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Désorientation Consentie
Je suis plutôt perdu en ce moment, sur le point de rompre comme Ravaillac entre les chevaux, sauf que mes equidés sont aussi physiques que des chimères grecques; je suis face à des dichotomies pernicieuses et des doutes chroniques; même l’étape avant de nuit me stress car je rumine des bullshits.
Je suis allé courir ojd, pour me défouler je sentais une bombe dans mon abdomen prête à éclater or ce qui je pensais imploserai le souffle l’a ramené dans mon cerveau où après un entraînement que j’ai trouvé plutôt stylé au ninjatsu, et des musiques sorties droit de la création magnifique avec cette déchirure ésperante dans le ciel où les gras nuages sombres portaient des reflets d’ocre flamboyant tout en relief colonnique comme la coque de la barque de Choron.
Suite à ça je me suis enfui vers ma destiné de joggueur néenderthalien sautant faisant la bise à un faon aperçu de loin (style inclusif même pour les animaux ... ? ) puis dans le sentier avec cette vision céleste face à mon effort cette musique sheitanesque me retournant le crâne où je me voyais dans un club harranguant les foules comme un prédicateurs entre le dj et le Théosophes , faisant des similitudes entre le monde de la sonorité bourrinant les enclumes de mon conduit interne pusi le moment où le Drop se lance dans ses montées vertigineuses je vois cette scène;tous les anges au tapis sauf un dernier se relevant des cendres pour le salut de chacun l’ange LibrEspoir alors je retira mon casque pour me calmer tellement mon cerveau me paraissait incontrollable sous les chocs répétés, et je rentrai en marchant pour finir un run .
PAs mal de question si tout se passe bien dans les temps qui viennent ce que j’éspére , ça peut être véritablement beau !!
de l’espoir et j’y crois , ce monde peut être magnifique si on se bouge
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i don’t believe in hasard, Steiner, Vian , Jeremy Iron Mc Gyver
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Vitamin B 15 Under Microscop
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le futur du cinema et de la video de maniere generale passera t´elle par un usage plus frequent de l incrustation gift et pourquoi pas meme d une prise en compte significative cette idee eclot de deux choses successives, la premiere un mec sur Tumblr faisant deja ce genre de collage mais a son niveau le plus simple CAD une image fixe avec un gros carre au milieu, un penseur de Rodin avec un Gif de lasagne verte planant dans les neant bulleux, preambule de quelque choses de plus grand, et de ce mec danseur dense, a un contest dont les gestes cadences faisaient fondre mon coeur et alors me suis rememore les products du mec sus cite pour me dire que dans un film ou du moins une sequence scenarise ou possedant un objectif narratif cette video ou ce mec dansant pourrait tres bien avoir une place de choix; exemple amour naissant ou bien moins figuratif qqn contemplant l absolu du neant et qui se sent alors envahi par la non gravite de faire partie de ce tout et quer son tout vibre avec les autres mais bons a revoir.
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Espace dans mes rêves où tout se passe, je persevère mais rien ne dépasse, reste à ma place, quoi qu’ils fassent, que veux tu la vie est bizarre, complexe même; je ne m’y sens parfois pas à ma place et sometimes ai l’impression d’en être le centre gravitationnel; que veux tu je suis un aimant à double polarité dont le magnétisme dominant fluctue à la vitesse d’un grain de sable balancé dans un canon à particule.
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Poèsie Ecstasique (xXxX)))
Errance dans les rues de Porto, on cherche une chose à chercher la vacuité du moment est palpable, mes idées ne me suivent pas elles sont parties faire un tour dans ses souvenirs, l’annonce de la prise tombe, pile, soit ma face étant morose, moite je trace un cercle de mes yeux toisent les gens qui rentrent et sortent du tableau, je me tate prend une inspiration puis ma concentration se détourne, annonce d’after possible, alors tout s’embrase l'alibi est trouvé alors on y va bière qui coupe et acide qui sique, l’effervescenceprogrammé se fait resentir quelques souffles plus tard, la chaleur se fait tenace, j ai chaud les sphincters qui s’ouvrent; discussion sur la saudade portugaise et là, la cavalcade torrentielle s’abat sur mon bide, je la sens regarde et une fois broyé la fait mienne, mélancolie de cet instant qui ne reviendra plus jamais, se baigner dans la même eau jamais il ne sera possible, la révélation de cette idée me fait l’efet d’un coup sur le buffet froid, et cette chaleur qui monte toujours plus haute et toujours plus profonde, elle està la porte de mon esprit je la sens enfoncé les bois avec le tronc des regrets/remords, je commence à m’écrouler comme ces ressort multicouleur fluo qui après être descendu s’emboite en un grand cercle sans hauteur; je suis déja au niveau des abysses; les obligations sociales sont jetées au loin et la liberté reprend du terrain même si l’état n’est pas le plus performant soit, on transcende; discussion footbholistique, je n’y connais plus rien, ces savoirs que j’avais fait mien pour contribuer à mon adapt&ation se sont perdu dans la forêt de l’oubli, cependant je sens cette chaleur descendre d’étage, donner corps à mes envies, mon besoin charnel se remet en place, je veux jouir, en lui en elle en eux, mais ils partent tous ses fantômes rencontrés aux hasard, me retrouve seul avec cette sensation de fragilité molle et élastique, je veux m’enfuir les fureurs que j’avais pût percevoir sont désormais aux antipodes de mon êtat cachait moi, aimez moi je vons en supplie pour ce que je suis, la confiance à éclater et de ses restes il ne reste qu’une odeur de moisie, tuez moi je vous en supplie, fais je partie de ces dégenerés suis je une victime ou le criminel, l’ambiguité tenace de la balance me fait valser, je jongle avec mes idées, le charetier nous dépose imbroglio d’enchevétrement incompréhensible on ne parle plus, ce n’est que des miasmes sensés empilés à la suite comme une tour de pise souterraine avec un arc de cercle au dessus, au l’orobouros que signifie tout celà, la vie me tue , je suis exténué tentative de sexe avorté fausse modestie préchauffez à demain laissez moi me coucher.
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Cou de PoinT ° O
Sinueux arrondi, sa face est applatie par son manque de relief
cette apparente platitude m’exaspère, je sens mes colères bouillonées, bouillon de déstructure, lave intense et chiante, phallange, patates macédonnienne, j’aimerai fracasser cet esprit qui me contrarie sortir le noeud de biche, lui casser les pattes, le regarder ramper gémissant de ce surplus de cruauté, tout en lui donnant des coups dans le bas ventre afin de le sentir se crispé de cette douleur que je contracte en moi depuis que ses tentacules mnésiques, dans l’illusion du plaisir de la fusion, essaye obstinément de m’étrangler et me réduire à une nourriture consommable; alors que ces larmes coulent tel la cyprine obtenue à la suite de rapport ambigüe entre plaisir violent et douleur douce, ma colère se mute en silence, ce silence blanc et dense de la chute de pression avant le cataclysme; regarde la charne et dans une pulsion sacré, accompagné par le chant des séraphins, me jette sur les restes sanguimal, et arrachant le surplus textile, sort mon sexe profane diffus reflus du pêcher originel pour pénétrer et posséder comme la main du marionettiste, à coup d’accoup dans le bassin puis enfoncer comme les elagages dans les barages ce membre trianon dans sa gorge en ésperant que diminuer le débit d’air vrai et augmenter celui de la sève onirique dans ces parois si ouverte aux mots volatiles, voila que maintenant le mal se liquifie, perlettes qui arrosent l’hebe rougeoyante de son visage . Salope salope SALOPE, je te remercie
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