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KNOW YOUR ENEMY YEARBOOK 2018 !
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𝓑đ“Čđ“źđ“·đ“żđ“źđ“·đ“Ÿđ“ź sur le book de kye ici tu peux choisir le personnage que tu incarneras chez nous. Les photos en couleurs reprĂ©sentent les personnages libre. Les personnages dit '𝓊𝓇𝑔𝑒𝓃𝓉' sont ceux qui sont attendu par tous leurs liens et / ou sont attendu pour l'intrigue. Les personnages dit 'đ’¶đ“‰đ“‰đ‘’đ“ƒđ’č𝓊' sont ceux qui ont un ou deux liens actif sur le rpg. đ“‘đ“žđ“·đ“·đ“ź đ“»đ“źđ“Źđ“±đ“źđ“»đ“Źđ“±đ“ź đ“Ș̀ đ“œđ“žđ“Č .
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kyeyearbook · 7 years ago
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Carla Lindá Rodrigues — 21 Ans — South Florida — Etudiant en Art . — HHH — Equipe de Volley — ( Aka ~ Akeme Cunha )
» s a b i o g r a p h i e
nĂ©e dans la banlieue poussiĂ©reuse et dĂ©munie de tampa, d’une union hors mariage entre un homme brisĂ© par la mort de sa femme et une jeune brĂ©silienne fraĂźchement dĂ©barquĂ©e du palier en bas, Carla grandit rapidement, elle s’acclimate facilement Ă  ses deux foyers. familial chez sa mĂšre, qui n’a pas tardĂ© Ă  lui trouver un beau pĂšre alcoolique et Ă  lui pondre un putain de demi-frĂšre ; insupportable. sombre chez son pĂšre, car lui aussi boit comme un trou et meurt de chagrin pour une femme qu’elle n’a jamais connue et dont il n’parle pas. mais c’est bien lĂ -bas qu’elle prĂ©fĂšre ĂȘtre, car il y a Leandre, plus ĂągĂ© de deux annĂ©es, censĂ© ĂȘtre son demi-frĂšre aussi mais qu’elle considĂšre comme son grand frĂšre, comme son seul frĂšre. Ă  8 ans, elle le suivait dĂ©jĂ  partout, parfois main dans la main, parfois en courant parce qu’il lui avait interdit de le suivre. mais elle s’en fiche, Carla. elle veut apprendre aussi, comment on fait pour impressionner les autres dehors, elle veut savoir pourquoi Leandre rentre tard, elle veut apprendre, apprendre de son frĂšre, qu’elle admire parce qu’il est fort, parce que leur pĂšre le frappe souvent et qu’il ne dit rien, qu’il lui sourit quand mĂȘme en la bordant le soir. chez sa mĂšre elle se tait, elle Ă©coute son beau-pĂšre dĂ©biter ses conneries en postillonnant, elle observe son demi-frĂšre qui Ă  3 ans n’a encore jamais sorti un seul mot et qui lĂšche les vitres du salon, puis elle se tourne vers sa mĂšre au sourire fatiguĂ© et si peu Ă©panoui. chez son pĂšre elle veille tard, joue au foot et Ă  la console avec son frĂšre et fait des crĂȘpes. Carla elle aime son pĂšre, elle sait qu’elle l’aime plus que Leandre ne l’aimera jamais, elle s’efforce de le comprendre, elle essaie de prendre soin de lui, et il le lui rend ; en quelques sortes. Ă  chaque fois qu’elle revient passer la semaine chez lui, elle trouve un paquet de kinder sur la table et une bouteille d’Orangina dans le frigo. lui qui n’achĂšte jamais de marque, il le fait pour elle. alors elle se faufile dans la chambre de Leandre tard la nuit, quand il vient de rentrer complĂštement dĂ©foncĂ©, qu’il vient de se disputer avec le padre et que ça a encore mal tournĂ©, et alors ils partagent le goĂ»ter, la plupart du temps c’est Leandre qui dĂ©gomme le paquet de kinder et elle qui dĂ©balle la bouteille d’Orangina. Au collĂšge, elle se prend de passion pour les matiĂšres littĂ©raires et les mauvais garçons. elle joue au foot et s’entend avec tout le monde, contrairement Ă  son frĂšre. plus proche des gars que des nanas, elle apprĂ©cie tout de mĂȘme la compagnie de ces derniĂšres. cĂŽtĂ© style, elle rĂ©cupĂšre les vĂȘtements de son frĂšre et parfois sa mĂšre va lui en acheter, mais c’est plus fort qu’elle, Carla ne peut se rĂ©signer Ă  les porter sans y ajouter sa touche personnelle. la voilĂ  qui s’amuse Ă  repenser les habits et Ă  crĂ©er des tenues Ă  son goĂ»t. elle dĂ©coupe, elle assemble, elle s’en sort pas mal. elle fume son premier pĂ©tard en bas de son bloc, avec quelques gars du collĂšge qui l’initient immĂ©diatement aux soufflettes et autres conneries d’ce genre. ensuite, elle ne s’est jamais arrĂȘtĂ©e. h24 foncedĂ©, ses mouvements sont lents mais restent gracieux, elle grandit Carla et elle devient belle. au lycĂ©e, elle entre en littĂ©raire et sort de plus en plus, fume de plus en plus. parfois quand elle passe devant deux/trois filles de sa section, ces derniĂšres la regardent de haut en bas et murmurent sur son passage que c’est une junkie. Carla s’en amuse, parce que c’est peut-ĂȘtre vrai. mais elle s’en fiche, elle aime tout le monde, mĂȘme si parfois cette fille arrogante de son cours d’espagnol l’agace tellement qu’elles finissent par s’engueuler au beau milieu d’une classe. pour gagner son oseille, elle part tous les week end sur les bords de plage pour faire des dreadlocks ou des atebas aux touristes de passage Ă  Tampa. et puis les garçons lui font tourner la tĂȘte, les amis de son frĂšre s’intĂ©ressent Ă  elle, Leandre passe son temps Ă  menacer des types. en plus, Carla perd son innocence avec ce type de 24 piges qui fournit la drogue aux ”petits du quartier”. elle n’en a que 16 Ă  l’époque. elle veut garder ça secret, alors il se tait, ce qui la surprend un peu, mais qui la soulage finalement. Carla ne boit pas, elle fume mais elle ne prend pas d’autre drogue. parfois elle est tentĂ©e par une petite pilule magique, mais jamais, par la coke. Leandre prend de la came, ça fait longtemps maintenant et ça effraie Carla. parfois il est impulsif, beaucoup trop agressif. il ne lĂšve jamais la main sur elle mais lui a dĂ©jĂ  fait des hĂ©matomes aux poignets en les attrapant si fort qu’elle en avait presque pleurĂ©. elle l’a dĂ©jĂ  vu faire une crise de manque et elle-mĂȘme en a beaucoup souffert. leur pĂšre s’en fout, c’est pour ça qu’elle lui en veut aussi. Carla ne veut pas envoyer son frĂšre en dĂ©sintox, mais elle est Ă©puisĂ©e de le voir se dĂ©truire tout seul. et tout le monde s’en fiche de Leandre, parce que lui, c’est l’opposĂ© de sa sƓur, il est mĂ©prisant, moqueur, il n’aime personne. en tout cas, c’est ce qu’il veut faire croire. alors peu Ă  peu les rĂŽles s’échangent et c’est Carla qui garde un Ɠil sur Leandre. ils sont tous deux mutĂ©s Ă  Saint Leo et ça n’est pas pour dĂ©plaire Ă  la brunette qui rĂȘve de s’élever dans la mode, ou (encore moins probable) percer dans le cinĂ©ma. toujours souriante, elle se pavane entre les murs de cette nouvelle Ă©cole qui secrĂštement la faisait rĂȘver, se moquant des Ă©lĂšves modĂšles qu’elle y croise.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L Parce que ton frĂšre c’est LĂ©andre, t’as pas le choix que de suivre ses pas et de te moquer de ses gosses de riches. 
» s e s l i e n s ▬ Leandre Solal Rodrigues  ; “El fuego” LĂ©andre c’est ton pilier, vous vous aimez c’est certain, vous prenez soin l’un de l’autre et c’est bien comme ça. Il est tout ce que l’on peut attendre d’un grand frĂšre, protecteur, dĂ©fenseur, il te protĂ©gerait du monde entier et tu le lui rend bien. 
▬ RamsĂšs Don Kaiser ; “Something” T’as aucune idĂ©e que lui et ton frĂšre ne peuvent pas se blairer pour une histoire de meuf, tu sais juste que tu lui a parlĂ© une fois et que depuis tu fais en sorte de te rapprocher de lui, t’espĂšre pas spĂ©cialement quelque chose, mĂȘme devenir ami ca t’irais, t’aimerais bien avoir un ami qui n’est pas d’abord l’ami de LĂ©andre, un ami rien qu’a toi. 
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kyeyearbook · 7 years ago
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Adonis Eros Brahma — 23 Ans — St Leo — Etudiant en Commerce — ( Aka ~ dudley o'shaughnessy ) possibilitĂ© de le faire entrer dans une Ă©quipe de foot ou hockey. 
» s a b i o g r a p h i e
« Je n'ai jamais voulu croire que la défaite était possible. Je savais que je perdrais un jour, mais je ne l'ai jamais accepté. »
Houston, Chicago, Boston, Tacoma, ne sont que quelques-unes des nombreuses villes dans lesquelles Adonis a Ă©tĂ© trimballĂ© durant sa jeunesse. NĂ© d'une mĂšre cĂ©libataire, qui tournait Ă  la cocaĂŻne, Adonis, n'a pourtant jamais Ă©tĂ© malheureux dans sa tendre enfance, il Ă©tait trop innocent pour se rendre compte de ce qui se tramait autour de lui. Une mĂšre mythomane, comptant six mariages Ă  son actif, toujours avec des hommes plus influents ou riches les un que les autres ; elle savait charmer avec ses attributs physiques et aucun de ses hommes n'avait jamais eu honte de la prĂ©senter Ă  leurs bras, elle Ă©tait comme ce monde : Sublime couverture, mais pourrie jusqu'Ă  la moelle. Les hommes acceptaient Adonis parce qu'il n'Ă©tait pas vraiment noir et qu'il Ă©tait compris dans le lot avec la mĂšre. — Le coup le plus brillant qu'elle fit Ă©tait certainement le chirurgien plastique qu'elle rencontrait lors d'un sĂ©minaire, ce dernier n'hĂ©sita pas Ă  quitter sa femme quadragĂ©naire pour elle. Ils dĂ©mĂ©nagĂšrent donc Ă  Tampa en floride, lieu de rĂ©sidence d’un pĂšre qu’il n’a jamais connu, d’une famille dont il n’a mĂȘme pas idĂ©e. Sa mĂšre elle pourtant prend plaisir a se pavaner au bras de son chirurgien, dans la ville du seul homme qui l’ai quittĂ© un jour, d’ailleurs avec du recul, Adonis aurait du se douter qu’au fond elle cherchait juste a montrer Ă  son pĂšre (Ă  lui) qu’elle avait trouvĂ© mieux, seulement ce n’était qu’une image.
 InstallĂ© Ă  Tampa, Adonis ne jouait pas particuliĂšrement avec les autres enfants, il ne cherchait pas Ă  dĂ©corer sa chambre, en bref il ne s'installa pas, comme il avait pris l'habitude de le faire. — Puis une annĂ©e, deux annĂ©es et trois passĂšrent, Adonis s'Ă©tait malgrĂ© lui intĂ©grĂ© dans son Ă©cole, il apprenait par coeur le nom des rues de son quartier, il grandissait sans difficultĂ© mais, sans attention. Personne ne lui prĂȘtait vraiment d'attention, il n'Ă©tait pas assez nul Ă  l'Ă©cole pour ĂȘtre un 'cas', il n'Ă©tait pas non plus l'une des tĂȘtes de classe que tous connaissent. A la maison il n'Ă©tait pas l'enfant idĂ©al mais n'Ă©tait pas non plus un cancre insupportable. Il Ă©tait toujours dans la moyenne, partout. Il avait longuement attendu que son pĂšre le contact, mais rien, c’était comme si il n’existait pas. 
 Puis arrivait l'Ăąge dur de l'adolescence : il faisait parti d'une bande, croyait avoir compris le monde, se prenait pour un petit malin, dĂ©couvrait la musique, tombait amoureux d'Eminem, levait le voile sur les filles, dĂ©couvrait la ville, achetait de l'alcool sans l'Ăąge requis, se prenait pour le roi du monde, quittait sa bande, tombait sous le charme d'une fille, ramenait des C de l'Ă©cole, retrouvait sa bande, se renfermait Ă  cause d'une fille, Ă©crivait des textes, ramenait des A de l'Ă©cole.—  Puis un soir, il assistait Ă  un combat dans lequel Sergey Kovalev affrontait Andre Ward. Ce soir lĂ  pour la premiĂšre fois il se sentait touchĂ© aux tripes, pour la premiĂšre fois il Ă©tait subjuguĂ©, captivĂ© par le spectacle qui s'offrait devant ses yeux. Pour la premiĂšre fois il sentait au fond de lui qu'il Ă©tait plus concernĂ© par ce moment que les autres, il vivait ces quelques minutes avec plus d'intensitĂ© que les spectateurs prĂ©sent ce soir lĂ . Ce soir il trouvait le vrai but de sa vie, il dĂ©couvrit ses futurs idoles : Mike Tyson, Mohamed Ali et d'autres grands noms que nous ne citerons pas dans cette biographie. — Le lendemain il Ă©tait allĂ© s'acheter ses premiers gants de boxe avec l'argent de poche qu'on lui donnait, il s'entraĂźnait sur les arbres dans les parcs, il regardait des vidĂ©os le soir jusqu'Ă  pas d'heure et reproduisait les jeux de jambes, les placements de dĂ©fenses et le reste. Jusqu'au jour ou un coureur qui l'avait observĂ© un moment lui proposait de venir s'entrainer dans la salle d'un vieil ami Ă  lui. Sa mĂšre prĂ©fĂ©rait qu'il passe son temps en salle plutĂŽt que dehors on ne sait oĂč, alors elle ne refusa pas de payer l'abonnement les premiers temps pour ne plus l’avoir dans les pattes. Puis rapidement il s'avĂ©rait qu'Adonis se dĂ©tachait des autres boxeurs de la salle, bien qu'ils suivaient les mĂȘmes entraĂźnements, avec le mĂȘme professeur, il y'avait une passion qui Ă©manait de lui, un dĂ©vouement pure et entier Ă  ce sport. A 16 ans il avait dĂ©jĂ  fait parler de lui, la presse cherchait en permanence les futurs noms des championnats professionnels et de part le monde on pouvait trouver des statistiques, des parieurs, sur les futurs lĂ©gendes, qui le deviendra, qui ne le deviendra pas. Brahma Ă©tait entrĂ© dans les tabloĂŻds et il Ă©tait sans doute le plus jeune si on ne comptait pas le fils d'un certain champion du monde qui n'avait que 7 ans et demi. 18 ans, son premier combat fut mĂ©morable, parce que c'Ă©tait le premier, puis il en enchaĂźnait quelques-uns, sans dĂ©faites, il Ă©tait considĂ©rĂ© comme l'un des meilleurs espoir pour les qualifications mondiales, les places pour ses combats commençaient Ă  bien se vendre et il n'avait aucune dĂ©faite Ă  son compteur. Le jeune homme Ă©tait comblĂ©, il ne faisait jamais de mal en dehors du ring, il Ă©tait tout ce qu'il y a de plus sincĂšre. C'Ă©tait un homme de valeur.
« Ce qui compte, c’est pas la force des coups que tu donnes, c’est le nombre de coups que tu encaisses tout en continuant d’avancer. Ce que t’arrives Ă  endurer tout en marchant la tĂȘte haute. »
Dans la nuit du 19 janvier 2014 alors qu'il sortait d'un bar dans lequel il avait fĂȘtĂ© sa 5 eme victoire en professionnels il se retrouva face Ă  un conflit intĂ©rieur, maintenant officiellement en contrat avec un grand label de boxe il n'avait pas le droit de se retrouver dans la presse, de faire d'esclandre en dehors des combats, il devait se maĂźtriser comme il l’avait toujours fait.  Mais la scĂšne a laquelle il assistait Ă©tait insupportable, cette jeune femme avait le poignet dĂ©jĂ  marquĂ© par la poigne de son agresseur et personne d'autre que lui n'aurait rĂ©agi, puisque la rue semblait dĂ©serte. Ces trois secondes de rĂ©flexions qu'il s'Ă©tait autorisĂ©, furent les plus longues de sa vie, mais l'appel Ă  l'aide dĂ©chirant de la jeune fille l'avait convaincu. Il n'avait eu aucun mal Ă  sĂ©parer les deux concernĂ©s, puis machinalement, aprĂšs s'ĂȘtre pris un coup dans la mĂąchoire de la part de l'homme dĂ©jĂ  alcoolisĂ©, il ne pu s'empĂȘcher lui rendre l'attention, sans rĂ©flĂ©chir, au fait qu'il ne contrĂŽlait pas sa force, au fait que son adversaire Ă©tait, pour une fois, sans protection, qu'il n'Ă©tait pas devant une foule. Un coup, un seul coup, mais le coup de trop. La tĂȘte de l'homme avait frappĂ© le sol tellement fort qu'il Ă©tait mort sur l'instant. Un coup d'oeil en arriĂšre, il croisait le regard de la jeune femme qui ne tardait pas Ă  s'enfuir. Il ne regrettait pas, il savait que s'il n'avait pas rĂ©agi, il aurait entendu les cris de cette fille toutes les nuits avant de dormir. Mais sans son tĂ©moignage de cette derniĂšre et aucun autres tĂ©moins, il fut reconnu coupable d'homicide volontaire. La seule chose qui le prĂ©servait Ă©tait son Ăąge, il fut alors reçu par un jurĂ© pour mineur et condamnĂ© Ă  perpĂ©tuitĂ© avec une pĂ©riode minimale de 20 ans avant une possible sortie en conditionnelle. Il perdait tout, sa famille, sa petite amie, ses potes, ses associĂ©s, son contrat, sa carriĂšre.
« C’est pas fini tant que la cloche n’a pas sonnĂ© ! »
Quatre ans plus tard, alors qu'il se lĂšve pour un jour de plus comme les autres qu'il a arrĂȘtĂ© de compter avec le peu de visite qu'il reçoit, son avocat vient le voir pour lui dire que son dossier a Ă©tĂ© rĂ© ouvert, un tĂ©moin vient de sortir de l'ombre, cette jeune femme qui pointe le bout de son nez quatre ans plus tard. Il sort alors en conditionnelle puisque son cas et dĂ©clarĂ© comme lĂ©gitime dĂ©fense contre agresseur rĂ©cidiviste. Mais tout a changĂ©, il a tout perdu, sa mĂšre s'est remariĂ© Ă  l'autre bout du pays sans mĂȘme le prĂ©venir, il n'a plus de carriĂšre, aucun but, tout Ă  reconstruire. Ces Ă©preuves ont fait de lui un homme mĂ©fiants, toujours sur ses gardes, un peu perdu, mais remontĂ©. Sa conditionnelle est payĂ© par la nouvelle femme de son pĂšre dĂ©cĂ©dĂ© un an plus tĂŽt, qui lui apprend alors que ce dernier avait tout fait pour le contacter mais que sa mĂšre l’en avait empĂȘchĂ©. Elle lui donne un toit mais lui doit impĂ©rativement reprendre des Ă©tudes et ne faire aucune esclandre pendant deux ans pour ĂȘtre ‘libre’ officiellement, il accepte donc cette nouvelle chance malgrĂ© le gout amĂšre qu’elle laisse. NĂ©anmoins au fond il reste ce garçon toujours souriant, trĂšs fun, sur le quel on peut compter. Il cherche juste Ă  reconstruire ses raisons de vivre
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Grace Ă  l’argent de son pĂšre dĂ©funt et de sa belle mĂšre / nouvelle tutrice, adonis dĂ©croche une place Ă  Saint-LĂ©o, mais ne s’y sent pas a sa place, la bas on le regarde de travers et il se sent bien mieux avec les Ă©lĂšves de South qui ont pour la plus part assez de problĂšme a gĂ©rer pour s’occuper des siens. 
» s e s l i e n s 
▬ BĂ©atrice Boccalini ; “ T’étais la meilleure partie de moi et tu t’es dĂ©filĂ©e. ”  La passion n’est autre qu’une forme d’amour pure dĂ©chirĂ©e par nos peurs, nos fiertĂ©es, nos secrets. Mais il la hais autant qu’il l’aime, il voudrait lui faire mal comme il a eu mal, mais quand il se retrouve face Ă  elle, il se prend la rĂ©alitĂ© en pleine gueule, il serait incapable de toucher un de ses cheveux. MĂȘme si elle lui a fait plus mal que personne d’autre n’aurait pu le faire. 
Avant ils Ă©taient le couple le plus heureux du monde, Ă  rire comme des enfants, s’amuser comme des meilleurs amis, se toucher comme les plus douĂ©s des amants, s’aimer a corps perdu. Pourtant tout a disparu le jour ou il a Ă©tĂ© incriminĂ©, elle a mĂȘme pas chercher a savoir si c’était vrai, si il Ă©tait coupable, elle a juste fuit le problĂšme, sans plus jamais donnĂ© de nouvelles du jour au lendemain. 
▬ LĂ©opoldine Mina Reese ; “ Cries moi dessus j’adore ça. ”  A ta sortie de prison,  t’as poussĂ© la porte de cette salle de sport dans laquelle tu t’es entrainĂ© pendant si longtemps. Tu voulais dire a ton premier coach a quel point tu Ă©tais dĂ©solĂ© de l’avoir déçu seulement il n’était pas lĂ , mais sa fille oui, elle t’as expliquĂ© froidement qu’il Ă©tait malade puis t’as demandĂ© si tu comptais te rĂ©inscrire. Quand tu lui as rĂ©pondu que non, sa fureur Ă©tait lĂ©gendaire elle t’as hurlĂ© dessus que son pĂšre ne s’était pas donnĂ© tant de mal pour que tu abandonnes. Alors finalement, plus par politesse et par gĂȘnes tu t’es rĂ©inscris, mais tu ne sais pas vraiment si tu pousseras la porte de cette salle un jour. Ou peut-ĂȘtre que si, pour les beaux yeux de LĂ©o. 
▬ Someone ; “ 4 ans plus tard ” La petite prude qui s’est enfuie et qui a dĂ©cidĂ© de tĂ©moignĂ© quatre ans plus tard, celle qui aurait pu tout changĂ© si seulement elle avait fait ce qu’il fallait. 
▬ Someone ; “ same blood ”
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kyeyearbook · 7 years ago
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DaphnĂ© Evalina Aselino — 20 ans — South Florida — Etudiante en philosophie — Pussy Lead — Livreuse de pizzas — ( Aka ~ Tavia Bonetti )
» s a b i o g r a p h i e
đ˜żđ™–đ™„đ™đ™Łđ™š c’est la vie Ă  la campagne, leur petite ferme aux abords d’une forĂȘt, prĂšs d’un village paumĂ©, entourĂ© de champs d’lĂ©gumes, d’oranges, d’baies la ferme des 𝑹𝒔𝒆𝒍𝒊𝒏𝒐, une famille mexicaine des plus enjouĂ©es et des plus entĂȘtĂ©es, endettĂ©es, entravĂ©es. enfance heureuse mais solitaire, obligĂ©e de prendre le bus tous les matins pour rejoindre Temple Terrace, dans le comtĂ© d’Hillsborough, prĂšs de Tampa. Ă  l’école c’est la « paysanne », avec ses vĂȘtements trop grands qu’elle rĂ©cupĂšre quand son frĂšre dĂ©cide de s’en dĂ©barrasser, avec ses taches de bou et d’herbe et ses bleus sur les bras. espiĂšgle et tĂ©mĂ©raire rien ne l’arrĂȘte la p’tite đ˜żđ™–đ™„đ™, surnom qu’on lui donne un peu partout comme une vieille habitude qu’on n’perd pas — jamais. et ça va mal Ă  la maison, on se serre la ceinture, et tout le monde met la main Ă  la patte, son grand frĂšre Eliott s’occupe des champs avec le Daron; alors que Daph se lĂšve tous les matins pour aller nourrir les poules, traire les vaches, et ouvrir l’épicerie avant d’aller en cours mais c’est pas assez, c’est jamais assez et les Aselino n’en voient plus l’bout. alors ladite ferme transformĂ©e en chambre d’hĂŽte pour boucler les fins de mois, la Daronne s’tue Ă  la tĂąche entre les poules les vaches le lait les Ɠufs la boutique Ă  faire tourner et le dĂźner Ă  servir — toujours toujours Ă  la mĂȘme heure pour les invitĂ©s. et pendant ce temps DaphnĂ© grandit, elle essaie de s’épanouir mais elle s’ennuie. mortellement. son bien le plus prĂ©cieux c’est la vieille guitare de son grand-pĂšre, qu’elle emporte presque partout avec elle. elle excelle en littĂ©rature, en histoire et en langues mais Ă©choue cruellement en maths et en sciences. ininteressĂ©e, pas le temps de persĂ©vĂ©rer, elle dĂ©laisse (presque) totalement ces matiĂšres. puis elle entre au lycĂ©e, c’est le ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀declic elle pĂšte les plombs elle rĂȘve de lĂącher prise de s’évader elle se laisse faire quand on l’entraĂźne en soirĂ©e, mĂȘme si les Darons disent « non ». de toute façon, ils ne sont pas Ă  Temple Terrace et ne viendraient la chercher pour rien au monde — c’est qu’on se lĂšve tĂŽt chez les Aselino, surtout depuis que la benjamine n’est plus trop lĂ  pour aider. c’est vrai qu’elle s’absente souvent, maintenant. elle fume son premier pĂ©tard, dĂ©couvre le sexe entre deux bottes de foin, et finit mĂȘme par s’installer chez une amie Ă  la ville. elle veut dĂ©fier le monde ça oui elle se croit intouchable, la jolie elle n’a pas froid aux yeux et adorent mener ses amis dans un tas de conneries. c’est Ă  partir de lĂ  qu’elle se fait appeler par son deuxiĂšme prĂ©nom : 𝑬𝒗𝒂𝒍𝒊𝒏𝒂. đ˜żđ™–đ™„đ™ a presque disparu, đ˜żđ™–đ™„đ™ est morte, et enterrĂ©e Ă  la ferme. elle a tellement Ă©touffĂ© de toute cette merde dans laquelle elle vit depuis qu’elle est nĂ©e, qu’elle est devenue 𝑬𝒗𝒂𝒍𝒊𝒏𝒂. Evalina que ses nouveaux amis emmĂšnent surfer pour la premiĂšre fois, Evalina qui se lĂąche en soirĂ©e, plusieurs rails de C et v’lĂ  qu’on la retrouve qui roupille dans la baignoire au p’tit matin. Evalina qui joue de la guitare devant le lycĂ©e, qui s’intĂ©resse Ă  la philo bien plus que de raison, qui lit parfois dans son coin, au milieu de tout le brouhaha du terrain de foot oĂč elle traĂźne avec ses amis. Evalina qui oublie la crasse de la ferme — juste un instant de rĂ©pit. un instant de rĂ©pit qui dure un an et demi. un an et demi durant lequel elle dĂ©couvre le corps des femmes, qui l’attire fatalement, beaucoup plus que celui des hommes, qui lui convient quand mĂȘme, parfois. et puis elle retourne au bercail avec la ferme intention de se racheter. Evalina redevient DaphnĂ©, la douce, l’espiĂšgle DaphnĂ©. petit Ă  petit, elle retrouve sa place Ă  la maison et son rĂŽle dans les tĂąches de la ferme. son frĂšre doit partir pour la fac, il n’y a plus qu’elle pour aider ses vieux Darons aux mains abĂźmĂ©es. tous les jeudis, elle achĂšte dix grammes d’herbe qu’elle fume en douce dans l’écurie, la grange ou les champs. ou au lycĂ©e entre ses cours, avec les Autres, des gars qu’elle aime bien, qui sont sympas, qu’elle se plaĂźt Ă  vanner. tous les week-ends, elle retourne dormir en ville pour redevenir 𝑬𝒗𝒂𝒍𝒊𝒏𝒂, le temps d’une nuit. c’est au dĂ©but de sa terminal qu’elle se met Ă  faire pousser de l’herbe dans leurs champs, Ă  la campagne. le Daron est au courant mais il n’dit rien, il comprend sĂ»rement qu’elle en a besoin. mais la belle a bien d’autres projets en tĂȘte et la voilĂ  qui se met Ă  en vendre Ă  la sortie du lycĂ©e ou aux abords du terrain, parfois mĂȘme dans les couloirs entre les inter-cours. et on ne la soupçonne pas, elle est bien trop discrĂšte avec son sourire Ă  faire tomber par terre et sa voix guillerette, son air espiĂšgle — on s’excuse pour la rĂ©pĂ©tition mais c’est le bon mot alors on en abuse, un peu. et puis elle passe le bac, non pas avec brio, mais elle chope la mention AB c’est dĂ©jĂ  ça. đ˜żđ™–đ™„đ™đ™Łđ™š elle Ă©tait censĂ©e suivre les traces d’Eliott et prendre une chambre Ă©tudiante au campus de PhĂ©nix, la fac de Temple Terrace, mais la belle prĂ©fĂšre partir, elle voit plus loin, et sans mĂȘme en parler Ă  personne, elle avait envoyĂ© sa candidature Ă  South Florida, Ă  Tampa. elle passe son dernier Ă©tĂ© Ă  prĂ©parer son dĂ©part, seule puisque ses parents lui en veulent, un p’tit peu. parce que c’est pas vraiment des choses qui se font chez les 𝑹𝒔𝒆𝒍𝒊𝒏𝒐. chez ces gens-lĂ , on ne part pas si loin, on ne change pas d’air. on n’a pas soif de libertĂ©. mais DaphnĂ© c’est tout l’contraire. alors elle se casse. mais elle reviendra les voir de temps Ă  autres et ils s’habitueront. đ˜żđ™–đ™„đ™đ™Łđ™š Ă  Tampa, elle s’épanouit beaucoup plus. elle plonge la tĂȘte la premiĂšre dans les paradis artificiels, Ă©tudie la philosophie, obtient une bourse mais livre des pizzas pour empocher un peu d’argent, va surfer Ă  ses heures perdues, s’improvise artiste guitariste le temps d’une soirĂ©e dans un bar, ou sur la grĂšve, les pieds nus dans le sable mouillĂ© et les vagues qui font des allers-retours, narguant ses orteilles. transfĂ©rĂ©e Ă  SLU, c’est une opportunitĂ© qu’elle prend volontiers, mĂȘme si elle arrive en terre conquise, elle sait qu’elle peut compter sur ses congĂ©nĂšres.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Elle ne supporte pas les Saint Leo vaniteux et prĂ©tentieux qu’elle croise le plus souvent entre ces murs, elle sait qu’elle n’est pas la bienvenue et elle ne compte pas les laisser jouer les Rois du monde sans rien dire. elle est solidaire avec les South » s e s l i e n s 
▬ Yseult ; “The same but so different” MĂȘme club, mĂȘmes convictions, mĂȘmes revendications mais pas la mĂȘme fac. une allĂ©gorie du conflit SF/SL — comme il y en a tant. elles ne se croisent/ne se parlent que pour les Pussy Lead mais ne peuvent s’empĂȘcher de s’envoyer des piques. toujours + dĂ©sagrĂ©ables les nanas. au final prises Ă  leur propre jeu, elles finissent par s’attacher Ă  cette relation/par presque s’attacher tout court.
▬ Nina ; “”
Elle la rencontre sur un tchat Ă  16 ans. elles sont dans l’mĂȘme lycĂ©e mais s’étaient jamais captĂ©es. un crush mutuel : elles dĂ©couvrent leur sexualitĂ©. l’fait qu’elles soient dans l’mĂȘme lycĂ©e refroidit leur attirance & c’est dĂ©cidĂ© — il ne se passera jamais rien entre elles. elles deviennent amies, mais une tension est toujours palpable entre elles.
▬ Neptune ; “”
RencontrĂ©e sur twitter y’a une paire d’annĂ©es, cette p’tite tĂȘte blonde complĂšte Ă  la perfection l’esprit rebelle, tĂ©mĂ©raire et mesquin de Daph. quand elle se rendait sur Tampa pour ses compĂšt’ de surf, elle prenait toujours le temps d’se barrer avec elle durant des heures, faire des conneries, jouer les pickpocket, passĂ©es pro dans l’art de mettre les choses dans leur poche l’plus discrĂštement possible, Ă  finir dans des endroits improbables, complĂštement pĂ©tĂ©es — puis South Flo oĂč elles se retrouvent et Saint Leo oĂč elles finissent.
▬ Hñvard ; “”
Un type du bĂątiment philo qui prĂ©pare dĂ©jĂ  son doctorat. elle le rencontre lorsque qu’il assure l’un de ses cours avec le prof. il la fait rire avec son faux calme et son trop plein d’arrogance. relation fusionnelle, sexuelle mais pas passionnelle. elle s’éclate avec lui.
▬ Akira ; “”
Elle ne sait rien d’elle. elle sait juste qu’elle a payĂ© pour passer une ou deux nuits Ă  la ferme, dans les chambres d’hĂŽtes, il y a longtemps. un ou deux nuits qu’elles ont passĂ© Ă  fumer des joints dans les champs et Ă  dĂ©lirer, un peu, beaucoup puis — croyant ne jamais se revoir, elles ont cĂ©dĂ© Ă  la tentation des plaisirs charnels.
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kyeyearbook · 7 years ago
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LĂ©opoldine Mina Reese — 23 ans — South Florida — Etudiante en criminologie — Co-gĂ©rante d’une salle de sport — ( Aka ~ Kehlani Parrish )
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Il Ă©tait une fois.  LĂ©o est une fille mĂ©tisse, une fille qui a grandit dans l’amour, loin du stĂ©rĂ©otype de ces filles qui aiment le rose et les paillettes, elle Ă©tait dĂšs son plus jeune Ăąge, plus du genre Ă  courir aprĂšs le ballon avec ses voisins. PĂšre Mexicain, mĂšre amĂ©ricaine, la demoiselle a grandit dans le respect de tous, elle n’a jamais et n’aurait jamais fait de mal Ă  personne et dans son quartier tout le monde l’adorait cette fille qui n’était pas de celles qui jugent, pas de celles qui mĂ©prisent. C’était celle a qui le boulanger offrait un croissant en douce parce qu’elle souriait toujours, parce qu’elle disait bonjour Ă  tous et qu’elle aidait toujours son prochain. — Seulement quinze ans en arriĂšre son quartier Ă©tait moins bien frĂ©quentĂ© qu’aujourd’hui et un soir le drame arriva, un coup de tĂ©lĂ©phone tard le soir, une nouvelle qui changea tout. Une mĂšre a l’hĂŽpital agressĂ©e au couteau pour son sac a main par un jeune mort de faim ; morte une heure plus tard Ă  cause de ce coup trop bien placĂ© dans l’estomac, personne ne s’y attendait, la journĂ©e avait commencĂ© comme toutes les autres et au grand dĂ©sarroi de la petite LĂ©o, le monde ne s’était pas arrĂȘtĂ© de tourner ce jour lĂ .  — Son pĂšre tenait une salle de boxe et Ă  partir de ce jour il força sa fille Ă  y venir s’entrainer chaque jour jours pour savoir se dĂ©fendre et attaquer en retour si un jour c’était elle qui venait Ă  se faire agresser dans la rue ; elle n’avait que huit ans. 
Une jeune femme.  Les annĂ©es passaient et LĂ©o devenait une femme, une femme forte et dure dans un monde d’homme. Passant le plus clair de son temps dans cette salle de boxe elle Ă©tait devenue l’une des meilleures, bien que ce ne soit en rien une passion et qu’elle ne souhaite pas en faire un mĂ©tier, elle aimait tout de mĂȘme le regard impressionnĂ© ou mĂȘme apeurĂ© des hommes qui venaient s’entrainer et qui avait tous (ou presque) un niveau infĂ©rieur au sien. En parallĂšle, elle sort peu, a peu d’ami car elle fait peu confiance en dehors de son entourage proche elle sort, mais ne s’attache jamais, elle se construit distante, profite d’une vague histoire avec un tatoueur pour avoir des ristournes mais l’histoire ne dure qu’un temps car elle n’est pas capable de s’ouvrir plus sentimentalement. Elle Ă©tudie beaucoup, espĂ©rant obtenir un diplĂŽme en criminologie de maniĂšre a retrouver les gens comme l’agresseur de sa mĂšre ;  n’ayant jamais Ă©tĂ© retrouvĂ© pour ‘trop peu de personnel pour se lancer sur cette affaire’ qu’ils avaient dit. 
Qui portait le monde sur ses Ă©paules.  La vingtaine passĂ©e, papa souffre, papa Ă  l’alzheimer, il se souvient de sa fille, mais peine sur les dĂ©tails, perd la mĂ©moire Ă  vue d’oeil et n’est plus en capacitĂ© de gĂ©rer sa salle de boxe qui Ă©tait pourtant devenue toute sa vie aprĂšs la mort de maman. C’est donc LĂ©o qui fait tourner cette seule ressource d’argent, parce que sans ca, si elle baisse les bras elle n’aura rien pour payer l’universitĂ©. Alors elle transpire, elle force, elle veille tard le soir mais elle y arrivera, elle ne laissera pas tomber ni sa carriĂšre, ni papa. Heureusement dans les mauvaises nouvelles il y’a des bonnes, cette annĂ©e lui est attribuĂ© une bourse spĂ©ciale (comme pour 100 autres Ă©lĂšves de South) pour Ă©tudiez gratuitement dans l’une des plus prĂ©stigieuse universitĂ© de la Floride et de Tampa, Saint-lĂ©o. 
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Elle n’aime pas spĂ©cialement les Saint-lĂ©o, surtout parce qu’ils la regardent de travers et de haut, elle qui n’est pas fine, elle qui est ‘trop musclĂ©e pour une fille’ elle qui a des tatouages sur le visage et des baskets au pieds. Elle se sent supĂ©rieur a eux parce qu’elle ne juge pas elle, elle n’a pas que ca a faire. 
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▬ Adonis Bhramas ; “Something” Adonis Ă©tait le protĂ©gĂ© de ton pĂšre, c’est lui qui l’a entrainĂ© jusqu’a devenir champion, il lui a consacrĂ© toutes ses journĂ©es, plus de temps qu’a toi mĂȘme Ă  un certain temps. D’ailleurs, tu ne parlais jamais a Adonis a l’époque, tu n’étais mĂȘme pas sur qu’il t’es remarquĂ©. Il Ă©tait du genre concentrĂ© pour devenir le meilleur. Puis il a fait se sĂ©jour en prison. MalgrĂ© qu’il ai Ă©tĂ© jugĂ© coupable toi tu l’avais en estime parce qu’il avait tuĂ© ce type pour sauver une femme qu’il ne connaissait pas. Si ta mĂšre avait croisĂ© un Adonis elle ne serait pas morte. Puis quatre ans aprĂšs il est sorti jugĂ© finalement non coupable car il y avait eu du nouveau dans l’enquĂȘte, il s’est pointĂ© dans la salle pour voir ton pĂšre. Tu pensais qu’il allait reprendre la boxe mais il t’as dis que non et ca ta mis dans une colĂšre noire. Tu ne supportais pas l’idĂ©e qu’il ai gĂąchĂ©e tant de santĂ© de ton pĂšre pour abandonner. Abandon le mot que tu ne connaissais pas. MĂȘme si vous n’aviez jamais Ă©tĂ© ami son comportement te dĂ©sole. Et comme pour reprendre le flambeau tu te promets de le forcer a reprendre, a le coacher toi mĂȘme si il faut, parce que mĂȘme si tu ne lui dis pas, tu sais qu’adonis est nĂ© pour ĂȘtre boxeur, et ton pĂšre lui le savait. 
▬ Zach  ; “Something” Zach aidait dĂ©jĂ  ton pĂšre avant, pour s’entrainer gratuitement il faisait le mĂ©nage le soir, alors vous avez fini par l’embaucher officiellement, aujourd’hui c’est ton collĂšgue et ton ami. 
▬ Meredith  ; “Something” Meredith est l’amie de Zach, mais comme dĂ©sormais vous frĂ©quenter la mĂȘme universitĂ© elle devient peu a peu une fille que tu aimerais appeler amie, une fille en qui tu aimerais avoir confiance. 
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kyeyearbook · 7 years ago
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Celestre Spring — 21 ans — South Florida — Etudiante en langues anciennes — Pussy Lead — HHH — ( Aka ~ Rachel Noe )
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PᮇᮛÉȘᮛᮇ ғÉȘʟʟᎇ sÉȘᎍ᎘ʟᎇ ÉȘssᮜᮇ ᮅ'ᮜɮᮇ ғᎀᎍÉȘʟʟᎇ sÉȘᎍ᎘ʟᎇ
Londonienne de naissance, Celeste a toujours Ă©tĂ© cette petite fille admirative de ses parents, gens ordinaires au passĂ© ordinaire. Enfin, ordinaire Ă  leurs yeux, de personnes bien courageuses aux yeux de certains autres. En effet elle Ă©tait la merveilleuse consĂ©quence d’une union rapide, de deux jeunes personnes. Sa mĂšre n’avait Ă  l’époque que dix-sept ans lorsqu’elle accoucha de la jolie et fragile Celeste, et le pĂšre seulement dix-neuf ans. Mais rien n’empĂȘcha ces deux personnes de continuer leurs Ă©tudes, de devenir des parents responsables et d’élever leur fille sans aucun soucis apparent.
Ils n’avaient pas des milles et des cents, mais un appartement en centre ville, une voiture et de quoi se nourrir. Que demander de plus ? Ils ne s’offraient pas ce qu’il y avait de plus cher ou de plus beau, mais en mĂȘme temps cela aurait Ă©tĂ© bien inutile puisqu’ils Ă©taient dĂ©jĂ  tous trĂšs heureux ainsi. Aucune faille dans la petite famille parfaite.
Un petit frĂšre plus tard, et la famille Ă©tait enfin au complet et allait vivre sans encombre jusqu’au bout.
UÉŽ áŽ…Ă©áŽĂ©ÉŽáŽ€ÉąáŽ‡áŽáŽ‡ÉŽáŽ›, ᮅᮇs áŽ„ÊœáŽ€ÉŽÉąáŽ‡áŽáŽ‡ÉŽáŽ›s, ᮅᮇs sᮇɮᮛÉȘᮍᮇɮᮛs
Londres c’est bien, mais la vie y est chĂšre. Pour vivre plus confortablement toute la petite famille se vu dĂ©mĂ©nager alors que Celeste n’était ĂągĂ©e que de douze ans Ă  cette pĂ©riode. Rien de bien triste me diriez vous que d’aller habiter Ă  Manchester, une ville tout de mĂȘme active et trĂšs belle. Mais il semblerait que la jeune Spring ne soit pas de cet avis. Le caractĂšre de celle-ci avait bien changĂ© en cette pĂ©riode et elle se sentait en insĂ©curitĂ© partout oĂč elle allait, devoir dĂ©mĂ©nager et quitter le seul « chez elle » qu’elle avait connu n’était pas la meilleure expĂ©rience pour elle. C’est Ă  cette pĂ©riode qu’elle dĂ©buta ses crises d’angoisses, ses terreurs nocturnes, ces moments incompris de stress profond. Les mĂ©decins ne savent pas pourquoi la petite fille est atteinte de telles choses, d’ordinaire cela n’arrive que lorsqu’un rĂ©el traumatisme a eu lieu dans la vie de quelqu’un. Peut-ĂȘtre quelque chose sommeille en elle mais son corps et son esprit font tout pour qu’elle ne s’en souvienne jamais.
Autant dire que la petite famille parfaite ne comprenait que peu tout cela. Mais ils firent de leur mieux pour soutenir la jeune fille qui occupait ainsi beaucoup de place dans le foyer. Au final, Celeste rĂ©ussit Ă  passer outre, elle grandit comme tout les autres, Ă©lĂšve modĂšle et fille assez populaire au collĂšge puis au lycĂ©e. LycĂ©e oĂč elle rencontra d’ailleurs son premier amour. Un grand blond aux traits angĂ©liques, lui-mĂȘme bien populaire Ă  l’époque. Peut-ĂȘtre au fond Celeste voulait-elle rĂ©itĂ©rer l’histoire de ses parents Ă  sa maniĂšre, mais elle tombait amoureuse bien jeune. À dix-sept ans elle Ă©tait en couple avec celui qu’elle aimait appeler l’homme de sa vie. À dix-huit ans, elle se considĂ©rait la plus heureuse au monde. À dix-neuf ans, il la demandait en mariage. Les choses Ă©taient bien prĂ©cipitĂ©es et trop jeunes dans la tĂȘte de certains, mais pour une personne comme Celeste qui avait comme exemple des parents bien jeunes et un amour pourtant parfait, elle ne pouvait que faire confiance en son instinct. Et cet instinct avait raison. Il Ă©tait l’homme de ses rĂȘves. Il la faisait rire ; la rendait heureuse. Ensemble ils firent une immensitĂ© de bĂȘtises, il lui apprenait Ă  passer outre ses crises de panique qui la torturait encore, mais avec lui tout Ă©tait mieux. Il lui apprenait Ă  ĂȘtre elle-mĂȘme et vivre chaque chose qu’elle dĂ©sirait Ă  cent pour cent.
MᮀÉȘs ғÉȘɎᎀʟᎇᎍᎇɎ᎛ ʟᎀ ᎘ᎇʀsᮏɮɮᮇ ǫ᎜ÉȘ ÉąĂąáŽ„ÊœáŽ€ ᮛᮏᮜᮛ ÉŽ'é᎛ᎀÉȘᮛ ᮘᮀs ʟᎀ ʙᎏɎɎᎇ
Ce soir lĂ , la jeune femme avait prit un peu trop confiance en elle, elle avait bu, dansĂ©, rigolĂ©, et couchĂ©. Elle avait couchĂ© avec un homme, mais pas le sien.Au lendemain elle se souvenait que de peu de dĂ©tails, Ă©tait-ce de sa faute puisqu’elle avait trop bu ? Avait-on mit quelque chose dans son verre ? Avait-elle juste perdu la tĂȘte ? Elle s’était mĂȘme demandĂ©e si elle ne s’était pas laisser prendre de panique par le mariage approchant, par une peur de faire les choses mal tellement importante qu’elle se conduisit elle-mĂȘme Ă  sa fin.
Et cela n’y manqua pas. Nous passerons les dĂ©tails, mais la relation parfaite qu’elle s’était imaginĂ©e prit fin bien rapidement. Et depuis, elle ne revu jamais le jeune homme qui Ă©tait pourtant supposĂ© ĂȘtre sien.Uɮᮇ ꜰᎇᎍᎍᎇ ꜰᎏʀ᎛ᎇMais depuis un peu de temps Ă  passĂ©. Celeste a eu du mal Ă  s’en remettre. Mais on lui avait apprit que les Ă©preuves Ă©taient lĂ  pour nous rendre plus fort. Ainsi elle avait tentĂ© de se forger une carapace, elle avait prĂ©fĂ©rĂ© prendre beaucoup de temps avec sa famille, renouant des liens avec son frĂšre qu’elle avait presque dĂ©laissĂ© par sa relation amoureuse. S’inscrivant Ă  l’universitĂ© de Manchester, la jeune femme reprit mĂȘme les Ă©tudes avec une hargne Ă  toute Ă©preuve, tellement qu’elle eu l’honneur d’ĂȘtre sĂ©lectionnĂ©e parmi les Ă©tudiants partant en Ă©change scolaire avec une universitĂ© prestigieuse aux États-Unis.
PrĂȘte Ă  tout pour mener la vie de ses rĂȘves, elle n’hĂ©sitera plus Ă  se faire entendre. Celeste n’est plus une petite fille maintenant, et elle compte bien le montrer Ă  tous ceux qui oseront se mettre sur son chemin. Elle n’a peut-ĂȘtre pas l’air d’ĂȘtre dangereuse, mais essayez-donc de vous en prendre Ă  quelqu’un qu’elle aime et vous le regretterez.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Elle ne comprend pas trĂšs bien d’oĂč vient toute cette haine des saint-lĂ©o Ă  l’égard de ceux qui ont moins d’argent. Elle cherche donc Ă  essayer de les comprendre quitte Ă  avoir des problĂšmes. 
» s e s l i e n s 
▬ Cîme Parson ; “The one”
Vous avez tout fait ensemble, il est celui qui t’a changĂ©e, en mieux. Et tu l’as déçu, tu as tout ruinĂ©. Mais c’est du passĂ© maintenant. Il restera Ă  jamais celui que tu as aimĂ©, et tu auras toujours de bons souvenirs de lui, on ne peux pas changer ses propres erreurs du passĂ©.Mais paraĂźt-il que le blond aussi se trouve Ă  la mĂȘme universitĂ©, tu le sais car tu as bien fouillĂ© les rĂ©seaux sociaux, mais bon, cela ne prĂ©dit rien n’est-ce pas ? Cela te crĂ©er un noeud dans l’estomac, des frissons, une crise d’angoisse, mais tu survivras n’est-ce pas ?
▬ Something Spring ; “Brother” RĂ©daction Ă  venir
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kyeyearbook · 7 years ago
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ZĂ©phyr LĂ©oh De Conti — 24 ans — St Leo — Etudiant en droit — ( Aka ~ Roberto Calvet )
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ZĂ©phyr, tu es le fils de l’hiver, l’enfant des glaces, le duc au coeur gelĂ© et tant abimĂ©. Ô ZĂ©phyr tu es nĂ© en une fraiche soirĂ©e de dĂ©cembre 93’ dans la capitale anglaise. Si tu demandes Ă  Maman, c’est avec son accent « british », « lascif » et « mondain » qu’elle te rĂ©pondra que cette nuit lĂ , la neige envahissait les rues pavĂ©es d’la jolie - ville. Elle ajoutera, avec son sourire pincĂ© que tu connais si bien, que les flocons tombaient par millions et que le froid recouvrait jusqu’à l’ñme des passants pressĂ©s. Puis si t’interroges Papa, il te dira, de son accent italien si brillant, si flamboyant que tu fus le soleil de cette journĂ©e. Que tu rĂ©chauffas, par ta seule prĂ©sence, les muscles des anglais Ă©puisĂ©s. Il te dira que tu fus l’origine de l’ardeur et de la fougue des foules. Et c’est eux deux, peut - ĂȘtre plus timidement, qui te diront qu’ils ont pleurĂ© ce soir lĂ . Ils te diront sĂ»rement qu’les sourires ont fleuris cette nuit lĂ , que les yeux ont brillĂ© cette nuit lĂ , que les joues ont rougies cette nuit lĂ . Ah faut dire que t’étais attendu ZĂ©phyr. Le premier enfant. Le premier garçon. L’hĂ©ritier du royaume. A peine nĂ© et dĂ©jĂ  une telle pression sur tes Ă©paules alors Dieu si frĂȘles. Mais faut que tu l’endosse cette foutue pression ZĂ©phyr, faut que tu l’accepte et que tu l’embrasse. Le sourire de Papa est en jeu, la bontĂ© de Maman en dĂ©pend. Alors tu prends, tu prends tout. Tu prends l’angoisse accompagnant c’lĂ , tu prends la courtoisie obligĂ©e, tu prends la biensĂ©ance nĂ©cessaire; tu prends le snobisme , la frivolitĂ© et la futilitĂ©. Tu prends tout c’la avec sĂ©rieux et ambition ZĂ©phyr. Tu prends tout c’la pour faire sourire, ZĂ©phyr. Mais t’es jeune, t’es si jeune ; t’es encore un gamin putain et tu penses dĂ©jĂ  au prochain, Ă  « l’aprĂšs ». Tu comprends d’jĂ  qu’y’a des enjeux LĂ©oh. Tu comprends qu’tout compte dans ce bas monde ; les apparences et les semblances. Tout n’est qu’hypocrisie par ici, mais ça t’va Ă  toi, n’est - ce pas ? Merde t’as qu’dix ans et alors que les jumelles, tes tendres soeurs, tes douces fleurs, s’amusent de l’innocence de leurs jeunesses, toi tu maitrises dĂ©jĂ  l’art de l’illusion, l’art de la manipulation. Merde t’as qu’dix ans et alors que les jumelles, tes tendres fleurs, tes douces fleurs, s’amusent avec la bĂȘtise du « bel - Ăąge », toi t’es roi d’la sournoiserie, t’es roi d’la tromperie. Et plus Papa sourit, et plus t’es ravi. Alors sĂ»rement qu’ça aurait pu durer longtemps. Surement qu’l’arrogance aurait perdurĂ©, surement qu’la suffisance, l’insolence et l’outrecuidance auraient continuĂ©. Mais y’a eu « l’truc » vois - tu ? Y’a eu les « p’tits problĂšmes », comprends - tu ? « ProblĂšme Ă  entendre » au dĂ©but. « Ca ressemble Ă  une surditĂ© prĂ©coce » qu’à dit Papa. « ProblĂšme Ă  voir » par la suite. « Ca ressemble Ă  de la rĂ©tinite pigmentaire » qu’à dit Maman. Puis l’verdict est tombĂ©. « Syndrome d’Usher » « Type 3, n’vous en faites pas , ça ira » ; « Mais, notez qu’ça va continuer, qu’ça va empirer , c’est qu’le dĂ©but , faut s’habituer ». AĂŻe. Ca fait mal. Ca fait mal Ă  Papa qui voit son putain d’rĂȘve s’effondrer ; « plus d’hĂ©ritier » ; « j’peux pas confier le royaume Ă  un handicapĂ© ». Ca fait mal Ă  Maman qui voit son fils brisĂ© ; « plus d’garçon heureux » ; « plus d’garçon radieux ». Et ça t’fait mal Ă  toi; « plus d’occasion d’briller » ; « destin brisĂ© ». Toi qui touche du bout des doigts Ă  tes 16 ans et toi qui t’laisse aller. Adieu ambition, adieu aspiration ; adieu prĂ©tention. T’es Ă  Tampa ZĂ©phyr, t’y es depuis 5 ans, foutu dĂ©mĂ©nagement ayant changĂ© tes plans, et t’es lĂ  Ă  t’adonner aux vices les plus ardents, aux pĂ©chĂ©s les plus brĂ»lants. T’es lĂ  Ă  embrasser les enfers la nuit venue. T’es lĂ  Ă  enchainer les femmes. « C’que du sexe sans dĂ©pendance » dis - tu. T’es lĂ  Ă  enchainer les jeux. « C’que d’la thune sans importance » confies - tu. T’es lĂ  Ă  enchainer les drogues. « C’n’est qu’un corps sans consĂ©quence » regrettes - tu. Ah Dieu, que t’es malheureux, piteux et dangereux. Ah Dieu, que t’es misĂ©rable, pitoyable et dĂ©plorable. Ah Dieu, que t’es injurieux, honteux et ignominieux. Vois - tu, t’es l’dĂ©shonneur de Papa. Tu l’sais, PĂšre te l’a dit. Vois - tu, t’es l’indigne de la famille. Tu l’sais, PĂšre te l’a dit. Vois - tu, t’es la souillure de l’Italie. Tu l’sais, PĂšre de l’a dit. Alors tu n’peut compter que sur MĂšre, ta tendre MĂšre, ta douce MĂšre. Tu ne peut compter que sur tes jolies - fleurs, tes jolies soeurs. La belle Yseult et la merveilleuse HĂ©mĂ©ra. Belles roses Ă©closes qu’tu protĂšges et qu’tu prĂ©serves. « Faut pas les abimer ces demoiselles lĂ  » ; « faut pas qu’Papa y touche » ; « Faut pas qu’Papa les coupe. » Alors tu veilles sur ton petit jardin ; tu veilles Ă  c’que les Dames ne manquent point d’eau ; Ă  c’que les Dames soit arrosĂ©s par les rayons du soleil ; Ă  c’que les Dames poussent et poussent encore jusqu’à devenir de merveilleuses femmes. Ah que t’es attentif, que t’es prĂ©venant, que t’es prĂ©voyant. Tout c’lĂ  au pĂ©ril de ta propre santĂ© jeune homme. Parce que tu l’sais, parce que tu l’sens, ton « petit truc » empire. Tu l’sais, tu l’sens ; ta vision s’dĂ©grade. Tu l’sais, tu l’sens, ton ouĂŻe s’dĂ©molie. Et toi tu dis rien, t’apaises les craintes ; tu calmes les tensions. Toi tu paniques pas, t’as d’jĂ  tout perdu vois - tu, Ă  quoi bon ? Toi tu continues tes conneries, tu continues les filles, tu continues les drogues, tu continues l’alcool. Toi t’es abimĂ© par la vie ZĂ©phyr. Tellement abimĂ© qu’t’as l’impression que rien n’changera. Alors tu n’vis que pour ta famille - exception faite d’ton paternel - , tu n’vis que pour les vices ĂŽ si multiples, tu n’vis que pour les pĂ©chĂ©s, ĂŽ si pluriels. Tu n’vis que pour la vie ; parce que y’a rien d’autre pour toi, y’a pas d’autres choix. Tu vis parce que la mort n’est pas envisageable, ça dĂ©truirait tes femmes. Tu vis parce que y’a qu’ça Ă  faire sur cette putain d’planĂšte. Alors tu vis Ă  fond mon garçon. Tu dis tout ; tu n’cache rien. Tu gueules, tu hurles ; puis tu ris, tu t’moques et tu railles. T’es l’genre de mec un peu froid, un peu hautain, un peu dĂ©testable. T’es l’genre de mec Ă  Ă©viter, Ă  esquiver et Ă  Ă©chapper. T’es l’genre de mec un peu sombre ZĂ©phyr. Parce que t’es un mec de l’ombre ZĂ©phyr. » s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Zéphyr se fiche de ce conflit qu'il qualifie de "puéril". Il pique , il raille , il moque tout le monde sans se préoccuper de l'université d'appartenance. Il est d'ceux estimant qu'il y a des choses bien plus graves dans la vie qu'une foutue lutte des classes. » s e s l i e n s 
▬ Yseult Asya De Conti ; “Sister”
La seconde. La dominante. Sa tendre rose. VoilĂ  sa soeur, sa jolie - soeur. ZĂ©phyr en prend soin, ZĂ©phyr l’aime et lui montre. ZĂ©phyr la protĂšge et la prĂ©serve.
 ▬ HĂ©mĂ©ra Jahan De Conti ; “Sister bis”
Puis la troisiĂšme, puis la derniĂšre. Un peu plus timide celle - lĂ . Un peu plus fragile celle - lĂ . Faut surtout pas qu’on l’abime, faut surtout pas qu’on y touche, elle risquerait de faner. Elle est diffĂ©rente de la premiĂšre, elle est plus rĂ©servĂ©e , elle est plus bousillĂ©e. 
▬ Louis Papale Banks ; “Sir, may we be friends ?”
V’lĂ  l’seul vĂ©ritable ami de Monsieur. Louis, il l’a connu Ă  son arrivĂ© Ă  Tampa, Ă  ses onze ans. Louis c’est son double. MĂȘmes Ă©tudes, mĂȘme milieu, mĂȘme goĂ»t pour la moquerie et la raillerie. Louis c’est une amitiĂ© hors pair, un truc un peu dĂ©mentiel, un truc un peu exceptionnel.
▬ Someone to find ; “404 Error”
Elle , c’est la personnification de ses erreurs de jeunesse. Elle fut sa voisine ; il fut sa premiĂšre fois. L’histoire ne s’arrĂȘte pas lĂ  ; M’sieur l’a filmĂ©. Il a filmĂ© leur moment charnel, leur moment brĂ»lant. « Pour s’amuser » au dĂ©but ; « juste comme ça » au commencement. Mais voilĂ , la demoiselle s’est refusĂ© pour une seconde fois. Pas de coeur brisĂ© pour Monsieur, non bien sĂ»r que non ; juste un Ă©go en miette pour Monsieur. Alors le fils De Conti a publiĂ© la vidĂ©o sur le net. L’idĂ©e Ă©tant de la briser, « juste pour rigoler ». s u c c Ăš s
▬ Laureleen De Decker & others ; “Friend of a Friend mean friend ?”
VoilĂ  les amies de la belle Yseult. Monsieur se souvient d’elles aux diners multiples, aux cĂ©rĂ©monies innombrables. Il se souvient les avoir observĂ©, les avoir surveillĂ©. Hors de question qu’elles brisent ta jolie - rose. Hors de question qu’elles abiment ton doux diamant. Mais RAS, les dames ne provoquent pas les larmes mais les sourires chez Yseult. Rien d’autre.
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kyeyearbook · 7 years ago
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Eleanore (Ellie) Kingston — 21 ans — South Florida — Etudiante en droit — Art Club — ( Aka ~ Josefine Frida Pettersen )
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Tout le monde connaĂźt une fille dans le type de Eleanore Kingston, elle est du genre Ă  avoir tout le temps la tĂȘte dans les nuages, rĂȘveuse diriez-vous ? Eh bien vous auriez probablement raison, elle n’aime pas beaucoup sortir elle prĂ©fĂšre lire dans son lit ou bien au bord de la plage c’est beaucoup plus distrayant pour elle. Cette blonde est nĂ©e un froid matin d’hiver, le 14 fĂ©vrier eh oui le jour des amoureux ce qui peut ĂȘtre vu comme cocasse Ă©tant donnĂ©e sa pauvre expĂ©rience avec les garçons, elle n’en avait connue que deux mais elle n’avait jamais Ă©tĂ© amoureuse comme elle pouvait le lire dans ces livres Ă  l’eau de rose. Sa mĂšre n’a jamais Ă©tĂ© prĂ©sente dans sa vie, au contraire de ce que l’on pourrait croire elle n’avait jamais mal vĂ©cue cette absence si elle ne voulait pas d’elle c’était ainsi elle n’allait pas s’empĂȘcher de vivre pour cette femme qui ne voulait mĂȘme pas prendre la peine de connaĂźtre son propre enfant. Alors ce fut son pĂšre qui s’occupa d’elle, c’était pour cette raison qu’elle Ă©tait aussi proche de lui, ils avaient ce lien indestructible que personne n’avait jamais osĂ© dĂ©truire, certes cela la mettait en retard sur le point de vue du maquillage et de la mode mais ce n’était pas rĂ©ellement sa prioritĂ©. Sa prioritĂ© avait toujours Ă©tĂ© ces Ă©tudes et son pĂšre c’était dĂ©menĂ© toute sa vie pour lui payer ces Ă©tudes alors certes ce n’était peut-ĂȘtre la meilleure facultĂ© des Etats-Unis mais c’était dĂ©jĂ  extrĂȘmement cher pour le seul salaire de son pĂšre. Eleanore aime la danse et le dessin, quand elle n’as pas la tĂȘte dans ces bouquins de cours ou dans un livre c’est sĂ»rement devant une feuille de papier ou dans une salle de danse que vous pouvez la trouver. MalgrĂ© sa timiditĂ© naturelle elle ne se laisse pas facilement marcher sur les pieds et surtout pas par les Ă©lĂšves de Saint-LĂ©o certes elle ne vient pas du mĂȘme milieu social mais elle reste tout de mĂȘme une Ă©lĂšve comme toutes les autres. Sa timiditĂ© l’empĂȘchera-t-elle de profiter de ces annĂ©es de facultĂ© ou bien fera-t-elle comme ces annĂ©es de lycĂ©e et de rester renfermer sur elle-mĂȘme et sur ces Ă©tudes ? La vie nous le dira...
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Lutte douce pour l’acceptation des Ă©lĂšves de South Florida. » s e s l i e n s 
▬ Someone ; “Best Friend”
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kyeyearbook · 7 years ago
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CĂŽme Parson — 20 ans — St Leo — Etudiant en mĂ©decine — Epsilon — Purity — ( Aka ~ secret )
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« - đ™Č𝚘𝚗𝚗𝚊𝚒𝚜𝚜𝚎𝚣-𝚟𝚘𝚞𝚜 𝚕𝚎𝚜 𝚜𝚎𝚙𝚝 đš™Ă©đšŒđš‘Ă©đšœ 𝚌𝚊𝚙𝚒𝚝𝚊𝚞𝚡 ?𝙿𝚊𝚛𝚌𝚎 𝚚𝚞𝚎 𝚖𝚘𝚒, 𝚘𝚞𝚒.đ™Č'𝚎𝚜𝚝 𝚞𝚗𝚎 𝚙𝚎𝚛𝚜𝚘𝚗𝚗𝚎.𝙮𝚝 𝚒𝚕 𝚜’𝚊𝚙𝚎𝚕𝚕𝚎
 »
Manchester, magnifique ville du nord de l’Angleterre, accueille bien des habitants. Parmi ces habitants y figurait il y a quelques temps encore un jeune homme, grand et fin, des cheveux chĂątain, des yeux clairs, un air malicieux et un sourire enjĂŽleur.Ce dernier vivait avec sa mĂšre, ils Ă©taient tous les deux heureux dans leur petit appartement oĂč ils ne manquaient de rien de bien important. Ils vivaient une vie normale, pas d’excĂšs, pas de manque important non plus. Un toit sur la tĂȘte, des vĂȘtements sur le corps et de la nourriture dans l’assiette, voilĂ  la seule chose dont ils avaient besoin, et ils avaient bel et bien tout ce qu’ils voulaient Ă  ce niveau lĂ .
« - 𝙾𝚕 𝚊𝚟𝚊𝚒𝚝 𝚝𝚛𝚘𝚙 𝚕𝚘𝚗𝚐𝚝𝚎𝚖𝚙𝚜 Ă©đšĂ© 𝚕𝚊 𝚙𝚊𝚛𝚎𝚜𝚜𝚎
 »
Ainsi, une vie banale mais agrĂ©able, rien d’extravagant, mais rien de triste non plus. OĂč le jeune homme en question ne faisait rien d’intĂ©ressant de ses journĂ©es. Il se levait, allait Ă  l’école et rentrait, se couchait, mangeait de temps en temps, puis se levait, faisait son travail minimum et finit par se recoucher sans avoir effectuĂ© quoi que ce soit de probant de sa journĂ©e. Peut-ĂȘtre n’était-ce que le syndrome d’un collĂ©gien banal, mais voilĂ  ce qui avait caractĂ©risĂ© le jeune homme pendant longtemps. Une ombre, celui qui se dĂ©place et ne dit pas grand chose. Qui avance et qui se fait discret tout simplement car se faire remarquer prendrait trop d’énergie Ă  celui-ci. Maigre au point d’en ĂȘtre parfois malade, il y avait bien des choses qu’il avait arrĂȘtĂ© par paresse.
« - 𝙿𝚞𝚒𝚜 𝚒𝚕 𝚜'Ă©đšđšŠđš’đš 𝚊𝚞 𝚌𝚘𝚗𝚝𝚛𝚊𝚒𝚛𝚎 đšđš˜đšžđš›đš—Ă© 𝚟𝚎𝚛𝚜 𝚕𝚊 𝚐𝚘𝚞𝚛𝚖𝚊𝚗𝚍𝚒𝚜𝚎
 »
AprĂšs des sĂ©jours Ă  l’hĂŽpital, le jeune homme avait finalement eu la conclusion que quelque chose n’allait pas chez lui, un soucis de santĂ©. Et il fallait le rĂ©gler. Chose dite, chose faite. Enfin en quelques sortes. Le blond eu un problĂšme diffĂ©rent, l’inverse presque. Une boulimie Ă©trange, sortie de nulle-part. Non plus la paresse prenait le dessus, non une faim insatiable. Une envie de dĂ©couvrir cette nourriture dont il s’était passĂ© plus tĂŽt. Mais Ă  quel prix. Un corps qui en avait vu des galĂšres, et il fallait encore une fois y remĂ©dier. Mais cette fois encore, chose dite, chose faite.
« - 𝙿𝚎𝚞𝚝-ĂȘ𝚝𝚛𝚎 Ă©đšđšŠđš’đš-𝚌𝚎 𝚜𝚎𝚞𝚕𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 đšĂ» Ă  𝚜𝚘𝚗 ñ𝚐𝚎, 𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚕'𝚘𝚛𝚐𝚞𝚎𝚒𝚕 Ă©đšđšŠđš’đš 𝚋𝚎𝚕 𝚎𝚝 𝚋𝚒𝚎𝚗 đš™đš›Ă©đšœđšŽđš—đš Ă  𝚜𝚊 𝚙𝚘𝚛𝚝𝚎
 »
Seize ans, quel Ăąge ingrat, quel Ăąge oĂč l’on tente plein de choses, oĂč l’on cherche notre caractĂšre, notre personnalitĂ©, oĂč l’on a des rĂ©actions dĂ©mesurĂ©es. À cette pĂ©riode de sa vie, le jeune homme Ă©tait un homme bien particulier, il Ă©tait l’un de ces populaires garçons, mignon, ce que les autres appelaient son passĂ© faisait baver les filles et lui, bien qu’il ne comprenait pas cet engouement Ă  son Ă©gard, devait avouer qu’il en profitait bien.Il en arrivait mĂȘme Ă  mĂ©prendre bien des gens, Ă  prendre de haut des personnes qu’il n’aurait dĂ». Mais ça, il ne s’en rendrait compte que bien plus tard. En attendant il Ă©tait un jeune homme de seize ans qui se la jouait, se la racontait, et ne passait certainement pas inaperçu, bien loin de ce garçon d’il y a quelques annĂ©es.
« - 𝙮𝚝 𝚟𝚘𝚒𝚕à 𝚚𝚞'𝚒𝚕 𝚎𝚗𝚝𝚛𝚊𝚒𝚝 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕'ñ𝚐𝚎 𝚘Ăč 𝚕'𝚎𝚗𝚟𝚒𝚎 𝚏𝚊𝚒𝚜𝚊𝚒𝚝 𝚜𝚘𝚗 𝚊𝚙𝚙𝚊𝚛𝚒𝚝𝚒𝚘𝚗
 »
Vous avais-je dit que ce garçon Ă©tait trĂšs intelligent ? Et quand je dis intelligent, j’insinue trĂšs trĂšs trĂšs intelligent. Suffisamment pour avoir sautĂ© une classe et pour ĂȘtre une tĂȘte en sciences. Chose qui ne faisait que de le rendre plus populaire aux yeux des autres, les filles commencent Ă  apprĂ©cier l’intelligence comme qualitĂ© chez un garçon.Et ce jeune homme Ă©tait un adolescent comme les autres, ses hormones et lui commençaient Ă  visualiser des choses qui l’intĂ©ressaient plus qu’il ne le voulait rĂ©ellement. Et voilĂ  qu’il fricotait. Mais heureusement, vous savez, lycĂ©e catholique, rien n’est permit. Mais encore heureux, si le jeune homme ne comptait pas le nombre de personnes qu’il avait embrassĂ© dans sa jeunesse, il Ă©tait encore un ĂȘtre pur.
« - đ™ŒđšŠđš’đšœ 𝚕𝚎𝚜 đšŠđš—đš—Ă©đšŽđšœ 𝚙𝚊𝚜𝚜ù𝚛𝚎𝚗𝚝, 𝚎𝚝 𝚒𝚕 𝚏𝚒𝚗𝚒𝚝 𝚙𝚊𝚛 𝚜𝚞𝚌𝚌𝚘𝚖𝚋𝚎𝚛 Ă  𝚕𝚊 𝚕𝚞𝚡𝚞𝚛𝚎
 »
Mais avec des nuances. La luxure, pour le jeune homme, correspondait Ă  une chose bien particuliĂšre, il n’y avait goĂ»tĂ© qu’avec une personne. Vous seriez surpris d’apprendre que notre jeune homme avait rencontrĂ© l’amour. À ses dix-sept ans, il sortait avec une jeune femme, un ĂȘtre sublime et hors du commun Ă  ses yeux. À dix-huit ans, il Ă©tait amoureux comme un fou. À dix-neuf ans il la demandait en mariage. Et elle accepta.Ensembles ils testĂšrent tout un tas de choses, choses que nous ne prĂ©fĂ©rerons pas dĂ©crire ici, ni en dire plus. Eux seuls sont au courant, et c’est trĂšs bien ainsi.
« - 𝚂𝚊𝚞𝚏 𝚚𝚞'𝚞𝚗 𝚓𝚘𝚞𝚛 𝚕𝚊 𝚌𝚘𝚕ù𝚛𝚎 𝚏𝚞𝚝 𝚌𝚘𝚗𝚝𝚛𝚊𝚒𝚗𝚝𝚎 𝚍’𝚊𝚛𝚛𝚒𝚟𝚎𝚛
 »
Ce n’était pas voulu. Ce n’était pas ce qui aurait du se passer. Mais cela arriva quand mĂȘme.À dix-neuf ans. Un matin alors qu’il s’apprĂȘtait Ă  retrouver sa fiancĂ©e, il reçu ce genre de message que l’on dĂ©teste tous. Un « il faut que l’on parle » qui nous glace le sang. Et il avait bien raison d’en avoir des frissons.Il succomba Ă  la colĂšre sur le coup. Sa bien aimĂ©e, celle avec qui Ă  son si jeune Ăąge il se voyait dĂ©jĂ  passer toutes ses annĂ©es futures, venait de le tromper. Tout volait dans l’appartement de la jeune femme. Et lui son coeur vola en morceaux.Au final. Il s’était tellement Ă©nervĂ©, qu’aujourd’hui il n’en ressentait plus rien. Il n’était plus Ă©nervĂ© ni triste. Il se fichait de tout cela, comme s’il s’était Ă©nervĂ© suffisamment ce jour lĂ  pour toute une vie.
« - 𝙮𝚝 𝚍𝚎𝚙𝚞𝚒𝚜 𝚌𝚎 𝚓𝚘𝚞𝚛-𝚕à, 𝚒𝚕 𝚗𝚎 𝚙𝚘𝚞𝚟𝚊𝚒𝚝 𝚱 Ă©đšŒđš‘đšŠđš™đš™đšŽđš›... 𝚕’𝚊𝚟𝚊𝚛𝚒𝚌𝚎
 »
Comme si la journĂ©e qu’avait vĂ©cu notre jeune homme Ă  cette Ă©poque n’avait pas Ă©tĂ© suffisamment difficile comme cela, le jeune homme en avait encore Ă  baver. Il venait de rentrer chez sa mĂšre, celle qui le chĂ©rissait tant. Puis, elle l’attendait assise sur un canapĂ©, des larmes roulant sur ses joues. Pris de panique il tenta de savoir ce qui se passait, et la vĂ©ritĂ© lui fit bien mal au coeur. Le jeune homme avait un pĂšre. Rien d’anormal me diriez-vous. Mais lui n’en avait jamais connu. Il avait toujours Ă©tĂ© seul, ça avait toujours Ă©tĂ© « moi et maman contre le reste du monde ». Il ne s’était jamais posĂ© plus de questions que cela. Et pourtant. Il fallait qu’il apprenne qu’il avait un pĂšre seulement lorsque ce dernier Ă©tait mort. Et ce en lui lĂ©guant un hĂ©ritage dont il ne voulait pas un centime. Et pourtant, sa rĂ©action sera bien diffĂ©rente lorsqu’il apprendra l’importance de celui-ci.
« - 𝙾𝚕 𝚜'𝚊𝚙𝚙𝚎𝚕𝚕𝚎 đ™Čî𝚖𝚎 𝙿𝚊𝚛𝚜𝚘𝚗. »
Aujourd’hui, ĂągĂ© de vingt ans, le jeune homme est une magnifique force de la nature. Il a succombĂ© Ă  tous ces pĂ©chĂ©s que l’on dit « capitaux », « mortels » dans d’autres langues. Et pourtant, il est plus fort que jamais, mais Ă©galement changĂ© Ă  jamais. Il y a quelques mois de cela, le jeune homme a quittĂ© son Angleterre natale pour dĂ©mĂ©nager aux États-Unis, « the promised land ». Il s’y plait, dans un climat et une atmosphĂšre bien diffĂ©rente de ce qu’il connait. Inscrit Ă  l’universitĂ©, le jeune homme avait son avenir tout tracĂ©. Il souhaitait devenir mĂ©decin, et peut-ĂȘtre Ă©tait-ce bien sa seule grande motivation dans la vie.Ici il se plaisait. Il faisait beau et il y avait tellement de personnes diffĂ©rentes. Il avait pu s’affirmer comme il n’osait pas le faire chez lui. Il avait fait son petit « coming-out » en annonçant sa bisexualitĂ© Ă  sa mĂšre au tĂ©lĂ©phone. MĂšre qu’il ne voyait d’ailleurs plus depuis son dĂ©part. Il avait fait cela pour prendre des distances, il ne comprenait pas pourquoi elle lui avait cachĂ© tout cela. Et ici, Ă  Tampa, se trouvait les traces de son pĂšre dĂ©cĂ©dĂ©. Bien qu’il dise ne pas ĂȘtre intĂ©ressĂ© par la vie de celui-ci, le fait qu’il apprit Ă©galement qu’il avait une demi-soeur changea peut-ĂȘtre inconsciemment les choses.Mais ça, c’était une histoire que le jeune homme n’était pas prĂȘt de creuser. Pour l’instant, il voulait seulement se concentrer sur sa propre vie et son avenir. Ainsi, il s’était inscrit chez un club appelĂ© « Purity squad ». Quelle ironie pour notre pĂȘcheur que de faire partie d’un club pareil. Et pourtant. Ici, il avait l’impression qu’il pouvait retrouver ses seize ans Ă  nouveau. Il embrassait qui il voulait lorsqu’il sortait, s’amusait, mais jamais ne faisait rien de « dĂ©fendu ».AprĂšs tout, son coeur brisĂ© c’était certes rĂ©parĂ©, mais il n’avait juste pas envie de reprendre quoi que ce soit. Non il prĂ©fĂ©rait amplement se contenter de sa propre prĂ©sence, aprĂšs tout il Ă©tait un homme il n’avait besoin de personne. Et ainsi, c’était moins couteux que d’avoir un copain ou une copine non ?Oui, peut-ĂȘtre Ă©tait-il trop proche de ses sous maintenant, mais lui ne le voyait pas comme cela. Il n’avait juste jamais Ă©tĂ© habituĂ© Ă  avoir autant d’argent, alors il vivait souvent comme s’il n’en avait pas tant que cela. Lui le voyait comme Ă©conomiser, ne pas dĂ©penser inutilement alors que d’autres voyaient cela comme quelqu’un qui avait peur de dĂ©penser. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce le seul pĂȘchĂ© dont il n’était pas rĂ©ellement coupable ?Mais au fond, ces pĂ©chĂ©s, qui n’y avait jamais goĂ»tĂ© ? Peut-ĂȘtre n’était-il qu’un mec normal.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
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▬ YaĂ«l ; “Come here little angel”
Elle Ă©tait venue en Angleterre en vacances quand vous Ă©tiez plus jeunes. Comme tous les jeunes vous sympathisez sans prise de tĂȘte car aprĂšs tout, l’étĂ© tout le monde est heureux. Puis vous vous ajoutez sur Facebook et ne parlez qu’une fois par an par message, pour prendre des nouvelles. Mais aprĂšs tout elle Ă©tait quand mĂȘme vraiment gentille elle. Et quand tu as rĂ©alisĂ© qu’elle aussi Ă©tait sur Tampa, tu as dĂ©cidĂ© de te rapprocher d’elle. Elle semble en revanche bien diffĂ©rente de comme tu l’avais connue, mais c’est donc ton rĂŽle de l’aider Ă  aller mieux si tu le peux, aprĂšs tout, tu veux ĂȘtre mĂ©decin non ?
▬ Jude Nichols ; "I understand you”
RencontrĂ© alors qu’il Ă©tait en sĂ©jour Ă  l’hĂŽpital, et toi en repĂ©rage de stage, tu as Ă©tĂ© le premier Ă  avoir un contact avec lui. Ta blouse Ă©tiquetĂ©e « stagiaire » ne l’avait peut-ĂȘtre pas rassurĂ©, mais ta prĂ©sence, que tu ai le mĂȘme Ăąge que lui, si. En plus, tu comprenais un peu par quoi il Ă©tait passĂ©. Et depuis, tu dĂ©cida de rester en contact, car il mĂ©ritait d’avoir des gens prĂ©sents pour prendre soin de lui.
▬ Jules ; “Hey mate !”
D’ordinaire pour toi les cours, c’est un peu barbant, c’est juste l’étape par laquelle passer pour enfin faire le mĂ©tier de tes rĂȘves. Mais cette fois tu as eu de la chance, tu es tombĂ© sur un mec sympa, binĂŽme en cours la plupart du temps, vous dĂ©connez bien tous les deux et n’hĂ©sitez pas parfois Ă  faire des conneries. La seule chose diffĂ©rente entre vous ? Lui est un vrai coureur de jupons, mais aprĂšs tout, il ne pouvait qu’apprĂ©cier CĂŽme puisque ce n’est pas lui qui lui fera de la concurrence.
▬ Alejandro ; “Partner”
Purity squad, c’est un truc de meuf gĂ©nĂ©ralement, de celles qui veulent rester pures jusqu’au mariage. Les hommes eux sont des ĂȘtres trop faibles pour vouloir se garder si longtemps. Mais pourtant tu connais un mec qui est dans le mĂȘme club que toi. Et rapidement tu apprendras que ses intentions en Ă©tant ici Ă©taient bien diffĂ©rentes de ce que certains pourraient penser. Mais en tant que seuls mecs du club, il fallait bien que vous vous souteniez, vous seuls contre toutes ces filles.
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kyeyearbook · 7 years ago
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HĂ©mĂ©ra Jahan De Conti  — 22 Ans — St Leo — Etudiant en Art . — Club d’art + Equipe de Volley — ( Aka ~ Irene Noren ; dans la mesure ou les deux avatars pour jouer les jumelles sont diffĂ©rents mais trĂšs ressemblant, cette derniĂšre n’est pas modifiable. )
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Ô HĂ©mĂ©ra, ĂŽ belle fleur, ĂŽ douce princesse, tu es fille du printemps. Jolie rose nĂ©e dans le « beau » , dans « l’excĂšs » et la « profusion ». Jolie dame, tu poussas ton premier cri un matin de mai 95. Et l’enfer commence lĂ , il commence par la panique de ton PĂšre, par les cris d’ta MĂšre, par les larmes multiples & diverses. Parce que t’es faible ‘jolie rose’, si faible ; t’as l’cordon en collier et m’dame la faucheuse qui te tend les bras. Mais nan, nan toi tu refuses de frĂŽler les griffes des tĂ©nĂšbres, toi tu refuses d’t’en aller, pas dĂ©jĂ  ; toi tu veux vivre ouais, alors toi tu luttes, toi tu t’bats & toi tu survis. VoilĂ  votre guerriĂšre, voilĂ  votre soldat, voilĂ  votre HĂ©mĂ©ra. Premier cri et dĂ©jĂ  tant d’souffrances, tant de dĂ©chirements et de tourments. HĂ©mĂ©ra t’es la femme aux mille maux invisibles ; laisse - nous leur conter ton histoire. HĂ©mĂ©ra, voyez, c’est une fleur, un peu fragile, un peu douce et tendrement dĂ©licate. Faut pas la toucher, faut pas la cueillir, faut pas l’embĂȘter au risque de la voir se faner. Mais HĂ©mĂ©ra elle est nĂ©e avec un bulldozer, avec un putain d’explosif, un truc un peu volcanique. Elle est nĂ©e avec une autre, on l’appelle « la jumelle », on l’appelle « Yseult ». Yseult c’est d’la dynamite, Yseult c’est un brasier, un feu d’forĂȘt. Et Yseult elle dĂ©truit tout sur son passage, Ă  commencer par sa jolie soeur, Ă  commencer par la douce HĂ©mĂ©ra.   HĂ©mĂ©ra c’est la derniĂšre, sept minutes aprĂšs la torpille & deux ans aprĂšs l’ambitieux & le prĂ©tentieux ZĂ©phyr. Dernier enfant, la plus douce, la plus calme. Maman dit « timide » ; Papa dit « rĂ©servĂ©e ». Et Maman & Papa ils comprennent pas, ils comprennent pas ses hĂ©sitations et ses confusions. Ils comprennent pas son absence d’aspiration et de prĂ©tention. Ils comprennent pas parce qu’elle a tout la gamine, elle a le titre de noblesse de Maman, elle a le chĂąteau Ă  Londres puis elle a l’papa italien blindĂ©. Et pourtant, pourtant la ptite elle joue Ă  la malheureuse, elle joue la mĂ©lancolie et le chagrin. MĂȘme que tout le monde voit en la gamine l’ombre de sa tendre soeur, de sa douce Yseult. Ils voient qu’c’est Yseult qui commande, ils voient qu’HĂ©mĂ©ra elle aime ça, elle aime regarder son soleil briller, son soleil brĂ»ler et puis sourire Ă  ça. Ecouter son soleil, le respecter, le contempler et l’admirer , mais toujours en silence, toujours Ă  l’ombre, toujours dans l’noir. Parce que, mes amis, faut que vous compreniez, faut que vous compreniez que la jolie rose elle se sent pas Ă  sa place. Les dorures de son palais lui donne le tournis, la fortune de Papa la fait vriller et le titre de Maman la fait trembler. Elle s’sent pas Ă  l’aise dans toute cette abondance, dans toute cette affluence. Non, non non, HĂ©mĂ©ra Jahan elle est pas faite pour la vie d’riche, elle est faite pour le facile, pour l’ordinaire & pour l’élĂ©mentaire. VoilĂ  peut - ĂȘtre la raison Ă  son caractĂšre ; voilĂ  peut - ĂȘtre l’explication Ă  son humilitĂ© et Ă  sa servilitĂ©. VoilĂ  sĂ»rement pourquoi, dans son dos, Madame est surnommĂ©e « la dominĂ©e » , « l’autre », « l’exĂ©cutrice quand Yseult est la dominatrice ».   Mais putain, elle s’en fiche, elle s’en fout ; rien n’importe. Ouais, rien n’importe parce qu’elle aime sa place la gamine, elle aime son rĂŽle, elle aime regarder flamboyer Yseult parce que, voyez, elle aime Yseult. Belle douceur aux traits similaires ; mĂȘmes yeux chocolats, mĂȘmes cheveux de la couleur des enfer, mĂȘme voix brisĂ©e par les annĂ©es passĂ©es ; mĂȘme tout. Tendre jumelle ; relation fusionnelle. A son double malĂ©fique, elle donne tout, elle dit tout. Non, pardon, corrigeons - nous. Y ‘ a bien un truc, un petit quelque chose qu’elle garde pour elle, qu’elle garde pour son muscle vigoureux, battant avec frĂ©nĂ©sie, chaleur et ardeur. Ce petit truc elle l’a compris enfant. Quand Yseult se pavanait devant la gente masculine, s’en allait flirter avec les rictus des garçons interdits , HĂ©mĂ©ra rougissait devant le bleu des yeux d’une gamine au visage cĂ©leste. Quand Yseult embrassait avec passion des garçons menaçants mais charmants ; notre jolie rose sentait son coeur claironner et tapoter sous sa poitrine enfantine par les oeillades des filles de passages. Quand Yseult s’en allait, le soir venu, rejoindre dans leurs lits, les garçons ahuris ; Dame rĂȘvait dans ses draps rosĂ©s de sa chambres de poupĂ©e, des lĂšvres d’une demoiselle aux cheveux de la couleur du blĂ© brulĂ©. VoilĂ  , Madame crache sur les chevaliers et se prosterne devant les princesses en dĂ©tresse. Doux secret cachĂ©. Jolie rose ne peut l’avouer ; Papa en mourrait, Maman en pleurerait. Alors elle prĂ©tend, alors elle s’amuse des apparences, alors le paraitre est devenu son maitre - mot. Pauvre fille obligĂ©e de voiler son authenticitĂ© et de taire sa vĂ©ritĂ© pour ne pas blesser, pour ne pas froisser ni dĂ©chirer. Putain de pressions familiales. Faut dire que tout c’qu’elle fait ne convient pas la demoiselle. « Trop sage » ; « trop gentille», « trop modeste » , « trop, trop, trop ». Et puis y’a eu l’art, y’a eu la peinture, y’a eu la danse ; « c’pas un mĂ©tier ça HĂ©mĂ©ra » « regarde ton frĂšre, regarde ta soeur », « c’est bon pour les marginaux de danser, c’est bon pour les zonards de dessiner , pas pour toi ». PremiĂšre rĂ©bellion , seule rĂ©bellion de la part de jolie - rose. Jolie rose elle a luttĂ© et jolie rose elle a gagnĂ©. Elle vous le dira HĂ©mĂ©ra, c’était impensable qu’elle abandonne, c’était inimaginable qu’elle renonce Ă  sa passion, qu’elle abdique, qu’elle se rĂ©signe. Non, non, non. La peinture c’est son Ă©tincelle , c’est son soleil ; puis la danse c’est l’feu d’son ventre, c’est l’brasier d’son coeur. Seuls moyens d’expression pour la demoiselle. Ouais, la demoiselle elle parle pas beaucoup, un peu renfermĂ©e, un peu timide ; taciturne et rĂ©servĂ©e, la faire s’confier n’est pas aisĂ©. Voyez, elle masque ses craintes par de beaux sourires, par de merveilleux rires ; elle cache ses peurs par sa gentillesse et sa dĂ©licatesse ; elle dissimule ses hĂ©sitations par de la complaisance et de la bienveillance. Ouais, HĂ©mĂ©ra Jahan, fille de la richesse et de la noblesse, est l’genre de gamine comparable Ă  une Ă©nigme. Un peu dur Ă  rĂ©soudre, le rĂ©sultat vous remplira nĂ©anmoins de joie. VoilĂ  pour toi belle HĂ©mĂ©ra , voilĂ  pour toi ma jolie rose. 
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
La jolie rose se fiche de cette guĂ©-guerre puĂ©rile ; Ne prenant part Ă  aucune lutte, Ă  aucune bataille, elle est de ceux pouvant ĂȘtre qualifiĂ©s de « neutres ». De plus, la fille De Conti se sent paradoxalement plus proche des valeurs vĂ©hiculĂ©es par les Ă©tudiants South plutĂŽt que par « les siens ». 
» s e s l i e n s ▬ Yseult Asya De Conti  ; “La Dame Noire ♛” Relation fusionnelle ; relation incomparable et exceptionnelle. Yseult c’est la premiĂšre, Yseult c’est la jumelle. Yseult c’est les liens du sang, si forts, si grands. Yseult c’est le feu, brusque et dangereuse quand toi, tu es l’eau, calme et sereine. Si diffĂ©rentes mais si complĂ©mentaires.
▬ ZĂ©phyr De Conti ; “Le Cavalier Noire ♞” Quelques annĂ©es d’plus que toi celui - lĂ . C’est « l’grand frĂšre ». C’est le n°1 De Conti. Et c’est puissant votre relation quand tu lui confies tes craintes, tes angoisses et tes peurs. C’est dĂ©ment votre relation quand chamailleries et amour s’mĂȘlent Ă  votre danse. 
▬ Meredith Clinton ; “La Tour Noire ♜” Ah, puis y’a Merry, la jolie Merry, la sublime Merry. C’est un peu particulier elle et toi. Ce fut ta premiĂšre fois vois - tu. Ton premier « tout » Ă  vrai dire. Premier regard, premier baiser, premiĂšre caresse, premier amour. C’était beau, c’était fort, c’était bon. Puis M’dame est partie ; M’dame n’a donnĂ© aucune nouvelle, te laissant seule avec ton chagrin, avec ta mĂ©lancolie et ta nostalgie. SacrĂ©e Merry.
▬  JosĂ©phine LĂ©wis ; “La Dame Blanche ♕” JosĂ©phine est un courant d’air qui te redonne un peu d’espoir, il y’a quelque chose en elle qui te donne envie de t’affirmer, parce qu’elle commence a le faire et t’aime quand elle te regarde danser, c’est ce genre de moment pendant lequel tu te sens bien. Tu rĂȘves d’une fĂȘte bondĂ©e pendant laquelle tu pourrais l’embrasser juste pour voir ce que ca fait, sans que personne autour ne s’intĂ©resse a toi, juste pour voir ce que ca fait... 
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kyeyearbook · 7 years ago
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Yseult Asya De Conti — 22 Ans — St Leo — Etudiant en psychologie . — Pussy lead — Sphinx — ( Aka ~ Taylor Lashae )
» s a b i o g r a p h i e
« Yseult Asya De Conti », les lettres tournent autour de votre langue, les syllabes s’entrechoquent dans votre bouche lorsque vous prononcez le prĂ©nom, ĂŽ si spĂ©cial de notre demoiselle. Vous le savez, vous le sentez, vous le vivez, Demoiselle intrigue, Demoiselle provoque l’intĂ©rĂȘt et la curiositĂ©. Laissez moi alors vous narrer son histoire. Laissez moi Ă©tancher votre soif de dĂ©tails et permettez - moi de combler votre appĂ©tit de donnĂ©es.BientĂŽt vous saurez tout, bientĂŽt Yseult Asya n’aura aucun secret pour vous et bientĂŽt vous pourrez vous pavaner et vous vanter d’en connaitre plus, toujours plus. Commençons
đ‘€đ’¶đ“Ž đŸŁđŸ„, đŸŁđŸ«đŸ«đŸ§ _ 𝒼𝓉 - đ‘€đ’¶đ“‡đ“Ž đ»đ‘œđ“ˆđ“…đ’Ÿđ“‰đ’¶đ“, 𝐿𝑜𝓃đ’č𝑜𝓃Un cri. L’genre de cri un peu strident, un peu sifflant, un peu agaçant. Il surgit dans la nuit noire et fait trembler les murs de la capitale. C’est ce foutu cri, trop perçant, trop bruyant, qui fait vriller les oreilles des chirurgiens, qui fait sourire PĂšre et pleurer MĂšre. « Yseult Asya »; putain d’bourgeoisie anglaise aux maniĂšres surfaites et refaites. Un nom & un avenir dĂ©jĂ  tracĂ©. VoilĂ  pour toi Yseult. Mais pas l’temps d’se reposer Maman, y’a dĂ©jĂ  un second cri qui retentit. Pas l’mĂȘme l’genre que l’premier; ah ça non, celui - ci est souffrant & aigrotant. C’est un appel Ă  l’aide, un foutu SOS gueuler par un nouveau nĂ© aux poumons abimĂ©s. Papa panique, Papa hurle, Papa comprend pas; il gueule, il injure & insulte. Il rappelle son nom, il rappelle sa fortune et sa puissance. Maman pleure, Maman conjure, Maman supplie ; elle questionne, elle veut une putain d’rĂ©ponse, elle veut sa deuxiĂšme fi - fille. Elle veut son HĂ©mera. « C’est l’cordon enroulĂ© autour du cou » qu’on dit les mĂ©decins; « elle est fragile, trop maigre, trop frĂȘle, trop svelte; trop - trop ». VoilĂ  pour toi HĂ©mera.   Mais qu’importe HĂ©mera, c’est pas ton histoire aujourd’hui, non c’pas ton moment, c’est celui d’ta soeur, d’ta jumelle, d’la premiĂšre. Ô Yseult, ĂŽ belle poupĂ©e au charme envouteur et transporteur ; ĂŽ belle poupĂ©e qui par sa naissance a fait sourire Papa, qui par sa naissance a fait pleurer Maman, qui par sa naissance a ensorcelĂ© l’grand frĂšre, qui par sa naissance a fait souffrir sa soeur. Putain d’naissance qui rĂ©sume cette vie. Cette vie, on peut la condenser en six photographies, en six images; ce seront les clichĂ©s d’sa vie voyez - vous. DĂ©butons.
đ‘·đ‘°đ‘Șđ‘»đ‘Œđ‘č𝑬 đ‘”đ‘Œđ‘Žđ‘©đ‘Źđ‘č đ‘¶đ‘”đ‘ŹÂ  đ•± 𝖚 𝖘 𝖎 𝖔 𝖓 𝖓 𝖊 𝖑 𝖑 𝖊 𝖘 đŸŁđŸ«đŸ«đŸ« đ’čđ’¶đ“ƒđ“ˆ 𝓁𝑒 đ’žđ’œđ’¶Ì‚đ“‰đ‘’đ’¶đ“Š đ’»đ’¶đ“‚đ’Ÿđ“đ’Ÿđ’¶đ“ Par cette photo vous pouvez apercevoir les fenĂȘtres donnant sur le jardin Ă  l’anglaise, les tapisseries françaises ornant les murs, les vases de Chine dĂ©corant la piĂšce puis les domestiques, timides, cachĂ©s dans les rideaux du Moyen-Orient. « Elle est multiculturelle cette baraque »; c’est papa qui l’dit en riant. Papa il est Italien, Maman elle est anglaise.Papa il est drĂŽle ; Maman elle est dure;Papa il a l’or ; Maman elle a le titre.Mon Dieu, qu’ils se complĂštent bien les amoureux.
Mais les amoureux n’figurent pas sur le clichĂ©, non ici on a qu’les deux gamines.Les mĂȘmes cheveux sombres, les mĂȘmes yeux chocolat, les mĂȘmes sourires malicieux ; les mĂȘmes frimousses dĂ©licieuses et merveilleuses. Yseult est sur votre gauche, elle tient en sa main droite une poupĂ©e dĂ©colorĂ©e Ă  la robe Ă©vasĂ©e. Elle sourit pour la camĂ©ra, les yeux plissĂ©s de joie.HĂ©mĂ©ra est sur votre droite, elle tient en sa main gauche le prince en son habit cintrĂ©. Son sourire est timide, ses joues rosĂ©es et ses yeux extasiĂ©s fixent sa tendre soeur Ă©merveillĂ©e. đ‘·đ‘°đ‘Șđ‘»đ‘Œđ‘č𝑬 đ‘”đ‘Œđ‘Žđ‘©đ‘Źđ‘č đ‘»đ‘Ÿđ‘¶ 𝕬 𝖗 𝖙 𝖎 𝖋 𝖎 𝖈 𝖊 đŸ€đŸąđŸąđŸ€, đ“đ’¶ đ’»đ’¶đ“‚đ’Ÿđ“đ“đ‘’ đ“…đ’¶đ“‡đ’»đ’¶đ’Ÿđ“‰đ‘’ 𝓅𝑜𝓈𝑒 Maman est assise sur le canapĂ©, les jambes croisĂ©es et un rictus amusĂ© sur ses lĂšvres rosĂ©es ; ses doigts manucurĂ©s sont posĂ©s sur la cuisse de Papa. Papa il est heureux, tellement heureux , putain. Il a tout, il a la profusion & l’émotion. Il a la reconnaissance & la puissance.Il est gagnant Papa parce qu’il a, Ă  dĂ©faut « d’ĂȘtre ».A ses cĂŽtĂ©s, vous avec l’hĂ©ritier, le grand frĂšre, le protecteur, le dĂ©fenseur, l’impĂ©tueux ZĂ©phyr. Cheveux bruns et yeux manipulateurs, il a neuf ans et a dĂ©jĂ  tout d’un grand, le garçon. CoulĂ© dans l’moule, il respire le luxe le gamin, il respire l’arrogance et l’impertinence.A leurs pieds , « les jumelles » : Yseult et HĂ©mĂ©ra se tiennent par la main. Yseult, elle resplendit, elle flamboie, elle chatoie, elle brille quoi. Yseult c’est l’diamant brut voyez - vous. Elle a c’genre de sourire qui fait trembler, elle a c’genre de colĂšre qui fait pleurer. « c’est l’gros caractĂšre » que dit Maman ; « c’est la jumelle dominante » que dit Papa.Faut dire qu’il a pas tort l’italien. HĂ©mĂ©ra elle scintille dans l’ombre. HĂ©mĂ©ra elle luit Ă  peine, HĂ©mĂ©ra elle parle peu, elle s’cache trop. Parce que comprenez, HĂ©mĂ©ra c’est la seconde, HĂ©mĂ©ra c’est la suiveuse ; HĂ©mĂ©ra est dominĂ©e, voilĂ  tout. Yseult c’est les crises en magasins , c’est les cris intempestifs et les colĂšres multiples; Yseult elle croule sous les poupĂ©es, elle croule sous les jouets parce que Yseult elle aime possĂ©der; Digne descendance de son cher Papa. Yseult c’est l’dĂ©mon quoi.Mais voyez, le dĂ©mon il est malin, trop malin. Parce que l’dĂ©mon il est la personnification de l’artifice, du factice, du fictif. Le dĂ©mon il s’tient droit sur la photo, il sourit Ă  pleine dents ; ah deux en moins devant ! Le dĂ©mon il a les joues rouges et la robe blanche. Le dĂ©mon il serre en sa main gauche le poignet de son double inversĂ©, de l’ange personnifiĂ© , de la belle HĂ©mĂ©ra. Ô qu’elles sont proches les deux gamines. Qu’elles s’aiment d’un amour authentique. Qu’elles s’adorent d’une passion vĂ©ridique. 
đ‘·đ‘°đ‘Șđ‘»đ‘Œđ‘č𝑬 đ‘”đ‘Œđ‘Žđ‘©đ‘Źđ‘č 3 𝕼 𝖍 𝖆 𝖓 𝖌 𝖊 𝖒 𝖊 𝖓 𝖙 𝖘 2004, les trois enfants sont lĂ . ZĂ©phyr Ă  droite, HĂ©mĂ©ra Ă  gauche et la belle Yseult au centre. Des valises Ă  leurs pieds, ils semblent mĂ©tamorphosĂ©s les gamins De Conti. Yseult elle a 9 ans, de longs cheveux brun, un sourire hautain et des yeux Ă©teints. Ils s’en vont , ils quittent le chĂąteau familial, ils quittent le beau Londres, ils quittent la belle Europe.« C’est nĂ©cessaire qu’à dit Maman » ; « pas de discussion qu’à dit Papa »; « opportunitĂ© professionnelle » qu’ils ont dit ensemble.Traduisez en « + d’argent » ; « + de fric »; « + de sous » ; « + de blĂ© ». Alors direction Tampa, Florida. Alors la mĂ©lancolie gagne les enfants. Le chagrin ruisselle des pores d’Yseult, elle a l’cafard la gamine, elle aime pas l’changement, elle pas les dĂ©mĂ©nagements. Puis faut dire que la fille, elle est habituĂ©e aux « oui », elle ne connait que les sourires complaisants & indulgents. Elle ne se souvient que des acquiescements , des assentiments et des consentements de la part de ses tendres gĂ©niteurs. Rien d’autre.Alors, ouais, ouais un « non, pas de discussions » ça fait un peu bizarre, ça fait un peu Ă©trange.Puis l’changement c’est aussi dans la relation cĂ©leste et cosmique unissant belle Yseult Ă  jolie HĂ©mĂ©ra. Yseult elle gagne en confiance, ça va vite, « trop vite » que dit Papa; « c’est pas normal » que dit Maman. Parce que Yseult elle est sĂ»re d’elle, Yseult elle est un peu machiavĂ©lique et complĂštement dĂ©moniaque. Yseult elle a d’l’audace, elle a de l’assurance et c’est cette putain d’assurance qui fait naitre un affreux ascendant sur l’hĂ©sitante HĂ©mĂ©ra. Yseult dit ; HĂ©mĂ©ra fait.Yseult crie ; HĂ©mĂ©ra se tait.Yseult brille ; HĂ©mĂ©ra disparait.Ô belle Yseult qui apprĂ©cie son pouvoir, qui l’aime et le chĂ©rit. Elle adore cette emprise, cet empire & cette mainmise qu’elle a sur la douce HĂ©mĂ©ra.Pauvre HĂ©mĂ©ra. 
đ‘·đ‘°đ‘Șđ‘»đ‘Œđ‘č𝑬 đ‘”đ‘Œđ‘Žđ‘©đ‘Źđ‘č 4 đ•Ÿ 𝖚 𝖋 𝖋 𝖎 𝖘 𝖆 𝖓 𝖈 𝖊 Nous sommes en juillet 2009, Yseult Ă  14 ans. Elle est jolie Yseult, elle pose sur la plage Ă  la maniĂšre d’une sirĂšne des temps modernes. Le sourire sincĂšre, les yeux rieurs & les lĂšvres rosĂ©es, elle fixe l’objectif avec une dĂ©termination  & une volontĂ© encore inconnues. C’est HĂ©mĂ©ra qui prend la photo ; Yseult a demandĂ©, vous comprenez ? Yseult elle a changĂ©, un peu, pas beaucoup.En pire, carrĂ©ment.Y’a plus de douceur dans son coeur, c’est d’l’arrogance et du dĂ©dain. Y’a plus d’amour dans sa tĂȘte, c’est d’l’a fiertĂ© et de l’orgueil. Ô pauvre Yseult, que deviens - tu bel enfant ? đ‘·đ‘°đ‘Șđ‘»đ‘Œđ‘č𝑬 đ‘”đ‘Œđ‘Žđ‘©đ‘Źđ‘č 5 𝕾 đ–ŠÌ 𝖙 𝖆 𝖒 𝖔 𝖗 𝖕 𝖍 𝖔 𝖘 đ–ŠđŸ€đŸąđŸŁđŸ€ La photo est Ă©trange vous pourrez en convenir; On voit d’la peau, du beige, quelques grains de beautĂ© constellant cette peau bronzĂ©e puis en son centre, un nombril. C’est l’ventre d’Yseult..Vous ne comprenez pas ? Laissez - moi vous compter la mĂ©tamorphose, laissez moi vous expliquer le tragique. Yseult elle a dix - sept ans et Yseult elle est un peu idiote, un peu sotte. Elle boit, un peu. Elle fume, beaucoup. Elle sort, Ă  la folie. Elle couche, passionnĂ©ment. Puis Yseult elle se protĂšge pas, alors Yseult elle enchaine les ptites pilules le lendemain. « Si facile » qu’elle se dit ; « mieux vaut prĂ©venir que guĂ©rir » qu’elle se rassure.Puis voilĂ , Ă  force d’abuser d’son insouciance, Ă  force de nĂ©gligence constante et de nonchalance persistante , le verdict tombe. « Plus d’enfants ». « Trop d’pillules ». « Pas un bonbon ». « Dangereux ». « StĂ©rile ».StĂ©rile. S t Ă© r i l e. Ô MisĂ©ricorde. Ô Dieu vous l’avez dĂ©truite. Vous l’avez tuĂ©e. Pauvre femme qui est tourmentĂ©e par ce futur solitaire. Pauvre femme aux rĂȘves abolis. Pauvre femme Ă  la tristesse permanente.Pauvre femme au triste secret cachĂ©. Personne ne sait. Personne ne doit savoir. Jamais.C’est sa honte. C’est sa punition & son humiliation. đ‘·đ‘°đ‘Șđ‘»đ‘Œđ‘č𝑬 đ‘”đ‘Œđ‘Žđ‘©đ‘Źđ‘č 6 đ•œ 𝖊 𝖓 𝖆 𝖎 𝖘 𝖘 𝖆 𝖓 𝖈 đ–ŠđŸ€đŸąđŸŁđŸȘ, 𝒼𝓉 đżđ‘’Ìđ‘œ đ’°đ“ƒđ’Ÿđ“‹đ‘’đ“‡đ“ˆđ’Ÿđ“‰đ“Ž La belle demoiselle est lĂ , assise sur les marches de l’universitĂ©. Elle est jolie dans sa robe fleurie, son livre Ă  la main.Yseult elle sourit un peu. C’est doux, c’est tendre, c’est dĂ©licat. Yseult elle fixe la camĂ©ra avec audace et aisance. Mais la flamme a disparue, mais la vie s’est Ă©teinte dans les yeux de la gamine. Elle est hantĂ©e par un secret la minant, la rongeant Ă  chaque moment. Yseult elle a changĂ© aussi , un peu pas beaucoup. Yseult elle a gardĂ© son arrogance et son aplomb mais Ă  ce divin mĂ©lange, elle a ajoutĂ© une touche de douceur et une poignĂ©e de dĂ©licatesse. Elle a terminĂ© sa recette par une pincĂ©e de gentillesse avant de se dĂ©clarer satisfaite. VoilĂ  Yseult Asya De Conti. VoilĂ  son bonheur et ses malheurs. 
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
La demoiselle ne supporte que trĂšs difficilement la prĂ©sence de ces "Ă©trangers" , arrogante Ă  souhait, elle fait comprendre Ă  ceux - lĂ  qu'un monde les sĂ©pare. » s e s l i e n s ▬ HĂ©mĂ©ra  ; “Something” Douce jumelle, tendre double. Elle est son “moi angĂ©lique”; elle est l’beau quand m’adame est le laid. Elle est son coeur, elle est son corps, elle est son tout. Putain d’relation. IndĂ©finissable. C’est d’l’amour, c’est du diamant ; c’est un truc un peu brut.
▬ Someone ; “Something” RĂ©daction ..
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kyeyearbook · 7 years ago
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Jude Nichols — 20 Ans — South Florida — Etudiant en Histoire. — HHH — Prend des cours de — Dogsitter — ( Aka ~ Troye Sivan )
» s a b i o g r a p h i e
Jude avait toujours Ă©tĂ© destinĂ© Ă  aller Ă  St LĂ©o. Ses parents avaient tout arrangĂ© depuis qu'il Ă©tait petit pour lui offrir les meilleurs Ă©tudes, Ă©tant extrĂȘmement attachĂ©s Ă  leur petit garçon qui se prouvait ĂȘtre aussi gentil qu'intelligent. Ils Ă©taient fiers de la personne qu'ils avaient rĂ©ussi Ă  Ă©lever et Jude les aimait tout autant en retour. Bref, la parfaite petite famille. MĂȘme le grand dĂ©tail qu'Ă©tait l'aveu de son homosexualitĂ© Ă  l'Ăąge de 13 ans, ce qui Ă©tait souvent un moment dĂ©licat et aurait pu dĂ©terminer un malheureux tournant dans sa vie, ne changea rien du tout. Non, monsieur et madame Nichols l'aimaient dĂ©finitivement comme il Ă©tait et l'adolescent n'aurait rien pu rĂȘver de mieux.   Seulement, tout le monde ne partageait pas cette position trĂšs ouverte d'esprit. Alors que Jude avait dĂ©cidĂ© de s'assumer, pris d'un Ă©lan de courage suite au soutien de ses parents, tout ne se passa pas exactement comme prĂ©vu. Sa bande d'amis pourtant censĂ©e ĂȘtre si soudĂ©e dĂ©cida bien vite de se dĂ©barrasser de lui, parce qu'il Ă©tait devenu « bizarre » et qu'ils Ă©taient « mal Ă  l'aise ». On commençait Ă  le pousser dans les couloirs, renverser son plateau Ă  la cantine et tout ce genre de choses dont les gamins sont capables par pure mĂ©chancetĂ©. Et puis, la violence grimpa encore d'un cran. Cependant, Jude n'avait pas dit un mot et ce n'est que le jour oĂč il revint du collĂšge en pleurs et avec le nez en sang que ses parents comprirent qu'il y avait un problĂšme. En attendant, il s'en Ă©tait rendu malade, vraiment malade. Il finissait par se dĂ©tester et Ă  ne plus supporter ce qu'il Ă©tait, ce qui se traduisait par un refus de s'alimenter. Ce jusqu'Ă  ce que ça devienne critique et que ses parents, contre leur volontĂ©, se voient obligĂ© de laisser l’hĂŽpital prendre Jude en charge . Dans les factures mĂ©dicales passĂšrent bien la moitiĂ© de l'argent prĂ©vu pour le mettre Ă  la prestigieuse universitĂ©. Il mit des mois Ă  retrouver un poids qui n'affolait plus la balance mais finalement, il s'Ă©tait remis. Il ne retourna pas en cours pour autant, ne supportant plus l'idĂ©e d'un Ă©tablissement scolaire. Alors il prit des cours Ă  domicile, ce qui lui rĂ©ussissait plus ou moins, sa concentration Ă©tant une chose fuyante. La seule chose qu'il rĂ©ussissait haut la main Ă©tant l'histoire, vu le nombre de livres qu'il lisait sur le sujet, spĂ©cifiquement sur la mythologie qui le fascinait. Son diplĂŽme de fin de lycĂ©e fut tout de mĂȘme obtenu et avec deux ans de retard, il intĂ©gra l'universitĂ©, se sentant enfin prĂȘt Ă  retourner au milieu d'Ă©lĂšves Ă  20 ans. C'Ă©tait pour lui un nouveau dĂ©part. Et mĂȘme si ce n'Ă©tait pas exactement l'Ă©tablissement prĂ©vu au dĂ©part, faute d'argent mais.. tant pis. Il savait qu'il ne pouvait plus avoir ce dont il rĂȘvait. Pourtant, par un miracle, il fut pris parmi les Ă©lĂšves qui avaient leur place Ă  St LĂ©o et se retrouva Ă  pouvoir suivre les Ă©tudes prestigieuses qu'on lui avait promis. C'est donc rĂ©unissant tout son courage que Jude avait dĂ©cidĂ© de mettre les pieds lĂ -bas pour reprendre son avenir en mains, essayant de surpasser les difficultĂ©s qu'il avait pu avoir et de corriger son rapport toujours trĂšs Ă©trange Ă  la nourriture. Il a maintenant moins tendance Ă  se laisser marcher dessus, mĂȘme s'il est toujours particuliĂšrement doux et naĂŻf Ă  ses dĂ©pends, et a dĂ©cidĂ© que personne ne pourrait lui dire qu'il n'avait pas le droit d'ĂȘtre lui-mĂȘme. Et surtout, il s'applique Ă  rester conscient de la chance qu'il a de pouvoir ĂȘtre lĂ . ‱ Position de votre personnage dans le conflit des deux universitĂ©s : Il est trop content de pouvoir venir Ă  cette universitĂ© pour avoir envie de participer au conflit, mais il sait que certains Ă©tudiants de St LĂ©o sont ceux qui l'ont persĂ©cutĂ© Ă  l'Ă©poque et cela ne joue pas spĂ©cialement en leur faveur. ‱ Liens souhaitĂ©s : Peut-ĂȘtre un bourreau par rapport Ă  l'anecdote du dessus, sinon rien de spĂ©cial, mais si des joueurs en cherchent c'est avec plaisir. 
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Il est trop content de pouvoir venir à cette université pour avoir envie de participer au conflit, mais il sait que certains étudiants de St Léo sont ceux qui l'ont persécuté à l'époque et cela ne joue pas spécialement en leur faveur.
» s e s l i e n s ▬ Someone ; “Something” RĂ©daction .. ▬ Someone ; “Something” RĂ©daction ..
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kyeyearbook · 7 years ago
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Leni Batrovski — 23 Ans — South Florida — Etudiant en sciences chimiques — HHH — Vendeur de cannabis mĂ©dical — ( Aka ~ Lil Peep )
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Leniphen Batrovski avait 13 ans lorsqu'il vint à la conclusion qu'il se détestait plus que toute au monde. Leniphen Batrovski avait 15 ans lorsqu'il envisagea de se suicider. Leniphen Batrovski avait 17 ans lorsqu'il essaya vraiment.
Le mot « dĂ©pression » est un mot qu'il ne censurait plus, c'Ă©tait qui il Ă©tait, c'Ă©tait Sa DĂ©pression, avec un grand D. Il est Leni Batrovski et il est en dĂ©pression comme 300 millions des ĂȘtres humains. Certaines personnes s'en sortait et en parle et certaines personnes Ă©choue et puis c'est la fin.
Il Ă©tait trop tĂŽt pour que Leni s'identifie Ă  ces personnes et, honnĂȘtement, il ne savait pas qui sont les vrais gagnants dans cette histoire.
Il n'avait jamais eut la vie belle : vivant dans les bas fonds de la Russie, sa vie se résumait à cueillir les plantes de marijuana dans son garage. Quand il eut 10 ans, il préparait de la méthamphétamine et de LSD avec son pÚre. Toute son enfance était menée à la production de drogues de basse qualité. Mais Leni ne voyait pas cela d'une mauvaise façon. En tout cas c'était ce qu'il laissait percevoir. Tout ça : ça l'amusait. C'était son seul moyen de s'évader, un xanax au fond de la gorge, dodo et le lendemain il se sentait comme une nouvelle personne : comme si il revenait en vie.
En 23 annĂ©es de vie, Leni avait plus d'expĂ©riences que la moitiĂ© de la planĂšte terre. Il eut son premier joint le jour de ses 13 ans, il perdu sa virginitĂ© Ă  l'arriĂšre du pick-up familial Ă  15 ans lors d'une livraison et encore une fois Ă  16 ans, tatouĂ©s de la tĂȘte au pieds au mĂȘme Ăąge, Leni n'avait pas le gabarit de quelqu'un d'intimidant mais les tatouages faisaient leurs effets.
Mais Leni avait un avenir. Toutes ces annĂ©es passĂ©es dans le garage Ă  jouer avec des drogues fortes l'avait amenĂ© Ă  aimer la chimie, et il en connaissait un rayon niveau mĂ©langes. En mathĂ©matiques et sciences, il excelle. Un petit prodige, il cherchait un signe de fiertĂ© chez ses gĂ©niteurs mais il ne reçu qu'un hochement de tĂȘte derriĂšre un masque. Il y a eut des moments oĂč il voulait abandonner, jeter l'Ă©ponge, mais il ne pouvait pas. Il devait le faire pour babushka : sa grand – mĂšre, la prunelle de ses yeux. La femme qui l'avait Ă©levĂ© : qui l'avait accueillie lors de ses nombreux black-out, qui avait essuyĂ© ses larmes.
Il se rappelle de quelques paroles que sa grand-mĂšre lui avait dit en son anglais cassĂ©, ce soir – lĂ , il planait en LSD et inconsciemment il lui avait listĂ© tout les raisons pour lesquels il se haĂŻssait. Silencieusement, elle le rĂ©confortait, elle lui dit : « il faut que tu t'aimes, dorogoy. Aimes-toi plus que tout au monde car, moi, tant que je suis en vie, je t'aimerais toujours. »
Il aimait cette femme plus que tout au monde.
Au nom des Ă©tudes, Leni dut quitter son pays, sans grande tristesse honnĂȘtement, il dĂ©testait les russes, le froid, Poutine. Mais il aimait par dessus-tout les gens qui l'entouraient, il les quitta Ă  contrecƓur mais il avait Ă©conomisĂ© toute sa vie pour rentrer Ă  South Florida. La migration South Florida / Saint Leo ne pouvait que lui plaire, les finances n'Ă©tait pas son fort.
Au jour d'aujourd'hui, Leniphen vivait le rĂȘve amĂ©ricain, il travailler dur quand il le fallait, il s'amuser quand il le pouvait , n'abandonnant jamais sa libertĂ© en existant dans ce monde fade. En trois ans, vous penseriez qu'il aurait appris de ces erreurs mais dois-je vous rappeler qu'il vivait dans un Ă©tat constant de peur et de misĂšre. Plus dĂ©pressif que jamais, la drogue Ă©tait son refuge, c'Ă©tait mĂȘme son travail, cependant, il fumait seulement, il ne voulait plus aller dans le chemin des drogues sales. Nope, mauvais souvenirs.
En parlant de son travail, c'Ă©tait la premiĂšre fois oĂč Leniphen se trouvait autant Ă  l'aise, la pharmacie Ă©tait comme une nouvelle famille et en plus il avait ses propres plantes, il se sentait comme Ă  la maison et c'Ă©tait parfait. Il vivait la meilleure des vies dans le meilleures des mondes, il aidait des personnes en dĂ©tresse, il choisissait ses horaires et il pouvait ĂȘtre dĂ©foncĂ© pendant ses heures de travail, meilleur boulot au monde.
On disait de Batrovski toutes sortes de choses, les gens se basait sur les apparences mais Leni ne voulait que aider. Il voyait le cannabis comme un Ă©chappatoire qui pouvait aider tant de personnes mais les gens assumaient directement qu'il Ă©tait un junkie ou un gangster. Leni n'Ă©tait pas un saint, certes, mais c'Ă©tait une bonne personne, peut-ĂȘtre trop moqueur et insensible mais une fois qu'il s'habitue Ă  la prĂ©sence de quelqu'un, c'est un ange.
Leni Ă©tait un personnage complexe qui cachait une douleur lourde derriĂšre un grand sourire, il voulait aider les gens pour ne pas qu'ils ne finissent comme lui, il n'espĂ©rait ce malheur Ă  personne, il se sentait faux, voire hypocrite car il ne parlait pas de ses problĂšmes Ă  personne – Ă  part Ă  babushka – mais il voulait aider toute la planĂšte terre, c'Ă©tait malhonnĂȘte. Pourquoi Ă©tait – il en vie ? Une question qu'il se posait rĂ©guliĂšrement. Si il partait, le remarquerait – on ? Une question qu'il se pose encore plus rĂ©guliĂšrement.
Parfois il aimerais avoir quelqu'un qui le voyait comme autre chose que du gaspillage d'H2O, il se dit que ce serait sympa, mais pour l'instant, il se contentait de portait un faux sourire.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
» s e s l i e n s 
▬ Jordan Clarck ; “Got you wrapped around my finger babe”
Mon petit ange, dĂ©solĂ© de te traĂźner dans mes conneries, mais jamais je ne te lĂącherai. Leni la connu lors d’une soirĂ©e, il ne lui avait jamais vraiment portĂ© attention mais les choses sont bien faites. une soirĂ©e passĂ©e ensemble et il nouĂšrent directement des liens, devenant insĂ©parables. Cependant, Leni s’est jurĂ© de la tirer le plus bas possible, sans savoir qu’ils Ă©taient dĂ©jĂ  au mĂȘme niveau.
▬ Liz Junqua ; “You’re my favorite”
C’est marrant. quand tu dis “ va te faire foutre” je n’entends que des remerciements. Liz est une rĂ©guliĂšre Ă  la pharmacie, les paroles crues de la jeune femme amusĂšrent le russe depuis elle est le passe - temps favoris de Leni, celui - ci prenant un mĂ©chant plaisir Ă  la taquiner Ă  chaque visite.
▬ Elijah Lee Weaving ; “Classmates”
Tu rends mes cours de sciences amusants, thanks bro. 
Elijah et Leni suivent le mĂȘme cursus, Elijah fut le seul Ă  se mettre Ă  ses cĂŽtĂ©s, Leni lui en ait Ă©ternellement reconnaissant car, honnĂȘtement, sans lui en cours, il crĂšverait de solitude. Depuis ils traĂźnent ensembles et Elijah passe occasionnellement Ă  la boutique.
▬ Leylo Serafino Gomez ; “I think I possibly, maybe, really like you”
Peut - ĂȘtre que si t’étais pas tout le temps irrĂ©sistibles, j’pourrais en placer une sans paniquer. Leni a un gros crush dĂ©gueulasse sur Leylo, pas besoin d’en dire plus. 
▬ Leïla Aaliyah Asni ; “That’s funny, but I still gotta live the rest of my life with a shitty mickey mouse face on my forearm”
J’ai le pire tatouage au monde sur mon avant - bras Ă  cause de toi, et j’t’aime juste pour ça. Leni s’est laissĂ© se faire tatouer par une inconnue torchĂ©e Ă  4h20 du matin, meilleure dĂ©cision de sa vie. LeĂŻla et Leni sont des amis proches depuis, le tatouages Ă©tant son favori, c’était une blague constante entre eux. Leni lui fournit de la weed de temps Ă  autres. 
▬ Maebh Östlund ; “Do u need a helping hand ?”
Tu me ressembles, et ça c’est pas bon. sois une meilleure personne. Maebh est une cliente Ă  Leni, en lisant sa prescription et ses symptĂŽmes, Leni fut peinĂ© de voir qu’ils traversent la mĂȘme galĂšre. Leni fait tout pout l’aider Ă  ĂȘtre la meilleure version d’elle-mĂȘme, jouant le Ghandi du pauvre, ils devinrent rapidement potos de dĂ©fonce.
▬ Milo Adamsky ; “Do I wanna know ? If this feeling flows both ways.”
Tu es bien trop beau pour ton bien, dorogoy, ça doit ĂȘtre fatiguant. Leni ne saurait pas dĂ©crire leur relation, peut - ĂȘtre que c’était sa beautĂ© qui le fascinait, aprĂšs tout Leniphen aimait les belles choses. Leni prend un malin plaisir Ă  le taquiner, brandissant son joint sous le nez de Milo comme un trophĂ©e, cependant, il ne laisserait jamais Milo retoucher Ă  des drogues, certes, il l’embĂȘte, mais il n’a pas de mauvaise attentions. Flirt qui marche en un sens unique, une ambiguĂŻtĂ© bel et bien prĂ©sente, Leni s’est jurĂ© de le faire craquer. 
▬ Nephtys Ina Z-Obama ; “Sometimes life gets fucked up, that’s why we get fucked up.”
My ride or die. poussons - nous Ă  nos limites inexistantes, c’est pas sous Molly qu’on crĂšvera. Leni et Nephtys sont comme un duo tout droit sorti du trou du cul d’Lucifer, le petit ange & le petit diablotin. Leur rencontre est encore un mystĂšre, sĂ»rement en bad trip, c’était comprĂ©hensible. Une compĂ©tition de “ qui a la plus grosse conso’” rĂšgne entre les deux.
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kyeyearbook · 7 years ago
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BĂ©atrice Lisa Boccalini — 22 Ans — South Florida — Etudiant en Langues appliquĂ©e, Espagnol & Russe.  — Soutient Scolaire — Art Club — Pussy Lead — ( Aka ~ Camila Morrone )    
» s a b i o g r a p h i e
BĂ©atrice, le cadeau, la providence.  Tu es nĂ©e en Floride avec les fleurs du printemps, la douceur de la plus belle des saisons, le retour du champ des oiseaux. Tu Ă©tais une merveille, attendu et dĂ©sirĂ©e par une mĂšre aimante et amoureuse et un pĂšre qui jusqu'alors semblait le plus heureux des hommes tenant une parti de lui mĂȘme, sa chair, son sang au creux de ses bras dĂ©licat malgrĂ© sa taille. Lui qui avait si peur de te casser, toi qui semblait si fragile les yeux a peine ouvert. C’était la belle Ă©poque des annĂ©es 90â€Č, tes parents n’étaient que de jeunes adultes pas vraiment plus vieux que toi aujourd’hui, mais ils pensaient avoir tout compris Ă  cette vie pourtant si nĂ©buleuse. La premiĂšre dispute de ce couple a Ă©clatĂ© au dessus de toi, sans le vouloir, sans le savoir tu commences doucement Ă  les dĂ©chirer. Ta mĂšre, française voulait te nommĂ© avec le nom de sa grand mĂšre BĂ©atrice, ton pĂšre italien lui voulait rendre hommage Ă  son pays et ses gĂšnes, Mona-Lisa, deviendra Lisa. Evidement aujourd’hui nul doute que l’amour maternelle et l’impatience masculine avait jouĂ© en la faveur de la femme qui t’avait mise au monde. Tu portait le nom de famille de ton pĂšre. Tout deux Ă©tudiants Ă©trangers de l’universitĂ© de South Florida, Ă  l’époque mieux rĂ©putĂ©e qu’elle ne l’est aujourd’hui. 
BĂ©atrice, le fardeau, l’insouciance. Tu as grandit dans une famille de classe moyenne, sans trop de difficultĂ©, sans pour autant baigner dans le luxe, la normalitĂ©, toi ça te convient si bien. BĂ©atrice est composĂ© d'un prĂ©fixe latin Beatus, qui signifie "heureux" ou "comblĂ©", et d'un suffixe. L'ensemble signifie littĂ©ralement "celle qui apporte le bonheur". En soit ton prĂ©nom pourrait rĂ©sumer toute ta personnalitĂ©, il est solaire comme toi et tes jolis cheveux d’or. Tu grandit en courant dans le jardin pied nu, courant aprĂšs les papillons. Tous les voisins t’adoraient, le boulanger français du quartier avait l’habitude de t’offrir des croissants en cachette, ta mĂšre faisait semblant de ne pas le savoir, c’était ton petit secret. Tu vivais d’amour et d’eau fraiche, le sourire scotchĂ© au lĂšvre. Pourtant le soir, aprĂšs avoir fermĂ© la porte de ta chambre, tu entendais les disputes, les querelles incessante, maman en avait marre d’ĂȘtre loin de sa famille, loin de son pays, de porter les dĂ©penses sur son dos, de naviguer entre deux boulot et de ne pas vraiment te voir grandir. Papa en avait simplement marre de cette vie trop rangĂ©e, de cette petite femme que la grossesse avait changĂ©, elle n’était plus l’adolescente effarouchĂ©e, il n’y avait plus de piment. C’était ta faute sans vraiment l’ĂȘtre. Tu avais onze ans quand la sentence est tombĂ©e, Mummy and Daddy get a divorce. Trop jeune pour donner ton avis, tu n’avais pas d’autre choix que de suivre maman, recommencer ta vie dans un pays que tu ne connaissais pas. — Quatres longues annĂ©es, tu restais un soleil, mais le soleil français brillait bien moins que le Soleil en Floride. Tu avais des amis, mais ce n’étaient pas TES amis, tu parlais la langue mais ce n’était pas TA langue, tu avais la nationalitĂ©, mais ce n’était pas TON pays. 
BĂ©atrice, le renouveau, la dĂ©livrance. Tu as attendu sagement sans faire de vague, et le jour de tes quinze ans tu l’as annoncĂ© a ta mĂšre, sans ne jamais lui en avoir dis un mot auparavant. ‘Maman, j’ai maintenant l’ñge de choisir, je veux habiter chez papa’, tu lui as brisĂ© le coeur ce soir lĂ , pourtant c’était si vrai. LĂ©galement les quatre ans passĂ© jouait en la faveur de ton paternel, il gagnait mieux sa vie, possĂ©dait une maison et un emploi plus stable et maintenant ta voix comptait dans la balance. Tu ferais donc ta rentrĂ©e scolaire en septembre, en floride, dans ton monde. Une rentrĂ©e au LycĂ©e dans lequel tu retrouvais tes amis. — Quinze ans, c’est l’ñge pour se construire soit-mĂȘme. Toi t’es ouverte d’esprit, sociable, avenante, t’as jamais eu de mal a te faire des amis, tu parles facilement, tu as confiance en toi, tu as des formes qui te vont a merveille et t’es belle comme un coeur, t’es du genre a voir toujours le verre a moitiĂ© plein, t’es pas sur d’avoir un jour Ă©tĂ© Ă©nervĂ© tellement que les autres ont tendance a croire que tu prends tout a la lĂ©gĂšre, c’est pas le cas, simplement quand quelque chose t’agaces, ou t’attriste, tu te dis qu’avec le temps ca passera et qu’en souriant ca passera plus vite encore. T’es du genre a rĂ©gler tes problĂšmes toute seule et vouloir aider tout le monde a rĂ©gler les leurs. 
BĂ©atrice, Divine , IndĂ©pendance.  Ton pĂšre n’est jamais a la maison. La vie en colocation est plutĂŽt facile avec lui, tant que tu lui envoie un message avant de dĂ©coucher il est satisfait. Tant que tu n’est pas obligĂ©e d’assistĂ© au repas avec l’une de ses copines, t’es contente. En rĂ©alitĂ© il en a deux, et les deux ne sont pas au courant qu’il y en a une autre, les deux sont un peu plus jeune et espere se marier, toi tu t’en fout ca te fait rire. — Tu parles dĂ©jĂ  trois langues naturellement, l’anglais, le français et l’italien. Au lycĂ©e tu apprends l’espagnol et l’allemand. Tu as dans l’optique de devenir traductrice ou de travailler dans un domaine ou cet atout pourra t’ĂȘtre utile. — Ton pĂšre malgrĂ© son roman bien vendu, n’a tout de mĂȘme pas assez d’argent pour te payer une universitĂ© luxueuse, mais il te trouve un petit boulot dans sa maison d’édition pour faire des petites traductions. Enfin toi tu es contente d’aller dans la fac ou tes parents se sont rencontrĂ©. Tu y Ă©tudies l’espagnol et le russe. — Deux ans plus tard tu te retrouve transfĂ©rĂ©e a Saint-lĂ©o. 
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L Dans la mesure ou tes plus proches amis viennent de South, tu ne t’es jamais posĂ© la question, c’est naturel pour toi de te tenir au cĂŽtĂ© des tiens de d’entretenir puĂ©rilement cette querelle. 
» s e s l i e n s ▬ Nova Faye Coaste ; “de l’or en barre” Petite Nova Ă©tait ta voisine, ta premiĂšre et meilleure amie, t’as toujours Ă©tĂ© la pour elle, vous Ă©tiez dans la mĂȘme Ă©cole, vous passiez votre temps ensemble, en rentrant de l’école elle venait chez toi, tu connais son histoire comme si tu l’avais vĂ©cu. Lorsque tu es parti en France la quitter avait Ă©tĂ© la pire dĂ©chirure pour toi et lorsque tu es revenu bien qu’elle ne soit plus vraiment ta voisine, vos retrouvailles Ă©taient plus belle encore. Depuis vous ne vous ĂȘtes plus jamais quittĂ©, en premiĂšre annĂ©e de fac vous avez mĂȘme eu la chance d’ĂȘtre coloc lorsque Ă  south vous aviez le droit de choisir. Elle est ta moitiĂ©, ton bonheur, ta soeur et probablement la marraine de tes futurs enfants. 
▬ Adonis Eros Brahma ; “ the weakness ” Au lycĂ©e il Ă©tait la, au soirĂ©es il Ă©tait lĂ , il avait ce regard sur toi quand tu riais qui te faisait toujours te sentir bien. En fait ce garçon te rendait heureuse. Il a Ă©tĂ© ta premiĂšre vrai relation, vous ĂȘtes sorti ensemble pendant deux ans, deux ans qui semblait une Ă©ternitĂ© de bonheur. Tu le soutenais dans ses combats, tu Ă©tais toujours a cotĂ© du ring, pour le soutenir, tu te voyais sincĂšrement grandir avec lui, vieillir avec lui. Puis un jour tu as appris qu’il Ă©tait en dĂ©tention, il t’as appelĂ© pour te prĂ©venir, il t’as demandĂ© de venir et t’y es jamais allĂ©. Il a Ă©tĂ© accusĂ© d’homicide volontaire et toi t’as mĂȘme pas cherchĂ© Ă  savoir si c’était vrai. Tu l’as juste ‘abandonné’ comme tu le fais avec tout tes problĂšmes, tu laisses derriĂšre toi et tu continue de sourire. 
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kyeyearbook · 7 years ago
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Poppy Lauren Jones — 20 ans — St Leo — Etudiant en Psychologie (spĂ©cialisation enfant). — Cheerleader X Purity Squad — ( Aka ~ Bridget Satterlee ) 
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Poppy, un trĂ©sor, un cadeau.  Il n’y a aucun doute tu as Ă©tĂ© et tu es toujours un enfant choyĂ©, ta naissance Ă  Ă©tĂ© une bĂ©nĂ©diction au sein de ta famille, dieu sait si ta mĂšre rĂȘvait d’avoir une fille et mĂȘme Matthew son fils adorĂ© n’avait pas rĂ©ussi a lui combler ce rĂȘve, ce besoin. Ce jour, celui ou tu es nĂ©, Ă  Ă©tĂ© le plus beau de tes parents et ton frĂšre n’en a ressenti aucune jalousie. Il t’aimait lui aussi, prĂȘt a endosser le rĂŽle du grand frĂšre, protecteur et aimant qu’il est encore aujourd'hui. Ce jour la un rayon de soleil a traversĂ© le ciel nuageux d’Angleterre, promesse d’un bel Ă©tĂ©. 
Poppy, l’élĂ©gance, la biensĂ©ance.  Noblesse de coeur et d’ñme, tu es une petite anglaise comme on en compte tant, mais dans ton uniforme scolaire on peut quand mĂȘme noter la grĂące de ta dĂ©marche, la lĂ©gĂšretĂ© de tes gestes. Tu aimes la danse moderne, les histoires que ces ballets racontent ; RomĂ©o et Juliette, le Lac des Cygnes, Giselle, Casse Noisette etc, tu aimes la perfection, la dĂ©licatesse, la sensibilitĂ©. Tu reprĂ©sentes l’excellence, autant a l’école, que dans tes cours de danse tu es l’exemple, l’espoir et tu ne saurais rendre ta famille plus fiĂšre. Tu grandit, tu t’affirmes, tu sais ce que tu veux dans la vie. 
Poppy, la naĂŻvetĂ©, la dĂ©chirure.  Tu auditionnes pour ton premier gros rĂŽle dans un ballet Ă  tes dix-huit ans, une opportunitĂ© qui t’aurais permis de jouer dans les plus grandes salles de Londres. Tu auditionnes pour Juliette, pendant quatre mois les trois meilleures seront entrainĂ©e et Ă©valuĂ©e sur leurs capacitĂ© a tenir les entrainements, une vie saine, un Ă©tat d’esprit digne. Tu sais que tu es le meilleur espoir fĂ©minin de la rĂ©gion, voir du pays. Alors tu ne crains pas la concurrence.  Pendant un mois tu t’entraines puis il dĂ©barque dans ta vie, celui que tu prĂ©fĂ©rerais oublier. Ansel, le beau, ton RomĂ©o. Vous ĂȘtes tombĂ© amoureux si vite, tu t’es brulĂ© les ailes, tu as succombĂ©, tu t’es dĂ©tournĂ©e de ton objectif et finalement une semaine avant ton audition finale, il t’as avouĂ©. AvouĂ© que tu n’étais rien pour lui, qu’il voulait seulement te dĂ©concentrer, que ta concurrente mĂ©ritait plus le rĂŽle que toi et effectivement, c’est elle qui l’a eu. Cette histoire Ă  tuĂ© une partie de toi. Pendant trois mois tu t’es abandonnĂ©e pour celui qui avait malgrĂ© ce que tu veux en dire aujourd’hui ; conquis ton coeur. 
Poppy, l’espoir, la rĂ©mission.  Tu as grandit, tu as la promesse d’une vie merveilleuse et maintenant que tu as finit le lycĂ©e tu as dĂ©cidĂ© de prendre l’AmĂ©rique d’assaut, dĂ©mĂ©nager dans la ville ou tu passais tes noĂ«ls et tes vacances d’étĂ©s, lĂ  ou le reste de ta famille est restĂ©. Tu veux changer de paysage et abandonner la danse un moment, tu ne sais pas pour combien de temps, mais tu veux te trouver une porte de sortie au cas oĂč. Tu Ă©tudies donc la psychologie spĂ©cialisĂ© pour les enfants, tu te sens bien dans ce domaine. Dans un mĂȘme temps tu intĂšgres les cheerleaders une certaine maniĂšre de garder la danse dans ta vie. Tu intĂšgres Ă©galement la Purity Squad pour dĂ©gouter les garçons qui voudrait t’approcher d’un peu trop prĂšs a ton gout. Tu es vierge et tu n’as plus du tout confiance en cette race. 
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Tu as grandit dans l’oisivetĂ©, les bonnes maniĂšres, et malgrĂ© que tu ai parfaitement conscience que les Ă©lĂšves de South Florida n’ai rien choisi de leur vie, tu sais parfaitement qu’ils n’ont pas ton Ă©ducation et ca te fait un peu peur. Tu les prends plus en pitiĂ© que tu ne les dĂ©testes mais tu ne t’aventurerais pas a trainer avec eux. 
» s e s l i e n s 
▬ Matthew Jones ; “Les liens du sang” Ton frĂšre est ton pilier, il sera toujours ce pilier. Vous avez grandit ensemble, vĂ©cue ensemble. Il n’est pas comme toi, il n’est pas parfait, il fait beaucoup de conneries. Mais tu l’as toujours soutenu, tu l’as toujours aidĂ©, tu l’as toujours calmĂ©, tu l’as toujours adorĂ©. Tu te sens en sĂ©curitĂ© avec lui. Mais tu ignores son fardeau, ce qu’il te cache. Ton pĂšre dans le coma tu es loin de te douter que ton frĂšre en est la cause. 
▬ Charlotte Jones  ; “Les souvenirs de NoĂ«l” A chaque NoĂ«l, et pendant la plus part de tes vacances d’étĂ© tu aimais te prĂ©lasser sur la plage de sa maison, charlotte est la cousine adorable, la soeur que tu as toujours voulu avoir. Tu as toujours Ă©tĂ© proche d’elle et aujourd’hui que tu vis dans la mĂȘme ville, que tu cĂŽtoies la mĂȘme universitĂ©, tu sais que tu peux compter sur elle, qu’elle est une amie, une soeur. 
▬ Johanna Jones  ; “L’étrangĂšre” A chaque NoĂ«l, et pendant la plus part de tes vacances d’étĂ© tu entendais parler d’elle tu entendais son prĂ©nom suivi d’une critique ou quelque chose de ce genre, tu n’es pas trĂšs bien disposĂ©e a son sujet, tu n’as jamais suivi ou compris l’histoire qu’il y avait derriĂšre tout ça. Peut-ĂȘtre que tu as Ă©tĂ© conditionnĂ©, tu ne la connais pas vraiment mais tu ne sais pas vraiment si tu veux la connaitre. 
▬ Someone  ; “Parfois brisĂ©e, les filles doivent se soutenir” Depuis que tu es arrivĂ©e, elle a Ă©tĂ© la premiĂšre a t’accueillir dans l’universitĂ©, dans les purity. Alors par habitudes tu as commencĂ© Ă  trainer avec elle, tu sens qu’elle a souffert dans la vie, malgrĂ© tout elle est gentille avec toi. 
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kyeyearbook · 7 years ago
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Khalil J Lamar — 22 ans — South Florida — Etudiant en informatique.  ( Aka ~ AJ Saudin ) » s a b i o g r a p h i e
‘’a sad story, might find it boring lost his mum to a drug named Heroin’’ naissance tragique ; bĂ©bĂ© non – voulu. La famille Lamar avait toujours Ă©tĂ© le genre de famille bizarre, que les voisins essayaient de fuir et d’éloigner de leurs gosses : noires, pas trĂšs riche, mĂšre droguĂ©e, le pĂšre abandonnant sa famille aprĂšs la naissance de Khalil. Mary eu en tout 3 enfants : l’ainĂ©e dĂ©cĂ©da aux 12 ans de Khalil ‘’risques du mĂ©tier ‘’, le grand frĂšre il ne l’avait pas vraiment eu Ă  apprendre Ă  le connaitre, c’était un gros con. Et enfin Khalil ; il n’était pas voulu, Mama n’en voulait pas parce que papa n’en voulait pas. Son pĂšre Ă©tait plutĂŽt stable mais avait horreur des enfants, suite Ă  la naissance de Khalil, il se casse. Il vit avec sa mĂšre qui meurt ensuite d’une overdose, Khalil grandit avec son frĂšre ; tragique. Pas con, mais ça fait le con, toujours tĂȘte en l’air et jamais les pieds sur terre. Khalil est bizarre, fou et arrogant ; tĂȘte de mule de surcroit. Il n’apprĂ©cie pas les autres, il n’sait pas ce qu’il fait lĂ , et pourquoi avoir Ă  cĂŽtoyer certaines personnes. EnfermĂ© et pas trĂšs ouvert, il grandit avec son frĂšre sans pour autant en savoir beaucoup sur lui, bah oui Khalil Ă©tait l’enfant maudit ; suite de malheurs ---. A l’école il tentait mais n’était pas vraiment apprĂ©ciĂ©, au collĂšge il essai puis abandonne, au lycĂ©e c’était merdique sans sel. trĂšs tĂŽt il fume, il boit, il ‘’butine’’ comme aimait – il le dire, et trempe dans des affaires illicites. La tentation prend le dessus, il suit les pas de Madre, il consomme, beaucoup, beaucoup trop. Les stupĂ©fiants rythment son quotidien, Khalil avait sombrĂ©, on ne pouvait plus le rĂ©cupĂ©rer, juste regarder sa descente en enfer. Il rencontre une fille, gosse de riche Ă  premiĂšre vue en vue de libertĂ©. Il ne savait pas exactement qui c’était mais il l’initie aux plaisirs dĂ©fendus, khalil transforme Nephtys en grosse junkie, de ça naquit une idylle. Ils avaient tous deux succombĂ©s, histoire passionnĂ©e, ils ont su conjuguer le verbe aimer sans pourtant le prononcer, ils ne l’ont pas vĂ©cu comme un sentiment, mais comme un art. Bonnie and Clyde. Il dĂ©couvrit par la suite qu’il trainait avec la fille du prĂ©sident. Du jour au lendemain : dĂ©sertification. Suite Ă  son monologue il apprends qu’une photo d’elle peu descente avec de la coc’ fut dĂ©voilĂ©e, une photo que Khalil avait prise. Ce n’était pas lui, il ne savait pas qui c’était mais Nephtys Ă©tait partit sans essayer de comprendre, il n’a mĂȘme pas essayĂ© de la rattraper, qui sait pourquoi ? quiproquo qui sĂ©para deux Ăąmes perdues. Khalil continuait d’ĂȘtre ce qu’il Ă©tait, il lui arrive d’y repenser et de regretter, oui il regrette. Toujours plus de frasques, toujours plus de drogues. La police lui collait aux basques ; trop de dĂ©lits – il est surveillĂ©. Afin d’avoir une couverture, il dĂ©cide d’continuer ses Ă©tudes, inconsciemment son choix se porte vers Tampa sachant trĂšs bien que il allait partager la mĂȘme ville que Nephtys. C’est ainsi qu’il devient un South.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
» s e s l i e n s 
en Ă©criture.  ▬ Someone ; “Something” RĂ©daction .. ▬ Someone ; “Something” RĂ©daction ..
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kyeyearbook · 7 years ago
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Louis Pahale Banks — 22 ans— St Leo — Etudiant en Droit . — Sphinx Head — ( Aka ~ Nicolas Simoes )
- Au choix du joueur, il peut ĂȘtre membre des lions (Ă©quipe de football) a prĂ©ciser lors de l’inscription 
» s a b i o g r a p h i e
NOM le nom d’un pĂšre que tu admires, mais que tu crains, une destinĂ©e toute tracĂ©e, un poids sur tes Ă©paules, t’aurais voulu t’appeler smith, tu n’aurais pas eu autant d’attente de la part de tout le monde. Mais non tu es le dernier Banks qui puisse reprendre le flambeau familliale, garder cette renommĂ©e. Car la famille banks est rĂ©putĂ©e en floride et ce depuis des siĂšcles, propriĂ©taire de la banque sociĂ©taire de floride depuis son commencement. Tu sais pertinement qu’il existe sur cette terre, des gens qui reverait d’ĂȘtre a ta place, moi toi, cette place tu la troquerais volontiĂ©. 
PRÉNOM Louis c’est chic, c’est royale, ca sonne bien, le cachet d’un nom francais comme on en fait peu, choix d’un pĂšre qui voue un culte Ă  la vielle noblesse; puriste de droite il ne pouvait pas choisir plus traditionel comme nom, Ă©trangement ca te plais, tu te reconnais.  Pahale, c’est diffĂ©rent, seule trace de ta mĂšre bien plus douce que l’est le paternel. Pahale c’est le vestige des annĂ©es rebelles de ta mĂšre, quand elle Ă©tait encore libre et qu’elle visitait le monde, pahale c’est le rĂ©sultat d’un amour pour l’inde ; pahale ca veux dire premier, premier fils, mais premier dans la vie, car comme ton pĂšre te la bien fait comprendre, tu dois ĂȘtre le meilleur partout sinon ca ne vaux pas le coup de continuer. Tu en veux un peu Ă  ta mĂšre de ne pas t’autorisĂ© la libertĂ© qu’elle mĂȘme Ă  pris par le passĂ©, tu pensais qu’elle Ă©tait la mieux placĂ©e pour comprendre que tu avais besoin de profiter un peu. 
NATIONALITÉ t’es d’ici, la floride c’est tes racines profondes, ta famille n’a jamais quittĂ© l’état, on pourrait presque te considĂšrer comme un sang pur. Une partie de toi en est fiĂšre, tu te sens chez toi, tu te sens en confiance, tu connais la ville par coeur, tout l’état est financiĂšrement dirigĂ© par ta famille et il est peu probable que tu vives ailleurs un jour.  
STATUT CIVIL t’es un coeur dur, mais une main a mariĂ©, il parrait que ta mĂšre bouquine son carnet de contact rĂ©guliĂšrement pour te trouver une femme a marier, elle serait absolument ravie de te donner sa bague de fiancaille pour que tu puisse la passer au doigts d’une fille qui prolongerait la grandeur de ta famille. Heureusement pour elle tu as des goĂ»ts trĂšs sectaire en matiĂšre de femme. Tu as toujours Ă©tĂ© attirĂ© par les femmes au moins aussi puissante que toi, tu ne te vois pas dans ton avenir devoir vivre avec une femme entretenu, t’as besoin de poigne, de caractĂšre. En attendant de trouver cette femme, tu joues avec les filles qui tombe comme des mouches, mais tu ne te laisserais jamais aller au bras d’une fille qui ne serait pas de ton milieu sociale. 
OCCUPATION T’as jamais rien choisi dans ta vie, depuis toujours, tu ne te souviens pas d’une fois ou on t’as demandĂ© ton avis. On t’as inscrit dans tout les clubs que tu as fais, on te fais des costumes sur mesures depuis ton plus jeune age, ta mĂšre donne toujours son avis sur tes cheveux ou la rĂ©gularitĂ© de ton passage chez le coiffeur. T’as mĂȘme pas choisi ta filliĂšre ou mĂȘme ton stage dans l’entreprise d’un ami de ton pĂšre. Tout ca on le fait pour toi, comme si tu Ă©tais le pantin d’une vie qui n’est pas vraiment la tienne. T’as toujours trouvĂ© ca normal, tu te sentais mĂȘme gratifiĂ© fut un temps, tant d’attention sur ta petite personne ca te rendait joisse. D’ailleurs mĂȘme si ce n’était pas tes choix tu te battait pour ĂȘtre le meilleur quand mĂȘme. Car si ton pĂšre a bien rĂ©ussi Ă  t’apprendre quelque chose c’est ce gout pour la competition. T’aimes ĂȘtre le premier, alors tu travailles comme un dingues pour avoir les meilleurs notes, les meilleurs potes, les meilleurs places et en gĂ©nĂ©ral ca te rĂ©ussi. La ou ca peche c’est sous ton propre toit, parce qu’il y’a Charles, charles qui sans rien faire, sans faire d’effort, recoit tout l’amour et la tendresse que tu n’as jamais eu. si tu osais revenir avec un jean tachĂ© on te dirait sechement que ce n’est pas digne de toi, de filer te changer. Lui on se demande si il n’est pas blessĂ©, si il Ă  passĂ© une bonne journĂ©e. — Si tu fais tant d’effort c’est parce que tu espĂšres un jour voir autant de douceur dans les yeux de ton pĂšre mais tu sens que ce n’est pas prĂšs d’arriver. Du moins ca n’arrive pas. Alors t’as commencĂ© Ă  faire ce qui t’étais interdit. Tu as integrĂ© les Sphinx et c’est ta plus grande fiĂšrtĂ© depuis deux ans Ă  l’universitĂ©, les Sphinx Head sont ta premiĂšre raison de vivre, avec eux tu connais des soirĂ©es de privilĂšges certaines auquels ton frĂšre ne pourrait mĂȘme pas espĂšrĂ© participer, les sphinx c’est rien qu’à toi, c’est ton secret. Et mĂȘme si papa maman serait ravis de savoir que tu appartiens a une sociĂ©tĂ© secrete selective et puriste, tu n’en dis rien, c’est rien qu’a toi. D’ailleurs t’as de plus en plus de secret pour tes parents, des envies de rebellion, un tatouage cachĂ© alors qu’il t’étais interdit de marquer ta peau, des soirĂ©es ou l’alcool et la drogues sont tes meilleurs amis. Jamais dieux jamais tu n’oserais rentrer chez toi un lendemain de soirĂ©e, heureusement que tu as des amis sur qui compter. 
CARACTERE t’es un conquĂ©rant, si tu veux quelque chose tu l’as, tu ne triches pas dans ta futur cariĂšre, bien que tu ne l’ai pas choisi elle te correspond a merveille et tu sais que tu feras tout pour ĂȘtre un homme puissant, mais au fond de toi y’a une fĂ©lure de petit garçon, ce petit garçon qui voudrait se blotir au seins de sa mĂšre, ce petit garçon qui voudrait pour une fois ĂȘtre celui qu’on regarde avec tendresse.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L Louis est pro saint-lĂ©o, Ă©levĂ© dans une culture BCBG Ă  l’extreme, il est insuportĂ© par cette mauvaise frĂ©quentation que lui impose le doyen, il est donc ravi de faire parti des sphinx pour partager son mĂ©contentement. 
» s e s l i e n s 
▬ Charles Aasha Banks ; “La jalousie ; blessures de l’homme”  Ce gamin est arrivĂ© dans ta vie comme un cheveux sur la soupe, t’étais content d’ĂȘtre le seul, le petit trĂ©sor de tes parents, mais ils ont eu tellement de mal Ă  l’avoir celui la qu’il l’ont carrĂ©ment nommĂ©Â â€˜espoir’. En plus de ca, il s’avere que monsieur Ă  une maladie de coeur. Alors toute l’attention s’est retournĂ© sur lui. Il a toutes les libertĂ©s, personne n’a jamais rien dit, pour ses tatouages qu’on t’a interdit. Personne ne dit rien pour sa tenue dĂ©braillĂ©, ou sa coupe mĂȘme pas coiffĂ©e. Au fond tu sais pas quoi en pensĂ©, depuis toujours tu le repousses, mais en mĂȘme temps t’aurais aimĂ© une belle relation avec lui, il t’as juste volĂ© la vedette. Et au fond de toi peut-ĂȘtre que tu as peur de l’aimer trop et de le voir mourir. 
▬ Tiazo Arturo Pasolini ; “La maison d’en face” Depuis qu’il a emmĂ©nagĂ© Ă  Tampa ce mec habites en face de chez toi, alors forcĂ©ment papa, maman, on fait bonne figure dĂšs le dĂ©but il sont aller jouer les gentils voisins avec le pĂšre de Tiazo, mais mĂȘme si ca n’a pas Ă©tĂ© sincĂšre entre eux dĂšs le dĂ©but, ce n’était pas le cas pour vous. Encore petit, vous vous etes liĂ© d’amitiĂ© trĂšs vite et c’est restĂ©. Aujourd’hui vous ĂȘtes des frĂšres, il compte plus pour toi que ton propre frĂšre et parfois t’as mĂȘme l’impression de vivre ta relation avec charles par procuration avec tiazo.
▬Madelyn Dalia Andreotti ; “Electro-choc” Maddie est un dĂ©mon, elle est belle a faire craquer le plus pur des hommes, elle est envoutante et toi t’es partagĂ© ; une part de toi sens qu’elle est faite pour toi que tu devrais mĂȘme pas jouer, car c’est pas une femme avec laquelle on joue, tu sens qu’elle devrait ĂȘtre a toi et que vous seriez parfait l’un pour l’autre, parce que cette fille est de la meme trempe que toi elle est la fille que tu aimerais faire flancher, que tu aimerais pour son caractĂšre de princesse, comme ton Ă©gale. Mais ta fiertĂ© doute d’elle, tu sens qu’une partie d’elle s’est rapprochĂ©e de toi pour rentrer dans les sphinx et mĂȘme si t’es pas pret Ă  couper les ponts avec elle, tu n’es pas non plus prĂšs a te laisser charmer et la laisser te manipuler. Tu marches sur un fil, t’as pas confiance en elle ? ou en toi ? tu voudrais qu’elle soit la bonne, et t’as tellement peur qu’elle soit celle qui pourrait te briser. Tu voudrait lui donner tout l’or du monde, lui confier tes plus grandes peurs, mais t’es pas pret Ă  partager quoi que ce soit, les sphinx c’est ton monde et t’as peur de la laisser partager ca. Elle pourait ne plus avoir besoin de toi ? Elle pourrait te filer entre les doigts. 
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kyeyearbook · 7 years ago
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Charles Aasha Banks — 21 ans — St Leo — Etudiant en littĂ©rature. — Art Club — ( Aka ~ Dylan Rieder )
» s a b i o g r a p h i e
Charles Aasha Banks, c'est doux, c'est chaud.  "Aasha" c'est le vestige du patriarche qui t'ont nommĂ© espoir, rapport au fait qu'on ne t'attendais pas dans la famille Banks. C'est chantant, ça glisse sur les lĂšvres facilement. A la fois familier et singulier. Ça retient l'attention, ça ne fait Ă©cho qu'Ă  toi. PrĂ©nom qu'on oubli pas. Gueule qu'on oubli pas. AprĂšs ton frĂšre, tes parents ont eu Ă©normĂ©ment de mal Ă  avoir un deuxiĂšme enfant, pourtant tu es lĂ  et tu as pris place. 
              « Tu vas mourir Charles. » 
Tu t'es pris cette phrase en pleine tĂȘte dĂ©s que tu as eu l'Ăąge de comprendre le sens qu'elle portait. Depuis, elle revient comme une bonne amie. Avec le temps tu as fini par accepter l’idĂ©e.  Cette idĂ©e morbide. La mort. Mourir. Tu n'as pas Ă  te soucier de quand ni comment, tu n’as pas Ă  avoir peur de devoir Ă©conomiser pour le futur, tu n’as pas Ă  te demander ce que tu feras plus tard, tu sais que ça va arriver. Et depuis tu vis. Comme personne d'autre ne vit, au diable les quand dira-t-on, rien n'importe tu resteras pour toujours encrĂ© dans ce rĂŽle de l'Ă©ternel petit con jeune adulte qui a l'Ăąme pleine de rĂȘves. Pleine d'envies. Pleine de projets. T'as pas l'Ăąge d'ĂȘtre grand. T'as pas l'Ăąge d'ĂȘtre vieux. Tu l’auras jamais.
L'amour passion, l'amour fusion. L'amour pur, l'amour doux. L'amour haine, l'amour destruction. Toi, t'y crois pas. Tu veux pas y croire. T’en veux pas. Tu t’y refuses. Tu t’octroies tous tes dĂ©sirs mais pas celui lĂ , dans ta situation ce n’est pas raisonnable. Ce ne serait qu'une autre forme d'Ă©goĂŻsme. Dans les livres c’est beau, deux Ăąmes qui s’aiment, des histoires vendues pour qu'elles fassent rĂȘver, mais la rĂ©alitĂ©e est lĂ , Ă  la fin tu crĂšves, point, y’a pas d’épilogue, et ce n’est que souffrance et temps perdu. Pourtant tu aurais temps d’amour Ă  donner, et tu aimeras connaitre la sensation d’en recevoir, ĂȘtre un Ă  deux. Mais rien que l’idĂ©e,  ça te dĂ©goĂ»te. Ça t’écƓure. Toi, tu sais pas ĂȘtre menteur comme ça, tu sais pas faire du mal aux gens. Tu as pas de temps Ă  accorder Ă  ces conneries. 
Tu vas rendre l'Ăąme. Tu sais quel mois. Tu es presque mĂȘme sur du jour, parfois tu aimes fantasmer sur l’heure. Ton plus grand regret sera de partir sans le soutient de ton ainĂ©. Mais d’ici lĂ  tu as quelques mois. Les mĂ©decins sont formel, ils Ă©taient sur le cul que tu passes tes dix premiĂšre annĂ©e, tu n’en auras pas deux de plus.  Mais tu gardes ça pour toi, tu fais ce qu’il te plais, tu abuses de la vie comme elle abuse de toi, tu ne te prives de rien, dĂ©pravation Ă  outrance, apprentissage sage, tu continues l’universitĂ© car tu aimes ce que tu Ă©tudies. Tu prĂ©fĂšres qu’on te regardes avec mĂ©pris en pensant que tu n’es qu’un gamin irresponsable infrĂ©quentable plutĂŽt que de voir tes interlocuteurs suer la pitiĂ©. 
               « Tu vas mourir Charles. » 
Tu t'es pris cette phrase en pleine tĂȘte dĂ©s que tu as eu l'Ăąge de comprendre le sens qu'elle portait. Depuis, elle revient comme ta pire ennemie. Avec le temps tu as fini par faire croire que tu l’avais acceptĂ© cette idĂ©e. Cette idĂ©e morbide. Mais lĂ  vĂ©ritĂ© est moins honorable. 
En vrai tu es mort de peur.
Ps ; point important, les seules personnes au courant de sa maladie sont, Romane et Louis. Éventuellement une meilleure amie d’enfance si lien vient sur le jeu. 
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
il n’a pas vraiment le temps de s’en soucier pour dire vrai. 
» s e s l i e n s
▬  Louis Pahale Banks ;   ‘Les hommes pleurent en cachette’  Il t’as jamais montrĂ© d’amour, dĂ©jĂ  petit il faisait en sorte que tu ne puisses pas jouer avec lui,  il te rejĂšte depuis toujours, mais en grandissant t’as compris qu’il Ă©tait jaloux. Ca te fais bien marrer. Mais toi tu l’as toujours aimĂ©, admirĂ©, jalousĂ©. T’aurais tellement aimĂ© avoir son soutient. Dans ta vision parfaite des choses il est ton superhĂ©ros, ton alter-Ă©go, ton meilleur ami, mais il n’en est rien. Tu espĂšres pouvoir le hanter quand tu passeras la porte des enfers. 
▬  Isaure Delacroix ; ‘L'amour : le sĂ©rum&le venin, vu qu'on aime avoir mal.’ Non, oui, non, mais tu l’as interdit. Tu veux lui parler, mais non, puis elle arrive, elle sourit. Tu craques. Oui. tu sais pas trop pourquoi elle t’attire autant ; son aura, elle Ă  quelque chose. Parfois tu te demande si c’est un dĂ©fi que tu te lances parce que tu n’as jamais eu une fille comme elle, pourtant t’en as eu des filles. Mais non, c’est mĂȘme pas un jeu, t’as juste envie de la faire sourire. Parce qu’il est merveilleux ce sourire. T’as envie de lui apporter un peu de bonheur avant de partir.
▬  JosĂ©phine Lewis ; ‘Si je peux servir avant de partir’ Josy c’est une fille qui vient d’arriver dans le coin depuis une petite annĂ©e, c’est une fille avec qui tu t’entends particuliĂšrement bien. Mais mademoiselle n’a jamais avouĂ© son orientation sexuelle a sa famille, alors tu lui sers d’alibi au prĂšs de sa tante, pour elle vous Ă©tes ensemble depuis plusieurs mois, toi ca te fais marrer. 
▬  Meredith Clinton ; ‘Dans le coin d’un hosto’  elle te connaissait comme le pote de JosĂ©phine mais personne ne savait pas qu’elle viendrait a te croiser dans un couloir blanc des hopitaux qu’elle connait par coeur tout comme toi. Depuis elle cherche ton secret et toi ca t’arrange pas vraiment. 
▬  Romane Alavarez ; ‘BĂ©bĂ©, j'ai quatre-vingt-dix-neuf ‘blĂšmes 
’ Tu sais pas pourquoi, mais c’est comme ça, passion commune, problĂšme similaire, vous vous ĂȘtes interposĂ© dans la vie de l’autre, d’abord par un regard, puis c’est charnel. Vous flipper ensemble, passez des heures a fumer sur un balcon en pensant Ă  la mort. Y’a rien de romantique c’est plutĂŽt morbide mais ça vous convient.  
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