juliedecoux

[juliedecoux]

Je sais pas ce que je vais faire sans lui

22h45

[juliedecoux]

C'est drôle, a chaque fois que ma vie fou le camp je me retrouve sur Tumblr...

[juliedecoux]

Avec le temps, j’ai compris une chose : les regrets, les remords, la culpabilité, ça ne sert à rien, ce sont des boulets que l’on traine derrière soi, des poids morts, inutiles, qui nous empêchent d’avancer et de vivre pleinement l’instant présent…

V. H. SCORP

[juliedecoux]

Sa peau contre la mienne.

L’apothéose

[juliedecoux]

Et voilà, tous les deux ans je ressens un besoin de refaire ma vie, de me réécrire, de tout oublier mais surtout de tout quitter.

Il serait temps de grandir

[juliedecoux]

mais j'me sens comme une merde qui mérite rien, qui est capable de rien, qui produit/créé rien de bien, qui sait pas être intéressant, qui sait que se plaindre et aller mal et vouloir crever, qui est bon à rien, qui a rien à apporter à personne, qui sait même pas prendre un minimum soin de soi ni répondre à ses besoins correctement, qui sait juste s'autosaboter, se comparer, se sentir rejeté et détesté par le monde entier, ignoré, non considéré, qui a l'impression que les gens l'oublient en permanence et pensent pas une seconde à lui, qu'il pourrait disparaître que ça changerait rien. Et j'suis réduit qu'à ça, à être blessé par tout parce que tout me fait me sentir mal et confirme les putains de pensées négatives qui tournent dans ma tête et j'sais plus quoi y faire. Honnêtement j'suis épuisé de tout ça et jveux juste que ça s'arrête mais même couic ça me demande trop d'énergie pour faire ça sans me louper du coup je subit en espérant que demain j'aurais un peu moins de mal à supporter le fait d'exister.

[juliedecoux]

Ça me fait mal

[juliedecoux]

Dans la douleur il y a douleur mais il y a surtout ton cerveau qui pète un plomb. La douleur psychologique que crée la douleur physique c'est taré. Si le physique ne créait pas le psychologique il suffirait de marcher jusqu'à épuisement mais la vérité c'est que le psychologique craque avant les limites physiques. Vraiment. La douleur rend complètement fou. Et quand le cerveau part en couilles tu es capables du pire.

[juliedecoux]

Mon cœur est sous les gravats. Éclaté sous un bloc d'événements concomitants. Il me fait mal. Je le sens lourd et infirme. J'ai perdu l'appétit comme ça faisait des années que ça n'était pas arrivé. En réalité, ça fait trop d'un coup et la seule manière que j'ai de répondre à ça c'est de ne rien laisser paraître. Garder la face. Mais plus par soucis d'ego, seulement par souci d'inconsistance du discours. Je ne sais pas quoi dire. Les mots me manquent, la présence me manque, la légèreté me manque. Je m'efface. Je suis démunie. Je ne veux faire peser mon existence sur aucune autre et je prends conscience de la difficulté de la tâche. Le monde semble s'écrouler sous mes pieds et je n'ai rien pour m'accrocher. Je glisse.

[juliedecoux]

“Do not confuse my bad days as a sign of weakness. Those are actually the days I’m fighting the hardest.”

— Unknown

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Espérer si fort que mon cœur s’arrête

[juliedecoux]

Un jour, tu comprendras. La douleur, les cris, la peine, les pleurs, la solitude, les déceptions et tout ce qui t'a troué le cœur. Tu comprendras que le jour où ton monde s'est effondré, c'était pour t'en construire un nouveau, bien plus beau. Tu comprendras que, aussi douloureux soit-il, avoir tout perdu t'as paradoxalement tout donné. La vie, les sourires, les amis, les fous rires. Tu comprendras. Pas maintenant, peut-être pas demain, mais tu comprendras.

[juliedecoux]

“No matter how you feel. Get up, dress up, show up and never give up.”

— Unknown

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on love arriving unannounced

[juliedecoux]

Do you know why we are sometimes disappointed?

Because we believe that others are willing to do what we would do for them.

[juliedecoux]

I always have to feel bad for you, and you don't give a damn.

[juliedecoux]

Sometimes memories sneak out of my eyes and roll down my cheeks.