour soutenir ceux qui sont contraints de fuir. Les réfugiés ne recherchent pas la charité, mais des opportunités — une chance de reconstruire leur vie, de contribuer à leur communauté et de vivre dans la dignité.
En cette journée, nous rendons ainsi hommage à leur courage et à leur résilience, nous écoutons leurs histoires et plaidons en faveur de solutions durables aux déplacements. La Journée nous rappelle que l'accueil des réfugiés renforce les sociétés, favorise l'innovation et crée des communautés où chacun peut trouver sa place. Grâce à l'action collective, allant du changement de politique et de l'engagement communautaire au partage des voix des réfugiés, nous affirmons que les réfugiés ne sont pas oubliés, qu'ils ne sont pas seuls et qu'ils ne sont pas sans espoir.
Que signifie être solidaire ?
Mettre en avant les voix des réfugiés.
Écouter et partager les histoires personnelles des réfugiés, en reconnaissant leur force, leur courage et leurs identités multiples au-delà du déplacement.
Construire des communautés inclusives.
Créer des environnements accueillants où les réfugiés peuvent nouer des liens, trouver des opportunités et contribuer de manière significative à leur communauté.
Travailler ensemble pour la paix et les solutions.
Défendre le droit de rechercher la sécurité, plaider pour la résolution des conflits et soutenir un avenir durable et à long terme pour les populations déplacées.
Soutenir ceux qui restent et tiennent leurs promesses.
Soutenir l'ONU et ses travailleurs humanitaires qui continuent d'exercer leurs fonctions dans les conditions les plus difficiles, en veillant à ce qu'une aide vitale parvienne à ceux qui en ont besoin
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Thème 2025 : Lutter contre la maltraitance des personnes âgées dans les établissements de soins de longue durée
Malgré une prise de conscience accrue, de nombreux pays ne disposent toujours pas de données fiables et ventilées, et les pénuries de personnel ou le manque de formation adéquate continuent de créer des conditions à haut risque pour la maltraitance et la négligence. Une étude soutenue par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a révélé que près de 64 % du personnel institutionnel avait admis avoir eu un comportement abusif au cours de l'année précédente, ce qui souligne l'urgence d'un changement systémique.
Cette année, la Journée mondiale de sensibilisation à la maltraitance des personnes âgées met l'accent sur la maltraitance des personnes âgées dans les établissements de soins de longue durée. Si un certain nombre de personnes âgées vivent dans leur communauté, le placement en institution est une réalité pour beaucoup d'entre elles. Le besoin de soins en institution augmentant avec le vieillissement de la population mondiale, la protection des droits, de la sécurité et de la dignité des résidents revêt une importance primordiale.
Il est plus urgent que jamais de garantir la sécurité et la dignité des résidents.
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Dakota Johnson
Flaunt Magazine, June/July 2025
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Thème 2025 : Lutter contre la maltraitance des personnes âgées dans les établissements de soins de longue durée
Malgré une prise de conscience accrue, de nombreux pays ne disposent toujours pas de données fiables et ventilées, et les pénuries de personnel ou le manque de formation adéquate continuent de créer des conditions à haut risque pour la maltraitance et la négligence. Une étude soutenue par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a révélé que près de 64 % du personnel institutionnel avait admis avoir eu un comportement abusif au cours de l'année précédente, ce qui souligne l'urgence d'un changement systémique.
Cette année, la Journée mondiale de sensibilisation à la maltraitance des personnes âgées met l'accent sur la maltraitance des personnes âgées dans les établissements de soins de longue durée. Si un certain nombre de personnes âgées vivent dans leur communauté, le placement en institution est une réalité pour beaucoup d'entre elles. Le besoin de soins en institution augmentant avec le vieillissement de la population mondiale, la protection des droits, de la sécurité et de la dignité des résidents revêt une importance primordiale.
Il est plus urgent que jamais de garantir la sécurité et la dignité des résidents.
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Revendiquer nos droits : Protéger notre peau, préserver nos vies
Le thème 2025 souligne le besoin urgent de prévenir le cancer de la peau chez les personnes atteintes d'albinisme par la sensibilisation, le dépistage et l'accès à la crème solaire.
Le risque de cancer de la peau est extrêmement élevé pour les personnes atteintes d'albinisme, et le manque d'accès à la crème solaire, aux équipements de protection, ainsi qu'au dépistage et au traitement du cancer de la peau peut entraîner des décès prévisibles, mais évitables. Le cancer de la peau est la première cause de décès chez les personnes atteintes d'albinisme dans la région d'Afrique australe, ce qui fait de la crème solaire un médicament essentiel et non un produit cosmétique.
La majorité des plans d’action nationaux sur l’albinisme adoptés à ce jour prévoient des mesures visant à garantir l’accès à des crèmes solaires, à des vêtements de protection, à des examens dermatologiques réguliers et à des traitements du cancer de la peau. Certains pays ont ajouté les crèmes solaires à leur liste nationale de médicaments essentiels. Plusieurs États ont mis en place des initiatives pour fournir gratuitement, ou subventionner, des crèmes solaires et des vêtements de protection contre le soleil, faciliter l’accès aux services dermatologiques et de dépistage et de traitement du cancer de la peau et organiser des campagnes de sensibilisation afin d’informer les personnes atteintes d’albinisme et leur famille sur l’importance de la protection solaire. Les études publiées sur les effets de ces interventions ont montré que celles-ci, lorsqu’elles étaient mises en œuvre, amélioraient considérablement la santé des intéressés.
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Qu’est-ce que la Journée mondiale de l’environnement ?
Conduite par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et organisée chaque année le 5 juin depuis 1973, la Journée mondiale de l'environnement est la plus grande plateforme mondiale de sensibilisation du public à l'environnement et est célébrée par des millions de personnes à travers le monde..
Pour la deuxième fois, la République de Corée accueille la Journée mondiale de l’environnement et mène les efforts pour réduire la pollution plastique grâce à une stratégie globale couvrant tout le cycle de vie des plastiques, impliquant le gouvernement, les entreprises et les consommateurs. Cette année, le lieu hôte, la Province autonome spéciale de Jeju, s’est fixé un objectif ambitieux : éliminer la pollution plastique d’ici 2040.
Pourquoi y participer ?
Le temps presse et la nature est en état d'urgence. Pour maintenir le réchauffement de la planète en dessous de 1,5°C au cours de ce siècle, nous devons réduire de moitié les émissions annuelles de gaz à effet de serre d'ici à 2030. Si nous n'agissons pas, l'exposition à la pollution atmosphérique au-delà des normes de sécurité augmentera de 50 % au cours de la décennie et les déchets plastiques déversés dans les écosystèmes aquatiques tripleront d'ici environ 2040.
Nous devons agir de toute urgence pour résoudre ces problèmes pressants.
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Mettre à l'honneur les parents du monde entier
La responsabilité première des parents a toujours été de prendre soin des enfants, de les protéger et d'assurer le développement harmonieux de leur personnalité. La famille doit garantir un climat de bonheur, d'amour et de compréhension pour permettre aux enfants de mieux grandir et affronter l'avenir. Cette Journée mondiale rend hommage au dévouement des parents, à leur engagement et leur sacrifice pour assurer l'avenir de leurs enfants.
Depuis les années 80, le rôle de la famille a de plus en plus retenu l'attention de la communauté internationale. L'Assemblée générale a adopté plusieurs résolutions, et proclamé l'Année internationale de la famille (1994) et la Journée internationale des familles. Dans sa résolution A/RES/66/292 du 17 septembre 2012, l'Assemblée générale a décidé de proclamer le 1er juin, Journée mondiale des parents, pour mettre à l'honneur les parents du monde entier.
Les familles, les parents et les personnes qui s'occupent des enfants jouent un rôle central dans le bien-être et le développement des enfants. Ils offrent aux enfants et aux adolescents une identité, de l'amour, des soins, des services et une protection, ainsi qu'une sécurité et une stabilité économiques. Conformément à l'esprit de la Convention relative aux droits de l'enfant, le soutien aux familles et aux parents est de plus en plus reconnu comme un élément important des politiques sociales nationales et des programmes d'investissement social visant à réduire la pauvreté, à diminuer les inégalités et à promouvoir le bien-être des parents et des enfants.
Thème 2025 : Être parents
À l'occasion de la Journée mondiale des parents 2025, le thème « Être parents » attire l'attention sur une réalité essentielle mais souvent sous-estimée : être parent est une compétence qui s'apprend. Les parents et les personnes qui s'occupent des enfants ont besoin de temps, de ressources et de soutien pour élever leurs enfants dans un environnement stimulant et positif.
Dans le cadre des célébrations de cette année, l'UNICEF lancera le Mois de la parentalité 2025 (en anglais) pour souligner l'importance de doter les personnes qui s'occupent des enfants des connaissances et des outils dont elles ont besoin. La campagne, qui durera un mois, présentera des histoires touchantes sur les joies et les défis de la parentalité, partagera des conseils et des ressources pratiques sur la parentalité, et appellera à un plus grand soutien pour les soignants par le biais de programmes sur la parentalité.
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L'avenir du maintien de la paix
Depuis près de 80 ans, les Casques bleus des Nations Unies apportent des changements tangibles aux communautés du monde entier. Du Liberia à la Namibie en passant par le Cambodge, la Sierra Leone et le Timor-Leste, leur présence a permis de sauver des vies et de transformer certains des contextes politiques et sécuritaires les plus instables, en guidant les pays d'un conflit vers une paix durable.
Placée sous le thème « L'avenir du maintien de la paix », la Journée internationale de cette année se penche sur les contributions inestimables que les soldats, policiers et civils de la paix ont apportées au cours des huit dernières décennies. Elle incarne l'esprit de progrès et d'action collective en vue de créer un monde plus égalitaire, plus juste et plus durable.
Aujourd'hui, plus de 68 000 civils, militaires et policiers servent dans 11 missions de maintien de la paix des Nations Unies, affrontant des défis de plus en plus complexes et interconnectés, façonnés par un paysage géopolitique changeant. Malgré ces défis, les soldats de la paix restent déterminés dans leur quête de la paix.
La Journée internationale rend hommage à leur service et à leur sacrifice inébranlables, ainsi qu'à la résilience des communautés qu'ils soutiennent. Elle rend également un hommage solennel aux plus de 4400 Casques bleus qui ont perdu la vie pour la cause de la paix, dont 57 rien qu'en 2024.
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Bienvenue aux Nations Unies

Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement
21 mai
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Des artistes à la conférence MONDIACULT 2022 au Mexique.
PHOTO :@UNESCO/Carlos Villavicencio
La protection de la diversité des expressions culturelles plus importante que jamais
Tous les ans le 21 mai, la Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement  est organisée par l'UNESCO  pour célébrer non seulement la richesse des cultures du monde, mais aussi le rôle essentiel du dialogue interculturel pour la paix et le développement durable.
Selon l'UNESCO, 89 % de tous les conflits actuels ont lieu dans des pays où le dialogue interculturel est faible. Pour forger une coopération efficace et maintenir la paix, le renforcement du dialogue interculturel doit être une priorité.
Le secteur culturel et créatif constitue l’un des moteurs de développement les plus puissants au monde. Il représente plus de 48 millions d’emplois à l’échelle globale - dont près de la moitié sont occupés par des femmes - soit 6,2 % de tous les emplois existants et 3,1 % du PIB mondial. C’est également le secteur qui emploie et offre des opportunités au plus grand nombre de jeunes de moins de 30 ans.
Cependant, le secteur culturel et créatif n'a toujours pas la place qu'il mérite dans les politiques publiques et la coopération internationale.
Une Déclaration historique pour la Culture
Plus grande conférence mondiale consacrée à la culture de ces 40 dernières années, MONDIACULT 2022 a réuni pendant trois jours à Mexico près de 2600 participants. 150 Etats ont répondu à l’invitation de l’UNESCO et du Mexique, en envoyant des délégations – 135 d’entre eux étaient représentés au plus haut niveau, par leur ministre de la Culture.
Dans cette Déclaration, fruit de dix mois de négociations multilatérales animées par l’UNESCO, les Éats affirment pour la première fois la culture comme étant un « bien public mondial ». À ce titre, ils appellent à intégrer la culture « en tant qu'objectif spécifique à part entière » parmi les prochains Objectifs de Développement Durable des Nations Unies.
Le texte adopté par les États définit un ensemble de droits culturels qu’il convient de prendre en compte dans les politiques publiques, allant des droits sociaux et économiques des artistes, à la liberté artistique, jusqu'au droit des communautés autochtones à sauvegarder et à transmettre leurs connaissances ancestrales, et à la protection et promotion du patrimoine culturel et naturel.
Il appelle également à une régulation substantielle du secteur numérique, en particulier des grandes plateformes, au bénéfice de la diversité culturelle en ligne, de la propriété intellectuelle des artistes et d'un accès équitable pour tous aux contenus.
La Conférence MONDIACULT 2025 est l'occasion de faire le point sur les réalisations nationales, régionales et internationales suite à l'adoption de la Déclaration historique de MONDIACULT , qui a défini un ensemble de droits culturels qui doivent être garantis. La dynamique a été évidente, avec l'inclusion de la culture dans les agendas du G20, du G7, du G77+Chine et d'autres forums régionaux et internationaux.
Elle suit également l'appel de la Déclaration à faire de la culture « un objectif spécifique à part entière » dans l'Agenda de développement post-2030. MONDIACULT 2025 est un moment décisif et stratégique pour lancer un appel mondial en faveur d'un objectif culturel à part entière, en présence de milliers de décideurs et d'influenceurs culturels.
Culture et développement durable
Avec l'adoption, en septembre 2015 de l'Agenda 2030 Agenda pour le développement durable par les Nations Unies, et de la résolution sur la culture et le développement durable par l'Assemblée générale en décembre de la même année, le message de la Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement est plus important que jamais. Le meilleur moyen de réaliser les 17 objectifs de développement durable est de s’appuyer sur le potentiel créatif des diverses cultures du monde, et d’engager un dialogue permanent afin d'assurer que tous les membres de la société bénéficient du développement durable.
Les Indicateurs thématiques de l’UNESCO  pour la culture dans le Programme 2030 forment un cadre d’indicateurs thématiques visant à mesurer et évaluer la contribution de la culture à la réalisation des Objectifs et des Cibles du Programme de développement durable à l’horizon 2030, tant à l’échelle nationale qu’à l’échelle locale.
Pourquoi la diversité culturelle est-elle importante ?
La dimension culturelle est présente dans les trois quarts des grands conflits mondiaux. Combler le fossé entre les cultures est urgent et nécessaire pour la paix, la stabilité et le développement.
La diversité culturelle est une force motrice du développement pour la croissance économique et comme moyen de mener une vie intellectuelle, affective, morale et spirituelle plus satisfaisante. Il existe plusieurs conventions culturelles , qui favorisent la promotion de la diversité culturelle, en affirmant son atout indispensable pour éliminer la pauvreté et pour réaliser le développement durable.
Ces traités internationaux s'efforcent de protéger et de sauvegarder le patrimoine culturel et naturel mondial, dont les sites archéologiques, le patrimoine subaquatique, les collections des musées, le patrimoine immatériel comme les traditions orales et d'autres formes de patrimoine tout en soutenant la créativité, l'innovation et l'émergence de secteurs culturels dynamiques.
Dans le même temps, l'acceptation et la reconnaissance de la diversité culturelle – notamment par l'utilisation innovante des médias et des technologies de l'information et de la communication (TIC) – sont propices au dialogue entre les civilisations et les cultures, au respect et à la compréhension mutuelle.
Origines et objectifs de la Journée
En 2001, l'UNESCO a adopté la Déclaration universelle sur la diversité culturelle , et, en décembre 2002, l'Assemblée générale des Nations Unies, dans sa résolution 57/249, a déclaré le 21 mai comme la Journée mondiale pour la diversité culturelle pour le dialogue et le développement. En 2015, la deuxième Commission de l'Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution sur la culture et le développement durable A/C.2/70/L.59, affirmant la contribution de la culture aux trois dimensions du développement durable, reconnaissant davantage la diversité naturelle et culturelle du monde et que les cultures et les civilisations peuvent contribuer au développement durable et en sont des catalyseurs essentiels.
La journée donne l'occasion d'approfondir notre compréhension des valeurs de la diversité culturelle et de favoriser la progression des quatre objectifs de la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles , adoptée le 20 octobre 2005 :
Soutenir des systèmes durables de gouvernance de la culture ;
Parvenir à un échange équilibré de biens et services culturels et améliorer la mobilité des artistes et des professionnels de la culture ;
Intégrer la culture dans le développement durable ; et
Promouvoir les droits de l'homme et des libertés fondamentales.
La dixième session de la Conférence des Parties à la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles (Paris, 18-20 juin 2025) commémore le 20e anniversaire de la Convention. L'objectif est d'examiner les progrès accomplis, d'évaluer la mise en œuvre du Fonds international pour la diversité culturelle et de discuter de diverses recommandations.
Les principales activités comprennent l'établissement d'orientations stratégiques pour le Comité intergouvernemental pour 2026-2027, l'élection de 12 nouveaux membres du Comité et la révision du règlement intérieur. En outre, un Forum de la société civile sera organisé le 17 juin 2025 pour renforcer la collaboration avec les parties prenantes de la société civile.
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Thème 2025 : Les politiques familiales pour le développement durable - vers le deuxième Sommet mondial pour le développement social
En amont du deuxième Sommet mondial pour le développement social en novembre 2025, la Journée internationale des familles met en lumière le rôle essentiel des politiques familiales dans la promotion du développement durable. Organisée sur le thème « Les politiques familiales pour le développement durable : Vers le deuxième Sommet mondial pour le développement social », l'événement mettra en lumière les principaux enseignements tirés des initiatives nationales et régionales, en soulignant le rôle des familles dans la réalisation du Programme de développement durable à l'horizon 2030.
Les politiques familiales et le deuxième Sommet mondial pour le développement social
Le deuxième Sommet mondial pour le développement social, qui se tiendra à Doha, au Qatar, du 4 au 6 novembre 2025, sera l'occasion de renforcer notre engagement en faveur de la lutte contre la pauvreté, du travail décent et de l'inclusion sociale. Le sommet s'appuie sur la Déclaration de Copenhague de 1995, qui reconnaît les familles comme l'unité de base de la société et souligne la nécessité de concilier le travail et la famille ainsi que de créer des partenariats égaux au sein des ménages.
La célébration de la Journée 2025 met l'accent sur l'importance d'intégrer des politiques axées sur la famille dans les programmes de développement nationaux afin de répondre aux grandes tendances telles que la transformation technologique, les changements démographiques, l'urbanisation, les migrations et le changement climatique.

Célébrez la Journée internationale des familles 2025 !
Date et heure : 15 mai, 13h15 - 14h30 (heure de New York)
Lieu : Siège de l'ONU, New York, Salle de conférence 8
Rejoignez des experts de l'ONU, des universitaires et des représentants de la société civile le 15 mai au Siège des Nations Unies pour commémorer la Journée internationale des familles, en mettant l'accent sur les solutions politiques pour le développement durable en prévision du deuxième Sommet mondial pour le développement social. Suivez la retransmission en direct sur UN WebTV (en
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La Seconde Guerre mondiale a présidé à la création de l’Organisation des Nations Unies
L'Assemblée générale des Nations Unies, par sa résolution A/RES/59/26*, adoptée le 22 novembre 2004, a proclamé les 8 et 9 mai Journées du souvenir et de la réconciliation, pour rendre à toutes les victimes de la Seconde Guerre mondiale l’hommage qui leur est dû.
La Seconde Guerre mondiale a présidé à la création de l’Organisation des Nations Unies, qui a pour vocation de préserver les générations futures du fléau de la guerre. En vertu de la Charte des Nations Unies, les États Membres doivent faire tout leur possible pour régler tous les différends par des moyens pacifiques, de façon à ne pas mettre en péril la paix et la sécurité internationales.
La Seconde Guerre mondiale a infligé à l’humanité d’indicibles souffrances mais, grâce notamment à l’action de l’Organisation des Nations Unies et à la création d’organisations régionales et d’autres instances appropriées, de grands progrès ont été accomplis depuis la fin de de ce conflit pour instaurer la réconciliation, la coopération internationale et régionale et la promotion des valeurs démocratiques, des droits de l’homme et des libertés fondamentales.
Historique
Le coût et les souffrances humaines de la Deuxième Guerre mondiale ont été incommensurables et incompréhensibles : 40 millions de civils tués et près de 20 millions de soldats, dont la moitié rien que dans l'ex-Union soviétique.
À l'issue des hostilités, les dirigeants du monde ont convenu de ne plus jamais permettre de telles atrocités. Quelque six semaines après la fin du conflit, l’Organisation des Nations Unies a été créée pour préserver les générations futures du fléau de la guerre. Lors de sa création en 1945, l’Organisation des Nations Unies a donc été dotée par ses membres fondateurs d’un objectif prioritaire : le maintien de la paix et de la sécurité.
Le 22 novembre 2004, à la veille du soixantième anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'Assemblée générale des Nations Unies a proclamé deux journées dédiées au souvenir et à la réconciliation : les 8 et 9 mai.
En 2005, à l’occasion de la commémoration du 60e anniversaire de la fin du conflit, l’Assemblée générale a tenu une réunion extraordinaire solennelle en hommage à toutes les victimes de la guerre, de même qu’en 2010 et 2015, à l’occasion du 65e, puis du 70e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre. Suite à l'adoption de la résolution A/RES/75/5 par l'Assemblée générale, une réunion extraordinaire solennelle est organisée le 1er décembre 2020 à l'occasion du 75e aniversaire.
Chacune de ces commémorations a été l’occasion d’inviter les États Membres à unir leurs efforts pour faire face aux défis et menaces pour la paix et la sécurité internationales et de réaffirmer le rôle central que joue l’Organisation des Nations Unies en la matière.
Une réunion solennelle spéciale, marquant le quatre-vingtième anniversaire de la Seconde Guerre mondiale, s'est tenue le 7 mai 2025
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