Hello, je me nomme Kdumya et je suis en 2ND. Je désigne un peu même si j'ai peu d'expérience encore et j'écris un peu. J'espère que vous apprécierez mon contenus.
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“Ne peux pas...”
Chapitre 1 :
Hier était mon anniversaire, je l’ais passée avec ma mère, père était parti à la ville pour son travail, mère m’avait offert des livres, énormément d’histoire au moral “ne pas...”.
Aujourd’hui j’étais entrain dans lire un mais j’entendis un bruit près de ma fenêtre, en m’approchant de la fenêtre je vis que les feuilles du pommier se trouvant juste à côté bougeais, j’ouvris la fenêtre et passa ma tête pour voir l’origine du bruit, qu’elle animal aurait put se perdre dans le pommier ? Les rares fois sont juste des oiseaux qui s’était posés pour se reposer les ailes, mais cette fois, le bruit était plus fort comme-ci l’animal était bien plus grand qu’un simple oiseau.
Avant même que je ne puisse réagir, l’animal en question sauta vers moi, pour s’introduit par la fenêtre afin de terminer son parcours sous mon lit, je l’entendais manger quelque chose, sûrement une des pommes du pommier, je n’ais pas eu le temps de voir qu’elle espèce appartenait l’animal.
En m’approchant de mon lit pour voir l’animal, j’entendit vers ma fenêtre une voix : “Hey ! Ruddy me force pas--...”, la voix était légèrement aigue, mais assez faible également pour ne pas distinguer d’un homme ou d’une femme, j’entendis les feuilles du pommier faire encore plus de bruit, cette personne était vraiment entrain de monter dans l’arbre pour trouver l’animal ? Je n’ai pas eu le temps de fermer la fenêtre pour l’empêcher de rentrer que je vis son ombre près de cette dernière.
Terrifier, je me cache dans mon armoire à livre (tout mes livre ne tenant plus sur ma commode), je laisse la porte de l’armoire entrouverte car ma curiosité m’empêcher de la fermer, à quoi pouvez ressembler l’étranger ? Hors mis mes parents et le repas d’il y a maintenant douze ans, je n’avais jamais vus une nouvelle personne.
L’étranger rentre dans la pièce, ses vêtement était assez différent de ce que je peux voir dans mon quotidien : composée d'une chemise beige, d'un gilet marron avec des gants marron foncé à bretelles de même couleur, d'un pantalon marron également et d'une ceinture utilitaire marron foncé accompagné d’un tablier et des bottes marron foncé et kaki., idolâtré t-il le marron ? Ou du moins les couleurs qui y ressemble ? Il ressemblait à un adolescent mince à la peau claire, aux cheveux noirs hirsutes avec des reflets bruns et une mèche turquoise, des taches de rousseur, deux dents de devant et des yeux bleu clair, différents de l’image que je me fessait des gens masculin de mon âge.
“Ruddiger, vient maintenant il faut aller au château, Raiponce nous attends.” L’inconnue commença à chercher sous les commodes de ma chambre, il s’approcha de mon lit et regarda en dessous “Te voilà !” Cria t-il presque de joie “Maintenant viens, je n’aime pas rentrer chez les gens comme un voleur”.
L’inconnu repartie aussi vite qu’il était venu, par la même fenêtre, je sortie de ma cachette, puis me précipita vers ma fenêtre pour croiser de nouveau l’étranger, je le vis à peine avant d’être cacher par les arbres autour du sentier.
Il était parti, j’aurais voulus lui parler mais... “Tu ne peux pas parler au inconnue.” Je me rappelle d’une des nombreuses interdiction que avait dit mère.
Je me retourne pour ranger quelque affaire trainant sur ma table, soudain je sentis une chose cogner mon pied, je me baisse et vois un bracelet avec un morceau de lune, plutôt un croissant de lune bleu clair : L’étranger aurait t-il oublié ceci ? Je devrais peut-être lui ramener mais mère m’a dit avec une voix douce “Tu ne peux pas partir de la maison”.
Je reste silencieuse pendant un moment, pensif à ce que je dois faire “mère ma dit aussi de ne pas garder ce qui ne m’appartient pas.” pensais-je. Je suis censé faire quoi ? Je ne peux pas le garder et je ne peux pas lui ramener, je peux toujours attendre qu’il revient mais peut-être que mère reviendra de son voyage et qu’elle s’énervera du faite qu’un inconnu soit venue plusieurs fois. Je reste figée en regardant le bracelet, je me rappelle soudain de ce que avait dit l’étranger plutôt :
[Ruddiger, vient maintenant il faut aller au château, Raiponce nous attends]
Le château ? Il se trouve dans la ville, je ne l’ais jamais vus j’ai juste entendu des histoires de père qui racontait sa journée en buvant souvent une bière.
Je me lève et serre le bracelet, je me suis décidée : “Je vais sortir, je ne serais plus la fille qui ne peux pas”. Je prend mon sac, prend quelque livre puis les met soigneusement dans mon sac puis également des affaires de rechange, je ne sais pas combien de temps dure l’aller-retour, mais comme père prend du temps à revenir à chaque fois, je préfère prendre des précautions. Après avoir ranger mes affaire dans mon sac, je descend pour rentrer dans la cuisine puis ramasse quelque fruit et de l’argent qui trainait sur la table à manger.
Je me place devant la porte d’entrée, cette porte en bois que je n’ai jamais touchée, je lève ma main et la pose sur la poignée, elle est également en bois, je pousse la porte et laisse rentrée la lumière du jour dans la maison, je traverse doucement, mes botte touchant le sol en dehors de la maison pour la première fois, une fois mes deux pied en dehors de la maison, je referme la porte doucement, je regarde le sentier et croise le regard des arbres qui ont cachés ma vue de voir l’étranger plutôt, j’ai une impression qu’il me regarde aussi avec un regard doux et protecteur, comme-ci ils attendaient le moment que je sorte de ma prison où j’ai grandi, je commence à marcher sur le sentier, entendant le bruit de mes botte sur les cailloux qui s’entrechoque, au début ça ma surpris mais comme une mélodie, mes oreilles se sont vite habituer et ont juste plus fait attention, je marche pour la première fois dehors, serrant mon sac à deux mains.
Je ne suis plus la fille que ne peux pas, mais juste pour aujourd’hui, pour les prochains jours qui sait, je serais la fille qui peux.
Après une semaine (je crois) je publie le chapitre un qui est légèrement plus long, j’ai commencée l’écriture du chapitre deux est j’en suis à 20% du chapitre selon mon avis, les choses avance lentement mais surement. Goodbye !
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“Ne peux pas...”
Bonjour/bonsoir, je vais écrire une petite histoire avec l’univers de Raiponce : la série/ Tangled : the serie. (Même si le début ne fait pas penser à l’univers de Raiponce U.U”), j’espère que l’histoire attirera votre curiosités et qu’elle vous plaira malgré les fautes qu’il aura.
Prologue :
J’ai toujours vécu dans ce petit village, on l’appel, enfin d’après mes parents : “l’ancien Corona”, nous sommes quand-même assez loin du village, à la frontière je pense, je ne vois jamais personne passer par ma fenêtre, ou quelque mouton c’étant perdu de leur troupeau, aucun humain hors mis mes parents qui souvent part pour leur travail respectif.
Mon père vas loin, dans une ville, il me raconte qu’une énorme bâtisse (aussi château comme il aime tant appeler) trône au milieu de la ville, avec une famille “royale”, des gens, d’après lui : important, qui règne dans la ville sans méchanceté, aimant les habitants et qui améliore leur vie un peu plus chaque jours.
Ma mère, reste longtemps avec moi, elle me raconte des histoires, des contes se terminant bien ou mal, avec une morale “ne pas...” : ne pas parler au inconnue, ne pas donner sa confiance trop vite, ne pas trop manger et plein d’autre. Aucune des histoires que me raconte ma mère se termine par un “tu peux”, elle me dit tout le temps de ne pas faire ci ou ça.
Une fois mes cheveux était un peu long, ma mère était entrain de me les couper et je lui demande “Pourquoi je ne peux pas avoir les cheveux plus long ?”, elle me répond d’une voix douce “Tu ne peux pas les laisser pousser”, je n’ai pas insistée.
Une autre fois, pour la toute première fois, une autre famille vint chez nous, enfin, surtout un père très grand, plus grand que ma mère et son fils qui était un peu plus petit que moi alors qu’il avait mon âge, je m’approche de ma mère et je lui demande “pourquoi l’enfant est plus petit que moi alors qu’on n’a le même âge ?”, elle me répond d’une vois douce “Tu ne peux pas demander cela, c’est vraiment impoli”, je n’ai pas insistée.
Après le repas, je suis montée dans ma chambre, le petit garçon me suivit, il me parla pour la première fois “tu t’appelles comment ?” avait t-il dit d’une voix assez aigu, avant que je puisse dire une chose, ma mère l’emmena vers son père, je lui demande “pourquoi je ne peux pas lui dire mon nom ?”, elle me répond d’une voix douce “Tu ne peux pas dire ton identité à des gens que je n’aime pas”, je n’ai pas insistée, mais, j’aurais voulus.
Le garçons était parti, je le regardais depuis la fenêtre, je pose ma tête dans ma manche, puis parle à voix base “Je m’appelle Evelyne, et je suis la fille qui ne peux pas, et toi ?”, même si je savait qu’il n’entendrais pas, j’espérais qu’il se retourne mais comme l’aurait dit ma mère, il n’aurait pas put se retourner, son père lui aurait dit d’une voix douce “Tu ne peux pas te retourner”, mais je me demande sil il aurait insisté ou non.
Aurait t-il insisté ? Se serait t-il retourné ? Aurait t-il suivit ce que dit les grands ? serait t-il le fils qui ne peux pas ?
Mais bien sur, je n’aurais pas les réponse car je ne peux pas avoir les réponses.
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