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La p'tite plume d'Eros
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laptiteplumederos · 2 months ago
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Les aventures de Bérénice (Cycle 2 - Épisode 6)
La partie se poursuivit. Justine retourna un roi, accueillit par de discrètes exclamations parmi les invités. Qu'allait-elle faire ? Tous les visages, y compris celui du marquis étaient tournés vers elle, suspendue à ses lèvres. Elle prononça le mot pantalon, suscitant une nouvelle rumeur au sein des invités. Après quelques secondes de surprise, le marquis se leva, déboutonna son pantalon et le laissa choir à ses pieds. Il se remit assis, assurant Justine qu'il goûtait particulièrement son impertinence. Le marquis sortit une carte basse, le quatre de carreau, laissant de nouveau la main à Justine qui découvrit un nouveau roi. Elle sentait l'excitation l'envahir, la chance était désormais avec elle. Sans ménager le suspense cette fois, prise par l'euphorie du jeu, elle prononça le mot caleçon. Celui du marquis était en tissu rayé, et moulant. Il se leva et l'enleva, laissant apparaitre un bite de calibre moyen, dont l'apparition sembla ravir les invitées, derrière leur loup. Deux à un, le suspense restait entier. Mais le marquis retourna coup sur coup deux autres reines. Sans la moindre hésitation, il invita Justine à se délester de... son chemisier, puis de sa jupe. Elle comprit la stratégie de lui avoir fait enlever sa culotte lors du coup précédent. Le marquis était futé et sans aucun doute rodé à l'exercice. Elle hésita puis fit tomber la jupe, un peu gênée d'offrir son cul et son sexe à la vue de tous. Les roucoulements et gloussements qui envahirent le grand salon la rassurèrent toutefois. Deux à trois.Était-elle en sursis ? Elle était de nouveau fébrile et sortit un valet. En face, le marquis restait parfaitement impassible. Il tira une carte à son tour et la posa sur le plateau de jeu : la dame de pique... Merde, pensa Justine, déçue d'avoir échoué près du but. Le marquis lui suggéra de se débarrasser de son soutien-gorge. Elle s'y employa et ses seins parfaits apparurent à la vue de tous. Quatre à deux, sa défaite était incontestable. Elle ne la contesta pas.
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laptiteplumederos · 2 months ago
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Les aventures de Bérénice (Cycle 2 - Épisode 5)
Le marquis, s'adressant à Sylvère et Justine, les informa qu'il était de tradition que les nouveaux membres soient intronisés, sans obligation toutefois. Justine chercha sa tante du regard. Elle la trouva assise sur les genoux d'un homme dont la main caressait nonchalamment le décolleté de Bérénice. Bérénice inclina légèrement la tête pour rassurer sa nièce. Elle pouvait s'y soumettre en toute confiance. Le marquis l'invita à s'asseoir d'un côté d'une table de jeu et il s'installa lui-même de l'autre côté, faisant face à Justine. Justine sentait les battements de son cœur s'accélérer, à la fois excitée et stressée. Une lumière jaune tamisée tombait sur eux d'un plafonnier. Le marquis demanda à Justine si elle savait jouer au poker. La jeune femme répondit par la négative. Le marquis dit que ce n'était pas grave et lui proposa une version simplifiée. Justine et lui auraient chacun un jeu de 54 cartes à leur disposition. Ils retouneraient les cartes, sans les regarder, à tour de rôle. Si Justine trouvait un roi, elle pourrait exiger du marquis qu'il enlève un vêtement. Et inversement si le marquis trouvait une dame. Bien évidemment, les chaussures ne comptaient pas.La marquise et les invités firent un cercle rapproché autour de la table. La marquise déposa deux jeux de cartes sur le plateau, qu'elle avait préalablement battus.Le marquis, à travers son masque vénitien, regarda Justine. Était-elle prête ? Elle ne savait pas, mais il fallait jouer et advienne que pourra.La partie commença. Chacun sortit des cartes sans importance. Le marquis retourna un valet. Il était annonciateur d'autres têtes. Après deux autres tentatives infructueuses de part et d'autre, le marquis retourna une première dame. Il défia Justine du regard et, posément, il dit : la culotte. Justine ne s'était pas attendu à ça. Elle avait imaginé que les choses se seraient produites de manière plus progressive. Mais elle s'exécuta. Levant une jambe, puis, elle fit descendre le dessous en dentelle le long de ses cuisses et de ses mollets jusqu'à ses pieds. De la main droite, elle l'exhiba à bout de bras, tel un trophée, et le laissa tomber par terre comme un défi, ce qui semblait ravir le marquis, la marquise et l'ensemble des invités.
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laptiteplumederos · 2 months ago
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Les aventures de Bérénice (Cycle 2 - Épisode 4)
Quelques minutes plus tard, la marquise annonça l'arrivée des deux derniers invités, qu'elle précéda dans le vaste salon. Justine et Sylvère, pour tromper leur trac, en étaient à leur troisième flûte. Le champagne était bon et contribuait à embrumer leur esprit, ce qui leur évitait de réfléchir. Bérénice, pour sa part, avait entrepris de faire le tour des invités, saluant chacun et chacune d'un discret signe de tête.La marquise s'approcha d'un homme bien mis, costume sombre et chaussures vernies, le visage caché par un masque vénitien, qu'elle présenta comme le marquis. Justine et Sylvère échangèrent un regard, en se demandant si ces gens étaient réellement marquise et marquis ou si tout cela n'était qu'un jeu... Un jeu ! L'idée traversa l'esprit de Justine avec la fulgurance d'un éclair. Elle commençait à entrevoir la nature de cette soirée, en étant toutefois encore incapable de savoir si elle devait s'en réjouir ou l'appréhender. Étant d'une nature plutôt curieuse et joyeuse, elle décida qu'il était préférable de s'en réjouir. Le marquis, qui avait une voix grave et douce, souhaita la bienvenue aux invités et il leur rappela les règles qui présidaient - et il se portait garant de leur bon respect - à ces soirées : le consentement, la bienveillance, le plaisir et la discrétion. Les loups et les masques acquiescèrent d'un même élan. Justine pressa la main de Sylvère dans la sienne et lui glissa à l'oreille que, si son intuition était bonne, ils étaient à une soirée échangiste. Ou mélangiste. Elle ne connaissait pas les termes avec précision. Exprimant cela, et malgré la légère appréhension qui la tenait encore, elle sentit monter en elle une étrange excitation.
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laptiteplumederos · 2 months ago
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Les aventures de Bérénice (Cycle 2 - Épisode 3)
La pièce était un vaste salon de couleur pourpre, aux menuiseries blanches rehaussées de dorures, éclairé par quelques appliques. Des fauteuils et des canapés les uns rouges, les autres noirs, une table basse, y étaient disposés, ainsi qu'un piano à queue, dans un angle. Quelques tableaux, des reproductions, complétaient le décor, la Venus de Botticelli, l'origine du monde de Courbet, des aquarelles érotiques de Rodin, la femme damnée de François Octave Tassaert et quelques autres, plus ou moins suggestives.Dans la pénombre, on distinguait des silhouettes - Justine évalua leur nombre à une petite dizaine -, presque immobiles, hommes et femmes. Une musique légère, qu'on pouvait sans trop se tromper classer dans la catégorie piano bar, bien qu'elle parvint d'enceintes dissimulées dans le décor et non du piano lui-même, flottait dans l'espace. La marquise offrit un verre aux nouveaux venus, des flûtes de champagne. Elle précisa qu'il manquait encore deux invités et que les festivités pourraient commencer. Elle dit qu'elle était impatiente et qu'elle se réjouissait d'accueillir le jeune couple formé par Justine et Sylvère. Elle ajouta que ce n'était pas si souvent ces derniers temps, d'accueillir de nouveaux invités et elle remercia Bérénice pour son heureuse initiative. Justine ne put s'empêcher de retenir la marquise par le bras et lui demanda à l'oreille à quoi était consacrée cette soirée. La marquise lâcha un rire clair qui fusa dans la pièce. Elle comprit que Bérénice n'avait rien dit à sa nièce, ce qui ne l'étonnait pas. Elle répondit à l'oreille de Justine qu'elle n'allait pas tarder à le savoir.
François Octave Tassaert - 1859
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laptiteplumederos · 2 months ago
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Les aventures de Bérénice (Cycle 2 - Épisode 2)
Au n° 23, Bérénice saisit le code sur un clavier et, au déclic, elle poussa la lourde porte, aidée par Sylvère. Passée la loge, Bérénice emprunta l'escalier, suivie par Justine et Sylvère, toujours intrigués par le but de cette mystérieuse soirée. Sur le palier, elle sonna à la porte de gauche. Ils patientèrent quelques secondes. Puis la porte s'ouvrit sur une femme. Un peu plus jeune que Bérénice, sans doute dans les premières années de la cinquantaine, elle affichait un sourire franc, rehaussé par le rouge à lèvres carmin qui dessinait plaisamment les contours de sa bouche. Brune, de taille moyenne, élégante, elle s'effaça pour les laisser entrer. La porte refermée, elle fit la bise à Bérénice. La tante présenta Justine comme sa nièce et Sylvère comme l'amant de celle-ci, ce qui était la stricte vérité. La femme qui venait de les accueillir se faisait appeler "la marquise", bien que personne ne sut si elle détenait réellement un quelconque titre de noblesse. Bérénice s'assura qu'elle n'avait pas commis d'impair en prenant l'initiative d'inviter les jeunes gens. La marquise la rassura en posant la main sur son bras en lui chuchotant quelques mots à l'oreille et en lui adressant un sourire complice qui ne fit qu'amplifier le mystère dans lequel pataugeaient Justine et Sylvère.La marquise fit prendre les manteaux de la tante, de la nièce et du jeune homme, par une soubrette brusquement sortie de la pénombre du couloir, qui y disparut aussi vite qu'elle en avait jailli.La marquise leur distribua, à Bérénice et Justine, un loup, à Sylvère, un masque vénitien et elle conduisit les trois invités au bout du couloir, lequel s'ouvrait sur une vaste pièce.
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laptiteplumederos · 2 months ago
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Les aventures de Bérénice (Cycle 2 - Épisode 1)
La commode comportait trois tiroirs. Celui du haut était réservé aux pièces de lingerie de Bérénice, celle qu'elle utilisait lors de ses rendez-vous au studio. Celui du milieu était dédié aux accessoires de la tante. A voir son contenu, elle ne devait pas s'ennuyer. Le troisième tiroir, celui du bas, contenait des sous-vêtements de différentes tailles, pour hommes et femmes.Justine avait le choix entre trois modèles à sa taille. Elle opta pour un tanga en dentelle rouge et un soutien-gorge coordonné. Elle se laissa tenter par le porte-jarretelles et les bas noirs. Sylvère choisit un boxer coton-lycra de couleur noire. N'en ayant pas d'autres, ils enfilèrent par-dessus leurs vêtements du jour, un chemisier léger à fleurs et une jupe noire pour Justine, un jean noir et un polo pour Sylvère. Ils émirent des hypothèses concernant cette soirée à laquelle la tante de Justine les avait conviés mais, Bérénice étant resté plus qu'évasive, les hypothèses étaient trop nombreuses pour que l'une ou l'autre puisse être crédible. Par jeu, ils finirent par faire un pari. Justine proposa le vernissage d'une exposition. Sylvère une soirée caritative au profit de... bref, une soirée caritative, pas besoin d'avoir le souci du détail. Il fallait décider du gain. Mais Bérénice frappait à la porte. Ils décideraient plus tard.Au pied de l'immeuble, ils s'engouffrèrent dans un taxi commandé par la tante. Après une vingtaine de minutes, il les déposa dans une rue du quinzième arrondissement.
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laptiteplumederos · 7 months ago
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Les aventures de Bérénice (Épisode 20)
L'amant de Justine revint à l'heure du thé. Il avait acheté des macarons pour fêter la signature du bail d'un local ou installer son studio photo. Bérénice prépara du thé et ils s'installèrent autour de la petite table. Bérénice questionna Justine sur ses études et montra de l'intérêt pour le projet du jeune hommeJustine demanda à sa tante si elle pouvait rester quelques jours dans le studio, avec son amant. Cela leur éviterait de reprendre le "petit gris" ferroviaire pour rentrer en banlieue. La tante accepta de bonne grâce. Il conviendrait simplement de vider les lieux, aux heures qu'elle indiquerait, afin qu'elle puisse honorer ses rendez-vous d'affaires. Justine sourit, pas dupe de la réalité de ces rendez-vous.Puis sa tasse de thé terminée, Bérénice annonça qu'elle allait partir. Elle était invitée à une soirée. Elle se leva, fit un pas dans le couloir, se ravisa. Elle se retourna vers Justine et son amant. Elle leur proposa de l'accompagner à la soirée, s'ils étaient libres, naturellement. Malgré l'insistance de Justine qui voulait en savoir un peu plus, Bérénice resta évasive. Justine et son amant échangèrent un regard interrogateur. Puisque sa nièce paraissait indécise, Bérénice conclut en disant qu'elle passerait les chercher vers vingt-et-une heures et qu'ils s'y rendraient tous les trois. Elle indiqua qu'il y avait des sous-vêtements propres dans la commode de la salle de bains, même pour hommes, précisa-t-elle. Il y a toujours des personnes qui oublient leurs affaires partout... Elle leur adressa un clin d'œil et sortit.
Texte : Artsenscarpediem
Fin du cycle 1 que l'on pourrait intituler " Le studio de Bérénice". A bientôt j'espère pour le cycle 2.
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laptiteplumederos · 7 months ago
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Les aventures de Bérénice (Épisode 19)
Le visiteur alla prendre une douche rapide. Il connaissait manifestement les lieux et Justine en déduisit que ça ne devait pas être sa première visite au studio de Bérénice. Justine enfila son peignoir. L'homme sortit de la salle de bains, habillé et ravi.C'est le moment que choisit la tante pour faire son retour, enfin, au studio. Elle se confondit en excuses auprès du visiteur, elle avait été malencontreusement retardée, elle était confuse. Le visiteur, avec sa bienveillance naturelle, rassura Bérénice. Elle ne devait pas s'en faire, il ne lui en tenait absolument pas rigueur et il n'avait absolument pas perdu son temps, non, non.Il la complimenta tant et si bien sur les qualités d'hospitalité de sa nièce que Bérénice finit par comprendre. Ces deux-là avaient su mettre en œuvre le célèbre adage "qui va à la chasse perd sa place" et elle ne pouvait pas leur en tenir rigueur.Le visiteur proposa à Bérénice de reprogrammer leur rendez-vous, ce qui finit de rassurer la tante qui, bien qu'elle n'en laissât rien paraître, ressentait la légère piqûre de la frustration. La prochaine fois, ce serait elle que le visiteur fourrerait et elle ne pouvait que s'en réjouir, connaissant, comme Justine l'avait deviné, les qualités d'amant du visiteur, à la fois tendre et vigoureux. Et, parmi, toutes les conquêtes de Bérénice, c'était sans conteste un des mieux membrés et elle l'appréciait particulièrement pour cette qualité.L'homme franchit le seuil avec un sourire. La tante et la nièce lui adressèrent un petit signe de la main et Bérénice referma la porte. Justine disparut dans la salle de bains à son tour.
Texte : Artsenscarpediem
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laptiteplumederos · 7 months ago
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Les aventures de Bérénice (Épisode 18)
Justine l'espérait secrètement mais elle avait décidé de garder les yeux fermés. D'une part, elle en était persuadé, cela décuplait les sensations des doigts du visiteur sur et dans son sexe. D'autre part, elle aimait l'idée de ne pas savoir s'il allait venir en elle et, s'il décidait de le faire, à quel moment cela surviendrait. Elle trouvait cela follement excitant. Elle mouillait abondamment. Elle avait eu envie de se masser doucement les seins et elle trouva ce combo délicieusement jouissif.Comme cela a déjà été dit, le visiteur bandait. Ce n'était pas une érection au rabais, non, c'était une vraie érection, la même que celle qu'il avait eue lorsque Justine avait entrepris de le sucer. Il surplombait légèrement la jeune femme et le spectacle l'excitait. Il attendait le bon moment pour retirer ses doigts d'entre les lèvres inondées de cyprine et y fourrer son sexe turgescent, gland en avant, en première ligne. Le moment vint lorsque Justine, comme un signal, se mit à mordre un bord de l'oreiller. Le visiteur retira alors précautionneusement ses doigts et, avec la même précaution, déposa son gland sur le sexe de Justine. Il l'y laissa quelques secondes, délicieuse indécision, enivrante attente. Puis il y entra, tel un éclaireur suivant une piste et le reste de la troupe suivit bientôt. Le sexe dur et tendu entra tout entier entre les lèvres du sexe de Justine et s'y installa, non pas comme en territoire conquis, le visiteur maîtrisant l'élégance en toute circonstance, mais comme un Eden à découvrir. Justine laissa échapper un cri de plaisir, le visiteur un râle. Ils s'engagèrent dans un mouvement de va-et-vient, un sexe coulissant joyeusement dans l'autre, durant quelques minutes. Justine avait attrapé à pleines mains le cul rond et ferme du visiteur et accompagnait ses ondulations. Le visiteur, débarrassé de l'hésitation qui l'avait saisie un peu plus tôt, fourrait Justine gaillardement, de plus en plus vite. La jeune femme goûtait cette visite de courtoisie avec ferveur. Ils poursuivirent leur va-et-vient jusqu'à atteindre la jouissance.
Texte : Artsenscarpediem
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laptiteplumederos · 7 months ago
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Les aventures de Bérénice (Épisode 17)
Le visiteur était habile. Justine avait rejeté la tête en arrière et s'aggripait à l'oreiller. Les yeux fermés. La bouche entrouverte, par laquelle elle laissait échapper de longs gémissements qui témoignaient assurément du plaisir qu'elle prenait. Le visiteur avait inséré, avec beaucoup de douceur, un second doigt dans le sexe de Justine et il leur faisait effectuer une sorte de valse exploratoire qui accentuait l'excitation de la jeune femme. D'autant qu'il avait pris l'initiative, que Justine ne saurait qualifier autrement que d'excellente et de parfaitement appropriée, de caresser dans le même temps, son petit bouton clitoridien. Celui-ci ne demandait qu'à éclore sous la pulpe douce du pouce de l'homme. Plus il le titillait, ce petit bouton coquin, plus les mouvements du bassin de Justine se faisaient saccadés. Les gémissements s'étaient transformés en des sortes de "Ohhhh" qu'elle répétait à une fréquence de plus en plus élevée. Justine avait pu apprécier le sexe dur et tendu dans sa bouche, elle espérait maintenant qu'il aurait l'envie et l'ardeur de la lui fourrer entre les cuisses. Or, tout attentif qu'il était à prodiguer une stimulation tout à la fois vaginale et clitoridienne, le visiteur ne s'en était pas moins remis à bander.
Texte : Artsenscarpediem
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laptiteplumederos · 7 months ago
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Les aventures de Bérénice (Épisode 16)
Bien que fébrile sur ses jambes, encore parcourues de tremblements, l'homme aida Justine à se relever. Justine redouta devoir de nouveau faire appel à quelque accessoire pour assouvir l'excitation que la pipe qu'elle venait de réaliser avait éveillée en elle et elle s'y résignait presque déjà, lorsque le visiteur, avec une dextérité qui la surprise, se débarassa de ses chaussures, de ses chaussettes et de son pantalon, qu'il avait sur les chevilles et bascula Justine sur le lit. Il la débarassa prestement de son peignoir, découvrant le spectacle réjouissant de ses seins, de ses courbes, de son sexe. Il chercha la bouche de Justine et l'embrassa. Son baiser avait un parfum suave qui plut à Justine. Ses mains, douces et habiles, parcoururent le corps frissonnant de la jeune femme, qui s'abandonna avec délice. Elle eut l'impression d'être emportée dans un tourbillon. Les mains de l'homme virevoltaient sur son corps, ses seins, son ventre ses fesses, ses hanches, ses cuisses... Aucune parcelle de sa peau ne semblait devoir rester inexplorée. Justine s'offrait sans résistance au visiteur, pourquoi résister quand on meurt d'envie ? Elle sentit qu'elle mouillait. Elle avait envie de son sexe en elle, ce sexe dont elle avait pu apprécier, dans sa bouche, les qualités. Le visiteur embrassa et mordilla ses tétons. Il les suça l'un après l'autre. Puis, avec un mélange de douceur et de fermeté, il lui fit écarter les cuisses. Avec la paume de la main, il caressa l'intérieur du mollet, l'intérieur du genou, l'intérieur de la cuisse, l'intérieur... L'intérieur tout court. Justine n'avait pas eu le temps de dire ouf qu'un doigt s'était glissé dans son sexe, commençant à l'explorer. Elle ne put retenir un petit cri.
Texte : Artsenscarpediem
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laptiteplumederos · 8 months ago
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Les aventures de Bérénice (Épisode 15)
Elle commença par parcourir le sexe du visiteur du bout de la langue, remontant le long de la tige. Arrivée au sommet elle le lécha comme on lèche une glace en été sous les ombrages du parc du Luxembourg. Puis, sans crier gare, elle l'enfourna dans l'orifice formé par sa bouche, les lèvres à peine distendues. Elle procéda avec lenteur, le bout de sa langue accompagnant, d'un mouvement de tête vers l'avant, le gland vers les profondeurs, pas trop tout de même. Elle n'avait pas encore la maîtrise des gabarits, science que possédait sans aucun doute sa tante Bérénice, ce qui l'obligeait à accompagner la progression de la queue dans sa bouche avec prudence, afin que cela reste du plaisir et rien que du plaisir. Elle le garda quelques secondes en bouche comme un bonbon, puis fit effectuer à sa tête un mouvement arrière et "plop", le sexe de l'homme réapparut à la lumière, luisant comme une carrosserie sortant d'une station de lavage. Elle le reprit aussitôt, l'aspira, occasionnant par la même occasion un petit gémissement, qui éclot et se dissipa quelque part au-dessus d'elle. Elle se mit à faire coulisser le sexe du visiteur dans sa bouche. Elle le pompa avec application, tantôt lentement, tantôt avec une certaine frénésie, les mains en appui sur les genoux de l'homme. Il répétait que c'était bon et Justine s'en trouva fort aise. Elle pompait, léchait, aspirait, suçait la bite généreuse. L'homme, avec précaution, accompagnait par une légère ondulation du bassin les mouvements de son sexe dans la bouche gourmande de Justine. Elle pompait, elle pompait, elle pompait... Elle sentait venir la jouissance de l'homme, dont les gémissements s'étaient faits plus sonores. Il eut la délicatesse, qu'elle sut apprécier de lui signaler qu'il allait jouir. Mais Justine s'en foutait, elle était de la catégorie qui avale. Enfin, pas toujours. Elle se laissait le choix. Là, elle avait envie. Elle ne répondit rien et continua de le pomper quelques secondes, avertie et décidée. Il éjacula.
Texte : Artsenscarpediem
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laptiteplumederos · 8 months ago
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Les aventures de Bérénice (Épisode 14)
L'homme fut décontenancé. Il tergiversait sur la conduite à tenir. Il se leva. Bien sûr, Justine, avec l'insolence de sa jeunesse, ses jolis seins ronds et fermes, son sexe épilé ne le laissait pas indifférent. Il invoqua Bérénice, les affaires qu'il avait à régler avec elle, à quoi Justine lui répondit que sa tante était manifestement très en retard et que rien ne les obligeaient à raconter à Bérénice ce qu'ils pourraient faire ensemble, en son absence. L'homme finit par en convenir. Justine, prenant ceci comme un assentiment en bonne et due forme, et considérant que suffisamment de temps avait été perdu en tergiversations, se mit à genoux devant l'homme. Méthodiquement, elle défit la boucle de la ceinture, le bouton et fit glisser la fermeture éclair. Elle écarta les deux côtés de la fermeture et découvrit un boxer bleu imprimé de flamants roses. Elle ne s'y attarda toutefois pas, n'entretenant pas de passion particulière pour l'ornithologie. Elle glissa une main dans le sous-vêtement et en sortit un chibre en train de se déployer. Il sentait bon le savon de Marseille. Ni une ni deux, elle le goba.Elle aimait cette sensation de sentir un sexe d'homme durcir dans sa bouche, gonfler, enfler, se rigidifier. Elle s'en trouvait flattée. Le fait qu'il s'agisse d'un parfait inconnu provoquait, quant à lui, un surcroît d'excitation, dont elle ressentit les vibrations dans son bas-ventre. Elle expulsa le sexe masculin de sa bouche et l'observa avec gourmandise. Il était équilibré avec de belles proportions, parfaitement droit et parfaitement épilé. Un régal !
Texte : Artsenscarpediem
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laptiteplumederos · 8 months ago
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Les aventures de Bérénice (Épisode 13)
Justine, que les ébats de Sylvère et Bérénice avaient un peu laissé sur sa faim, malgré le gode qu'elle avait déniché dans les affaires de sa tante et avec lequel elle s'était fait jouir, ressentait une sorte de manque et d'inachevé. Alors, la présence de cet homme, dont le regard ne cessait de plonger, par intermittence, dans un décolleté qui en dévoilait de plus en plus chaque seconde, lui apparut soudain comme un don du ciel, ou peut-être du diable, qu'importe... Elle aurait vendu son âme pour apaiser la légère frustration de ne pas avoir senti la queue de Sylvère en elle. Par ailleurs, elle se doutait bien que les "affaires" qui liaient sa tante et cet homme, n'était sans doute la pratique du tricot ni du point-de-croix. Elle se souvenait que Bérénice utilisait principalement ce studio pour y recevoir ses amants. En l'absence momentanée de Bérénice, qui avait maintenant plus de vingt minutes de retard, est-ce qu'elle n'était pas digne de remplacer sa tante, avec cet homme manifestement raffiné qui ne la laissait pas indifférente ? L'idée était tentante. Alors, elle se leva, se plaça devant lui et, d'un geste langoureux, elle fit lentement glisser le peignoir sur son corps, jusqu'à ce qu'il ne constitue plus qu'un petit amas beige à ses pieds. Crânement, elle demanda alors à l'homme qui était ébahi devant elle s'il la trouvait à son goût.
Texte : Artsenscarpediem
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laptiteplumederos · 8 months ago
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Les aventures de Bérénice (Épisode 12)
Lorsque Bérénice sortit de la salle de bains, Sylvère s'y engouffra pour prendre une douche. Il devait se rendre à un rendez-vous. Il téléphonerait à Justine pour convenir d'où et quand se retrouver. Bérénice, après avoir avalé un autre café, annonça à sa nièce qu'elle avait une course à faire dans le quartier. Justine se retrouva seule dans le studio. Sur son téléphone, elle mit de la musique et alla, à son tour, prendre une douche. Elle venait à peine d'enfiler le peignoir que la sonnerie retentit. Bérénice avait sans doute oublié ses clés. Justine ouvrit. Elle se trouva nez-à-nez avec un inconnu qui fut aussi surpris qu'elle de se trouver face à Justine. Il sembla hésiter, précisa qu'il avait rendez-vous avec une certaine Bérénice à onze heures, bafouilla qu'il était confus et s'était sans doute trompé d'adresse. Justine comprit la situation. Monsieur avait rendez-vous avec sa tante. Elle lui dit que Bérénice était sortie momentanément et qu'elle serait de retour sous peu. Elle lui proposa d'entrer et il franchit le seuil du studio. Justine referma la porte et lui proposa un café. C'était un homme plutôt beau, la cinquantaine élégante. Il enleva sa veste. Justine lui expliqua qu'elle était la nièce de Bérénice et lui demanda s'il était en affaire avec sa tante. L'homme répondit que, ma foi, on pouvait dire les choses comme ça, oui. Un pan du peignoir de Justine avait glissé sur son épaule, laissant entrevoir la rondeur d'un sein, ce que le visiteur ne manqua pas de remarquer.
Texte : Artsenscarpediem
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laptiteplumederos · 8 months ago
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Les aventures de Bérénice (Épisode 11)
Sylvère sur les coudes jetait un regard vers le gode avec lequel Justine s'était joyeusement et efficacement masturbée. Il lui dit, sur le ton de la taquinerie, qu'elle était une belle salope, ce dont Justine, en répliquant qu'il était loin d'avoir tout vu, sembla s'enorgueillir. La tante Bérénice se relevant, le sexe plein de sperme et de cyprine mêlés, dit qu'elle était fière de sa nièce et qu'elle ne saurait la blâmer de profiter ainsi des plaisirs d'une sexualité épanouie. Pour avoir expérimenté elle-même ce gode à plusieurs reprises (il faisait partie de la collection d'accessoires qu'elle conservait dans le studio), elle savait que Justine avait un goût sûr et qu'elle n'avait pas dû être déçue. D'une manière générale, elle n'était jamais déçue lorsqu'elle utilisait ce genre d'auxiliaires. Elle recommanda à Justine de le nettoyer et de le ranger à sa place, ce que promit la nièce. Bérénice, non sans avoir embrassé Sylvère sur la bouche, se leva et se dirigea vers la salle de bains, pour un brin de toilette. Elle disparut en se dandinant, sous l'oeil goguenard de Sylvère qui considérait décidément sa rencontre avec Justine et avec sa tante délurée, comme une aubaine. Justine lui avoua que ça l'avait bien excitée de le voir baiser sa tante. Les amants s'éteignirent et s'embrassèrent.
Texte : Artsenscarpediem
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laptiteplumederos · 8 months ago
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Les aventures de Bérénice (Épisode 10)
Sylvère sentait la jouissance monter depuis son ventre jusqu'au bout du gland. Sa respiration était devenue saccadée. Bérénice, poursuivant infatigablement sa chevauchée, laissait maintenant échapper de longs gémissements qui laissait à penser qu'elle s'approchait à grands pas de l'explosion finale. L'un et l'autre cherchaient à faire durer le plaisir encore un peu, quelques secondes de plaisir grapilllées avant le paroxysme. Sylvère sentait qu'il était tout proche de l'éjaculation. Sylvère, qui, tout à son affaire avec Bérénice, en avait presque oublié Justine. Pourquoi en ressentit-il le besoin justement à ce moment-là, il n'aurait pas su le dire. Mais toujours est-il que son regard, abandonnant soudainement le mouvement hypnotique des seins lourds et pleins de la tante, chercha Justine. Il la trouva, nonchalamment allongée sur le lit, à quelques centimètres à peine de Sylvère et de Bérénice. Mais ce qu'il remarqua surtout, c'était le gros gode qu'elle s'était enfoncée dans la chatte et qu'elle remuait allègrement, en poussant de longs gémissements. Dans une synchronisation quasi parfaite, ils jouirent tous les trois, leurs râles se mêlant en une étrange partition, avant de diminuer d'intensité et de ne plus laisser à entendre que le souffle des respirations reprenant peu à peu un rythme normal.
Texte : Artsenscarpediem
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