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Les préjugés
Il est bien évident de penser que le préjugé est une façon d’être, quelque chose de normal dans notre société. Je dirais que c’est le passe-temps favoris des plus incultes et comme le dit notre chère Victor Hugo « Les plus petit esprit ont les plus gros préjugés ».
Tout ceux qui se permettent de répandre ces idées préconçues sur autrui, de donner des leçons sont bien-sûr si parfaits... Ils atteignent la perfection à l’état pur. Ils sont les seuls à savoir véritablement le mal du bien, eux seuls savent à qui donner le châtiment juste et à qui réserver l’éloge. Ils ont le pouvoir de juger et tout de suite.
Mais savez-vous quelle est la chose la plus triste avec ce genre de personne ? C’est qu’ils sont persuadés que leur opinion est irréfutable. Malheureusement, les préjugés peuvent tout dominer en une personne, ses pensées, ses actions…seule l’imagination limite leur portée. Comment espère-on combattre ces idées si l’on fait que rajouter des couches. Comme l’a dit Albert Einstein « Il est plus difficile de désintégrer un atome qu’un préjugé ».
Alors pourquoi ces choses sont-il si difficilement modifiables ? Je penses que c’est une manière pour ces gens craintifs de se façonner un bouclier, ils ne trouvent pas d’autres moyens que de prononcer des jugements hâtifs, même s’ils ne sont pas fondés. Ils font preuve d’une paresse intellectuelle, d’un conformisme social ou encore d’une rigidité mentale incertaine. Cela leur permet d’oublier leur peine, leur malheur et leur mal être.
Nous connaissons tous les répercussions qu'engendrent toujours les idées sommaires, sans fondement. Le plus triste est que les préjugés ne s'arrêteront jamais de se propager. Et le meilleur vecteur de propagation est l'enfant. Ce petit être innocent sert de véhicule pour cette propagande. Bien naïf, il croit à toutes ces sottises humaines, transmises par son entourage. Les préjugés sont aussi inscrits dans l'inconscient, ce qui laisse à tous les « simples d'esprit » une marge de manœuvre insondable.
« Que conclure à la fin de tous mes longs propos ? », questionnait Voltaire... « C'est que les préjugés sont la raison des sots ».
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Mélancholie
La jeunesse, années de l’innocence, de la simplicité.
Ces années qui nous font croire que la jeunesse,
c’est la vie dont tout le monde rêve,
pourtant on se force pour garder le sourire aux lèvres.
Un jour, on se réveille de cette utopie,
et on rencontre la réalité qui nous baffe.
Réalité dure, brusque et bouleversante.
Endormie dans ce sommeil, plongée dans ce cauchemar.
J’étais trop faible pour le réaliser.
Une gifle, une claque, n’importe quoi pour me réveiller.
Aveugle, tu m’as rendu aveugle.
Non.
Ignorante.
Défaite.
Jusqu’au jour où je m’en suis rendu compte.
Il était temps.
Pis j’aurai aimé que ça arrive plus tôt.
J’me prend tellement pas la tête dans la vie,
mais avec tout ça, avec toutes ces conneries,
C’est facile de dire il faut laisser les choses aller.
Alors je me demande toujours à quoi sert la vie,
un passage, un examen ?
Chaque personne est elle-même,
elle se débrouille pour se démerder dans
ce qui commence de plus en plus à nous faire chier.
Certains se croient supérieurs,
comme s’ils régnaient sur le monde.
Salaire plus élevé, grande baraque, voiture plus classe.
Mais au final, ils vont mourir, comme tout le monde.
Nous enterrer, en dessous de la terre.
Quand ça sera la balade du dimanche pour une famille,
leur chien nous pissera dessus.
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21/06/18
J’ai eu récement une prof de poésie un peu, comment dire ? Turbulente pour être polie, mais que moi j’apellerais une coincée du cul. Désolé, je sais c’est pas très gentil, mais la vérité fait mal. Elle avait une conception de l’écriture que je n’aimais pas. Pour elle, pour écrire il fallait apprendre, passer par de nombreux concepts techniques pour pouvoir s’ouvrir. Et moi je n’étais pas d’accord, je ne suis toujours pas d’accord, en ce qui me concerne nos sentiments et nos émotions n’ont pas de règles à respecter. L’inspiration et la passion ne sont pas des choses que l’on contrôle par des concepts techniques. Non. C’est ce qui fait la beauté de l’écriture ; pouvoir tout dire comme l’on veut sans censure, sans règles, sans concepts à suivre. Personne n’a le droit de nous dire comment utiliser nos mots, notre colère, notre tristesse, notre joie, encore moins une prof qui se prend pour Rimbaud.
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