đđČđźđ·đżđźđ·đŸđź sur le book de kye ici tu peux choisir le personnage que tu incarneras chez nous. Les photos en couleurs reprĂ©sentent les personnages libre. Les personnages dit 'đđđđđđ' sont ceux qui sont attendu par tous leurs liens et / ou sont attendu pour l'intrigue. Les personnages dit 'đ¶đđđđđčđ' sont ceux qui ont un ou deux liens actif sur le rpg. đđžđ·đ·đź đ»đźđŹđ±đźđ»đŹđ±đź đȘÌ đœđžđČ .
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Carla LindĂĄ Rodrigues â 21 Ans â South Florida â Etudiant en Art . â HHH â Equipe de Volley â ( Aka ~ Akeme Cunha )
» s a b i o g r a p h i e
nĂ©e dans la banlieue poussiĂ©reuse et dĂ©munie de tampa, dâune union hors mariage entre un homme brisĂ© par la mort de sa femme et une jeune brĂ©silienne fraĂźchement dĂ©barquĂ©e du palier en bas, Carla grandit rapidement, elle sâacclimate facilement Ă ses deux foyers. familial chez sa mĂšre, qui nâa pas tardĂ© Ă lui trouver un beau pĂšre alcoolique et Ă lui pondre un putain de demi-frĂšre ; insupportable. sombre chez son pĂšre, car lui aussi boit comme un trou et meurt de chagrin pour une femme quâelle nâa jamais connue et dont il nâparle pas. mais câest bien lĂ -bas quâelle prĂ©fĂšre ĂȘtre, car il y a Leandre, plus ĂągĂ© de deux annĂ©es, censĂ© ĂȘtre son demi-frĂšre aussi mais quâelle considĂšre comme son grand frĂšre, comme son seul frĂšre. Ă 8 ans, elle le suivait dĂ©jĂ partout, parfois main dans la main, parfois en courant parce quâil lui avait interdit de le suivre. mais elle sâen fiche, Carla. elle veut apprendre aussi, comment on fait pour impressionner les autres dehors, elle veut savoir pourquoi Leandre rentre tard, elle veut apprendre, apprendre de son frĂšre, quâelle admire parce quâil est fort, parce que leur pĂšre le frappe souvent et quâil ne dit rien, quâil lui sourit quand mĂȘme en la bordant le soir. chez sa mĂšre elle se tait, elle Ă©coute son beau-pĂšre dĂ©biter ses conneries en postillonnant, elle observe son demi-frĂšre qui Ă 3 ans nâa encore jamais sorti un seul mot et qui lĂšche les vitres du salon, puis elle se tourne vers sa mĂšre au sourire fatiguĂ© et si peu Ă©panoui. chez son pĂšre elle veille tard, joue au foot et Ă la console avec son frĂšre et fait des crĂȘpes. Carla elle aime son pĂšre, elle sait quâelle lâaime plus que Leandre ne lâaimera jamais, elle sâefforce de le comprendre, elle essaie de prendre soin de lui, et il le lui rend ; en quelques sortes. Ă chaque fois quâelle revient passer la semaine chez lui, elle trouve un paquet de kinder sur la table et une bouteille dâOrangina dans le frigo. lui qui nâachĂšte jamais de marque, il le fait pour elle. alors elle se faufile dans la chambre de Leandre tard la nuit, quand il vient de rentrer complĂštement dĂ©foncĂ©, quâil vient de se disputer avec le padre et que ça a encore mal tournĂ©, et alors ils partagent le goĂ»ter, la plupart du temps câest Leandre qui dĂ©gomme le paquet de kinder et elle qui dĂ©balle la bouteille dâOrangina. Au collĂšge, elle se prend de passion pour les matiĂšres littĂ©raires et les mauvais garçons. elle joue au foot et sâentend avec tout le monde, contrairement Ă son frĂšre. plus proche des gars que des nanas, elle apprĂ©cie tout de mĂȘme la compagnie de ces derniĂšres. cĂŽtĂ© style, elle rĂ©cupĂšre les vĂȘtements de son frĂšre et parfois sa mĂšre va lui en acheter, mais câest plus fort quâelle, Carla ne peut se rĂ©signer Ă les porter sans y ajouter sa touche personnelle. la voilĂ qui sâamuse Ă repenser les habits et Ă crĂ©er des tenues Ă son goĂ»t. elle dĂ©coupe, elle assemble, elle sâen sort pas mal. elle fume son premier pĂ©tard en bas de son bloc, avec quelques gars du collĂšge qui lâinitient immĂ©diatement aux soufflettes et autres conneries dâce genre. ensuite, elle ne sâest jamais arrĂȘtĂ©e. h24 foncedĂ©, ses mouvements sont lents mais restent gracieux, elle grandit Carla et elle devient belle. au lycĂ©e, elle entre en littĂ©raire et sort de plus en plus, fume de plus en plus. parfois quand elle passe devant deux/trois filles de sa section, ces derniĂšres la regardent de haut en bas et murmurent sur son passage que câest une junkie. Carla sâen amuse, parce que câest peut-ĂȘtre vrai. mais elle sâen fiche, elle aime tout le monde, mĂȘme si parfois cette fille arrogante de son cours dâespagnol lâagace tellement quâelles finissent par sâengueuler au beau milieu dâune classe. pour gagner son oseille, elle part tous les week end sur les bords de plage pour faire des dreadlocks ou des atebas aux touristes de passage Ă Tampa. et puis les garçons lui font tourner la tĂȘte, les amis de son frĂšre sâintĂ©ressent Ă elle, Leandre passe son temps Ă menacer des types. en plus, Carla perd son innocence avec ce type de 24 piges qui fournit la drogue aux âpetits du quartierâ. elle nâen a que 16 Ă lâĂ©poque. elle veut garder ça secret, alors il se tait, ce qui la surprend un peu, mais qui la soulage finalement. Carla ne boit pas, elle fume mais elle ne prend pas dâautre drogue. parfois elle est tentĂ©e par une petite pilule magique, mais jamais, par la coke. Leandre prend de la came, ça fait longtemps maintenant et ça effraie Carla. parfois il est impulsif, beaucoup trop agressif. il ne lĂšve jamais la main sur elle mais lui a dĂ©jĂ fait des hĂ©matomes aux poignets en les attrapant si fort quâelle en avait presque pleurĂ©. elle lâa dĂ©jĂ vu faire une crise de manque et elle-mĂȘme en a beaucoup souffert. leur pĂšre sâen fout, câest pour ça quâelle lui en veut aussi. Carla ne veut pas envoyer son frĂšre en dĂ©sintox, mais elle est Ă©puisĂ©e de le voir se dĂ©truire tout seul. et tout le monde sâen fiche de Leandre, parce que lui, câest lâopposĂ© de sa sĆur, il est mĂ©prisant, moqueur, il nâaime personne. en tout cas, câest ce quâil veut faire croire. alors peu Ă peu les rĂŽles sâĂ©changent et câest Carla qui garde un Ćil sur Leandre. ils sont tous deux mutĂ©s Ă Saint Leo et ça nâest pas pour dĂ©plaire Ă la brunette qui rĂȘve de sâĂ©lever dans la mode, ou (encore moins probable) percer dans le cinĂ©ma. toujours souriante, elle se pavane entre les murs de cette nouvelle Ă©cole qui secrĂštement la faisait rĂȘver, se moquant des Ă©lĂšves modĂšles quâelle y croise.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L Parce que ton frĂšre câest LĂ©andre, tâas pas le choix que de suivre ses pas et de te moquer de ses gosses de riches.Â
» s e s l i e n s ⏠Leandre Solal Rodrigues  ; âEl fuegoâ LĂ©andre câest ton pilier, vous vous aimez câest certain, vous prenez soin lâun de lâautre et câest bien comme ça. Il est tout ce que lâon peut attendre dâun grand frĂšre, protecteur, dĂ©fenseur, il te protĂ©gerait du monde entier et tu le lui rend bien.Â
⏠RamsĂšs Don Kaiser ; âSomethingâ Tâas aucune idĂ©e que lui et ton frĂšre ne peuvent pas se blairer pour une histoire de meuf, tu sais juste que tu lui a parlĂ© une fois et que depuis tu fais en sorte de te rapprocher de lui, tâespĂšre pas spĂ©cialement quelque chose, mĂȘme devenir ami ca tâirais, tâaimerais bien avoir un ami qui nâest pas dâabord lâami de LĂ©andre, un ami rien quâa toi.Â
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Adonis Eros Brahma â 23 Ans â St Leo â Etudiant en Commerce â ( Aka ~ dudley o'shaughnessy ) possibilitĂ© de le faire entrer dans une Ă©quipe de foot ou hockey.Â
» s a b i o g r a p h i e
« Je n'ai jamais voulu croire que la défaite était possible. Je savais que je perdrais un jour, mais je ne l'ai jamais accepté. »
Houston, Chicago, Boston, Tacoma, ne sont que quelques-unes des nombreuses villes dans lesquelles Adonis a Ă©tĂ© trimballĂ© durant sa jeunesse. NĂ© d'une mĂšre cĂ©libataire, qui tournait Ă la cocaĂŻne, Adonis, n'a pourtant jamais Ă©tĂ© malheureux dans sa tendre enfance, il Ă©tait trop innocent pour se rendre compte de ce qui se tramait autour de lui. Une mĂšre mythomane, comptant six mariages Ă son actif, toujours avec des hommes plus influents ou riches les un que les autres ; elle savait charmer avec ses attributs physiques et aucun de ses hommes n'avait jamais eu honte de la prĂ©senter Ă leurs bras, elle Ă©tait comme ce monde : Sublime couverture, mais pourrie jusqu'Ă la moelle. Les hommes acceptaient Adonis parce qu'il n'Ă©tait pas vraiment noir et qu'il Ă©tait compris dans le lot avec la mĂšre. â Le coup le plus brillant qu'elle fit Ă©tait certainement le chirurgien plastique qu'elle rencontrait lors d'un sĂ©minaire, ce dernier n'hĂ©sita pas Ă quitter sa femme quadragĂ©naire pour elle. Ils dĂ©mĂ©nagĂšrent donc Ă Tampa en floride, lieu de rĂ©sidence dâun pĂšre quâil nâa jamais connu, dâune famille dont il nâa mĂȘme pas idĂ©e. Sa mĂšre elle pourtant prend plaisir a se pavaner au bras de son chirurgien, dans la ville du seul homme qui lâai quittĂ© un jour, dâailleurs avec du recul, Adonis aurait du se douter quâau fond elle cherchait juste a montrer Ă son pĂšre (Ă lui) quâelle avait trouvĂ© mieux, seulement ce nâĂ©tait quâune image.
 InstallĂ© Ă Tampa, Adonis ne jouait pas particuliĂšrement avec les autres enfants, il ne cherchait pas Ă dĂ©corer sa chambre, en bref il ne s'installa pas, comme il avait pris l'habitude de le faire. â Puis une annĂ©e, deux annĂ©es et trois passĂšrent, Adonis s'Ă©tait malgrĂ© lui intĂ©grĂ© dans son Ă©cole, il apprenait par coeur le nom des rues de son quartier, il grandissait sans difficultĂ© mais, sans attention. Personne ne lui prĂȘtait vraiment d'attention, il n'Ă©tait pas assez nul Ă l'Ă©cole pour ĂȘtre un 'cas', il n'Ă©tait pas non plus l'une des tĂȘtes de classe que tous connaissent. A la maison il n'Ă©tait pas l'enfant idĂ©al mais n'Ă©tait pas non plus un cancre insupportable. Il Ă©tait toujours dans la moyenne, partout. Il avait longuement attendu que son pĂšre le contact, mais rien, câĂ©tait comme si il nâexistait pas.Â
 Puis arrivait l'Ăąge dur de l'adolescence : il faisait parti d'une bande, croyait avoir compris le monde, se prenait pour un petit malin, dĂ©couvrait la musique, tombait amoureux d'Eminem, levait le voile sur les filles, dĂ©couvrait la ville, achetait de l'alcool sans l'Ăąge requis, se prenait pour le roi du monde, quittait sa bande, tombait sous le charme d'une fille, ramenait des C de l'Ă©cole, retrouvait sa bande, se renfermait Ă cause d'une fille, Ă©crivait des textes, ramenait des A de l'Ă©cole.â  Puis un soir, il assistait Ă un combat dans lequel Sergey Kovalev affrontait Andre Ward. Ce soir lĂ pour la premiĂšre fois il se sentait touchĂ© aux tripes, pour la premiĂšre fois il Ă©tait subjuguĂ©, captivĂ© par le spectacle qui s'offrait devant ses yeux. Pour la premiĂšre fois il sentait au fond de lui qu'il Ă©tait plus concernĂ© par ce moment que les autres, il vivait ces quelques minutes avec plus d'intensitĂ© que les spectateurs prĂ©sent ce soir lĂ . Ce soir il trouvait le vrai but de sa vie, il dĂ©couvrit ses futurs idoles : Mike Tyson, Mohamed Ali et d'autres grands noms que nous ne citerons pas dans cette biographie. â Le lendemain il Ă©tait allĂ© s'acheter ses premiers gants de boxe avec l'argent de poche qu'on lui donnait, il s'entraĂźnait sur les arbres dans les parcs, il regardait des vidĂ©os le soir jusqu'Ă pas d'heure et reproduisait les jeux de jambes, les placements de dĂ©fenses et le reste. Jusqu'au jour ou un coureur qui l'avait observĂ© un moment lui proposait de venir s'entrainer dans la salle d'un vieil ami Ă lui. Sa mĂšre prĂ©fĂ©rait qu'il passe son temps en salle plutĂŽt que dehors on ne sait oĂč, alors elle ne refusa pas de payer l'abonnement les premiers temps pour ne plus lâavoir dans les pattes. Puis rapidement il s'avĂ©rait qu'Adonis se dĂ©tachait des autres boxeurs de la salle, bien qu'ils suivaient les mĂȘmes entraĂźnements, avec le mĂȘme professeur, il y'avait une passion qui Ă©manait de lui, un dĂ©vouement pure et entier Ă ce sport. A 16 ans il avait dĂ©jĂ fait parler de lui, la presse cherchait en permanence les futurs noms des championnats professionnels et de part le monde on pouvait trouver des statistiques, des parieurs, sur les futurs lĂ©gendes, qui le deviendra, qui ne le deviendra pas. Brahma Ă©tait entrĂ© dans les tabloĂŻds et il Ă©tait sans doute le plus jeune si on ne comptait pas le fils d'un certain champion du monde qui n'avait que 7 ans et demi. 18 ans, son premier combat fut mĂ©morable, parce que c'Ă©tait le premier, puis il en enchaĂźnait quelques-uns, sans dĂ©faites, il Ă©tait considĂ©rĂ© comme l'un des meilleurs espoir pour les qualifications mondiales, les places pour ses combats commençaient Ă bien se vendre et il n'avait aucune dĂ©faite Ă son compteur. Le jeune homme Ă©tait comblĂ©, il ne faisait jamais de mal en dehors du ring, il Ă©tait tout ce qu'il y a de plus sincĂšre. C'Ă©tait un homme de valeur.
« Ce qui compte, câest pas la force des coups que tu donnes, câest le nombre de coups que tu encaisses tout en continuant dâavancer. Ce que tâarrives Ă endurer tout en marchant la tĂȘte haute. »
Dans la nuit du 19 janvier 2014 alors qu'il sortait d'un bar dans lequel il avait fĂȘtĂ© sa 5 eme victoire en professionnels il se retrouva face Ă un conflit intĂ©rieur, maintenant officiellement en contrat avec un grand label de boxe il n'avait pas le droit de se retrouver dans la presse, de faire d'esclandre en dehors des combats, il devait se maĂźtriser comme il lâavait toujours fait.  Mais la scĂšne a laquelle il assistait Ă©tait insupportable, cette jeune femme avait le poignet dĂ©jĂ marquĂ© par la poigne de son agresseur et personne d'autre que lui n'aurait rĂ©agi, puisque la rue semblait dĂ©serte. Ces trois secondes de rĂ©flexions qu'il s'Ă©tait autorisĂ©, furent les plus longues de sa vie, mais l'appel Ă l'aide dĂ©chirant de la jeune fille l'avait convaincu. Il n'avait eu aucun mal Ă sĂ©parer les deux concernĂ©s, puis machinalement, aprĂšs s'ĂȘtre pris un coup dans la mĂąchoire de la part de l'homme dĂ©jĂ alcoolisĂ©, il ne pu s'empĂȘcher lui rendre l'attention, sans rĂ©flĂ©chir, au fait qu'il ne contrĂŽlait pas sa force, au fait que son adversaire Ă©tait, pour une fois, sans protection, qu'il n'Ă©tait pas devant une foule. Un coup, un seul coup, mais le coup de trop. La tĂȘte de l'homme avait frappĂ© le sol tellement fort qu'il Ă©tait mort sur l'instant. Un coup d'oeil en arriĂšre, il croisait le regard de la jeune femme qui ne tardait pas Ă s'enfuir. Il ne regrettait pas, il savait que s'il n'avait pas rĂ©agi, il aurait entendu les cris de cette fille toutes les nuits avant de dormir. Mais sans son tĂ©moignage de cette derniĂšre et aucun autres tĂ©moins, il fut reconnu coupable d'homicide volontaire. La seule chose qui le prĂ©servait Ă©tait son Ăąge, il fut alors reçu par un jurĂ© pour mineur et condamnĂ© Ă perpĂ©tuitĂ© avec une pĂ©riode minimale de 20 ans avant une possible sortie en conditionnelle. Il perdait tout, sa famille, sa petite amie, ses potes, ses associĂ©s, son contrat, sa carriĂšre.
« Câest pas fini tant que la cloche nâa pas sonnĂ© ! »
Quatre ans plus tard, alors qu'il se lĂšve pour un jour de plus comme les autres qu'il a arrĂȘtĂ© de compter avec le peu de visite qu'il reçoit, son avocat vient le voir pour lui dire que son dossier a Ă©tĂ© rĂ© ouvert, un tĂ©moin vient de sortir de l'ombre, cette jeune femme qui pointe le bout de son nez quatre ans plus tard. Il sort alors en conditionnelle puisque son cas et dĂ©clarĂ© comme lĂ©gitime dĂ©fense contre agresseur rĂ©cidiviste. Mais tout a changĂ©, il a tout perdu, sa mĂšre s'est remariĂ© Ă l'autre bout du pays sans mĂȘme le prĂ©venir, il n'a plus de carriĂšre, aucun but, tout Ă reconstruire. Ces Ă©preuves ont fait de lui un homme mĂ©fiants, toujours sur ses gardes, un peu perdu, mais remontĂ©. Sa conditionnelle est payĂ© par la nouvelle femme de son pĂšre dĂ©cĂ©dĂ© un an plus tĂŽt, qui lui apprend alors que ce dernier avait tout fait pour le contacter mais que sa mĂšre lâen avait empĂȘchĂ©. Elle lui donne un toit mais lui doit impĂ©rativement reprendre des Ă©tudes et ne faire aucune esclandre pendant deux ans pour ĂȘtre âlibreâ officiellement, il accepte donc cette nouvelle chance malgrĂ© le gout amĂšre quâelle laisse. NĂ©anmoins au fond il reste ce garçon toujours souriant, trĂšs fun, sur le quel on peut compter. Il cherche juste Ă reconstruire ses raisons de vivre
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Grace Ă lâargent de son pĂšre dĂ©funt et de sa belle mĂšre / nouvelle tutrice, adonis dĂ©croche une place Ă Saint-LĂ©o, mais ne sây sent pas a sa place, la bas on le regarde de travers et il se sent bien mieux avec les Ă©lĂšves de South qui ont pour la plus part assez de problĂšme a gĂ©rer pour sâoccuper des siens.Â
» s e s l i e n sÂ
⏠BĂ©atrice Boccalini ; â TâĂ©tais la meilleure partie de moi et tu tâes dĂ©filĂ©e. â La passion nâest autre quâune forme dâamour pure dĂ©chirĂ©e par nos peurs, nos fiertĂ©es, nos secrets. Mais il la hais autant quâil lâaime, il voudrait lui faire mal comme il a eu mal, mais quand il se retrouve face Ă elle, il se prend la rĂ©alitĂ© en pleine gueule, il serait incapable de toucher un de ses cheveux. MĂȘme si elle lui a fait plus mal que personne dâautre nâaurait pu le faire.Â
Avant ils Ă©taient le couple le plus heureux du monde, Ă rire comme des enfants, sâamuser comme des meilleurs amis, se toucher comme les plus douĂ©s des amants, sâaimer a corps perdu. Pourtant tout a disparu le jour ou il a Ă©tĂ© incriminĂ©, elle a mĂȘme pas chercher a savoir si câĂ©tait vrai, si il Ă©tait coupable, elle a juste fuit le problĂšme, sans plus jamais donnĂ© de nouvelles du jour au lendemain.Â
⏠LĂ©opoldine Mina Reese ; â Cries moi dessus jâadore ça. â A ta sortie de prison,  tâas poussĂ© la porte de cette salle de sport dans laquelle tu tâes entrainĂ© pendant si longtemps. Tu voulais dire a ton premier coach a quel point tu Ă©tais dĂ©solĂ© de lâavoir déçu seulement il nâĂ©tait pas lĂ , mais sa fille oui, elle tâas expliquĂ© froidement quâil Ă©tait malade puis tâas demandĂ© si tu comptais te rĂ©inscrire. Quand tu lui as rĂ©pondu que non, sa fureur Ă©tait lĂ©gendaire elle tâas hurlĂ© dessus que son pĂšre ne sâĂ©tait pas donnĂ© tant de mal pour que tu abandonnes. Alors finalement, plus par politesse et par gĂȘnes tu tâes rĂ©inscris, mais tu ne sais pas vraiment si tu pousseras la porte de cette salle un jour. Ou peut-ĂȘtre que si, pour les beaux yeux de LĂ©o.Â
⏠Someone ; â 4 ans plus tard â La petite prude qui sâest enfuie et qui a dĂ©cidĂ© de tĂ©moignĂ© quatre ans plus tard, celle qui aurait pu tout changĂ© si seulement elle avait fait ce quâil fallait.Â
⏠Someone ; â same blood â
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DaphnĂ© Evalina Aselino â 20 ans â South Florida â Etudiante en philosophie â Pussy Lead â Livreuse de pizzas â ( Aka ~ Tavia Bonetti )
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đżđđ„đđŁđ câest la vie Ă la campagne, leur petite ferme aux abords dâune forĂȘt, prĂšs dâun village paumĂ©, entourĂ© de champs dâlĂ©gumes, dâoranges, dâbaies la ferme des đšđđđđđđ, une famille mexicaine des plus enjouĂ©es et des plus entĂȘtĂ©es, endettĂ©es, entravĂ©es. enfance heureuse mais solitaire, obligĂ©e de prendre le bus tous les matins pour rejoindre Temple Terrace, dans le comtĂ© dâHillsborough, prĂšs de Tampa. Ă lâĂ©cole câest la « paysanne », avec ses vĂȘtements trop grands quâelle rĂ©cupĂšre quand son frĂšre dĂ©cide de sâen dĂ©barrasser, avec ses taches de bou et dâherbe et ses bleus sur les bras. espiĂšgle et tĂ©mĂ©raire rien ne lâarrĂȘte la pâtite đżđđ„đ, surnom quâon lui donne un peu partout comme une vieille habitude quâon nâperd pas â jamais. et ça va mal Ă la maison, on se serre la ceinture, et tout le monde met la main Ă la patte, son grand frĂšre Eliott sâoccupe des champs avec le Daron; alors que Daph se lĂšve tous les matins pour aller nourrir les poules, traire les vaches, et ouvrir lâĂ©picerie avant dâaller en cours mais câest pas assez, câest jamais assez et les Aselino nâen voient plus lâbout. alors ladite ferme transformĂ©e en chambre dâhĂŽte pour boucler les fins de mois, la Daronne sâtue Ă la tĂąche entre les poules les vaches le lait les Ćufs la boutique Ă faire tourner et le dĂźner Ă servir â toujours toujours Ă la mĂȘme heure pour les invitĂ©s. et pendant ce temps DaphnĂ© grandit, elle essaie de sâĂ©panouir mais elle sâennuie. mortellement. son bien le plus prĂ©cieux câest la vieille guitare de son grand-pĂšre, quâelle emporte presque partout avec elle. elle excelle en littĂ©rature, en histoire et en langues mais Ă©choue cruellement en maths et en sciences. ininteressĂ©e, pas le temps de persĂ©vĂ©rer, elle dĂ©laisse (presque) totalement ces matiĂšres. puis elle entre au lycĂ©e, câest le â â â â â â â â declic elle pĂšte les plombs elle rĂȘve de lĂącher prise de sâĂ©vader elle se laisse faire quand on lâentraĂźne en soirĂ©e, mĂȘme si les Darons disent « non ». de toute façon, ils ne sont pas Ă Temple Terrace et ne viendraient la chercher pour rien au monde â câest quâon se lĂšve tĂŽt chez les Aselino, surtout depuis que la benjamine nâest plus trop lĂ pour aider. câest vrai quâelle sâabsente souvent, maintenant. elle fume son premier pĂ©tard, dĂ©couvre le sexe entre deux bottes de foin, et finit mĂȘme par sâinstaller chez une amie Ă la ville. elle veut dĂ©fier le monde ça oui elle se croit intouchable, la jolie elle nâa pas froid aux yeux et adorent mener ses amis dans un tas de conneries. câest Ă partir de lĂ quâelle se fait appeler par son deuxiĂšme prĂ©nom : đŹđđđđđđ. đżđđ„đ a presque disparu, đżđđ„đ est morte, et enterrĂ©e Ă la ferme. elle a tellement Ă©touffĂ© de toute cette merde dans laquelle elle vit depuis quâelle est nĂ©e, quâelle est devenue đŹđđđđđđ. Evalina que ses nouveaux amis emmĂšnent surfer pour la premiĂšre fois, Evalina qui se lĂąche en soirĂ©e, plusieurs rails de C et vâlĂ quâon la retrouve qui roupille dans la baignoire au pâtit matin. Evalina qui joue de la guitare devant le lycĂ©e, qui sâintĂ©resse Ă la philo bien plus que de raison, qui lit parfois dans son coin, au milieu de tout le brouhaha du terrain de foot oĂč elle traĂźne avec ses amis. Evalina qui oublie la crasse de la ferme â juste un instant de rĂ©pit. un instant de rĂ©pit qui dure un an et demi. un an et demi durant lequel elle dĂ©couvre le corps des femmes, qui lâattire fatalement, beaucoup plus que celui des hommes, qui lui convient quand mĂȘme, parfois. et puis elle retourne au bercail avec la ferme intention de se racheter. Evalina redevient DaphnĂ©, la douce, lâespiĂšgle DaphnĂ©. petit Ă petit, elle retrouve sa place Ă la maison et son rĂŽle dans les tĂąches de la ferme. son frĂšre doit partir pour la fac, il nây a plus quâelle pour aider ses vieux Darons aux mains abĂźmĂ©es. tous les jeudis, elle achĂšte dix grammes dâherbe quâelle fume en douce dans lâĂ©curie, la grange ou les champs. ou au lycĂ©e entre ses cours, avec les Autres, des gars quâelle aime bien, qui sont sympas, quâelle se plaĂźt Ă vanner. tous les week-ends, elle retourne dormir en ville pour redevenir đŹđđđđđđ, le temps dâune nuit. câest au dĂ©but de sa terminal quâelle se met Ă faire pousser de lâherbe dans leurs champs, Ă la campagne. le Daron est au courant mais il nâdit rien, il comprend sĂ»rement quâelle en a besoin. mais la belle a bien dâautres projets en tĂȘte et la voilĂ qui se met Ă en vendre Ă la sortie du lycĂ©e ou aux abords du terrain, parfois mĂȘme dans les couloirs entre les inter-cours. et on ne la soupçonne pas, elle est bien trop discrĂšte avec son sourire Ă faire tomber par terre et sa voix guillerette, son air espiĂšgle â on sâexcuse pour la rĂ©pĂ©tition mais câest le bon mot alors on en abuse, un peu. et puis elle passe le bac, non pas avec brio, mais elle chope la mention AB câest dĂ©jà ça. đżđđ„đđŁđ elle Ă©tait censĂ©e suivre les traces dâEliott et prendre une chambre Ă©tudiante au campus de PhĂ©nix, la fac de Temple Terrace, mais la belle prĂ©fĂšre partir, elle voit plus loin, et sans mĂȘme en parler Ă personne, elle avait envoyĂ© sa candidature Ă South Florida, Ă Tampa. elle passe son dernier Ă©tĂ© Ă prĂ©parer son dĂ©part, seule puisque ses parents lui en veulent, un pâtit peu. parce que câest pas vraiment des choses qui se font chez les đšđđđđđđ. chez ces gens-lĂ , on ne part pas si loin, on ne change pas dâair. on nâa pas soif de libertĂ©. mais DaphnĂ© câest tout lâcontraire. alors elle se casse. mais elle reviendra les voir de temps Ă autres et ils sâhabitueront. đżđđ„đđŁđ Ă Tampa, elle sâĂ©panouit beaucoup plus. elle plonge la tĂȘte la premiĂšre dans les paradis artificiels, Ă©tudie la philosophie, obtient une bourse mais livre des pizzas pour empocher un peu dâargent, va surfer Ă ses heures perdues, sâimprovise artiste guitariste le temps dâune soirĂ©e dans un bar, ou sur la grĂšve, les pieds nus dans le sable mouillĂ© et les vagues qui font des allers-retours, narguant ses orteilles. transfĂ©rĂ©e Ă SLU, câest une opportunitĂ© quâelle prend volontiers, mĂȘme si elle arrive en terre conquise, elle sait quâelle peut compter sur ses congĂ©nĂšres.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Elle ne supporte pas les Saint Leo vaniteux et prĂ©tentieux quâelle croise le plus souvent entre ces murs, elle sait quâelle nâest pas la bienvenue et elle ne compte pas les laisser jouer les Rois du monde sans rien dire. elle est solidaire avec les South » s e s l i e n sÂ
⏠Yseult ; âThe same but so differentâ MĂȘme club, mĂȘmes convictions, mĂȘmes revendications mais pas la mĂȘme fac. une allĂ©gorie du conflit SF/SL â comme il y en a tant. elles ne se croisent/ne se parlent que pour les Pussy Lead mais ne peuvent sâempĂȘcher de sâenvoyer des piques. toujours + dĂ©sagrĂ©ables les nanas. au final prises Ă leur propre jeu, elles finissent par sâattacher Ă cette relation/par presque sâattacher tout court.
⏠Nina ; ââ
Elle la rencontre sur un tchat Ă 16 ans. elles sont dans lâmĂȘme lycĂ©e mais sâĂ©taient jamais captĂ©es. un crush mutuel : elles dĂ©couvrent leur sexualitĂ©. lâfait quâelles soient dans lâmĂȘme lycĂ©e refroidit leur attirance & câest dĂ©cidĂ© â il ne se passera jamais rien entre elles. elles deviennent amies, mais une tension est toujours palpable entre elles.
⏠Neptune ; ââ
RencontrĂ©e sur twitter yâa une paire dâannĂ©es, cette pâtite tĂȘte blonde complĂšte Ă la perfection lâesprit rebelle, tĂ©mĂ©raire et mesquin de Daph. quand elle se rendait sur Tampa pour ses compĂštâ de surf, elle prenait toujours le temps dâse barrer avec elle durant des heures, faire des conneries, jouer les pickpocket, passĂ©es pro dans lâart de mettre les choses dans leur poche lâplus discrĂštement possible, Ă finir dans des endroits improbables, complĂštement pĂ©tĂ©es â puis South Flo oĂč elles se retrouvent et Saint Leo oĂč elles finissent.
⏠HĂąvard ; ââ
Un type du bĂątiment philo qui prĂ©pare dĂ©jĂ son doctorat. elle le rencontre lorsque quâil assure lâun de ses cours avec le prof. il la fait rire avec son faux calme et son trop plein dâarrogance. relation fusionnelle, sexuelle mais pas passionnelle. elle sâĂ©clate avec lui.
⏠Akira ; ââ
Elle ne sait rien dâelle. elle sait juste quâelle a payĂ© pour passer une ou deux nuits Ă la ferme, dans les chambres dâhĂŽtes, il y a longtemps. un ou deux nuits quâelles ont passĂ© Ă fumer des joints dans les champs et Ă dĂ©lirer, un peu, beaucoup puis â croyant ne jamais se revoir, elles ont cĂ©dĂ© Ă la tentation des plaisirs charnels.
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LĂ©opoldine Mina Reese â 23 ans â South Florida â Etudiante en criminologie â Co-gĂ©rante dâune salle de sport â ( Aka ~ Kehlani Parrish )
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Il Ă©tait une fois. LĂ©o est une fille mĂ©tisse, une fille qui a grandit dans lâamour, loin du stĂ©rĂ©otype de ces filles qui aiment le rose et les paillettes, elle Ă©tait dĂšs son plus jeune Ăąge, plus du genre Ă courir aprĂšs le ballon avec ses voisins. PĂšre Mexicain, mĂšre amĂ©ricaine, la demoiselle a grandit dans le respect de tous, elle nâa jamais et nâaurait jamais fait de mal Ă personne et dans son quartier tout le monde lâadorait cette fille qui nâĂ©tait pas de celles qui jugent, pas de celles qui mĂ©prisent. CâĂ©tait celle a qui le boulanger offrait un croissant en douce parce quâelle souriait toujours, parce quâelle disait bonjour Ă tous et quâelle aidait toujours son prochain. â Seulement quinze ans en arriĂšre son quartier Ă©tait moins bien frĂ©quentĂ© quâaujourdâhui et un soir le drame arriva, un coup de tĂ©lĂ©phone tard le soir, une nouvelle qui changea tout. Une mĂšre a lâhĂŽpital agressĂ©e au couteau pour son sac a main par un jeune mort de faim ; morte une heure plus tard Ă cause de ce coup trop bien placĂ© dans lâestomac, personne ne sây attendait, la journĂ©e avait commencĂ© comme toutes les autres et au grand dĂ©sarroi de la petite LĂ©o, le monde ne sâĂ©tait pas arrĂȘtĂ© de tourner ce jour lĂ .  â Son pĂšre tenait une salle de boxe et Ă partir de ce jour il força sa fille Ă y venir sâentrainer chaque jour jours pour savoir se dĂ©fendre et attaquer en retour si un jour câĂ©tait elle qui venait Ă se faire agresser dans la rue ; elle nâavait que huit ans.Â
Une jeune femme. Les annĂ©es passaient et LĂ©o devenait une femme, une femme forte et dure dans un monde dâhomme. Passant le plus clair de son temps dans cette salle de boxe elle Ă©tait devenue lâune des meilleures, bien que ce ne soit en rien une passion et quâelle ne souhaite pas en faire un mĂ©tier, elle aimait tout de mĂȘme le regard impressionnĂ© ou mĂȘme apeurĂ© des hommes qui venaient sâentrainer et qui avait tous (ou presque) un niveau infĂ©rieur au sien. En parallĂšle, elle sort peu, a peu dâami car elle fait peu confiance en dehors de son entourage proche elle sort, mais ne sâattache jamais, elle se construit distante, profite dâune vague histoire avec un tatoueur pour avoir des ristournes mais lâhistoire ne dure quâun temps car elle nâest pas capable de sâouvrir plus sentimentalement. Elle Ă©tudie beaucoup, espĂ©rant obtenir un diplĂŽme en criminologie de maniĂšre a retrouver les gens comme lâagresseur de sa mĂšre ;  nâayant jamais Ă©tĂ© retrouvĂ© pour âtrop peu de personnel pour se lancer sur cette affaireâ quâils avaient dit.Â
Qui portait le monde sur ses Ă©paules. La vingtaine passĂ©e, papa souffre, papa Ă lâalzheimer, il se souvient de sa fille, mais peine sur les dĂ©tails, perd la mĂ©moire Ă vue dâoeil et nâest plus en capacitĂ© de gĂ©rer sa salle de boxe qui Ă©tait pourtant devenue toute sa vie aprĂšs la mort de maman. Câest donc LĂ©o qui fait tourner cette seule ressource dâargent, parce que sans ca, si elle baisse les bras elle nâaura rien pour payer lâuniversitĂ©. Alors elle transpire, elle force, elle veille tard le soir mais elle y arrivera, elle ne laissera pas tomber ni sa carriĂšre, ni papa. Heureusement dans les mauvaises nouvelles il yâa des bonnes, cette annĂ©e lui est attribuĂ© une bourse spĂ©ciale (comme pour 100 autres Ă©lĂšves de South) pour Ă©tudiez gratuitement dans lâune des plus prĂ©stigieuse universitĂ© de la Floride et de Tampa, Saint-lĂ©o.Â
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Elle nâaime pas spĂ©cialement les Saint-lĂ©o, surtout parce quâils la regardent de travers et de haut, elle qui nâest pas fine, elle qui est âtrop musclĂ©e pour une filleâ elle qui a des tatouages sur le visage et des baskets au pieds. Elle se sent supĂ©rieur a eux parce quâelle ne juge pas elle, elle nâa pas que ca a faire.Â
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⏠Adonis Bhramas ; âSomethingâ Adonis Ă©tait le protĂ©gĂ© de ton pĂšre, câest lui qui lâa entrainĂ© jusquâa devenir champion, il lui a consacrĂ© toutes ses journĂ©es, plus de temps quâa toi mĂȘme Ă un certain temps. Dâailleurs, tu ne parlais jamais a Adonis a lâĂ©poque, tu nâĂ©tais mĂȘme pas sur quâil tâes remarquĂ©. Il Ă©tait du genre concentrĂ© pour devenir le meilleur. Puis il a fait se sĂ©jour en prison. MalgrĂ© quâil ai Ă©tĂ© jugĂ© coupable toi tu lâavais en estime parce quâil avait tuĂ© ce type pour sauver une femme quâil ne connaissait pas. Si ta mĂšre avait croisĂ© un Adonis elle ne serait pas morte. Puis quatre ans aprĂšs il est sorti jugĂ© finalement non coupable car il y avait eu du nouveau dans lâenquĂȘte, il sâest pointĂ© dans la salle pour voir ton pĂšre. Tu pensais quâil allait reprendre la boxe mais il tâas dis que non et ca ta mis dans une colĂšre noire. Tu ne supportais pas lâidĂ©e quâil ai gĂąchĂ©e tant de santĂ© de ton pĂšre pour abandonner. Abandon le mot que tu ne connaissais pas. MĂȘme si vous nâaviez jamais Ă©tĂ© ami son comportement te dĂ©sole. Et comme pour reprendre le flambeau tu te promets de le forcer a reprendre, a le coacher toi mĂȘme si il faut, parce que mĂȘme si tu ne lui dis pas, tu sais quâadonis est nĂ© pour ĂȘtre boxeur, et ton pĂšre lui le savait.Â
⏠Zach  ; âSomethingâ Zach aidait dĂ©jĂ ton pĂšre avant, pour sâentrainer gratuitement il faisait le mĂ©nage le soir, alors vous avez fini par lâembaucher officiellement, aujourdâhui câest ton collĂšgue et ton ami.Â
⏠Meredith  ; âSomethingâ Meredith est lâamie de Zach, mais comme dĂ©sormais vous frĂ©quenter la mĂȘme universitĂ© elle devient peu a peu une fille que tu aimerais appeler amie, une fille en qui tu aimerais avoir confiance.Â
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Celestre Spring â 21 ans â South Florida â Etudiante en langues anciennes â Pussy Lead â HHH â ( Aka ~ Rachel Noe )
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PáŽáŽÉȘáŽáŽ ÒÉȘÊÊᎠsÉȘáŽáŽÊᎠÉȘssáŽáŽ áŽ
'áŽÉŽáŽ ÒáŽáŽÉȘÊÊᎠsÉȘáŽáŽÊáŽ
Londonienne de naissance, Celeste a toujours Ă©tĂ© cette petite fille admirative de ses parents, gens ordinaires au passĂ© ordinaire. Enfin, ordinaire Ă leurs yeux, de personnes bien courageuses aux yeux de certains autres. En effet elle Ă©tait la merveilleuse consĂ©quence dâune union rapide, de deux jeunes personnes. Sa mĂšre nâavait Ă lâĂ©poque que dix-sept ans lorsquâelle accoucha de la jolie et fragile Celeste, et le pĂšre seulement dix-neuf ans. Mais rien nâempĂȘcha ces deux personnes de continuer leurs Ă©tudes, de devenir des parents responsables et dâĂ©lever leur fille sans aucun soucis apparent.
Ils nâavaient pas des milles et des cents, mais un appartement en centre ville, une voiture et de quoi se nourrir. Que demander de plus ? Ils ne sâoffraient pas ce quâil y avait de plus cher ou de plus beau, mais en mĂȘme temps cela aurait Ă©tĂ© bien inutile puisquâils Ă©taient dĂ©jĂ tous trĂšs heureux ainsi. Aucune faille dans la petite famille parfaite.
Un petit frĂšre plus tard, et la famille Ă©tait enfin au complet et allait vivre sans encombre jusquâau bout.
UÉŽ áŽ
Ă©áŽĂ©ÉŽáŽÉąáŽáŽáŽÉŽáŽ, áŽ
áŽs áŽÊáŽÉŽÉąáŽáŽáŽÉŽáŽs, áŽ
áŽs sáŽÉŽáŽÉȘáŽáŽÉŽáŽs
Londres câest bien, mais la vie y est chĂšre. Pour vivre plus confortablement toute la petite famille se vu dĂ©mĂ©nager alors que Celeste nâĂ©tait ĂągĂ©e que de douze ans Ă cette pĂ©riode. Rien de bien triste me diriez vous que dâaller habiter Ă Manchester, une ville tout de mĂȘme active et trĂšs belle. Mais il semblerait que la jeune Spring ne soit pas de cet avis. Le caractĂšre de celle-ci avait bien changĂ© en cette pĂ©riode et elle se sentait en insĂ©curitĂ© partout oĂč elle allait, devoir dĂ©mĂ©nager et quitter le seul « chez elle » quâelle avait connu nâĂ©tait pas la meilleure expĂ©rience pour elle. Câest Ă cette pĂ©riode quâelle dĂ©buta ses crises dâangoisses, ses terreurs nocturnes, ces moments incompris de stress profond. Les mĂ©decins ne savent pas pourquoi la petite fille est atteinte de telles choses, dâordinaire cela nâarrive que lorsquâun rĂ©el traumatisme a eu lieu dans la vie de quelquâun. Peut-ĂȘtre quelque chose sommeille en elle mais son corps et son esprit font tout pour quâelle ne sâen souvienne jamais.
Autant dire que la petite famille parfaite ne comprenait que peu tout cela. Mais ils firent de leur mieux pour soutenir la jeune fille qui occupait ainsi beaucoup de place dans le foyer. Au final, Celeste rĂ©ussit Ă passer outre, elle grandit comme tout les autres, Ă©lĂšve modĂšle et fille assez populaire au collĂšge puis au lycĂ©e. LycĂ©e oĂč elle rencontra dâailleurs son premier amour. Un grand blond aux traits angĂ©liques, lui-mĂȘme bien populaire Ă lâĂ©poque. Peut-ĂȘtre au fond Celeste voulait-elle rĂ©itĂ©rer lâhistoire de ses parents Ă sa maniĂšre, mais elle tombait amoureuse bien jeune. Ă dix-sept ans elle Ă©tait en couple avec celui quâelle aimait appeler lâhomme de sa vie. Ă dix-huit ans, elle se considĂ©rait la plus heureuse au monde. Ă dix-neuf ans, il la demandait en mariage. Les choses Ă©taient bien prĂ©cipitĂ©es et trop jeunes dans la tĂȘte de certains, mais pour une personne comme Celeste qui avait comme exemple des parents bien jeunes et un amour pourtant parfait, elle ne pouvait que faire confiance en son instinct. Et cet instinct avait raison. Il Ă©tait lâhomme de ses rĂȘves. Il la faisait rire ; la rendait heureuse. Ensemble ils firent une immensitĂ© de bĂȘtises, il lui apprenait Ă passer outre ses crises de panique qui la torturait encore, mais avec lui tout Ă©tait mieux. Il lui apprenait Ă ĂȘtre elle-mĂȘme et vivre chaque chose quâelle dĂ©sirait Ă cent pour cent.
MáŽÉȘs ÒÉȘÉŽáŽÊáŽáŽáŽÉŽáŽ ÊᎠáŽáŽÊsáŽÉŽÉŽáŽ Ç«áŽÉȘ ɹùáŽÊᎠáŽáŽáŽáŽ ÉŽ'Ă©áŽáŽÉȘᎠáŽáŽs ÊᎠÊáŽÉŽÉŽáŽ
Ce soir lĂ , la jeune femme avait prit un peu trop confiance en elle, elle avait bu, dansĂ©, rigolĂ©, et couchĂ©. Elle avait couchĂ© avec un homme, mais pas le sien.Au lendemain elle se souvenait que de peu de dĂ©tails, Ă©tait-ce de sa faute puisquâelle avait trop bu ? Avait-on mit quelque chose dans son verre ? Avait-elle juste perdu la tĂȘte ? Elle sâĂ©tait mĂȘme demandĂ©e si elle ne sâĂ©tait pas laisser prendre de panique par le mariage approchant, par une peur de faire les choses mal tellement importante quâelle se conduisit elle-mĂȘme Ă sa fin.
Et cela nây manqua pas. Nous passerons les dĂ©tails, mais la relation parfaite quâelle sâĂ©tait imaginĂ©e prit fin bien rapidement. Et depuis, elle ne revu jamais le jeune homme qui Ă©tait pourtant supposĂ© ĂȘtre sien.UɎᎠê°áŽáŽáŽáŽ ê°áŽÊáŽáŽMais depuis un peu de temps Ă passĂ©. Celeste a eu du mal Ă sâen remettre. Mais on lui avait apprit que les Ă©preuves Ă©taient lĂ pour nous rendre plus fort. Ainsi elle avait tentĂ© de se forger une carapace, elle avait prĂ©fĂ©rĂ© prendre beaucoup de temps avec sa famille, renouant des liens avec son frĂšre quâelle avait presque dĂ©laissĂ© par sa relation amoureuse. Sâinscrivant Ă lâuniversitĂ© de Manchester, la jeune femme reprit mĂȘme les Ă©tudes avec une hargne Ă toute Ă©preuve, tellement quâelle eu lâhonneur dâĂȘtre sĂ©lectionnĂ©e parmi les Ă©tudiants partant en Ă©change scolaire avec une universitĂ© prestigieuse aux Ătats-Unis.
PrĂȘte Ă tout pour mener la vie de ses rĂȘves, elle nâhĂ©sitera plus Ă se faire entendre. Celeste nâest plus une petite fille maintenant, et elle compte bien le montrer Ă tous ceux qui oseront se mettre sur son chemin. Elle nâa peut-ĂȘtre pas lâair dâĂȘtre dangereuse, mais essayez-donc de vous en prendre Ă quelquâun quâelle aime et vous le regretterez.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Elle ne comprend pas trĂšs bien dâoĂč vient toute cette haine des saint-lĂ©o Ă lâĂ©gard de ceux qui ont moins dâargent. Elle cherche donc Ă essayer de les comprendre quitte Ă avoir des problĂšmes.Â
» s e s l i e n sÂ
⏠CĂŽme Parson ; âThe oneâ
Vous avez tout fait ensemble, il est celui qui tâa changĂ©e, en mieux. Et tu lâas déçu, tu as tout ruinĂ©. Mais câest du passĂ© maintenant. Il restera Ă jamais celui que tu as aimĂ©, et tu auras toujours de bons souvenirs de lui, on ne peux pas changer ses propres erreurs du passĂ©.Mais paraĂźt-il que le blond aussi se trouve Ă la mĂȘme universitĂ©, tu le sais car tu as bien fouillĂ© les rĂ©seaux sociaux, mais bon, cela ne prĂ©dit rien nâest-ce pas ? Cela te crĂ©er un noeud dans lâestomac, des frissons, une crise dâangoisse, mais tu survivras nâest-ce pas ?
⏠Something Spring ; âBrotherâ RĂ©daction Ă venir
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ZĂ©phyr LĂ©oh De Conti â 24 ans â St Leo â Etudiant en droit â ( Aka ~ Roberto Calvet )
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ZĂ©phyr, tu es le fils de lâhiver, lâenfant des glaces, le duc au coeur gelĂ© et tant abimĂ©. Ă ZĂ©phyr tu es nĂ© en une fraiche soirĂ©e de dĂ©cembre 93â dans la capitale anglaise. Si tu demandes Ă Maman, câest avec son accent « british », « lascif » et « mondain » quâelle te rĂ©pondra que cette nuit lĂ , la neige envahissait les rues pavĂ©es dâla jolie - ville. Elle ajoutera, avec son sourire pincĂ© que tu connais si bien, que les flocons tombaient par millions et que le froid recouvrait jusquâĂ lâĂąme des passants pressĂ©s. Puis si tâinterroges Papa, il te dira, de son accent italien si brillant, si flamboyant que tu fus le soleil de cette journĂ©e. Que tu rĂ©chauffas, par ta seule prĂ©sence, les muscles des anglais Ă©puisĂ©s. Il te dira que tu fus lâorigine de lâardeur et de la fougue des foules. Et câest eux deux, peut - ĂȘtre plus timidement, qui te diront quâils ont pleurĂ© ce soir lĂ . Ils te diront sĂ»rement quâles sourires ont fleuris cette nuit lĂ , que les yeux ont brillĂ© cette nuit lĂ , que les joues ont rougies cette nuit lĂ . Ah faut dire que tâĂ©tais attendu ZĂ©phyr. Le premier enfant. Le premier garçon. LâhĂ©ritier du royaume. A peine nĂ© et dĂ©jĂ une telle pression sur tes Ă©paules alors Dieu si frĂȘles. Mais faut que tu lâendosse cette foutue pression ZĂ©phyr, faut que tu lâaccepte et que tu lâembrasse. Le sourire de Papa est en jeu, la bontĂ© de Maman en dĂ©pend. Alors tu prends, tu prends tout. Tu prends lâangoisse accompagnant câlĂ , tu prends la courtoisie obligĂ©e, tu prends la biensĂ©ance nĂ©cessaire; tu prends le snobisme , la frivolitĂ© et la futilitĂ©. Tu prends tout câla avec sĂ©rieux et ambition ZĂ©phyr. Tu prends tout câla pour faire sourire, ZĂ©phyr. Mais tâes jeune, tâes si jeune ; tâes encore un gamin putain et tu penses dĂ©jĂ au prochain, à « lâaprĂšs ». Tu comprends dâjĂ quâyâa des enjeux LĂ©oh. Tu comprends quâtout compte dans ce bas monde ; les apparences et les semblances. Tout nâest quâhypocrisie par ici, mais ça tâva Ă toi, nâest - ce pas ? Merde tâas quâdix ans et alors que les jumelles, tes tendres soeurs, tes douces fleurs, sâamusent de lâinnocence de leurs jeunesses, toi tu maitrises dĂ©jĂ lâart de lâillusion, lâart de la manipulation. Merde tâas quâdix ans et alors que les jumelles, tes tendres fleurs, tes douces fleurs, sâamusent avec la bĂȘtise du « bel - Ăąge », toi tâes roi dâla sournoiserie, tâes roi dâla tromperie. Et plus Papa sourit, et plus tâes ravi. Alors sĂ»rement quâça aurait pu durer longtemps. Surement quâlâarrogance aurait perdurĂ©, surement quâla suffisance, lâinsolence et lâoutrecuidance auraient continuĂ©. Mais yâa eu « lâtruc » vois - tu ? Yâa eu les « pâtits problĂšmes », comprends - tu ? « ProblĂšme Ă entendre » au dĂ©but. « Ca ressemble Ă une surditĂ© prĂ©coce » quâĂ dit Papa. « ProblĂšme Ă voir » par la suite. « Ca ressemble Ă de la rĂ©tinite pigmentaire » quâĂ dit Maman. Puis lâverdict est tombĂ©. « Syndrome dâUsher » « Type 3, nâvous en faites pas , ça ira » ; « Mais, notez quâça va continuer, quâça va empirer , câest quâle dĂ©but , faut sâhabituer ». AĂŻe. Ca fait mal. Ca fait mal Ă Papa qui voit son putain dârĂȘve sâeffondrer ; « plus dâhĂ©ritier » ; « jâpeux pas confier le royaume Ă un handicapĂ© ». Ca fait mal Ă Maman qui voit son fils brisĂ© ; « plus dâgarçon heureux » ; « plus dâgarçon radieux ». Et ça tâfait mal Ă toi; « plus dâoccasion dâbriller » ; « destin brisĂ© ». Toi qui touche du bout des doigts Ă tes 16 ans et toi qui tâlaisse aller. Adieu ambition, adieu aspiration ; adieu prĂ©tention. Tâes Ă Tampa ZĂ©phyr, tây es depuis 5 ans, foutu dĂ©mĂ©nagement ayant changĂ© tes plans, et tâes lĂ Ă tâadonner aux vices les plus ardents, aux pĂ©chĂ©s les plus brĂ»lants. Tâes lĂ Ă embrasser les enfers la nuit venue. Tâes lĂ Ă enchainer les femmes. « Câque du sexe sans dĂ©pendance » dis - tu. Tâes lĂ Ă enchainer les jeux. « Câque dâla thune sans importance » confies - tu. Tâes lĂ Ă enchainer les drogues. « Cânâest quâun corps sans consĂ©quence » regrettes - tu. Ah Dieu, que tâes malheureux, piteux et dangereux. Ah Dieu, que tâes misĂ©rable, pitoyable et dĂ©plorable. Ah Dieu, que tâes injurieux, honteux et ignominieux. Vois - tu, tâes lâdĂ©shonneur de Papa. Tu lâsais, PĂšre te lâa dit. Vois - tu, tâes lâindigne de la famille. Tu lâsais, PĂšre te lâa dit. Vois - tu, tâes la souillure de lâItalie. Tu lâsais, PĂšre de lâa dit. Alors tu nâpeut compter que sur MĂšre, ta tendre MĂšre, ta douce MĂšre. Tu ne peut compter que sur tes jolies - fleurs, tes jolies soeurs. La belle Yseult et la merveilleuse HĂ©mĂ©ra. Belles roses Ă©closes quâtu protĂšges et quâtu prĂ©serves. « Faut pas les abimer ces demoiselles là » ; « faut pas quâPapa y touche » ; « Faut pas quâPapa les coupe. » Alors tu veilles sur ton petit jardin ; tu veilles Ă câque les Dames ne manquent point dâeau ; Ă câque les Dames soit arrosĂ©s par les rayons du soleil ; Ă câque les Dames poussent et poussent encore jusquâĂ devenir de merveilleuses femmes. Ah que tâes attentif, que tâes prĂ©venant, que tâes prĂ©voyant. Tout câlĂ au pĂ©ril de ta propre santĂ© jeune homme. Parce que tu lâsais, parce que tu lâsens, ton « petit truc » empire. Tu lâsais, tu lâsens ; ta vision sâdĂ©grade. Tu lâsais, tu lâsens, ton ouĂŻe sâdĂ©molie. Et toi tu dis rien, tâapaises les craintes ; tu calmes les tensions. Toi tu paniques pas, tâas dâjĂ tout perdu vois - tu, Ă quoi bon ? Toi tu continues tes conneries, tu continues les filles, tu continues les drogues, tu continues lâalcool. Toi tâes abimĂ© par la vie ZĂ©phyr. Tellement abimĂ© quâtâas lâimpression que rien nâchangera. Alors tu nâvis que pour ta famille - exception faite dâton paternel - , tu nâvis que pour les vices ĂŽ si multiples, tu nâvis que pour les pĂ©chĂ©s, ĂŽ si pluriels. Tu nâvis que pour la vie ; parce que yâa rien dâautre pour toi, yâa pas dâautres choix. Tu vis parce que la mort nâest pas envisageable, ça dĂ©truirait tes femmes. Tu vis parce que yâa quâça Ă faire sur cette putain dâplanĂšte. Alors tu vis Ă fond mon garçon. Tu dis tout ; tu nâcache rien. Tu gueules, tu hurles ; puis tu ris, tu tâmoques et tu railles. Tâes lâgenre de mec un peu froid, un peu hautain, un peu dĂ©testable. Tâes lâgenre de mec Ă Ă©viter, Ă esquiver et Ă Ă©chapper. Tâes lâgenre de mec un peu sombre ZĂ©phyr. Parce que tâes un mec de lâombre ZĂ©phyr. » s o n p o i n t d e v u e S F / S L
ZĂ©phyr se fiche de ce conflit qu'il qualifie de "puĂ©ril". Il pique , il raille , il moque tout le monde sans se prĂ©occuper de l'universitĂ© d'appartenance. Il est d'ceux estimant qu'il y a des choses bien plus graves dans la vie qu'une foutue lutte des classes. » s e s l i e n sÂ
⏠Yseult Asya De Conti ; âSisterâ
La seconde. La dominante. Sa tendre rose. VoilĂ sa soeur, sa jolie - soeur. ZĂ©phyr en prend soin, ZĂ©phyr lâaime et lui montre. ZĂ©phyr la protĂšge et la prĂ©serve.
 ⏠HĂ©mĂ©ra Jahan De Conti ; âSister bisâ
Puis la troisiĂšme, puis la derniĂšre. Un peu plus timide celle - lĂ . Un peu plus fragile celle - lĂ . Faut surtout pas quâon lâabime, faut surtout pas quâon y touche, elle risquerait de faner. Elle est diffĂ©rente de la premiĂšre, elle est plus rĂ©servĂ©e , elle est plus bousillĂ©e.Â
⏠Louis Papale Banks ; âSir, may we be friends ?â
VâlĂ lâseul vĂ©ritable ami de Monsieur. Louis, il lâa connu Ă son arrivĂ© Ă Tampa, Ă ses onze ans. Louis câest son double. MĂȘmes Ă©tudes, mĂȘme milieu, mĂȘme goĂ»t pour la moquerie et la raillerie. Louis câest une amitiĂ© hors pair, un truc un peu dĂ©mentiel, un truc un peu exceptionnel.
⏠Someone to find ; â404 Errorâ
Elle , câest la personnification de ses erreurs de jeunesse. Elle fut sa voisine ; il fut sa premiĂšre fois. Lâhistoire ne sâarrĂȘte pas lĂ ; Mâsieur lâa filmĂ©. Il a filmĂ© leur moment charnel, leur moment brĂ»lant. « Pour sâamuser » au dĂ©but ; « juste comme ça » au commencement. Mais voilĂ , la demoiselle sâest refusĂ© pour une seconde fois. Pas de coeur brisĂ© pour Monsieur, non bien sĂ»r que non ; juste un Ă©go en miette pour Monsieur. Alors le fils De Conti a publiĂ© la vidĂ©o sur le net. LâidĂ©e Ă©tant de la briser, « juste pour rigoler ». s u c c Ăš s
⏠Laureleen De Decker & others ; âFriend of a Friend mean friend ?â
VoilĂ les amies de la belle Yseult. Monsieur se souvient dâelles aux diners multiples, aux cĂ©rĂ©monies innombrables. Il se souvient les avoir observĂ©, les avoir surveillĂ©. Hors de question quâelles brisent ta jolie - rose. Hors de question quâelles abiment ton doux diamant. Mais RAS, les dames ne provoquent pas les larmes mais les sourires chez Yseult. Rien dâautre.
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Eleanore (Ellie) Kingston â 21 ans â South Florida â Etudiante en droit â Art Club â ( Aka ~ Josefine Frida Pettersen )
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Tout le monde connaĂźt une fille dans le type de Eleanore Kingston, elle est du genre Ă avoir tout le temps la tĂȘte dans les nuages, rĂȘveuse diriez-vous ? Eh bien vous auriez probablement raison, elle nâaime pas beaucoup sortir elle prĂ©fĂšre lire dans son lit ou bien au bord de la plage câest beaucoup plus distrayant pour elle. Cette blonde est nĂ©e un froid matin dâhiver, le 14 fĂ©vrier eh oui le jour des amoureux ce qui peut ĂȘtre vu comme cocasse Ă©tant donnĂ©e sa pauvre expĂ©rience avec les garçons, elle nâen avait connue que deux mais elle nâavait jamais Ă©tĂ© amoureuse comme elle pouvait le lire dans ces livres Ă lâeau de rose. Sa mĂšre nâa jamais Ă©tĂ© prĂ©sente dans sa vie, au contraire de ce que lâon pourrait croire elle nâavait jamais mal vĂ©cue cette absence si elle ne voulait pas dâelle câĂ©tait ainsi elle nâallait pas sâempĂȘcher de vivre pour cette femme qui ne voulait mĂȘme pas prendre la peine de connaĂźtre son propre enfant. Alors ce fut son pĂšre qui sâoccupa dâelle, câĂ©tait pour cette raison quâelle Ă©tait aussi proche de lui, ils avaient ce lien indestructible que personne nâavait jamais osĂ© dĂ©truire, certes cela la mettait en retard sur le point de vue du maquillage et de la mode mais ce nâĂ©tait pas rĂ©ellement sa prioritĂ©. Sa prioritĂ© avait toujours Ă©tĂ© ces Ă©tudes et son pĂšre câĂ©tait dĂ©menĂ© toute sa vie pour lui payer ces Ă©tudes alors certes ce nâĂ©tait peut-ĂȘtre la meilleure facultĂ© des Etats-Unis mais câĂ©tait dĂ©jĂ extrĂȘmement cher pour le seul salaire de son pĂšre. Eleanore aime la danse et le dessin, quand elle nâas pas la tĂȘte dans ces bouquins de cours ou dans un livre câest sĂ»rement devant une feuille de papier ou dans une salle de danse que vous pouvez la trouver. MalgrĂ© sa timiditĂ© naturelle elle ne se laisse pas facilement marcher sur les pieds et surtout pas par les Ă©lĂšves de Saint-LĂ©o certes elle ne vient pas du mĂȘme milieu social mais elle reste tout de mĂȘme une Ă©lĂšve comme toutes les autres. Sa timiditĂ© lâempĂȘchera-t-elle de profiter de ces annĂ©es de facultĂ© ou bien fera-t-elle comme ces annĂ©es de lycĂ©e et de rester renfermer sur elle-mĂȘme et sur ces Ă©tudes ? La vie nous le dira...
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Lutte douce pour lâacceptation des Ă©lĂšves de South Florida. » s e s l i e n sÂ
⏠Someone ; âBest Friendâ
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CĂŽme Parson â 20 ans â St Leo â Etudiant en mĂ©decine â Epsilon â Purity â ( Aka ~ secret )
» s a b i o g r a p h i e
« - đČđđđđđđđđđŁ-đđđđ đđđ đđđđ đĂ©đđĂ©đ đđđđđđđđĄ ?đżđđđđ đđđ đđđ, đđđ.đČ'đđđ đđđ đđđđđđđđ.đŽđ đđ đâđđđđđđ⊠»
Manchester, magnifique ville du nord de lâAngleterre, accueille bien des habitants. Parmi ces habitants y figurait il y a quelques temps encore un jeune homme, grand et fin, des cheveux chĂątain, des yeux clairs, un air malicieux et un sourire enjĂŽleur.Ce dernier vivait avec sa mĂšre, ils Ă©taient tous les deux heureux dans leur petit appartement oĂč ils ne manquaient de rien de bien important. Ils vivaient une vie normale, pas dâexcĂšs, pas de manque important non plus. Un toit sur la tĂȘte, des vĂȘtements sur le corps et de la nourriture dans lâassiette, voilĂ la seule chose dont ils avaient besoin, et ils avaient bel et bien tout ce quâils voulaient Ă ce niveau lĂ .
« - đžđ đđđđđ đđđđ đđđđđđđđđ Ă©đĂ© đđ đđđđđđđ⊠»
Ainsi, une vie banale mais agrĂ©able, rien dâextravagant, mais rien de triste non plus. OĂč le jeune homme en question ne faisait rien dâintĂ©ressant de ses journĂ©es. Il se levait, allait Ă lâĂ©cole et rentrait, se couchait, mangeait de temps en temps, puis se levait, faisait son travail minimum et finit par se recoucher sans avoir effectuĂ© quoi que ce soit de probant de sa journĂ©e. Peut-ĂȘtre nâĂ©tait-ce que le syndrome dâun collĂ©gien banal, mais voilĂ ce qui avait caractĂ©risĂ© le jeune homme pendant longtemps. Une ombre, celui qui se dĂ©place et ne dit pas grand chose. Qui avance et qui se fait discret tout simplement car se faire remarquer prendrait trop dâĂ©nergie Ă celui-ci. Maigre au point dâen ĂȘtre parfois malade, il y avait bien des choses quâil avait arrĂȘtĂ© par paresse.
« - đżđđđ đđ đ'Ă©đđđđ đđ đđđđđđđđđ đđđđđĂ© đđđđ đđ đđđđđđđđđđđ⊠»
AprĂšs des sĂ©jours Ă lâhĂŽpital, le jeune homme avait finalement eu la conclusion que quelque chose nâallait pas chez lui, un soucis de santĂ©. Et il fallait le rĂ©gler. Chose dite, chose faite. Enfin en quelques sortes. Le blond eu un problĂšme diffĂ©rent, lâinverse presque. Une boulimie Ă©trange, sortie de nulle-part. Non plus la paresse prenait le dessus, non une faim insatiable. Une envie de dĂ©couvrir cette nourriture dont il sâĂ©tait passĂ© plus tĂŽt. Mais Ă quel prix. Un corps qui en avait vu des galĂšres, et il fallait encore une fois y remĂ©dier. Mais cette fois encore, chose dite, chose faite.
« - đżđđđ-ĂȘđđđ Ă©đđđđ-đđ đđđđđđđđđ đĂ» Ă đđđ Ăąđđ, đđđđ đ'đđđđđđđ Ă©đđđđ đđđ đđ đđđđ đđĂ©đđđđ Ă đđ đđđđđ⊠»
Seize ans, quel Ăąge ingrat, quel Ăąge oĂč lâon tente plein de choses, oĂč lâon cherche notre caractĂšre, notre personnalitĂ©, oĂč lâon a des rĂ©actions dĂ©mesurĂ©es. Ă cette pĂ©riode de sa vie, le jeune homme Ă©tait un homme bien particulier, il Ă©tait lâun de ces populaires garçons, mignon, ce que les autres appelaient son passĂ© faisait baver les filles et lui, bien quâil ne comprenait pas cet engouement Ă son Ă©gard, devait avouer quâil en profitait bien.Il en arrivait mĂȘme Ă mĂ©prendre bien des gens, Ă prendre de haut des personnes quâil nâaurait dĂ». Mais ça, il ne sâen rendrait compte que bien plus tard. En attendant il Ă©tait un jeune homme de seize ans qui se la jouait, se la racontait, et ne passait certainement pas inaperçu, bien loin de ce garçon dâil y a quelques annĂ©es.
« - đŽđ đđđđĂ đđ'đđ đđđđđđđ đđđđ đ'Ăąđđ đĂč đ'đđđđđ đđđđđđđ đđđ đđđđđđđđđđ⊠»
Vous avais-je dit que ce garçon Ă©tait trĂšs intelligent ? Et quand je dis intelligent, jâinsinue trĂšs trĂšs trĂšs intelligent. Suffisamment pour avoir sautĂ© une classe et pour ĂȘtre une tĂȘte en sciences. Chose qui ne faisait que de le rendre plus populaire aux yeux des autres, les filles commencent Ă apprĂ©cier lâintelligence comme qualitĂ© chez un garçon.Et ce jeune homme Ă©tait un adolescent comme les autres, ses hormones et lui commençaient Ă visualiser des choses qui lâintĂ©ressaient plus quâil ne le voulait rĂ©ellement. Et voilĂ quâil fricotait. Mais heureusement, vous savez, lycĂ©e catholique, rien nâest permit. Mais encore heureux, si le jeune homme ne comptait pas le nombre de personnes quâil avait embrassĂ© dans sa jeunesse, il Ă©tait encore un ĂȘtre pur.
« - đŒđđđ đđđ đđđĂ©đđ đđđđĂšđđđđ, đđ đđ đđđđđ đđđ đđđđđđđđđ Ă đđ đđđĄđđđ⊠»
Mais avec des nuances. La luxure, pour le jeune homme, correspondait Ă une chose bien particuliĂšre, il nây avait goĂ»tĂ© quâavec une personne. Vous seriez surpris dâapprendre que notre jeune homme avait rencontrĂ© lâamour. Ă ses dix-sept ans, il sortait avec une jeune femme, un ĂȘtre sublime et hors du commun Ă ses yeux. Ă dix-huit ans, il Ă©tait amoureux comme un fou. Ă dix-neuf ans il la demandait en mariage. Et elle accepta.Ensembles ils testĂšrent tout un tas de choses, choses que nous ne prĂ©fĂ©rerons pas dĂ©crire ici, ni en dire plus. Eux seuls sont au courant, et câest trĂšs bien ainsi.
« - đđđđ đđ'đđ đđđđ đđ đđđĂšđđ đđđ đđđđđđđđđđ đâđđđđđđđ⊠»
Ce nâĂ©tait pas voulu. Ce nâĂ©tait pas ce qui aurait du se passer. Mais cela arriva quand mĂȘme.Ă dix-neuf ans. Un matin alors quâil sâapprĂȘtait Ă retrouver sa fiancĂ©e, il reçu ce genre de message que lâon dĂ©teste tous. Un « il faut que lâon parle » qui nous glace le sang. Et il avait bien raison dâen avoir des frissons.Il succomba Ă la colĂšre sur le coup. Sa bien aimĂ©e, celle avec qui Ă son si jeune Ăąge il se voyait dĂ©jĂ passer toutes ses annĂ©es futures, venait de le tromper. Tout volait dans lâappartement de la jeune femme. Et lui son coeur vola en morceaux.Au final. Il sâĂ©tait tellement Ă©nervĂ©, quâaujourdâhui il nâen ressentait plus rien. Il nâĂ©tait plus Ă©nervĂ© ni triste. Il se fichait de tout cela, comme sâil sâĂ©tait Ă©nervĂ© suffisamment ce jour lĂ pour toute une vie.
« - đŽđ đđđđđđ đđ đđđđ-đĂ , đđ đđ đđđđđđđ đą Ă©đđđđđđđ... đâđđđđđđđ⊠»
Comme si la journĂ©e quâavait vĂ©cu notre jeune homme Ă cette Ă©poque nâavait pas Ă©tĂ© suffisamment difficile comme cela, le jeune homme en avait encore Ă baver. Il venait de rentrer chez sa mĂšre, celle qui le chĂ©rissait tant. Puis, elle lâattendait assise sur un canapĂ©, des larmes roulant sur ses joues. Pris de panique il tenta de savoir ce qui se passait, et la vĂ©ritĂ© lui fit bien mal au coeur. Le jeune homme avait un pĂšre. Rien dâanormal me diriez-vous. Mais lui nâen avait jamais connu. Il avait toujours Ă©tĂ© seul, ça avait toujours Ă©tĂ© « moi et maman contre le reste du monde ». Il ne sâĂ©tait jamais posĂ© plus de questions que cela. Et pourtant. Il fallait quâil apprenne quâil avait un pĂšre seulement lorsque ce dernier Ă©tait mort. Et ce en lui lĂ©guant un hĂ©ritage dont il ne voulait pas un centime. Et pourtant, sa rĂ©action sera bien diffĂ©rente lorsquâil apprendra lâimportance de celui-ci.
« - đžđ đ'đđđđđđđ đČĂŽđđ đżđđđđđ. »
Aujourdâhui, ĂągĂ© de vingt ans, le jeune homme est une magnifique force de la nature. Il a succombĂ© Ă tous ces pĂ©chĂ©s que lâon dit « capitaux », « mortels » dans dâautres langues. Et pourtant, il est plus fort que jamais, mais Ă©galement changĂ© Ă jamais. Il y a quelques mois de cela, le jeune homme a quittĂ© son Angleterre natale pour dĂ©mĂ©nager aux Ătats-Unis, « the promised land ». Il sây plait, dans un climat et une atmosphĂšre bien diffĂ©rente de ce quâil connait. Inscrit Ă lâuniversitĂ©, le jeune homme avait son avenir tout tracĂ©. Il souhaitait devenir mĂ©decin, et peut-ĂȘtre Ă©tait-ce bien sa seule grande motivation dans la vie.Ici il se plaisait. Il faisait beau et il y avait tellement de personnes diffĂ©rentes. Il avait pu sâaffirmer comme il nâosait pas le faire chez lui. Il avait fait son petit « coming-out » en annonçant sa bisexualitĂ© Ă sa mĂšre au tĂ©lĂ©phone. MĂšre quâil ne voyait dâailleurs plus depuis son dĂ©part. Il avait fait cela pour prendre des distances, il ne comprenait pas pourquoi elle lui avait cachĂ© tout cela. Et ici, Ă Tampa, se trouvait les traces de son pĂšre dĂ©cĂ©dĂ©. Bien quâil dise ne pas ĂȘtre intĂ©ressĂ© par la vie de celui-ci, le fait quâil apprit Ă©galement quâil avait une demi-soeur changea peut-ĂȘtre inconsciemment les choses.Mais ça, câĂ©tait une histoire que le jeune homme nâĂ©tait pas prĂȘt de creuser. Pour lâinstant, il voulait seulement se concentrer sur sa propre vie et son avenir. Ainsi, il sâĂ©tait inscrit chez un club appelĂ© « Purity squad ». Quelle ironie pour notre pĂȘcheur que de faire partie dâun club pareil. Et pourtant. Ici, il avait lâimpression quâil pouvait retrouver ses seize ans Ă nouveau. Il embrassait qui il voulait lorsquâil sortait, sâamusait, mais jamais ne faisait rien de « dĂ©fendu ».AprĂšs tout, son coeur brisĂ© câĂ©tait certes rĂ©parĂ©, mais il nâavait juste pas envie de reprendre quoi que ce soit. Non il prĂ©fĂ©rait amplement se contenter de sa propre prĂ©sence, aprĂšs tout il Ă©tait un homme il nâavait besoin de personne. Et ainsi, câĂ©tait moins couteux que dâavoir un copain ou une copine non ?Oui, peut-ĂȘtre Ă©tait-il trop proche de ses sous maintenant, mais lui ne le voyait pas comme cela. Il nâavait juste jamais Ă©tĂ© habituĂ© Ă avoir autant dâargent, alors il vivait souvent comme sâil nâen avait pas tant que cela. Lui le voyait comme Ă©conomiser, ne pas dĂ©penser inutilement alors que dâautres voyaient cela comme quelquâun qui avait peur de dĂ©penser. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce le seul pĂȘchĂ© dont il nâĂ©tait pas rĂ©ellement coupable ?Mais au fond, ces pĂ©chĂ©s, qui nây avait jamais goĂ»tĂ© ? Peut-ĂȘtre nâĂ©tait-il quâun mec normal.
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» s e s l i e n sÂ
⏠YaĂ«l ; âCome here little angelâ
Elle Ă©tait venue en Angleterre en vacances quand vous Ă©tiez plus jeunes. Comme tous les jeunes vous sympathisez sans prise de tĂȘte car aprĂšs tout, lâĂ©tĂ© tout le monde est heureux. Puis vous vous ajoutez sur Facebook et ne parlez quâune fois par an par message, pour prendre des nouvelles. Mais aprĂšs tout elle Ă©tait quand mĂȘme vraiment gentille elle. Et quand tu as rĂ©alisĂ© quâelle aussi Ă©tait sur Tampa, tu as dĂ©cidĂ© de te rapprocher dâelle. Elle semble en revanche bien diffĂ©rente de comme tu lâavais connue, mais câest donc ton rĂŽle de lâaider Ă aller mieux si tu le peux, aprĂšs tout, tu veux ĂȘtre mĂ©decin non ?
⏠Jude Nichols ; "I understand youâ
RencontrĂ© alors quâil Ă©tait en sĂ©jour Ă lâhĂŽpital, et toi en repĂ©rage de stage, tu as Ă©tĂ© le premier Ă avoir un contact avec lui. Ta blouse Ă©tiquetĂ©e « stagiaire » ne lâavait peut-ĂȘtre pas rassurĂ©, mais ta prĂ©sence, que tu ai le mĂȘme Ăąge que lui, si. En plus, tu comprenais un peu par quoi il Ă©tait passĂ©. Et depuis, tu dĂ©cida de rester en contact, car il mĂ©ritait dâavoir des gens prĂ©sents pour prendre soin de lui.
⏠Jules ; âHey mate !â
Dâordinaire pour toi les cours, câest un peu barbant, câest juste lâĂ©tape par laquelle passer pour enfin faire le mĂ©tier de tes rĂȘves. Mais cette fois tu as eu de la chance, tu es tombĂ© sur un mec sympa, binĂŽme en cours la plupart du temps, vous dĂ©connez bien tous les deux et nâhĂ©sitez pas parfois Ă faire des conneries. La seule chose diffĂ©rente entre vous ? Lui est un vrai coureur de jupons, mais aprĂšs tout, il ne pouvait quâapprĂ©cier CĂŽme puisque ce nâest pas lui qui lui fera de la concurrence.
⏠Alejandro ; âPartnerâ
Purity squad, câest un truc de meuf gĂ©nĂ©ralement, de celles qui veulent rester pures jusquâau mariage. Les hommes eux sont des ĂȘtres trop faibles pour vouloir se garder si longtemps. Mais pourtant tu connais un mec qui est dans le mĂȘme club que toi. Et rapidement tu apprendras que ses intentions en Ă©tant ici Ă©taient bien diffĂ©rentes de ce que certains pourraient penser. Mais en tant que seuls mecs du club, il fallait bien que vous vous souteniez, vous seuls contre toutes ces filles.
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HĂ©mĂ©ra Jahan De Conti â 22 Ans â St Leo â Etudiant en Art . â Club dâart + Equipe de Volley â ( Aka ~ Irene Noren ; dans la mesure ou les deux avatars pour jouer les jumelles sont diffĂ©rents mais trĂšs ressemblant, cette derniĂšre nâest pas modifiable. )
» s a b i o g r a p h i e
Ă HĂ©mĂ©ra, ĂŽ belle fleur, ĂŽ douce princesse, tu es fille du printemps. Jolie rose nĂ©e dans le « beau » , dans « lâexcĂšs » et la « profusion ». Jolie dame, tu poussas ton premier cri un matin de mai 95. Et lâenfer commence lĂ , il commence par la panique de ton PĂšre, par les cris dâta MĂšre, par les larmes multiples & diverses. Parce que tâes faible âjolie roseâ, si faible ; tâas lâcordon en collier et mâdame la faucheuse qui te tend les bras. Mais nan, nan toi tu refuses de frĂŽler les griffes des tĂ©nĂšbres, toi tu refuses dâtâen aller, pas dĂ©jĂ ; toi tu veux vivre ouais, alors toi tu luttes, toi tu tâbats & toi tu survis. VoilĂ votre guerriĂšre, voilĂ votre soldat, voilĂ votre HĂ©mĂ©ra. Premier cri et dĂ©jĂ tant dâsouffrances, tant de dĂ©chirements et de tourments. HĂ©mĂ©ra tâes la femme aux mille maux invisibles ; laisse - nous leur conter ton histoire. HĂ©mĂ©ra, voyez, câest une fleur, un peu fragile, un peu douce et tendrement dĂ©licate. Faut pas la toucher, faut pas la cueillir, faut pas lâembĂȘter au risque de la voir se faner. Mais HĂ©mĂ©ra elle est nĂ©e avec un bulldozer, avec un putain dâexplosif, un truc un peu volcanique. Elle est nĂ©e avec une autre, on lâappelle « la jumelle », on lâappelle « Yseult ». Yseult câest dâla dynamite, Yseult câest un brasier, un feu dâforĂȘt. Et Yseult elle dĂ©truit tout sur son passage, Ă commencer par sa jolie soeur, Ă commencer par la douce HĂ©mĂ©ra.  HĂ©mĂ©ra câest la derniĂšre, sept minutes aprĂšs la torpille & deux ans aprĂšs lâambitieux & le prĂ©tentieux ZĂ©phyr. Dernier enfant, la plus douce, la plus calme. Maman dit « timide » ; Papa dit « rĂ©servĂ©e ». Et Maman & Papa ils comprennent pas, ils comprennent pas ses hĂ©sitations et ses confusions. Ils comprennent pas son absence dâaspiration et de prĂ©tention. Ils comprennent pas parce quâelle a tout la gamine, elle a le titre de noblesse de Maman, elle a le chĂąteau Ă Londres puis elle a lâpapa italien blindĂ©. Et pourtant, pourtant la ptite elle joue Ă la malheureuse, elle joue la mĂ©lancolie et le chagrin. MĂȘme que tout le monde voit en la gamine lâombre de sa tendre soeur, de sa douce Yseult. Ils voient quâcâest Yseult qui commande, ils voient quâHĂ©mĂ©ra elle aime ça, elle aime regarder son soleil briller, son soleil brĂ»ler et puis sourire à ça. Ecouter son soleil, le respecter, le contempler et lâadmirer , mais toujours en silence, toujours Ă lâombre, toujours dans lânoir. Parce que, mes amis, faut que vous compreniez, faut que vous compreniez que la jolie rose elle se sent pas Ă sa place. Les dorures de son palais lui donne le tournis, la fortune de Papa la fait vriller et le titre de Maman la fait trembler. Elle sâsent pas Ă lâaise dans toute cette abondance, dans toute cette affluence. Non, non non, HĂ©mĂ©ra Jahan elle est pas faite pour la vie dâriche, elle est faite pour le facile, pour lâordinaire & pour lâĂ©lĂ©mentaire. VoilĂ peut - ĂȘtre la raison Ă son caractĂšre ; voilĂ peut - ĂȘtre lâexplication Ă son humilitĂ© et Ă sa servilitĂ©. VoilĂ sĂ»rement pourquoi, dans son dos, Madame est surnommĂ©e « la dominĂ©e » , « lâautre », « lâexĂ©cutrice quand Yseult est la dominatrice ».  Mais putain, elle sâen fiche, elle sâen fout ; rien nâimporte. Ouais, rien nâimporte parce quâelle aime sa place la gamine, elle aime son rĂŽle, elle aime regarder flamboyer Yseult parce que, voyez, elle aime Yseult. Belle douceur aux traits similaires ; mĂȘmes yeux chocolats, mĂȘmes cheveux de la couleur des enfer, mĂȘme voix brisĂ©e par les annĂ©es passĂ©es ; mĂȘme tout. Tendre jumelle ; relation fusionnelle. A son double malĂ©fique, elle donne tout, elle dit tout. Non, pardon, corrigeons - nous. Y â a bien un truc, un petit quelque chose quâelle garde pour elle, quâelle garde pour son muscle vigoureux, battant avec frĂ©nĂ©sie, chaleur et ardeur. Ce petit truc elle lâa compris enfant. Quand Yseult se pavanait devant la gente masculine, sâen allait flirter avec les rictus des garçons interdits , HĂ©mĂ©ra rougissait devant le bleu des yeux dâune gamine au visage cĂ©leste. Quand Yseult embrassait avec passion des garçons menaçants mais charmants ; notre jolie rose sentait son coeur claironner et tapoter sous sa poitrine enfantine par les oeillades des filles de passages. Quand Yseult sâen allait, le soir venu, rejoindre dans leurs lits, les garçons ahuris ; Dame rĂȘvait dans ses draps rosĂ©s de sa chambres de poupĂ©e, des lĂšvres dâune demoiselle aux cheveux de la couleur du blĂ© brulĂ©. VoilĂ , Madame crache sur les chevaliers et se prosterne devant les princesses en dĂ©tresse. Doux secret cachĂ©. Jolie rose ne peut lâavouer ; Papa en mourrait, Maman en pleurerait. Alors elle prĂ©tend, alors elle sâamuse des apparences, alors le paraitre est devenu son maitre - mot. Pauvre fille obligĂ©e de voiler son authenticitĂ© et de taire sa vĂ©ritĂ© pour ne pas blesser, pour ne pas froisser ni dĂ©chirer. Putain de pressions familiales. Faut dire que tout câquâelle fait ne convient pas la demoiselle. « Trop sage » ; « trop gentille», « trop modeste » , « trop, trop, trop ». Et puis yâa eu lâart, yâa eu la peinture, yâa eu la danse ; « câpas un mĂ©tier ça HĂ©mĂ©ra » « regarde ton frĂšre, regarde ta soeur », « câest bon pour les marginaux de danser, câest bon pour les zonards de dessiner , pas pour toi ». PremiĂšre rĂ©bellion , seule rĂ©bellion de la part de jolie - rose. Jolie rose elle a luttĂ© et jolie rose elle a gagnĂ©. Elle vous le dira HĂ©mĂ©ra, câĂ©tait impensable quâelle abandonne, câĂ©tait inimaginable quâelle renonce Ă sa passion, quâelle abdique, quâelle se rĂ©signe. Non, non, non. La peinture câest son Ă©tincelle , câest son soleil ; puis la danse câest lâfeu dâson ventre, câest lâbrasier dâson coeur. Seuls moyens dâexpression pour la demoiselle. Ouais, la demoiselle elle parle pas beaucoup, un peu renfermĂ©e, un peu timide ; taciturne et rĂ©servĂ©e, la faire sâconfier nâest pas aisĂ©. Voyez, elle masque ses craintes par de beaux sourires, par de merveilleux rires ; elle cache ses peurs par sa gentillesse et sa dĂ©licatesse ; elle dissimule ses hĂ©sitations par de la complaisance et de la bienveillance. Ouais, HĂ©mĂ©ra Jahan, fille de la richesse et de la noblesse, est lâgenre de gamine comparable Ă une Ă©nigme. Un peu dur Ă rĂ©soudre, le rĂ©sultat vous remplira nĂ©anmoins de joie. VoilĂ pour toi belle HĂ©mĂ©ra , voilĂ pour toi ma jolie rose.Â
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
La jolie rose se fiche de cette guĂ©-guerre puĂ©rile ; Ne prenant part Ă aucune lutte, Ă aucune bataille, elle est de ceux pouvant ĂȘtre qualifiĂ©s de « neutres ». De plus, la fille De Conti se sent paradoxalement plus proche des valeurs vĂ©hiculĂ©es par les Ă©tudiants South plutĂŽt que par « les siens ».Â
» s e s l i e n s ⏠Yseult Asya De Conti  ; âLa Dame Noire ââ Relation fusionnelle ; relation incomparable et exceptionnelle. Yseult câest la premiĂšre, Yseult câest la jumelle. Yseult câest les liens du sang, si forts, si grands. Yseult câest le feu, brusque et dangereuse quand toi, tu es lâeau, calme et sereine. Si diffĂ©rentes mais si complĂ©mentaires.
⏠ZĂ©phyr De Conti ; âLe Cavalier Noire ââ Quelques annĂ©es dâplus que toi celui - lĂ . Câest « lâgrand frĂšre ». Câest le n°1 De Conti. Et câest puissant votre relation quand tu lui confies tes craintes, tes angoisses et tes peurs. Câest dĂ©ment votre relation quand chamailleries et amour sâmĂȘlent Ă votre danse.Â
⏠Meredith Clinton ; âLa Tour Noire ââ Ah, puis yâa Merry, la jolie Merry, la sublime Merry. Câest un peu particulier elle et toi. Ce fut ta premiĂšre fois vois - tu. Ton premier « tout » Ă vrai dire. Premier regard, premier baiser, premiĂšre caresse, premier amour. CâĂ©tait beau, câĂ©tait fort, câĂ©tait bon. Puis Mâdame est partie ; Mâdame nâa donnĂ© aucune nouvelle, te laissant seule avec ton chagrin, avec ta mĂ©lancolie et ta nostalgie. SacrĂ©e Merry.
⏠ JosĂ©phine LĂ©wis ; âLa Dame Blanche ââ JosĂ©phine est un courant dâair qui te redonne un peu dâespoir, il yâa quelque chose en elle qui te donne envie de tâaffirmer, parce quâelle commence a le faire et tâaime quand elle te regarde danser, câest ce genre de moment pendant lequel tu te sens bien. Tu rĂȘves dâune fĂȘte bondĂ©e pendant laquelle tu pourrais lâembrasser juste pour voir ce que ca fait, sans que personne autour ne sâintĂ©resse a toi, juste pour voir ce que ca fait...Â
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Yseult Asya De Conti â 22 Ans â St Leo â Etudiant en psychologie . â Pussy lead â Sphinx â ( Aka ~ Taylor Lashae )
» s a b i o g r a p h i e
« Yseult Asya De Conti », les lettres tournent autour de votre langue, les syllabes sâentrechoquent dans votre bouche lorsque vous prononcez le prĂ©nom, ĂŽ si spĂ©cial de notre demoiselle. Vous le savez, vous le sentez, vous le vivez, Demoiselle intrigue, Demoiselle provoque lâintĂ©rĂȘt et la curiositĂ©. Laissez moi alors vous narrer son histoire. Laissez moi Ă©tancher votre soif de dĂ©tails et permettez - moi de combler votre appĂ©tit de donnĂ©es.BientĂŽt vous saurez tout, bientĂŽt Yseult Asya nâaura aucun secret pour vous et bientĂŽt vous pourrez vous pavaner et vous vanter dâen connaitre plus, toujours plus. Commençons
đđ¶đ đŁđ„, đŁđ«đ«đ§ _ đźđ - đđ¶đđ đ»đđđ
đŸđđ¶đ, đżđđđčđđUn cri. Lâgenre de cri un peu strident, un peu sifflant, un peu agaçant. Il surgit dans la nuit noire et fait trembler les murs de la capitale. Câest ce foutu cri, trop perçant, trop bruyant, qui fait vriller les oreilles des chirurgiens, qui fait sourire PĂšre et pleurer MĂšre. « Yseult Asya »; putain dâbourgeoisie anglaise aux maniĂšres surfaites et refaites. Un nom & un avenir dĂ©jĂ tracĂ©. VoilĂ pour toi Yseult. Mais pas lâtemps dâse reposer Maman, yâa dĂ©jĂ un second cri qui retentit. Pas lâmĂȘme lâgenre que lâpremier; ah ça non, celui - ci est souffrant & aigrotant. Câest un appel Ă lâaide, un foutu SOS gueuler par un nouveau nĂ© aux poumons abimĂ©s. Papa panique, Papa hurle, Papa comprend pas; il gueule, il injure & insulte. Il rappelle son nom, il rappelle sa fortune et sa puissance. Maman pleure, Maman conjure, Maman supplie ; elle questionne, elle veut une putain dârĂ©ponse, elle veut sa deuxiĂšme fi - fille. Elle veut son HĂ©mera. « Câest lâcordon enroulĂ© autour du cou » quâon dit les mĂ©decins; « elle est fragile, trop maigre, trop frĂȘle, trop svelte; trop - trop ». VoilĂ pour toi HĂ©mera.  Mais quâimporte HĂ©mera, câest pas ton histoire aujourdâhui, non câpas ton moment, câest celui dâta soeur, dâta jumelle, dâla premiĂšre. Ă Yseult, ĂŽ belle poupĂ©e au charme envouteur et transporteur ; ĂŽ belle poupĂ©e qui par sa naissance a fait sourire Papa, qui par sa naissance a fait pleurer Maman, qui par sa naissance a ensorcelĂ© lâgrand frĂšre, qui par sa naissance a fait souffrir sa soeur. Putain dânaissance qui rĂ©sume cette vie. Cette vie, on peut la condenser en six photographies, en six images; ce seront les clichĂ©s dâsa vie voyez - vous. DĂ©butons.
đ·đ°đȘđ»đŒđčđŹ đ”đŒđŽđ©đŹđč đ¶đ”đŹÂ đ± đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đŁđ«đ«đ« đčđ¶đđ đđ đžđœđ¶Ìđđđ¶đ đ»đ¶đđŸđđŸđ¶đ Par cette photo vous pouvez apercevoir les fenĂȘtres donnant sur le jardin Ă lâanglaise, les tapisseries françaises ornant les murs, les vases de Chine dĂ©corant la piĂšce puis les domestiques, timides, cachĂ©s dans les rideaux du Moyen-Orient. « Elle est multiculturelle cette baraque »; câest papa qui lâdit en riant. Papa il est Italien, Maman elle est anglaise.Papa il est drĂŽle ; Maman elle est dure;Papa il a lâor ; Maman elle a le titre.Mon Dieu, quâils se complĂštent bien les amoureux.
Mais les amoureux nâfigurent pas sur le clichĂ©, non ici on a quâles deux gamines.Les mĂȘmes cheveux sombres, les mĂȘmes yeux chocolat, les mĂȘmes sourires malicieux ; les mĂȘmes frimousses dĂ©licieuses et merveilleuses. Yseult est sur votre gauche, elle tient en sa main droite une poupĂ©e dĂ©colorĂ©e Ă la robe Ă©vasĂ©e. Elle sourit pour la camĂ©ra, les yeux plissĂ©s de joie.HĂ©mĂ©ra est sur votre droite, elle tient en sa main gauche le prince en son habit cintrĂ©. Son sourire est timide, ses joues rosĂ©es et ses yeux extasiĂ©s fixent sa tendre soeur Ă©merveillĂ©e. đ·đ°đȘđ»đŒđčđŹ đ”đŒđŽđ©đŹđč đ»đŸđ¶ đŹ đ đ đ đ đ đ đ đ€đąđąđ€, đđ¶ đ»đ¶đđŸđđđ đ
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đđđ Maman est assise sur le canapĂ©, les jambes croisĂ©es et un rictus amusĂ© sur ses lĂšvres rosĂ©es ; ses doigts manucurĂ©s sont posĂ©s sur la cuisse de Papa. Papa il est heureux, tellement heureux , putain. Il a tout, il a la profusion & lâĂ©motion. Il a la reconnaissance & la puissance.Il est gagnant Papa parce quâil a, Ă dĂ©faut « dâĂȘtre ».A ses cĂŽtĂ©s, vous avec lâhĂ©ritier, le grand frĂšre, le protecteur, le dĂ©fenseur, lâimpĂ©tueux ZĂ©phyr. Cheveux bruns et yeux manipulateurs, il a neuf ans et a dĂ©jĂ tout dâun grand, le garçon. CoulĂ© dans lâmoule, il respire le luxe le gamin, il respire lâarrogance et lâimpertinence.A leurs pieds , « les jumelles » : Yseult et HĂ©mĂ©ra se tiennent par la main. Yseult, elle resplendit, elle flamboie, elle chatoie, elle brille quoi. Yseult câest lâdiamant brut voyez - vous. Elle a câgenre de sourire qui fait trembler, elle a câgenre de colĂšre qui fait pleurer. « câest lâgros caractĂšre » que dit Maman ; « câest la jumelle dominante » que dit Papa.Faut dire quâil a pas tort lâitalien. HĂ©mĂ©ra elle scintille dans lâombre. HĂ©mĂ©ra elle luit Ă peine, HĂ©mĂ©ra elle parle peu, elle sâcache trop. Parce que comprenez, HĂ©mĂ©ra câest la seconde, HĂ©mĂ©ra câest la suiveuse ; HĂ©mĂ©ra est dominĂ©e, voilĂ tout. Yseult câest les crises en magasins , câest les cris intempestifs et les colĂšres multiples; Yseult elle croule sous les poupĂ©es, elle croule sous les jouets parce que Yseult elle aime possĂ©der; Digne descendance de son cher Papa. Yseult câest lâdĂ©mon quoi.Mais voyez, le dĂ©mon il est malin, trop malin. Parce que lâdĂ©mon il est la personnification de lâartifice, du factice, du fictif. Le dĂ©mon il sâtient droit sur la photo, il sourit Ă pleine dents ; ah deux en moins devant ! Le dĂ©mon il a les joues rouges et la robe blanche. Le dĂ©mon il serre en sa main gauche le poignet de son double inversĂ©, de lâange personnifiĂ© , de la belle HĂ©mĂ©ra. Ă quâelles sont proches les deux gamines. Quâelles sâaiment dâun amour authentique. Quâelles sâadorent dâune passion vĂ©ridique.Â
đ·đ°đȘđ»đŒđčđŹ đ”đŒđŽđ©đŹđč 3 đź đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ 2004, les trois enfants sont lĂ . ZĂ©phyr Ă droite, HĂ©mĂ©ra Ă gauche et la belle Yseult au centre. Des valises Ă leurs pieds, ils semblent mĂ©tamorphosĂ©s les gamins De Conti. Yseult elle a 9 ans, de longs cheveux brun, un sourire hautain et des yeux Ă©teints. Ils sâen vont , ils quittent le chĂąteau familial, ils quittent le beau Londres, ils quittent la belle Europe.« Câest nĂ©cessaire quâĂ dit Maman » ; « pas de discussion quâĂ dit Papa »; « opportunitĂ© professionnelle » quâils ont dit ensemble.Traduisez en « + dâargent » ; « + de fric »; « + de sous » ; « + de blĂ© ». Alors direction Tampa, Florida. Alors la mĂ©lancolie gagne les enfants. Le chagrin ruisselle des pores dâYseult, elle a lâcafard la gamine, elle aime pas lâchangement, elle pas les dĂ©mĂ©nagements. Puis faut dire que la fille, elle est habituĂ©e aux « oui », elle ne connait que les sourires complaisants & indulgents. Elle ne se souvient que des acquiescements , des assentiments et des consentements de la part de ses tendres gĂ©niteurs. Rien dâautre.Alors, ouais, ouais un « non, pas de discussions » ça fait un peu bizarre, ça fait un peu Ă©trange.Puis lâchangement câest aussi dans la relation cĂ©leste et cosmique unissant belle Yseult Ă jolie HĂ©mĂ©ra. Yseult elle gagne en confiance, ça va vite, « trop vite » que dit Papa; « câest pas normal » que dit Maman. Parce que Yseult elle est sĂ»re dâelle, Yseult elle est un peu machiavĂ©lique et complĂštement dĂ©moniaque. Yseult elle a dâlâaudace, elle a de lâassurance et câest cette putain dâassurance qui fait naitre un affreux ascendant sur lâhĂ©sitante HĂ©mĂ©ra. Yseult dit ; HĂ©mĂ©ra fait.Yseult crie ; HĂ©mĂ©ra se tait.Yseult brille ; HĂ©mĂ©ra disparait.Ă belle Yseult qui apprĂ©cie son pouvoir, qui lâaime et le chĂ©rit. Elle adore cette emprise, cet empire & cette mainmise quâelle a sur la douce HĂ©mĂ©ra.Pauvre HĂ©mĂ©ra.Â
đ·đ°đȘđ»đŒđčđŹ đ”đŒđŽđ©đŹđč 4 đŸ đ đ đ đ đ đ đ đ đ Nous sommes en juillet 2009, Yseult Ă 14 ans. Elle est jolie Yseult, elle pose sur la plage Ă la maniĂšre dâune sirĂšne des temps modernes. Le sourire sincĂšre, les yeux rieurs & les lĂšvres rosĂ©es, elle fixe lâobjectif avec une dĂ©termination  & une volontĂ© encore inconnues. Câest HĂ©mĂ©ra qui prend la photo ; Yseult a demandĂ©, vous comprenez ? Yseult elle a changĂ©, un peu, pas beaucoup.En pire, carrĂ©ment.Yâa plus de douceur dans son coeur, câest dâlâarrogance et du dĂ©dain. Yâa plus dâamour dans sa tĂȘte, câest dâlâa fiertĂ© et de lâorgueil. Ă pauvre Yseult, que deviens - tu bel enfant ? đ·đ°đȘđ»đŒđčđŹ đ”đŒđŽđ©đŹđč 5 đž đÌ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đđ€đąđŁđ€ La photo est Ă©trange vous pourrez en convenir; On voit dâla peau, du beige, quelques grains de beautĂ© constellant cette peau bronzĂ©e puis en son centre, un nombril. Câest lâventre dâYseult..Vous ne comprenez pas ? Laissez - moi vous compter la mĂ©tamorphose, laissez moi vous expliquer le tragique. Yseult elle a dix - sept ans et Yseult elle est un peu idiote, un peu sotte. Elle boit, un peu. Elle fume, beaucoup. Elle sort, Ă la folie. Elle couche, passionnĂ©ment. Puis Yseult elle se protĂšge pas, alors Yseult elle enchaine les ptites pilules le lendemain. « Si facile » quâelle se dit ; « mieux vaut prĂ©venir que guĂ©rir » quâelle se rassure.Puis voilĂ , Ă force dâabuser dâson insouciance, Ă force de nĂ©gligence constante et de nonchalance persistante , le verdict tombe. « Plus dâenfants ». « Trop dâpillules ». « Pas un bonbon ». « Dangereux ». « StĂ©rile ».StĂ©rile. S t Ă© r i l e. Ă MisĂ©ricorde. Ă Dieu vous lâavez dĂ©truite. Vous lâavez tuĂ©e. Pauvre femme qui est tourmentĂ©e par ce futur solitaire. Pauvre femme aux rĂȘves abolis. Pauvre femme Ă la tristesse permanente.Pauvre femme au triste secret cachĂ©. Personne ne sait. Personne ne doit savoir. Jamais.Câest sa honte. Câest sa punition & son humiliation. đ·đ°đȘđ»đŒđčđŹ đ”đŒđŽđ©đŹđč 6 đœ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đđ€đąđŁđȘ, đźđ đżđÌđ đ°đđŸđđđđđŸđđ La belle demoiselle est lĂ , assise sur les marches de lâuniversitĂ©. Elle est jolie dans sa robe fleurie, son livre Ă la main.Yseult elle sourit un peu. Câest doux, câest tendre, câest dĂ©licat. Yseult elle fixe la camĂ©ra avec audace et aisance. Mais la flamme a disparue, mais la vie sâest Ă©teinte dans les yeux de la gamine. Elle est hantĂ©e par un secret la minant, la rongeant Ă chaque moment. Yseult elle a changĂ© aussi , un peu pas beaucoup. Yseult elle a gardĂ© son arrogance et son aplomb mais Ă ce divin mĂ©lange, elle a ajoutĂ© une touche de douceur et une poignĂ©e de dĂ©licatesse. Elle a terminĂ© sa recette par une pincĂ©e de gentillesse avant de se dĂ©clarer satisfaite. VoilĂ Yseult Asya De Conti. VoilĂ son bonheur et ses malheurs.Â
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
La demoiselle ne supporte que trĂšs difficilement la prĂ©sence de ces "Ă©trangers" , arrogante Ă souhait, elle fait comprendre Ă ceux - lĂ qu'un monde les sĂ©pare. » s e s l i e n s ⏠HĂ©mĂ©ra  ; âSomethingâ Douce jumelle, tendre double. Elle est son âmoi angĂ©liqueâ; elle est lâbeau quand mâadame est le laid. Elle est son coeur, elle est son corps, elle est son tout. Putain dârelation. IndĂ©finissable. Câest dâlâamour, câest du diamant ; câest un truc un peu brut.
⏠Someone ; âSomethingâ RĂ©daction ..
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Jude Nichols â 20 Ans â South Florida â Etudiant en Histoire. â HHH â Prend des cours de â Dogsitter â ( Aka ~ Troye Sivan )
» s a b i o g r a p h i e
Jude avait toujours Ă©tĂ© destinĂ© Ă aller Ă St LĂ©o. Ses parents avaient tout arrangĂ© depuis qu'il Ă©tait petit pour lui offrir les meilleurs Ă©tudes, Ă©tant extrĂȘmement attachĂ©s Ă leur petit garçon qui se prouvait ĂȘtre aussi gentil qu'intelligent. Ils Ă©taient fiers de la personne qu'ils avaient rĂ©ussi Ă Ă©lever et Jude les aimait tout autant en retour. Bref, la parfaite petite famille. MĂȘme le grand dĂ©tail qu'Ă©tait l'aveu de son homosexualitĂ© Ă l'Ăąge de 13 ans, ce qui Ă©tait souvent un moment dĂ©licat et aurait pu dĂ©terminer un malheureux tournant dans sa vie, ne changea rien du tout. Non, monsieur et madame Nichols l'aimaient dĂ©finitivement comme il Ă©tait et l'adolescent n'aurait rien pu rĂȘver de mieux.  Seulement, tout le monde ne partageait pas cette position trĂšs ouverte d'esprit. Alors que Jude avait dĂ©cidĂ© de s'assumer, pris d'un Ă©lan de courage suite au soutien de ses parents, tout ne se passa pas exactement comme prĂ©vu. Sa bande d'amis pourtant censĂ©e ĂȘtre si soudĂ©e dĂ©cida bien vite de se dĂ©barrasser de lui, parce qu'il Ă©tait devenu « bizarre » et qu'ils Ă©taient « mal Ă l'aise ». On commençait Ă le pousser dans les couloirs, renverser son plateau Ă la cantine et tout ce genre de choses dont les gamins sont capables par pure mĂ©chancetĂ©. Et puis, la violence grimpa encore d'un cran. Cependant, Jude n'avait pas dit un mot et ce n'est que le jour oĂč il revint du collĂšge en pleurs et avec le nez en sang que ses parents comprirent qu'il y avait un problĂšme. En attendant, il s'en Ă©tait rendu malade, vraiment malade. Il finissait par se dĂ©tester et Ă ne plus supporter ce qu'il Ă©tait, ce qui se traduisait par un refus de s'alimenter. Ce jusqu'Ă ce que ça devienne critique et que ses parents, contre leur volontĂ©, se voient obligĂ© de laisser lâhĂŽpital prendre Jude en charge . Dans les factures mĂ©dicales passĂšrent bien la moitiĂ© de l'argent prĂ©vu pour le mettre Ă la prestigieuse universitĂ©. Il mit des mois Ă retrouver un poids qui n'affolait plus la balance mais finalement, il s'Ă©tait remis. Il ne retourna pas en cours pour autant, ne supportant plus l'idĂ©e d'un Ă©tablissement scolaire. Alors il prit des cours Ă domicile, ce qui lui rĂ©ussissait plus ou moins, sa concentration Ă©tant une chose fuyante. La seule chose qu'il rĂ©ussissait haut la main Ă©tant l'histoire, vu le nombre de livres qu'il lisait sur le sujet, spĂ©cifiquement sur la mythologie qui le fascinait. Son diplĂŽme de fin de lycĂ©e fut tout de mĂȘme obtenu et avec deux ans de retard, il intĂ©gra l'universitĂ©, se sentant enfin prĂȘt Ă retourner au milieu d'Ă©lĂšves Ă 20 ans. C'Ă©tait pour lui un nouveau dĂ©part. Et mĂȘme si ce n'Ă©tait pas exactement l'Ă©tablissement prĂ©vu au dĂ©part, faute d'argent mais.. tant pis. Il savait qu'il ne pouvait plus avoir ce dont il rĂȘvait. Pourtant, par un miracle, il fut pris parmi les Ă©lĂšves qui avaient leur place Ă St LĂ©o et se retrouva Ă pouvoir suivre les Ă©tudes prestigieuses qu'on lui avait promis. C'est donc rĂ©unissant tout son courage que Jude avait dĂ©cidĂ© de mettre les pieds lĂ -bas pour reprendre son avenir en mains, essayant de surpasser les difficultĂ©s qu'il avait pu avoir et de corriger son rapport toujours trĂšs Ă©trange Ă la nourriture. Il a maintenant moins tendance Ă se laisser marcher dessus, mĂȘme s'il est toujours particuliĂšrement doux et naĂŻf Ă ses dĂ©pends, et a dĂ©cidĂ© que personne ne pourrait lui dire qu'il n'avait pas le droit d'ĂȘtre lui-mĂȘme. Et surtout, il s'applique Ă rester conscient de la chance qu'il a de pouvoir ĂȘtre lĂ . âą Position de votre personnage dans le conflit des deux universitĂ©s : Il est trop content de pouvoir venir Ă cette universitĂ© pour avoir envie de participer au conflit, mais il sait que certains Ă©tudiants de St LĂ©o sont ceux qui l'ont persĂ©cutĂ© Ă l'Ă©poque et cela ne joue pas spĂ©cialement en leur faveur. âą Liens souhaitĂ©s : Peut-ĂȘtre un bourreau par rapport Ă l'anecdote du dessus, sinon rien de spĂ©cial, mais si des joueurs en cherchent c'est avec plaisir.Â
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Il est trop content de pouvoir venir à cette université pour avoir envie de participer au conflit, mais il sait que certains étudiants de St Léo sont ceux qui l'ont persécuté à l'époque et cela ne joue pas spécialement en leur faveur.
» s e s l i e n s ⏠Someone ; âSomethingâ RĂ©daction .. ⏠Someone ; âSomethingâ RĂ©daction ..
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Leni Batrovski â 23 Ans â South Florida â Etudiant en sciences chimiques â HHH â Vendeur de cannabis mĂ©dical â ( Aka ~ Lil Peep )
» s a b i o g r a p h i e
Leniphen Batrovski avait 13 ans lorsqu'il vint à la conclusion qu'il se détestait plus que toute au monde. Leniphen Batrovski avait 15 ans lorsqu'il envisagea de se suicider. Leniphen Batrovski avait 17 ans lorsqu'il essaya vraiment.
Le mot « dĂ©pression » est un mot qu'il ne censurait plus, c'Ă©tait qui il Ă©tait, c'Ă©tait Sa DĂ©pression, avec un grand D. Il est Leni Batrovski et il est en dĂ©pression comme 300 millions des ĂȘtres humains. Certaines personnes s'en sortait et en parle et certaines personnes Ă©choue et puis c'est la fin.
Il Ă©tait trop tĂŽt pour que Leni s'identifie Ă ces personnes et, honnĂȘtement, il ne savait pas qui sont les vrais gagnants dans cette histoire.
Il n'avait jamais eut la vie belle : vivant dans les bas fonds de la Russie, sa vie se résumait à cueillir les plantes de marijuana dans son garage. Quand il eut 10 ans, il préparait de la méthamphétamine et de LSD avec son pÚre. Toute son enfance était menée à la production de drogues de basse qualité. Mais Leni ne voyait pas cela d'une mauvaise façon. En tout cas c'était ce qu'il laissait percevoir. Tout ça : ça l'amusait. C'était son seul moyen de s'évader, un xanax au fond de la gorge, dodo et le lendemain il se sentait comme une nouvelle personne : comme si il revenait en vie.
En 23 annĂ©es de vie, Leni avait plus d'expĂ©riences que la moitiĂ© de la planĂšte terre. Il eut son premier joint le jour de ses 13 ans, il perdu sa virginitĂ© Ă l'arriĂšre du pick-up familial Ă 15 ans lors d'une livraison et encore une fois Ă 16 ans, tatouĂ©s de la tĂȘte au pieds au mĂȘme Ăąge, Leni n'avait pas le gabarit de quelqu'un d'intimidant mais les tatouages faisaient leurs effets.
Mais Leni avait un avenir. Toutes ces annĂ©es passĂ©es dans le garage Ă jouer avec des drogues fortes l'avait amenĂ© Ă aimer la chimie, et il en connaissait un rayon niveau mĂ©langes. En mathĂ©matiques et sciences, il excelle. Un petit prodige, il cherchait un signe de fiertĂ© chez ses gĂ©niteurs mais il ne reçu qu'un hochement de tĂȘte derriĂšre un masque. Il y a eut des moments oĂč il voulait abandonner, jeter l'Ă©ponge, mais il ne pouvait pas. Il devait le faire pour babushka : sa grand â mĂšre, la prunelle de ses yeux. La femme qui l'avait Ă©levĂ© : qui l'avait accueillie lors de ses nombreux black-out, qui avait essuyĂ© ses larmes.
Il se rappelle de quelques paroles que sa grand-mĂšre lui avait dit en son anglais cassĂ©, ce soir â lĂ , il planait en LSD et inconsciemment il lui avait listĂ© tout les raisons pour lesquels il se haĂŻssait. Silencieusement, elle le rĂ©confortait, elle lui dit : « il faut que tu t'aimes, dorogoy. Aimes-toi plus que tout au monde car, moi, tant que je suis en vie, je t'aimerais toujours. »
Il aimait cette femme plus que tout au monde.
Au nom des Ă©tudes, Leni dut quitter son pays, sans grande tristesse honnĂȘtement, il dĂ©testait les russes, le froid, Poutine. Mais il aimait par dessus-tout les gens qui l'entouraient, il les quitta Ă contrecĆur mais il avait Ă©conomisĂ© toute sa vie pour rentrer Ă South Florida. La migration South Florida / Saint Leo ne pouvait que lui plaire, les finances n'Ă©tait pas son fort.
Au jour d'aujourd'hui, Leniphen vivait le rĂȘve amĂ©ricain, il travailler dur quand il le fallait, il s'amuser quand il le pouvait , n'abandonnant jamais sa libertĂ© en existant dans ce monde fade. En trois ans, vous penseriez qu'il aurait appris de ces erreurs mais dois-je vous rappeler qu'il vivait dans un Ă©tat constant de peur et de misĂšre. Plus dĂ©pressif que jamais, la drogue Ă©tait son refuge, c'Ă©tait mĂȘme son travail, cependant, il fumait seulement, il ne voulait plus aller dans le chemin des drogues sales. Nope, mauvais souvenirs.
En parlant de son travail, c'Ă©tait la premiĂšre fois oĂč Leniphen se trouvait autant Ă l'aise, la pharmacie Ă©tait comme une nouvelle famille et en plus il avait ses propres plantes, il se sentait comme Ă la maison et c'Ă©tait parfait. Il vivait la meilleure des vies dans le meilleures des mondes, il aidait des personnes en dĂ©tresse, il choisissait ses horaires et il pouvait ĂȘtre dĂ©foncĂ© pendant ses heures de travail, meilleur boulot au monde.
On disait de Batrovski toutes sortes de choses, les gens se basait sur les apparences mais Leni ne voulait que aider. Il voyait le cannabis comme un Ă©chappatoire qui pouvait aider tant de personnes mais les gens assumaient directement qu'il Ă©tait un junkie ou un gangster. Leni n'Ă©tait pas un saint, certes, mais c'Ă©tait une bonne personne, peut-ĂȘtre trop moqueur et insensible mais une fois qu'il s'habitue Ă la prĂ©sence de quelqu'un, c'est un ange.
Leni Ă©tait un personnage complexe qui cachait une douleur lourde derriĂšre un grand sourire, il voulait aider les gens pour ne pas qu'ils ne finissent comme lui, il n'espĂ©rait ce malheur Ă personne, il se sentait faux, voire hypocrite car il ne parlait pas de ses problĂšmes Ă personne â Ă part Ă babushka â mais il voulait aider toute la planĂšte terre, c'Ă©tait malhonnĂȘte. Pourquoi Ă©tait â il en vie ? Une question qu'il se posait rĂ©guliĂšrement. Si il partait, le remarquerait â on ? Une question qu'il se pose encore plus rĂ©guliĂšrement.
Parfois il aimerais avoir quelqu'un qui le voyait comme autre chose que du gaspillage d'H2O, il se dit que ce serait sympa, mais pour l'instant, il se contentait de portait un faux sourire.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
» s e s l i e n sÂ
⏠Jordan Clarck ; âGot you wrapped around my finger babeâ
Mon petit ange, dĂ©solĂ© de te traĂźner dans mes conneries, mais jamais je ne te lĂącherai. Leni la connu lors dâune soirĂ©e, il ne lui avait jamais vraiment portĂ© attention mais les choses sont bien faites. une soirĂ©e passĂ©e ensemble et il nouĂšrent directement des liens, devenant insĂ©parables. Cependant, Leni sâest jurĂ© de la tirer le plus bas possible, sans savoir quâils Ă©taient dĂ©jĂ au mĂȘme niveau.
⏠Liz Junqua ; âYouâre my favoriteâ
Câest marrant. quand tu dis â va te faire foutreâ je nâentends que des remerciements. Liz est une rĂ©guliĂšre Ă la pharmacie, les paroles crues de la jeune femme amusĂšrent le russe depuis elle est le passe - temps favoris de Leni, celui - ci prenant un mĂ©chant plaisir Ă la taquiner Ă chaque visite.
⏠Elijah Lee Weaving ; âClassmatesâ
Tu rends mes cours de sciences amusants, thanks bro.Â
Elijah et Leni suivent le mĂȘme cursus, Elijah fut le seul Ă se mettre Ă ses cĂŽtĂ©s, Leni lui en ait Ă©ternellement reconnaissant car, honnĂȘtement, sans lui en cours, il crĂšverait de solitude. Depuis ils traĂźnent ensembles et Elijah passe occasionnellement Ă la boutique.
⏠Leylo Serafino Gomez ; âI think I possibly, maybe, really like youâ
Peut - ĂȘtre que si tâĂ©tais pas tout le temps irrĂ©sistibles, jâpourrais en placer une sans paniquer. Leni a un gros crush dĂ©gueulasse sur Leylo, pas besoin dâen dire plus.Â
⏠LeĂŻla Aaliyah Asni ; âThatâs funny, but I still gotta live the rest of my life with a shitty mickey mouse face on my forearmâ
Jâai le pire tatouage au monde sur mon avant - bras Ă cause de toi, et jâtâaime juste pour ça. Leni sâest laissĂ© se faire tatouer par une inconnue torchĂ©e Ă 4h20 du matin, meilleure dĂ©cision de sa vie. LeĂŻla et Leni sont des amis proches depuis, le tatouages Ă©tant son favori, câĂ©tait une blague constante entre eux. Leni lui fournit de la weed de temps Ă autres.Â
⏠Maebh Ăstlund ; âDo u need a helping hand ?â
Tu me ressembles, et ça câest pas bon. sois une meilleure personne. Maebh est une cliente Ă Leni, en lisant sa prescription et ses symptĂŽmes, Leni fut peinĂ© de voir quâils traversent la mĂȘme galĂšre. Leni fait tout pout lâaider Ă ĂȘtre la meilleure version dâelle-mĂȘme, jouant le Ghandi du pauvre, ils devinrent rapidement potos de dĂ©fonce.
⏠Milo Adamsky ; âDo I wanna know ? If this feeling flows both ways.â
Tu es bien trop beau pour ton bien, dorogoy, ça doit ĂȘtre fatiguant. Leni ne saurait pas dĂ©crire leur relation, peut - ĂȘtre que câĂ©tait sa beautĂ© qui le fascinait, aprĂšs tout Leniphen aimait les belles choses. Leni prend un malin plaisir Ă le taquiner, brandissant son joint sous le nez de Milo comme un trophĂ©e, cependant, il ne laisserait jamais Milo retoucher Ă des drogues, certes, il lâembĂȘte, mais il nâa pas de mauvaise attentions. Flirt qui marche en un sens unique, une ambiguĂŻtĂ© bel et bien prĂ©sente, Leni sâest jurĂ© de le faire craquer.Â
⏠Nephtys Ina Z-Obama ; âSometimes life gets fucked up, thatâs why we get fucked up.â
My ride or die. poussons - nous Ă nos limites inexistantes, câest pas sous Molly quâon crĂšvera. Leni et Nephtys sont comme un duo tout droit sorti du trou du cul dâLucifer, le petit ange & le petit diablotin. Leur rencontre est encore un mystĂšre, sĂ»rement en bad trip, câĂ©tait comprĂ©hensible. Une compĂ©tition de â qui a la plus grosse consoââ rĂšgne entre les deux.
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BĂ©atrice Lisa Boccalini â 22 Ans â South Florida â Etudiant en Langues appliquĂ©e, Espagnol & Russe.  â Soutient Scolaire â Art Club â Pussy Lead â ( Aka ~ Camila Morrone )  Â
» s a b i o g r a p h i e
BĂ©atrice, le cadeau, la providence. Tu es nĂ©e en Floride avec les fleurs du printemps, la douceur de la plus belle des saisons, le retour du champ des oiseaux. Tu Ă©tais une merveille, attendu et dĂ©sirĂ©e par une mĂšre aimante et amoureuse et un pĂšre qui jusqu'alors semblait le plus heureux des hommes tenant une parti de lui mĂȘme, sa chair, son sang au creux de ses bras dĂ©licat malgrĂ© sa taille. Lui qui avait si peur de te casser, toi qui semblait si fragile les yeux a peine ouvert. CâĂ©tait la belle Ă©poque des annĂ©es 90âČ, tes parents nâĂ©taient que de jeunes adultes pas vraiment plus vieux que toi aujourdâhui, mais ils pensaient avoir tout compris Ă cette vie pourtant si nĂ©buleuse. La premiĂšre dispute de ce couple a Ă©clatĂ© au dessus de toi, sans le vouloir, sans le savoir tu commences doucement Ă les dĂ©chirer. Ta mĂšre, française voulait te nommĂ© avec le nom de sa grand mĂšre BĂ©atrice, ton pĂšre italien lui voulait rendre hommage Ă son pays et ses gĂšnes, Mona-Lisa, deviendra Lisa. Evidement aujourdâhui nul doute que lâamour maternelle et lâimpatience masculine avait jouĂ© en la faveur de la femme qui tâavait mise au monde. Tu portait le nom de famille de ton pĂšre. Tout deux Ă©tudiants Ă©trangers de lâuniversitĂ© de South Florida, Ă lâĂ©poque mieux rĂ©putĂ©e quâelle ne lâest aujourdâhui.Â
BĂ©atrice, le fardeau, lâinsouciance. Tu as grandit dans une famille de classe moyenne, sans trop de difficultĂ©, sans pour autant baigner dans le luxe, la normalitĂ©, toi ça te convient si bien. BĂ©atrice est composĂ© d'un prĂ©fixe latin Beatus, qui signifie "heureux" ou "comblĂ©", et d'un suffixe. L'ensemble signifie littĂ©ralement "celle qui apporte le bonheur". En soit ton prĂ©nom pourrait rĂ©sumer toute ta personnalitĂ©, il est solaire comme toi et tes jolis cheveux dâor. Tu grandit en courant dans le jardin pied nu, courant aprĂšs les papillons. Tous les voisins tâadoraient, le boulanger français du quartier avait lâhabitude de tâoffrir des croissants en cachette, ta mĂšre faisait semblant de ne pas le savoir, câĂ©tait ton petit secret. Tu vivais dâamour et dâeau fraiche, le sourire scotchĂ© au lĂšvre. Pourtant le soir, aprĂšs avoir fermĂ© la porte de ta chambre, tu entendais les disputes, les querelles incessante, maman en avait marre dâĂȘtre loin de sa famille, loin de son pays, de porter les dĂ©penses sur son dos, de naviguer entre deux boulot et de ne pas vraiment te voir grandir. Papa en avait simplement marre de cette vie trop rangĂ©e, de cette petite femme que la grossesse avait changĂ©, elle nâĂ©tait plus lâadolescente effarouchĂ©e, il nây avait plus de piment. CâĂ©tait ta faute sans vraiment lâĂȘtre. Tu avais onze ans quand la sentence est tombĂ©e, Mummy and Daddy get a divorce. Trop jeune pour donner ton avis, tu nâavais pas dâautre choix que de suivre maman, recommencer ta vie dans un pays que tu ne connaissais pas. â Quatres longues annĂ©es, tu restais un soleil, mais le soleil français brillait bien moins que le Soleil en Floride. Tu avais des amis, mais ce nâĂ©taient pas TES amis, tu parlais la langue mais ce nâĂ©tait pas TA langue, tu avais la nationalitĂ©, mais ce nâĂ©tait pas TON pays.Â
BĂ©atrice, le renouveau, la dĂ©livrance. Tu as attendu sagement sans faire de vague, et le jour de tes quinze ans tu lâas annoncĂ© a ta mĂšre, sans ne jamais lui en avoir dis un mot auparavant. âMaman, jâai maintenant lâĂąge de choisir, je veux habiter chez papaâ, tu lui as brisĂ© le coeur ce soir lĂ , pourtant câĂ©tait si vrai. LĂ©galement les quatre ans passĂ© jouait en la faveur de ton paternel, il gagnait mieux sa vie, possĂ©dait une maison et un emploi plus stable et maintenant ta voix comptait dans la balance. Tu ferais donc ta rentrĂ©e scolaire en septembre, en floride, dans ton monde. Une rentrĂ©e au LycĂ©e dans lequel tu retrouvais tes amis. â Quinze ans, câest lâĂąge pour se construire soit-mĂȘme. Toi tâes ouverte dâesprit, sociable, avenante, tâas jamais eu de mal a te faire des amis, tu parles facilement, tu as confiance en toi, tu as des formes qui te vont a merveille et tâes belle comme un coeur, tâes du genre a voir toujours le verre a moitiĂ© plein, tâes pas sur dâavoir un jour Ă©tĂ© Ă©nervĂ© tellement que les autres ont tendance a croire que tu prends tout a la lĂ©gĂšre, câest pas le cas, simplement quand quelque chose tâagaces, ou tâattriste, tu te dis quâavec le temps ca passera et quâen souriant ca passera plus vite encore. Tâes du genre a rĂ©gler tes problĂšmes toute seule et vouloir aider tout le monde a rĂ©gler les leurs.Â
BĂ©atrice, Divine , IndĂ©pendance. Ton pĂšre nâest jamais a la maison. La vie en colocation est plutĂŽt facile avec lui, tant que tu lui envoie un message avant de dĂ©coucher il est satisfait. Tant que tu nâest pas obligĂ©e dâassistĂ© au repas avec lâune de ses copines, tâes contente. En rĂ©alitĂ© il en a deux, et les deux ne sont pas au courant quâil y en a une autre, les deux sont un peu plus jeune et espere se marier, toi tu tâen fout ca te fait rire. â Tu parles dĂ©jĂ trois langues naturellement, lâanglais, le français et lâitalien. Au lycĂ©e tu apprends lâespagnol et lâallemand. Tu as dans lâoptique de devenir traductrice ou de travailler dans un domaine ou cet atout pourra tâĂȘtre utile. â Ton pĂšre malgrĂ© son roman bien vendu, nâa tout de mĂȘme pas assez dâargent pour te payer une universitĂ© luxueuse, mais il te trouve un petit boulot dans sa maison dâĂ©dition pour faire des petites traductions. Enfin toi tu es contente dâaller dans la fac ou tes parents se sont rencontrĂ©. Tu y Ă©tudies lâespagnol et le russe. â Deux ans plus tard tu te retrouve transfĂ©rĂ©e a Saint-lĂ©o.Â
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L Dans la mesure ou tes plus proches amis viennent de South, tu ne tâes jamais posĂ© la question, câest naturel pour toi de te tenir au cĂŽtĂ© des tiens de dâentretenir puĂ©rilement cette querelle.Â
» s e s l i e n s ⏠Nova Faye Coaste ; âde lâor en barreâ Petite Nova Ă©tait ta voisine, ta premiĂšre et meilleure amie, tâas toujours Ă©tĂ© la pour elle, vous Ă©tiez dans la mĂȘme Ă©cole, vous passiez votre temps ensemble, en rentrant de lâĂ©cole elle venait chez toi, tu connais son histoire comme si tu lâavais vĂ©cu. Lorsque tu es parti en France la quitter avait Ă©tĂ© la pire dĂ©chirure pour toi et lorsque tu es revenu bien quâelle ne soit plus vraiment ta voisine, vos retrouvailles Ă©taient plus belle encore. Depuis vous ne vous ĂȘtes plus jamais quittĂ©, en premiĂšre annĂ©e de fac vous avez mĂȘme eu la chance dâĂȘtre coloc lorsque Ă south vous aviez le droit de choisir. Elle est ta moitiĂ©, ton bonheur, ta soeur et probablement la marraine de tes futurs enfants.Â
⏠Adonis Eros Brahma ; â the weakness â Au lycĂ©e il Ă©tait la, au soirĂ©es il Ă©tait lĂ , il avait ce regard sur toi quand tu riais qui te faisait toujours te sentir bien. En fait ce garçon te rendait heureuse. Il a Ă©tĂ© ta premiĂšre vrai relation, vous ĂȘtes sorti ensemble pendant deux ans, deux ans qui semblait une Ă©ternitĂ© de bonheur. Tu le soutenais dans ses combats, tu Ă©tais toujours a cotĂ© du ring, pour le soutenir, tu te voyais sincĂšrement grandir avec lui, vieillir avec lui. Puis un jour tu as appris quâil Ă©tait en dĂ©tention, il tâas appelĂ© pour te prĂ©venir, il tâas demandĂ© de venir et tây es jamais allĂ©. Il a Ă©tĂ© accusĂ© dâhomicide volontaire et toi tâas mĂȘme pas cherchĂ© Ă savoir si câĂ©tait vrai. Tu lâas juste âabandonnĂ©â comme tu le fais avec tout tes problĂšmes, tu laisses derriĂšre toi et tu continue de sourire.Â
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Poppy Lauren Jones â 20 ans â St Leo â Etudiant en Psychologie (spĂ©cialisation enfant). â Cheerleader X Purity Squad â ( Aka ~ Bridget Satterlee )Â
» s a b i o g r a p h i e
Poppy, un trĂ©sor, un cadeau. Il nây a aucun doute tu as Ă©tĂ© et tu es toujours un enfant choyĂ©, ta naissance Ă Ă©tĂ© une bĂ©nĂ©diction au sein de ta famille, dieu sait si ta mĂšre rĂȘvait dâavoir une fille et mĂȘme Matthew son fils adorĂ© nâavait pas rĂ©ussi a lui combler ce rĂȘve, ce besoin. Ce jour, celui ou tu es nĂ©, Ă Ă©tĂ© le plus beau de tes parents et ton frĂšre nâen a ressenti aucune jalousie. Il tâaimait lui aussi, prĂȘt a endosser le rĂŽle du grand frĂšre, protecteur et aimant quâil est encore aujourd'hui. Ce jour la un rayon de soleil a traversĂ© le ciel nuageux dâAngleterre, promesse dâun bel Ă©tĂ©.Â
Poppy, lâĂ©lĂ©gance, la biensĂ©ance. Noblesse de coeur et dâĂąme, tu es une petite anglaise comme on en compte tant, mais dans ton uniforme scolaire on peut quand mĂȘme noter la grĂące de ta dĂ©marche, la lĂ©gĂšretĂ© de tes gestes. Tu aimes la danse moderne, les histoires que ces ballets racontent ; RomĂ©o et Juliette, le Lac des Cygnes, Giselle, Casse Noisette etc, tu aimes la perfection, la dĂ©licatesse, la sensibilitĂ©. Tu reprĂ©sentes lâexcellence, autant a lâĂ©cole, que dans tes cours de danse tu es lâexemple, lâespoir et tu ne saurais rendre ta famille plus fiĂšre. Tu grandit, tu tâaffirmes, tu sais ce que tu veux dans la vie.Â
Poppy, la naĂŻvetĂ©, la dĂ©chirure. Tu auditionnes pour ton premier gros rĂŽle dans un ballet Ă tes dix-huit ans, une opportunitĂ© qui tâaurais permis de jouer dans les plus grandes salles de Londres. Tu auditionnes pour Juliette, pendant quatre mois les trois meilleures seront entrainĂ©e et Ă©valuĂ©e sur leurs capacitĂ© a tenir les entrainements, une vie saine, un Ă©tat dâesprit digne. Tu sais que tu es le meilleur espoir fĂ©minin de la rĂ©gion, voir du pays. Alors tu ne crains pas la concurrence.  Pendant un mois tu tâentraines puis il dĂ©barque dans ta vie, celui que tu prĂ©fĂ©rerais oublier. Ansel, le beau, ton RomĂ©o. Vous ĂȘtes tombĂ© amoureux si vite, tu tâes brulĂ© les ailes, tu as succombĂ©, tu tâes dĂ©tournĂ©e de ton objectif et finalement une semaine avant ton audition finale, il tâas avouĂ©. AvouĂ© que tu nâĂ©tais rien pour lui, quâil voulait seulement te dĂ©concentrer, que ta concurrente mĂ©ritait plus le rĂŽle que toi et effectivement, câest elle qui lâa eu. Cette histoire Ă tuĂ© une partie de toi. Pendant trois mois tu tâes abandonnĂ©e pour celui qui avait malgrĂ© ce que tu veux en dire aujourdâhui ; conquis ton coeur.Â
Poppy, lâespoir, la rĂ©mission. Tu as grandit, tu as la promesse dâune vie merveilleuse et maintenant que tu as finit le lycĂ©e tu as dĂ©cidĂ© de prendre lâAmĂ©rique dâassaut, dĂ©mĂ©nager dans la ville ou tu passais tes noĂ«ls et tes vacances dâĂ©tĂ©s, lĂ ou le reste de ta famille est restĂ©. Tu veux changer de paysage et abandonner la danse un moment, tu ne sais pas pour combien de temps, mais tu veux te trouver une porte de sortie au cas oĂč. Tu Ă©tudies donc la psychologie spĂ©cialisĂ© pour les enfants, tu te sens bien dans ce domaine. Dans un mĂȘme temps tu intĂšgres les cheerleaders une certaine maniĂšre de garder la danse dans ta vie. Tu intĂšgres Ă©galement la Purity Squad pour dĂ©gouter les garçons qui voudrait tâapprocher dâun peu trop prĂšs a ton gout. Tu es vierge et tu nâas plus du tout confiance en cette race.Â
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
Tu as grandit dans lâoisivetĂ©, les bonnes maniĂšres, et malgrĂ© que tu ai parfaitement conscience que les Ă©lĂšves de South Florida nâai rien choisi de leur vie, tu sais parfaitement quâils nâont pas ton Ă©ducation et ca te fait un peu peur. Tu les prends plus en pitiĂ© que tu ne les dĂ©testes mais tu ne tâaventurerais pas a trainer avec eux.Â
» s e s l i e n sÂ
⏠Matthew Jones ; âLes liens du sangâ Ton frĂšre est ton pilier, il sera toujours ce pilier. Vous avez grandit ensemble, vĂ©cue ensemble. Il nâest pas comme toi, il nâest pas parfait, il fait beaucoup de conneries. Mais tu lâas toujours soutenu, tu lâas toujours aidĂ©, tu lâas toujours calmĂ©, tu lâas toujours adorĂ©. Tu te sens en sĂ©curitĂ© avec lui. Mais tu ignores son fardeau, ce quâil te cache. Ton pĂšre dans le coma tu es loin de te douter que ton frĂšre en est la cause.Â
⏠Charlotte Jones  ; âLes souvenirs de NoĂ«lâ A chaque NoĂ«l, et pendant la plus part de tes vacances dâĂ©tĂ© tu aimais te prĂ©lasser sur la plage de sa maison, charlotte est la cousine adorable, la soeur que tu as toujours voulu avoir. Tu as toujours Ă©tĂ© proche dâelle et aujourdâhui que tu vis dans la mĂȘme ville, que tu cĂŽtoies la mĂȘme universitĂ©, tu sais que tu peux compter sur elle, quâelle est une amie, une soeur.Â
⏠Johanna Jones  ; âLâĂ©trangĂšreâ A chaque NoĂ«l, et pendant la plus part de tes vacances dâĂ©tĂ© tu entendais parler dâelle tu entendais son prĂ©nom suivi dâune critique ou quelque chose de ce genre, tu nâes pas trĂšs bien disposĂ©e a son sujet, tu nâas jamais suivi ou compris lâhistoire quâil y avait derriĂšre tout ça. Peut-ĂȘtre que tu as Ă©tĂ© conditionnĂ©, tu ne la connais pas vraiment mais tu ne sais pas vraiment si tu veux la connaitre.Â
⏠Someone ; âParfois brisĂ©e, les filles doivent se soutenirâ Depuis que tu es arrivĂ©e, elle a Ă©tĂ© la premiĂšre a tâaccueillir dans lâuniversitĂ©, dans les purity. Alors par habitudes tu as commencĂ© Ă trainer avec elle, tu sens quâelle a souffert dans la vie, malgrĂ© tout elle est gentille avec toi.Â
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Khalil J Lamar â 22 ans â South Florida â Etudiant en informatique.  ( Aka ~ AJ Saudin ) » s a b i o g r a p h i e
ââa sad story, might find it boring lost his mum to a drug named Heroinââ naissance tragique ; bĂ©bĂ© non â voulu. La famille Lamar avait toujours Ă©tĂ© le genre de famille bizarre, que les voisins essayaient de fuir et dâĂ©loigner de leurs gosses : noires, pas trĂšs riche, mĂšre droguĂ©e, le pĂšre abandonnant sa famille aprĂšs la naissance de Khalil. Mary eu en tout 3 enfants : lâainĂ©e dĂ©cĂ©da aux 12 ans de Khalil âârisques du mĂ©tier ââ, le grand frĂšre il ne lâavait pas vraiment eu Ă apprendre Ă le connaitre, câĂ©tait un gros con. Et enfin Khalil ; il nâĂ©tait pas voulu, Mama nâen voulait pas parce que papa nâen voulait pas. Son pĂšre Ă©tait plutĂŽt stable mais avait horreur des enfants, suite Ă la naissance de Khalil, il se casse. Il vit avec sa mĂšre qui meurt ensuite dâune overdose, Khalil grandit avec son frĂšre ; tragique. Pas con, mais ça fait le con, toujours tĂȘte en lâair et jamais les pieds sur terre. Khalil est bizarre, fou et arrogant ; tĂȘte de mule de surcroit. Il nâapprĂ©cie pas les autres, il nâsait pas ce quâil fait lĂ , et pourquoi avoir Ă cĂŽtoyer certaines personnes. EnfermĂ© et pas trĂšs ouvert, il grandit avec son frĂšre sans pour autant en savoir beaucoup sur lui, bah oui Khalil Ă©tait lâenfant maudit ; suite de malheurs ---. A lâĂ©cole il tentait mais nâĂ©tait pas vraiment apprĂ©ciĂ©, au collĂšge il essai puis abandonne, au lycĂ©e câĂ©tait merdique sans sel. trĂšs tĂŽt il fume, il boit, il ââbutineââ comme aimait â il le dire, et trempe dans des affaires illicites. La tentation prend le dessus, il suit les pas de Madre, il consomme, beaucoup, beaucoup trop. Les stupĂ©fiants rythment son quotidien, Khalil avait sombrĂ©, on ne pouvait plus le rĂ©cupĂ©rer, juste regarder sa descente en enfer. Il rencontre une fille, gosse de riche Ă premiĂšre vue en vue de libertĂ©. Il ne savait pas exactement qui câĂ©tait mais il lâinitie aux plaisirs dĂ©fendus, khalil transforme Nephtys en grosse junkie, de ça naquit une idylle. Ils avaient tous deux succombĂ©s, histoire passionnĂ©e, ils ont su conjuguer le verbe aimer sans pourtant le prononcer, ils ne lâont pas vĂ©cu comme un sentiment, mais comme un art. Bonnie and Clyde. Il dĂ©couvrit par la suite quâil trainait avec la fille du prĂ©sident. Du jour au lendemain : dĂ©sertification. Suite Ă son monologue il apprends quâune photo dâelle peu descente avec de la cocâ fut dĂ©voilĂ©e, une photo que Khalil avait prise. Ce nâĂ©tait pas lui, il ne savait pas qui câĂ©tait mais Nephtys Ă©tait partit sans essayer de comprendre, il nâa mĂȘme pas essayĂ© de la rattraper, qui sait pourquoi ? quiproquo qui sĂ©para deux Ăąmes perdues. Khalil continuait dâĂȘtre ce quâil Ă©tait, il lui arrive dây repenser et de regretter, oui il regrette. Toujours plus de frasques, toujours plus de drogues. La police lui collait aux basques ; trop de dĂ©lits â il est surveillĂ©. Afin dâavoir une couverture, il dĂ©cide dâcontinuer ses Ă©tudes, inconsciemment son choix se porte vers Tampa sachant trĂšs bien que il allait partager la mĂȘme ville que Nephtys. Câest ainsi quâil devient un South.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
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en Ă©criture. ⏠Someone ; âSomethingâ RĂ©daction .. ⏠Someone ; âSomethingâ RĂ©daction ..
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Louis Pahale Banks â 22 ansâ St Leo â Etudiant en Droit . â Sphinx Head â ( Aka ~ Nicolas Simoes )
- Au choix du joueur, il peut ĂȘtre membre des lions (Ă©quipe de football) a prĂ©ciser lors de lâinscriptionÂ
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NOM le nom dâun pĂšre que tu admires, mais que tu crains, une destinĂ©e toute tracĂ©e, un poids sur tes Ă©paules, tâaurais voulu tâappeler smith, tu nâaurais pas eu autant dâattente de la part de tout le monde. Mais non tu es le dernier Banks qui puisse reprendre le flambeau familliale, garder cette renommĂ©e. Car la famille banks est rĂ©putĂ©e en floride et ce depuis des siĂšcles, propriĂ©taire de la banque sociĂ©taire de floride depuis son commencement. Tu sais pertinement quâil existe sur cette terre, des gens qui reverait dâĂȘtre a ta place, moi toi, cette place tu la troquerais volontiĂ©.Â
PRĂNOM Louis câest chic, câest royale, ca sonne bien, le cachet dâun nom francais comme on en fait peu, choix dâun pĂšre qui voue un culte Ă la vielle noblesse; puriste de droite il ne pouvait pas choisir plus traditionel comme nom, Ă©trangement ca te plais, tu te reconnais. Pahale, câest diffĂ©rent, seule trace de ta mĂšre bien plus douce que lâest le paternel. Pahale câest le vestige des annĂ©es rebelles de ta mĂšre, quand elle Ă©tait encore libre et quâelle visitait le monde, pahale câest le rĂ©sultat dâun amour pour lâinde ; pahale ca veux dire premier, premier fils, mais premier dans la vie, car comme ton pĂšre te la bien fait comprendre, tu dois ĂȘtre le meilleur partout sinon ca ne vaux pas le coup de continuer. Tu en veux un peu Ă ta mĂšre de ne pas tâautorisĂ© la libertĂ© quâelle mĂȘme Ă pris par le passĂ©, tu pensais quâelle Ă©tait la mieux placĂ©e pour comprendre que tu avais besoin de profiter un peu.Â
NATIONALITĂ tâes dâici, la floride câest tes racines profondes, ta famille nâa jamais quittĂ© lâĂ©tat, on pourrait presque te considĂšrer comme un sang pur. Une partie de toi en est fiĂšre, tu te sens chez toi, tu te sens en confiance, tu connais la ville par coeur, tout lâĂ©tat est financiĂšrement dirigĂ© par ta famille et il est peu probable que tu vives ailleurs un jour. Â
STATUT CIVIL tâes un coeur dur, mais une main a mariĂ©, il parrait que ta mĂšre bouquine son carnet de contact rĂ©guliĂšrement pour te trouver une femme a marier, elle serait absolument ravie de te donner sa bague de fiancaille pour que tu puisse la passer au doigts dâune fille qui prolongerait la grandeur de ta famille. Heureusement pour elle tu as des goĂ»ts trĂšs sectaire en matiĂšre de femme. Tu as toujours Ă©tĂ© attirĂ© par les femmes au moins aussi puissante que toi, tu ne te vois pas dans ton avenir devoir vivre avec une femme entretenu, tâas besoin de poigne, de caractĂšre. En attendant de trouver cette femme, tu joues avec les filles qui tombe comme des mouches, mais tu ne te laisserais jamais aller au bras dâune fille qui ne serait pas de ton milieu sociale.Â
OCCUPATION Tâas jamais rien choisi dans ta vie, depuis toujours, tu ne te souviens pas dâune fois ou on tâas demandĂ© ton avis. On tâas inscrit dans tout les clubs que tu as fais, on te fais des costumes sur mesures depuis ton plus jeune age, ta mĂšre donne toujours son avis sur tes cheveux ou la rĂ©gularitĂ© de ton passage chez le coiffeur. Tâas mĂȘme pas choisi ta filliĂšre ou mĂȘme ton stage dans lâentreprise dâun ami de ton pĂšre. Tout ca on le fait pour toi, comme si tu Ă©tais le pantin dâune vie qui nâest pas vraiment la tienne. Tâas toujours trouvĂ© ca normal, tu te sentais mĂȘme gratifiĂ© fut un temps, tant dâattention sur ta petite personne ca te rendait joisse. Dâailleurs mĂȘme si ce nâĂ©tait pas tes choix tu te battait pour ĂȘtre le meilleur quand mĂȘme. Car si ton pĂšre a bien rĂ©ussi Ă tâapprendre quelque chose câest ce gout pour la competition. Tâaimes ĂȘtre le premier, alors tu travailles comme un dingues pour avoir les meilleurs notes, les meilleurs potes, les meilleurs places et en gĂ©nĂ©ral ca te rĂ©ussi. La ou ca peche câest sous ton propre toit, parce quâil yâa Charles, charles qui sans rien faire, sans faire dâeffort, recoit tout lâamour et la tendresse que tu nâas jamais eu. si tu osais revenir avec un jean tachĂ© on te dirait sechement que ce nâest pas digne de toi, de filer te changer. Lui on se demande si il nâest pas blessĂ©, si il Ă passĂ© une bonne journĂ©e. â Si tu fais tant dâeffort câest parce que tu espĂšres un jour voir autant de douceur dans les yeux de ton pĂšre mais tu sens que ce nâest pas prĂšs dâarriver. Du moins ca nâarrive pas. Alors tâas commencĂ© Ă faire ce qui tâĂ©tais interdit. Tu as integrĂ© les Sphinx et câest ta plus grande fiĂšrtĂ© depuis deux ans Ă lâuniversitĂ©, les Sphinx Head sont ta premiĂšre raison de vivre, avec eux tu connais des soirĂ©es de privilĂšges certaines auquels ton frĂšre ne pourrait mĂȘme pas espĂšrĂ© participer, les sphinx câest rien quâĂ toi, câest ton secret. Et mĂȘme si papa maman serait ravis de savoir que tu appartiens a une sociĂ©tĂ© secrete selective et puriste, tu nâen dis rien, câest rien quâa toi. Dâailleurs tâas de plus en plus de secret pour tes parents, des envies de rebellion, un tatouage cachĂ© alors quâil tâĂ©tais interdit de marquer ta peau, des soirĂ©es ou lâalcool et la drogues sont tes meilleurs amis. Jamais dieux jamais tu nâoserais rentrer chez toi un lendemain de soirĂ©e, heureusement que tu as des amis sur qui compter.Â
CARACTERE tâes un conquĂ©rant, si tu veux quelque chose tu lâas, tu ne triches pas dans ta futur cariĂšre, bien que tu ne lâai pas choisi elle te correspond a merveille et tu sais que tu feras tout pour ĂȘtre un homme puissant, mais au fond de toi yâa une fĂ©lure de petit garçon, ce petit garçon qui voudrait se blotir au seins de sa mĂšre, ce petit garçon qui voudrait pour une fois ĂȘtre celui quâon regarde avec tendresse.
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L Louis est pro saint-lĂ©o, Ă©levĂ© dans une culture BCBG Ă lâextreme, il est insuportĂ© par cette mauvaise frĂ©quentation que lui impose le doyen, il est donc ravi de faire parti des sphinx pour partager son mĂ©contentement.Â
» s e s l i e n sÂ
⏠Charles Aasha Banks ; âLa jalousie ; blessures de lâhommeâ Ce gamin est arrivĂ© dans ta vie comme un cheveux sur la soupe, tâĂ©tais content dâĂȘtre le seul, le petit trĂ©sor de tes parents, mais ils ont eu tellement de mal Ă lâavoir celui la quâil lâont carrĂ©ment nommé âespoirâ. En plus de ca, il sâavere que monsieur Ă une maladie de coeur. Alors toute lâattention sâest retournĂ© sur lui. Il a toutes les libertĂ©s, personne nâa jamais rien dit, pour ses tatouages quâon tâa interdit. Personne ne dit rien pour sa tenue dĂ©braillĂ©, ou sa coupe mĂȘme pas coiffĂ©e. Au fond tu sais pas quoi en pensĂ©, depuis toujours tu le repousses, mais en mĂȘme temps tâaurais aimĂ© une belle relation avec lui, il tâas juste volĂ© la vedette. Et au fond de toi peut-ĂȘtre que tu as peur de lâaimer trop et de le voir mourir.Â
⏠Tiazo Arturo Pasolini ; âLa maison dâen faceâ Depuis quâil a emmĂ©nagĂ© Ă Tampa ce mec habites en face de chez toi, alors forcĂ©ment papa, maman, on fait bonne figure dĂšs le dĂ©but il sont aller jouer les gentils voisins avec le pĂšre de Tiazo, mais mĂȘme si ca nâa pas Ă©tĂ© sincĂšre entre eux dĂšs le dĂ©but, ce nâĂ©tait pas le cas pour vous. Encore petit, vous vous etes liĂ© dâamitiĂ© trĂšs vite et câest restĂ©. Aujourdâhui vous ĂȘtes des frĂšres, il compte plus pour toi que ton propre frĂšre et parfois tâas mĂȘme lâimpression de vivre ta relation avec charles par procuration avec tiazo.
âŹMadelyn Dalia Andreotti ; âElectro-chocâ Maddie est un dĂ©mon, elle est belle a faire craquer le plus pur des hommes, elle est envoutante et toi tâes partagĂ© ; une part de toi sens quâelle est faite pour toi que tu devrais mĂȘme pas jouer, car câest pas une femme avec laquelle on joue, tu sens quâelle devrait ĂȘtre a toi et que vous seriez parfait lâun pour lâautre, parce que cette fille est de la meme trempe que toi elle est la fille que tu aimerais faire flancher, que tu aimerais pour son caractĂšre de princesse, comme ton Ă©gale. Mais ta fiertĂ© doute dâelle, tu sens quâune partie dâelle sâest rapprochĂ©e de toi pour rentrer dans les sphinx et mĂȘme si tâes pas pret Ă couper les ponts avec elle, tu nâes pas non plus prĂšs a te laisser charmer et la laisser te manipuler. Tu marches sur un fil, tâas pas confiance en elle ? ou en toi ? tu voudrais quâelle soit la bonne, et tâas tellement peur quâelle soit celle qui pourrait te briser. Tu voudrait lui donner tout lâor du monde, lui confier tes plus grandes peurs, mais tâes pas pret Ă partager quoi que ce soit, les sphinx câest ton monde et tâas peur de la laisser partager ca. Elle pourait ne plus avoir besoin de toi ? Elle pourrait te filer entre les doigts.Â
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Charles Aasha Banks â 21 ans â St Leo â Etudiant en littĂ©rature. â Art Club â ( Aka ~ Dylan Rieder )
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Charles Aasha Banks, c'est doux, c'est chaud.  "Aasha" c'est le vestige du patriarche qui t'ont nommĂ© espoir, rapport au fait qu'on ne t'attendais pas dans la famille Banks. C'est chantant, ça glisse sur les lĂšvres facilement. A la fois familier et singulier. Ăa retient l'attention, ça ne fait Ă©cho qu'Ă toi. PrĂ©nom qu'on oubli pas. Gueule qu'on oubli pas. AprĂšs ton frĂšre, tes parents ont eu Ă©normĂ©ment de mal Ă avoir un deuxiĂšme enfant, pourtant tu es lĂ et tu as pris place.Â
       « Tu vas mourir Charles. »Â
Tu t'es pris cette phrase en pleine tĂȘte dĂ©s que tu as eu l'Ăąge de comprendre le sens qu'elle portait. Depuis, elle revient comme une bonne amie. Avec le temps tu as fini par accepter lâidĂ©e. Cette idĂ©e morbide. La mort. Mourir. Tu n'as pas Ă te soucier de quand ni comment, tu nâas pas Ă avoir peur de devoir Ă©conomiser pour le futur, tu nâas pas Ă te demander ce que tu feras plus tard, tu sais que ça va arriver. Et depuis tu vis. Comme personne d'autre ne vit, au diable les quand dira-t-on, rien n'importe tu resteras pour toujours encrĂ© dans ce rĂŽle de l'Ă©ternel petit con jeune adulte qui a l'Ăąme pleine de rĂȘves. Pleine d'envies. Pleine de projets. T'as pas l'Ăąge d'ĂȘtre grand. T'as pas l'Ăąge d'ĂȘtre vieux. Tu lâauras jamais.
L'amour passion, l'amour fusion. L'amour pur, l'amour doux. L'amour haine, l'amour destruction. Toi, t'y crois pas. Tu veux pas y croire. Tâen veux pas. Tu tây refuses. Tu tâoctroies tous tes dĂ©sirs mais pas celui lĂ , dans ta situation ce nâest pas raisonnable. Ce ne serait qu'une autre forme d'Ă©goĂŻsme. Dans les livres câest beau, deux Ăąmes qui sâaiment, des histoires vendues pour qu'elles fassent rĂȘver, mais la rĂ©alitĂ©e est lĂ , Ă la fin tu crĂšves, point, yâa pas dâĂ©pilogue, et ce nâest que souffrance et temps perdu. Pourtant tu aurais temps dâamour Ă donner, et tu aimeras connaitre la sensation dâen recevoir, ĂȘtre un Ă deux. Mais rien que lâidĂ©e,  ça te dĂ©goĂ»te. Ăa tâĂ©cĆure. Toi, tu sais pas ĂȘtre menteur comme ça, tu sais pas faire du mal aux gens. Tu as pas de temps Ă accorder Ă ces conneries.Â
Tu vas rendre l'Ăąme. Tu sais quel mois. Tu es presque mĂȘme sur du jour, parfois tu aimes fantasmer sur lâheure. Ton plus grand regret sera de partir sans le soutient de ton ainĂ©. Mais dâici lĂ tu as quelques mois. Les mĂ©decins sont formel, ils Ă©taient sur le cul que tu passes tes dix premiĂšre annĂ©e, tu nâen auras pas deux de plus.  Mais tu gardes ça pour toi, tu fais ce quâil te plais, tu abuses de la vie comme elle abuse de toi, tu ne te prives de rien, dĂ©pravation Ă outrance, apprentissage sage, tu continues lâuniversitĂ© car tu aimes ce que tu Ă©tudies. Tu prĂ©fĂšres quâon te regardes avec mĂ©pris en pensant que tu nâes quâun gamin irresponsable infrĂ©quentable plutĂŽt que de voir tes interlocuteurs suer la pitiĂ©.Â
        « Tu vas mourir Charles. »Â
Tu t'es pris cette phrase en pleine tĂȘte dĂ©s que tu as eu l'Ăąge de comprendre le sens qu'elle portait. Depuis, elle revient comme ta pire ennemie. Avec le temps tu as fini par faire croire que tu lâavais acceptĂ© cette idĂ©e. Cette idĂ©e morbide. Mais lĂ vĂ©ritĂ© est moins honorable.Â
En vrai tu es mort de peur.
Ps ; point important, les seules personnes au courant de sa maladie sont, Romane et Louis. Ăventuellement une meilleure amie dâenfance si lien vient sur le jeu.Â
» s o n p o i n t d e v u e S F / S L
il nâa pas vraiment le temps de sâen soucier pour dire vrai.Â
» s e s l i e n s
⏠ Louis Pahale Banks ;  âLes hommes pleurent en cachetteâ Il tâas jamais montrĂ© dâamour, dĂ©jĂ petit il faisait en sorte que tu ne puisses pas jouer avec lui,  il te rejĂšte depuis toujours, mais en grandissant tâas compris quâil Ă©tait jaloux. Ca te fais bien marrer. Mais toi tu lâas toujours aimĂ©, admirĂ©, jalousĂ©. Tâaurais tellement aimĂ© avoir son soutient. Dans ta vision parfaite des choses il est ton superhĂ©ros, ton alter-Ă©go, ton meilleur ami, mais il nâen est rien. Tu espĂšres pouvoir le hanter quand tu passeras la porte des enfers.Â
⏠ Isaure Delacroix ; âL'amour : le sĂ©rum&le venin, vu qu'on aime avoir mal.â Non, oui, non, mais tu lâas interdit. Tu veux lui parler, mais non, puis elle arrive, elle sourit. Tu craques. Oui. tu sais pas trop pourquoi elle tâattire autant ; son aura, elle Ă quelque chose. Parfois tu te demande si câest un dĂ©fi que tu te lances parce que tu nâas jamais eu une fille comme elle, pourtant tâen as eu des filles. Mais non, câest mĂȘme pas un jeu, tâas juste envie de la faire sourire. Parce quâil est merveilleux ce sourire. Tâas envie de lui apporter un peu de bonheur avant de partir.
⏠ JosĂ©phine Lewis ; âSi je peux servir avant de partirâ Josy câest une fille qui vient dâarriver dans le coin depuis une petite annĂ©e, câest une fille avec qui tu tâentends particuliĂšrement bien. Mais mademoiselle nâa jamais avouĂ© son orientation sexuelle a sa famille, alors tu lui sers dâalibi au prĂšs de sa tante, pour elle vous Ă©tes ensemble depuis plusieurs mois, toi ca te fais marrer.Â
⏠ Meredith Clinton ; âDans le coin dâun hostoâ elle te connaissait comme le pote de JosĂ©phine mais personne ne savait pas quâelle viendrait a te croiser dans un couloir blanc des hopitaux quâelle connait par coeur tout comme toi. Depuis elle cherche ton secret et toi ca tâarrange pas vraiment.Â
âŹÂ Romane Alavarez ; âBĂ©bĂ©, j'ai quatre-vingt-dix-neuf âblĂšmes âŠâ Tu sais pas pourquoi, mais câest comme ça, passion commune, problĂšme similaire, vous vous ĂȘtes interposĂ© dans la vie de lâautre, dâabord par un regard, puis câest charnel. Vous flipper ensemble, passez des heures a fumer sur un balcon en pensant Ă la mort. Yâa rien de romantique câest plutĂŽt morbide mais ça vous convient. Â
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